La santé & la sécurité au travail de A à Z · Tout d’abord la cotisation vous revient à 9€/ mois/ salariés (si vous participez aux ateliers de prévention, cela vous revient

Votre entreprise est uniqueNos conseils en prévention aussi !

La santé & la sécuritéau travail de A à Z

O F F R E D E S E R V I C E S

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DES CONSEILS

ET UN ACCOMPAGNEMENT

PRÉVENTION-SANTÉ

AU TRAVAIL

AU PLUS PRÈS

DE VOS BESOINS

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Chaque jour, près de 150 personnes sont victimes d’un accident du travail en Occitanie. Chaque année, 60 salariés meurent au travail. Ces chiffres à eux-seuls devraient montrer l’urgence à agir et à faire de la prévention une priorité. Oui : prévenir plutôt que guérir !

Et pourtant les chefs d’entreprises et les salariés se préoccupent encore trop peu de leur santé, ou trop tard, au moment de la survenue d’un accident ou de la déclaration d’une maladie professionnelle.

Il existe des bonnes pratiques qui peuvent tout changer. Il est temps pour chacun de se préoccuper réellement de soi et de ses conditions de travail.

Et cet impératif ne doit pas buter sur des questions de temps ou de moyens, car l’AIPALS est là, à vos côtés, pour trouver des solutions et vous accompagner, pas à pas, dans vos démarches.

Il est temps de prendre conscience du problème et de passer à l’action. C’est une question, avant tout, de volonté. S’investir et devenir acteur : l’impulsion ne peut venir que de vous.

Nous avons les outils et les professionnels pour vous épauler. L’AIPALS est votre partenaire santé-sécurité au travail. Pensez et agissez « prévention » ; elle sera source de valeurs, de bien-vivre et de bien-travailler mais aussi de performance économique. Miser sur la prévention est un contrat forcément « gagnant-gagnant ».

Pierre-François Canet,Président de l’AIPALS

LA SANTÉ ET LA SÉCURITÉAVANT TOUT !

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p. 05 LES IDÉES REÇUES ONT LA VIE DURE… Tout ce que vous pensez sur les services de santé

au travail et qui est faux

p. 06 L’ABÉCÉDAIRE DE L’AIPALS Vos questions de A à Z

p. 50 LES SERVICES DE L’AIPALS Notre offre en un clin d’œil, de l’accompagnement

collectif à l’accompagnement individuel.

p. 54 L’ORGANIGRAMME DE L’AIPALS Qui fait quoi ?

p. 56 LES VALEURS DE L’AIPALS Professionnalisme, engagement, dynamisme,

efficacité et confiance

p. 58 INDEX 100 mots pour trouver des réponses

Les éléments relatifs aux risques professionnels rédigés dans ce do-cument ont notamment été basés sur les dossiers « santé et sécurité au travail » de l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS).

Ce guide a été conçu sous forme d’abécédaire pour vous repérer facilement, en fonction de vos attentes. Nous y avons répertorié et répondu aux questions qui nous sont le plus souvent posées.

--- SOMMAIRE ---

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L’AIPALS ne fait que de la prévention ; ses médecins ne soignent pas.VRAI. Mais est-ce un problème ? La mission des services de santé au travail est d’éviter que l’état de santé du salarié ne se dégrade suite à ses condiitons de travail ou que l’accident ne survienne. Nous agissons AVANT, pour éviter que votre santé et la santé de vos salariés ne se dégradent.

La prévention, cela ne sert à rien. FAUX. Toutes les études scientifiques convergent pour dire qu’une politique de pré-vention ne peut avoir qu’un impact positif sur la santé des salariés mais aussi celle de l’entreprise. 1€ investi dans la prévention revient à 2€ de retour sur investissement.

Les services de santé au travail ne servent que pour la visite médicale d’embauche. FAUX. Nous ne sommes pas uniquement un « fournisseur » de visites médicales. Nous accompagnons l’entreprise et ses salariés tout au long de leur carrière, pour protéger leur santé au travail et ainsi préserver le capital-santé de votre entreprise. Contactez- nous ! Nous vous conseillerons pour améliorer les conditions de travail.

Une cotisation de 109¤ pour une visite médicale tous les 5 ans, cela fait cher ! Vu comme cela, oui. Mais c’est faux. Tout d’abord la cotisation vous revient à 9€/ mois/ salariés (si vous participez aux ateliers de prévention, cela vous revient à 93€/ an/ salariés. Mais pour ce tarif, vous avez une véritable offre de services sur- mesure : atelier prévention, interventions en entreprises, conseils d’experts, examens médicaux, etc.

La visite médicale, ça ne sert à rien… FAUX. Pour rappel, l’objectif d’un service de santé au travail comme l’AIPALS c’est de s’assurer que le travail n’a pas un impact sur la santé du salarié et de donner des conseils pour prévenir les accidents du travail et les maladies professionnelles, au quotidien. Le travail c’est la santé, à condition de la préserver !

En matière de santé-sécurité, le chef d’entreprise a beaucoup de devoirs et peu d’aides. OUI et NON. En effet, les obligations légales du dirigeant sont nombreuses et contrai-gnantes. Mais votre service de santé au travail est là pour vous aider à comprendre et agir, simplement et efficacement (rédaction du document unique et d’un plan d’actions, suivi des actions, etc.).

Je suis une petite entreprise ; je n’ai ni le temps, ni les moyens de mettre en place des actions. Nous vous comprenons. Mais nous sommes là, justement, pour vous épauler et vous soutenir dans votre démarche. La prévention n’est pas - et ne doit pas – être réservée aux grandes entreprises. Tout salarié a le droit de travailler dans de bonnes conditions. Des aides financières existent et nous avons des professionnels expérimentés à votre écoute et prêts à vous aider.

LES IDÉES REÇUES ONT LA VIE DURE…

Vous avez d’autres questions ? Contactez-nous au 04.28.70.08.85 et [email protected]

--- DE L’AIPALS ---

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ABSENTÉISMEMes salariés sont souvent (ou de plus en plus) en arrêt de travail dans mon entreprise. Que puis-je faire ?

Vous avez raison de vous poser cette question ! Des absences répétées peuvent être la traduction d’un mal-être de vos salariés et cela représente une charge importante pour votre entreprise, avec des coûts financiers directs et indirects.Il faut toutefois distinguer les termes « absence » et « absentéisme ».L’absence correspond à un phénomène individuel (non présence phy-sique à un poste durant les horaires de travail), alors que l’absentéisme désigne un phénomène collectif. Ce phénomène témoigne, en effet, de dysfonctionnements dans l’entreprise.L’AIPALS peut vous accompagner pour en comprendre les causes et pro-poser des actions de prévention pour améliorer la situation.

ACTIONS PROPOSÉES :

1. Solliciter une intervention de l’AIPALS sur le lieu-même de l’entreprise pour réaliser un diagnostic et proposer des solutions.

2. Consulter la « boîte à outils » de l’AIPALS sur le maintien dans l’emploi.

ACCIDENTSExiste-t-il de réelles méthodes pour diminuer les accidents de travail ?

Oui, bien sûr, et ce sont des méthodes d’analyse qui ont fait leurs preuves, notamment celle dite de « l’arbre des causes ». L’objectif est de mettre en place une méthode qui recherche de façon structurée les facteurs ayant contribué à l’accident, d’en comprendre le scénario et de proposer des actions de prévention.


1. Solliciter une intervention de l’AIPALS sur le lieu-même de l’entreprise pour réaliser un diagnostic et proposer des solutions.

2. Consulter la « boîte à outils » de l’AIPALS sur les risques professionnels aux-quels votre entreprise est confrontée.

ADDICTIONS (alcool / drogue)Je pense que certains de mes salariés consomment régulièrement de la drogue ou de l’alcool et que cela a un impact sur leur travail. Que me conseillez-vous ?

Les consommations occasionnelles ou répétées de substances psychoac-tives (alcool, drogues, médicaments, etc.) peuvent mettre en danger la santé et la sécurité de vos salariés et être à l’origine d’accidents du travail. L’alcool, le cannabis et les médicaments psychotropes sont les subs-tances psychoactives les plus consommées en milieu de travail. La prise en compte de ce risque est d’ailleurs fortement recommandée dans votre document unique.

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Les risques liés aux addictions doivent, en effet, faire l’objet d’une dé-marche de prévention associant la mise en place de mesures collectives et la gestion des situations individuelles.La prévention collective, issue d’un travail pluridisciplinaire (employeur, représentants du personnel, service de santé au travail…) a pour objectifs de permettre à chaque salarié de réagir face à un collègue en danger, ainsi que de connaître ses droits et devoirs.


1. Solliciter votre médecin du travail.

2. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur ce thème. Ces ateliers, de deux heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.

3. Visionner le module e-learning de prévention sur notre site internet. Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’organisme de formation Afometra).

4. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un dépliant sur le sujet. Vous pouvez en laisser à disposition dans votre entreprise.

5. Se renseigner auprès de l’AIPALS pour organiser une sensibilisation sur- mesure dans votre entreprise.

ADHÉSION J’ai un souci avec mon adhésion,

. je n’arrive pas à m’inscrire,

. je ne comprends pas les informations que l’on me demande,

. mes salariés dépendent de plusieurs services de santé au travail, qui ne fonctionnent pas pareil.


1. Appeler l’AIPALS ; nous sommes à votre écoute au 04.28.70.08.85

2. Participer à une réunion (gratuite) sur un format court pour les nouveaux adhérents.

suite : ADDICTIONS (alcool/drogue)

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AGENTS BIOLOGIQUESMes salariés sont exposés à des bactéries/virus, dans l’exercice de leur métier. Comment les protéger au quotidien ?

Les agents biologiques peuvent être à l’origine de nombreuses mala-dies chez l’homme : infections, intoxications, allergies voire cancers. Le risque biologique (exposition aux bactéries, champignons, virus, etc.) concerne de multiples activités : les métiers de la santé, les services à la personne, l’agriculture, les industries agroalimentaires, les métiers de l’environnement…L’évaluation des risques se fait en suivant la chaîne de transmission à partir du « réservoir » d’agents biologiques jusqu’au travailleur exposé. La préven-tion des risques consiste à rompre cette chaîne le plus en amont possible.La prévention passe par des mesures d’organisation du travail, de protec-tion collective et individuelle, ainsi que d’information et de formation du personnel. Ces mesures de prévention doivent être adaptées à l’activité professionnelle considérée.

ACTION PROPOSÉE :

1. Solliciter l’intervention d’un spécialiste de l’AIPALS dans votre entreprise.

AGENTS CHIMIQUES DANGEREUX voir PRODUITS CHIMIQUES

AGRESSION voir VIOLENCES

ALCOOL voir ADDICTION

ALLAITEMENT voir GROSSESSE

AMÉNAGEMENT DE POSTES Je vois bien que certains postes de travail ne sont pas adaptés et mes salariés s’en plaignent. Mais je ne sais pas quoi faire et com-ment m’y prendre.

Nous disposons de professionnels de santé au travail pour vous aider. Nous pouvons vous apporter des conseils sur l’aménagement des postes de travail en vue de les adapter au mieux à l’activité des travailleurs. Pour cela, nos équipes prennent en compte les caractéristiques techniques, les contraintes organisationnelles et les facteurs humains (accès et cir-culation, communication, contraintes de temps, nuisances physiques et chimiques, informations, manutention et efforts, dimensionnement et postures). Elles réalisent d’abord un diagnostic puis vous accompagnent dans la mise en œuvre des actions de prévention.


1. Demander une étude de poste à l’AIPALS.

2. Solliciter l’intervention de l’AIPALS sur le lieu-même de votre entreprise.

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APPRENTIS Je viens d’embaucher un apprenti, comment est-il pris en charge pour sa visite médicale ? Quand dois-je prendre le rendez-vous ?

Les apprentis sont une population salariée précaire. Les jeunes de moins de 25 ans ont 2,5 fois plus de risques d’avoir un accident du travail que les autres salariés. Il est donc essentiel que leur santé au travail soit prise en charge par notre équipe. Votre première démarche doit donc être de prendre contact avec l’AIPALS, dès la signature du contrat d’apprentissage.


1. Au plus tard à la date d’embauche de l’apprenti, solliciter l’AIPALS afin d’organiser la visite d’information et de prévention.

APTITUDE Tous mes salariés n’ont pas d’aptitude médicale alors que c’était le cas jusqu’ici… Pourquoi ?

Tout dépend si votre salarié est exposé à un risque particulier. En effet, depuis le 1er janvier 2017, la loi a changé : tout salarié nouvellement recru-té bénéficie soit d’une visite d’information et de prévention initiale (suivi simple), soit d’un examen médical d’aptitude à l’embauche (s’il est exposé à au moins un risque justifiant un suivi individuel renforcé).Cette visite donne lieu à la délivrance soit d’une attestation de suivi (suivi simple), soit d’un avis d’aptitude (suivi renforcé).La visite d’information et de prévention initiale doit avoir lieu dans les 3 mois qui suivent la prise du poste (ou avant l’embauche pour un mineur ou un travailleur de nuit). L’examen médical d’aptitude à l’embauche doit, lui, avoir lieu avant l’embauche.

ARBRE DES CAUSES voir ACCIDENTS

ARRÊT MALADIEMon salarié est en arrêt maladie, que dois-je faire ?

Un arrêt de travail, pour votre entreprise, n’est pas anodin. Il est impactant pour vous, employeur (désorganisation de l’activité du travail, stress, coût financier, etc.) et peut également être difficilement vécu par le salarié (dé-sinsertion professionnelle et repli sur soi). Il est donc essentiel, pendant l’arrêt de travail, de maintenir le contact avec le salarié, s’il le souhaite, et d’anticiper le retour en entreprise.


1. Consulter le guide de l’AIPAPLS sur les arrêts maladie « Bien préparer le retour de mon salarié suite à une absence prolongée » sur le notre site internet.

2. En deçà de 3 mois d’arrêt, suggérer à votre salarié de solliciter une visite de pré-reprise avec le médecin du travail.

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Mon salarié est en arrêt maladie de longue durée. Que puis-je faire pour faciliter son retour ?

En cas d’arrêt de travail de plus de 3 mois, une visite de pré-reprise est or-ganisée par le médecin du travail, à l’initiative du médecin traitant, du mé-decin conseil ou du salarié lui-même. Cette visite est destinée à préparer le retour du salarié dans l’entreprise. Sauf opposition du salarié, le médecin du travail informe l’employeur et le médecin conseil de ses recommanda-tions afin que les mesures soient prises pour permettre le maintien dans l’emploi de l’intéressé.

ACTION PROPOSÉE :

1. Informer par écrit votre salarié de l’existence de cette visite de pré-reprise et lui conseiller vivement d’y aller pour faciliter son retour dans l’entreprise.

Mon salarié est de retour d’arrêt maladie ; dois-je solliciter une vi-site de reprise ?

En cas d’arrêt d’au moins 30 jours pour accident du travail, maladie ou accident non professionnel, ou qu’elle qu’en soit la durée pour maladie professionnelle, le salarié doit obligatoirement passer une visite médicale de reprise avec le médecin du travail. Elle doit avoir lieu lors de la reprise ou, au plus tard, dans les 8 jours. Seule cette visite de reprise par le méde-cin du travail met fin à la suspension du contrat de travail.

ACTION PROPOSÉE :

1. Organiser une visite de reprise pour votre salarié avec le médecin du travail. En effet, la responsabilité de l’organisation de cette visite vous incombe.

Un de mes salariés évoque une possibilité de reprise à temps par-tiel thérapeutique (TPT). En pratique, qu’est-ce que je dois faire ?

Le temps partiel thérapeutique, pour être indemnisé par la CPAM, doit obligatoirement faire immédiatement suite à un arrêt de travail. La proposition de temps partiel thérapeutique peut venir du médecin du travail lors de la visite de pré-reprise ou du médecin traitant. L’employeur est sollicité soit par le salarié soit par le médecin du travail afin de donner son accord.Dans tous les cas, le médecin traitant prescrira, sur un avis d’arrêt de tra-vail, une reprise à temps partiel pour raison médicale. Cet avis est transmis par le salarié à l’employeur et à la CPAM, qui l’autorisera ou non, et le cas échéant en déterminera la durée.


1. Le salarié doit organiser une visite de pré-reprise avec le médecin du travail qui validera ou non la reprise à TPT et en prescrira les modalités pratiques d’organisation.

2. Si un temps partiel thérapeutique est prescrit, établir un avenant au contrat qui précise la nature des aménagements apportés, leur durée et les nouvelles modalités de rémunération.

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ATELIERS PRÉVENTIONJ’ai entendu parler d’ateliers de prévention. En quoi consistent-t-ils ? Et sont-ils gratuits ?

Les ateliers prévention sont des sensibilisations collectives sur une théma-tique spécifique en lien avec la prévention des risques et la santé au tra-vail pour vous informer de vos principales obligations et vous donner des préconisations. Ces ateliers sont animés par des médecins, des infirmières et des préventeurs. Ils sont sous un format de 2h, à proximité de votre en-treprise (centre AIPALS ou camion mobile de formation). Le contenu est sous un format très pratique pour pouvoir adopter rapidement les bons gestes en entreprise. Ils sont gratuits. En plus, votre participation à ces ateliers peut vous faire bénéficier d’un « bonus prévention ». En clair, vous vous investissez dans la prévention des risques pour votre entreprise en participant à nos ateliers prévention, ainsi l’AIPALS réduit votre cotisation pour un maximum de 15% annuel.


1. Consulter le programme de nos ateliers sur notre site internet.

2. S’inscrire à un atelier prévention sur notre site internet.

3. Demander un atelier sur-mesure dans votre entreprise.

ATTESTATION DE SUIVI voir APTITUDE

AUTORISATION DE CONDUITE voir CACES

Je dois délivrer une autorisation de conduite. Cela correspond à quoi ?

La conduite de certains équipements peut présenter des risques particu-liers, en raison de leurs caractéristiques ou de leur objet. Cette conduite est donc subordonnée à l’obtention d’une autorisation de conduite déli-vrée par l’employeur.Les salariés titulaires de cette autorisation de conduite bénéficient d’un suivi individuel renforcé (SIR).Pour la conduite des équipements de travail appartenant aux catégories énumérées ci-après, les travailleurs doivent être titulaires d’une autorisa-tion de conduite : grues à tour, grues mobiles, grues auxiliaires de charge-ment de véhicules, chariots automoteurs de manutention à conducteur porté, plates-formes élévatrices mobiles de personnes, ainsi que les en-gins de chantier télécommandés ou à conducteur porté.L’autorisation de conduite est établie et délivrée au travailleur, par le chef d’établissement, sur la base d’une évaluation effectuée par ce dernier. Cette évaluation, destinée à établir que le travailleur dispose de l’aptitude et de la capacité à conduire l’équipement pour lequel l’autorisation est envisagée, prend en compte les trois éléments suivants :

• Un examen d’aptitude réalisé par le médecin du travail ;• Un contrôle des connaissances et savoir-faire de l’opérateur pour la

conduite en sécurité de l’équipement de travail ;• Une connaissance des lieux et des instructions à respecter sur le ou

les sites d’utilisation.

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BOÎTE À OUTILSL’AIPALS dispose-t-elle d’une boîte à outils où je peux aller recher-cher des renseignements et des informations pratiques ?

Oui, le site web de l’AIPALS dispose d’une boîte à outils dans l’onglet « L’AIPALS et moi ». Il y a une « boîte à outils » pour les chefs d’entreprise et une autre pour les salariés. Elle regroupe l’ensemble des documents de prévention produits par l’AIPALS, sous une approche pratique, pour vous aider à prévenir les risques professionnels.

BRUIT Mon activité génère beaucoup de bruit, comment faire réduire le niveau sonore ou faire en sorte de protéger mes salariés ?

Le bruit constitue une nuisance majeure dans le milieu professionnel. Il peut provoquer des surdités mais aussi du stress et de la fatigue qui, à la longue, ont des conséquences sur la santé du salarié et la qualité de son travail. Pourtant, des moyens existent : traitement acoustique des locaux, encoffrement des machines bruyantes, EPI adaptés, etc.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème du bruit. Ces ate-liers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.




5. Solliciter l’intervention de l’AIPALS dans votre entreprise.

BURNOUT voir aussi RISQUES-PSYCHOSOCIAUX et STRESS

C’est quoi au juste le burnout ?

Le burnout se traduit pat un épuisement physique émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exi-geantes sur le plan émotionnel.Plusieurs facteurs peuvent contribuer à l’émergence des RPS et donc du burnout. Une évaluation des risques psychosociaux est à réaliser.

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CACES voir aussi AUTORISATION DE CONDUITEJ’ai des salariés qui ont passé le CACES ; comment dois-je les déclarer ? Quelle est leur surveillance médicale ?La conduite des équipements de travail mobiles automoteurs et des équi-pements de travail servant au levage est réservée aux travailleurs qui ont reçu une formation adéquate.Le CACES (certificat d’aptitude à la conduite en sécurité) est un bon moyen de s’assurer des connaissances et savoir-faire du conducteur préa-lablement à la délivrance de l’autorisation de conduite.Pour certains équipements présentant des risques particuliers, ils doivent, en outre, être titulaires d’une autorisation de conduite délivrée par l’employeur.Pour les salariés bénéficiant d’une autorisation de conduite de la part de leur employeur, le suivi médical est au maximum de 2 ans, avec un exa-men médical d’aptitude avant l’embauche du salarié par le médecin du travail. Vous devez par conséquent déclarer, pour les salariés concernés, « autorisation de conduite » sur les fiches salariés sur votre espace adhé-rent sur aipals.com


1. Vérifier si le salarié dispose d’une autorisation de conduite.

2. Adapter le suivi individuel et prendre rendez-vous auprès du médecin du tra-vail pour une convocation à un examen d’aptitude d’embauche.

3. Mettre en œuvre un suivi médical renforcé, avec une visite au maximum tous les 2 ans par un professionnel de santé.


CANCÉRIGÈNE, MUTAGÈNE, TOXIQUE POUR LA REPRODUCTION (CMR) voir PRODUITS CHIMIQUES

CANCER PROFESSIONNEL voir MALADIES PROFESSIONNELLES

CANNABIS voir ADDICTION

CHALEURDans le cadre de leur activité, mes salariés travaillent en pleine chaleur. Quelles mesures de prévention mettre en œuvre ?

De nombreux métiers obligent les salariés à évoluer dans des environne-ments marqués par des températures élevées : teintureries, blanchisse-ries, cuisines, fonderies, ateliers de soudure, etc.

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D’autres travaillent en extérieur et peuvent être exposés à la chaleur, no-tamment en été lors des épisodes caniculaires. Ces ambiances thermiques peuvent avoir de graves effets sur la santé et augmenter les risques d’ac-cidents du travail.




3. S olliciter l’intervention de l’AIPALS dans votre entreprise.

CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUESL’activité de mon entreprise expose à des champs électromagné-tiques. Quelles précautions mettre en place pour mes salariés ?

Imperceptibles dans la plupart des situations de travail, les champs élec-tromagnétiques peuvent, au-delà de certains seuils, avoir des effets sur la santé de l’homme. Il est donc important de rappeler quelques notions afin d’évaluer les risques liés à l’exposition aux champs électromagnétiques au poste et dans l’environnement de travail. Cette évaluation sert de base pour la mise en place de mesures de prévention permettant de réduire les expositions professionnelles.

ACTION PROPOSÉE :


COCAÏNE voir ADDICTION

CSE (EX-CHSCT)L’ordonnance du 22 septembre 2017, relative à la nouvelle organi-sation du dialogue social et économique dans l’entreprise, a réor-ganisé dans sa globalité les dispositions relatives aux instances représentatives du personnel (IRP).

Ainsi, les questions relatives à la santé et la sécurité au travail, relevant jusqu’à ce jour du périmètre des CHSCT, seront désormais prises en compte, en fonction de l’organisation mise en place dans l’entreprise, soit par le Comité social et économique (CSE), soit par une Commission santé sécurité et conditions de travail, soit par les représentants de proximité.La mise en place de ces nouvelles instances va se faire progressivement, pour aboutir à une généralisation au 1er janvier 2020 dans toutes les entre-prises d’au moins 11 salariés.

ACTION PROPOSÉE :

1. Solliciter la participation de votre médecin de l’AIPALS au CSE (participation sur demande pour les entreprises de plus de 50 salariés).

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CONDUITE voir RISQUE ROUTIER

CONSEILSVos conseils sont-ils gratuits et pris en charge dans mon adhésion ?

Oui ! L’équipe santé-travail de l’AIPALS peut être sollicitée à tout mo-ment par le chef d’entreprise pour obtenir un accompagnement sur les conditions de santé et de sécurité au travail pour ses salariés. Mais éga-lement lors d’un déménagement des locaux de l’entreprise, pour étudier la conception des ateliers, bureaux, etc. Ces conseils sont compris dans la cotisation annuelle de base que paie l’entreprise. Autrement dit, lorsque vous adhérez à l’AIPALS vous bénéficiez d’un accompagnement global de votre entreprise, tant dans la gestion des risques que dans l’accompagne-ment dans la prévention et le suivi individuel de vos salariés.

ACTION PROPOSÉE :


COTISATION Comment est-elle calculée ?

Depuis 2018, à la demande de l’État, la cotisation à l’AIPALS est basée sur un forfait annuel par salarié. Ce prix annuel comprend l’ensemble des ser-vices que l’AIPALS propose, que ce soit en accompagnement collectif sur des mesures de prévention, des conseils pour prévenir les risques profes-sionnels, les ateliers, les visites et examens médicaux, les boîtes à outils, etc.


1. Bien renseigner dans votre espace adhérent le nombre de vos salariés et pen-ser à réactualiser cette information avant le 31 janvier de chaque année, la facture étant émise en février.

2. Participer sous certaines conditions aux ateliers de prévention, et cela pourra baisser votre cotisation annuelle.

J’adhère à deux services de santé au travail. Pourquoi je ne paie pas la même cotisation ?

En France, chaque service de santé au travail est organisé sous forme d’une association loi 1901, qui a une autonomie financière. Ainsi, chaque service de santé au travail établit une cotisation en fonction de ses charges pour élaborer un budget à l’équilibre.

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DÉMÉNAGEMENT Mon entreprise va déménager. En quoi l’AIPALS peut m’aider ?

Nous pouvons vous accompagner dans votre projet d’entreprise, qu’il s’agisse de la conception d’un bâtiment ou d’un réaménagement d’entre-prise partiel ou global. Les projets perçus comme de « petites dimensions » tels que l’installation d’un système de captage, le choix d’une machine et, le cas échéant, de son implantation, la réorganisation d’une petite ligne de production entrent également dans notre champ d’actions ! Sollicitez-nous car la prévention des risques professionnels est toujours plus efficace et plus économique lorsqu’elle est intégrée en amont du processus de définition et de mise au point des projets de conception et d’implantation des bâtiments et équipements.

ACTION PROPOSÉE :

1. Contacter l’AIPALS pour une prise de rendez-vous et discuter de votre projet.

DIFFICULTÉ En quoi le service de santé au travail peut m’aider dans mes diffi-cultés en matière de santé au travail ?

L’AIPALS est une association de prévention, à but non lucratif, qui conseille et accompagne les chefs d’entreprises et les salariés de la région de Montpellier afin d’améliorer leurs conditions de travail et de préserver leur état de santé tout au long de leur vie professionnelle.L’AIPALS se donne pour priorité d’intervenir avant la survenue d’accidents au travail et de maladies professionnelles et souhaite sensibiliser les tra-vailleurs aux bons gestes à adopter et aux risques auxquels ils peuvent être exposés.Missionnée par l’État (qui lui accorde un agrément de fonctionnement tous les 5 ans), l’AIPALS a pour objectif que les lieux de travail soient favo-rables à la santé et au bien-être des salariés. Pour cela, ses médecins du travail sont entourés d’une équipe de spécialistes de la santé au travail (in-firmière, psychologue du travail, ergonome, toxicologue, préventeur des risques chimiques, assistante sociale, assistante médicale, assistante santé sécurité du travail, etc.) qui intervient autant en centre médical qu’en en-treprise, au plus près des dirigeants et salariés.

Notre rôle est exclusivement préventif : il a pour mission de préserver la santé des salariés de ses entreprises adhérentes. Conformément aux re-commandations de l’OMS, nos actions sont destinées à :

• préserver un haut degré de bien-être physique, mental et social des salariés tout au long de leur parcours professionnel,

• prévenir les risques professionnels auxquels sont exposés les em-ployés sur leur lieu de travail et ainsi les protéger de tous dommages,• maintenir les salariés dans un emploi adapté à leurs capacités physio-logiques et psychologiques.

ACTION PROPOSÉE :

1. Contacter l’AIPALS pour une prise de rendez-vous ou solliciter l’intervention de notre équipe.

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DOCUMENT UNIQUE (DUER)Je sais que je dois rédiger, pour mon entreprise, un « document unique », mais concrètement comment dois-je faire ?

L’évaluation des risques professionnels constitue une étape cruciale de la démarche de prévention. Elle en est le point de départ. Il s’agit par ailleurs d’une obligation légale, dont l’absence, en cas de contrôle ou d’accident, expose à des sanctions. Cela consiste à identifier les risques auxquels sont soumis vos salariés et de les classer par ordre de priorité en vue de mettre en place des actions de prévention tant sur le plan technique, humain qu’organisationnel.Cette démarche, qui doit être très structurée, se formalise par la rédac-tion d’un document : le « document unique d’évaluation des risques professionnels ».L’AIPALS vous accompagne dans l’identification et l’évaluation les risques, mais aussi dans la rédaction de ce document.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème du document unique. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.


3. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un guide et de fiches pratiques d’aide à l’évaluation des risques.

4. Solliciter l’intervention de l’AIPALS pour vous aider à la rédaction du DUERP.

Le DUER a bien été réalisé, mais je n’arrive pas à le mettre à jour. Pouvez-vous m’aider ?

Oui, bien sûr. La mise à jour du document unique doit se faire annuelle-ment mais elle peut être moins fréquente dans les entreprises de moins de 11 salariés.Dès sa rédaction, il est important de dater le document et d’inscrire la méthode adoptée pour que la réactualisation soit faite selon les mêmes critères. Il est également important de faire figurer la méthode d’évalua-tion des risques ayant conduit à la transcription des résultats de cette évaluation.

L’AIPALS A ÉLABORÉ UN GUIDE PRATIQUE AINSI QU’UN FORMULAIRE VIERGE DISPONIBLE EN FORMAT WORD ET ÉGALEMENT EN FORMAT EXCEL SPÉCIALE-MENT POUR SES ADHÉRENTS AFIN DE VOUS FACILITER LA TÂCHE ET QUE VOUS PUISSIEZ, RAPIDEMENT, ÉLABORER LE DOCUMENT UNIQUE D’ÉVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS (DUER) DE VOTRE ENTREPRISE. VOUS POUVEZ LES TÉLÉCHARGER VIA NOTRE SITE INTERNET, RUBRIQUE « L’AIPALS ET MOI », « BOÎTE À OUTILS » « ÉVALUATION DES RISQUES »

Un outil pratique pour vous aider dans votre DUER

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1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème du document unique. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.


3. Solliciter l’intervention de l’AIPALS pour vous aider.

DOULEURS AU DOS voir aussi MANUTENTIONS MANUELLES

Mes salariés se plaignent régulièrement de douleurs au dos. Que puis-je concrètement faire pour les soulager ?

Les lombalgies sont des affections très courantes caractérisées par des douleurs localisées en bas du dos. Elles résultent généralement d’un effort excessif, d’un mouvement brutal ou extrême, de positions statiques, par-fois d’une chute. Le plus souvent, la douleur est provoquée par des lésions uniquement musculaires. Les contraintes professionnelles peuvent jouer un rôle déterminant dans la survenue de telles douleurs : la manutention, les vibrations et le travail physique lourd sont des facteurs de risque avérés. Il est possible en travaillant sur des bons gestes de prévention de dimi-nuer ces problèmes et d’éviter leurs aggravations.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème des manutentions manuelles « Les bons gestes quand on transporte du poids ». Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.





DROGUE voir ADDICTION

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E-LEARNINGJe n’ai pas le temps de faire déplacer mes salariés pour se former. Est-ce que vous proposez des formations en ligne ?

L’AIPALS propose, en effet, des modules e-learning simples et adaptés à votre entreprise. Ils se font directement de votre entreprise, avec comme seul code votre référence adhérent. Ces modules délivrent en fin de par-cours des attestations de suivi de formation, permettant de répondre à votre obligation légale de formation de vos salariés. Une solution pratique, simple, à faire directement depuis votre entreprise et comprise dans votre cotisation annuelle.

ACTION PROPOSÉE :

1. Visionner les modules e-learning de prévention sur notre site internet. Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’organisme de formation Afometra, accessibles directement depuis les « boîtes à outils » sur aipals.com).

EMBAUCHE J’embauche un nouveau salarié, est-ce que je dois obligatoire-ment lui faire passer une visite médicale à l’embauche ?

Oui, toujours, même si le nom a changé. On ne parle désormais plus de « visite médicale à l’embauche » mais de « visite d’information et de préven-tion initiale » depuis une modification de la loi intervenue au 1er janvier 2017. La visite d’information et de prévention initiale doit avoir lieu dans un délai qui n’excède pas 3 mois à compter de la prise effective du poste ou avant l’embauche pour un mineur ou un travailleur de nuit. Cette visite donne lieu à la délivrance d’une attestation de suivi (suivi simple). Par ailleurs, pour les salariés qui sont exposés à au moins un risque né-cessitant une surveillance particulière, vous devez organiser un examen médical d’aptitude avec le médecin du travail. Cette visite donne lieu à la délivrance d’un avis d’aptitude (suivi renforcé).

ACTION PROPOSÉE :

1. Convenir d’un rendez-vous avec l’AIPALS et envoyer une lettre de convocation à votre salarié.

COMMENT DÉTERMINER LE SUIVI DE MON SALARIÉ, SUIVI SIMPLE OU RENFORCÉ ?C’EST L’EXPOSITION AUX RISQUES PROFESSIONNELS QUI DÉTERMINE LE TYPE DE SUIVI ET DÈS LORS LE PROFESSIONNEL DE SANTÉ QUI PRENDRA EN CHARGE LE SALARIÉ. LES SALARIÉS QUI BÉNÉFICIENT D’UN SUIVI INDIVIDUEL RENFORCÉ (SIR) SONT :

• LES SALARIÉS EXPOSÉS À L’UN DES 7 RISQUES SUIVANTS : AMIANTE, PLOMB, AGENTS CANCÉROGÈNES, MUTAGÈNES, REPROTOXIQUES (CMR) 1A ET 1B, AGENTS BIOLOGIQUES DES GROUPES 3 ET 4, RAYONNEMENTS IONISANTS CAT. B, RISQUE HYPERBARE, RISQUES DE CHUTES DE HAUTEUR LORS DES OPÉRA-TIONS DE MONTAGE ET DE DÉMONTAGE D’ÉCHAFAUDAGES. PAR EXEMPLE, SONT CLASSÉS SIR LES MÉCANICIENS, LES SOUDEURS, ETC.

• LES SALARIÉS POUR LESQUELS L’AFFECTATION EST CONDITIONNÉE À UN EXA-MEN D’APTITUDE SPÉCIFIQUE : AUTORISATION DE CONDUITE, CACES, HABILI-TATION ÉLECTRIQUE, SALARIÉ DE MOINS DE 18 ANS AFFECTÉ À DES TRAVAUX DANGEREUX.

• MANUTENTIONS MANUELLES DE CHARGES DE PLUS DE 55KG.

Les risques qui déclenchent un suivi renforcé

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EPC (équipement de protection collective)J’aimerais avoir un avis sur les moyens collectifs à mettre en place pour améliorer la sécurité de mes salariés. Qui peut venir dans mon entreprise ?

Les équipements de protection collective permettent de protéger l’en-semble des salariés et sont dans ce sens à privilégier. Quatre principes régissent les moyens de protection collective :

• la protection par éloignement (balisage, déviation…),• la protection par obstacle (rambarde de sécurité…),• la protection par atténuation d’une nuisance (insonorisation du

local, encoffrement de la pièce usinée, aspiration de poussière, ventilation…),

• la protection par consignation d’une fonction dangereuse lors d’interventions.

L’AIPALS dispose de spécialistes en capacité d’établir un diagnostic et de vous conseiller, car les risques peuvent être de nature très diverse et les équipements de protection collective spécifiques à chaque risque :

• biologique (contact avec des agents biologiques...),• chimique (inhalation de vapeurs de solvants, contact des mains avec

des produits chimiques…),• mécanique (chutes de hauteur, chocs à la tête, projections de parti-

cules dans les yeux…),• électrique,• thermique (travail en chambre froide, projections de métal fondu…),• rayonnements ionisants ou non ionisants (laser, ultraviolet…),• bruit, etc.

ACTION PROPOSÉE :

1. Demander l’intervention de l’AIPALS sur le lieu-même de votre entreprise.

EPI (équipement de protection individuelle)Je mets des EPI à disposition des salariés, est-ce suffisant pour limiter les risques et remplir mes obligations ?

Non. L’utilisation des équipements de protection individuelle (EPI) ne doit être envisagée qu’en complément des mesures collectives d’élimi-nation ou de réduction des risques. Il s’agit souvent de la dernière étape. L’important est d’abord de bien identifier et d’évaluer les risques dans votre entreprise pour envisager toutes les solutions. La protection collective doit constituer la priorité. Ce n’est que lorsque l’analyse des risques révèle que celle-ci est insuffisante ou impossible à mettre en œuvre que l’employeur doit mettre à disposition des salariés les EPI appropriés.Par exemple, des appareils de protection respiratoire sont utilisés pour des interventions pour lesquelles il est impossible de mettre en place un dispositif suffisant de captage ou d’assainissement de l’air ou pour des interventions à caractère exceptionnel et de courte durée (transvasement d’un produit chimique dangereux).


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur les risques auxquels votre entreprise est confrontée. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se dépla-çant à proximité des entreprises.

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3. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez de dé-pliants sur ce sujet. Vous pouvez en laisser à disposition dans votre entreprise.



Le port des EPI est indispensable dans notre métier, mais je constate que certains de mes salariés ne les portent pas. Comment arriver à les convaincre ?

Sur ce point, la parole du chef d’entreprise n’est pas toujours entendue des salariés. L’intervention extérieure d’un professionnel peut permettre de faire passer ces messages de prévention, même si cela ne vous empêche pas d’inscrire le port obligatoire des EPI dans votre réglement intérieur.




ÉVALUATION DES RISQUES voir aussi DOCUMENT UNIQUE

L’évaluation des risques professionnels implique-t-elle une métho-dologie particulière ? Et si oui, où trouver des informations ?

L’évaluation des risques professionnels constitue une étape cruciale de la démarche de prévention. Elle est le point de départ de votre démarche de prévention. Pour cela il faut identifier les risques auxquels sont soumis vos salariés et les classer par ordre de priorité en vue de mettre en place des actions de prévention tant sur le plan technique, humain qu’organisationnel.Cette démarche, qui doit être très structurée, se formalise par la rédaction de deux documents distincts ; en premier lieu la Fiche d’entreprise (FE) élaborée par l’AIPALS, qui constitue un diagnostic des risques profession-nels présents dans l’entreprise, puis dans un second temps, le document unique (DUER) élaboré par l’entreprise, et qui lui sert de plan d’action sur les questions de santé et sécurité au travail.L’AIPALS vous accompagne dans l’identification et l’évaluation des risques. Nous avons élaboré un guide pratique qui vous accompagne pas à pas et qui vous permet d’aboutir à votre DUER.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème du document unique Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.

suite : EPI (équipement de protection individuelle)

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3. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un guide sur le sujet.

4. Solliciter l’intervention de l’AIPALS pour vous aider à la rédaction du DUERP.

EXAMEN MÉDICALComment obtenir un historique et un état des lieux des visites médicales des salariés de mon entreprise ?

Ces informations sont consultables dans votre espace adhérent, dispo-nible sur aipals.com. Vous pouvez y consulter l’ensemble de l’historique des visites, à l’exception des visites demandées par vos salariés (qui restent à leur discrétion).

Est-ce que je dois attendre la prochaine convocation pour que mon salarié voit le médecin du travail ?

Pas forcément. À tout moment, le salarié peut bénéficier d’un examen par le médecin du travail à sa demande, à celle de l’employeur ou du médecin du travail. Si la visite est à la demande du salarié, l’employeur peut ne pas être informé. Elle reste à la discrétion du salarié et du médecin du travail.

ACTION PROPOSÉE :

1. Solliciter une visite à la demande de l’employeur si vous la jugez utile.

Mes salariés reviennent avec des prescriptions d’examens complé-mentaires par le médecin du travail (analyses de sang, électrocar-diogramme, etc). Est-ce à moi de les payer ?

Le médecin du travail peut, en effet, réaliser ou prescrire des examens complémentaires. Ces examens sont entièrement pris en charge par l’AIPALS pour les salariés (à l’exception des travailleurs de nuit, où ces frais sont à la charge de l’entreprise). Ces résultats sont soumis au secret médi-cal, et ne sont pas accessibles à l’employeur. Le temps nécessité par les visites et les examens médicaux, y compris les examens complémentaires est, soit pris sur les heures de travail des travailleurs sans qu’aucune retenue de salaire puisse être opérée, soit ré-munéré comme temps de travail effectif lorsque ces examens ne peuvent avoir lieu pendant les heures de travail.Le temps et les frais de transport nécessités par ces visites et ces examens sont pris en charge par l’employeur (art. R4624-39).

LE REFUS PAR LE SALARIÉ DE SUBIR DES EXAMENS MÉDICAUX COMPLÉMEN-TAIRES, QUI CONDUIT LE MÉDECIN DU TRAVAIL À PRONONCER L’INAPTITUDE, CONSTITUE UNE CAUSE RÉELLE ET SÉRIEUSE DE LICENCIEMENT.

Le saviez-vous ?

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FERTILITÉ voir aussi GROSSESSE et PRODUITS CHIMIQUES

Certains de mes salariés sont en âge d’avoir des enfants ; dois-je prendre des précautions particulières ?

S’intéresser aux liens entre le travail et la capacité de reproduction de l’homme ou de la femme revient à étudier les impacts éventuels de votre activité sur la santé des parents et de leurs futurs enfants. Problème de fer-tilité, fausses couches, prématurité, hypotrophies, malformations, retards de développement sont quelques-unes des conséquences possibles.La démarche de prévention des risques pour la reproduction doit être adaptée aux facteurs de risque identifiés lors de l’évaluation des risques : agents chimiques CMR, agents biologiques, rayonnements, travail de nuit, manutention de charges, travail statique....


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur les risques chimiques. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.


3. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez de plusieurs dépliants relatifs à la prévention du risque chimique. Vous pouvez en laisser à disposition dans votre entreprise.


FICHE D’ENTREPRISE voir aussi DOCUMENT UNIQUE

Un intervenant de l’AIPALS doit venir faire la fiche d’entreprise ; mais à quoi cela sert ?

L’évaluation des risques professionnels constitue une étape cruciale de la démarche de prévention. Elle en est le point de départ. La fiche d’en-treprise est l’identification, l’analyse et le classement des risques permet-tant de définir les actions de prévention les plus appropriées, couvrant les dimensions techniques, humaines et organisationnelles. Sur base de la fiche d’entreprise, l’entreprise peut élaborer son document unique d’éva-luation des risques. La fiche d’entreprise comporte par ailleurs les informations essentielles sur les surveillances médicales à déployer pour l’ensemble des salariés de votre entreprise.

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GESTION DES RISQUES voir ÉVALUATION DES RISQUES

GROSSESSE voir aussi FERTILITÉ et PRODUITS DANGEREUX

L’une de mes salariées vient de m’informer de sa grossesse ; dois-je prendre des dispositions particulières ?

Certaines activités d’un métier (notamment ceux qui exposent aux risques chimiques) peuvent avoir des conséquences graves sur le déroulement de la grossesse de votre salariée et son futur enfant : difficultés de conception, fausse couche, accouchement prématuré, malformations congénitales, infections, retard de croissance, retard de développement neurologique…Lors de l’allaitement un certain nombre de produits chimiques auxquels est exposée la mère peut se retrouver dans le lait et entraîner une conta-mination, voire une intoxication de l’enfant.Il est donc très important d’être vigilant dès le début de la grossesse, en aménageant éventuellement son poste de travail. Il est essentiel d’en in-former au plus tôt le médecin du travail et les professionnels de santé de son équipe.


1. Prendre rendez-vous avec le médecin du travail qui accompagne votre entreprise.


3. Solliciter l’intervention de l’AIPALS.

GUIDES PRATIQUESL’AIPALS dispose-t-elle de documentations papier facilement accessibles et distribuables aux salariés ?

Oui, sur son site internet, l’AIPALS a mis en ligne une « boîte à outils » em-ployeur et une « boîte à outils » salarié. Vous pouvez y trouver :

. plus d’une vingtaine de dépliants sur le risque bruit, le risque chimique, le risque routier ou encore le travail de nuit,

. et plus d’une dizaine de guides sur l’élaboration du document unique, les repérages des risques psychosociaux dans les entreprises de moins de 50 salariés, la prévention des conduites addictives, etc.

ACTION PROPOSÉE :

1. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet.

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HANDICAP Suite à un problème, mon salarié est désormais en situation de handicap. Comment peut-on l’aider et l’accompagner dans l’amé-nagement de son poste de travail ?

85% des situations de handicap surviennent au cours de la vie (privé ou professionnelle). Avoir un handicap ne signifie pas forcément ne plus pou-voir travailler. Certains handicaps sont « mineurs », d’autres peuvent faire l’objet d’aménagement de poste afin de maintenir dans l’emploi le salarié. Différentes démarches peuvent être mises en place et notre équipe est là pour accompagner tant le salarié que le dirigeant d’entreprise dans cette épreuve.


1. Solliciter une visite de pré-reprise ou de reprise du travail.

2. Demander la consultation de notre service social auprès du médecin du travail.

3. Prendre contact avec l’AIPALS pour une étude de poste ou pour toute évolution afin de maintenir le salarié dans l’emploi.

HARCÈLEMENTHarcèlement au travail, un sujet tabou ?

Le harcèlement au travail existe, qu’il soit moral ou sexuel. L’employeur a l’obligation d’agir (le harcèlement est qualifié de délit). Il peut entraîner une dégradation des conditions de travail, porter atteinte aux droits et à la dignité, altérer la santé physique et mentale et compromettre l’avenir professionnel du salarié.



2. Communiquer et afficher les informations à la prévention de ce risque.

HORAIRES ATYPIQUES voir TRAVAIL DE NUIT

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INAPTITUDE Que dois-je faire lorsqu’une inaptitude est prononcée pour l’un de mes salariés ?

L’inaptitude ne peut intervenir qu’après une étude de poste et des condi-tions de travail, demandée par le médecin du travail. Des échanges ont également lieu avec le salarié (au moins un examen médical) et l’em-ployeur, afin que chacun fasse valoir ses observations. Dans certains cas, un second examen est nécessaire pour rassembler les éléments permet-tant au médecin de motiver sa décision. Une fois le salarié déclaré inapte, l’employeur a l’obligation de recher-cher un reclassement sur tout poste compatible avec l’état de santé du salarié, en tenant compte des recommandations du médecin du travail. L’employeur doit également prendre en compte l’avis des DP ou du CSE s’il existe. L’employeur ne peut être dispensé de recherche de reclassement que si l’avis médical comporte précisément au moins l’une des deux mentions suivantes : « tout maintien du salarié dans un emploi serait gravement préjudiciable à sa santé » ou « l’état de santé du salarié fait obstacle à tout reclassement dans un emploi ».

Une procédure d’inaptitude est-elle possible lorsqu’un salarié est en CDD ?

Oui. La procédure est la même que pour un CDI. Et, là aussi, l’employeur a pour obligation de rechercher un reclassement sur tout poste compatible avec l’état de santé du salarié, en tenant compte des recommandations du médecin du travail. Si un reclassement est proposé, il entraîne la signature d’un avenant au contrat de travail. En cas d’impossibilité de reclassement, l’inaptitude constitue un motif permettant de rompre le CDD de manière anticipée. Si la fin du CDD est proche, le salarié peut aussi terminer son contrat en arrêt de travail.

INTÉRIMAIRESJ’emploie des intérimaires. Est-ce à moi de m’occuper de leur santé (visite médicale, prévention des risques, etc.) ?

Le recours au travail temporaire donne lieu à une relation tripartite entre le salarié, l’agence d’intérim et l’entreprise utilisatrice. Néanmoins toutes les parties doivent être engagées dans la prévention des risques pour préser-ver la santé mentale et physique de ce salarié au statut particulier.Le salarié intérimaire est plus particulièrement exposé aux risques pro-fessionnels et aux accidents du travail. Les chiffres le prouvent : les acci-dents du travail sont plus nombreux chez cette population de salariés. Tout simplement parce qu’ils changent souvent de postes, d’entreprises et travaillent régulièrement dans des secteurs d’activité où les risques sont importants (comme le BTP ou la logistique).Pour les protéger, il est nécessaire d’intégrer la prévention des risques pro-fessionnels lors de la préparation en amont de la mission et lors de leur accueil, de leur formation et de leur suivi tout au long de leur mission.Le suivi individuel des travailleurs temporaires est réalisé par le Service de Santé au Travail de l’agence d’intérim. Toutefois, si l’intérimaire est affecté au cours de sa mission à un poste nécessitant un suivi individuel renfor-cé et qu’il n’en a pas bénéficié, vous devez en tant qu’entreprise utilisa-trice, organiser un examen médical d’aptitude pour ce poste avec votre médecin du travail.

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1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention dédié aux intérimaires. Ces ate-liers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.

2. Visionner le module e-learning « gestion de la sous-traitance » sur notre site internet. Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’organisme de formation Afometra).



INVALIDITÉ Quelle différence entre invalidité et inaptitude ?

Ces deux notions sont clairement distinctes. L’aptitude est une notion précisée par le Code du travail et qui concerne la capacité d’un salarié à occuper un poste précis. Elle est appréciée par le médecin du travail par rapport à un emploi spécifique et particulier, celui occupé par le salarié. Un salarié peut ainsi souffrir d’une pathologie qui ne lui permet plus d’oc-cuper son emploi mais qui ne l’empêche pas d’en occuper un autre au sein de l’établissement. S’il n’est pas reclassé dans l’établissement, cela ne l’empêche pas de trouver un emploi dans une autre entreprise. Il n’est pas invalide. L’invalidité est, quant à elle, une notion définie par le Code de la Sécurité sociale et qui concerne la capacité d’une personne à travailler. Elle est ap-préciée par le médecin conseil de la caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) et correspond à un état réduisant au moins des deux tiers la capa-cité de gain ou de travail de la personne concernée.

Un salarié m’a transmis une notification d’invalidité, que dois-je faire ?

Vous devez solliciter votre médecin du travail pour l’organisation d’une visite de reprise en vue d’un aménagement de poste si une reprise du travail à temps partiel est envisageable ou d’une procédure d’inaptitude.

ACTION PROPOSÉE :


LOMBALGIE voir DOULEURS AU DOS

suite : INTÉRIMAIRES

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MACHINE voir AMÉNAGEMENT DE POSTE

MAINTIEN DANS L’EMPLOI voir ARRÊT DE TRAVAIL

MALADIE CONTAGIEUSE J’ai un cas de maladie contagieuse dans mon établissement (coqueluche, tuberculose, etc) : à qui dois-je m’adresser pour connaître la conduite à tenir ?

Votre premier réflexe doit être d’appeler votre médecin du travail afin qu’il vous dispense tous les conseils utiles, et qu’il vous mette en relation avec les bons interlocuteurs.

ACTION PROPOSÉE :


MALADIE PROFESSIONNELLE Comment puis-je savoir si les risques auxquels mes salariés sont exposés peuvent engendrer des atteintes à la santé reconnues comme maladies professionnelles ?

Une maladie peut être reconnue comme maladie professionnelle si elle figure dans l’un des tableaux du régime général de la Sécurité sociale ou du régime agricole.Une maladie est dite « professionnelle » si elle est la conséquence directe de l’exposition habituelle d’un travailleur à un risque physique, chimique, biologique ou résulte des conditions dans lesquelles il exerce son activité professionnelle.Une maladie professionnelle est la conséquence de l’exposition plus ou moins prolongée à un risque qui existe lors de l’exercice habituel de la profession. Ce peut être, par exemple, l’inhalation quotidienne de petites doses de poussières ou de vapeurs toxiques ou l’exposition répétée à des agents physiques (bruit, vibrations, etc.). Certaines maladies professionnelles peuvent ne se manifester que des années après le début de l’exposition au risque et même parfois très long-temps après que le travailleur ait cessé d’exercer le travail à l’origine de la maladie.Le droit à réparation se fonde, dans un grand nombre de cas, sur des cri-tères médicaux et techniques de probabilité et sur des critères adminis-tratifs de présomption.


1. Se rapprocher de votre médecin du travail pour en parler.

2. Solliciter l’intervention de notre équipe pluridisciplinaire pour identifier les postes susceptibles d’être à l’origine de maladies professionnelles et les actions de prévention à mettre en œuvre.

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MANUTENTIONS MANUELLES voir aussi DOULEURS AU DOS

Mes salariés portent souvent des charges lourdes ; je souhaiterais analyser ce que cela représente, mais je ne sais pas comment m’y prendre…

Les manutentions manuelles recouvrent toutes les opérations de trans-port ou de soutien d’une charge : levage, pose, poussée, traction, port et déplacement.Un premier travail consiste à analyser l’organisation du travail : effort phy-sique requis, caractéristiques du milieu de travail, exigences de l’activité, caractéristiques de la charge. Des mesures de prévention doivent être ensuite mises en place : limites de port de charges, formation des travailleurs à la sécurité et formation aux gestes et postures, dispositions spécifiques à certaines activités, et information des salariés sur les risques, le poids des charges et les condi-tions de manutention.Des modalités de surveillance médicale particulière peuvent être préconi-sées par le médecin du travail.


1. Se rapprocher de votre médecin du travail pour en parler.

2. Solliciter l’intervention de notre équipe pluridisciplinaire pour une approche ergonomique des postes de travail et la recherche de solutions.

3. Participer à l’un de nos ateliers de prévention dédié aux manutentions ma-nuelles. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.

4. Visionner le module e-learning « postures et gestes » sur notre site internet. Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’organisme de formation Afometra).

MATERNITÉ voir GROSSESSE

NANOMATÉRIAUXJe ne sais pas si mon activité m’expose aux nanomatériaux. Pouvez-vous m’aider ?

Les nanomatériaux ouvrent à la recherche et à l’industrie des perspectives nombreuses et variées. L’émergence de ces nouveaux matériaux et la prise en compte des particules ultrafines émises lors de certains procédés industriels amènent à se poser la question des risques encourus lors de l’exposition professionnelle.Les nanomatériaux constituent ainsi une nouvelle famille d’agents chimiques qui présentent de multiples différences en termes de compo-sition et de caractéristiques. De l’industrie pharmaceutique aux télécom-munications, de l’aéronautique à la chimie, les champs d’application des nanotechnologies apparaissent chaque jour plus nombreux.Les connaissances sur la toxicité des nano-objets demeurent lacunaires.

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Néanmoins, elles indiquent que :• À masse équivalente, les objets nanométriques présentent une toxicité

plus grande et sont à l’origine d’effets inflammatoires plus importants que les objets micro et macroscopiques et de même nature chimique.

• Chaque nano-objet possède un potentiel de toxicité qui lui est propre.




NANOPARTICULES voir NANOMATÉRIAUX

NOUVEAUX SALARIÉS voir aussi EMBAUCHE & INTÉRIMAIRES

et EXPOSITION RISQUES PROFESSIONNELS

J’accueille régulièrement des nouveaux salariés et/ou des intéri-maires et je souhaiterais être accompagné sur un parcours d’inté-gration. L’AIPALS peut-elle m’aider ?

Lors de l’accueil d’un nouveau salarié, quel que soit son statut, il est essen-tiel de le former à la santé et la sécurité sur son poste de travail. C’est une obligation légale pour l’employeur. Pour protéger ce nouveau salarié, il est nécessaire d’intégrer la prévention des risques professionnels lors de la préparation en amont de la mission et lors de son accueil, de sa formation et de son suivi tout au long de sa mission.


1. Visionner le module e-learning « gestion de la sous-traitance » sur notre site internet. Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’organisme de formation Afometra).

2. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un dépliant sur les intérimaires.


NUIT voir TRAVAIL DE NUIT

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OBLIGATIONS LÉGALESJe ne connais pas mes principales obligations en matière de santé et de sécurité au travail. Qui peut me renseigner ?

Votre service de santé au travail ! Les obligations des chefs d’entreprises peuvent paraitre nombreuses et complexes. Le Code du Travail précise, au regard de chaque risque, les éléments à prendre en compte afin d’éva-luer le risques et les actions à mettre en œuvre en fonction des résultats de l’évaluation. À l’AIPALS, nous avons prévu tout un dispositif pour vous rendre la vie plus simple en vous informant et en vous accompagnant dans vos obligations légales.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème des obligations légales. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.

2. Visionner le module e-learning de prévention « Évaluation des risques » sur notre site internet. Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’organisme de formation Afometra).

3. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez de guides sur le sujet.

4. Prendre contact avec l’AIPALS.

PÉNIBILITÉDans mon activité professionnelle, les salariés peuvent être amenés à travailler dans des conditions pénibles (bruit, travail de nuit…). Que dois-je faire ?

La réforme des retraites a introduit des dispositions dans le Code du Travail concernant la pénibilité au travail. Ce dispositif de prévention, de traçabilité et de compensation se base sur la prise en compte par les en-treprises de certains facteurs de risques liés à des contraintes physiques marquées, à un environnement physique agressif ou à des rythmes de travail. Cela doit déboucher sur la mise en place d’actions spécifiques.En matière de prévention de la pénibilité, tout employeur doit adopter la démarche suivante :

• identifier les risques professionnels facteurs de pénibilité et les tracer dans le document unique d’évaluation des risques,

• concernant les 6 facteurs relevant du compte personnel de préven-tion (C2P), évaluer si le niveau d’exposition dépasse les seuils de péni-bilité réglementaires.


1. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un guide d’aide à l’évaluation de la pénibilité.

2. Solliciter l’intervention d’un spécialiste de l’AIPALS dans votre entreprise.

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PERTURBATEURS ENDOCRINIENSJe ne sais pas si mon activité m’expose à des perturbateurs endo-criniens. Pouvez-vous me renseigner ?

Les perturbateurs endocriniens sont des substances ou des mélanges chimiques capables de modifier le fonctionnement du système hormonal. Ils sont susceptibles de provoquer des effets nocifs tant chez les individus exposés que sur leur descendance.Il convient de mettre en place une démarche de prévention visant à sup-primer les risques ou, à défaut, de limiter l’exposition des travailleurs, et particulièrement celle des femmes enceintes ou en âge de procréer, à un niveau aussi bas que possible.

ACTION PROPOSÉE :


PORT DE CHARGES voir aussi DOULEURS AU DOS

et MANUTENTIONS MANUELLES

Certains postes impliquent des travaux physiques importants et j’ai de plus en plus d’arrêts de travail liés à des lombalgies. Com-ment agir ?

Les équipes de l’AIPALS apportent leurs conseils sur l’aménagement des postes de travail en vue de les adapter au mieux à l’activité des travail-leurs. Pour cela, ils prennent en compte les caractéristiques techniques, les contraintes organisationnelles et les facteurs humains. Sur demande du chef d’entreprise ou à l’initiative du médecin du travail, une interven-tion de l’AIPALS sur le lieu-même de l’entreprise est possible. Il peut s’agir de réaliser un diagnostic sur un risque précis, agir sur un problème orga-nisationnel ou en lien avec les salariés, accompagner l’entreprise sur un nouveau projet, etc.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème des manutentions manuelles « les bons gestes quand on transporte du poids » et/ou « douleurs physiques : des solutions existent ». Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.

2. Visionner le module e-learning de prévention sur notre site internet. Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’organisme de formation Afometra.).




POSTE DE TRAVAIL voir aussi AMÉNAGEMENT DE POSTE

Suite à la visite médicale d’un salarié, le médecin du travail demande que son poste soit aménagé. Comment faire ?

La conception et l’aménagement de postes de travail impose l’application de données ergonomiques en vue de prévenir les risques et d’améliorer les conditions de travail. 7 points importants sont à prendre en compte lors de la conception des postes de travail : accès et circulation, communication, contraintes de temps, nuisances physiques et chimiques, informations, manutention et efforts, dimensionnement et postures. Des professionnels peuvent vous accompagner dans votre démarche.

ACTION PROPOSÉE :

1. Solliciter l’intervention d’un spécialiste de l’AIPALS pour un diagnostic et des préconisations.

POUSSIÈRES Le milieu de travail dans lequel interviennent mes salariés est poussiéreux. Que puis-je faire ?

Les poussières sont de très fines particules solides qui restent en suspen-sion dans l’air et dont le niveau de pénétration dans l’organisme, par voie pulmonaire, dépend de leur taille.De manière générale, les poussières sont considérées comme gênantes ou dangereuses pour la santé car elles ont pour effet :

• une gène respiratoire (poussières dites inertes, c’est-à-dire sans toxi-cité particulière,

• des effets allergènes (asthme causé par la farine),• des effets toxiques sur l’organisme (neurotoxicité des poussières de

mercure, effets immunologiques du béryllium…),• des lésions au niveau du nez (rhinites, perforations de la cloison na-

sale, cancer de l’ethmoïde),• es effets fibrogènes (prolifération de tissus conjonctifs au niveau des

poumons (silicose, sidérose…),• des effets cancérigènes (au niveau pulmonaire pour l’amiante, nasal

pour le bois…

ACTION PROPOSÉE :

1. Solliciter l’intervention d’un spécialiste de l’AIPALS pour un diagnostic et des préconisations.

PRODUITS CHIMIQUES voir aussi GROSSESSE, FERTILITÉet ÉVALUATIONS DES RISQUES

J’aimerais mettre en place une démarche d’évaluation du risque chimique pour un poste de travail ou un atelier. Pouvez-vous m’ac-compagner ?

Omniprésents sur les lieux de travail, les produits chimiques passent parfois encore inaperçus. Pourtant de nombreux produits chimiques peuvent avoir des effets sur l’homme et son environnement. Repérer les produits, les mélanges ou les procédés chimiques dangereux et connaître leurs effets, constituent une première étape avant la mise en œuvre des moyens de prévention adaptés....La prévention des risques chimiques repose notamment sur une identifi-cation des produits dangereux présents dans l’entreprise, quelle que soit son activité, et sur une évaluation des risques exhaustive et rigoureuse.

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De plus, la réglementation prévoit des dispositions spécifiques pour les agents chimiques dangereux, les agents cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction (CMR) et les procédés cancérogènes. Ainsi plus un produit ou un procédé chimique est dangereux, plus les règles de prévention à respecter pour protéger les travailleurs sont strictes.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur les risques chimiques. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.





Mes salariés se plaignent d’une gêne (maux de tête, irritation, etc.) ou d’une odeur à leur poste Des produits sont émis au poste de travail (poussières, vapeurs (ex : solvants), fumées (ex : soudage)). Pouvez-vous mettre en évidence les polluants présents sur un poste de travail ?

Un certain nombre de produits chimiques ne disposent pas d’étiquettes ou de fiches de données de sécurité mais présentent tout de même des dangers. C’est le cas des produits émis par des procédés (comme par exemple les poussières de bois, les fumées de soudage, les gaz d’échappe-ment, les produits de combustion … ). Ils nécessitent donc une recherche d’informations complémentaires voire la réalisation de mesures d’am-biance afin de détecter en temps réel les polluants.

ACTION PROPOSÉE :


J’aimerais sensibiliser mes salariés aux bons comportements à adopter pour la manipulation des produits chimiques. Propo-sez-vous des sensibilisations ?

Les travailleurs doivent avoir accès aux fiches de données de sécurité (FDS), recevoir une information sur les agents chimiques dangereux (noms, risques, …) et une formation sur les précautions à prendre pour leur protection et celle des autres personnes, pour connaître notam-ment les consignes portant sur les mesures d’hygiène et l’utilisation des EPI. À ce titre, l’AIPALS a développé un atelier relatif à la prévention du risque chimique, l’AIPALS peut même vous proposer des sensibilisations sur-mesure au sein même de votre entreprise.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur les risques chimiques. Ces ate-liers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.




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RAYONNEMENTS IONISANTSJe pense que certaines substances que nous utilisons sont radioactives. Que dois-je faire ?

La radioactivité est un phénomène naturel lié à l’instabilité de certains atomes qui composent la matière. Ces atomes instables (les radioélé-ments) émettent des rayonnements qui, en interagissant avec la ma-tière, peuvent l’ioniser, c’est-à-dire enlever un ou plusieurs électrons à ses atomes. Ces rayonnements sont dits ionisants.La radioactivité peut provenir de substances radioactives naturelles (ura-nium, radium, radon) ou artificielles (californium, américium, plutonium). Différents dispositifs et installations (accélérateurs de particules, géné-rateurs électriques…) peuvent également émettre des rayonnements ionisants.Protéger le travailleur, compte tenu des risques encourus, passe d’abord par l’évaluation des risques, en prenant en compte le processus industriel et les conditions d’exposition des personnes. Cela passe également par l’application de mesures de prévention qui visent à maîtriser les risques de contamination par les matières radioactives ainsi que les risques d’ex-position aux rayonnements ionisants.La prévention des risques d’exposition aux rayonnements ionisants est encadrée par un certain nombre de dispositions réglementaires, figurant dans le Code de la santé publique et le Code du travail. La réglementation prévoit notamment des valeurs limites d’exposition et un classement des travailleurs exposés.


1. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un dépliant abordant ce sujet, avec des valeurs limites d’exposition.


RAYONNEMENTS OPTIQUESNous utilisons des machines qui émettent des lumières intenses, des rayons ultraviolets… Est-ce dangereux ?

Les rayonnements optiques auxquels peuvent être exposés les travailleurs sont parfois nocifs pour les yeux et pour la peau. Une démarche de pré-vention adaptée permet de réduire les risques pour la santé et la sécurité. Les rayonnements optiques sont classés selon leurs longueurs d’onde et comprennent l’ultraviolet, le visible, seul domaine perceptible par l’œil hu-main et l’infrarouge.

ACTION PROPOSÉE :


RÉFÉRENT SANTÉ SÉCURITÉ Désigné comme « référent santé sécurité » dans l’entreprise, notre salarié aimerait faire un point avec des professionnels pour réaliser un bilan global sur la sécurité dans la société. L’AIPALS peut-elle l’accompagner ?

Oui, l’AIPALS est à ses côtés pour l’aider. Il n’est pas toujours évident de remplir cette mission de « salarié compétent » sur la protection et la pré-vention des risques professionnels. Une sensibilisation et une montée en compétence est possible, ainsi qu’un accompagnement par les spécialistes de l’AIPALS. O

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1. Participer à notre atelier sur le « référent santé sécurité ». Cet atelier, de 2 heures, est dispensé par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.


Je souhaite faire monter en compétence un de mes collaborateurs afin qu’il puisse m’assister dans la gestion des risques. Je n’ai pas les ressources pour le former en interne, à qui faire appel ?

Votre démarche est la bonne. Car c’est bien à l’employeur de mettre en œuvre la démarche de prévention dans son entreprise, dont il est léga-lement responsable. Toutefois, dans cette tâche, il doit s’appuyer sur les compétences d’un « salarié compétent » pour la protection et la préven-tion des risques professionnels. L’AIPALS peut vous accompagner dans le parcours de montée en compé-tence de ce salarié. Attention, toutefois, la désignation d’un « salarié com-pétent » n’a pas pour effet de transférer la responsabilité de l’employeur dans le domaine de la santé et sécurité du travail à cette personne.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème du « Référent en Santé et Sécurité : quel est son rôle ? ». Cet atelier, de 2 heures, est dispensé par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.


RÉGLEMENTATION voir OBLIGATIONS LÉGALES

RENDEZ-VOUSJ’aimerais prendre rendez-vous pour le suivi médical de mes sala-riés, comment dois-je m’y prendre ?

Pour toutes vos demandes de rendez-vous, vous devez vous connecter à votre espace adhérent, disponible sur notre site aipals.com. Si le poste du salarié est déjà créé, vous devez simplement aller dans « Prendre un rendez-vous ».S’il s’agit d’un nouveau salarié, vous devez créer le poste du salarié. Veillez à bien préciser les risques professionnels auxquels votre salarié est expo-sé ; c’est cette déclaration qui détermine le suivi individualisé de santé de votre salariés (voir expositions aux risques professionnels). Le rendez-vous ne pourra être demandé qu’une fois que votre demande aura été validée par l’assistante médicale, au plus tôt le lendemain de la création.Si vous ne vous souvenez plus de vos identifiants de connexion, vous pouvez nous contacter à [email protected] ou nous appeler au 04.28.70.08.85.

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REPRISE DU TRAVAIL voir VISITE DE REPRISE

RESTRICTIONSMes salariés se questionnent sur leur devenir professionnel compte tenu de leur état de santé. Peuvent-ils être touchés par des restric-tions d’aptitude et comment prévenir une éventuelle inaptitude ?

L’AIPALS fait de la prévention de la désinsertion professionnelle l’une de ses priorités. Elle concerne les salariés qui, du fait de leur état de santé, risquent de perdre leur emploi.En fonction de la problématique, l’AIPALS propose un accompagnement par un psychologue du travail ou une assistante sociale.En partenariat avec la CARSAT et le SAMETH (Services d’Appui au Maintien dans l’Emploi des Travailleurs Handicapés), l’AIPALS a mis en place une cellule de maintien dans l’emploi pour les salariés ayant des restrictions d’aptitude difficilement compatibles avec leur poste de travail ou en risque d’inaptitude, permettant de maintenir leur employabilité.

ACTION PROPOSÉE :

1. Prendre contact avec le médecin du travail.

RESTRUCTURATIONJe dois annoncer à mes salariés un plan de restructuration pour l’année à venir. Dois-je prendre des précautions particulières ?

Le dialogue social est la base d’une relation saine entre l’entreprise et ses salariés. Il est donc essentiel d’anticiper au maximum ce genre de situa-tion afin de pouvoir étudier avec l’ensemble des parties prenantes, dont le médecin du travail, les solutions à mettre en place pour accompagner vos salariés.

ACTION PROPOSÉE :

1. Prendre contact avec le médecin du travail.

RISQUES PROFESSIONNELS voir ÉVALUATION DES RISQUES,DOCUMENT UNIQUE

On me demande d’indiquer les risques encourus par les salariés. Mais il n’y en a pas… Que dois-je faire ?

Il y a forcément des risques, mais peut-être que vous ne les voyez plus par habitude. Si vos salariés sont amenés à se déplacer en voiture, il y a par exemple le risque routier. S’ils travaillent sur ordinateur, il y a aussi le risque de travail sur écran. Le mieux est de solliciter l’AIPALS pour vous aider à réaliser un diagnostic des risques.


1. Participer à nos ateliers prévention. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.

2. Visionner les modules e-learning de prévention sur notre site internet. Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’organisme de formation Afometra).

3. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez de différents dépliants relatifs à la prévention des risques. Vous pouvez en laisser à disposition dans votre entreprise.

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Mes activités exposent mes salariés à des risques ; cependant je n’ai ni les moyens, ni les ressources pour les sensibiliser en interne.

L’AIPALS vous propose, dans le cadre de sa mission de prévention, diffé-rents outils, dont le coût est compris dans votre cotisation annuelle, vous permettant de les sensibiliser. Ainsi, vous pouvez disposer, d’ateliers de prévention sous un format court et pratique, ou bien encore de modules e-learning à déployer directement depuis vos locaux, avec une simple connexion internet.


1. Consulter le programme de nos ateliers sur notre site internet.

2. S’inscrire à un atelier prévention sur notre site internet.

3. Demander un atelier sur-mesure dans votre entreprise.

Je souhaiterais faire un bilan des risques professionnels dans mon entreprise, mais concrètement, comment faire ?

L’évaluation des risques professionnels constitue une étape cruciale de la démarche de prévention. Votre démarche est la bonne. L’identification, l’analyse et le classement des risques permettront de définir les actions de prévention les plus appropriées, couvrant les dimensions techniques, humaines et organisationnelles. L’AIPALS peut vous accompagner en structurant votre démarche et en la suivant pas à pas (voir document unique).


1. Participer à notre programme d’ateliers de prévention pour mieux identifier les différents risques possibles.

2. Contacter l’AIPALS pour faire un premier point .


RISQUE CHIMIQUE voir PRODUITS CHIMIQUES

RISQUES D’INCENDIE ET D’EXPLOSIONMon activité professionnelle fait que mes salariés peuvent être soumis à des risques d’incendie et d’explosion. Comment m’en protéger ?

Les incendies et les explosions sont à l’origine de blessures graves voire mortelles, et de dégâts matériels considérables. Chacun de ces risques fait l’objet d’une démarche de prévention spécifique dont l’objectif prioritaire est d’agir avant que le sinistre ne survienne.La lutte contre le risque d’incendie impose de mettre en place des me-sures techniques et organisationnelles visant à supprimer tout départ de feu ainsi qu’à limiter la propagation et les effets d’un incendie.


1. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un dépliant relatif à la prévention du risque d’incendie. Vous pouvez en laisser à disposition dans votre entreprise.



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RISQUES PSYCHO-SOCIAUX (RPS) voir aussi BURNOUT et STRESS

Les relations humaines sont de plus en plus tendues au sein de mon entreprise. J’ai le sentiment que certains de mes salariés sont en souffrance. Que faire ?

Il ne faut, en effet, pas laisser des salariés dans la souffrance et une mau-vaise ambiance s’installer. Tout ceci peut être source de mal-être, de stress, et pourra avoir des conséquences néfastes sur votre activité écono-mique. Les risques psycho-sociaux (stress, violences internes et externes) sont aujourd’hui un phénomène en constante hausse qui n’épargne au-cun secteur d’activité. L’intervention de spécialistes peut être recomman-dée pour identifier les sources des tensions. L’équipe AIPALS a déployé un guide d’évaluation des risques psycho-sociaux, très pratique et concret, avec des plans d’actions intégrables dans le document unique (entreprise de moins de 50 salariés).


1. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un guide d’évaluation des RPS pour les entreprises de moins de 50 salariés.

2. Participer à nos ateliers de prévention sur les risques psycho-sociaux. Ces ate-liers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.




RISQUE ROUTIERMes collaborateurs sont amenés à beaucoup se déplacer en voiture pour leurs rendez-vous professionnels. Quelles actions de prévention puis-je mettre en place ?

Conduire pour son travail entraîne des contraintes particulières et expose à des risques professionnels au premier rang desquels les accidents de la route, à l’origine de plus de 20% des accidents mortels du travail. La prévention du risque routier consiste à agir sur différentes dimensions : les déplacements, les communications, l’état des véhicules et les com-pétences des salariés à la conduite. Car, satisfaire aux exigences profes-sionnelles tout en respectant le Code de la route impose parfois de fortes contraintes aux conducteurs (ponctualité, respect des limites de vitesses, réactivité, interdiction de téléphoner au volant…). Une sensibilisation par-ticulière doit être menée auprès des salariés.


1. Faire participer vos salariés à notre atelier de prévention sur le risque routier.


3. Distribuer à vos salariés le dépliant de l’AIPALS sur ce sujet, consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet.



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SAISONNIERJ’accueille des saisonniers le mois prochain, je ne sais pas com-ment les sensibiliser aux risques propres à mon activité.

Des actions de sensibilisation et de prévention spécifiquement adaptées aux risques professionnels de l’activité sont organisées pour les salariés saisonniers. Cela peut se faire soit sous la forme d’une sensibilisation col-lective avec d’autres entreprises, soit directement au cœur de votre en-treprise (en fonction de la taille de votre entreprise). Peu importe le statut de vos salariés, vous êtes dans l’obligation d’informer et de former à la sécurité vos salariés.Notre équipe est à votre disposition.

ACTION PROPOSÉE :

1. Se renseigner auprès de l’AIPALS pour organiser une sensibilisation.

SECRET MÉDICALJ’aimerais connaître les raisons de l’arrêt d’un de mes salariés. Pouvez-vous me renseigner ?

Non. Il n’y a pas de communication concernant les éléments médicaux entre médecin du travail et employeur. Le médecin du travail est tenu à un devoir de confidentialité par le code de déontologie : il concerne les secrets qui lui sont confiés. Toutefois, en raison de sa spécialité médecine du travail, il est en mesure d’intervenir auprès de l’employeur pour que les conditions de travail soient modifiées dans l’intérêt du salarié.

Mes salariés craignent de parler au médecin du travail de peur que j’ai accès à des informations personnelles les concernant. Com-ment les rassurer ?

Les professionnels de la santé au travail sont soumis aux mêmes obliga-tions que tous les autres professionnels de santé : ils ont le même code de déontologie que votre médecin généraliste ! Par ailleurs, si les médecins du travail sont bien des salariés du service de santé au travail, ils n’ont au-cun lien de subordination par rapport à leur employeur. Le médecin garde sa totale indépendance.

SENSIBILISATION Je mets en place des réunions de sécurité avec mes salariés, j’aimerais avoir l’appui d’un préventeur externe pour avoir plus d’impact. Est-ce possible ?

Oui, sur demande du chef d’entreprise ou à l’initiative du médecin du travail, une intervention de l’AIPALS sur le lieu-même de l’entreprise est possible. L’AIPALS dispose d’une équipe de préventeurs en capacité de vous accompagner.

J’ai un devoir de sensibilisation de mes salariés. Comment y répondre rapidement ?

Former les salariés à la sécurité constitue, en effet, une obligation légale de l’employeur et fait partie intégrante de la politique de prévention qu’il doit mettre en œuvre. Cette obligation de l’employeur a pour objectif de permettre aux salariés de prendre les précautions nécessaires pour pré-server leur propre sécurité, mais aussi celle des autres travailleurs.

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1. Participer à notre programme d’ateliers de prévention (+ de 15 thématiques différentes). Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.


3. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez de différents dépliants sur lesquels vous pouvez vous appuyer pour sensibiliser vos salariés. Vous pouvez en laisser à disposition dans votre entreprise.

4. Se renseigner auprès de l’AIPALS pour organiser une sensibilisation sur-me-sure dans votre entreprise.

SERVICE SOCIAL DU TRAVAILCertains de mes salariés semblent rencontrer des difficultés so-ciales (handicap, difficultés au travail, isolement, etc.). Avez-vous une assistante sociale qui peut les aider ?

Les établissements de plus de 250 salariés disposent habituellement de leur propre service social du travail, qui agit en liaison constante avec le service de santé au travail. Pour les autres entreprises, l’AIPALS dispose en effet d’un service social, en appui des médecins du travail, pour les salariés qui sont en difficultés. Nos équipes sont notamment vigilantes sur l’em-ploi des femmes, des jeunes et des travailleurs handicapés.

ACTION PROPOSÉE :

1. Se rapprocher de votre médecin du travail, pour une orientation vers le service social du travail permettant un accompagnement du salarié sur les questions sociales.

SOMMEIL voir TRAVAIL DE NUIT

SOUS-TRAITANCE voir INTÉRIMAIRE

STRESS voir aussi BURNOUT et RISQUES PSYCHO-SOCIAUX

Un de mes salariés est actuellement sur son poste de travail ; peut-il être reçu par un psychologue du travail ?

On parle de stress au travail quand une personne ressent un déséquilibre entre ce qu’on lui demande de faire dans le cadre professionnel et les res-sources dont elle dispose pour y répondre. Les situations stressantes qui s’installent dans la durée ont toujours un coût pour la santé des indivi-dus qui les subissent et ont également des répercussions négatives sur le fonctionnement de l’entreprise (turn-over, démotivation, perte de qualité, etc.). Outre la démarche de prévention collective une vigilance sur le plan individuel est importante. Pour rencontrer notre psychologue du travail, il est nécessaire, au préalable, de se rapprocher de votre médecin du travail.


1. Proposer au salarié de voir le médecin du travail pour une visite à la demande.

2. Contacter le médecin du travail pour évoquer ensemble le cas de ce salarié et envisager une réponse individuelle ou collective.

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suite : SENSIBILISATION

SUIVI INDIVIDUEL RENFORCÉQuels sont les risques ou les situations qui nécessitent un suivi individuel renforcé (SIR) ?

Les salariés qui bénéficient d’un suivi individuel renforcé sont :• Les salariés exposés à l’un des 7 risques suivants : amiante, plomb,

agents cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques (CMR) 1A et 1B, agents biologiques des groupes 3 et 4, rayonnements ionisants cat. B, risque hyperbare, risques de chutes de hauteur lors des opérations de montage et de démontage d’échafaudages. Par exemple, les mé-caniciens, les soudeurs, etc.

• Les salariés pour lesquels l’affectation est conditionnée à un examen d’aptitude spécifique : autorisation de conduite, CACES, habilitation électrique, salarié de moins de 18 ans affecté à des travaux dangereux.

• Les salariés qui sont amenés à effectuer des manutentions manuelles de charges de plus de 55kg.

Si le médecin du travail, ou l’infirmière santé travail constate que le salarié est affecté à un poste présentant des risques particuliers, le salarié béné-ficie sans délai d’un suivi individuel renforcé. Le médecin du travail, ou l’infirmière santé-travail, vous demande alors par courrier de modifier le suivi et les risques sur votre espace adhérent. Si le suivi est mal détermi-né au départ (déclaration des risques pour votre salarié sur votre espace adhérent), le salarié devra être convoqué à nouveau pour être suivi par le professionnel de santé compétent.

SUIVI MÉDICAL J’ai plusieurs salariés, mais aucun n’a le même suivi santé au travail, pourquoi ?

La périodicité du suivi individuel est adaptée à chaque situation :• 5 ans maximum pour les salariés en suivi simple,• 2 ans maximum pour les salariés en suivi individuel renforcé,• 3 ans maximum pour les travailleurs de nuit, les travailleurs handica-

pés ou bénéficiant d’une invalidité,• 1 an maximum pour les jeunes de moins de 18 ans exposés aux tra-

vaux dangereux réglementés et aux salariés exposés aux rayonne-ments ionisants cat. A.

De plus, le médecin du travail peut adapter la périodicité du suivi de façon individuelle en fonction de l’âge, de l’état de santé et des conditions de travail.

ACTION PROPOSÉE :

1. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez de ressources juridiques.

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TEMPS PARTIEL THÉRAPEUTIQUE voir ARRÊT DE TRAVAIL

TRAUMATISMEUn évènement traumatisant s’est produit dans mon entreprise, que dois-je faire ?

Les salariés et dirigeants d’une entreprise peuvent être exposés à des évé-nements susceptibles de provoquer un psychotraumatisme (braquage, décès sur le lieu de travail, attentat, etc.). Ces événements peuvent créer du stress, de l’angoisse, de la colère ou encore de la culpabilité. Contactez votre médecin du travail, il vous mettra en relation avec la cellule d’ur-gences médico-psychologiques, et pourra adapter le suivi individuel de vos salariés.

ACTION PROPOSÉE :

1. Prendre contact avec votre médecin du travail.

TRAVAIL DE NUIT J’envisage de mettre en place du travail de nuit. Quels sont les enjeux santé-sécurité à prendre en compte pour mes salariés ?

Votre obligation d’employeur est de continuer à prendre toutes les me-sures nécessaires pour préserver la santé et la sécurité des salariés.Le travail de nuit et le travail posté sont des horaires dits « atypiques » et qui peuvent, de par leurs spécificités, engendrer des risques pour la santé. Sont considérés comme « horaires atypiques » le travail ne répondant pas à la configuration habituelle suivante : 5 jours réguliers par semaine du lundi au vendredi, horaires compris entre 5 et 23 heures, avec 2 jours de repos hebdomadaires.


1. Participer à notre atelier de prévention relatif aux horaires atypiques. Cet ate-lier, de 2 heures, est dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.





Mes salariés travaillent la nuit. Quel type de prévention peut-être mise en place ?

L’Homme possède une horloge biologique située dans le cerveau qui lui permet d’être actif le jour et de se reposer la nuit. C’est grâce à la lumière du jour et à la régularité des rythmes de vie que cette horloge fonctionne sur 24 heures. Lors du travail posté ou de nuit, le fonctionnement de cette horloge est perturbé. Ce dérèglement de l’horloge a un impact sur le som-meil et la vigilance, incitant à faire attention à la santé des salariés. Les travailleurs de nuit font l’objet d’un suivi individuel adapté, réalisé par un professionnel de santé.

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1. Participer à notre atelier de prévention relatif aux horaires atypiques. Cet ate-lier, de 2 heures, est dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.





TRAVAIL ISOLÉCertains de mes salariés sont ponctuellement amenés à travailler seuls. Dois-je mener des actions spécifiques ?

Travailler de façon isolée, c’est réaliser seul une tâche dans un environ-nement de travail où l’on ne peut être vu ou entendu directement par d’autres personnes, et où la probabilité de visite est faible.Travailler seul multiplie les contraintes de travail et augmente la difficulté pour être secouru lorsqu’un incident ou un accident survient. Il est né-cessaire d’identifier les situations de travail isolé et d’évaluer les risques auxquels les salariés concernés peuvent être exposés. La démarche de prévention suppose d’agir sur l’organisation du travail, ainsi que sur l’in-formation et la formation des travailleurs. Des mesures doivent être égale-ment adoptées pour améliorer à la fois le déclenchement et l’organisation des secours.

ACTION PROPOSÉE :


TRAVAIL SUR ÉCRAN Mes salariés travaillent essentiellement devant des ordinateurs. Je n’identifie pas le danger. Pourtant, le médecin du travail me dit qu’il y a un risque lié au « travail sur écran ». De quoi s’agit-il ?

Travailler plus de 50% de son temps de travail devant un écran de visuali-sation peut engendrer des troubles de la santé tels que la fatigue visuelle, des troubles musculo-squelettiques (voir TMS) et du stress. Cependant, il est possible de limiter ces troubles en intervenant sur l’organisation du travail, l’affichage de l’écran, l’implantation et l’aménagement du poste de travail, les dispositifs d’entrée (clavier, souris…) et les logiciels.Les principales dispositions réglementaires sont de choisir un écran mat, un affichage sur fond clair, de disposer l’écran perpendiculaire aux fe-nêtres, le haut du moniteur à hauteur des yeux (excepté pour les porteurs de verres progressifs pour lesquels le moniteur doit être plus bas), le bord du clavier à 10-15 cm du bord du plan de travail, les poignets sur le plan de travail pour la frappe au clavier, les poignets en position neutre c’est-à-dire, les mains dans l’axe des avant-bras, la souris proche du salarié et d’effectuer une pause active toutes les heures si le travail est intensif.

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1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur ce thème. Ces ateliers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.





TRAVAUX DANGEREUX Quels sont les travaux dangereux réglementés pour les jeunes de moins de 18 ans qui nécessitent un examen médical avant l’em-bauche puis tous les ans ?

Il s’agit :• des manutentions manuelles excédant 20% du poids (art. R4153-52), • de l’exposition aux agents chimiques dangereux, à l’amiante, aux

rayonnements ionisants, aux rayonnements optiques artificiels, au milieu hyperbare,

• des travaux sur des installations à très basse tension de sécurité, • de la conduite d’équipements de travail mobiles automoteurs et

d’équipements de travail servant au levage, • de l’utilisation des machines dangereuses mentionnées à l’art.R4313-78, • des travaux de maintenance mentionnés à l’art. D4153-29, • des travaux en hauteur, • des travaux avec des appareils sous pression, • des travaux en milieu confiné, • et des travaux au contact du verre ou du métal en fusion.

TRAVAUX PHYSIQUES voir PORT DE CHARGES

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS)J’entends parler de TMS. Qu’est-ce que c’est ?

Les troubles musculo-squelettiques (TMS) des membres supérieurs et inférieurs sont des troubles de l’appareil locomoteur pour lesquels l’ac-tivité professionnelle peut jouer un rôle dans la genèse, le maintien ou l’aggravation. Les TMS affectent principalement les muscles, les tendons et les nerfs.Les parties du corps les plus concernées sont le cou, les épaules et les poignets. Les TMS des membres inférieurs sont plus rares et concernent principalement le genou.

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suite : TRAVAIL SUR ÉCRAN

Les TMS coûtent cher à l’entreprise. Ils sont une source de désorganisation majeure, peuvent entraîner une baisse de performance pour l’entreprise (diminution de la productivité, de la qualité…) et avoir un impact majeur en matière d’absentéisme et de turnover. Des solutions de prévention peuvent être mises en place. Elles permettent non seulement de réduire le risque mais conduisent aussi à améliorer la qualité de vie au travail des salariés ainsi que la qualité des produits.


1. Participer à l’un de nos ateliers de prévention sur le thème des TMS. Ces ate-liers, de 2 heures, sont dispensés par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.





VENTILATIONDans mon entreprise, je travaille avec des produits dangereux. Est-ce qu’une ventilation des locaux est obligatoire ?

La ventilation et l’aération des lieux de travail jouent un rôle essentiel pour limiter tant la concentration de l’ensemble des polluants qui se trouvent dans l’air ambiant des lieux de travail que le temps d’exposition. Cela a pour but d’éviter ainsi des conséquences sur la santé des salariés. Ventilation et aération des lieux de travail doivent permettre à chaque salarié de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé. Il incombe à l’employeur de renouveler l’air de façon à maintenir un état de pureté de l’atmosphère, à éviter les élévations de température, les odeurs désagréables et les condensations, et à évacuer les polluants.


1. Participer à notre atelier sur la prévention du risque chimique. Cet atelier, de 2 heures, est dispensé par petits groupes dans les centres AIPALS ou dans le centre mobile (camion) se déplaçant à proximité des entreprises.

2. Visionner le module e-learning de prévention sur notre site internet (risque chimique). Il s’agit d’un format d’apprentissage court et rapide (via l’orga-nisme de formation Afometra).

3. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez de dépliants relatifs à la prévention du risque chimique.


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VIBRATIONSMes salariés utilisent des outillages qui engendrent des vibrations. Est-ce que cela peut influer sur leur état de santé ?

Les vibrations peuvent représenter un risque pour la santé des salariés. On distingue deux modes d’exposition : les vibrations transmises à l’en-semble du corps, notamment lors de la conduite d’engins, et les vibrations transmises aux membres supérieurs, lors de l’utilisation de machines por-tatives. Dans les deux cas, la réglementation française définit des valeurs limite d’exposition. Certaines mesures permettent de prévenir les risques.


1. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez de guides abordant ce sujet, avec des valeurs limites d’exposition.


VIOLENCESJe constate des situations de travail dégradées (agressions externes, conflits internes), que faire ?

Quelles soient internes ou externes, pour éviter et réduire le risque d’agressions, la mise en place d’actions adaptées au contexte de l’entre-prise est indispensable.


1. Consulter notre « boîte à outils » sur notre site internet où vous disposez d’un dépliant sur les agressions externes.


VISITE MÉDICALE voir aussi EXAMEN MÉDICAL

J’ai déclaré l’embauche d’un salarié, mais trois mois après, il n’a tou-jours pas été convoqué par la médecin du travail. Est-ce normal ?

Dès que vous embauchez un salarié, vous devez le déclarer sur votre es-pace adhérent et demander la convocation d’un rendez-vous pour une visite avec notre équipe médicale. Lorsqu’un salarié n’a pas été déclaré à temps, il devient hors délais. Néanmoins, demandez un rendez-vous, notre équipe médicale le positionnera au plus tôt, afin que son suivi indi-viduel puisse débuter.


1. Saisir le salarié sur votre espace adhérent aipals.com.

2. Demander un rendez-vous au travers de votre espace adhérent.

VISITE DE PRÉ-REPRISE voir aussi ARRÊT DE TRAVAIL

L’un de mes salariés est en arrêt de travail. Quel est l’intérêt d’une visite de pré-reprise ?

L’intérêt est de faciliter son retour dans l’entreprise pour une meilleure ré-intégration. Le but de cette visite de pré-reprise (obligatoire après un arrêt

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de travail supérieur à 3 mois) est de préparer le salarié à revenir dans de bonnes conditions, voire de parler d’une éventuelle adaptation de poste si nécessaire. Elle permet d’identifier le plus tôt possible les difficultés et de réfléchir en amont avec l’entreprise aux solutions possibles. Cette visite ne peut être demandée que par le salarié lui-même, le médecin généraliste ou le médecin conseil de la CPAM.

ACTION PROPOSÉE :

1. Ne pas attendre la fin de l’arrêt de travail et proposer à votre salarié qu’il organise une visite de pré-reprise avec le médecin du travail.

VISITE DE REPRISE voir aussi ARRÊT DE TRAVAIL

L’un de mes salariés va bientôt revenir d’un arrêt de travail. La visite de reprise est-elle obligatoire ?

La visite de reprise est obligatoire pour tous les arrêts de travail de plus de 30 jours, à l’exception des maladies professionnelles pour lesquelles il n’y a pas de durée minimale d’arrêt. Cette visite de reprise est réalisée par le médecin du travail. Elle doit avoir lieu lors de la reprise ou, au plus tard, dans les 8 jours. Seule cette visite de reprise par le médecin du travail met fin à la suspension du contrat de travail. Si besoin, le médecin peut recommander l’aménagement ou l’adaptation du poste ou un reclassement ou prescrire des examens complémentaires.

ACTION PROPOSÉE :

1. Demander au médecin du travail une visite de reprise pour votre salarié.

VISITE OCCASIONNELLEMes salariés ont pas mal de questions sur leur santé, les risques qu’ils encourent, l’inaptitude, l’invalidité ou encore l’impact du handicap. A qui peuvent-ils s’adresser ?

L’employeur a la possibilité de solliciter à tout moment une visite médi-cale occasionnelle à sa demande si un salarié lui paraît en difficulté sur son poste de travail. S’il le juge opportun, le médecin du travail orientera le salarié vers l’assistante sociale du travail qui pourra l’informer sur ses droits en matière d’invalidité, de temps partiel thérapeutique, de recon-naissance en qualité de travailleur handicapé, retraite, et plus générale-ment le conseiller pour toute difficulté d’ordre sociale. Il est essentiel qu’ils puissent se sentir épaulés pour engager les bonnes démarches leur permettant ainsi de faire face et de conserver leur emploi.Par ailleurs, tout salarié peut, à n’importe quel moment, solliciter à sa propre initiative un rendez-vous avec son médecin du travail.

ZONE ATEX voir RISQUES D’INCENDIE et EXPLOSION

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L’AIPALS vous propose un accompagnement personnalisé, en adaptant ses conseils de prévention au plus près des besoins de votre entreprise. Nous vous proposons une approche basée sur la prévention collective de votre entreprise mais également une approche individuelle par salarié.

NOS MISSIONS

1. PRÉSERVER UN HAUT DEGRÉ DE BIEN-ÊTRE PHYSIQUE, MENTAL ET SOCIAL DES SALARIÉS TOUT AU LONG DE LEUR PARCOURS PROFESSIONNEL.

2. PRÉVENIR LES RISQUES PROFESSIONNELS AUXQUELS SONT EXPOSÉS LES EMPLOYÉS SUR LEUR LIEU DE TRAVAIL ET AINSI LES PROTÉGER DE TOUS DOMMAGES.

3. MAINTENIR LES SALARIÉS DANS UN EMPLOI ADAPTÉ À LEURS CAPACITÉS PHYSIOLOGIQUES ET PSYCHOLOGIQUES.

Source : Organisation mondiale de la Santé

QUI POUR M’ACCOMPAGNER ?

Les médecins du travail animent et coordonnent l'équipe pluridisciplinaire.

MÉDECIN

INFIRMIERSANTÉ-TRAVAIL

ASSISTANTMÉDICAL

ASSISTANTSANTÉ-SÉCURITÉ AU TRAVAIL

TOXICOLOGUE

CONSEILLERHANDICAP

ERGONOME

ASSISTANTSOCIAL DU TRAVAIL

CONSEILLERPRÉVENTION,

HYGIÈNE ET SÉCURITÉ

PSYCHOLOGUEDU TRAVAIL

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NOTRE OFFRE

DES CONSEILS ET UN ACCOMPAGNEMENT

• Diagnostic et évaluation des risques (repérage)

• Des études de poste, avec des conseils d’aménagement

• Des études de conditions de travail

• Proposition d’aménagements et de plan d’actions

• Accompagnement à l’élaboration du Document Unique

LE SUIVI DE LA SANTÉ

• Visite d’information et de prévention

• Examen médical d’aptitude

• Visite médicale de pré-reprise

• Visite médicale de reprise

• Rendez-vous médical à la demande

• Consultation psychologue du travail

• Consultation du service social

DES SENSIBILISATIONS SUR-MESURE

• Des dépliants et des guides sur notre site internet

• Des modes de sensibilisation en e-learning (en ligne)

sous un format d’apprentissage court et rapide.

• Des ateliers de prévention, par petits groupes.

2 heures dans un centre AIPALS,

ou dans le centre mobile (camion) sur un thème précis.

• Des ateliers prévention en entreprise, sur-mesure.

(Ingénierie de prévention)

(Chefs d’entreprises et salariés)

UNE CELLULE « MAINTIEN EN EMPLOI »

L’AIPALS fait de la prévention de la « désinsertion professionnelle » l’une de ses priorités. Elle concerne les salariés qui, du fait de leur état de santé, risquent de perdre leur emploi.En partenariat avec la CARSAT et le SAMETH, l’AIPALS a mis en place une cellule de maintien dans l’emploi pour les salariés ayant des restrictions d’aptitude difficilement compatibles avec leur poste de travail ou en risque d’inaptitude, permettant de maintenir leur employabilité. En fonction de la problématique, un accompagnement par un psychologue du travail ou une assistante sociale peut être proposé.

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THÉMATIQUES DES ATELIERS

- EMPLOYEURS : COMMENT RESPECTER VOS OBLIGATIONS LÉGALES ?- RÉFÉRENT EN SANTÉ ET SÉCURITÉ : QUEL EST SON RÔLE ?- DOCUMENT UNIQUE : NOS CONSEILS POUR LE REMPLIR- COMMENT INTÉGRER LES RPS DANS LE DOCUMENT UNIQUE ?- RISQUES PSYCHO-SOCIAUX : QUE FAIRE DANS UNE TPE PME ?- PRÉVENTION DES RPS : RETOURS GAGNANTS !- TMS : UNE MÉTHODE POUR MIEUX LES PRÉVENIR- TRAVAIL SUR ÉCRAN : UN VRAI RISQUE- LES BONS GESTES QUAND ON TRANSPORTE DU POIDS- RISQUE CHIMIQUE : UN RISQUE PARFOIS INAPERÇU- CE QUE LES HORAIRES ATYPIQUES CHANGENT DANS LE CORPS- RISQUE BRUIT : NE FAITES PAS LA SOURDE OREILLE- DÉSINSERTION PROFESSIONNELLE : COMMENT LA PRÉVENIR ?- SALARIÉ INTÉRIMAIRE : COMMENT ASSURER UN MEILLEUR SUIVI MÉDICAL ?

NOUVEAUTÉS 2019

- LE RISQUE ROUTIER AU TRAVAIL : UN VRAI RISQUE- COMMENT PRÉVENIR LES CONDUITES ADDICTIVES EN MILIEU DE TRAVAIL ?- COMMENT DÉPLOYER UNE DÉMARCHE DE QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL

(QVT), SIMPLEMENT ?- MÉCANICIEN/CARROSSIER-PEINTRE : NOS CONSEILS SUR-MESURE !- AIDE À DOMICILE : UN MÉTIER PAS SANS RISQUES !- MÉTALLERIE, NOS CONSEILS POUR PRÉVENIR LE RISQUE CHIMIQUE ?

LES MODULES E-LEARNING

Consommations, addictions

Risquechimique

Risquede manutention

Risqueroutier

Risquespsychosociaux

Vieillissementau travail

Évaluationdes risques

Gestion de lasous-traitance

Postures et gestes

Risque de bruit

Inscription aux ateliers prévention en ligne sur notre site internet

Disponibles directement, en accès libre, sur notre site internet dans notre « boîte à outils »

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DIRECTRICE DIRECTEUR ADJOINT

GESTION ET COMPTABILITÉ

ASSISTANTEADMINISTRATIVEET FINANCIÈRE

ASSISTANTEGESTION, ACHATS LOCAUX, ARCHIVES

AGENT D'ENTRETIEN

CHAUFFEURCAMION

ASSISTANTEGESTION

DES ADHÉRENTS

INFORMATIQUE LOGISTIQUEPÔLE MÉDICAL

RÉFÉRENT RÉFÉRENT RÉFÉRENT

PÔLE TECHNIQUE

RESPONSABLERESPONSABLE

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PRÉVENTION-SANTÉ-TRAVAIL

COMMUNICATION

INNOVATION

QUALITÉ

RELATIONS EXTÉRIEURES

RESSOURCES HUMAINES DÉVELOPPEMENT

CONSEIL D’ADMINISTRATIONPrésident

SUPPORT

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PROFESSIONNALISMEL’équipe de l’AIPALS possède un savoir-faire très pointu en matière de santé au travail et de prévention afin de rendre un service de qualité et adapté aux entreprises et à leurs salariés.

ENGAGEMENTDepuis plus de 60 ans, l’AIPALS participe pleinement à la vie des entreprises du Grand Montpelliérain. Notre mission est de veiller à la santé des salariés au travail ; avec l’intime conviction de participer ainsi à une société plus solidaire et responsable.

DYNAMISMEAfin de répondre aux attentes, l’AIPALS innove perpétuelle-ment dans son offre de services et son approche de préven-tion. L’innovation est même un moteur essentiel dans son évolution et sa performance..

EFFICACITÉDepuis plus de 10 ans, l’AIPALS s’est engagée dans une dé-marche d’amélioration continue validée par Afnor Certification dans le cadre d’une certification, permettant d’assurer un ac-compagnement de qualité aux entreprises et salariés suivis...

CONFIANCEChaque jour, des salariés et dirigeants se confient à nos équipes sur leur santé, leur travail, leurs rapports avec les autres acteurs de l’entreprise. Notre mission implique un respect infaillible du secret médical et du secret professionnel, permettant de déve-lopper une éthique, socle d’une bonne relation mutuelle.

Que nous soyons chargés d’accueil, médecins, préventeurs, infir-mières, assistantes, etc. nous partageons le même sens du travail, la même vision de nos métiers et la même façon de l’exercer.

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- A -ABSENTÉISME . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07 ACCIDENTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07ADDICTIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07ADHÉSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 08AGENTS BIOLOGIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09AGENTS CHIMIQUES DANGEREUX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09AGRESSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09ALCOOL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09ALLAITEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09AMÉNAGEMENT DE POSTES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09APPRENTIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10APTITUDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10ARBRE DES CAUSES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10ARRÊT MALADIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10ATTESTATION DE SUIVI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 ATELIERS PRÉVENTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12AUTORISATION DE CONDUITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

- B -BOÎTE À OUTILS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13BRUIT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13BURNOUT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

- C -CACES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14CANCÉRIGÈNE, MUTAGÈNE,TOXIQUE POUR LA REPRODUCTION (CMR) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14CANCER PROFESSIONNEL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14CANNABIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14CHALEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15COCAÏNE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15CSE (EX-CHSCT) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15CONDUITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16CONSEILS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16COTISATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

- D -DÉMÉNAGEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17DIFFICULTÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17DOCUMENT UNIQUE (DUER) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18DOULEURS AU DOS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19DROGUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

- E -E-LEARNING . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20EMBAUCHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20EPC (ÉQUIPEMENTS DE PROTECTION COLLECTIVE) . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21EPI (ÉQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE) . . . . . . . . . . . . . . . . 21ÉVALUATION DES RISQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22EXAMEN MÉDICAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

- F -FERTILITÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24FICHE D’ENTREPRISE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24

- G -GESTION DES RISQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25GROSSESSE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25GUIDES PRATIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25

- H -HANDICAP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26HARCÈLEMENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26HORAIRES ATYPIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26

- I -INAPTITUDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27INTÉRIMAIRES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27INVALIDITÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

- L -LOMBALGIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

INDEX

- M -MACHINE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29MAINTIEN DANS L’EMPLOI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29MALADIE CONTAGIEUSE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29MALADIE PROFESSIONNELLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29MANUTENTIONS MANUELLES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30MATERNITÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

- N -NANOMATÉRIAUX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30NANOPARTICULES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31NOUVEAUX SALARIÉS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31NUIT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

- O -OBLIGATIONS LÉGALES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .32

- P -PÉNIBILITÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .32PERTURBATEURS ENDOCRINIENS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .33PORT DE CHARGES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .33POSTE DE TRAVAIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34POUSSIÈRES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34PRODUITS CHIMIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

- R -RAYONNEMENTS IONISANTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36RAYONNEMENTS OPTIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36RÉFÉRENT SANTÉ SÉCURITÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36RÉGLEMENTATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37RENDEZ-VOUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37REPRISE DU TRAVAIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38RESTRICTIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38RESTRUCTURATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38RISQUES PROFESSIONNELS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38RISQUE CHIMIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39RISQUES D’INCENDIE ET D’EXPLOSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39RISQUES PSYCHO-SOCIAUX (RPS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40RISQUE ROUTIER . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40

- S -SAISONNIER . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41SECRET MÉDICAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41SENSIBILISATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41SERVICE SOCIAL DU TRAVAIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42SOMMEIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42SOUS-TRAITANCE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42STRESS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42SUIVI INDIVIDUEL RENFORCÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43SUIVI MÉDICAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43

- T -TEMPS PARTIEL THÉRAPEUTIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44TRAUMATISME . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44TRAVAIL DE NUIT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44TRAVAIL ISOLÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45TRAVAIL SUR ÉCRAN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45TRAVAUX DANGEREUX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46TRAVAUX PHYSIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

- V -VENTILATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47VIBRATIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48VIOLENCES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48VISITE MÉDICALE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48VISITE DE PRÉ-REPRISE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48VISITE DE REPRISE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49VISITE OCCASIONNELLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49

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