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mardi 25 septembre 2018

Le CAUE de Côte-d’Or

est heureux de vous accueillir à une projection du film

la maison Unal un film de Julien Donada,

coproduction Les Films d'Ici - ARTE France - 2014

en présence des propriétaires de la maison bulle de Fleurey-sur-Ouche.

Sculpture-habitacle 2, André Bloc, Meudon, 1964

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Architecture organique EXTRAITS

ARCS EN CIEL D’ARDÈCHE : LA MAISON UNAL, DANIEL ABEL, JOËL UNAL, ÉDITIONS PLUMES D’ARDÈCHE, 2012 Dès l’entre-deux-guerres, des rapports inédits s’élaborent entre l’architecture et la sculpture, ce que Michel Ragon, cri-tique d’art et d’architecture, appellera l’architecture-sculpture, une architecture organique basée sur les besoins des habi-tants. L’architecture-sculpture est reconnue comme un véri-table mouvement architectural, mais il est plus diffus, inorganisé d’où la difficulté à le cerner et à le réduire à un courant architectural traditionnel. Les avant-gardes du début du XXe siècle ont contribué à inciter les artistes à franchir les barrières qui existaient entre les deux arts. Ils considèrent l’ar-chitecture, la peinture, la sculpture et l’art comme un phéno-mène social. L'architecture-sculpture est l'expression d'une réaction au mouvement moderne, une opposition radicale à l'orthogonalité. Dans un contexte de revendications sociales liées aux événements de mai 1968 en France, une réaction à l’édification des barres des banlieues, au conformisme in-tellectuel et architectural, va se faire sentir. L’un de ces moyens d’expression est l’architecture courbe. On distingue clairement deux tendances au sein de l’archi-tecture-sculpture. L’une est composée en majorité d’archi-tectes (Pascal Häusermann, Jean-Louis Chanéac, Antti Lovag) réalisant des bâtiments monocoques à la recherche de lignes pures. La seconde est suivie par les sculpteurs (Pierre Székély, André Bloc, Vladimir Kalouguine, Jacques Couëlle) qui préfèrent des sculptures habitables, construites avec des matériaux malléables (argile, plâtre…) permettant de nombreuses formes morphologiques et plastiques.

Palais bulle, Antii Lovag, Théoule-sur-Mer, 1970

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Pour ces architectes, bâtir est comparable à un jeu de construction où les structures sont des cellules, des coques, des bulles qui sont juxtaposables, entassables à loisir. Ces formes offrent un espace volumétrique nouveau, avec la pos-sibilité de choisir l'orientation des ouvertures ou d'optimiser les espaces en étudiant les déplacements de ses habitants. L'autoconstruction rend possible cette mobilité. Quatre architectes ont joué un rôle capital dans sa diffusion : Jacques Couëlle, Antti Lovag, Jean-Louis Chanéac et Pascal Hausermann... L'un des précurseurs: Jacques Couëlle Associé à des scientifiques, il fonde en 1946 le Centre de re-cherches des structures naturelles dont le but est de déve-lopper un nouveau langage architectural basé sur des phénomènes naturels. Loin de vouloir créer une maison stan-dardisée, Jacques Couëlle part du site pour concevoir la mai-son des futurs propriétaires. Il crée donc des formes organiques en fonction des gestes des habitants. Son archi-tecture tend à créer des lieux où l'homme peut s'épanouir en harmonie avec son environnement. L’ "habitologue" Antti Lovag Antti Lovag conçoit l'habitat comme une coquille souple, de-vant s'adapter aux mouvements et aux besoins du corps, qui se modifient avec le temps. L'intégration de la maison au site est un des points capitaux du travail d'Antti Lovag ; il y fait co-habiter le végétal et le construit. Il n'est pas rare qu'il fasse s'appuyer une paroi contre un rocher ou que la maison intè-gre le minéral en construisant les pièces autour des roches. Afin de s'incorporer au maximum à la nature, les bulles, d'une

Cellules polyvalentes superposables, Jean-Louis Chanéac, 1960-1971, © Philippe Magnon

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couleur ocre, sont destinées à se confondre avec le paysage environnant, souvent des hauteurs du Sud de la France. Les cellules qui forment les différentes pièces à vivre de l'habita-tion ne sont pas rectilignes. Les maisons d'Antti Lovag ont enfin la singularité d'être ouvertes vers l'extérieur ; en effet une coque peut, par une rotation, s'ouvrir sur une terrasse ou la piscine. Le tout étant étudié selon l'orientation du soleil, de la vue extérieure. Le mobilier aussi est modulable et pluri-fonctionnel. Il est souvent encastré dans les murs et ouvrant. Les projets cellulaires de Jean-Louis Chanéac Jean-Louis Chanéac a commencé sa carrière comme peintre en suivant une formation à l'École du bâtiment de Grenoble. Par la suite, il va étudier des prototypes de cellules industria-bles en usine (de forme hexagonale, rectangulaire ou carrée) tout en ayant à l'esprit la préservation de l'environnement (forte densité des villes, libération des sols). Indigné par le désintérêt porté aux recherches sur l'industrialisation dans le domaine de l'habitat, il essaie de trouver des réponses en créant par tous les moyens (aussi bien en béton qu'en ma-tières plastiques) des cellules juxtaposables et superposa-bles. Il dépose un premier brevet de ces cellules en 1960, pour un habitat évolutif et mobile où les espaces peuvent être remodelés, démontés, répondant parfaitement par exemple à la croissance et décroissance de la cellule familiale. Pascal Hausermann, l'inventeur du voile de béton Pascal Hausermann, en collaboration avec Jean-Louis Cha-néac, expérimentera lui aussi une architecture inspirée des formes cellulaires, qui se multiplient par juxtaposition, entas-sement, raccordement, basée sur la libre expression de l'in-dividu. Cet architecte suisse est aussi le premier à

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dès 1958, aux coquilles en voile de béton. En collaboration avec sa femme, Claude Hausermann-Costy, il a mené une recherche obstinée et féconde sur les coques, d'abord en béton pulsé sans coffrage, puis en matière plastique. À vingt-et-un ans à peine, avant même qu'il n'ait son diplôme d'archi-tecte, il construit avec l'aide de quelques amis la maison de son père. Une cellule originellement prévue en bois qui sera réalisée en béton projeté sans coffrage, appliqué directement sur une armature métallique. Alors qu'il est à l'origine de la technique du voile de béton, c'est sa femme Claude qui met-tra techniquement au point les diverses réalisations, élabo-rera les plans comme pour la maison de Joël Unal. La technique du voile de béton La singularité de cette technique réside dans le fait que toutes les parties de la construction sont traitées de la même façon (murs, planchers, parois, ouvertures ou meubles), avec des surfaces à double courbure. La maison forme un tout auto-porteur, antisismique, le ferraillage du sol est relié à celui de toute la construction. C'est en ces termes que Joël Unal décrit la technique du voile de béton dans son ouvrage, paru en 1981. Il détaille les étapes successives nécessaires pour la réalisation d'une mai-son en autoconstruction, se basant sur sa propre expérience et son ressenti. Le béton projeté permet de réaliser n'importe quelle forme in situ. Cette nouvelle technique diminue consi-dérablement le temps et les coûts de construction. Ces habi-tations aux parois minces nécessitent peu de matériaux. La suppression des angles élimine les joints, les parties fragiles du bâtiment, évitant ainsi une mise en œuvre délicate.

Chez Antonio Benincà.

Maison Unal, monument historique 2010.

Le coût de construction est peu élevé (entre une construction classique et une coque hémisphérique en voile de béton, la technique du voile de béton permet l'économie, pour une même surface, d'un quart des matériaux et de construction et de la moitié des matériaux d’isolation). L'autoconstruction La plupart des autoconstructeurs ne sont pas architectes. Au-toconstruire, c'est aussi être capable d'organiser son projet, maîtriser son budget, gérer ses plans, son chantier, de façon optimale pour faire des économies. À l'inverse de la dé-marche industrielle, où la nécessité de la rentabilité pousse à tout prévoir en amont, celle de l'autoconstructeur laisse de grands espaces d'initiative. Il ne reproduit pas un modèle d'habitat préétabli, ni ne se réfère à un plan de construction strict. Celui-ci n'est d'ailleurs, la plupart du temps, dessiné que pour l'obtention du permis de construire. Le chantier se modèle et évolue en fonction des désirs des futurs habitants.

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Maison Unal, Labeaume (Ardèche) Claude Haüsermann-Costy et Joël Unal, 1973-2008 EXTRAITS

ARCHITECTURE À VIVRE, N°55 JUILLET/AOÛT 2010, P 116-127

Dans Ia nature aride de I'Ardèche, Joël et Claude Unal ont construit de leurs propres mains, pendant plus de trente ans, leur maison dessinée par l'architecte Claude Haüsermann-Costy. Grâce à une technique souple, le voile de béton, ils ont assemblé une prolifération de bulles issues d'un rêve. Elle vient d'être inscrite sur Ia liste des monuments historiques. En 1967, Joël Unal n'a que 25 ans quand il tombe en arrêt devant un article de L’œil consacré au Balcon de Belle-donne, un restaurant en voile de béton construit en Isère l'année précédente. Il décide alors de faire appel à ses architectes, le Suisse Pascal Haüsermann (né en 1936) et sa femme Claude Costy (née en 1931) pour imaginer une maison qu'il projette de construire lui-même. À la recherche d'un lieu isolé, il achète un terrain non viabilisé dans la garrigue ardéchoise, sur un plateau calcaire de la commune de Labeaume. C'est Claude Haüsermann-Costy qui dessine le plan de la maison en 1972 et qui suivra le déroulement du chantier. Le permis est obtenu l'année suivante et Joël Unal enclenche les travaux dès I'été 1973. Ils dureront jusqu'en... 2008.

croquis de 1973

Organique La conception de la maison coïncide avec la parution en 1972 de La Maison de Barbapapa de l'architecte Annette Tison et de son mari Talus Taylor, à laquelle elle fait immanquablement penser. Mais le choix de Ia bulle n'est pas uniquement ludique ou esthétique pour Ie couple Unal. Carapace ou coquille, elle s'accorde parfaitement aux gestes quotidiens. Claude Haüsermann-Costy explique ainsi son schéma créatif : “En découvrant Ie terrain de Claude et Joël, j'ai vu une dalle circulaire en pierre où l'on battait le blé. Ie leur ai proposé d'organiser toute la construction autour de ce signe très ancien du rapport entre l'homme et la terre, dont nous avons fait une nouvelle agora extérieure et intérieure, Iieu de rencontre des membres de la famille. De même, pour relier les espaces privatifs de chacun, j'ai suggéré des tunnels aériens, enjambant Ies rochers.” L’architecte constate avec amusement qu'au fur et à mesure, JoëI Unal inscrit quelques verticales quasi phalliques sur les formes douces qu'elle avait dessinées au départ - mais toujours en lui en demandant d'abord I'autorisation.

croquis de 1973

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Grâce à une mise en œuvre facile, Ia technique du voile de béton offre une immense liberté d'expression, une rare variété d'espaces intérieurs et extérieurs, des ouvertures dont les contours cernent harmonieusement le paysage. Les différentes masses qui constituent l'habitation s'articulent sur le terrain, dans un meilleur équilibre avec la nature que n'importe quel volume orthogonal. La maison est simplement posée sur des dalles de rocher, sans aucune fondation. Autoconstruite Depuis le milieu des années 1960, I'autoconstruction est revalorisée, notamment au sein de la contre-culture. Ce que I'on appelle “l'architecture sans architectes”, à la suite de l'exposition de Bernard Rudofsky au MOMA à New York en 1964, offre une source d'inspiration inépuisable. Les exemples venus des États-Unis de mai-sons autoconstruites abondent : dômes, zomes, architec-ture-sculpture, etc., que les Français découvrent dans la revue américaine Shelter. “L’ère industrielle a engendré la disparition de l'autoconstruction et de ses traditions (...) Dans notre ère écologique réapparaît cette possibilité de créer soi-même sa propre habitation”, déclare Claude Haüsermann-Costy à la fin des années 1970. Pour Pascal Haüsermann, I'autoconstruction est avant tout une solu-tion économique qui prend des allures de combat social pour s'affranchir de Ia classe dirigeante. EIle apporte la li-berté et la fierté du travail accompli, face aux contraintes administratives et à la société de consommation. L’idée d'autarcie fait d'ailleurs partie du projet de Joël Unal. D'au-tant plus qu'à l'origine Ie terrain élu n'a pas d'arrivée d'eau ni d'électricité.

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Plan du permis

Un chantier de 35 ans L'investissement physique, intellectuel et moral de JoëI UnaI et de sa femme est énorme. Sans expérience dans le bâtiment, à 2oo kilomètres de chez eux, ils mènent une démarche lente et patiente. “Bâtir sa maison au fil des jours devient un moyen d'expression qui tend à dépasser l'abri”, avoue JoëI Unal. Au tout début du chantier, Ie fils de Claude Haüsermann- Costy et I'un de ses amis viennent leur expliquer les bases du voile de béton. Unal met quatre ans à construire le gros-œuvre, uniquement pendant les week-ends et les vacances. Puis il s'y consacre à plein temps Ies quatre an-nées suivantes, choisissant toujours les solutions les plus abordables. L’économie se joue à plusieurs niveaux. Les matériaux nécessaires, le fer et le béton, sont bon marché. Un voile ne fait que 5 centimètres d'épaisseur contre 15, au minimum, pour une dalle de béton, et il permet de créer des formes dont la géométrie détermine l'enveloppe la plus mince par rapport au volume contenu. Le voile donne droit à l'erreur, car une forme ferraillée peut être modifiée. De même, la rigidité des portions de sphère, en attente d'être terminées, permet I'abandon du chantier à n'importe quel moment de la construction, sans précautions particulières. Reconverti dès lors dans le ferraillage pour bâtiments en voiles de béton, Joël UnaI travaille sur des chantiers à travers toute Ia France, pour Francoise Jourda, Renzo Piano, Christian de Portzamparc et bien d'autres. Son étonnant parcours prouve qu'une vie peut basculer à Ia Iecture d'un article... avis aux amateurs !

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Maison bulle, Fleurey-sur-Ouche Pat Ambacher et Patrick Delesvaux, architectes, vers 1982

EXTRAITS GUIDE D’ARCHITECTURE EN BOURGOGNE, ÉDITION PICARD, 2008 Implantée dans un bourg ancien, cette habitation aux formes organiques est une manifestation tardive et par-tielle des recherches plastiques et techniques entamées dès les années 1960 par les concepteurs d'une architec-ture-sculpture proche de la nature et par des partisans de l'autoconstruction. Éprouvée par Pascal Haüsermann ou Antti Lovag (maison à Tourrettes-sur-Loup, 1968) dans leurs nombreux projets de « maisons-bulles » ou encore par le sculpteur Pierre Székely dans les chantiers qu'il mène avec l'architecte Henri Mouette (maison Verley à Sebourg, 1973), la technique du voile de béton projeté sur une armature métallique n'est utilisée ici qu'en couverture, les murs étant en parpaings. À Fleurey-sur-Ouche, les préoccupations environnementales sont révélées par l'im-plantation de la maison, par les rapports que le foyer en-tretient avec l'extérieur, et par une réflexion sur la gestion de l'eau et l'utilisation optimale de l'énergie solaire. Construit dans une ancienne carrière de pierre, l'édifice s'adapte au terrain et les pièces situées au nord (chambre et garage) sont enterrées dans la pente. Orientés au sud et largement ouverts, les trois volumes principaux (de plan circulaire) accueillent la cuisine-séjour et une chambre, prolongées par des serres conçues comme des espaces de vie. Ils sont reliés par les pièces annexes : escalier, w.-c., salle de bains. La couverture sert de terrasse. Une citerne d'eau pluviale alimente les sanitaires et permet l'ar-rosage du jardin. En complément de la fosse septique, deux bassins plantés de roseaux participent à l'épuration des eaux usées.

le contexte historique 1972 Conférence des Nations Unies

sur l'environnement à Stockholm

1973 Guerre du Kippour

1973 1er Choc pétrolier

Famine en Ethiopie

1976 Sécheresse

1979 Révolution irannienne

2nd Choc pétrolier

le contexte architectural ... dans le monde et en France

1970 Cathédrale, Oscar Niemeyer, Brasilia (Brésil)

1973 Opéra, Jorn Utzon, Peter Hall, Lionel Todd, David Littlemore

Sydney (Australie)

1975 Assemblée nationale, Louis I. Kahn, Dhaka (Bangladesh)

1976 Maison Azuma, Tadao Ando, Osaka (Japon)

1977 Centre Pompidou, Richard Rogers, Renzo Piano, Paris

1977 loi sur l’Architecture

1978 Tombeau de la famille Brion, Carlo Scarpa, Trévise (Italie)

1979 création du CAUE de Côte-d’Or

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... à Dijon, en Côte-d’Or

1970 Station service Total,

Talant, Jean Prouvé

1970 Viaduc autorourier,

Thorey-sur-Ouche

1972 Banque Crédit Lyonnais, Dijon, Jean-Louis Ducruet

1972 ANPE, Dijon, Massota

1974 Palais des sports, Dijon, Jean-François Devalière, Michel Granjy

1975 Caisse d’Épargne, Dijon, Jean Lentz

1976 Hôtel Mercure, Beaune, Yves Lamouche

1977 Usine Kriter, Beaune, Seturec

1978 Cité Plein Ciel, Talant, d’ETRA

et encore… 1970 les Barbapapa

Annette Tison et Talus Taylor

1970 début des jeux vidéo

1974 invention du Rubik's Cube

carte à puce

1975 fibre optique

1977 1er ordinateur personnel mis sur le marché

Land Art, disco…

1979 téléphone portable

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N’hésitez pas à contacter le C.A.U.E. de Côte-d’Or. Notre équipe est en effet à votre disposition pour vous conseiller gratuitement.

Le CAUE…

Samia Chaker Architecte

Gabrielle Charaix Architecte

Marie-Nöelle De Oliveira Urbaniste

Julie Lestage Paysagiste

Marine Granjon Paysagiste

Armelle Voinier Architecte

Véronique Mechmoum Documentaliste

Assistante de communication

Nathalie Mothéré Secrétaire de direction

Dr Joël Abbey Maire de Pontailler-sur-Saône

Président

Xavier Hochart architecte

Directeur

Conseillers

1 rue de Soissons 21000 Dijon Tél.: 03 80 30 02 38 info@caue21.fr

www.caue21.fr

Des conseils gratuits aux collectivités Vous êtes élu(e) et vous souhaitez mener à bien vos projets. Vous pouvez demander l'intervention d'un conseiller du CAUE. : une équipe pluridisciplinaire de professionnels est mise à la disposition de toutes collectivités, quelle que soit l'importance ou la nature de la problématique rencontrée. Domaines d’intervention: réflexions préalables pour • la construction, la transformation et/ou la rénovation des bâtiments. • les extensions urbaines, la revitalisation du bourg, le renouvellement urbain ; l’approche énergétique et environnementale. • les espaces publics et les aménagements durables ; l’implantation d’activités ; les projets touristiques, l’intégration de bâtiments et d’aménagements dans le paysage, la mise en valeur paysagère d’un village… • les documents d’urbanisme: SCoT, PLUi, PLU, Carte Communale ; démarche paysagère et environnementale: plan de gestion, charte, cahier de recommandations… Interventions du CAUE: une aide à la décision sous forme de conseil ponctuel, révélation d’enjeux, suggestions d’orientations, appui méthodologique et tech-nique, accompagnement à la programmation ou à la rédaction de cahiers des charges pour la consultation de maître d’œuvre et bureaux d’études, aide à la concer-tation, médiation, participation aux groupes de travail, aux commissions et aux jurys. aux particuliers Vous construisez, rénovez, aménagez, agrandissez… Profitez des conseils d’un architecte conseiller du CAUE. Un paysagiste est aussi à votre disposition pour vous donner des conseils sur vos espaces extérieurs. Une construction, une réhabilitation, un réaménagement ou une extension, même modeste, sont autant d'interventions architecturales qui doivent être de qualité, respectueuses de leur environnement et économes en énergie. Des recherches documentaires peuvent être réalisées concernant une mise en œuvre particulière, un matériau spécifique ou innovant, une technique de restau-ration… Le centre de documentation du CAUE de Côte-d’Or est ouvert aux ho-raires habituels. Le CAUE organise visites, conférences, projections, voyages, expositions : il suf-fit d’adhérer à notre association pour être informé(e).

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En adhérant, vous recevrez tous nos programmes détaillés et

invitations. Vous êtes prioritaires sur les conseils.

pour en savoir plus, www.caue21.fr

Prochains rendez-vousregards sur l’architecture et l’aménagement palmarès édition 2018 {Parmi 29 opérations d'architecture et d'aménagement retenues, choisissez vos réalisations préférées ! Votez jusqu'au 30 septembre.}

vivre la rue rendez-vous techniques mardi 2 octobre {Parmi 29 opérations d'architecture et d'aménagement retenues, choisissez vos réalisations préférées ! Votez jusqu'au 30 septembre.}

conseil d’un architecte nouveau

dès le 20 septembre {Vous avez un projet ?

Consultez gratuitement au MuséoParc Alésia.}

Paul Joly-Delvalat, architecte dijonnais des années 60 conférence

mardi 9 octobre, 18h30, École Nationale Supérieur d’Art {Cet architecte, qui a marqué les années glorieuses de

l’après-guerre, a largement construit à Dijon et ses alentours. Il est un des

architectes majeurs de sa génération en Côte-d’Or.}