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8/16/2019 la sociologie.ppt

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La sociologie des

organisations

Animateur : Said ANBARI


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Quel est l’objet de la sociologie ?

= étude des phénomènes sociaux et des mutationssociales…

= compréhension du système culturel qui régit les sociétéset les groupes sociaux.

• ulture ! " manières de penser# de sentir et d’agir plus ou•moins $ormalisées qui# étant apprises et partagées par une•pluralité de personnes# ser%ent & constituer ces personnes

en•une collecti%ité particulière et distincte '

( ). *ocher# +ntroduction & la sociologie# ,ontréal# -,-#

/012


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• : " ensemble de normes# %aleurs# r3leset sanctions

• propres & un groupe donné ou & unesociété '

• (4. 5lbouy# 6léments de sociologie et depsychologie sociale# 7aris# 789# /:02

• = mesure de l’écart entre la réalitésociale et le discours sur cette réalité( tra%ail d’objecti%ation 2


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+ntroduction

Etymologiquement le terme d’organisation aexactement la même racine qu’organe et, même

si nous verrons lus !as que le terme est ici "d#$inir d’un oint de vue sociologique, il nous asem!l# que cette % concordance &#tymologique n’#tait as " erdre de vue'

(n arle d’ailleurs commun#ment d’organismede $ormation'


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)’organisation serait " consid#rer comme unorganisme vivant, constitu# de multiles cellulesqu’en seraient les acteurs' *#s lors, lasociologie des organisations, en tant qu’elle

s’int#resse " l’analyse du $onctionnement de cetorganisme dans des ersectives dec+angements, ermettrait " toute action de$ormation un diagnostic $ondamental etn#cessaire'


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)a sociologie des organisations est " la $oisancienne et r#cente' Elle concide d’a!ord avec lanaissance de la sociologie : l’intensi$ication de ladivision du travail, le rocessus de s#cialisation

dans les usines et les organisations !ureautiques,les trans$ormations des raorts sociaux et lesrincies sur lesquels s’auie la nouvelle soci#t#caitaliste industrielle


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et moderne sont au c-ur des o!servations et des

e$$orts de t+#orisation d’Emile *ur.+eim, de /arl0ax et de 0ax 1e!er, $igures g#n#ralementreconnues comme $ondatrices de la sociologie'

0arx d#nonce l’exloitation de la classe ouvri2reet son ali#nation en analysant les relations entrele caital et le travail comme une nouvelle $ormede raorts sociaux'


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1e!er constate le % d#senc+antement dumonde & li# au rocessus de rationalisationcroissante qui d#!ouc+e sur le caitalisme et les

organisations !ureautiques' S’inqui#tant de laco+#sion sociale, *ur.+eim voit dans lesinterd#endances dues " la s#cialisation unenouvelle $orme de division sociale du travail

su!stituant la solidarit# % organique & " lasolidarit# % m#canique &'


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(n eut #galement constater, comme le $ait lama3orit# des manuels, que la sociologie desorganisations est n#e ar2s la Seconde 4uerremondiale, avec les rec+erc+es emiriques

men#es aux Etats56nis dans les ann#esquarante, qui accomagnaient la rise deconscience du r7le crucial des % organisations$ormelles comlexes & dans tous les asects dela vie sociale'


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)’aarition syst#matique de l’aellation %sociologie des organisations &, dans les revuessociologiques et les d#artements de sociologie, amême attendu les ann#es cinquante' )es

d#marc+es des sociologues am#ricains ont #t#stimul#es ar une remi2re vague de rec+erc+esmen#es dans des #ta!lissements industriels d#sles ann#es vingt our r#ondre " des questions

ratiques telles que la motivation et laroductivit#' Ainsi, si la % t+#orie sociale &


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est lut7t euro#enne, l’aroc+e organisationnellerevient aux sociologues du Nouveau 0onde' *ansun remier tems, ils se sont surtout int#ress#s au$onctionnement des organisations et " l’in$luence de

leur % structure & sur la dynamique de l’action deleurs % mem!res &' Autrement dit5ils ont voulutrouver dans l’organisation un ont qui relie lesniveaux % macro & et % micro &, #ternel ro!l2me

de la sociologie'


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4ommaire

8 Qu’est;ce que la sociologie des organisations ?

8'8 9u’est5ce qu’une organisation

8'; ?aylor@0ax 1a!er et enri =ayol

;'; Ecole des Relations umaines


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> Les grands courants de la sociologie des

organisations

'8 Aroc+es classiques

C '8'8 Ecole socio5tec+nique

C '8'; Ecole de la contingence C '8' ?+#orie de l’acteur strat#gique

C '8'D ?+#orie de la r#gulation sociale

C '8' )es identi$i#s au travail

C '8'F Aroc+es culturelles


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4ociologie des organisations

)a sociologie des organisations est une !ranc+ede la sociologie qui #tudie comment les acteursconstruisent et coordonnent des activit#s

organis#es'

(n eut #galement la d#$inir comme une sciencesociale qui #tudie des entit#s articuli2resnomm#es organisations, et qui alique lesm#t+odes sociologiques " l’#tude de ces entit#s'


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Qu’est;ce que la sociologie des organisations ?

Qu’est;ce qu’une organisation ?

Goncr2tement, le terme organisation eut avoir trois

sens distincts :

6n regrouement d’+umains qui coordonnent leurs

activit#s our atteindre certains !uts' )’organisationest donc envisag#e comme une r#onse auro!l2me de l’action collective, de sa coordination etde sa sta!ilisation'


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)es diverses $aHons ar lesquelles ces grouements

structurent les moyens dont ils disosent ourarvenir " leurs $ins'

)’action d’organiser, ou encore le rocessus quiengendre les grouements ou les structuresorganisationnelles'

)’#tude des organisations r#ond alors " une trileexigence :


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)es soci#t#s modernes ou anciennesJ, se

comosent d’ensem!les au sein desquels lesindividus assent une grande artie de leur vie' Ilest donc essentiel d’analyser et de comrendre le$onctionnement de ces grouements'

*’autant lus que certains $acteurs comme laconcentration industrielle, l’accroissement dusalariat, le d#veloement des administrations

u!liques cr#ent des entit#s de lus en lus vasteset de lus en lus nom!reuses


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?outes ces entit#s, malgr# leurs di$$#rences, ontdes caract#ristiques communes et ont "r#soudre des ro!l2mes voisins'

Il imorte de comrendre la logique qui se cac+ederri2re cette diversit# organisationnelle' Et il y a

autant de $ormes s#ci$iques d’organisationsque d’o!3ecti$s 3usti$iant l’action collective :#conomique, sociale, olitique, religieuse,#cologique, caritatives, etc' la diversit#organisationnelle est aussi li#e " leur degr# decomlexit# et " d’autres aram2tres : taille,tec+nologie, contexteK'


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6ne aroc+e +istorique des sciences

des organisations

•


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)a r#volution industrielle : nouvelles

tec+niques, nouvelles cultures, nouvelles

$ormes d’organisation

)’atelier de l’artisan, la manu$acture,

l’usineKK


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)’#volution des t+#ories de l’organisationla t+#orie classique et l’(S?

C ?aylor et la science du travail'

C )es rincies manag#riaux de =ayol8L8MJ

C )e $ordisme et la roduction de masse

concr#tisent les rincies de ?aylor'

C 1e!er et la !ureaucratie'


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Le dépassement de L’4

8 Ecole des relations +umaines C a>t+orne C )’organisation in$ormelle

; Ecole socio5tec+nique

Aroc+e ar le contexte C )es t+#ories de la contingence'

D )es rec+erc+es actuelles en sciences desorganisations O 4#nie Industriel


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*- ! " L’e$$et -a@thorne '

% Au cours d’une ex#rience, $aite vers 8L;, dans uneusine de la >estern Electric Gomany, a$in de mesurerles e$$ets d’un meilleur #clairage sur le rendement desouvriers, G'E' SN(1 a $ait les o!servations suivantes :


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Aeuxième expérience !

)e groue de contr7le reHoit une lumi2reconstante de 8P !ougies' )e groue ex#rimentalcommence " travailler " 8P !ougies @ on diminue

rogressivement la lumi2re, " raison d’une !ougie" la $ois, 3usqu’" !ougies'

)e rendement du groue ex#rimental et du

groue de contr7le s’#l2ve rogressivement'


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roisième expérience .

)’#clairage +a!ituel n’est en rien modi$i#'


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% E$$et a>t+orne & In$luence motivante qui

entrane l’am#lioration de la er$ormance c+eun articiant " une ex#rience ou une #tude'

)es ersonnes r#agissent ositivement au $aitque l’on s’occue d’eux our am#liorer leursituation'

)e c+e$ doit donc devenir un !on animateur degroue, attenti$, " l’#coute


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)a structure in$ormelle " d#!attreK''

)a structure $ormelle, rer#sent#e arl’organigramme@ d#$init les attri!utions dec+aque service, et les liens entre lesservices, des livres rerennent les

roc#dures " suivre, des $ic+es de ostesd#crivent le travail de c+acun mais ascomment il est r#ellement accomli'


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di$$#rence entre le $ormel : qui o!#it " des

r2gles r#cises, #crites, o$$icielles et l’in$ormel

indique comment le travail doit être $ait


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)’aroc+e socio5tec+nique dans les ann#es P,

des #tudes du ?avistoc. institute montrent lan#cessit# de nouvelles $ormes d’organisation

)es #quies semi5autonomes


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Les recherches actuelles ! quelques pistes

• )’#mergence d’un nouveau mod2le industriel

• )a er$ormance, r#c#demment !as#e sur laroductivit# de c+aque o#ration #l#mentaire

devient ax#e sur l’e$$icience inter5o#ration et laroductivit# glo!ale de l’organisation'

• )a division du travail en tTc+es o!3ectives n’estlus ossi!le UV quelle aroc+e des services

• Autres #coles : roduction de sens,

management des connaissancesK'


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L’analyse stratégique

*eux grandes +yot+2ses:

8 )’organisation est une construction

sociale, roduite ar l’interaction des acteurs'

; Il existe un esace de % 3eu & entre les

contraintes et les individus ont un esace deli!ert#'


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7roblématiques courantes en sociologiedes organisations

)a sociologie des organisations, en #tudiant le

+#nom2ne organisationnel, soul2ve certainesro!l#matiques r#currentes, qui sont souvent li#esaux tensions qui a$$ectent les organisations'

Elles ont donn# lieu " di$$#rents t+2mes d’#tudes'


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)a co+#sion' )es #tudes s’inscrivant dans cettet+#matique s’e$$orcent de comrendre commentles organisations arviennent " maintenir leur

structure et leur identit#@ malgr# les tensionsinternes et externes qu’elles su!issent

)’#tude de la structure $ormelle et in$ormelle'

Nom!re d’#tudes ont c+erc+# " clari$ier les liensentre la structure $ormelle et les relationssociales in$ormelles au sein des organisations'

)’adatation' Gomment les organisations g2rent5

elles l’innovation et comment l’int2grent5ellesour s’adater " leur environnement tec+niqueet social Gertaines #tudes tentent decomrendre comment et ourquoi la structure


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$ormelle #volue, " travers les rocessus quigouvernent la cr#ation et la modi$ication des

r2gles' *’autres s’int#ressent " l’int#gration desinnovations tec+niques dans les organisations@d’autres en$in, se $ocalisent sur les c+angementculturels'

)a +i#rarc+ie et les relations de ouvoir' )est+2mes a!ord#s sont l’autonomie des acteurs, les

di$$#rents tyes d’organisations matricielle,+oriontale, yramideJ, la gestion du ouvoir, lar#artition des ressources, la n#gociation, etc'


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)e lien social et identitaire, ainsi que les+#nom2nes culturels'

)’#tude de la circulation de l’in$ormation et lesoutils de communication'

)es situations con$lictuelles ou at+ologiques'Gon$lits syndicaux, situation des stress,

r#carit#, +#nom2ne du lacard, !aisse de laroductivit#, rec+erc+e des causes des!locages au sein des organisations, etc'


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G’est vers la $in du WIWe si2cle que les remi2res

#tudes sociologiques du +#nom2neorganisationnel aaraissent' Elles sont li#es "un dou!le mouvement : le d#veloement desgrandes industries et des !ureaucraties, la

constitution de la sociologie comme cors deconnaissance distinct'

?rois auteurs vont se d#marquer@ ils vontroduire des travaux arall2les etcoml#mentaires'


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En Allemagne, 0ax 1e!er analyse le+#nom2ne !ureaucratique' Il l’#tudie sousl’angle de la rationalisation, mais il va #galements’int#resser au r7le de la religion sur l’esritd’entrerise et sur la dynamique du caitalisme'*estin#es rincialement " un u!licuniversitaire, les t+#ories de 0ax 1e!er auront

une ort#e essentiellement +euristique' Elles nedonneront as lieu " des alications concr2tes'


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,ax Beber et la bureaucratie'

8 )’organisation n’aartient as " ceux qui y travaillent :Salariat

; )a $onction occu#e est ind#endante de l’individu quil’occue'

Aarition du $onctionnaire )e $onctionnaire est quali$i# Ket s#cialis# dans une $onction donn#e, il est localis#

au sein d’une +i#rarc+ie'D )’organisation o2re suivant des r2gles

Kqui sont les mêmes our tous' )e ouvoir est rationnel l#gal C =ond# sur un savoir o!3ecti$ C X )#gitimit# traditionnelle ou c+arismatique'


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Aux Etats56nis, =rederic. ?aylor, ing#nieur et#conomiste, d#veloe une t+#orie normativede l’organisation : le ?aylorisme' Gelle5ci estax#e sur l’#tude de l’otimisation et de la

rationalisation de la roduction' Ses travauxsusciteront un grand int#rêt et trouveront "s’aliquer dans de nom!reux secteursindustriels' *’un oint de vue t+#orique, on eut

le consid#rer comme le r#curseur del’(rganisation scienti$ique du travail'


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9redericC Binslo@ aylor et la science du tra%ail(/2.

Gontexte : l’Am#rique des ann#es 8LPP5Beaucou de main d’-uvre non quali$i#e, immigrants'C quel travail euvent5ils occuer, alors que l’agriculture n’a lus !esoin de main5

d’-uvre • Gomment augmenter la roductivit#

0ettre au oint une % science du travail &K'K''our trouver le % one !est >ay &@ la mani2re otimale de travailler S#arer la concetion du travail de son ex#cution'

5 Aarition du Bureau des m#t+odes5 R#mun#ration " la % i2ce & our inciter les ouvriers " travailler

)a division du travail est " la $ois5 Qerticale concetion s#ar#e de l’ex#cutionJ5 Et +oriontale morcellement des tTc+esJ'

Le $ordisme


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Le $ordismeRationalisation du travailants solong as it is !lac.' &

Yconomies d’#c+elle'

5 % Z a day & consum#risme, consommation de masseU

salaire minimum #lev#5 Standardisation des comosants

R#seau de sous5traitants

5 G+ane de roduction

)es ouvriers sont rassem!l#s autour du $lux de travail


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En =rance, enri =ayol, un ing#nieur $ranHais,s’int#resse quant " lui aux di$$#rents tyesd’administrations' Il c+erc+e les roc#d#s degestion qui sont les mieux adat#s our #ta!lirune administration otimale' Il est consid#r#comme le 2re du management moderne' Sa

t+#orie rendra lus tard l ’aellation de=ayolisme'


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Les principes managériaux de Dules -enri9ayol (/12

)’administration est une $onction " art'

Administrer c’est :

8


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Kselon des rincies de management :

6nit# de commandement %


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6cole des *elations -umaines

)es travaux des r#curseurs sont essentiellementnormati$s, ou !ien le c+am d’#tude qu’ils couventest tro vaste our ermettre la constitution d’unev#rita!le disciline' En $ait, la sociologie desorganisations va r#ellement #merger avec le

d#veloement de l ’#cole des relations+umaines' Gette #cole, n#e dans les ann#es 8LP aux Etats5

6nis d’Am#rique, est domin#e ar la ersonnalit#d’Elton 0ayo' Elle a$$irme, contre le taylorisme, le

r7le essentiel du $acteur +umain et relationneldans la d#termination de la roductivit##conomique'


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G’est durant cette #riode que va seconstituer un corus classique' Ge corusregroue quelques grands courantst+#oriques qui exlorent di$$#rentesdimensions des organisations' Il uise

g#n#ralement son insiration au sein dedivers aradigmes sociologiques ou#conomiques : la syst#mique sociale, lasociologie comr#+ensive, l’aroc+e

culturaliste, la syc+osociologie, lasocioanalyse, l’#conomie desconventions, la micro5#conomie, etcK


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6cole socio;technique

)es d#cennies 8LP et 8LFP voient natre avecle ?avistoc. Institue de )ondres, l’#cole ditesocio5tec+nique' Gette #cole #tudie le lien entreles syst2mes tec+niques et +umains' Elles artdu constat que les c+angements tec+nologiques

ont un imact d#terminant sur le $onctionnementdes groues et sur les individus qui lescomosent' Ge qui imlique que les d#cisionsdoivent tenir comte des $acteurs +umains quali$ications, attentes, sentiments, valeursJ etde l’environnement #quiement, mac+inerie,roc#d#s, +oraires de travail, conditions detravailJ'


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)’#cole syst2mique va s’inscrire en rolongationdes travaux de cette #cole'

6cole de la contingence

*ans le rolongement de l’#cole socio5tec+nique,l’#cole de la contingence tente de rendre comte

de la mani2re dont se structurent lesorganisations en #tudiant l’in$luence des varia!lesde contexte sur les caract#ristiques desorganisations' A la di$$#rence de la concetiontaylorienne essentiellement normative de la !onneorganisation % en soi &, enri 0int!erg, lerincial rer#sentant de l’#cole


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de la contingence, a$$irme que la structureorganisationnelle est li#e " la nature del’environnement, mais elle ne l’est as de mani2rem#canique ou d#terministe' Gar la structure

d#end #galement des !uts que se $ixent lesdirigeants' En $ait, les m#canismes r#gulateursinternes d’une organisation doivent être aussi

vari#es que l’environnement avec lequel elle doitcomoser'


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héorie de l’acteur stratégique

Gette t+#orie, #la!or#e ar 0ic+el Groier etEr+ard =ried!erg suose au contraire qu’on neeut consid#rer que le 3eu des acteurs n’estd#termin# que ar la co+#rence du syst2me ouar les contraintes environnementales' (n doitc+erc+er en riorit# " comrendre comment seconstruisent les actions collectives " artir de

comortements et d’int#rêts individuels ar$oiscontradictoires entre eux' *onc, au lieu de relierla structure organisationnelle " un ensem!le de$acteurs externes,


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cette t+#orie l’ar#+ende comme unconstruit +umain, re3oignant en cela uned#marc+e qui situe les d#terminants

causals comme allant rincialement del’individu vers la structure l’individualismem#t+odologiqueJ et non de la structure

vers l’individu structuralismeJ'


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celles ar lesquelles un groue social sestructure et devient caa!le d’actionscollectives' En cela, il conduit " envisager l’ordre

social non lus de mani2re statique, mais aucontraire " la mani2re d’un ordre n#goci# etdynamique'

Les identités au tra%ail

A c7t# de ces grandes #coles, qui se $ocalisentsur les r2gles et les relations de ouvoir, on

trouve des aroc+es qui se concentrentdavantage sur les asects identitaires' Elles#tudient d’une art la cr#ation du Soi " traversl’ex#rience de la socialisation en entrerise,


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et d’autre art, elle rattac+ent laermanence des r2gles aux +#nom2nesidentitaires' Ges aroc+es se contrentdonc sur l’identit# sociale au travail'

Renaud Sainsaulieu, ar exemle, a$$irmeque la construction de l’identit# au travail

se $ait au sein de di$$#rents mod2les derelations de ouvoir comme :


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)e mod2le de la $usion' Il aarat dans les

contextes marqu#s ar des tTc+es r##titives eteu quali$i#es' )’acteur our se valoriser n’ad’autres ressources que le collecti$'

)e mod2le de la n#gociation' Il intervient quandles situations de travail ermettent un acc2s auxositions strat#giques'

)e mod2le des a$$init#s' Il aarat dans dessituations de mo!ilit# ro$essionnelle'


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)e gestionnaire doit alors et il est même lusou moins contraint de le $aire mettre en lace

les ratiques d’organisation qui sont co+#rentesavec ces $ormes'

Etudier l’imact de la culture sociale sur lescomortements individuels en entrerise' Gettearoc+e a notamment #t# d#velo#e ar


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es expériences pro%iennent de !

)a culture sociale ant#rieure'

)es caract#ristiques du travail " travers sessym!oles'

)’organisation tec+nique de la roduction'

)a situation strat#gique dans les relations du ouvoir'

)e syst2me des relations de travail


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)a culture se re2re ainsi " travers laconstruction de r2gles issues en artie de la

situation d’action, en artie desrer#sentations des relations entre acteurs'

(n montre alors que l’alication d’uner#gulation de contr7le eut se +eurter " lamicro5culture d’une entrerise ou d’un atelier')es acteurs gardant, du $ait du ouvoir de

n#gociation que leur con$2rent les onesd’incertitude, la ossi!ilit# de $aire #c+ouer lesr2gles qui #manent de la direction'


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Et ces $inalit#s seront le lus souvent m#connues

du r#gulateur, dans la mesure o[ n’#tant asint#gr# dans le contexte de travail, il n’a asacc2s " % l’+istorique & de cette r2gle aumoment o[ il entrerend d’exercer son ouvoirde r#gulation'


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il ne $aut as our autant en conclure "l’existence d’un sentiment +ostile qui viserait" #carter des concurrents otentiels' En $ait,une telle r2gle a une toute autre $inalit#' Elleermet de s#lectionner les travailleurs entestant leur caacit# de r#sistance, tout enles +a!ituant aux conditions de travail

di$$iciles qui r2gnent dans l’organisation'


62/83

Le reengineering

6n rocessus est % un $lux d’activit# ''J quiroduit un r#sultat ayant une valeur our leclient &'


63/83

*econception des processus

7A)

Airection

marCetingAirection

Au style

Airection

industrielle

he$

de projet

collection*esp.

stylistes

*esp.

modèles

*esp.

dé%elop'*esp.

échantillon*esp.

méthodes

L i i


64/83

Le reengineering

But : (timiser les rocessus

Regrouer lusieurs ostes en un seul, r#duire lesniveaux +i#rarc+iques ' 0ettre les tTc+es % en

arall2le & lut7t qu’%en s#rie &'

Gr#er un oint de contact unique our le client'

0ettre en lace un SI ar exemle our le

suivi en tems r#elJ


65/83

)imites

6ne mode % r#volutionnaire &K' 9ui n’atteintas les o!3ecti$s $ix#s


66/83

6ne image vaut mille mots

A m#diter

)e rocessus de socialisation dans l’entrerise


67/83

6L+,+E5+E

A675*

8

Stricte s#lection descandidats " l’entr#e ;

)es ex#riences incitent "l’+umilit# $acilitant l’accetation

des normes et valeurs de ’entrerise

\0od2les de r7les

co+#rents

FRen$orcement du

$ol.lore

)’ad+#sion aux valeurs ermet d’acceter les sacri$ices ersonnels

D*es syst2mes de r#comenses

et de contr7le sont m#ticuleusement mis au oint our ren$orcer le

comortement 3ug# essentiel ausucc2s de la $irme sur le marc+#

)a $orme % sur le tas & conduit " l’assimilation d’une disciline

$ondamentale

R#sultats ossi!les du rocessus de socialisation


68/83

La réussite de la socialisation se

re$lète dans!

• )a satis$action ro$essionnelle

• )a clari$ication du r7le " tenir

• 6ne $orte motivation dans le travail• )a comr#+ension de la culture, un

contr7le ressenti

• 6n $ort investissement dans le travail

• )’ad+#sion " l’entrerise

• )a sta!ilit# du ersonnel• 6ne restation de +aute qualit#

• 6ne int#riorisation des valeurs

L’échec de la socialisation se re$lète

dans!

• )’insatis$action ro$essionnelle

• 6ne am!ig]it# et des con$lits dans laconcetion du r7le

• 6ne $ai!le motivation dans le travail• *es malentendus, des tensions, uneimression d’a!sence de contr7le

•


69/83

g g

Asects $ormels aarentsJ(!3ecti$s ?ec+nologie Structure

Ressources $inanci2res Gom#tences et atitudes

Asects comortementaux cac+#sJ Attitudes

0odes de communication

0#canismes de groue


70/83

5utorité

et

statut

o$$iciels

R7lesde d#cision

•c+e$ d’entrerise•


71/83

groupe et ses résultats

)es comortements

et r#sultats du groue

dimension


72/83

?ravail de !ureau

p p g

;;^

F^

^

L^

8P^

^

;D^

^

8L^

8L^

?our des !ureaux

Entretiens imromtus

Rende5vous organis#s

?#l#+one

*épartition

du temps

*épartition

des acti%ités

,éthodes pour entretenir la culture de l’entreprise


73/83

e & quoi les managers prFtent

attention

*éactions aux crises organisationnellesonception du r3le du manager

ritères de récompenses

ritères de sélection et de promotion

érémonies et rites de l’entreprise

6%iction des membres

qui dé%ient de laculture

ulture

6mbauche et socialisation de

membres qui " correspondent '

& la culture

Les $acteurs de succès cheG les managers


74/83

g

$éminins et masculins


75/83

Sources des ressions exerc#es sur les organisations our qu’elles c+angent

7ressions en

$a%eur du

changement

G+angements survenus dans la

tec+nologie

0odi$ication de lanature de la

0ain5d_-uvre

Exlosion des connaissances

(!solescenceraide des roduits

9ualit# de la vie dans le travail

auses de la résistance de l’indi%idu auh t


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changement

R#sistance de

l’individu

Attention et m#moire s#lectives

a!itude

*#endanceS#curit# et r#gression

Raisons#conomiques


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78/83

l’organisation

aractéristiques Aé$inition 6xemples

Situation centrale Relations avec les autres osition )es ositions les lus centrales dans un r#seau de communication' con$2rent davantage de

ouvoir'Imortance Goordination des tac+es dans )es ositions o[ s’e$$ectuent des $ondamentale l’ensem!le du $lux de travail' tac+es $ondamentales our

l’organisation con$2rent davantage de ouvoir'Soulesse *egr# d’autonomie dans les )es ositions !#n#$iciant d’une

rises de d#cision, la r#artition lus grande autonomie con$2ren du travail, etc' davantage de ouvoir'Qisi!ilit# 0ise en #vidence du travail )es ositions les lus en vue

accomli aux yeux de la +aute con$2rent davantage de ouvoir' direction'


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Quelques e$$ets des écarts de pou%oir sur les

entreprises

9aible

(5utriche# AanemarC# +sraIl# 4uède#6tats;8nis2

• 0oins de centralisation

• 0oins d’#c+elons dans la +i#rarc+ie del’entrerise

• 0oins d’encadrement• 0oindres di$$#rences de salaires

• Equivalence de la valeur accord#e auxemlois de !ureau et aux travaux manuels

9orte

(Jrésil# -ong Kong# +nde# ,exique#

7hilippines2

•


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entreprises

9aible

(AanemarC# )rande;Jretagne# -ong Kong#

4uède# 6tats;8nis2

• ?ac+es moins structur#es

• 0oins de r2gles #crites

• *avantage d’emlois de g#n#ralistes

•


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groupe sur les attitudes et les comportements

onditions neutres

0#$iance

Rigidit#

=ermeture etduerie

Int#rêt et o!3ecti$s ersonnels

Gon$iance

Soulesse

(uverture et sinc#rit#

Int#rêt mutuel et o!3ecti$s communs

Aans les meilleurs conditions

de coopérationAans les pires conditions de

concurrence et de con$lit


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Agressivit# ou

+ostilit#

Ecoute de soi

R#sistance " lasurveillance de l’autre

Amiti# ou neutralit#

Ecoute mutuelle

Accetation d’une surveillance mutuelle

Golla!oration et rec+erc+e d’un comromis

Gontrainte et #vitement


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Documents

la sociologie.ppt