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La clinique de l’Alliance est heureuse de vous remettre ce livret qui est un guide pour toutes les étapes de votre parcours au sein de notre établissement.

Soyez assuré que toutes nos équipes médicales, paramédicales et administratives sont entièrement dédiées à vous donner une complète satisfaction avant, pendant et après votre séjour.

Nous sommes tous à votre disposition pour recueillir vos remarques nous permettant d’améliorer en permanence la qualité de la prise en charge que nous souhaitons vous apporter.

La Direction

SOMMAIRE

La clinique p.3

Votre séjour p.5

L’équipe de soins p.11

La Qualité & les Risques p.20

Les vigilances p.22

Les urgences p.28

Les infos pratiques p.29

Plan de la clinique p.31

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Bienvenue à l’AllianceLe Pôle santé du nord de l'agglomération Tourangelle

La clinique où vous allez être hospitalisé est le seul établ issement médico-chirurgical destiné à répondre aux besoins de la population du Nord de l’agglomération tourangelle et de la moitié nord du département.

En réalité, compte tenu de la diversité et de la qualité de son offre de soins – qui inclut un service d’urgences – sa zone d’influence réelle dépasse ses limites théoriques.

La notoriété des équipes soignantes traverse les frontières administratives !Dès l’ouverture de L’ALLIANCE, en août 2007, ces équipes médicales étaient déjà précédées d’une solide réputation : elles viennent des cliniques Saint-Grégoire et Velpeau.

L’alliance de ces deux groupes de médecins et de chirurgiens a coïncidé avec la volonté des Pouvoirs publics de créer un établissement dans la zone laissée vacante par le départ du CHU du nord de la Loire, et par la montée en puissance du Groupe Saint-Gatien qui a rendu possible la réalisation concrète de cet ambitieux projet.

Membre du Groupe Saint-Gatien, la c l i n i q u e d e L ’ A L L I A N C E e s t u n établissement privé qui remplit une mission de service public grâce à son service des urgences (essentiel pour satisfaire les besoins immédiats de la population) .

La clinique de L’ALLIANCE s’est installée en périphérie de Tours, à Saint-Cyr, sur un terrain de plus de six hectares, proche des grandes voies d’accès (autoroute, périphérique), si importantes pour qui a besoin d’aller au service d’urgences. Le cadre, aussi, a joué un rôle dans ce choix : en bordure d’un ruisseau, à la lisière d’un bois !

LA CLINIQUE

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Jean-Pierre AlfandariFondateur

Vous vous disposez à entrer, ou vous avez été admis(e) en urgence, dans la Clinique de l’Alliance - une clinique du Groupe Saint-Gatien.

Depuis sa création, il y a une trentaine d’années, le Groupe et ses cliniques ont une triple ambition portée sur : le corps m é d i c a l , l e s s a l a r i é s , e t l e sinvestissements.

Ces trois ambitions n’ont qu’un seul but : la prise en charge de votre pathologie, que tous s'emploieront à guérir, à améliorer, ou à stabiliser.

Bien soigner, de façon personnalisée, dans un souci de transparence totale, tel est notre engagement à l’égard de ceux qui nous font l’honneur de nous accorder leur confiance.

Saint-Gatien et l’AllianceDes liens essentielsLa clinique Saint-Gatien et la clinique de L’ALLIANCE ont des liens essentiels : leurs équipes médicales transversales (anesthésie, radiologie, laboratoires) et leurs équipes d’encadrement sont les mêmes ; certaines équipes chirurgicales sont également communes (ex : chirurgie digestive).

Cette « transversalité » permet, de part et d’autre, d’optimiser la prise en charge des patients en offrant des plateaux techniques complets, par exemple plateau cardiologique et ophtalmologique à Saint-Gatien ; exploration urologique et gynécologique à L’ALLIANCE.

Tous les secteurs d’hospitalisation existent à L’ALLIANCE, y compris l’hospitalisation de jour et la prise en charge de l’enfant.

Un établissement de haut niveau pour une qualité maximumL’investissement global (34 millions d’euros en 2007) est à la hauteur des ambitions affichées pour un établissement de haut niveau, d’une capacité de 222 lits et places.

La partie technique a été l’objet de toutes les attentions : les 12 salles du bloc opératoire, avec leurs équipements modernes, la salle de soins post-interventionnels (« salle de réveil ») de 18 postes, avec leurs multiples appareils de surveillance, le service de surveillance continue (14 lits), l’ensemble du matériel d’imagerie médicale de dernière génération (radiologie conventionnelle, échographie, scanner, IRM), sans oublier deux services logistiques importants : la lingerie et la cuisine, entièrement équipées de neuf.

Evidemment, notre clinique dispose de tous les éléments de confort actuels : chambres individuelles ou à deux lits, avec leur système de surveillance et leurs sanitaires, lits électriques, réseau TV, écrans plats, etc. Tout cela pour répondre à ce qui est primordial pour les patients, familles, médecins et personnel de l’établissement : la QUA-LI-TÉ !… La qualité à tous les niveaux !… La qualité attendue par tous ceux qui nous confient leur santé et leur vie.

Le Groupe Saint-Gatien

Le Groupe Saint-Gatien a été fondé en 1974. Il ne comprenait alors qu’un seul

é t a b l i s s e m e n t d e soins : la clinique S a i n t - G a t i e n . S’appuyant sur un actionnariat stable, il a entrepris d’investir à long terme pour le développement du secteur de santé . Cette politique a porté ses fruits.

Le Groupe comprend m a i n t e n a n t c i n q cliniques :

- S a i n t - G a t i e n e t l’Alliance à Tours ;

- Les Fontaines à M e l u n ( S e i n e - e t -Marne) ;

- La Reine Blanche et les Longues Allées à Orléans (Loiret).

Jean Pierre AlfandariFondateur du Groupe Saint-Gatien1934 - 2007

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Les entrées programméesElles ne concernent pas les urgences et constituent la majorité des admissions. Dans ce cas vous entrez sous la responsabilité d'un médecin spécialiste exerçant à la clinique. II est le médecin référent de votre hospitalisation; c'est avec lui que vous avez choisi la date de votre hospitalisation. II vous a indiqué votre durée de séjour, le secteur dans lequel vous serez hospitalisé(e), et a ouvert votre dossier médical.

Votre Consentement éclairé

Au cours de la consultation votre consentement éclairé a été recueilli. Le consentement éclairé est votre accord pour le "projet thérapeutique", choisi après que vous ayez été informé(e) des risques et des bénéfices des techniques possibles.

Parfois, lors de procédures à risque élevé, ou pour s'assurer de votre compréhension, le médecin référent peut vous demander d'informer un proche de votre choix (membre de la famille, médecin traitant, ami...) : c'est la personne de confiance.

Votre médecin traitant, celui que vous avez signalé à votre caisse d'assurance maladie, va recevoir les conclusions de la consultation du spécialiste, bouclant ainsi le parcours de soins.

Ces trois étapes sont vérifiées lors de votre entrée administrative par le personnel du service des admissions. Si la consultation du médecin spécialiste a lieu après votre hospitalisation dans l'établissement, lors d'un transfert par exemple, ces étapes restent valides.

La consultation du spécialiste est obligatoirement suivie d'une consultation pré-anesthésique si une anesthésie est prévue. Au cours de cette consultation, une information vous sera donnée sur le choix de votre anesthésie, éventuellement sur la nécessité d'une transfusion sanguine et la prise en charge de la douleur.

Des recommandations pour l'hospitalisation en secteur ambulatoire, (hospitalisation d'une journée) vous sont remises lors de cette consultation. Lisez-les attentivement.

Mineurs hospitalisés

En cas d'hospitalisation d'un mineur, le consentement des deux parents est indispensable. Les deux signatures sont nécessaires. (apportez livret de famille et carte nationale d'identité).

Si un parent exerce unilatéralement l'autorité parentale, il doit en appor ter la preuve lors de l'admission de l'enfant, avec le livret de famille ou un acte de justice.

A partir de 15 ans, le mineur doit également donner personnellement son consentement au praticien responsable de l'acte.

VOTRE SÉJOUR

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La personne maladeUn acteur de ses soinsLors de la ou les consultations préalables à votre hospitalisation, les informations de votre part concernant votre état de santé sont indispensables à votre guérison.

- vos antécédents médicaux et chirurgicaux ;- votre risque d'être porteur d'un germe (infection récente, plaie cutanée, hospitalisation, antibiothérapie...);- risque de développer une maladie rare : corticothérapie, immunodépression.

PathologiePrincipale & AssociéesAu terme de ces consultations, vous êtes admis dans l'établissement avec un diagnostic d'entrée dépendant de votre pathologie.

A côté de cette pathologie principale vous présentez peut-être des pathologies autres, sans rapport avec le motif de votre hospitalisation, appelées pathologies associées (diabète, goutte, antécédents d'infarctus du myocarde...). Elles pourront venir compléter, modifier, ou rectifier le diagnostic d'entrée.

A votre sortie, l'analyse de votre dossier médical par un médecin codeur permettra d'établir un "Résumé standardisé de sortie". Ces éléments permettront aux services de la clinique d'établir un "Résumé standardisé facturé" pour votre Caisse d'Assurance Maladie.

Votre entrée administrativeUn bureau d'accueil est ouvert de 7h30 à 19h30. C'est là que vous réglerez vos formalités d'entrée et de sortie.

Lors de ce passage à la clinique, vous accomplirez les formalités de pré-admission et réserverez votre chambre. Ces formalités sont indispensables pour la prise en charge de votre séjour à la clinique par l'Assurance Maladie et les assurances complémentaires. La charte de la personne hospitalisée vous est remise avec ses grands principes.

Le texte intégral est consultable sur le site : www.santé.gouv.fr en braille et en plusieurs langues.

Dans tous les cas (entrée programmée ou non) vous devez vous munir des documents suivants:- Carte Vitale et son attestation. ou prise en charge au titre de la CMU.

- Carte d'adhésion ou contrat d'assurance complémentaire (mutuelle), ou attestation de prise en charge.

- Le cas échéant, la preuve de votre appartenance à l'une des situations prévues par la loi : invalide de guerre, accidenté du travail, bénéficiaire de l'aide sociale.

- Carte Santé (pour les personnes bénéficiant de l'aide médicale).

- Carnet de santé, ordonnances des traitements en cours, tous documents ou informations susceptibles d'être demandés par le chirurgien ou l'anesthésiste (analyses, radios...).

Frais à prévoirLe détail des frais d'hospitalisation à prévoir, en fonction de votre régime d'assurance obligatoire et complémentaire, pourra vous être indiqué par les secrétaires du service des admissions.

Effets personnels à prévoirPensez à apporter en priorité : plusieurs pyjamas ou chemises de nuit, un peignoir ou une robe de chambre, plusieurs serviettes de toilette et serviettes de table, un drap de douche, une trousse de toilette, une boîte pour appareil dentaire, des sous-vêtements, des chaussons propres, votre tenue pour la sortie.

Ambulances & VSLLes transports en ambulance peuvent être pris en charge par les caisses d'assurance sur justification médicale. Vous avez le libre choix de la compagnie de transport ambulancier pour votre entrée et votre sortie.

Hospitalisation "sous X "

P o u r d e s r a i s o n s personnelles, vous pouvez choisir d'être hospitalisé(e) sous X, c'est-à-dire de manière anonyme.

Vous devez en faire la demande au personnel des admissions lors de votre entrée.

Le personnel soignant assurera le maintien de votre anonymat par rapport à l 'extérieur.

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Priorité à l'entrantLa plupart des hospitalisations sont prévues plusieurs jours à l'avance : ce sont les entrées programmées. Dans le cadre de sa politique de qualité, la clinique s'engage à donner « priorité à l'entrant ». Ainsi, toute personne qui aura retenu une chambre à l'avance sera assurée d'en disposer à la date indiquée en fonction des disponibilités de la clinique le jour de l’admission, et pour le nombre de jours prescrits par le médecin.

Si l'hospitalisation doit se prolonger, débordant ainsi du " contrat " initial, il se peut qu'un changement de chambre s'impose, afin de respecter le calendrier et la promesse faite à une autre personne.

Toute modification d'une date de sortie entraînera une enquête interne, afin d'en connaître les causes et d'en éviter, autant que possible, le renouvellement.

Personne de confiance

Coffre fort

Préparez votre sortie

Pour ne rien oublier avant votre

départ... •

Restauration : des règles strictes Le comité de liaison Alimentation-Nutrition veille : CLAN

CONSEILS :Consultez le menu qui est à disposition dans votre chambre. Lors de la prise de commande, indiquez à l'aide soignante les changements désirés si un menu ne vous convient pas.

Plateaux repas froids après les interventions chirurgicales : Après une opération ou un examen, l’heure de retour dans la chambre n’est pas toujours prévisible avec précision. C’est pourquoi par mesure d’hygiène, des plateaux froids sont prévus à cet effet. La conservation d’un plat chaud pendant une durée imprécise ne correspondrait pas au respect de la chaîne du froid.

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Votre séjour à la clinique

La chambre particulière

Télévision - Téléphone

Restauration

Une assistante sociale pour vous aider

Une assistante sociale est à votre disposition dans la clinique pour vous aider si vous le souhaitez, pour les questions de prise en charge, d'aide à domicile, ou de recherche d'une place dans un établissement de soins de suite.

N’hésitez pas à demander à la rencontrer en vous adressant à l'infirmière de votre service.

Votre avis, avant de partir

Merci de répondre, avant votre départ, au questionnaire de sortie.

Vos jugements et vos opinions nous sont indispensables pour continuer à améliorer la qualité de l'ensemble de nos services.

Sortie non-autorisée

En cas de sortie non-autorisée, vous devez signer une" fiche de sortie contre avis médical" dégageant l'établissement et le médecin de toute responsabilité.

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Personne accompagnanteSi vous avez choisi de séjourner en chambre particulière, vous pourrez demander la présence d'un accompagnant près de vous, pendant votre séjour.

La demande doit être faite lors de la pré-admission. A l'arrivée de cette personne un "Pack séjour" lui sera vendu à la "Boutique" ; il est composé d'un nécessaire de toilette, des draps et des produits d' accueil.

Pour les personnes ne pouvant bénéficier de cette facilité, une liste d'hôtels proches de la clinique est disponible à l'accueil.

La "Maison des Parents de Clocheville"(structure associative) peut dans la mesure de ses disponibilités héberger les familles de malades hospitalisés, près des halles de Tours. Renseignements au 02 47 60 76 60.

VisitesLes visites sont autorisées dans l’établissement. Nous conseillons à vos proches de venir l’après- midi et en nombre restreint pour faciliter votre rétablissement.

Bijoux, Alliance, Percings : NONAu bloc opératoire, par mesure d'hygiène et de sécurité, les patients ne doivent porter aucun bijou. Les personnes concernées doivent donc les enlever avant leur transfert en salle d'opération.

Fumer : NON

Conformément à la législation, et comme dans tout établissement recevant du public, il est interdit de fumer dans l'enceinte de l'établissement.

Fleurs : NON

Dans un souci d'hygiène, plantes et fleurs sont interdites dans la clinique, la terre et l'eau stagnante pouvant contenir des germes pathogènes.

Appareils dentaires

Signalez aux infirmières que vous portez un appareil dentaire. Vous pouvez acheter une boîte spéciale pour le déposer, afin d'éviter toute perte ou casse.

Culte

La clinique de L'ALLIANCE est un établissement laïc. Elle peut accueillir un représentant de votre culte, si vous le désirez.

Pour les repas, la carte hôtelière présente des plats de substitution si le menu ne vous convient pas.

Journaux

La presse (quotidiens, magazines, revues, mots croisés) est disponible à "La Boutique ".

Le bon usage de la sonnette

La sonnette est un "outil" à n'utiliser qu'à bon escient et seulement en cas de nécessité. Tout abus doit être évité.

Les équipes de soins font en sorte que les malades aient le moins possible de raisonsd'appeler.

Elles essaient de devancer les demandes, en particulier dans le cadre de la lutte contre la douleur en vigueur dans la clinique.

Cependant, ne laissez pas votre douleur s'installer ; signalez-la au personnel.

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Votre dossier médicalLe dossier médical a un seul but, assurer la traçabilité des informations et donc la sécurité du patient grâce au partage de l’information entre tous les membres de l’équipe soignante.

Il se présente comme un registre créé pour chaque hospitalisé. Il est ouvert à l’initiative du médecin référent, responsable de l’hospitalisation, dès sa première consultation.

Toutes les observations des praticiens appelés à participer aux soins y sont consignées, qu’il s’agisse de prescriptions ou d’actes médicaux pratiqués, ainsi que des observations des équipes paramédicales chargées d’appliquer rigoureusement les prescriptions médicales.

Durant votre séjour, votre traitement habituel peut-être modifié pour des raisons circonstanciées, liées à votre pathologie.

Archivage pendant 30 ou 50 ans.

Ce document permet un suivi, afin d’éviter à l’hospitalisé des actes inutiles, redondants ou antagonistes, ou encore des prescriptions inefficaces, voire incompatibles. Certains éléments de ce dossier sont extraits à des fins statistiques après avoir été rendus anonymes par codage. La CNIL veille au respect du secret.

La clinique dispose d’un système informatique destiné à faciliter la gestion des dossiers des patients et à assurer la facturation des actes et, le cas échéant, la télétransmission des feuilles de soins aux caisses de sécurité sociale. Les informations qui vous sont demandées feront l’objet, sauf opposition justifiée de votre part, d’un enregistrement informatique. Vous pouvez accéder aux informations vous concernant, auprès de votre professionnel de santé.

Le dossier médical est archivé par l’établissement pendant la durée légale : 30 ans (ou 50 ans pour les affections héréditaires).

Pour faciliter votre suivi médical, des documents vous sont remis par le personnel soignant ou les secrétariats médicaux à la sortie : compte rendu opératoire, compte rendu radiologique et imagerie, résultats des examens biologiques significatifs, ordonnance et lettre de sortie destinée au médecin traitant, documents transfusionnels s’il y a lieu.

Comment accéder à votre dossier ?

Conformément au décret n° 2002-637 du 29 avril 2002 vous pouvez accéder directement à la totalité de votre dossier médical en envoyant une demande écrite à la direction générale de la clinique.

Cette demande doit être accompagnée d’une photocopie de votre carte d’identité. Pour les ayants droits la demande doit être motivée (connaître la cause du décès, défendre la mémoire du défunt, faire valoir ses propres droits) et accompagnée du certificat d’héridité.

Dans le respect du décret, la demande peut-être faite :

- soit par l’intéressé ou son représentant légal s’il est mineur ou incapable majeur (joindre une copie de la CDI), ou ses ayants droits s’il est décédé ;

- s o i t p a r l e m é d e c i n q u i p r e s c r i t l’hospitalisation, sous réserve de l’accord de l’intéressé ou l’accord de ses ayants droits.

La communicat ion des in format ions s’effectue, soit par consultation sur place avec copie du document si besoin, soit par l’envoi de ces documents, si possible en AR aux frais du demandeur.

Les frais de délivrance de ces documents sont à la charge du demandeur dans les conditions fixées par l’article L-1111-7 du code de la santé publique.

Votre médecin de famille : un interlocuteur privilégié :

Les membres de l’équipe médico-chirurgicale de L’Alliance ont une volonté forte d’information et de concertation systématique avec votre médecin de famille.

Celui-ci est considéré comme un chef d’orchestre par les praticiens de la clinique. Il a votre confiance. Il connaît vos antécédents personnels et familiaux, il est souvent votre intermédiaire concernant vos desiderata (choix des spécialistes,conditions d’hébergement, etc.). Il peut participer à “l’indication chirurgicale”, en mesurant le rapport risque/bénéfice des interventions pour votre cas personnel.

Votre médecin de famille assurera la continuité des soins après votre sortie. C’est pourquoi les médecins de la clinique tiennent à l’informer de leurs actes et décisions thérapeutiques. Il recevra un compte rendu d’hospitalisation rédigé par votre médecin référent après votre départ de la clinique.

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L’équipe soignanteLa directrice des soins dirige l’ensemble de l’équipe paramédicale (environ 200 personnes). Elle exige de chaque membre de son équipe : empathie et écoute vis-à-vis des malades, rigueur, respect des règles d’hygiène et des procédures.

Un(e) infirmièr(e) référent(e) "Qualité des soins" coordonne les soins dans chaque service, est responsable du fonctionnement de son service, et veille à l’application des procédures.

Les infirmières dispensent les soins en respectant les prescriptions médicales. Elles informent le médecin de l’évolution de votre état de santé et de l’efficacité des traitements ; elles lui communiquent toutes les informations lui permettant de prendre des décisions thérapeutiques. Elles participent à vos soins de nursing et d’hygiène. Elles vous informent des soins pratiqués. Elles sont un trait d’union entre les malades, les médecins et les familles (notamment pour préparer le retour à domicile).

Les aides soignantes assistent les infirmières, assurent l’hygiène de votre personne et de votre chambre, et veillent à votre confort.

L e s e m p l o y é s d e s e r v i c e hospitalier assurent l’entretien de votre chambre et participent au service des repas avec les aides soignantes.

L’infirmière "chef de bloc opératoire" assume la responsabilité de l’organisation des soins dans les douze salles d’opérations.

Les brancardiers effectuent tous les transferts des patients dans la clinique, en particulier pour aller et revenir du bloc opératoire.

Les autres intervenantsLes kinésithérapeutes assurent les soins sur prescription médicale :rééducation respiratoire, rééducation orthopédique, aide à l’autonomie, etc.

L'assistante sociale est présente pour rencontrer les personnes malades et leurs familles, afin de préparer leur sortie et de les aider pour toutes les démarches administratives.

La psychologue participe à la prise en charge des patients présentant une pathologie cancéreuse. Son intervention se situe dans l’écoute et l’accompagnement dans le processus de la maladie, auprès de la personne malade et de son entourage.

La socio-esthéticienne apporte aux patients atteints de pathologie cancéreuse qui le souhaitent une autre approche du soin par le massage et le soin esthétique.

Les services logistiques regroupent l'ensemble des cadres et personnels des s e r v i c e s a d m i n i s t r a t i f s ( a c c u e i l , facturation, comptabilité), des services logist iques (restauration, l ingerie, entretien), de la pharmacie, du service qualité-communication.

Le Médecin (chirurgien ou spécialiste)responsable de votre hospitalisation et de votre doss ier médical , sera votre interlocuteur privilégié. C'est lui qui décidera des soins à vous prodiguer et de la durée de votre séjour. Il vous donnera toutes les informations sur votre état de santé ou sur les traitements. Eventuellement, il pourra également informer votre famille, dans le respect des règles du secret médical.

A votre écoute en permanence

T o u s l e s m e m b r e s d e l'équipe para-médicale sans exception, sont à votre écoute en permanence.

I ls veil lent à votre bien-être tout en assurant l e u r s a u t r e s missions.

En particulier, tous sauront agir ou faire i n t e r v e n i r l a p e r s o n n e l a plus compétente en cas d'urgence.

L’ÉQUIPE DE SOINS

Durant votre séjour à L'ALLIANCE, vous allez rencontrer différents personnels de santé, ainsi que des membres des services généraux.

Tous sont là pour vous soigner et veiller à votre bien-être, d'une manière ou d'une autre. Tous sont identifiables par des badges de couleurs différentes : bleu pour les médecins, jaune pour les kinésithérapeutes et l'assistante sociale, vert pour les services logistiques, marron pour les services administratifs.

Pour des raisons d’hygiène, les infirmières et aides soignantes ne portent pas de badge. Leur nom est inscrit directement sur leurs tenues (galon bleu pour les infirmières, galon vert pour les employés de service hospitalier, rose pour les aides soignantes.).

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Cancer...Comment l’annoncer ?A la demande des associations de malades, le « Plan Cancer » a prévu un « dispositif d’annonce » de la maladie. Ses directives sont appliquées à L’ALLIANCE. Sachant que le traumatisme d’une annonce brutale et maladroite peut avoir des répercussions sur la suite de la maladie, il s’agit de les éviter.Quatre étapes sont prévues :

1 - L’annonce du diagnostic du cancer est faite par le médecin ou le chirurgien, lors d’une ou plusieurs consultations. Ce premier temps sera suivi d’une réunion pluridisciplinaire qui décidera de la stratégie thérapeutique à proposer au patient sous forme d’un « contrat personnalisé de soins ».

2 - Un « temps d’accompagnement soignant » Une infirmière est dédiée au diagnostic d’annonce : tel : 02 47 42 98 75Il s’agit de donner au patient ou à ses proches la possibilité de rencontrer des soignants (autres que les médecins) qui reformuleront les informations antérieures, a p p o r t e r o n t d e s i n f o r m a t i o n scomplémentaires, feront visiter le service… Du stress en moins en perspective !

3 - Faire rencontrer l’équipe impliquée dans les« soins de support » (psychologue, socio-esthéticienne, assistante sociale, etc.).

4 - Créer la liaison avec le médecin de famil le ; e l le est nécessai re à la coordination des soins.

Des associations très présentes:

Pour aider les malades qui le souhaitent, des associations sont très présentes dans l’établissement :

- Ligue Nationale Contre le Cancer (via la socio-esthéticienne) tel : 02 47 39 20 20

- J A L M A L V ( J u s q u ’ à l a m o r t , accompagner la vie) tel : 02 47 39 64 30

-Vivre comme Avant (association de femmes opérées du sein) tel : 02 47 52 64 54 ou 02 47 28 14 09

- ONCO 37 tel : 02 47 75 04 38

Le pôle de cancérologie

PluridisciplinaritéContre le cancer, la notion d’équipe pluridisciplinaire est primordiale. Les décisions thérapeutiques sont prises collégialement entre les différents praticiens concernés (médecins, chirurgiens, radiothérapeutes), y compris jusqu’à l’échelon départemental, dans le cadre du réseau ONCO 37, où chaque cas est discuté.La prise en charge englobe les diverses étapes de la maladie : diagnostic, puis selon les cas : chirurgie, chimiothérapie, bilans d’évolution etc...Après avoir été éventuellement opérés par nos équipes chirurgicales, les patients qui ont besoin d’une chimiothérapie sont pris en charge, le plus souvent, en hospitalisation de jour, dans le service de soins ambulatoires où des lits sont spécialement adaptés à ce type de thérapeutique. Lorsque de nouvelles explorations doivent être effectuées, ou lorsque des mises au point de traitement sont nécessaires, c’est dans le service de médecine interne que reviennent les personnes concernées.

Soigner “autrement”La prise en charge des malades va au-delà de l’aspect purement médical. Une psychologue, une socio-esthéticienne, une réflexologue, une assistante sociale sont présentes dans l’établissement pour « soigner autrement » et trouver des solutions à des questions affectives ou matérielles (soins de suite, organisation du retour à domicile). Elles restent en liaison étroite avec les soignants pour faire le point régulièrement sur le cas de chaque personne.Pour cette équipe, il ne s’agit pas de se préoccuper uniquement du malade, mais aussi, parfois, d’étendre cette prise en charge à ses proches. « Les gens ne mesurent pas toujours l’intérêt qu’ils auraient à parler à un psychologue » constate la psychologue du service. Face au risque de syndrome dépressif, elle insiste sur l’importance de la durée de cette prise en charge : « Cela doit aller de l’annonce de la maladie jusqu’à la rémission, ou même à l’après-rémission. Sinon, on constate souvent que des personnes « tiennent » pendant leurs traitements, période où elles sont entourées et prises en charge, puis qu’elles lâchent prise lorsqu’elles se retrouvent seules ». Les soins de support (psychologue, socio-esthéticienne, réflexologue et assistante sociale) sont partie intégrante de l’hospitalisation.

Les promoteurs de L’ALLIANCE ont voulu que cet établissement réponde d’emblée aux directives du « Plan Cancer » national.

Prévenir la douleur

Pour toutes interventions susceptibles d’être douloureuses dans la période postopératoire, une prise en charge préventive systématique peut être appliquée.Un cathéter est mis en place au bloc opératoire. Après l’intervention, ce cathéter, relié à une pompe électrique, permettra – en cas de besoin – de recevoir des produits anti-douleur pendant deux ou trois jours, en fonction des besoins exprimés par le patient. Un « plus » dans la rééducation précoce en chirurgie articulaire !

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La médecine polyvalentePar sa polyvalence, le service de médecine interne est un élément clef de la clinique de L’ALLIANCE. Il accueille des patients présentant des pathologies très diverses : cancers, infections, insuffisances cardiaques, diabète, problèmes rhumatologiques, pulmonaires, etc.

Une partie de ces patients est adressée au service par le médecin traitant ; d’autres sont transférés depuis un service chirurgical ; beaucoup viennent des urgences de la clinique, témoignant ainsi de la coordination de ces deux services.Le service de médecine polyvalente est dirigé par un médecin interniste. D’une capacité de 32 lits, dont trois lits de soins palliatifs, il est situé au premier étage, juste à côté du service de surveillance continue (14 lits). Cette proximité, qui permet des transferts rapides de l’un à l’autre, est une sécurité supplémentaire.

La présence, sur place, de tous les moyens de diagnostic, en particulier en matière d’imagerie médicale, ainsi que du laboratoire d’analyses, sont des atouts précieux pour la rapidité et l’efficacité de la prise en charge.

Environ un quart de l’activité de ce service concerne la cancérologie, depuis le diagnostic jusqu’au suivi après rémission, en passant par le choix des thérapeutiques, l’adaptation des traitements, la chimiothérapie…

Les soins palliatifsLes trois lits de soins palliatifs de la clinique sont dédiés à des patients atteints de pathologie cancéreuse.

Le responsable de l’unité tient à souligner que l’hospitalisation en soins palliatifs ne signifie pas systématiquement présence au long cours, jusqu’en fin de vie. C’est parfois, seulement, un passage provisoire : « Il arrive que nous recevions dans cette section des personnes qui repartent chez elles, après rééquilibrage de leur traitement, et après que nous ayons trouvé des aides pour les prendre en charge. C’est pour cela qu’une infirmière coordinatrice de l’hospitalisation à domicile passe toutes les semaines dans nos murs ».

La prise en charge des patients se fait en collaboration avec l’équipe départementale d’appui en soins palliatifs. Toutes les deux semaines, cette équipe vient rencontrer : les médecins du service, des infirmières, des kinésithérapeutes, la psychologue, ainsi que des bénévoles de JALMALV (qui, eux aussi, vont s’entretenir régulièrement avec les malades). Ces réunions débouchent sur l’adaptation du traitement et sur des conseils pour la prise en charge de la douleur (physique et morale) – sans oublier celle de la famille.

Chirurgie urologiqueLa réputation de l’équipe de chirurgie urologique de L’ALLIANCE est forte. Les praticiens en charge de cette spécialité couvrent tout l’éventail des interventions sur l’appareil urinaire et génital, à la fois chez l’homme et chez la femme. Issus de la clinique Saint-Grégoire, ils ont figuré à plusieurs reprises aux premières places de classements nationaux établis par la presse, à la fois pour le volume de leur activité et les résultats obtenus. Le traitement des cancers urologiques est l’un des axes forts de ces chirurgiens, membres de « ONCO 37 ».

Priorité aux interventions mini-invasives

Sur le plan de la technique chirurgicale, l’équipe de l’Alliance est depuis le début des années 2000 l’un des pôles d’excellence et de formation, en France pour la prostatectomie pour cancer par coelioscopie. Systématiquement employée ici, la coelioscopie consiste à enlever la prostate, non par une opération classique “à ciel ouvert” mais par une intervention mini-invasive, avec des instruments opératoires introduits dans l’abdomen par des mini-incisions. Le but de cette technique est de non seulement réduire les durées d’hospitalisation, mais aussi de diminuer les risques ultérieurs d’incontinence ou de troubles de l’érection.

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Les six lits de soins palliatifs de la clinique sont dédiés à des patients atteints de pathologie cancéreuse.

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La coelioscopie est également de plus en plus utilisée dans les cas de cancers de la vessie et du rein. L’hypertrophie bénigne de la prostate est traitée par résection endoscopique : un appareil introduit par les voies naturelles découpe la partie hypertrophiée de la prostate en copeaux. Pour cette intervention, le laser remplace de plus en plus souvent le bistouri électrique. Le laser vaporise les tissus et les vaisseaux sanguins sans provoquer de saignements, ce qui le rend incontournable pour les patients sous anticoagulants. Tous les problèmes d’incontinence urinaire chez la femme et de prolapsus (descente d’organes)sont pris en charge, depuis l’exploration urodynamique jusqu’au traitement, parfois en liaison avec les gynécologues. Là aussi, le recours aux techniques mini-invasives est sans cesse croissant (par l’association, selon les cas de l’utilisation de bandelettes, de traitements par coelioscopie et de neuromodulation).

Explorations fonctionnelles & soins en environnement hospitalierCette unité d’urologie permet d’effectuer, dans des conditions d’asepsie optimale, des gestes courants de diagnostic ou thérapeutique :

- Diagnostic du cancer de la prostate par prélèvement biopsique sous contrôle échographique et anesthésie locale ;

- Surveillance endoscopique des tumeurs de vessie ou leur traitement par chimiothérapie endo-vésicale ;

- Les explorations urodynamiques permettent une étude des troubles de la miction chez la femme et parfois chez l’homme.

Elles sont systématiques dans les incontinences, pour faire la part entre les fuites urinaires d’effort et celles par hyper-activité pouvant être traitées par neuromodulation.L’accent est mis sur la prévention de la douleur par l’utilisation d’anesthésiques locaux (en gel ou injectés), l’accueil personnalisé, la remise de fiches d’information.Le retour à domicile est possible le jour même, dans la suite immédiate des gestes réalisés.

Stimulation électrique (neuromodulation) contre l’incontinenceFace à certains cas d’hyperactivité de la vessie (contractions non maîtrisées) à l’origine d’incontinence et de mictions fréquentes, les chirurgiens de L’ALLIANCE recourent parfois à la neuromodulation. Après un test d’efficacité réversible, un appareil à pile, implanté sous la paroi abdominale, agit sur les nerfs de la vessie (un peu à la manière d’un pacemaker), afin d’empêcher les contractions intempestives, sources de fuites urinaires.

Cette technique est proposée dans le cadre de l’hyperactivité de la vessie isolée ou dans le cadre de maladies neurologiques (sclérose en plaques surtout).

Ondes de choc contre calculsLe traitement des lithiases (calculs dans les reins ou les voies urinaires) est de plus en plus fréquent depuis l’ouverture d’un service d’urgences au sein de la clinique, souvent consulté pour coliques néphrétiques. L’élimination de ces calculs est réalisée, selon la position du calcul, par lithotritie extracorporelle ou endoscopie par les voies naturelles.

Une large part de l’activité des chirurgiens de cette spécialité est consacrée à la chirurgie cancérologique du sein, de l’utérus et de l’ovaire. La prise en charge des patientes atteintes d’un cancer est globale : les chirurgiens travaillent en étroite collaboration avec les radiologues, les chimiothérapeutes, radiothérapeutes, anatomopathologistes. Certaines interventions sur le sein peuvent également nécessiter le recours à un chirurgien plasticien, notamment en vue d’une éventuelle reconstruction mammaire.

De nouvelles techniques opératoiresComme pour la chirurgie digestive, de nombreuses interventions gynécologiques sont réalisées par endoscopie :

- soit par cœlioscopie (chirurgie pelvienne ovarienne, tubaire, bilan de stérilité). Les instruments opératoires sont alors introduits dans la cavité pelvienne par des incisions minimes permettant des durées d’hospitalisation plus courtes ;

- soit par les voies naturelles comme l’hystéroscopie (visualisation de l’intérieur de l’utérus) à visée diagnostique (bilans de stérilité, de saignements, diagnostic de cancer utérin) ou à visée opératoire (résection de polypes, fibromes).

Cependant, la chirurgie conventionnelle par laparotomie (incision de la paroi abdominale) reste d’actualité pour l’ablation des tumeurs volumineuses, les pathologies utérines ou ovariennes compliquées ou cancéreuses.

De telles interventions nécessitent des hospitalisations de six ou sept jours. Il en est de même pour l’ablation d’un sein. Certains actes chirurgicaux, à l’opposé, peuvent être effectués dans le cadre des soins ambulatoires (sans hospitalisation).

C’est le cas, par exemple, de la toute nouvelle technique de stérilisation tubaire, indolore et très rapide, par les voies naturelles, avec mise en place d’un implant qui obture définitivement les trompes.

Avec des durées d’hospitalisation intermédiaires, d’autres interventions sont pratiquées, comme la chirurgie du prolapsus (descente d’organes), ou le traitement de l’incontinence urinaire par les voies naturelles (avec bandelettes de prothèse) dont les résultats sont immédiats et efficaces.

Pour cette dernière technique, les chirurgiens gynécologues et urologues de L’ALLIANCE ont figuré, à plusieurs reprises, dans les toutes premières places de classements nationaux établis par la presse hebdomadaire...

Chirurgie gynécologique & sénologique

Cancer du sein

La prise en charge du cancer du sein est l’une des spécialités de l’équipe de chirurgie sénologique de L’ALLIANCE. Son importante activité dans ce domaine (environ 200 interventions par an) est liée à sa renommée. La mise en place de techniques de pointe, comme la recherche du « gangl ion sentinelle » (le premier relais ganglionnaire) par méthode isotopique et colorimétrique, d iminue les e f fe ts indés i rab les du prélèvement des ganglions du creux de l’aisselle.

Tout l’éventail des interventions de chirurgie gynécologique et sénologique (concernant le sein) est pratiqué à la clinique de L’ALLIANCE.

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Chirurgie maxillo-faciale

Reconstruction de la bouche & urgence

Les soins ambulatoires L’essor des soins ambulatoires (avec sortie le soir même d’une intervention) s’est considérablement accéléré depuis le début des années 2000. Il est le résultat des progrès réalisés dans le domaine chirurgical et en anesthésie : les actes opératoires mini-invasifs sont privilégiés le plus souvent possible ; parallèlement, le recours aux anesthésies générales diminue, au profit des anesthésies locorégionales. Les avantages sont multiples. La diminution du risque d’infection nosocomiale (contractée pendant une hospitalisation) est évidente. Désormais, certains types d’interventions sont presque tous réalisés dans le cadre des soins ambulatoires.

Des consignes à respecterDes consignes à respecterDes consignes à respecterDes consignes à respecter

Pour votre sécurité, vous devez :

• Avoir un téléphone à domicile, • Etre accompagné pour votre sortie, et en permanence

pendant la nuit suivant l’intervention, • Ne pas sortir de chez vous, ni conduire jusqu’au

lendemain de l’intervention.

Le matin de l’intervention, vous devez :

• Etre à jeun : n’avoir ni bu, ni mangé, ni fumé depuis minuit la veille de l’intervention.

• Ne porter ni bijoux, ni maquillage, ni vernis à ongle sur le mains et sur les pieds.

Avant votre sortie, vous devez :

• Avoir reçu du médecin ou de son secrétariat médical les certificats, les ordonnances et la date de votre prochain rendez-vous postopératoire.

• Avoir reçu de l’infirmière du service une fiche de sortie avec les coordonnées des praticiens à joindre en urgence.

• Anticiper l’organisation de votre surveillance du lendemain, selon les recommandations de votre praticien et des équipes d’anesthésie-réanimation.

Votre accompagnant : un rôle majeurPour bénéficier des avantages apportés par la brièveté du séjour en soins ambulatoires, chaque patient doit répondre à une exigence essentielle : être accompagné !

En effet, aucune sortie ne sera permise le soir d’une telle intervention si un accompagnant n’est pas présent auprès du patient, non seulement pendant le trajet du retour à domicile, mais aussi en permanence pendant toute la nuit suivante. Cette rigueur est essentielle pour votre sécurité.

Pour préparer votre sortie, votre accompagnant doit se présenter dans le service ambulatoire. Les modalités de sortie lui seront alors expliquées. En fonction de votre mobilité, il aura la possibilité, sur demande, de rentrer son véhicule dans l’enceinte de l’établissement pour venir vous chercher.

Pour votre confort :

• Vous devez être joignable la veille de votre hospitalisation, ou donner aux admissions votre numéro de téléphone portable. En effet, en cas d’éventuel changement de l’horaire de votre passage au bloc opératoire, la clinique pourrait être amenée à vous appeler, afin de vous éviter un temps d’attente imprévu.

• Vous pouvez prévoir un livre ou une revue pour occuper le temps.

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La hancheLa pose de prothèses totales de hanche est devenue de pratique courante en moins de vingt ans (à L’ALLIANCE, on en pose environ 300 par an). Avec des progrès continuels dans les techniques et dans les matériaux.« On peut maintenant considérer que les fabricants de prothèses s’approchent de l’implant idéal qui ne s’use pratiquement pas » affirme l’un des orthopédistes de la clinique. Parallèlement, les techniques de pose se sont améliorées. Les chirurgiens pratiquent aujourd’hui une chirurgie de moins en moins « invasive », avec des plaies opératoires plus réduites et, dans certains cas, une assistance informatique pour aider le chirurgien dans sa quête de précision maximum du geste… Tout cela pour permettre au patient de se lever dans les 48 heures, quitter la clinique en quelques jours, et abandonner très vite ses béquilles.A L’ALLIANCE, comme partout en France, on remarque que l’on pose des prothèses de hanche chez des personnes de moins en moins âgées. La raison ? Chacun a compris qu’il est inutile de souffrir pendant des années avant de décider de se faire opérer, alors qu’il s’agit maintenant d’un acte parfaitement maîtrisé.

Le genouNotre clinique a été choisie par le premier fabricant mondial de prothèses de genou pour devenir l’un des trois centres français de référence et de formation pour la pose de son type de prothèses. Grâce à une instrumentation de pose nouvelle, expérimentée en avant-première par l’équipe de la L’ALLIANCE, il est possible d’implanter ces prothèses en diminuant de moitié la plaie opératoire. Les structures anatomiques étant moins abîmées, la récupération est plus rapide. Notre équipe orthopédique pose environ 200 prothèses de genou par an. Par ailleurs, elle réalise de nombreuses « ligamentoplasties » du genou sous endoscopie (souvent après des accidents de football ou de ski).

Le piedLes interventions chirurgicales sur le pied ne concernent pas seulement les personnes âgées. Elles s’imposent à tout âge, même à l’adolescence, dès qu’un pied devient douloureux. Les interventions les plus courantes concernent le gros orteil lorsqu’il se dévie (hallux valgus ou « oignon ») vers les autres orteils, jusqu’à les repousser et les déformer « en griffes » ou « en marteau ».Les spécialistes recommandent d’envisager les ostéotomies des orteils dès que les douleurs persistantes s’installent. Autrefois réputées douloureuses, les suites opératoires de la chirurgie du pied ont été transformées par le développement des techniques d’analgésie locorégionale continue.

L’épauleIl suffit de faire des moulinets avec son bras pour réaliser que l’épaule est une articulation qui doit pouvoir bouger « tous azimuts ». On peut facilement imaginer sa complexité anatomique et la difficulté d’y intervenir chirurgicalement.Les chirurgiens reconnaissent que cette articulation est plus « exigeante » à explorer que la hanche, compte tenu de l’exiguïté de l’espace, que ce soit pour remédier à l’usure des tendons, poser une prothèse, reconstruire une articulation qui se déboîte…Les spécialistes de l’épaule de notre établissement ont figuré à

plusieurs reprises aux premières places de classements nationaux établis par la Presse, à la fois pour le volume de leur activité et les résultats obtenus. Au fil des années, les prothèses de l’épaule ont été considérablement améliorées par les fabricants, et peuvent, aujourd’hui, être adaptées à l’anatomie de chaque patient, en prenant en compte le calibre de l’humérus, en jouant sur l’angle de coupe, etc… Malgré les difficultés liées à l’étroitesse de la cavité articulaire, la chirurgie des tendons sous endoscopie (avec des instruments introduits par des mini-incisions) s’est développée à partir des années 1990. Elle est maintenant couramment pratiquée à L’ALLIANCE, avec l’avantage de suites opératoires plus simples et une sortie de clinique le plus souvent le lendemain de l’intervention.

La mainLa chirurgie de la main est l’un des atouts du rayonnement de la clinique au niveau régional. Les interventions les plus fréquentes concernent le « canal carpien » et le « tunnel cubital » (à l’origine de très douloureux fourmillements nocturnes dans les doigts). S’y ajoutent les interventions pour remédier à l’arthrose ou à la polyarthrite rhumatoïde (qui peut justifier la pose de prothèses depuis le poignet jusqu’au bout des doigts).Familiers de la chirurgie nerveuse périphérique, habitués à suturer des nerfs de moins d’un millimètre de diamètre et des artères d’un demi-millimètre, les spécialistes sont de plus en plus sollicités pour les plaies de la main. L’instrumentation à leur disposition leur permet d’intervenir pour des cas inenvisageables il y a quelques années.

Chirurgie ORLL’ORL comprend trois pôles : Otologie (oreille), Rhinologie (nez et sinus), Laryngologie (gorge et larynx). Cet ensemble est pris en charge par les spécialistes de la clinique, à la fois pour les adultes et pour les enfants.

L’ORL pédiatrique courante (végétations, amygdales, mise en place de « diabolos ») représente une part importante de l’activité générale. Elle est réalisée en soins ambulatoires. Pendant les heures de leur présence dans la clinique, les enfants bénéficient d’une prise en charge personnalisée.

Les autres interventions ORL nécessitent généralement deux ou trois jours d’hospitalisation. Les plus fréquentes concernent les otites chroniques (avec greffes de tympan, réalisées sous microscope), les déviations de cloisons nasales, la chirurgie des sinus (avec utilisation d’optique grossissante, et sous moniteur télé), les curages ganglionnaires et la chirurgie des kystes au niveau du cou, etc.

Les interventions les plus lourdes concernent la cancérologie des voies aéro-digestives supérieures (larynx, bouche, langue…). Comme pour tous les cas de cancers, cette chirurgie n’est entreprise qu’après concertation avec les chimiothérapeutes et radiothérapeutes (lire page 12).

Par ailleurs, les spécialistes ORL de notre clinique réalisent toutes les explorations endoscopiques modernes du pharyngo-larynx sous anesthésie générale (recherche de tumeurs, laryngite chronique, examen des cordes vocales, laryngoscopie en suspension, etc...).

L’orthopédieL’ensemble de la chirurgie orthopédique est pratiqué à L’ALLIANCE. Les praticiens de cette spécialité se sont organisés pour intervenir, chacun, dans des domaines bien précis, de manière à offrir une compétence maximum dans leur secteur propre.En dehors de leurs interventions « programmées », ils participent à l’accueil des urgences traumatologiques, en liaison avec le service d’urgences de la clinique.

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Les pathologies les plus souvent prises en charge à la clinique sont les hernies discales lombaires, thoraciques ou cervicales, les canaux médullaires étroits, les lésions tumorales bénignes ou malignes des vertèbres, les déformations rachidiennes (scolioses, instabilités rachidiennes), mais aussi les tumeurs de la moelle épinière et des méninges qui l’enveloppent.

Au-delà de la compétence humaine indispensable, leur traitement nécessite un équipement de haute technologie : laser, microscope opératoire, chirurgie radio-guidée, implants de dernière génération.

Hernies discalesPrenons l’exemple du traitement de la hernie discale lombaire rebelle au traitement médical. Le neurochirurgien dispose de deux techniques d’ablation de la hernie. Le choix se fera en fonction des signes que présente

le patient, de l’anatomie de la hernie, de l’épaisseur du disque et de la taille du canal médullaire.

- La nucléolyse par laser permet la réduction du volume de la hernie discale et la décompression du nerf sciatique lésé grâce à une fibre laser de 2 mm de diamètre introduite dans le disque par l’intermédiaire d’une aiguille creuse dont on suit la progression sous radioscopie. Cette intervention, d’une durée d’une demi heure, qui ne nécessite aucune incision, est réalisée sous anesthésie locale et sédation légère autorisant une hospitalisation courte (24 à 48 h ).

- La microchirurgie est indiquée lorsque la nucléolyse au laser n’est p a s p o s s i b l e . C e t t e t e c h n i q u e p e r m e t l ’ a b l a t i o n , s o u s anesthésie générale, de la hernie discale sous m i c r o s c o p e , e n pratiquant une courte incision cutanée de 3 à 4 cm. Les muscles sont ainsi mieux respectés, et

les douleurs post-opératoires moins marquées . La durée d’hospitalisation s’en trouve réduite : 48 h en moyenne.

- Pour les pathologies plus lourdes nécessitant de bloquer des vertèbres (arthrodèses) par la pose de vis, de greffes et de t i g e s , l a r e c h e r c h e d e l a technique mini-invasive est une préoccupation constante. Le neurochirurgien participe de ce fa i t à l ’amél iorat ion et au développement de nouvelles t e c h n i q u e s c h i r u r g i c a l e s répondant à ce cahier des charges. La mise à disposition des prothèses discales lombaires permettra d’éviter dans certains cas l’arthrodèse.

Stimulation médullaire électrique contre douleurs rebelles

Grâce à un réseau associant le neurochirurgien de la clinique à plusieurs centres d’évaluation et de pr ise en charge de la douleur chronique, le traitement de certaines douleurs rebelles pourra relever de la stimulation médullaire. Il repose sur une sélection rigoureuse des malades en fonction du type, de l’origine de la douleur et du profil psychologique.Le geste consiste à introduire sous a n e s t h é s i e l o c a l e , v o i r e s o u s anesthésie générale, et sous contrôle radioscopique, une électrode qui sera posée au contact de la moelle épinière. Elle sera reliée à un générateur externe. En fonction du niveau de la moelle stimulé, le malade percevra, dans le t e r r i t o i r e d o u l o u r e u x , d e s fourmillements (paresthésies) qui remplaceront la sensation de douleur. Au terme d’une dizaine de jours de test, le patient jugera de l’efficacité ou non de la méthode. En cas de diminution ou de disparition des douleurs, on reliera dans un second temps, et sous anesthésie générale, l’électrode à une pile qui sera implantée sous la peau, à côté de l’ombilic.Le patient pourra, à l’aide d’une télécommande, démarrer, arrêter et contrôler l’intensité de sa stimulation. Le chirurgien de son côté aura la possibilité de changer à tout moment les paramètres grâce à un ordinateur et une commande magnétique, à la demande du patient.

Neurochirurgie-Chirurgie du DosLa chirurgie de la colonne vertébrale, de la douleur ainsi que de la spasticité (contractures douloureuses des membres) est assurée par le neurochirurgien de L’ALLIANCE. Celui-ci exerce également la chirurgie cérébrale de l’enfant au CHU, en tant que praticien hospitalier attaché.

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Chirurgie du visageL’activité reconstructrice vise à corriger les séquelles d’accidents et surtout les conséquences de cancers (nécessitant des exérèses puis des reconstructions).

L’activité esthétique concerne particulièrement les opérations sur le nez, les paupières, et l’ensemble des interventions de rajeunissement (lifting chirurgical)…

Chirurgie des seinsLa reconstruction d’un sein (après ablation pour cause de cancer) intervient le plus souvent plusieurs mois après l’ablation : le temps nécessaire pour que la patiente ait achevé d’éventuels traitements complémentaires après l’acte chirurgical, et qu’elle ait mûri sa décision.

La diminution du volume des seins se situe à la limite des interventions à caractère esthétique. Elle est « médicale » lorsque le poids des seins va jusqu’à provoquer des douleurs de dos ou d’épaules, ou une gêne fonctionnelle.L’augmentation de volume (avec pose de prothèses) et la correction de l’affaissement sont purement esthétiques.

Plastie abdominale & chirurgie de la silhouette Une abdominoplastie nécessite généralement plusieurs jours d’hospitalisation. Les indications médicales concernent la chirurgie de correction post-obésité, ou après des grossesses.

La liposuccion, de son côté, peut ne nécessiter qu’une seule nuit d’hospitalisation en cas d’anesthésie générale. Elle peut même, parfois, être réalisée dans le cadre des soins ambulatoires, sous anesthésie locale.

Chirurgie plastiqueDeux spécialistes ont la responsabilité de la chirurgie plastique reconstructrice et esthétique à L’ALLIANCE. Leur association permet une prise en charge et un suivi continu de qualité. Leur activité bénéficie, comme toutes les autres, de l’environnement sécuritaire de haut niveau de la clinique dans tous les domaines (en particulier anesthésie, réanimation). Elle se partage en parts à peu près égales entre les opérations de reconstruction (post-cancéreuse ou post-traumatique) et les interventions à visée esthétique. On retrouve cette dualité aussi bien pour le visage que pour les seins, le ventre ou la silhouette en général.

La puissance de l’imagerie

Pour obtenir toutes ces images, encore faut-il disposer des appareils indispensables, c’est le cas à L’ALLIANCE. Les radiologues en charge du département d’imagerie médicale ont décidé de se doter dès l’ouverture de la clinique, de toute la batterie des moyens de dernière génération disponible : IRM, scanner, trois salles de radiologie conventionnelle, une salle de radiologie numérisée, une salle de mammographie (pour le repérage pré-opératoire), deux salles d’échographie, deux appareils mobiles de radiologie conventionnelle, deux amplificateurs de bloc opératoire.

Diagnostic« Ces divers moyens d’investigation sont complémentaires, ils permettent de voir des choses différentes et apportent des renseignements supplémentaires. Selon ce qu’on recherche, en fonction de l’organe et de la pathologie, l’échographie pourra être préférée à la radio conventionnelle, ou bien l’IRM sera choisie plutôt que le scanner, ou encore demandée après une échographie, etc... » explique un radiologue .

L’imagerie médicale, avec ses performances sans cesse accrues, est un élément incontournable parmi l’ensemble des moyens de diagnostic. Pratiquement, toutes les spécialités font appel à elle, en particulier avant les interventions chirurgicales, que ce soit en chirurgie générale, urologique, gynécologique, orthopédique, viscérale, etc… Sans oublier, évidemment, la chirurgie cancérologique.Ainsi, par exemple, le mammographie permet au chirurgien de localiser à l’avance, avec précision, l’emplacement de la tumeur d’un sein à opérer...

L’imagerie médicale a fait considérablement progresser la médecine au cours des dernières décennies. Aujourd’hui, sans franchir la barrière de la peau, on peut « voir » tout ce qui est à l’intérieur du corps humain : les os, les organes internes, le cerveau, les muscles, les tendons, les articulations, un cancer naissant, etc…

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Gastro-entérologieAu sein du pôle digestif, les gastro-entérologues exercent une activité importante en étroite collaboration avec les chirurgiens viscéraux et les médecins du service d’urgences qui font appel à eux pour des examens endoscopiques urgents : ingestion de corps étrangers, hémorragies digestives, etc...

Les investigations sont réalisées avec des endoscopes, tubes souples munis de caméras vidéo qui sont introduits par la bouche ou l’anus afin d’explorer l’œsophage, l’estomac, l’intestin et le côlon. Outre l’étape diagnostique, ces technologies permettent d’effectuer des actes thérapeutiques : arrêter un saignement profond, retirer des polypes et autres tumeurs, dilater des segments rétrécis, poser des ballons dans l’estomac en cas d’obésité sévère etc...

L’unité d’endoscopie digestive dispose d’un plateau technique de pointe avec notamment deux écho-endoscopes (fibroscopes équipés d’une sonde d’échographie) permettant de faire une échographie par voie interne et éventuellement des prélèvements à distance, ainsi que, deux duodénoscopes utilisés dans le traitement des maladies des voies biliaires et pancréatiques permettant, entre autres, de retirer des calculs bloqués dans le cholédoque et de mettre en place des prothèses dans certaines tumeurs.

Grâce à ces actes endoscopiques de haute technicité, la lutte contre les cancers s’améliore sans cesse. Le dépistage des tumeurs est plus précoce (nouvelles techniques de coloration, caméras vidéo munies de zooms...) et le champ des tumeurs enlevées par voie endoscopique est de plus en plus étendu.

La plupart des examens et interventions endoscopiques sont réalisés sous anesthésie en soins ambulatoires.

Anneau gastrique contre obésité

La pose d’un « anneau gastrique » est p r a t i q u é e , d a n s c e r t a i n s c a s , à L’ALLIANCE. Cet « anneau » est destiné à réduire artificiellement le volume de l’estomac chez les obèses.

La pe rsonne opérée ressen t p lus rapidement une impression de satiété et diminue ainsi ses apports alimentaires. Cette intervention est réalisée sous cœlioscopie.

Ce mode d’action contre l’obésité est rigoureusement encadré. Le chirurgien n’intervient qu’après la prise en charge du demandeur, pendant plusieurs mois, par un véritable réseau c o m p r e n a n t l e p l u s s o u v e n t : n e u r o p s y c h i a t r e , e n d o c r i n o l o g u e , diététicien, cardiologue, pneumologue…

Chirurgie généraleLe pôle de chirurgie générale prend en charge toutes les pathologies relevant de :

- la chirurgie digestive et viscérale, - la chirurgie endocrinienne, - la chirurgie thoracique.

Selon les cas, ces interventions sont effectuées par chirurgie conventionnelle ou, de plus en plus souvent, par cœlioscopie. Depuis de nombreuses années, en effet, les praticiens de ces spécialités (comme leurs confrères des autres disciplines) développent des techniques opératoires de moins en moins « invasives », chaque fois que possible.

Dans ce cas, au lieu d’intervenir « à ciel ouvert », par une plaie opératoire classique, ils opèrent « depuis l’extérieur » avec des mini-instruments chirurgicaux et un système de visualisation introduits par de mini-incisions dans la cavité abdominale ou thoracique. Ils surveillent sur un écran cathodique les déplacements de leurs instruments filmés par la mini-caméra placée au cœur du site à explorer.

Evidemment cette technique opératoire est plus « légère » pour le patient que la chirurgie classique : plaies opératoires extrêmement réduites, suites opératoires plus simples et souvent plus brèves, il est des cas où il est impossible d’y recourir.

Les spécialistes de chirurgie générale sont fréquemment confrontés à des problèmes de cancers. Ils participent régulièrement au réseau local de cancérologie (ONCO 37).

Chirurgie générale & digestiveLa radiologie interventionnelle

Le plus souvent, les images obtenues servent de base pour l ’établissement d’un diagnostic

cependant, la vocation de l’imagerie médicale ne

s’arrête pas là.

La radiologie interventionnelle pratiquée à

L’ALLIANCE vise également à soulager certaines

douleurs, en particulier dans le domaine ostéo-articulaire (sciatique, lésions tendineuses de

l’épaule, arthrose, etc...) .

Dans ce cas, il s’agit d’injecter, sous guidage

radiologique, un produit antalgique. Les

r a d i o l o g u e s d e L ’ A L L I A N C E m a î t r i s e n t p a r t i c u l i è r e m e n t c e t t e t e c h n i q u e p o u r

l ’ensemble des articulations (membres et

colonne vertébrale), en collaboration avec les

rhumatologues, orthopédistes et neurologues.

Ils réalisent également des prélèvements à but

diagnost ic sous contrôle radiographique, é c h o g r a p h i q u e o u s c a n n e r . T o u t e s c e s

techniques sont réalisées en soins externes.

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La politique

qualité,

environnement

de la clinique de l’Alliance

La clinique de l’Alliance s'est fortement engagée dans une démarche de management de la qualité, considérant qu'il s'agit d'une orientation stratégique majeure pour sa reconnaissance et son développement. Le fondement de cette politique s'impose à l’ensemble des acteurs de l'établissement, salariés et non salariés.

Développement durable

La maîtrise de la qualité et des risques

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Vous souhaitez exprimer vos

impressions sur votre hospitalisation

Vous souhaitez exprimer vos griefs

La commission des relations avec les

usagers

Les directives anticipées

La politique salariale des établissements

du Groupe Saint-Gatien

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Notre engagement est le suivant :

- une information médicale délivrée par le chirurgien et l'anesthésiste ;

- la mise en place de protocoles ;

- la formation continue de tous les professionnels ;

- l'analyse de votre satisfaction.

Nous avons besoin que vous nous alertiez suffisamment tôt, n'attendez pas que votre douleur s'installe.

Nos protocoles permettent de soulager efficacement et rapidement une douleur naissante.

Nous voulons traiter ou soulager :

Les douleurs aiguës (coliques néphrétiques, fractures, suites d'intervention...).

Les douleurs chroniques (mal de dos, cancers...).

Nous voulons prévenir :

Les douleurs provoquées par certains soins ou examens (pansement, pose de sonde, retrait de drain, certains actes de kinésithérapie...) et les douleurs parfoisliées à un geste quotidien (une toilette, un simple déplacement...).

Deux "référents douleurs" (un médecin et une infirmière) assurent le suivi des protocoles anti-douleur et la formation continue des personnels, en relation avec le Comité de lutte contre la douleur.

Avez-vous mal ?P o u r n o u s a i d e r à a d a p t e r v o t r e traitement, vous devez nous dire à "combien" vous avez mal. Un peu ? Beaucoup ?

V o t r e i n f i r m i è r e v o u s p r o p o s e r a régulièrement de "chiffrer" votre douleur de 0 à 10 en vous aidant d'une réglette dont elle vous expliquera l'utilisation. L'équipe soignante pourra alors adapter les doses de calmants en fonction de l'évolution de la douleur.

Une réponse adaptée à chaque casLes antalgiques (médicaments qui soulagent la douleur) vous seront proposés en fonction de la nature et de l'intensité de votre douleur.

Pour certains types de prise en charge de la douleur, la clinique s'est dotée de pompes électriques pour morphiniques ou anesthésiques locaux qui vous permettront de contrôler vous-même votre analgésie.

Ces appareils sont programmés pour délivrer à flux continu ou à la demande une certaine quantité d'analgésique par voie intraveineuse, péridurale ou péri-nerveuse.

Une simple pression sur un bouton poussoir permet de disposer d'une ou plusieurs doses complémentaires, en fonction des besoins.

Evidemment, par mesure de sécurité, le n o m b r e e t l e v o l u m e d e s d o s e s supplémentaires sont limités par l'équipe médicale.

Ne pas craindre la morphine

C e r t a i n e s p e r s o n n e s craignent de d e v e n i r "dépendantes”à la morphine a p r è s u n t r a i t e m e n t anti-douleur. A tort !

L e t e m p s d'utilisation de la morphine en c l in ique pour vaincre la douleur n'est pas suffisant p o u r provoquer une dépendance.

LES VIGILANCES

La douleurPrendre en charge votre douleur

En déplaçant le curseur sur la réglette, le malade indique son niveau de douleur.22

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La réputation de notre clinique est là, avec son corollaire : L'ALLIANCE reçoit une proportion croissante de patients avec des pathologies graves, pour des interventions chirurgicales majeures.Afin d'assurer au maximum le bon déroulement de ces interventions, l'équipe d'anesthésistes réanimateurs est rompue à la prise en charge de tous les cas difficiles, leur expertise bénéficie à tous les malades y compris ceux qui relèvent des actes opératoires les plus courants . Pour les anesthésistes-réanimateurs, il n'existe pas de petite anesthésie ! Même pour une intervention bénigne, la somme de précautions prises est aussi grande que pour une opération majeure.Dans tous les cas, les anesthésistes et leurs équipes sont en mesure de parer à l'imprévu, à tout instant. Néanmoins, le risque zéro n'existera jamais.

Une consultation préalable obligatoireTout est mis en oeuvre avant, pendant et après l'anesthésie pour limiter les risques au maximum. Plusieurs jours avant tout acte chirurgical programmé, le malade doit se rendre à une consultation pré-anesthésique. II doit alors rapporter son questionnaire pré-anesthésique rempli. En dehors des cas d'urgence, si un malade ne se soumet pas à cette consultation préalable, son admission à la clinique pourra être annulée ou reportée."Certains futurs opérés ne comprennent pas toujours pourquoi on les fait venir pour une consultation pré-anesthésique, constate l'un des praticiens de la clinique. C'est pourtant un moment-clé pour "évaluer" le patient : rechercher ses éventuelles pathologies, voir s'il est allergique, s'il a eu des problèmes lors d'une anesthésie antérieure, vérifier ses traitements médicamenteux, éventuellement les modifier ou les interrompre. Cette même consultation est l'occasion de lui expliquer les diverses techniques d'anesthésie possibles, sous l'angle bénéfice / risque . C'est à l'issue de cet entretien qu'une décision est prise, avec son consentement éclairé ". La consultation préalable est doublée par une seconde visite de l'anesthésiste avant l'opération.

D’une anesthésie à l’autre

Anesthésie générale L'anesthésie générale est obtenue par injection intraveineuse de produits anesthésiques. On y recourt pour de nombreuses interventions. Pour les jeunes enfants, l'endormissement est souvent réalisé au masque. Pendant une anesthésie générale, la ventilation est généralement assistée à l'aide d'un respirateur.

Anesthésie loco-régionale Avec ce type d'anesthésie, le malade reste conscient, mais ne ressent aucune douleurdans la région du corps concernée et ce, grâce à l'injection d'un produit anesthésique à proximité des racines nerveuses. Les principaux types d'anesthésies loco-régionales sont : le bloc plexique (ou tronculaire) pour insensibiliser par exemple un bras ou un oeil. la rachi-anesthésie pour insensibiliser la partie inférieure du corps. (La péridurale est réservée essentiellement la prise en charge de la douleur postopératoire).

AnesthésieUn maximum de précautions

La rigueur de la procédure

L'avis du spécialiste est prépondérant pour le choix d e l a t e c h n i q u e à employer : anesthésie générale ou locorégionale. Quelle que soit la décision la procédure est toujours aussi r igoureuse. Une prémédication est souvent effectuée dans le service de s o i n s . L ' a n e s t h é s i e proprement dite est réalisée en salle d'opération.

L'environnement sécuritaire permet une surveillance cont inue de tous l es paramètres vitaux (tension artérielle, rythme cardiaque, oxygénation du sang) afin de prévenir le moindre incident précurseur de complications.

Après toute anesthésie (générale ou locorégionale), le patient est conduit dans une salle de surveillance post-interventionnelle où le suivi se prolonge sous le contrôle d'une équipe spécialisée disposant du m ê m e s y s t è m e d e s u r v e i l l a n c e d e s paramètres vitaux qu'en salle d'intervention.

A p r è s c e r t a i n e s interventions, des opérés s o n t t r a n s f é r é s s o u s assistance respiratoire, par un membre de l'équipe d'anesthésie-réanimation d a n s l e s e r v i c e d e surveillance continue, où ils bénéficient, la encore, du même dispositif de surveillance.

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l'anesthésie locale : Ce type d'anesthésie ne concerne qu'une région anatomique très limitée. Elle peut être pratiquée par l'opérateur lui-même. Elle est particulièrement utilisée pour les actes médico-techniques.

Les anesthésies loco-régionales sont souvent complétées par une sédation. Celle-ci, provoquée par une injection intraveineuse, permet au patient d'être plus "décontracté" pendant l'intervention. tout en restant conscient et capable de communiquer.

Les anesthésies loco-régionales connaissent un grand essor. Actuellement, à L'ALLIANCEelles sont utilisées dans une grande majorité de cas.

Prévoir très tôt le traitement de la douleurParole d'anesthésiste : "II est plus facile de maintenir une douleur basse que de faire descendre une douleur aiguë, c'est pourquoi le malade ne doit jamais hésiter à dire qu'il commence à avoir mal".

La douleur post-opératoire est plus facile à prendre en charge après une anesthésie loco-régionale.

Ces anesthésies permettent aussi, dans certains cas de mettre en place des petits cathéters pour prolonger l'anesthésie perdant 24 à 48 heures, si nécessaire.

Les anesthésistes travaillent en équipe

Les anesthésistes-réanimateurs de la clinique travaillent en équipe et se relaient auprès des patients. C'est pourquoi le malade n'est pas obligatoirement endormi par l'anesthésiste qui le reçoit en consultation préalable .

Le dossier d 'anesthésie est là pour transmettre les informations nécessaires .

Transport de patient : Un risque très contrôlé

Le transport des patients vers le bloc opératoire ou après une intervention se fait sous surveillance étroite.

Pour votre sécurité, les brancardiers qui en ont la charge contrôlent votre identité et restent en contact permanent avec le personnel soignant par téléphone.

Si un transfert nécessite une médicalisation accrue, il est réalisé par du personnel paramédical.

Partout, dans la vie quotidienne, nous sommes environnés par des ennemis invisibles : les agents infectieux.

Le CLlN (Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales) de la clinique coordonne la riposte et la prévention contre eux. II s'agit de protéger les malades contre les infections” associées aux soins” (celles qu'on contracte en milieu hospitalier, par opposition aux infections " communautaires " contractées avant l'hospitalisation).

Pour les équipes de soins, le risque infectieux est permanent. Les "portes d'entrée” des microbes en milieu hospitalier s'appellent : cicatrices, drains, sondes... De plus, les mécanismes de l'ensemble des infections associées aux soins sont loin d'être clairs. Exemple : un individu peut cohabiter longtemps sans problème avec sa propre flore microbienne, puis devenir soudainement vulnérable à ces mêmes microbes et développer une infection associée aux soins lors d'un séjour en établissement de soins.

Surveillance et préventionLe CLIN est chargé de :* définir les procédures de prévention à respecter et de s'assurer qu'elles sont respectées;* surveillez les infections dans la clinique.

Deux moyens ont été mis sur pied pour surveiller l'incidence des infections et déceler toute anomalie : la centralisation informatique des résultats de tous les examens microbiologiques et la déclaration de toute prescription d'antibiotiques. A la moindre alerte, la riposte s'organise.

Toute la collectivité soignante est impliquée dans cette lutte permanente. Des règles d'hygiène strictes doivent être respectées par tous les personnels de soins. En tête, figure l'hygiène des mains, immédiatement suivie de la propreté de la tenue vestimentaire du personnel et des douches pré-opératoires des patients. L'efficacité du dispositif repose sur l'ensemble des protocoles de soins écrits et contrôlables.

Tout est codifié : utilisation des gants et des casaques protectrices, préparations des champs opératoires, pose d'un cathéter, préparation d'un opéré, isolement des patients présentant des infections à germes particuliers, stérilisation des instruments, désinfection des surfaces, précautions pour accéder aux "zones sensibles", etc...

La lutte contre les infectionsUn maximum de précautions

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Tableau de bord de lutte contre les infections associées aux soinsDans le cadre du programme national de lutte contre les infections associées aux soins, la clinique de L'ALLIANCE suit les cinq indicateurs de performance suivants :

- l'activité globale de lutte contre les infections associées aux soins (Indicateur composite d'activité, score ICALIN),- le taux de bactéries multirésistantes (SARM),- le taux d'infections du site opératoire,- la consommation des solutions hydro-alcooliques,- la consommation d'antibiotiques.

Ces résultats sont consultables sur demande.

Vos antécédents, SVP La première précaution à prendre pour vous protéger vous-même, c'est de signaler tout antécédent infectieux médical ou post-opératoire : furoncle, rhino-pharyngite, sinusite, abcès dentaire, etc... Ces informations devront être données lors des consultations du chirurgien et de l'anesthésiste avant l'intervention.

Lors de ces consultations préalables, si un foyer infectieux est découvert, l'opération pourra être retardée, si elle n'est pas urgente. Une simple dent abîmée peut éventuellement provoquer une infection grave au niveau de l'organe opéré. Seule solution : procéder à une extraction préventive.

Contrôle de l’environnementLa surveillance de l'environnement dans les zones à risques (blocs opératoires, service de réanimation, etc...) fait partie des missions du CLIN.

La qualité de l'eau et de l'air dans les blocs opératoires et autres endroits sensibles est contrôlée régulièrement. Chaque salle d'opération est en surpression pour éviter toute entrée d'air autre que celui venant du système d'aération, conçu pour contrôler :filtration, maîtrise des flux, température, humidification.

L'organisation géographique du bloc et son fonctionnement répondent à des impératifs stricts de prévention des infections. Chaque salle d'opération est dédiée à une chirurgie spécifique : urologique, gynécologique, orthopédique, etc... Toutes sont désinfectées après chaque opération.

Leur disposition obéit au principe "d'asepsie progressive" : les interventions les plus délicates sont réalisées dans les salles les plus éloignées du sas d'entrée au bloc.

De surcroît, les opérations les plus sensibles sont les premières effectuées le matin, dés l'ouverture du bloc. A l'inverse, l'activité dite "septique" est réalisée en fin de programme.

Equipe opérationnelle d’hygiène et “indicateurs de performance”Dans sa démarche continue d'amélioration des soins, le CLIN s'appuie sur l'équipe opérationnelle d'hygiène (EOH) qui comprend : un médecin responsable, un médecin hygiéniste, la directrice des soins, un pharmacien, l'infirmière hygiéniste, un médecin assistant médical.

Missions de I'EOH :

- mise en place des "bonnes pratiques ". Ex : désinfection des mains avec des solutions hydro-alcooliques (on ne parle plus seulement de "lavage" des mains, mais plus largement "d'hygiène" des mains);

- évaluation de l'application de ces pratiques par des audits;

- formation du personnel, ex : les mesures d'isolement, etc...

- investigation et intervention lors d'alertes éventuelles.

L'importance des douches pré-opératoires

Autre précaution : les douches pré-opératoires destinées à diminuer la colonisation bactérienne de la peau.

Dans la procédure étroite concernant cet acte, rien n'est oublié : ni la nature des produits antiseptiques, ni le nombre de gants de toilette propres à employer, ni la manière de se savonner, ni l'ordre dans lequel il faut laver les diverses parties du corps.

Pour ces douches, prévoyez d'apporter au moins quatre gants de toilette et deux serviettes.

D 'une manière généra le , p révoyez largement la quantité de linge à apporter surtout si vous habitez loin, sans possibilité de vous réapprovisionner.

Pour les visites : si vous êtes hospitalisé en secteur de soins intensifs, demandez à vos proches de limiter les visites.

Et sachez que les fleurs sont interdites partout dans la clinique ; elles peuvent être porteuses d'agents pathogènes.

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Vigilances sur les médications et matériels

La matériovigilance

La traçabilité

Check-list générale au bloc

Non aux médicaments prescrits

en dehors de la clinique

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Hémovigilance

Pour garantir la sécurité transfusionnelle, le « comité d’hémovigilance » de la clinique (composé de pharmaciens, médecins, et personnels soignants) se réunit trois fois par an. Il met sur pied des audits de contrôles, des formations et des études internes sur l’organisation de la transfusion dans l’établissement ; il suit l’évolution des consommations de produits sanguins et la bonne gestion des poches… Tout cela en rapport constant avec l’Etablissement Français du Sang (EFS). L’hémovigilance englobe l’ensemble des moyens utilisés pour assurer la surveillance du malade après une transfusion. Elle doit permettre au corps médical de remonter à l’origine de tout incident transfusionnel, jusqu’au donneur concerné.

Transfusions : le moins possible ! Afin de réduire les risques de contamination par le sang d'autrui, le recours à la transfusion sanguine devient de plus en plus rare.

Il reste néanmoins indispensable dans de nombreux traitements médicaux et chirurgicaux.

Augmenter préventivement

le volume de globules rouges

Information et traçabilité

Mode d’emploi Quand et comment recourir au

service d’urgence ?

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LES URGENCES

Urgences 24/24Le service d’urgences est un élément clef de l’éventail de soins de L’Alliance, sa vocation est à la fois simple et ambitieuse : répondre à tous les besoins de santé de la population de Tours-Nord et à celle du Nord-Touraine.Or, parmi ces besoins, figurent le service d'accueil des urgences reconnues comme mission de service public. Des médecins urgentistes libéraux secondés par une équipe de personnels soignants assurent la permanence des soins.

La structure créée provenant de la clinique Saint-Grégoire fin 2004 a vite démontré son utilité et son efficacité. Aujourd’hui, installée dans ses nouveaux murs, elle reçoit plus de 20.000 patients par an, et sa croissance se poursuit.

Compétence humaine & moyens matériels

Le service d’urgences est ouvert 24 h sur 24. Deux médecins sont présents, ainsi que des infirmières et aides soignantes.

L’un des urgentistes de L’ALLIANCE définit ainsi le champ d’action du service : « Nous prenons en charge tous les types d’urgences, adultes et enfants, à l’exception des polytraumatismes (accidents de la route avec fractures multiples), des urgences psychiatriques lourdes et de la néonatologie. En cas de besoin, nous

orientons ces patients vers les services hospitaliers adaptés. Nous travaillons avec eux, main dans la main ».

A tout moment, pour fa ire leurs d i a g n o s t i c s , l e s u r g e n t i s t e s d e L’ALLIANCE peuvent recourir aux moyens d’investigation de la clinique : radiologie conventionnelle, échographie, laboratoire d’analyses, scanner, IRM. Derrière ce premier maillon de la prise en c h a r g e d e s p a t i e n t s , u n e é q u i p e d’astreinte couvrant l’ensemble des spécialités médico-chirurgicales, est mobilisable à tout instant.

Le service d’urgences de L’ALLIANCE dispose d’un vaste plateau fonctionnel, au centre duquel se trouve le poste infirmier, d’où est assurée la surveillance générale. Huit boxes peuvent accueillir les patients à leur arrivée, chacun disposant de l ’ équipement correspondant à sa vocation : déchoquage, plâtre, sutures, pédiatrie, examens divers.

Une autre partie du service comprend huit lits de « surveillance rapprochée » pour les patients en attente d’adaptation de leur traitement. Tous ces lits sont

équipés d’appareils individuels de surveillance monitorée – donc avec une sécurité optimum.

Traumatologie & problèmes médicaux

La traumatologie (fractures, entorses, plaies, brûlures, accidents domestiques, de sport ou du travail) représente plus de la moitié des entrées dans le service. Les c a s r e s t a n t s s o n t d e s p r o b l è m e s médicaux : douleurs abdominales, thoraciques, urologiques, et surtout, l ’ensemble des pathologies liées à l’altération de l’état général des personnes âgées.En moyenne, 85 % des personnes qui passent au service d'accueil des urgences retournent directement à leur domicile après leurs soins. Seuls 15 % de patients provenant des urgences sont transférés dans les services de chirurgie ou de médecine clinique, en fonction de leur pathologie. Une coopération avec d’autres structures spécialisées est en place (ex : psychiatrie, grands brûlés, obstétrique, accidents vasculaires etc ...).

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INFOS PRATIQUES

Information en brefConservez votre contrat d'hospitalisation remis lors de votre admission. Vous y retrouverez la mention de certains frais prévisibles : dépassements d'honoraires, chambre particulière etc...

En quittant la clinique, il vous sera remis une "facturette" ne concernant que les seuls suppléments.

La facture "officielle" finale (AMP) vous parviendra ultérieurement, à votre domicile accompagnée d’une lettre d’information sur votre facture.

C'est elle qui vous sera indispensable pour vos demandes de remboursements à votre mutuelle.

Lorsqu'une personne est admise dans le service d'urgences, il est important que l'un de ses proches se rende dès que possible au service des admissions pour compléter le dossier administratif (ex : demande de chambre particulière).

Les codes de votre factureFrais de structure et de soins (part de la clinique)

GHS : groupe homogène de séjour.ATU : forfait de passage aux urgences.PAS : participation assuré transitoire (forfait de 18 pour tout acte supérieur à 91 ; ce forfait est remboursé par de nombreuses mutuelles). FJ : forfait journalier hôtelier.FJA : forfait journalier pour le jour de sortie.XTR : extras (branchement de ligne et communications téléphoniques). CPC : chambre particulière. SRC : prestation de la journée de surveillance continue facturable en sus du GHS.SE1, SE2, et SE3 : forfaits relatifs aux soins ambulatoires.

Produits de la LLP facturables et spécificités pharmaceutiques

PII : prothèses internes inertes (hanche etc...).

P H 1 : p r o d u i t s p h a r m a c e u t i q u e s remboursés à 100% (ex : Chimiothérapie).

P H 8 : p r o d u i t s p h a r m a c e u t i q u e s remboursés à 100% (médicaments très coûteux).

Honoraires médicaux et paramédicaux et actes de laboratoire (part des praticiens)

CS : consultation spécialiste.DE ou DA : dépassement d'honoraires des anesthésistes.DP : dépassement d'honoraires des praticiens.FTN : forfait technique scanner ou IRM. ADA : actes d'anesthésie.ADC : actes de chirurgie.ATM : actes techniques médicaux.ADI : actes d'imagerie (sauf échographie). ADE : actes d'échographie.B : actes réalisés au laboratoire.P : actes d’anatomopathologieAMI : acte médical infirmier.PB : prélèvements sanguins. KB : autres prélèvements.

Le nouveau mode de rétribution des établissements de soins ("tarification à l'activité") est entré en vigueur en 2005.

Différence essentielle par rapport à la situation antérieure : la part de la clinique n'est plus basée sur le nombre de journées d'hospitalisation, mais sur un forfait dépendant de la pathologie motivant l'hospitalisation.

Chaque pathologie correspond à un "groupe homogène de séjour" (GHS) affecté d'un tarif forfaitaire.

Les honoraires des praticiens et le coût de certaines prothèses apparaissent sur la facture globale, dans une rubrique à part.

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Liste des praticiens exerçant à la Clinique de l’Alliance ANESTHESIE - REANIMATION

Dr William ADOLPH 02 47 88 37 11 Dr François BARBIEUX 02 47 88 37 11 Dr Fabrice CHOPIN 02 47 88 37 11 Dr Xavier DELPLACE 02 47 88 37 11 Dr Gabriel DELVALLEE 02 47 88 37 11 Dr Olivier DOUCET 02 47 88 37 11 Dr Alexandre GALÉANO 02 47 88 37 11 Dr Bertrand HAG 02 47 88 37 11 Dr Gaétan LERAILLER 02 47 88 37 11 Dr Bernard MANKIKIAN 02 47 88 37 11 Dr Stéphanie MOUCHON 02 47 88 37 11 Dr Philippe ORLOWSKI 02 47 88 37 11 Dr Jean-François RIEANT 02 47 88 37 11 CHIRURGIE UROLOGIQUE

Dr Didier BARAT 02 47 42 57 93 Dr Jean-Christophe BARON 02 47 42 57 93 Dr Jean-Charles DEZAEL 02 47 42 57 93 Dr Franck DUCHÊNE 02 47 42 57 93 CHIRURGIE UROLOGIQUE

Dr François BOUCHOU 02 47 54 54 56 CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE

Dr Patrick COIPEAU 02 47 54 64 64 Dr Patrick FRANÇOIS 02 47 49 09 63 Dr Christophe LE DÛ 02 47 54 64 64 Dr Didier OUDET 02 47 54 64 64 Dr Thibault de ROUVRAY 02 47 54 64 64 MEDECINE du SPORT

Dr Frédéric GUYOMARC’H 02 47 34 35 87 CHIRURGIE GYNECOLOGIQUE

Dr Alain FIGNON 02 47 85 55 20 Dr Florence ROY 02 47 85 55 20 Dr Sandrine WAYNBERGER 02 47 85 55 20 NEUROCHIRURGIE - CHIRURGIE du DOS

Dr Laurent VINIKOFF 02 47 80 85 41 CHIRURGIE GENERALE, DIGESTIVE ET THORACIQUE

Dr Bruno GILBERT 02 47 51 65 65 Dr Thomas JANY 02 47 51 65 65 Dr Caroline MOR MARTINEZ 02 47 51 65 65 Dr Benjamin ROUSSEL 02 47 51 65 65 PHLEBOLOGIE - ANGIOLOGIE

Dr Gérard LANGÉ 02 47 66 80 66 OPHTALMOLOGIE

Dr Anne FAVARD 02 47 70 12 30 CONSULTATIONS de CARDIOLOGIE

Dr Marie-Laurence AUTRET 02 47 51 44 00 LABORATOIRE de BIOLOGIE MEDICALE

Dr Bernard ESTEPA 02 47 88 37 98 Dr Fatih SARI 02 47 88 37 98

RADIOLOGIE

Dr Jean-Claude AUBRY 02 47 88 37 12 Dr Jean-Baptiste CAILLEUX 02 47 88 37 12 Dr Philippe COTTY 02 47 88 37 12 Dr Michel-Ange GOMEZ 02 47 88 37 12 Dr Laurence MOREAU 02 47 88 37 12 Dr Rodolphe ROGER 02 47 88 37 12 Dr Bernard SORIN 02 47 88 37 12 Dr Olivier WARGNIER 02 47 88 37 12 Dr Eric WAYNBERGER 02 47 88 37 12 Dr Frédéric WOLMAN 02 47 88 37 12 IRM et SCANNER

IRM & Scanner 37 Alliance 02 47 85 46 30 Prise de rendez-vous 02 47 70 60 50 CONSULTATIONS de RADIOTHERAPIE

Dr Thomas BOISSERIE 02 47 60 20 60 Dr Pierre Etienne CAILLEUX 02 47 60 20 60 CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE et ESTHETIQUE

Dr Henri FAUGON 02 47 05 38 46 Dr Karine RICCI 02 47 05 38 46 Dr Richard QUIGNON 02 47 05 38 46 CHIRURGIE ORL

Dr Vincent BOUETEL 02 47 66 53 30 Dr Michel GUINE 02 47 66 53 30 Dr Patrick JACQUET 02 47 54 32 96 Dr Patrick LECERF 02 47 66 53 30 Dr Eric PINLONG 02 47 42 68 65 STOMATOLOGIE, MAXILO-FACIALE

Dr Xavier POUYAT 02 47 61 16 30 Dr Nicolas LEPROVOST 02 47 61 16 30 MEDECINE INTERNE - ONCOLOGIE

Dr Claude BIELSA 02 47 87 08 50 Dr Martine REISENLEITER 02 47 87 08 50 GASTRO-ENTEROLOGIE

Dr Jean-Philippe ANCELIN 02 47 60 21 60 Dr Didier BARBEREAU 02 47 41 82 82 Dr Hervé BÉJANIN 02 47 60 21 60 Dr Annie BURASCHI 02 47 60 21 60 Dr Florence GAUTIER-JUBE 02 47 54 67 22 Dr Jean-Marie GILLION 02 47 30 70 80 Dr Marcel HAPPI NONO 02 47 60 21 60 Dr Elodie LUCAS-CHALONS 02 47 54 40 33 Dr Bernard PANTIN 02 47 60 21 60 Dr Marie-Pierre SERVE-BRILLARD 02 47 44 83 77 PNEUMOLOGIE

Dr Eric HAZOUARD 02 47 54 48 78 Dr Jean-Philippe MAFFRE 02 47 60 80 47 URGENCES

Dr Huu Huy CAO 02 47 88 37 90 Dr Hafedh BELHADJ 02 47 88 37 15 Dr Zoheir DEHIBA 02 47 88 37 92 Dr Antoine PORNIN 02 47 88 37 15 Dr Christine SPITZ 02 47 88 37 91 Dr Florent SUBTIL 02 47 88 37 93

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