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pages 3-4-7 Profitez du temps des fêtes! Connaissez-vous Georges St-Pierre? Suzuki Kizashi 2011 La Cité lance le bal Alberta, Édition de décembre-janvier 2011 Volume 16, Numéro 12 16 pages p.11 p. 13 p. 2 Que ce soit pour VENDRE ou ACHETER, Paula (Paule Dion) et ses associés vous offrent un SERVICE PROFESSIONNEL BILINGUE COMPLET - Rien de moins qu’un service ESSENTIEL pour la communauté francophone de Calgary! Pour en profiter, contactez Paula sans tarder!

Le Chinook - Décembre 2010

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Journal Le Chinook - Edition Décembre 2010

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pages 3-4-7

Profitez du temps des fêtes!Connaissez-vous

Georges St-Pierre?

Suzuki Kizashi 2011

La Cité lance le bal

Alberta, Édition de décembre-janvier 2011Volume 16, Numéro 12 16 pages

p.11

p. 13

p. 2

Que ce soit pour VENDRE ou ACHETER, Paula (Paule Dion) et ses associés vous offrent un

SERVICE PROFESSIONNEL BILINGUE COMPLET - Rien de moins qu’un service ESSENTIEL pour la

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Actualités 2

Justice en français 5

Économie 6

Humour 7

Nutrition 9

Recettes 10

Automobile 11

Arts et Cultures 12

Sports 13

Jeunesse 14

Jeux 15

ActuAlité2. Le Chinook 15 décembre 2010

Des centAines Des frAncophones fêtent noël à lA cité!

Le 4 décembre dernier, se tenait à La Cité des Rocheuses de Calgary, La fête de Noël des enfants de la francophonie à laquelle, plus de 500 personnes ont participé. Tout l’après-midi, petits et grands ont participé aux activités, se sont fait maquiller, ont

chanté, rencontré Père Noël, sans oublier les cadeaux et prix de présences qu’ils ont rapportés à la maison en fin de journée.

Plusieurs famille dont les Buffy ont pu faire leurs souhaits au Père Noël. À savoir s’il les a tous écoutés, on le saura le 25 décembre au matin.

Le journal Le Chinook et les entreprises francophones de Calgary

vous souhaitent à tous un joyeux temps des Fêtes.

Le calendrier des activités et les activités recommenceront après cette

période de réjouissances.

Le Noël que nous connaissons très bien aujourd’hui – une célébra-tion axée sur l’échange de cadeaux – est apparu dès le dix-neuvième siècle avec l’émergence d’une idole modernisée et grandement popularisée par Coca-Cola : le Père Noël. Les dépenses encourues pendant ce temps festif de l’année, convoité autant chez les grands que les petits, ont depuis commencé à prendre une place importante sur le plan économique.

Plusieurs d’entre nous reprochons à quel point cette célébration est devenue commercialisée, mais que faisons-nous réellement pour contrer ce fléau économique? En voyant les milliards de dollars dépensés à gauche et à droite en cette période de fin d’année, nous pouvons être portés à croire que Noël soit la meilleure chose qui puisse arriver à l’économie. Mais pensons-y une deuxième fois…

L’échange de cadeaux de Noël, associé à des valeurs louables de part-age et de générosité, est un cauchemar pour les écono-mistes! Selon la science abstraite de l’affectation des ressources, Noël est une occasion hautement inefficace de lier des consommateurs à des biens et services de consommation. De plus, plusieurs vont aller jusqu’à s’endetter pour acheter le « cadeau idéal », tout en gas-pillant du temps dans des cen-tres d’achats surpeuplés.

Maximiser notre satisfac-tion par dollar dépensé

L’offre de cadeaux in-désirables — des appareils électroniques de basse qualité, des livres ou des disques compacts sans intérêt, des meubles encombrants, des bas de laine flamboyants, et j’en

passe! — crée une distribution qui ne maximise pas l’utilité (la satisfaction) des gens et qui engendre alors ce que les économistes appellent une « perte sèche » (deadweight loss, en anglais).

« Nous serions capables de tirer plus de satisfaction avec le même montant dépen-sé, » affirme l’économiste américain Joel Waldfogel, dans son livre Scroogenomics : Why You Shouldn’t Buy Presents for the Holidays. Nous pourrions être beaucoup plus heureux sans dépenser un sou de plus! »

Waldfogel appuie son raisonnement, entre autres, sur les résultats d’une enquête menée auprès d’étudiants collégiaux où on leur deman-dait de mettre une valeur sur les biens qu’ils se sont ache-tés eux-mêmes et une valeur sur les biens qu’ils ont reçus en cadeau. En moyenne, ces derniers placent une valeur 18% moins élevée sur les cadeaux que sur leurs propres achats. Certes, cette perte sèche pourrait être récupérée (du moins, par-tiellement) en redonnant le cadeau à quelqu’un d’autre ou en le vendant sur un site web de revente tel qu’eBay.

La solution idéale selon l’économiste

Bien qu’elle puisse sembler aussi « sèche » que la perte qui découle du problème initial, il serait nettement plus efficace d’offrir de l’argent liquide à nos proches comme cadeau de Noël. Ceci leur permettrait d’optimiser leur utilité en s’achetant des biens qu’ils désirent réellement.

Cette solution nous mène naturellement à une autre question : vaut-il la peine d’échanger de l’argent en cadeau? Considérons, par exemple, qu’un ami vous donne 50$ et que vous lui

donnez également 50$. Comme il est facile de le constater, cet échange peut sembler futile puisqu’il n’y a aucun gain net lors du processus. Devrions-nous alors condamner cette tradi-tion de longue date qu’est l’échange de cadeaux de Noël? Pas forcément. Il reste un autre morceau important du casse-tête à considérer : la «valeur sentimentale».

La valeur sentimentale vaut-elle quelque chose?

Il faut tenir compte du fait que nos préférences changent au fil du temps. Les meilleurs cadeaux sont souvent ceux que nous n’attendions pas ou que nous n’aurions probable-ment pas achetés de notre propre argent. Si Count Basie n’avait jamais reçu de leçons de piano, il ne serait peut-être jamais devenu le grand musicien qui a révolutionné le monde de la musique, avec le jazz et le swing.

De toute évidence, l’échange de cadeaux est un processus qui ajoute une valeur dite « sentimentale » au-delà de la valeur intrinsèque des objets échan-gés. Par exemple, la valeur d’un anneau de fiançailles est clairement supérieure pour son détenteur que pour le

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bijoutier qui l’a vendu. Alors, que faut-il retenir

de ce dilemme? Si vous planifiez offrir des cadeaux de Noël à vos proches cette année, assurez-vous de choisir un cadeau qui saura maximiser la valeur senti-

mentale de l’échange. Tenez compte de leurs intérêts et leurs préférences, soyez créatifs! En effet, on peut facilement conclure que « c’est la pensée qui compte! », même aux yeux des économistes!

15 mai au 15 juin 2007 Le Chinook. 21

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ActuAlitérègles De bAse pour le succès

Du mArketing en ligne

15 décembre 2010 Le Chinook. 3

Philippe de Montigny

Vaut-il la peine d’acheter des cadeaux de Noël?

Jacqueline Favre

Retournez toute correspondance ne pouvant être livrée au Canada à:ViaPlus Communications Inc.8 Chapman Terr SECalgary, AB T2X 3R2T: (403)483-7393 [email protected]

Rédacteur en chefJulien [email protected]

Concepteur graphique David Vanier

Éditeur/ MarketingDavid [email protected]

Adjoint à la rédaction / correctionJérome Thibeault

C’est le temps des Fêtes, il est temps d’oublier nos kilos en trop. Vive la vie !

Mangeons et buvons, pas trop évidemment, mais pensons d’abord à notre corps.

Il contient 40 à 60 mille milliards de cellules ! Qui a fait ce calcul ? Attendez, ce n’est pas fini. Ces cellules sont composées de 6 millions de milliards de milliards de molécules. C’est 60 fois plus qu’il y a d’étoiles dans l’Univers. Ces molécules sont formées de mille quadrillons de milliards de milliards d’atomes (essentiellement de l’oxygène, du carbone, de l’hydrogène, de l’azote, du soufre, du phosphore, du chlore, de l’arsenic, de l’or et je ne sais quoi encore !)

Elles s’agencent en 800 tissus différents : 211 d’os, 450 paires de muscles moteurs, une paire de 3 osselets, 21 paires de 9 nerfs crâniens, 2 hémisphères cérébraux et bien d’autres encore. Le tout baigne dans 45 litres d’eau et 5 litres

de sang s’écoulent dans 950 km de vaisseaux sanguins. Nous avons 100 000 km de fibres nerveuses, ce qui correspond à 2 fois et demie le tour de la Terre. Quelle belle machine !

Vu de l’extérieur, nous avons, nous les femmes, 2 millions de poils, et nos compa-gnons 4 millions, plus 150 000 cheveux…un peu moins pour les chauves. Il en tombe 100 par jour, mais ils poussent de 0,35 mm en 24 heures. Nos ongles poussent de 0,15 mm par jour et…n’oubliez pas d’arroser tout cela avec 2,5 litres d’eau en 24h.

Un biologiste a écrit un livre qui s’intitule Mon corps, la première merveille du monde.

Ne me demandez ni le nom de l’auteur, ni celui de l’éditeur… étant donné que lorsqu’on prête un livre, on ne le revoit jamais. (Heureusement que j’avais pris quelques notes !)

Tout cela pour vous dire que cette merveilleuse

machine, il faut l’entretenir soigneusement même pendant la période des Fêtes. Comment ? Boire un petit verre de vin rouge à chaque repas et non une demie bouteille de volka chaque dimanche, manger avec couteau et fourchette pour ne pas ressembler à votre chien, ne jamais passer un repas, cela fait grossir parce que votre corps fait des réserves de graisse aux repas suivants et…ne jamais manger seul ! (Pas toujours facile) Jamais devant la télé, mais devant un miroir ! Vous pouvez faire comme moi, entretenir une conversation avec

vous-même ; vous ne serez jamais contredit. Pour bien digérer, il faut rire. Il paraît qu’on rit moins que nos grands-parents. Alors écoutez le CD d’un humoriste talentueux.

Et si vous vous sentez seul, pensez aux 100 000 milliards de bactéries qui se promènent dans votre corps et aux 12 milliards de sympathiques acariens qui dorment dans votre lit et sur votre peau, genre d’araignées hideuses quand elles sont vues au microscope. Mais, soyez sans crainte, ces bestioles ne vous empêchent pas de rêver en couleurs.

Dans une vie on fait la fête 400 jours, on rit 700 jours, on dit bonjour 12 jours, on regarde la télé 2 250 jours et on téléphone pendant 220 jours. Pour l’ordinateur je vous laisse le soin de compter vous-même.

Notez aussi que dans une vie on mange le poids de 8 éléphants: à savoir 25 kg de poisson, 400 poulets, 20 porcs, 4 bœufs, 3 000 kg de pain, riz et pâtes, 900 kg d’œufs, 100 bidons de lait, 1 125 kg de from-age, plus tout ce que j’ai oublié.

Et gardez quelques chiffres en tête pour amuser vos amis en fin d’année.

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QuelQues chiffres Du temps Des fêtes, Juste pour rire

ActuAlité4. Le Chinook 15 décembre 2010

Produits de l’érableProduits St-HubertFromage en grains

Cretons LafleurTarte au sucre

Sucre à la crèmeTourtières

«A Taste of Québec»

Nos spécialités...

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les vendredis et samedis de 9h à 17h et les dimanches de 9h à 16h

Dès févrierAu nouveau Calgary Farmer’s Market

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www.calgaryfarmersmarket.caContactez Claire: (403) 617-0030

Justice en frAnçAis

Gérard Lévesque, [email protected]

Le gouvernement albertain a nommé Maître Philippe Rabot à la direction de la Commission des droits de la personne de l’Alberta pour un mandat allant du 12 octobre 2010 au 11 octobre 2015. Ayant été au sein de divers tribunaux administratifs au Canada, Maître Rabot apporte à la Commission une grande expertise et, notamment, des connaissances approfondies en matière de droit du travail et de droit administratif.

Il a notamment été commis-saire (2005 - 2010) des tribunaux de révision pour le Régime de pension du Canada (RPC) et de la Loi sur la sécurité de la vieillesse. Il dirigeait alors un tribunal administratif composé de plus de 300 membres, répartis sur l’ensemble du pays, dont le principal champ de compétence

est de se prononcer sur l’admis-sibilité à des pensions d’invalidité du RPC.

Auparavant, il a été prési-dent du Comité externe d’examen de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) pendant sept ans. Ce Comité entend des appels présentés par des membres de la GRC au sujet de décisions concernant des griefs et mesures disciplinaires découlant d’alléga-tions d’inconduite. Il a également été vice-président de la Commission de révision de l’évaluation foncière de l’Ontario pendant quatre ans, après avoir été secrétaire de la Commission du droit d’auteur du Canada et directeur-général adjoint des appels à la Commission de la fonction publique du Canada. Il est diplômé en droit de l’Université

d’Ottawa et membre du Barreau du Québec depuis 1983.

Maître Rabot succède à Marie Riddle, qui a été directrice de la Commission pendant 13 ans. Le poste qu’il occupe main-tenant va lui fournir l’occasion de contribuer grandement à faire avancer les droits de la person-ne en Alberta. En plus de diri-ger avec équité et justesse les aspects administratifs du processus de règlement des plaintes auprès de la Commission, il aura à faire rayonner davan-tage le programme d’éducation de la Commission, en appuyant et contribuant à un programme d’éducation à l’échelle de la province dont se sont inspirées d’autres commissions au Canada et en associant la Commission à divers partenariats

une nouvelle Direction pour les Droits De lA personne

communautaires. Le directeur de la Commis-

sion et son personnel se chargent des responsabilités administrati-ves associées au règlement des plaintes présentées en vertu de la Loi sur les droits de la personne de l’Alberta. Afin de répondre aux objectifs de la Loi, le directeur et son personnel assument également la responsabilité de fournir des services d’éduca-tion publique et d’information,

prennent part à des initiatives au sein de la communauté et entreprennent d’autres activités connexes.

À titre de renseignement, je souligne que le manuel de procé-dures pour les audiences devant la Commission confirme le droit de déposer des documents en fran-çais ou en anglais et exige que les documents rédigés en d’autres langues soient accompagnés d’une traduction certifiée conforme.

15 décembre 2010 Le Chinook.5

Commission des droits de la personne de l’Alberta

620 7e Avenue S.O. 800-10405, Ave Jasper Calgary, Alberta Edmonton, Alberta T2P 0Y8 T5J 4R7 Tél. : (403) 476-4939 Tél.: (780) 427-3116

eDmonton 2017 - échec et mAt!

lettre ouverte

Monsieur le Premier Ministre, Le glaive est enfoncé, les espoirs disparus... Désormais, Edmonton 2017 n’accueillera

point ses visiteurs du monde entier. Fort dommage car le Canada entier se prive d’une occa-sion de mettre en évidence toutes ses qualités et avantages, d’ouvrir les vannes de sa culture variée tissée de l’héritage de ses peuples fondateurs vers l’éclosion d’un avenir prometteur.

C’est d’autant plus déconcertant, de se buter à cet échec après tant d’efforts déployés et de deniers dépensés à mettre en place les mécanismes pouvant mener la ville d’Edmonton en première place sur le podium mondial. Je me souviens, il y a de cela quelques mois, des sommes dépensées pour un Sommet de G++ nous ayant plutôt menés vers l’abîme... Je sais, je sais, dans le cas d’un événement international, ce n’est pas la même chose; les coûts fara-mineux engendrés pour quelque mois de célébrité pour une seule ville, vous direz!

À ces propos, je répondrai: “En 1967, vous étiez bien jeune, Monsieur le Premier min-istre, bambin peut- être, mais moi, adolescent, je me souviens des retombées énormes qui jaillirent suite à cette venue de l’Expo 1967 à Montréal, exposition exceptionnelle tenue sur l’Île Sainte- Hélène et sur l’Île Notre- Dame, de la fin du mois d’avril jusqu’à la fin d’octobre”. J’ai souvenir qu’à l’époque, les jeunes de partout en profitaient pour voyager, connaître de nouveaux horizons. De plus, on célébrait le centenaire du Canada. L’histoire, rien à voir avec celle décrite dans les bouquins, se vivait quotidiennement, de visu, on ouvrait toutes grandes les portes à l’histoire de l’humanité: Terre des Hommes - Man and his World. Non seulement Montréal respirait, mais le Canada tout entier se remplissait les poumons!

Aujourd’hui, la réalité en est toute autre. En effet, à plus de soixante mois de la célé-bration du cent cinquantième anniversaire du Canada, le projet, appuyé par les études et les esquisses, pouvant servir de tremplin et de lieu de rencontres des peuples de l’Univers est à tout jamais anéanti. C’est désolant car bon nombre de ceux qui ont connu cette belle époque reconnaissent l’importance de proposer et de stimuler les peuples quels qu’ils soient par des projets concrets et rassembleurs.

En conclusion, je salue le courage et l’audace des Edmontoniens, celles et ceux qui ont contribué et mis tous leurs efforts en commun afin de proposer ce projet d’espoir. Je suis pro-fondément désolé que l’on ait rejeté du revers de la main, cette initiative qui a déjà fait ses preuves auparavant. Je tourne la page avec amertume et je tiens, en tout dernier lieu, à vous formuler ma principale requête, celle d’investir dans l’humanité plutôt que dans l’industrie de la guerre.

Merci, Monsieur le Premier ministre.

Louis- Charles Trempe

Cette lettre a été transmise au Cabinet du Premier ministre du Canada, à la mairie d’Edmonton, au ministre du Patrimoine Canadien et des Langues officielles, James Moore, et à la ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux et ministre de la Condition féminine, Rona Ambrose.

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Épreuve finale; publicité dans LE CHINOOK pour l’année 2008

Membre du Barreau du Québec et de l’Alberta

Avocate

Marie-Êve Mayrand

Jumelage entre un gestion-naire d’expérience et un jeune entrepreneur, le mentorat est un concept de plus en plus à la mode dans les organismes s’occupant de l’entrepreneurship. Comment profiter de l’expérience et des compétences d’un senior? Pleins feux sur une pratique gagnante.

Le mentorat c’est quoi et pourquoi faire?

Le mentorat consiste à jumeler une personne d’expé-rience ou qualifiée (mentor) avec une personne qui souhaite améliorer ses compé-tences (mentoré). Le mentor joue le rôle de modèle et offre un soutien au mentoré en lui trans-mettant des connaissances, des ressources et des conseils dans le but de l’aider à améliorer ses compétences.

Dans le cadre d’une entrepri-se, le mentor est un entrepreneur qualifié et expérimenté qui accom-pagne bénévolement à l’intérieur d’une démarche encadrée (suivi, formation, documents de référen-ce, et plus encore) un autre entre-preneur de façon régulière et sur une période plus ou moins longue pour répondre aux besoins parti-culiers d’un mentoré. L’objectif du mentorat est d’offrir la possibilité à l’entrepreneur mentoré de se faire accompagner par un chef d’entre-prise qui a connu du succès, pour aller plus haut, plus vite et plus loin dans son entreprise. Il n’est pas besoin d’être en démarrage pour bénéficier du mentorat.

Il faut cependant faire une différence entre le mentor, le consultant, le coach ou le conseiller. Ces derniers se concentrent en général sur des éléments de savoir et de savoir-faire. Ils possèdent une expertise dans un domaine spécifique et sont rémunérés pour accomplir ou aider à réaliser un mandat ou des objectifs précis liés directement à leur champ d’expertise et visant des résultats d’entreprise à court terme.

Le programme de mentorat d’affaires du CDÉA

Au Québec, depuis les années 1990, on parle beaucoup de mentorat pour les entrepreneurs en tant que nouvelle forme d’aide aux entreprises. D’ailleurs, un réseau de mentorat à travers la province a été mis en place et compte aujourd’hui plusieurs histoires à succès. Le Réseau M au Québec compte plus de 1,000 mentors à travers la province.

C’est dans cette veine que le CDÉA veut servir de pont entre les entrepreneurs d’expérience et ceux qui sont nouvellement établis. Il veut ainsi s’assurer de développer au maximum les aptitudes entrepreneuriales de ses membres. C’est pourquoi l’organisme offre maintenant l’opportunité aux entrepreneurs francophones (Men-torés), ayant une entreprise depuis environ un an et plus, de bénéficier de ce support unique qui leur assure d’accroître leurs compé-

tences « d’être en affaires » et d’accélérer leur développement, tout en leur permettant de bénéfi-cier plus rapidement d’acquis qui, autrement, l’auraient été par leur propre expérience, au fil des ans.

Les mentors du Conseil de Développement Économique de l’Alberta sont des entrepreneurs chevronnés ayant de l’expérience en tant qu’entrepreneur/ gestion-naire d’une ou plusieurs entreprises. Ces derniers se concentrent à juger le savoir-faire des entre-preneurs ainsi qu’à les éclairer dans leurs stratégies d’affaires. Rappelons que le mentorat d’affaires n’est pas la solution à toutes les difficultés des entrepre-neurs, et le Mentor ne sera pas l’individu qui prendra la responsabilité de l’entreprise.

L’objectif est d’améliorer le leadership des mentorés, de briser son isolement et surtout d’ac-quérir de nouvelles compétences en tant que gestionnaire. Les mentors bénéficient également de ce programme car ils contribuent à

la formation des futurs dirigeants en partageant leurs connaissances et font partie d’un groupe ayant des intérêts communs. C’est une opportunité de valorisation personnelle extraordinaire.

Depuis que le programme de mentorat d’affaires a été mis sur pied, c’est-à-dire en septembre dernier, déjà deux jumelages d’affaires ont été effectués à Calgary. L’organisme entend pour-suivre sur cette lancée et possède une liste de mentors prêts à fournir du soutien à d’autres entrepreneurs.

Le mentorat d’affaires a un impact direct sur le taux de survie des entreprises. La relation ainsi établie permet à l’entrepreneur mentoré d’évoluer dans une relation strictement confidentielle et exempte de conflit d’intérêts.

Le programme de mentorat communautaire de la FAFA

A signaler également, le programme de la Fédération des Aînés Francophone de l’Alberta que

économie6. Le Chinook 15 décembre 2010

mentorAt pour les entrepreneurs

Le Conseil de Développement Économique de l’Alberta (CDÉA) vous offre un nouveau programme de mentorat d’affaires, en vue de faciliter votre succès en tant qu’entrepreneur.

Une opportunité unique pour perfectionner les connaissances en affaires:

de demain.

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Pour plus d’informations, contactez Marie-Eve MayrandTél : 403.802.0880 poste 109 ou par courriel : [email protected]

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gagnezà vous faire

accompagnerE n c o u r a g e z u n e n t r e p r e n e u r !

Financé par l’entremise du Fonds d’habilitation pour les communautés de langues officielles en situation minoritaire, et Diversification de l’économie de l’Ouest Canada.

l’on qualifie de communautaire et qui est offert dans plusieurs régions de la province. Ce programme se veut un soutien aux jeunes francophones, ayant de 18 à 30 ans, qui veulent poursuivre un but et profiter de l’experience d’un mentor. L’objectif est d’aider les jeunes francophones à poursuivre un but personnel, à pratiquer son français et possiblement à s’intégrer à la communauté. Les discussions peuvent être autant au niveau de leur carrière, de mieux gérer leur temps, de trouver des ressources, de s’intégrer à des groupes, d’augmenter leur réseau, etc. Le mentor pour sa part agit comme modèle pour le mentoré, tout en transmettant des conseils pour l’aider. Le projet de la FAFA est de trouver des mentors et mentorés afin de pouvoir aider le maximum de jeunes francophones. La période de la relation mentorale est pré-déterminée par la FAFA. En Octobre, une soirée avec le Club de l’Amitié de Calgary fut

récemment dédiée au Mentorat afin de faire des premières dyades entre des mentors et des mentorés; le premier et seul mentoré à cette soirée fut inondé de conseils et enfin, jumelé à un mentor. Depuis ce temps, 3 autres jumelages ont été faits. Le projet de la FAFA, assez percutant est toujours à la recherche de bénévoles afin de faire progresser le programme et par conséquent, aider la communauté francophone.

La relation mentorale se caractérise par l’ouverture à l’autre, la réciprocité, la gratuité et le volontariat. Elle se développe à long terme, et suffisamment pour faciliter le vécu des transitions personnelles et professionnel-les. Elle favorise la réalisation des projets et contribue au dévelop-pement socio-économique de la province. Le mentorat assure une relève prête à relever des défis. Et plus les gens auront de l’expérience, plus le tissu socio-économique aura la chance de se développer.

humour

Simon Delisle

Cher Père NoëlCette année j’ai été

très sage. J’ai fait rire plein de gens, je me suis occupé de mon nouveau chaton, j’ai joué avec lui, je l’ai gratté derrière les oreilles et j’ai dormi avec lui. J’ai aussi bien pris soin de ma copine, un peu de la même façon… à l’exception de la balle de laine, mon chat ne voulait rien savoir. Restons dans le thème des chats, pour mon premier cadeau.

J’aimerais avoir une machine qui transforme les gens en chats. Comme ça, je pourrais transformer Kim Jong Il et ainsi régler le conflit entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. Il suffirait d’une balle de laine et de quelques minouches pour instaurer la paix. Mais bon, je suis conscient qu’une machine qui transforme les gens en chat, ça ne court pas les rues. Alors voici une suggestion un peu plus facile. Le livre de Georges W.

Bush “Decision Point”. Pas tellement parce que j’ai envie de le lire, mais surtout parce que je veux une preuve qu’il sait écrire.

Si vous avez des contacts dans le domaine, j’aimerais aussi une séance chez un hypnotiseur qui pourrait me convaincre que j’aime les sushis. Car malgré l’immense popularité de ce mets, je n’arrive pas à me convaincre que du poisson cru avec du riz froid - tout cela retenu par un genre de “tape” aux algues - peut être si délicieux.

6 millions de dollars. Remarquez que je me contenterais de 1 ou de 11, l’important c’est le million qui suit le chiffre.

Tous les coffrets DVD de la série Virginie. Ce n’est pas vraiment pour les écouter, mais plutôt parce que je viens de commencer des cours de pigeons d’argile, et je vais avoir besoin de pratique.

Un Ipad. Je ne sais

pas trop pourquoi. Je suis conscient que ce n’est rien de plus qu’un gros Ipod Touch, mais tout le monde en veut un, il doit y avoir une raison.

Et finalement, une lettre d’excuses de la part des producteurs de la télé-réalité “Dubois en réalité”. Même si je n’en ai écouté que 15 minutes, c’est amplement suffisant pour demander des excuses.

Bon, je sais qu’il y a quelques cadeaux sur ma liste qui sont plus difficiles à , trouver, voire même impos-sibles, mais j’ai confiance en vous Monsieur Noël. Après tout, qui de mieux placé qu’un vieil homme intemporel qui construit des jouets au Pôle Nord avec des lutins pour trouver ce que je demande.

Je sais que j’en ai déjà demandé beaucoup, mais j’aurais aussi une dernière faveur. Pourriez-vous laisser une petite carte de remercie-ments à tout les lecteurs du Chinook et à son équipe. J’ai

lettre Au père noëleu beaucoup de plaisir toute l’année et c’est grâce à eux. De retour en 2011 !

Comme on dit dans le métier :

HOHOHO

15 décembre 2010 Le Chinook. 7

Prématernelle Les petits rayons de BeausoleilNouveau programme préscolaire francophone à l’école

Beausoleil

La classe de prématernelle offre un programme éducatif francophone de haute qualité. Offert aux enfants âgés de 3 à 5 ans, il vise à promouvoir la culture francophone en milieu scolaire et à contribuer au développement des enfants dans le respect de chacun.

Lundi au vendredi :8 h 35 à 11 h 20 classe complèteLundi au jeudi :12 h à 14 h 15 offert à partir de janvier

Venez nous rencontrer à l’école Beausoleil,71, Okotoks Drive, Okotoks

ou visitez le site internet de l’école auwww.conseildusud.ab.ca/ecoles/beausoleil/

Places subventionnées disponibles pour les familles à faible et moyen revenus.

8. Le Chinook 15 décembre 2010

Les deux conseils scolaires francophones du Sud de l’Alberta s’unissent pour

vous souhaiter un très Joyeux Noël

etune bonne et heureuse

année 2011 remplie de paix, de bonheur et de santé !

Conseil scolaire du Sud de l’Albertawww.conseildusud.ab.ca403 686 6998

AIRDRIEÉcole francophone d’AirdrieCALGARYÉcole Terre des Jeunes (N.O.)École La Mosaïque (N.E.)École de la Rose sauvage (N.O.)École de la Source (S.E.)OKOTOKSÉcole BeausoleilMEDICINE HATÉcole Les CyprèsBROOKSÉcole Le RuisseauLETHBRIDGEÉcole La Vérendrye

Conseil scolaire catholique etfrancophone du Sud de l’Albertawww.cscfsa.ab.ca403 685 9881

CALGARYÉcole Sainte Marguerite Bourgeoys (S.O.)École Notre Dame de la Paix (S.E.)COCHRANEÉcole Notre Dame des ValléesCANMOREÉcole Notre Dame desMonts

boissons hyDrAtAntes et DésAltérAntes... (pArtie 2)

15 décembre 2010 Le Chinook. 9

nutrition

Céline Bossé, nutritionniste

Boire, c’est bien plus rapide que manger. Dans un monde de performance et de réussite, au dire de plusieurs personnes, le temps libre est une denrée de plus en plus rare. Il n’est donc pas surprenant que la popularité des boissons sur le marché soit aussi grande. Il n’est pas rare non plus de voir la transformation de repas complets en breuvages à boire sur la route. Comme boire permet de bouger et de se déplacer, il est plus facile de faire autre chose en buvant, mais aussi de ne pas réaliser à quel point certains breuvages sont nourrissants et riches en calories. Le risque est grand de consommer des quantités excessives de calories avant même de réaliser que la satiété est atteinte et de prendre du poids sans trop comprendre pourquoi.

Au temps des fêtes les breuvages et les boissons sont partie intégrante des réjouissances et il est bien difficile de dire non... Je vous présente un petit échantillon de “mythes et réali-tés” que j’accompagnerai d’une réflexion, en guise de garniture intellectuelle.

Boissons « gazeuses »Selon le coordonnateur de la

Chaire de recherche sur l’obésité de l’Université Laval, M. Paul Boisvert, les boissons sucrées, qu’il s’agisse des boissons gazeuses «fruitées» et «éner-gisantes» ou des eaux vitaminées, ne sont que des bonbons liquides... Alors que dire de l’apport en valeur nutritive qui s’y rattache? Et dans quelle mesure les calories que procurent ces dits produits favorisent une saine croissance chez les enfants? Vous serez d’accord que plus ces boissons sont présentes dans les habitudes de consommation des enfants, plus le choix du verre de lait comme source importante de protéines, de vitamines A & D et de calcium est réduit.

La norme à suivre...Les spécialistes de la santé

vous diront que de limiter votre enfant à une seule consomma-tion de jus 100% pur (250 ml) par jour et à 3 à 4 verres de lait pour plutôt préconiser l’eau entre les repas est une excellente façon d’assurer la croissance optimale de celui-ci. Cette norme procure aussi d’autres avantages non négligeables comme la lutte contre la carie dentaire et une importante diminution du risque d’obésité et des problèmes sous-jacents

comme le diabète du type 2 qui, malheureusement, est en augmentation chez les enfants depuis la dernière décennie.

Boissons des “sportifs”...Question de s’hydrater, de

trouver de l’énergie et de combler les pertes de sels minéraux par la transpiration.

Nous en parlions le mois dernier. Pour ajouter au discours, voici une recette maison peu dispendieuse qui fera aussi bien l’affaire:

175 ml (3/4 tasse) de jus d’orange frais, non sucré;

325 ml (1 1/3 tasse) d’eau;20 ml (4 c. à thé) de sucre;1 pincée de sel (facultatif).

Boisson « énergisante » RedBull, Guru, Full Throttle,

Monster, SoBe Energy Dink, etc...Mythe ou réalité : Pren-

dre une boisson énergisante juste avant d’aller au gym est la meilleure façon de conserver un bon niveau d’énergie pendant toute la période de mon entraîne-ment.

FAUX: Le meilleur moyen de vous assurer de maintenir un bon niveau d’énergie pendant toute la journée et durant vos en-traînements est une alimentation équilibrée et de bonnes nuits de sommeil.

C’est la combinaison caféine- sucre qui est responsable de l’effet stimulant des boissons énergisantes. Mais attention! Les boissons énergisantes contiennent généralement plus de deux fois la quantité de caféine que contien-nent les boissons gazeuses. Il est vrai que la caféine hausse, pour une courte période de temps, la vigilance, mais une baisse d’énergie est vite ressentie par la suite. De plus, la caféine pourrait nuire à votre sommeil. Ces boissons contiennent aussi d’autres ingrédients tels que la taurine et le glocuronolactone. Or, les études parues à ce jour n’ont pas démontré qu’ils sont sans danger, surtout lorsqu’ils sont mélangés à la caféine. Enfin, la caféine contenue dans certains de ces breuvages peut aussi, par ses effets diurétiques connus, provoquer une déshydratation importante. Une importante concentration de caféine diminue aussi l’absorption du calcium, ce qui peut engendrer l’ostéoporose.

Breuvages « enivrants » : Vin, bière, spiritueux...

Mythe ou réalité: La consommation modérée de vin rouge, comme les autres types d’alcool, a certains effets bénéfiques. À petite dose, le vin dilate les vaisseaux sanguins, ce qui permet une meilleure cir-culation du sang, il augmente le bon cholestérol dans le sang et diminue le stress.

VRAI: Un verre par jour, ça va. Si on fête de temps en

temps, sans excès, ce n’est pas un problème non plus. Si on fête trop souvent, oui, cela peut en devenir un. Le problème avec les boissons alcoolisées, peu importe laquelle, c’est leur teneur en éthanol (l’alcool), une substance reconnue comme étant cancérigène pour l’homme. Elle engendre aussi une production de radicaux libres qui causent l’inflammation, donc prédispo-sent au cancer. L’inflammation est notamment l’une des causes menant au cancer du foie.

L’alcool est aussi connu pour ces effets diurétiques pou-vant occasionner une importante déshydratation et des complica-tions sur le bon fonctionnement de l’organisme.

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L’eau : essentielle à la vieBien s’hydrater, c’est

permettre et offrir à son orga-nisme tous les outils nécessaires afin de mieux fonctionner. L’eau assure 3 rôles importants : composer le sang et la lymphe, transporter les nombreux élé-ments nutritifs dans l’organisme, débarrasser l’organisme des déchets qui circulent dans le sang (par la transpiration, les urines, les selles et la respiration).

Saviez-vous que les fruits et légumes contiennent de 75 à 85 % d’eau? Il ne faut pas les négliger.

Amusez-vous, mangez, bougez pleinement et gardez-vous bien de ne perdre ni la tête ni votre tour de taille!

recettes10. Le Chinook 15 décembre 2010

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Dominique Moussu

Coquilles Saint-Jacques dorées à la truffe12 coquilles Saint-Jacques fraîches2 cl d’huile20 g de beurre12 lamelles de truffe de 10 g pièce30 cl de fond blanc de volaille2 cl d’huile olive50 g de beurre 10 cl de jus de volaille1 cl de vinaigre de xérès

- Ouvrir les coquilles Saint-Jacques, retirer les barbes et le corail;- Sortir les noix et les rincer sous l’eau courante afin de retirer le sable, puis les sécher sur un linge;- Mettre une noix de beurre dans la cocotte, ajouter les truffes et la fleur de sel;- Laisser suer sans coloration, puis mouiller avec du fond blanc;- Réduire le jus de cuisson jusqu’au moment ou la matière grasse tranche;- Verser alors le vinaigre de xérès, réduire à glace, mouiller avec le jus de volaille et amener à consistance;- Dans une cocotte en fonte, rôtir les Saint-Jacques sur toutes leurs faces dans le beurre et l’huile d’olive;- Débarrasser aux trois quarts de la cuisson et réserver dans un endroit tempéré;- Disposer le tout dans les assiettes de manière informelle, verser un trait d’huile d’olive, assaisonner de poivre et de fleur de sel.

Diplomate aux fruits confits- Hacher grossièrement 100 g de fruits confits;- Les mettre dans une casserole avec 80 g de raisins secs et les laisser macérer dans 10 cl de rhum;- Couper 1 pain brioche de 500 g en tranches;- Les écrouter, les beurrer et les dorer légèrement au four en les posant sur la tôle;- Beurrer un moule à charlotte de 1,5 l et le poudrer de sucre;- Placer une couche de pain dans le fond et la recouvrir de fruits macérés égouttés;- Remplir ainsi tout le moule de couches alternées de pain et de fruits;- Mélanger dans une jatte 200 g de sucre semoule, 1 dl de lait et 1 sachet de sucre vanillé;- Ajouter 6 œufs battus à la fourchette et le rhum de macération;- Verser cette préparation dans le moule, en laissant le pain absorber le liquide;- Cuire 1 heure au bain marie dans le four préchauffé à 150 °C, en évitant toute ébullition;- Laisser refroidir complètement, démouler et décorer de 30g de fruits confits entiers.

Bon appétit et Joyeuses Fêtes

Jean-François Ross

Présentée au Canada pour la première fois en 2010 comme modèle 2011, le manu-facturier japonais Suzuki nous propose la plus grande berline et, du même coup, la plus sophistiquée de son histoire. Le nom KIZASHI signifie en japonais : un signe très prom-etteur. La collaboration entre ce petit constructeur japonais et le géant allemand Volkswa-gen nous laisse présager un avenir digne du nom de la KIZASHI.

Après un essai routier d’une semaine au volant de cette SUZUKI, je dois admettre que je suis agréablement surpris du comportement de cette nouvelle berline intermédi-aire. Bien que ce constructeur soit timide sur le marché automobile nord-américain, cette toute nouvelle KIZASHI 2011 n’a pas froid aux yeux sur le bitume et mérite une attention particulière de la part des consommateurs.

Dès les premiers kilomètres parcourus, on apprécie le plaisir de conduire par sa superbe tenue de route, comme celles des berlines allemandes. Pas surprenant, car tout le travail de recherche et de développement a été réalisé en Europe, d’où l’influence mar-quée de Volkswagen.

La ligne extérieure est très fluide, des phares avant jusqu’aux phares arrière. De plus, les jantes en aluminium de 18 pouces de série et les embouts d’échappement chro-més intégrés au pare-choc arrière lui donnent une belle gueule.

Lorsqu’on prend place au siège du conducteur, ce que l’on observe est impression-nant. Un siège électrique muni de 10 réglages, un volant inclinable et télescopique avec commandes audio intégrées, climatisation thermostatique, une interface USB/iPod, un système audio de qualité supérieure Rockford Fosgate. Cependant, pas de système de GPS au menu, pas non plus en option.

Du côté du groupe motopropulseur, toutes les versions, S, SPORT et SX AWD, sont munies du moteur quatre cylindres en ligne de 2,4 litres de 180 chevaux à 6 500 tours/minute qui génère 170 livres-pieds de couple à 4 000 tours/minute. Deux transmissions au catalogue, une CVT offerte sur les versions S et SX AWD offre une économie addition-nelle de carburant, mais qui, selon moi, devraitt être peaufinée pour être mieux adap-tée à la plage moteur. La version SPORT que je n’ai malheureusement pas eu la chance d’essayer offre une transmission manuelle à six vitesses

Cependant, il y a quelques bémols : une transmission CVT à revoir ainsi que l’espace limité pour les jambes à la banquette arrière et une visibilité réduite vers l’arrière. Tout compte fait, cette nouvelle KIZASHI SX AWD 2011 est quand même bien plaisante à con-duire. À 29 995 $ en version intégrale, c’est une aubaine avec son équipement des plus complets. La KIZASHI 2011 fait sans aucun doute une entrée surprenante, même inat-tendue de la part de ce constructeur nippon.

Je tiens à souligner l’excellente collaboration de SUZUKI Canada pour l’essai routier de la SUZUKI KIZASHI SX AWD 2011.

FICHE TECHNIQUE

Marque: SUZUKIModèle: KIZASHI SX AWD 2011 (modèle d’essai)Autre(s) modèle(s): KIZASHI S TA et KIZASHI SPORT TACatégorie: Berline sport intermédiairePrix : 29 995 $ (modèle d’essai)Garanties : 3 ans/60 000 km, 5 ans/100 000 km Moteur : L4 de 2,4 litres Puissance ch. (kW) : 180 (134) @ 6 500 tr / min Couple lb-pi (N.m) 170 (230) @ 4 000 tr / min Autre(s) moteur(s) : AucunTransmission : Variation continue (CVT) (S et SX)Autre(s) transmission(s) : Boîte manuelle à six vitesses (SPORT)Traction : Traction intégrale (i-AWD)Système antipatinage : Oui avec antidérapage Suspension : Avant :indépendante à jambes de force

Arrière:indépendante à multibrasDirection : À crémaillère à assistance variable Freins : Avant : disques ventilés (ABS) et (EBD) Arrière : disques (ABS) et (EBD) Coussins gonflables : Frontaux, latéraux et rideaux gonflables Empattement : 270,0 centimètresPoids : 1 620 kgCapacité de remorquage : N/DCapacité du coffre : 378 litresCapacité du réservoir : 63,0 litresConsommation : Ville : 9,3 L/100 km ou 30 mi/gal* Route : 6,8 L/100 km ou 42 mi/gal* Émission de CO2 : 3 760 kg / année*

*Selon Ressources naturelles Canada Sécurité : Non évaluée selon les tests de collision

par www.iihs.org

Autres modèles concurrents :- Subaru Legacy

Pour : Contre :- Ligne extérieure superbe - Transmission CVT à revoir- Rouage intégral performant - Une seule version AWD- Performance moteur adéquate - Espace banquette arrière- Tenue de route impressionnante - Visibilité arrière - Prix compétitif - Nouveau modèle - Équipement complet- Confort sièges avant

AutomobilelA suzuki kizAshi 2011:

suzuki nous surprenD!

15 décembre 2010 Le Chinook. 11

Paul-François Sylvestre

Cuba évoque pour la plupart d’entre nous les cigares, le rhum, la musique et les plages de sable blanc. Mais derrière cette île en apparence paradisiaque se cachent bien d’autres surprises. Le reporter Hector Lemieux va au-delà des clichés, des vieilles voitures et des slogans révolutionnaires pour nous faire Comprendre Cuba. Tel est le titre de son guide publié aux Éditions Ulysse. Guide indispensable si vous projetez de vous rendre à Cuba cet hiver.

Comprendre Cuba est un livre de terrain car son auteur a rencontré des dissidents et des riches Cubains, des prêtres et des guérilleros afin de décoder le régime politique, la religion, les classes socioéconomiques et les systèmes de santé et d’éducation de Cuba. Il révèle tout ce que l’on désire savoir sur la musique cubaine, l’histoire du rhum, l’industrie du cigare et la passion du baseball. Il aborde des sujets plus délicats, comme la dissidence et le rêve d’exil des Cubains, le tourisme sexuel et l’homosexualité.

L’auteur s’attarde aussi à décrire le tourisme médical à Cuba, l’univers des médias et le système économique si particulier d’une île qui s’ouvre peu à peu aux sociétés étrangères. Les entrepreneurs trouveront ici des conseils pour composer avec la bureaucratie, négocier avec les Cubains et gérer les ressources humaines. De quoi répondre enfin à toutes les questions que se posent les voyageurs qui y vont pour la première fois ou qui retournent fréquemment à Cuba.

Comprendre Cuba est un ouvrage pour les voyageurs curieux qui ne veulent pas bronzer sur l’île communiste. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur la société cubaine, son peuple chaleureux, sa riche culture et sa vie quotidienne, ces chroniques cubaines décryptent les us et coutumes d’une société passionnante, plus complexe qu’il n’y paraît, façonnée par une histoire tumultueuse. À travers les témoignages de Cubains rencontrés par l’auteur aux quatre coins de l’île, les voyageurs prendront toute la mesure de la vie des Cubains.

L’auteur de ce guide, Hector Lemieux, est un reporter international spécialiste de Cuba. Ses écrits sont régulièrement publiés par les grands médias internationaux, notamment en France, en Belgique et en Suisse. Son analyse du pays permet aux touristes de s’adapter avec facilité à la culture cubaine et de décoder cette société plus complexe qu’il n’y paraît.

Hector Lemieux, Comprendre Cuba, guide, Montréal, Éditions Ulysse, 2010, 112 pages, 17,95 $.

un guiDe pour votre prochAin voyAge à

cubA

Après avoir été charmé par Au revoir Lénine et Les édukateurs, j’étais très enthousiaste à l’idée de visionner La Vague. Après tout, comme le dit Vince dans la pub de Slap Chop: “Si ça vient de l’Allemagne, c’est sûr que c’est bon!” Dans ce cas-ci, Dennis Gansel nous livre un film plutôt calme malgré la trame de fond dramatique qui s’y installe.

Rainer Wenger (Jürgen Vogel) est un professeur aux idéologies plutôt anarchiques. Par contre, quand vient le temps de la semaine thématique, il se voit imposer par la direction, le sujet de la dictature. Il décide donc de tenter une expérience: Rendre la dictature vivante au sein de sa classe pour montrer à ses

étudiants à quel point ce genre de régime peut être dévastateur. Ce qui semblait un projet inoffensif au départ devient rapidement un mouvement de masse qui dépasse les quatre murs de l’école.

C’est à ce moment où on s’attend que tout éclate, que tout déborde. Malheureusement, il n’en est rien. On a droit à une gang d’étudiants qui s’habillent en chemises blanches et qui font quelques graffitis dans la ville. Il y a bien sûr quelques jeunes qui prennent ce mouvement un peu plus au sérieux mais jusqu’à la toute fin, on ne ressent aucunement l’ampleur et la force de ce mouvement qui ne véhicule même pas d’idéologie.

L’idée de départ est excellente et dé-tient tous les ingrédients pour faire un film choc mais ça tombe à plat. On exploite que trop légèrement le « pourquoi » de ce mouvement, ce qu’il est supposé apporter à ses membres et ses répercussions réelles. Le film est tellement tranquille que même la fin semble surréaliste puisqu’on ne comprend pas trop comment des jeunes ont pu embarquer si farouchement dans un mouvement qui ne se voulait qu’une expérience pédagogique.

Je voulais aimer ce film, j’espérais y trouver des scènes chocs, des idéologies rassembleuses, des jeunes en soif de pou-voir ou en détresse qui s’identifiaient à un tel mouvement, mais on effleure que trop légèrement toutes ces facettes. Un film qui fait malheureusement, que trop peu de vagues…

La vague: Un film peu houleux (2008)Dominique Fortier: www.dimanchematin.com

Arts & Spectacles

Si les carottes sont cuites, les patates sont pilées!

Pierre-Luc Gagnon: www.dimanchematin.com

Si j’avais des enfants, je ne sais pas si je les ferais garder par Serge Bois-vert deNevers (l’un des fondateurs du magazine Safarir) et Michel Bouchard (rédacteur en chef du Magazine Safarir), mais je n’hésiterais probablement pas à leur acheter «Patatepilée», la nouvelle série de bouquins qu’ont créée, en collaboration, ces deux joyeux lurons.

Selon le communiqué officiel, «Pa-tatepilée, un succulent reste de pâté chinois, est le héros d’une nouvelle collec-tion québécoise». L’action se passe dans un frigo. On y retrouve Jude Rouge-O, une sympathique bouteille de ketchup, Gérard Lactose, une pinte de lait, et Dan Oméga, dit « tête d’oeuf ». Mais attention! Il n’y a pas que des gentils à Frigolo. La bande des Mâles Bouffons composée des frères Pékel et de Fritz et Chipo Vinèg y sème également la terreur. N’ayez craintes, Patatepilée aime bien se lancer à l’aventure et déjouer les plans hypercaloriques de la bande des Mâles Bouffons…

Le deuxième tome (Patapilée gravit le mont Réfrigo) sera disponible en librairire dès le 1er avril. Le premier tome est déjà disponible depuis le 18 février. À déguster à grandes bouchées!

J’ai re-découvert 30 seconds to mars en terminant le jeu Dragon Age. La chanson This is war jouait au générique. Je connaissais et aimais déjà la chanson The kill mais je n’avais jamais pris le temps d’écouter le reste de leur deuxième album, It’s a beautiful lie. This is war étant le premier extrait du nouvel album a paraître, j’ai dû attendre en décembre 2009 pour écouter le reste du troisième opus. Un son différent du deuxième album appuyé par un thème récurrent font de This is war un bijou à écouter.

Ils sont présentement en tournée pour promouvoir le troisième album et ils viennent d’entamer la branche américaine. Un seul spectacle était prévu au Canada, c’était hier soir à Toronto au Sound Academy. Après plus de deux heures d’attente dont une dehors au froid, alors que je regardais impatiemment ma montre en pensant à l’heure de mon vol de retour vers Montréal qui approchait trop rapidement, le groupe est enfin monté sur scène à 21h. Notre billet indiquant 19h, l’impatience était à son comble, tout comme la salle dont on ne voyait plus un centimètre de plancher.

L’attente en ayant valu la peine, pour la partie du spectacle que j’ai vue, c’était excellent et digne d’un show qui aurait pu aussi bien être présenté au Centre Bell devant 15 000 personnes au lieu de seulement 2000. Fidèles à leurs albums, sous les cris des fans qui chantaient (criaient) plus fort que le chanteur Jared Leto trois fois sur quatre, le groupe a offert une prestation électrisante de plusieurs chansons de leurs trois albums. Le chanteur s’est mêlé aux gens plus d’une fois et, bien que j’aie trouvé la foule de Toronto relativement froide et un peu trop « polie », je crois que tous étaient bien contents d’être là.

Aujourd’hui, je suis un peu déçue car il a fallu que je parte avant la fin pour attraper mon avion et ainsi manquer quelques chansons dont l’excellente King and Queens qui tourne présentement à la radio. Je me demande bien ce qu’il faudrait faire pour les amener à Montréal !

30 Seconds To Mars: This is war

Amélie Roy www.dimanchematin.com

14. Le Chinook 15 mai 2010

Sometimes I can’t believe it / I’m moving past the feeling. C’est sur ce refrain sublime et accrocheur que s’amorce et se termine The Suburbs, l’album acclamé dès sa sortie par les fans et les critiques. Arcade Fire frappe fort, après un Neon Bible mitigé et un Funeral déjà classique. Le groupe montréalais livre un album plus intime avec des mélodies plus accessibles, des rythmes moins saturés et des voix plus posées. En somme, un bon pas vers l’avant.

Derrière une pochette intrigante, à la fois vintage et sombre, se cachent plusieurs pistes modernes et lumineuses. The Suburbs, chanson titre et premier extrait, est une pièce pratiquement impossible à s’enlever de la tête. Ready To Start laisse battre le pied sur l’entrain de son beat. City With No Children s’interpose comme un interlude poignant. Month of May porte la note vers un rock discordant. We Use to Wait ramène l’émotion avec un refrain marqué entre des couplets bercés par un piano frénétique. Sprawl II (Mountains Behind Mountains) met en valeur Régine Chassagne, qui connaît son heure de gloire sur chaque album, sur une trame de fond qui évoque un paquet de décennies de musique. On s’entend, le registre est large!

Un petit regard dans le rétroviseurThe Suburbs, en comparaison avec Neon Bible, a l’avantage

de n’avoir aucun temps mort, aucune chanson qui laisse l’auditeur indifférent. Par contre, il n’y a rien qui atteint le niveau de la quadrilogie Neighborhood de Funeral. En ayant à trancher entre les deux disques, je devrais crier à l’injustice et déclarer la partie nulle. Funeral apportait quelque chose de nouveau, de nécessaire, de vibrant. The Suburbs marque une évolution, une maturité, un son plus défini, une unité.

****

ArcADe fire - the suburbs

(2010)Pierre-Luc Gagnon, www.dimanchematin.com

Simon Bousquet

concert De noël De lA voiX Des rocheuses

La bonne humeur était au rendez-vous au spectacle de Noël de la chorale Voix des Rocheuses. Près d’une centaine de personnes se sont déplacées pour venir assister à l’événement qui a permis d’amasser 300 $ et de généreux dons en nourriture qui seront remis à la banque alimentaire de Calgary. Un spectacle intime qui a plu aux petits comme aux grands.

La chorale a interprété une quinzaine de chansons de Noël du répertoire international, principalement francophone. Ces dernières ont particulièrement enthousiasmé la foule qui a repris les airs de Promenade en traîneau, Nos vieilles maisons, Les anges dans nos campagnes et d’autres classiques tout en tapant des mains. « Le choix de l’église Sainte-Famille pour le concert a été motivé par l’acoustique particulière des églises et la thématique de l’endroit qui correspond au thème de Noël, bien que le spectacle ne soit pas axé uniquement sur les chants religieux » a déclaré Inouk Touzin, président de la chorale.

La chorale fondée en 1978 est composée de 25 chanteurs originaires des quatre coins de la francophonie. « Nous avons des chanteurs originaires d’Afrique, d’Europe, d’Acadie et de plusieurs provinces canadiennes » se réjouit Inouk Touzin. La chorale interprète des chants du répertoire de

chorale traditionnel, de musique franco-canadienne traditionnelle et pop. « Il y a des chansons en français, anglais, hébreux, latin et nous préparons une chanson en Mic Mac », explique le président de la chorale.

« Le thème de notre représentation du printemps sera la musique qui fait danser » a déclaré Amy McLennan, directrice musicale de Voix des Rocheuses, invitant la population à la Cité des Rocheuses les 14 et 15 mai 2011.

Ceux qui souhaiteraient grossir les rangs de la seule chorale francophone de Calgary peuvent visiter le site Internet. Le recrutement et la formation pour l’année 2011 se feront en janvier.

Arts et culture12. Le Chinook 15 décembre 2010

sports15 décembre 2010 Le Chinook. 13

David Vanier

Un débat a lieu depuis quelques semaines au Canada. Quelle est la personnalité qui attire le plus l’attention entre George St-Pierre mieux connu sous le nom de GSP ou encore Wayne Gretzky le meilleur joueur de hockey de l’histoire de la Ligue Nationale de hockey. Si on parle au Canada, mon vote irait pour la légende vivante qu’est Gretzky; si on parle aux États-Unis, je vous dirais que c’est possiblement 50-50. Par contre. au moment où l’on sort de l’Amérique du Nord c’est le combattant d’arts martiaux mixtes qui prend le dessus, et ce, haut la main. GSP est considéré comme un dieu aux Philippines, et dans plusieurs pays asiatiques. C’est quand même étonnant qu’un petit gars de St-Isidore, sur la rive-sud de Montréal, soit plus connu et reconnu à l’extérieur du pays et du continent dans lequel il domine son sport.

Il faut dire que la Ulti-mate Fighting championship (UFC) fait énormément de

gsp AvAnt gretzkypromotion via le web et la télé à la carte dans les pays européens et asiatiques. In-versement, ici au Canada on a tardé à promouvoir ce type de combat, qui selon les statistiques serait moins dangereux que la boxe ou les autres sports de combat. Il faut noter aussi, qu’il y a une différence incroyable entre la UFC et une soirée de combats ultimes dans une réserve indienne où l’engage-ment ne sera pas régie de la même façon. Pour ce qui est du UFC, les arbitres n’hésitent jamais à arrêter un combat si l’un des pugilistes se retrouve dans une position dangereuse. Ça fait partie du sport.

Pour en revenir à GSP, cet athlète de haut niveau domine son sport depuis près de 4 ans. Il a été nommé athlète canadien de l’année par le réseau Sportsnet à deux reprises, soit en 2008 et 2009. Ce qui est le plus impression-nant lorsqu’on analyse GSP c’est sa préparation pour les combats, il ne néglige rien.

Le dernier exemple a eu

lieu le 11 décembre dernier lors du UFC 124 alors qu’il affrontait dans un combat de championnat du monde le «bad boy» par excellence John Koscheck pour une deuxième fois après l’avoir vaincu en août 2007. Le combat avait lieu au Centre Bell à Montréal et il savait que la foule allait être derrière lui. Tous les experts étaient en droit de s’attendre à un combat au sol car il s’agit d’une des principales habiletés de chacun. Il a donc été surpre-nant d’entendre Koscheck affirmer qu’il allait passer GSP KO debout avec les poings et que c’est comme cela que le Québécois allait s’incliner. George St-Pierre a tenu compte de ce commentaire lors de son entrainement.

Durant tout le combat dominé encore une fois par GSP, le champion a utilisé son «jab» avec une précision chirurgicale. Dès la première reprise, George a atteint la cible et a fait gonfler l’œil droit de l’aspirant qui n’a pas été capable d’offrir une bonne

performance. Il faut toutefois noter le courage de l’Américain qui est venu se battre sur un territoire hostile et qui a su rester debout pendant les cinq rondes de 5 minutes à recevoir les coups en puissance de St-Pierre sur son œil. En perdant pratiquement la vue du côté droit, Koscheck avait un angle mort et GSP en a profité pour marquer des points du côté des juges. Selon les analystes, il s’agis-sait du combat ultime qui a été le plus dicté par la boxe dans l’histoire du UFC. Seulement trois projections au sol ont eu lieu et pour de très courts laps de temps, chacun des combattants préférant se retrouver sur leurs jambes.

Maintenant que GSP a fait le tour de sa division en affrontant Koscheck, Serra, Penn et Hugues à au moins deux reprises chacun, quels défis s’ouvrent à lui? Plusieurs le nomment meilleur com-battant livre pour livre de la planète. Par contre, dans une division plus lourde se re-trouve Anderson Silva qui serait, selon d’autres analystes sur un pied d’égalité avec le

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Dr. Annie DrouinOPTOMÉTRISTE

• Examen de la vue• Lentilles cornéennes• Rééducation visuelle• Orthokératologie

Elveden Centre DowntownCity Focus Optometry100, 727 7th Avenue S.W.Tel: 263-9090 Fax: 263-9075

Southcentre Optometry Clinic242 Southcentre MallTél.: (403) 278-7622

Bienvenue aux nouveaux patients!

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FRENCH TRANSE EN DANSE

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Tous les lundis 18h à 19h

francophone. Est-ce qu’un combat entre les deux hommes serait envisagea-ble dans un avenir à moyen terme, seul le temps nous le dira.

Prof Mercure

par Valérie PerreaultSahlen, Grelet et le jardin magique

De la visite inattendue

Chapitre 1

Un matin dans une forêt sombre et dense… - Scrunch! Scraaatch! résonne la maison endormie.

- Encore des enfants abandonnés! dit Grelet en pensant au déjeuner qu’il dévorera sous peu.

- Ils doivent être affamés, fait Sahlen en s’étirant.

- Évidemment! concède son frère.

- Il y a quelque temps, précise-t-elle, nous l’étions tout autant qu’eux.

- Scraaatch! Sluuuuurp! Scrunch!

- Vite! s’exclame Grelet, à ce rythme-là, ils auront mangé notre demeure en un rien de temps.

- Bonjour! fait Sahlen en ouvrant ce qu’il reste de la porte.

- B…bonjour! balbutie le garçonnet dont le visage est couvert de chocolat.

- Comment t’appelles-tu?

- Doudelais!

- Et qui est cette demoiselle qui se cache derrière toi?

- Cibelle.

- Boiriez-vous un verre de lait?

- Oui! font-ils sans hésiter.

- Deux verres de lait! s’écrie Grelet qui apparaît comme par enchantement.

- Ah! s’exclame Cibelle en renversant le sien, n’engraissez pas mon frère pour ensuite le manger, le supplie-t-elle.

- Quelle drôle d’idée! dit-il, je ne me nourris que de macarons, de bonbons, de gaufrettes, de tartines, de guimauves et de chocolat que ma sœur et moi produisons.

- C’est bien meilleur! remarque Grelet, ne trouvez-vous pas?

- O…oui, hésite Doudelais, mais, au village, on dit que la vieille sorcière qui habite cette maison mange les enfants.

- Cimoche! dit Sahlen, elle est morte depuis belle lurette.

- C’est de l’autre sorcière dont il faut se méfier.

Valérie Perreault

Auteure, conteuse, chef de choeur

et enseignante

[email protected]

Ah! Le temps des Fêtes, période de l’année riche en… bocaux vides!

Voici une manière fascinante de refaire le monde dans un vieux cruchon de cornichons. Prenez un bocal de verre transparent vide, peu importe la grandeur; lavez-le bien et, en le tournant à l’envers, entassez un peu de terre sur le couvercle. Vous pouvez chiper un peu de terre dans le pot d’une des plantes de la maison. Ensuite, coupez un bout d’une branche de cette plante contenant deux ou trois feuilles seulement et plantez le bout portant la coupure dans le sol que vous venez de créer sur le couvercle. Pas de racine? Pas grave, elles pousseront, vous verrez, cette technique de transplantation s’appelle le mar-cottage. Versez quelques cuillè-res d’eau sur le sol (il ne doit pas être détrempé) et refermez le pot en le plaçant à l’envers sur le couvercle, vissez bien le tout hermétiquement. Et voilà! Vous venez de recréer dans un bocal ce qui se produit à l’échelle de notre planète, la biosphère. Et tant qu’à y être, ajoutez donc un être vivant comme une petite larve de

ténébryon meunier (ver à farine, disponible pour quelques sous dans les animaleries). Placez le pot à la lumière du soleil ou d’une lampe fluorescente (N’importe quelle lampe fluorescente, même une ampoule fluocompacte fera l’affaire).

Que se passe-t-il?La Terre abrite plusieurs

cycles : Le cycle de l’eau, celui du carbone, celui de l’azote, entre autres.

Le cycle de l’eau : Dans votre biosphère, l’eau s’évapo-re du sol, de la larve et surtout des feuilles de la plante. Elle se condense sur les parois du bocal parce qu’il est plus froid et tout simplement parce que les gouttelettes d’eau s’y agrippent et s’y agglutinent. Cette eau redescend par gravité pour nourrir la plante par les racines qui commencent déjà à se déve-lopper. Votre ténébryon, lui, ne boit pas, c’est en mangeant la plante qu’il ingère son eau. Et ça recommence.

Le cycle du carbone : Celui-là est passionnant. Le ténébryon, comme vous et moi

et comme tous les animaux (comme les petites moisissures qui commencent à se former sur le sol aussi), respire de l’air bien oxygéné et en rejette un air vicié de gaz carbonique. C’est la respiration. La plante, elle, fait le contraire : elle absorbe le gaz carbonique et rejette de l’oxygè-ne. C’est la photosyhtèse. Enfin, soyons rigoureux, la plante respire elle aussi, mais au bilan, si elle grandit, elle absorbe plus de gaz carbonique qu’elle en rejette. Ce qu’elle en fait? Elle se construit! Toutes les nouvelles cellules à développer pour pousser, notamment des racines, sont faites du carbone contenu dans le gaz carbonique si généreusement rejeté dans l’air par le ténébryon (et les petites moisissures; d’ailleurs, si vous n’avez pas ajouté de larve, les moisissures feront le travail, ne vous en faites pas). Merci la larve (merci les moisissures)!

Le cycle de l’azote : On l’oublie souvent celui-là. Pourtant, l’air est composé de 78% d’azote. Ce sont des bacté-ries, souvent fixées aux racines

Jeunesse14. Le Chinook 15 décembre 2010

lA biosphère DAns un bocAldes plantes, qui transforment l’azote de l’air en une forme assimilable pour les êtres vivants. C’est ainsi que la plante obtient son engrais. Puis, la larve qui mangera la plant aura l’azote nécessaire à la synthèse de ses cellules. Elle rejettera de l’urée (une for-me concentrée de l’urine), qui deviendra de l’ammoniaque, qui sera elle aussi transformée en engrais pour la plante par d’utiles bactéries. Dans le

processus, un peu d’azote retournera à l’air. Et ça recom-mence!

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JeuX

Le but du jeu est de remplir cette grille avec une série de chiffres (ou de lettres ou de symboles) tous différents, qui ne se trouvent jamais plus d’une fois sur une même ligne, dans une même colonne ou dans une même sous-grille.

L’objectif du jeu est de remplir les cases vides (blanches) avec des chiffres entre 1 et 9. La somme de tous les chiffres doit être égale au nombre inscrit dans la case remplie (noire). Un même bloc ne peut contenir deux fois le même chiffre. Cette dernière règle est celle qui rend possible la création de grilles à solution unique.

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15 décembre 2010 Le Chinook. 15

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Programme préscolairepour les enfants francophonesde 3 et 4 ansSe faire des amis francophonesApprendre en jouantExploiter ses talentsÉducatrices et assistantesqualifiées

SOUPER-BÉNÉFICE DE REMISE DES BOURSES FERNANDO-GIRARD EN ÉCONOMIE

&SOIRÉE GALA DES PRIX D’EXCELLENCE 2010 DU CONSEIL DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE DE L’ALBERTA

bravo!· 2010 ·

Nouvelle eNtreprise prometteuse :

Mario Glass Inc.Mario Raymond

C’est lors du souper-bénéfice tenu conjointement par la Fondation Fernando-Girard en économie et le Conseil de développement économique de l’Alberta le 20 novembre dernier que les Prix d’excellence 2010 et les bourses d’études de 1 500 $ furent décernés.

services maNufacturier :

Honey Bunny Inc.Sharon et Gilbert Wolfe

Ron PoiRieR& AssociAtes

Insurance & Investments

Parrains des bourses:

Les Prix d’excellence 2010 furent commandités par :

Prix d’excellence 2010

restauratioN, hôtel ou gîte :

L’Épicerie Ltd.Dominique Moussu et Anne-Claire Moussu-Lejuez

ŒuvraNt eN milieu rural :

Service d’Autobus Fréchette LtéeDavid Fréchette

coNstructioN ou réNovatioN :

AB Renovations Ltd.André Beaulieu

commerce de détail :

Fergie’s Convenience and BakeryDanielle Jean

ageNce ou associatioN :

Société Touristique CentraltaJules Jasmin

eNtreprise de l’aNNée :

Service d’Autobus Fréchette LtéeDiane Chiasson (CDÉA), Carole et David Fréchette (Service d’Autobus Fréchette Ltée), Réjean Lavoie (FFGÉ), Michelle Bursey (BDC)

prix du bâtisseur :

Legal Motors Ltd.Marc Tremblay et Diane Chiasson (CDÉA), Michel Préfontaine (Legal Motors Ltd.), Michelle Bursey (BDC)

Elena Mager Julie Lussier Justin Mahé

Boursiers 2010

Michael Sinclair

Natasha Weisner Myriam Belliveau-Simard Philippe de Montigny Tommy Laflamme

Maxime LeboeufabseNt

financé par l’entremise du fonds d’habilitation pour les communautés de langues officielles en situation minoritaire

Photos : gracieuseté de Lily Gauthier