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La SIPE –AT et la Recherche en Art-thérapie. Pr J.L. SUDRES Dr G. ROUX Pr L. SCHMITT. SIPE qui sommes nous ?. SIPE qui sommes nous ?. Une société savante internationale - PowerPoint PPT Presentation
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Pr J.L. SUDRESDr G. ROUXPr L. SCHMITT
Une société savante internationale La SIPE a été fondée en octobre 1959 par le Professeur
Robert Volmat, sous la Présidence d'honneur du Professeur Jean Delay (Clinique des Maladies Mentales et de l'Encéphale, Hôpital Sainte-Anne, Paris), lors du 1er Congrès International d'Art Psychopathologie de Vérone, regroupant alors neuf sociétés nationales déjà existantes.
Son objectif est d'établir et d'entretenir des relations scientifiques et amicales entre les divers spécialistes qui s'intéressent aux rapports de l'expression, de la création et de l'art avec les recherches menées actuellement, à l'échelon national et international, dans les domaines de la psychiatrie et de l'art-thérapie, de la psychanalyse, de la psychologie et de la sociologie.
La SIPE est membre fondatrice de l'Association Mondiale de Psychiatrie , membre de la Fédération Mondiale pour la Santé Mentale membre de l’association de psychiatrie Américaine.
Tous les trois ans, la SIPE organise statutairement un congrès international autour d'un thème scientifique choisi par ses responsables. Voici la liste chronologique de ces manifestations : 1960 : Catane (Italie), 1962 : Anvers (Belgique), 1964 : Barcelone (Espagne), 1967 : Paris (France), 1970 : Istanbul (Turquie), 1973 : Boston (USA), 1976 : Jérusalem (Israël), 1979 : Vérone (Italie), 1982 : Munich (Allemagne), 1985 : Londres (Angleterre), 1988 : Rio de Janeiro (Brésil), 1991 : Paris (France), 1994 : (Japon), 1997 : Biarritz (France), 2000 : Liège (Belgique), 2003 : Athènes (Grèce), 2006 : Belfast (Irlande du Nord), Lisbonne (Portugal) en 2009. Le dernier Congrès s’est tenu à Toulouse (France) en 2012.
Jean-Luc Sudres (Université Toulouse le Mirail et CHU Toulouse), Cristina Anzules (SETMC –
HUG Genève), Frédéric Sanguignol (Clinique du Château de Vernhes Bondigoux), Odile
Decarpigny (Clinique du Château de Vernhes Bondigoux) et Alain Golay (SETMC – HUG
Genève)
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Exploration de la place et des effets du
soin art-thérapique (thérapie médiatisée
plastique) dans la prise en charge d’une
population de patients obèses
diabétiques de type 2
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437 patients rencontrés, explorés et randomisés
Après critères d’inclusion/exclusion : 259 patients retenus
Selon procédure test/retest/follow up (T0/T1/T2)
:
170 patients (74 contrôles/96 expérimentaux)
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Le Questionnaire d'évaluation des potentialités créatives. (Sudres, 1993)
Le Figure Rating Scale (FRS) de A.J. Stunkard, T. Sorenson et F. Sahlusinger (1983)
Le Torrance Tests of Creative Thinking de E.P. Torrance (1974)
Le Well-Being Questionnaire de C. Bradley (1994)
Le Defense Style Questionnaire (DSQ 40) de M.M. Bond (1983)
Questionnaire d'Enquête sur le Vécu des Activités d'Ateliers d'Art-thérapie (Sudres, 1993).
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5 séances d’art-thérapie de 1h30/2 heures
structurées, standardisées et manuélisées Thèmes abordés : le ressenti ici et maintenant – les obstacles/difficultés/entraves – les potentialités – les projets – liens entre les créations.
Séances limités à 8/9 participants
ProcédureProcédureTest (T0) - (T1) - suivi (T2)
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L’évaluation en Art-thérapie : Quelques rappels
- Efficacité (efficacy) : Des changements se sont-ils produits avec la prise en charge art-thérapique (manuélisée) ?
- Efficience (effectiveness) : Soit le rapport coût/efficacité, coût/bénéfice.
Pour questionner le travail clinique entrepris et de l'adapter sur des éléments pondérateurs
Pour transmettre un ensemble de
données (affectives, cognitives, iconiques…) et d'étoffer de nouvelles hypothèses de travail
Pour permettre aux pratiques d’évoluer et de se transformer
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Du focalisé
* La production finie* La production en train de se faire* Les interactions groupales* Le processus créateur* Les modalités de créativité* Le niveau de symbolisation
Du général
* Les mécanismes de défense* Le niveau d’alexithymie* Le fonctionnement dynamique* Les pensées facilitatrices ou
inhibitrices dans les relations sociales* Le niveau des troubles de la
personnalité* etc …
une conviction forcenée que la chose art-thérapique du fait de sa valence artistique et socio-culturelle serait non réductible à une approche rigoureuse ;
un attachement pathogène à des conceptualisations théorico-cliniques élevées en dogmes immuables ;
une crainte de simplification réductrice de la complexité des phénomènes subjectifs rencontrés.