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Claude Marcil
Commentchercher
LES SECRETS DE LA RECHERCHE
D’INFORMATIONÀ L’HEURE D’INTERNET
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Mar
cil
ISBN 2-921146-99-1
,!7IC9C1-begjjj!
L’information dont on dispose actuellement est à la fois trop abondante
et trop rare. Internet, bibliothèques publiques et privées, centres de
documentation spécialisés, vidéothèques, audiovidéothèques, CD-ROM,
banques d’information, ouvrages de référence, encyclopédies, dictionnaires et
répertoires sont si nombreux qu’on risque de s’y perdre, voire d’y trouver tout…
sauf ce que l’on cherche!
Cette nouvelle édition de Comment chercher intègre les principaux sites de
référence disponibles sur Internet aux diverses rubriques qui ont fait de la pre-
mière édition, parue en 1992, le guide par excellence de quiconque (étudiant,
recherchiste, documentaliste, journaliste, curieux) a besoin de faire une recherche
un tant soit peu exhaustive.
Comment chercher, un guide indispensable qui met à la portée de tous autant
les principes de base de la recherche que les mille et un petits trucs accumulés
au cours de la longue expérience de l’auteur.
Recherchiste professionnel depuis plus de vingt ans, CLAUDE MARCIL maîtrise à fond l’art
de dénicher la « perle rare », l’information supplémentaire qui apportera un éclairage nouveau
à une question trop souvent considérée comme connue. Dans COMMENT CHERCHER,
il inventorie et évalue pour le lecteur toutes les sources de référence possibles, qu’il s’agisse
d’Internet, de bibliothèques, de musées, de consulats ou d’entreprises, et décrit comment
effectuer une recherche rapide ou en profondeur.
Extrait de la publication
Extrait de la publication
Commentchercher
LES SECRETS DE LA RECHERCHE
D’INFORMATIONÀ L’HEURE D’INTERNET
Extrait de la publication
Extrait de la publication
Claude Marcil
Commentchercher
LES SECRETS DE LA RECHERCHE
D’INFORMATIONÀ L’HEURE D’INTERNET
Données de catalogage avant publication (Canada)
Marcil, Claude, 1945-
Comment chercher : les secrets de la recherche d’information à l’heure d’Internet
2e éd.
Comprend des réf. bibliogr. et un index.
ISBN 2-921146-99-1
1. Recherche de l’information. 2. Recherche sur Internet. 3. Recherche documentaire.4. Bibliothèques – Formation des utilisateurs. 5. Documentation, Services de Formationdes utilisateurs. 6. Ouvrages de référence. I. Titre.
Z711.M368 2001 025.5’24 C00-941874-1
Correction des épreuves : Steve Laflamme
Design de la couverture : Gérard Beaudry
ISBN 2-921146-99-1ISBN 2-921146-11-8 (1re édition, 1992)Dépôt légal – Bibliothèque nationale du Québec, 2001Dépôt légal – Bibliothèque nationale du Canada, 2001
Éditions MultiMondes, 930, rue Pouliot, Sainte-Foy (Québec) G1V 3N9 CANADA; tél. : (418) 651-3885 ; téléc. : (418) 651-6822 ; courriel : [email protected]; http://www.multim.com
DISTRIBUTION EN LIBRAIRIE AU CANADA : Diffusion Dimedia, 539, boulevard Lebeau, Saint-Laurent (Québec) H4N 1S2 ; tél. : (514) 336-3941 ; téléc. : (514) 331-3916 ; courriel : [email protected]
DÉPOSITAIRE EN FRANCE : Éditions Ibis Press, 8, rue des Lyonnais, 75005 Paris, FRANCE ; tél. : 01 47 07 21 14 ; téléc. : 01 47 07 42 22 ; courriel : [email protected]
DISTRIBUTION EN FRANCE : Librairie du Québec à Paris, 30, rue Gay-Lussac, 75005 Paris, FRANCE ; tél. : 01 43 54 49 02 ; téléc. : 01 43 54 39 15
©Les Éditions MultiMondes inc., 2001
Les Éditions MultiMondes reconnaissent l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Programme d’aide au développement de l’industrie de l’édition (PADIÉ) pour leurs activités d’édition. Elles remercient également la Société de développement des entreprisesculturelles du Québec (SODEC) pour son aide à l’édition et à la promotion.
Gouvernement du Québec – Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres –Gestion SODEC
Extrait de la publication
Avant-propos
Pendant longtemps, les ouvrages de référence, les guides de recherche, onteu la solidité et la vitesse d’un glacier. La première édition d’un livre
demandait un travail colossal et coûteux, mais, par la suite, une bonne mise àjour annuelle ou même quinquennale suffisait aux besoins des lecteurs. Lemilieu de la référence intégra de la même façon les films, les vidéos, etc. Maisl’arrivée d’Internet a ébranlé les fondations de tout le secteur de la recherche.
Aujourd’hui, le paysage de la recherche a bien changé. Certains ouvragesde référence, comme l’Encyclopaedia Britannica sont maintenant et gratuite-ment en ligne, d’autres comme Internet Movie Database ont été créés spé-cialement pour Internet. Alors que traditionnellement, les ouvrages de réfé-rence ne couvraient qu’un seul domaine, Internet permet la confusion desgenres. Il n’est plus possible d’ignorer les ressources considérables du Web.
Cette nouvelle édition de Comment chercher intègre les principaux sitesde référence disponibles sur Internet aux diverses rubriques qui ont fait de lapremière édition, parue en 1992, le guide par excellence de quiconque (étu-diant, recherchiste, documentaliste, journaliste, curieux) a besoin de faire unerecherche un tant soit peu exhaustive.
Extrait de la publication
Table des matières
Introduction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
CHAPITRE 1 LA BIBLIOTHÈQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Un peu d’histoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Son mode d’emploi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
Le catalogue : l’inventaire de tous les documents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
Les vedettes-matière : la recherche par sujets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
La cote : l’adresse de chaque document . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
L’indice d’auteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
Le rangement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
L’analyse d’un document . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
Les ouvrages de référence. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
Les banques de données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
CHAPITRE 2 LES BIBLIOTHÈQUES ET LES CENTRES DE DOCUMENTATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
Les bibliothèques publiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
Les bibliothèques collégiales et universitaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
Les bibliothèques nationales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
La Bibliothèque nationale du Québec. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
La Bibliothèque nationale du Canada . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
La Bibliothèque du Congrès (États-Unis) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
La Bibliothèque nationale de France . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
Les centres d’archives. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
Les Archives nationales du Québec . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
Les Archives nationales du Canada . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
Les archives municipales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
Les bibliothèques gouvernementales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
Les bibliothèques parlementaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
Les autres bibliothèques gouvernementales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
Extrait de la publication
Les bibliothèques spécialisées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
Les musées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
Les sociétés historiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
Les bibliothèques des quotidiens. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
Les associations diverses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
Pour trouver d’autres centres de documentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
CHAPITRE 3 LA RECHERCHE RAPIDE D’INFORMATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Les dictionnaires de langue. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
Les dictionnaires terminologiques ou lexiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
Les encyclopédies générales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
Les annuaires encyclopédiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60
Les encyclopédies et les dictionnaires spécialisés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60
Les dictionnaires et les répertoires biographiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
Les annuaires gouvernementaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
Les annuaires non gouvernementaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72
Les atlas et les cartes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
Les répertoires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75
Les dépanneurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81
Les almanachs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81
Les guides des événements récents. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83
Les guides de voyage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
Les dépanneurs de l’inusité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
Les recueils de citations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88
Les recueils d’œuvres littéraires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88
CHAPITRE 4 LA RECHERCHE EN PROFONDEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89
Les bibliographies d’ouvrages de référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90
Internet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91
Mégasites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91
Les bibliographies de bibliographies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
Internet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95
Les bibliographies courantes et rétrospectives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96
Les bibliographies commerciales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
Internet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
L’industrie du livre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
Des librairies électroniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101
Pour les livres français . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102
x
COMMENT CHERCHER
Extrait de la publication
Critiques et recensions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103
Les catalogues collectifs et les réseaux de bibliothèques . . . . . . . . . . . . . 108
Les répertoires de titres de périodiques : pour localiser une revue ou un journal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
Internet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109
Les revues et les magazines : pour localiser une revue ou un magazine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111
Les catalogues collectifs de périodiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112
Pour trouver un article de revue : les bibliographies d’articles de périodiques (index et abstracts) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113
Pour trouver un article de périodique (revue ou journal) . . . . . . . . . . . . 113
Les journaux : pour localiser un journal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118
Pour trouver un article de journal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
Les bulletins (newsletters). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123
Internet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123
Les fanzines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
Les brochures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
Les thèses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
Par pays . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
Par universités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126
CHAPITRE 5 LES EXPERTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
Demandez à un expert . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
Listes de discussions et forums (newsgroups) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130
Le personnel de référence en documentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131
Les libraires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
Les associations. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134
Les services de relations publiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139
Les auteurs et les journalistes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139
Médias. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
Journalisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
Autres sites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142
Les chercheurs et les universitaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143
Sociétés savantes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
Les congrès et les sessions de formation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
Les ambassades et les consulats. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147
Les fondations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149
Les fonctionnaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149
xi
Table des matières
Extrait de la publication
Les services de revue de presse et de recherche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
Commander une revue de presse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
Commander une recherche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151
Les entrevues avec les experts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152
Les listes de distribution (mailing lists ou lists-servs en anglais) . . . . . . . . 154
CHAPITRE 6 LES AFFAIRES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155
Les outils de référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156
Les dictionnaires terminologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156
Pour des informations de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156
Internet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 157
Les index des périodiques et des journaux d’affaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159
Les banques de données spécialisées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 161
Les répertoires d’entreprises et de leurs dirigeants. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 162
Les manufacturiers : qui fabrique quoi? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164
Les chambres de commerce . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166
Les outils de référence de portée internationale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166
CHAPITRE 7 LES DOCUMENTS MULTIMÉDIAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
Les films et les vidéos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
Les répertoires du cinéma canadien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169
Les répertoires québécois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172
Les répertoires français . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173
Les répertoires américains . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 175
Les catalogues et les répertoires internationaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176
L’industrie du cinéma canadien et québécois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177
L’industrie du cinéma français . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177
L’industrie du cinéma américain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178
Les critiques et les index de films. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179
Les vidéos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180
Les CD-ROM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180
Les photographies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181
Au Canada et au Québec. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181
Aux États-Unis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182
En France . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183
Les reproductions de peintures et les illustrations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 184xii
COMMENT CHERCHER
Extrait de la publication
Les enregistrements sonores et la musique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185
Archives américaines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
France . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186
Grande-Bretagne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187
Musique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188
Les distributeurs de documents multimédias . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 191
Les producteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 191
La télévision . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 191
CHAPITRE 8 LES PUBLICATIONS GOUVERNEMENTALES . . . . . . . . . . . . . . . . . 195
Les publications du gouvernement du Québec . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 195
Les publications du gouvernement du Canada . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 197
Les publications du gouvernement des États-Unis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 198
Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 201
Pour en savoir davantage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203
ANNEXES
1. Abrégé de la classification décimale de Dewey . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207
2. Abrégé de la classification de la Bibliothèque du Congrès . . . . . . . . . . . . . 211
INDEX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221
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Table des matières
Extrait de la publication
INTRODUCTION
Àl’âge de l’agriculture, le pouvoir appartenait aux propriétaires terriens.Puis, à l’ère industrielle, le pouvoir est passé aux mains de ceux qui pos-
sédaient la technologie. À notre époque, il appartient désormais aux per-sonnes qui détiennent l’information.
Que ce soit pour monter un dossier sur un pollueur, préparer desvacances, se documenter sur un produit avant de l’acheter ou de le vendre,tout le monde, éducateurs, hommes d’affaires, secrétaires, étudiants, journa-listes, doit chercher de l’information.
Pour être bien informé, il faut acquérir des outils de base, posséder ungros bon sens, un minimum de pratique, un zeste de savoir-faire et, surtout, ilfaut éviter de vouloir tout savoir. S’il n’est nullement essentiel de toutconnaître sur tout, il est indispensable de savoir où et comment chercher.
La recherche a souvent la réputation d’être ennuyeuse et difficile, en plusd’exiger une patience de moine. Comment peut-on lire avec passion un réper-toire d’adresses comme le Scott’s Register, avoir du plaisir à parcourir l’infor-mation fournie dans Point de repère, ou découvrir avec enthousiasme les sub-tilités de Canadiana ou du Catalogue of Directories Published and AreasCovered by Members of International Association of Cross ReferenceDirectory Publishers? Pourtant, tous les « recherchistes» confirmeront que larecherche est un véritable travail de détective, à la fois excitant et dangereu-sement accrocheur.
Difficile? Pas toujours. Des défis ? Des efforts? Oui, mais pas nécessaire-ment continus. Trouver l’adresse de Bombardier ou de Kellogg’s, la populationde la Mongolie extérieure, le nombre de députés «verts» en Suède, les étudeseffectuées sur Pierre Elliott Trudeau ou l’adresse de Benoîte Groult est relati-vement rapide… quand on sait où chercher. Trouver dans une centaine derevues ce qu’on a écrit sur votre hobby ne prendra qu’une dizaine de minutes.
Extrait de la publication
Il faut partir du principe qu’il y a toujours quelqu’un, quelque part, quiéprouve le besoin «génétique» de ramasser et de classer des informations.
Peu importe le sujet qui vous intéresse ou la question que vous vousposez, la première étape consiste à trouver les meilleures sources d’informa-tion écrites. Même si des discussions avec des experts peuvent être fruc-tueuses, il est peu recommandé de commencer une recherche en les contac-tant. Il est préférable de lire sur le sujet et d’apprendre un minimum de chosesavant de rencontrer des personnes-ressources. Ainsi, vous en saurez suffisam-ment pour poser les bonnes questions et réaliser une entrevue intéressante.
Ce guide comporte une importante section sur les bibliothèques parcequ’elles constituent la première – et la plus importante – étape de touterecherche. À première vue, les centres documentaires1 peuvent faire peur ;tout y semble solennel, sérieux et compliqué. Mais ce n’est pas le cas, et ceguide vise à le démontrer. Tous utilisent la même méthode pour acquérir, trai-ter et diffuser leurs collections. Le premier chapitre, intitulé «La biblio-thèque», présente l’organisation uniforme de tout centre documentaire. Lanormalisation des méthodes et des procédés facilite grandement le travail durecherchiste. Se familiariser avec le fonctionnement de toute bibliothèquepermettra à quiconque de se débrouiller seul.
Le guide Comment chercher se veut une clé permettant à tous de s’yretrouver. Il explique comment chercher rapidement, économiquement etefficacement une information. Il indique également les voies les plus rapidespour trouver ce que l’on cherche et la meilleure façon d’extraire l’informationà partir de différents outils. Au fil des années, quelques-uns des documentscités dans ce guide auront disparu et de nouveaux titres seront publiés ; tou-tefois, les méthodes pour trouver l’information ne changeront pas. Connaîtreet maîtriser les méthodes de recherche est plus important que se rappeler oùtel livre de référence est rangé. Une fois les ouvrages de base connus et lesrègles élémentaires comprises, vous serez capable d’effectuer vos recherchesseul, et sans problème.
Le chapitre 2 regroupe et décrit toutes les catégories de bibliothèques etde centres qui peuvent être utiles. Les villes de Québec et de Montréal sontbien sûr favorisées, mais ceux qui habitent en région seront surpris, en faisantun inventaire des ressources locales, de constater ce que l’on trouve à proxi-mité, et de découvrir les services que leur offrent les grandes villes, sans avoirà se déplacer.
Les chapitres 3 et 4 analysent les instruments de référence. Nous présen-tons d’abord les outils qui permettent de trouver rapidement une information :dictionnaires, encyclopédies, annuaires, répertoires bibliographiques, etc. ;puis, les outils qui servent à une recherche en profondeur.2
COMMENT CHERCHER
1. Terme générique qui regroupe toutes les appellations d’organismes ou d’établissements qui conserventdes documents pour différentes catégories d’usagers : bibliothèques, centres de documentation,centres d’archives, centres des médias, etc.
Extrait de la publication
Le chapitre 5 propose une source d’information qu’il ne faut pas négliger :les experts. Ces personnes-ressources, qu’on retrouve dans les entreprises, lesgouvernements, les musées, les universités et les médias, sont souvent devéritables mines de renseignements. Le guide indique également comment lesrepérer et les consulter. Une section spéciale sur les affaires fait l’objet duchapitre 6.
Les chapitres 7 et 8 présentent deux catégories de documents qu’on atendance à oublier au cours d’une recherche et qui sont pourtant des sourcesd’information importantes : les documents audiovisuels et les publicationsgouvernementales.
Chercher et trouver soi-même l’information dont on a besoin est-il vrai-ment possible? Certainement, et l’on peut même y prendre plaisir. Nous vouslivrons ici les secrets pour y arriver.
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Introduction
LA BIBLIOTHÈQUE
UN PEU D’HISTOIREAu nord de Londres, dans la bibliothèque de la cathédrale d’Hereford, leslivres n’ont pas bougé depuis le Moyen Âge. Des chaînes les retiennent encoreaux murs. À cette époque, les livres étaient rares. La cathédrale, avec sa cen-taine de livres écrits à la main, disposait d’une des plus grosses collections demanuscrits d’Europe et, comme partout ailleurs, on les attachait.
Jusqu’au milieu du XVe siècle, les copistes transcrivent à la main chaqueexemplaire. C’est alors que l’Allemand Johannes Gutenberg invente le livremoderne. Il utilise des caractères mobiles, comme ceux d’un jeu de scrabble ;sur chacun de ces caractères, une lettre de l’alphabet est gravée. Il suffit d’as-sembler ces lettres pour former les mots dont on a besoin, d’aligner ces motset de mettre en pages les lignes ainsi obtenues.
Les imprimeurs commencent à publier des ouvrages «à succès» : calen-driers, brochures de vulgarisation, livres religieux, etc. La demande croît sanscesse et les imprimeries se multiplient à travers toute l’Europe. Dans les prin-cipales villes universitaires et commerciales naissent de véritables quartiersréservés aux libraires. L’imprimerie favorise aussi la prolifération des biblio-thèques.
Le public, qui puise de plus en plus dans la lecture pour enrichir ses con-naissances, provoque parallèlement la naissance du journal. Des feuilles«volantes» apparaissent peu après l’invention de l’imprimerie. Puis lesgazettes commencent à se répandre, en France, à partir de 1631.
Jusqu’au XVIIIe siècle, la couverture des livres ne comporte aucune men-tion d’auteur ou de titre ; son cuir est seulement orné d’un nombre plus oumoins grand de dorures. Mais, dès la Révolution française, le cuir devenant
1
Extrait de la publication
cher, les couvertures sont souvent faites en simple papier et des étiquettescollées à l’endos du livre indiquent le nom de l’auteur et le titre.
Avec l’introduction de la machine à vapeur, au XIXe siècle, le monde dulivre connaît une nouvelle révolution. Une force mécanique remplace les brashumains pour actionner la presse. L’école primaire s’ouvre à tous ; la majoritédes citoyens sait maintenant lire et écrire. Avec l’arrivée de l’électricité, laproduction de livres explose. De 1437 à 1900, on a publié environ 10 millionsde livres dans le monde. Puis le mouvement s’accélère avec l’arrivée de nou-veaux supports documentaires, produits de l’explosion technologique :disques, films, émissions de radio et de télévision, cassettes, disquettes, logi-ciels, fichiers lisibles par ordinateur, etc.
Au Moyen Âge, les responsables des bibliothèques n’avaient pas de grandsproblèmes de classement. Quand les livres n’étaient pas enchaînés, on les ran-geait dans des armoires, en les classant par formats ou autrement. Mais pourle personnel en documentation d’aujourd’hui, suivre toute la productioninternationale et la rendre accessible au public représente une tâche colos-sale ; il y parvient pourtant.
La documentation est devenue sinon une science, du moins un savoir sys-tématiquement construit et organisé, avec sa technologie et son vocabulaire.Faut-il, pour autant, laisser la recherche documentaire aux spécialistes? Est-ildevenu nécessaire d’embaucher un consultant pour la moindre recherche unpeu complexe? Absolument pas.
SON MODE D’EMPLOIIl y a 3000 bibliothèques publiques au Canada. Gratuites et ouvertes aupublic, on y investit des millions de dollars qui, tout compte fait, ne profitentqu’à peu de personnes. Certaines bibliothèques de cégeps ou d’universitésadmettent également le grand public moyennant quelques dizaines de dollarspar année.
Votre carte d’abonnement en poche, vous pouvez emprunter tous lesdocuments, ou presque, d’une bibliothèque sauf ceux dits de référence qui nesortent jamais et dont, justement, il sera question souvent dans ce livre. Danstoutes les bibliothèques, qu’on en soit membre ou non, on peut toujoursconsulter, sans problème, des documents de référence.
Qu’il s’agisse d’une petite collection de documents portant sur un sujetprécis et regroupés dans une seule pièce ou d’une collection universitairecomptant plusieurs millions de documents, les bibliothèques, avec les ordi-nateurs qui, de plus en plus, les relient entre elles, sont les maillons d’unesolide chaîne d’information. C’est pourquoi on peut trouver aujourd’hui uneaiguille dans une meule de foin.
Le personnel spécialisé en documentation (bibliothécaire, technicien en docu-mentation, spécialiste en moyens d’enseignement, archiviste, documentaliste, etc.)
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COMMENT CHERCHER
Extrait de la publication
Claude Marcil
Commentchercher
LES SECRETS DE LA RECHERCHE
D’INFORMATIONÀ L’HEURE D’INTERNET
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ISBN 2-921146-99-1
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L’information dont on dispose actuellement est à la fois trop abondante
et trop rare. Internet, bibliothèques publiques et privées, centres de
documentation spécialisés, vidéothèques, audiovidéothèques, CD-ROM,
banques d’information, ouvrages de référence, encyclopédies, dictionnaires et
répertoires sont si nombreux qu’on risque de s’y perdre, voire d’y trouver tout…
sauf ce que l’on cherche!
Cette nouvelle édition de Comment chercher intègre les principaux sites de
référence disponibles sur Internet aux diverses rubriques qui ont fait de la pre-
mière édition, parue en 1992, le guide par excellence de quiconque (étudiant,
recherchiste, documentaliste, journaliste, curieux) a besoin de faire une recherche
un tant soit peu exhaustive.
Comment chercher, un guide indispensable qui met à la portée de tous autant
les principes de base de la recherche que les mille et un petits trucs accumulés
au cours de la longue expérience de l’auteur.
Recherchiste professionnel depuis plus de vingt ans, CLAUDE MARCIL maîtrise à fond l’art
de dénicher la « perle rare », l’information supplémentaire qui apportera un éclairage nouveau
à une question trop souvent considérée comme connue. Dans COMMENT CHERCHER,
il inventorie et évalue pour le lecteur toutes les sources de référence possibles, qu’il s’agisse
d’Internet, de bibliothèques, de musées, de consulats ou d’entreprises, et décrit comment
effectuer une recherche rapide ou en profondeur.
Extrait de la publication