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Le doux temps
Volume 26, numéro 4 Avril 2016
Bulletin d’information
MOT DU PRÉSIDENT
Avez‐vous des projets?
C’est le printemps, enfin diront certaines personnes. Quand même, quelle drôle de saison dans notre magnifique Québec! Tantôt il fait chaud et ensoleillé puis, d’un coup, la froidure revient. Malgré ces soubresauts de la météo, on sent que la nature s’éveille. Il y a quelques jours, nous avons eu notre traditionnelle partie de sucre. De la bonne humeur, il y en avait tout autour de nous. On sentait quelque chose dans l’air, comme une envie de secouer la lé‐thargie qu’avait engendrée l’hiver. On parlait de l’été à venir et des projets qu’on avait.
Vous, en avez‐vous des projets? On dit souvent que le bonheur est fait de petits riens. Alors laissez‐vous aller, faites fi des comparaisons malsaines avec les vantardes et vantards qui vous
tombent sur les nerfs. Osez, faites preuve d’imagination et offrez‐vous un petit rêve pour accompagner le réveil de la nature. Ah oui! il y en a bien qui partiront en croisière et qui s’envoleront pour une destination exotique. J’en suis très heureux pour eux, mais est‐ce vraiment ça qui est le plus beau à vos yeux? Allez, on réfléchit un peu. « Quand j’étais plus jeune, j’entretenais un petit potager tout l’été mais maintenant, en appartement, comment voulez‐vous... » Eh bien! le voilà votre projet : pourquoi ne pas adopter un plan de tomates et lui donner asile sur le balcon de votre appartement? Après tout, vous vous souvenez, vous aviez choisi l’appartement justement à cause du bal‐con ensoleillé. Que ça va être bon, ces tomates que vous aurez aidées à murir jusqu’au moment de les récolter!
Je fabule, c’est juste un exemple que j’ai imaginé. J’y ai pensé parce que je veux que vous ayez un bel été. Un bel été parce que vous êtes de belles personnes et que la vie n’est pas faite que de grands projets. Maintenant que nous sommes à la retraite, nous avons mérité le droit de choisir nos bonheurs et nous avons le droit de réaliser des pro‐jets juste pour nous... parfois.
Bon été à toutes et à tous.
Jacques Boucher 26 avril 20216 AG Caisse de l’Éducation ............ page 5
10 mai 2016 Les dîners de Lise .................... page 3
24 mai 2016 Dîner du Bel‐Âge ..................... page 3
29 mai 2016 Marche pour l’Alzheimer ........ page 4
2 juin 2016 AG régionale ............................ page 2
2 juin 2016 AG FLG ..................................... page 2
7 juin 2016 Les dîners de Lise .................... page 3
À L’AGENDA...
COMITÉ VOYAGES
À la suite de l’appel lancé dans le dernier bulletin, quelques personnes ont répondu à la demande de Céline Béland pour le comité voyages.
Quatre personnes ont été désignées pour former le comité et nous prépa‐rer des suggestions de voyages. Ces personnes sont : Céline Béland, res‐ponsable, Francine Genest, Roger Paradis et Josette Renaud. Merci à vous.
Le comité a reçu quelques réponses au sondage publié en février der‐nier. À l’automne, une rencontre sera organisée pour vous permettre de connaître les propositions du comité et faire de nouvelles suggestions.
L’information sera publiée dans le bulletin tout au cours de l’année.
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27e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES MEMBRES DE L’AREQ RÉGION 03 QUÉBEC—CHAUDIÈRE-APPALACHES
Convocation Le jeudi 2 juin 2016 9 h 30
Les membres de l’AREQ Région 03, Québec–Chaudière‐Appalaches sont convoqués à l’Assemblée générale ré‐gionale de l’Association qui aura lieu le jeudi 2 juin 2016 au Centre récréatif de Saint‐Henri, 120, rue Belleau, Saint‐Henri‐de‐Lévis.
S.V.P., apportez votre carte de membre.
Projet d’ordre du jour
Mot de bienvenue
Nomination de la présidence d’assemblée
Nomination de la présidence d’élection et du secréta‐riat d’élection 1. Présentation et adoption de l’ordre du jour de la
27e Assemblée générale A1516‐AGR‐OJ‐01
2. Présentation et adoption du procès‐verbal de la 26e Assemblée générale A1415‐AGR‐PV‐01
3. Rapport de la présidence et des responsables de comités
4. Rapport de la trésorerie 4.1 Présentation et adoption du rapport financier
régional 2014‐2015 4.2 Présentation et dépôt de l’état des produits et
charges 2015‐2016 (30 avril 2016) 5. Élections (s’il y a lieu)
6. Présentation et mot d’un membre du Conseil exé‐cutif national
7. Présentation des artistes et résultat du vote du Coup de cœur (1 oeuvre/3 artistes/secteur)
8. Autres sujets
9. Reconnaissances
10. Tirage de prix de présence
11. Mot de la présidente régionale
12. Levée de l’assemblée
Québec, le mardi 24 novembre 2015
Pierrette Simoneau, présidente régionale Pierre Asselin, secrétaire régional
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE LA FLG RÉGION QUÉBEC–CHAUDIÈRE-APPALACHES
Par la présente, vous êtes convoqués à l’Assemblée générale annuelle de la Fon‐dation Laure‐Gaudreault qui aura lieu le jeudi 2 juin 2016 au Centre récréatif de Saint‐Henri, 120, rue Belleau, Saint‐Henri‐de‐Lévis.
Projet d’ordre du jour
1. Ouverture de l’assemblée, présentation des mem‐bres du Comité régional
2. Nomination d’une présidence des débats et d’élec‐tions
3. Adoption de l’ordre du jour
4. Adoption du procès‐verbal du 3 juin 2015
5. Rapport de la présidente
6. Rapport de la trésorière
7. Activités du 25e anniversaire
8. Questions diverses
9. Élections*
10. Présentation des nouvelles personnes élues
11. Levée de l’assemblée
Marielle Raymond, présidente * Il y aura élection aux postes suivants : – Vice‐présidence – Trésorerie – Publiciste
Le mandat des personnes élues est d’une durée de deux ans. Une période de mise en nomination est pré‐vue lors de l’assemblée.
Les personnes intéressées à se présenter à l’un des pos‐tes devront compléter un bulletin de présentation de candidature qui sera disponible sur place. Toutefois, si un membre veut obtenir un bulletin de présentation de candidature avant l’assemblée, il peut en faire la de‐mande à l’une des personnes suivantes :
Marielle Raymond 418 862‐5130 Maryvonne Thébault 418 853‐2165 ou
418 862‐6520 (répondeur)
Seules les mises en candidature présentées sur le bulle‐tin de présentation de candidature seront acceptées au moment de l’élection.
HORAIRE DE LA JOURNÉE DU 2 JUIN 2016
9 h 00 Accueil et inscription 9 h 30 Assemblée générale régionale 11 h 45 Ajournement pour l’Assemblée générale de la
Fondation Laure‐Gaudreault
12 h 15 Dîner : envoyez le coupon d’inscription accom‐pagné d’un chèque négociable de 10 $ avant le jeudi 12 mai 2016.
13 h 30 Reprise de l’Assemblée générale régionale
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DÎNER DU BEL-ÂGE
Sur le beau fleuve de l’existence, notre vie navigue au gré des marées changeantes.
Le mardi 24 mai prochain, nous ferons escale à l’Hôtel Québec pour célébrer ensemble. Retrouvailles réjouissantes, apéro festif, délicieux repas et musique d’ambiance nous attendent.
Ne manquez pas l’occasion de participer à cette fête. Vous ne regretterez pas d’y avoir jeté l’ancre.
Le mardi 24 mai 2016 L’Hôtel Québec 3115, avenue des Hôtels
Horaire 10 h 30 Début des inscriptions 11 h 15 Apéro 11 h 45 Dîner 15 h Départ
Les montants demandés Les membres du Bel‐Âge ont déjà reçu leur invitation personnelle.
Pour les autres membres : ‐ 24 $ pour le repas et 7 $ pour l’apéro
Pour les non‐membres : ‐ 29,40 $ pour le repas et 7 $ pour l’apéro
Inscrivez‐vous en envoyant le coupon‐réponse et un chèque négociable avant le mardi 10 mai 2016.
Compte tenu de la popularité de cette fête, nous vous invitons à répondre le plus rapidement possible. Le nombre de places étant limité, nous procéderons aux inscriptions selon l’ordre d’arrivée du paiement requis.
Vous connaissez une personne du Bel‐Âge et vous dési‐rez dîner avec elle? Vérifiez auprès d’elle si des places sont disponibles à sa table (maximum 8 personnes). Si la réponse est positive, dites‐le au moment de votre inscription.
Nous tenons à vous rappeler qu’en cas d’annulation de votre inscription au dîner, un remboursement sera effectué si la demande est faite au moins 7 jours avant la tenue de l’activité (résolution adoptée au Conseil sec‐toriel du 27 septembre 2010).
LES DÎNERS DE LISE
Le mardi 10 mai 2016, vers 12 h
Restaurant Le Parlementaire 1045, rue des Parlementaires
Menu entre 18 $ et 27 $
Nous avons réservé pour 36 personnes mais si vous ré‐servez tôt, nous pourrons faire ajouter des places.
Réservation obligatoire avant le mardi 3 mai en four‐nissant votre date de naissance (sécurité oblige).
Lise D.‐Gagnon 418 872‐6749
Le mardi 7 juin 2016, vers 11 h 30
Le Manoir Montmorency 2490, av. Royale (arr. Beauport)
Menu variant entre 13 $ et 20 $ Tirage d’un chèque‐cadeau
Réservez le plus rapidement possible mais avant le lundi 30 mai 2016.
Lise D.‐Gagnon 418 872‐6749
THÉÂTRE DE LA BORDÉE par Claire Gauvreau
Saison 2016‐2017
Voici les cinq pièces qui seront à l’affiche :
11 oct. 2016 Glouchester de Shakespeare
22 nov. 2016 Les marches du pouvoir de Beau Willimon 31 janv. 2017 J’accuse de Annick Lefebvre
14 mars 2017 À toi pour toujours, ta Marie‐Lou de Michel Tremblay
2 mai 2017 L’Avare de Molière
Personnes abonnées en 2015‐2016 Vous avez reçu votre formulaire de renouvellement? Retournez‐le directement au Théâtre de la Bordée.
Nouvelles personnes qui désirent s’abonner en 2016‐2017 Remplissez le coupon prévu à cette fin.
Le détail des pièces sera présenté dans les bulletins sub‐séquents.
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CAPSULE SANTÉ
Les otites
Voici quelques suggestions pour soigner une otite. 1 Mettez deux gouttes de citron
dans l’oreille, deux fois par jour. Consultez un médecin s’il n’y a pas d’amélioration.
2 Utilisez des huiles essentielles par voie interne : sauge officinale pour les adultes, et thym (à linalol) pour les enfants.
par voie externe : eucalyptus (radiata), 20 % d’huile essentielle sur huile de noisettes. Évitez quelque temps les produits laitiers et le fro‐mage.
3 Mettez une gousse d’ail dans l’oreille sans l’écraser entièrement et sans la faire pénétrer profondément dans l’oreille. Laissez la gousse d’ail environ deux à trois heures.
4 Jetez dans une casserole quatre ou cinq gousses d’ail. Mettez‐les dans un peu d’huile de lin et chauffer dix minutes. Filtrez cette huile et gardez‐la dans une bouteille en verre. Appliquez cette huile une fois le matin et une fois le soir sur le pourtour des oreilles.
Le soulagement de l’otalgie est assuré et devrait ar‐river dans quelques jours seulement. C’est l’un des meilleurs remèdes maison pour les maux d’oreilles.
5 Prenez le jus d’un oignon, réchauffez‐le un peu, puis versez quatre gouttes dans chaque oreille. L’effet sera amplifié si vous le faites juste avant le coucher.
Prévention 1 Si vous avez tendance à faire fréquemment des oti‐
tes, prenez l’habitude de verser quelques gouttes de citron dans l’oreille. Deux à trois gouttes par semaine.
2 Prenez des capsules ou de la teinture d’échinacée pour lutter contre l’infection.
3 Pour éviter les maux d’oreille à la piscine, il suffit de verser deux gouttes d’huile minérale dans chaque oreille avant la baignade. Cela permettra de stabiliser les différences de pression, sous l’eau.
Eczéma d’oreilles 1 Tous les jours, passez en douceur de l’huile de ricin
avec un coton‐tige
2 Passez un coton‐tige imprégné d’huile essentielle de lavande fine (la seule que l’on peut mettre pure sur la peau). Effectuez ce soin tous les jours jusqu’à dis‐parition de l’eczéma d’oreille.
Source : Internet
LA MARCHE POUR L’ALZHEIMER
Le dimanche 29 mai prochain, dès 9 h, sur les Plaines d’Abraham, derrière le manège militaire, nous marcherons en‐semble afin d’accompagner les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée, leurs familles et leurs pro‐ches. C’est grâce à votre participation et à votre géné‐rosité que nous pouvons poursuivre notre importante mission.
M. Simon Bernier, directeur chez Avalanche, est prêt à relever le défi de la 10e édition de la Marche pour l’Alzheimer. Il agira à titre de président d’honneur.
Pour participer à la Marche pour l’Alzheimer, inscrivez‐vous en ligne, c’est plus facile! Partagez l’événement avec votre famille, vos amis et collègues et amassez plus de dons grâce au formulaire de sollicitation.
Comment participer? Inscrivez‐vous hâtivement, de façon individuelle ou en formant une équipe de marcheurs, amassez des dons et vous courrez la chance de gagner l’un des prix suivants :
Si vous êtes inscrits avant le 29 avril 2016 : Un forfait « Couette et Café » pour deux personnes
pour deux nuits dans une chambre de catégorie clas‐sique, les petits déjeuners, le stationnement pour une voiture ainsi que le service de valet. Prix d’une valeur de 525 $, offert par l’hôtel Château Laurier.
Si vous êtes qualifiés pour la catégorie « Marcheur élite » (dons recueillis de 200 $ et plus) : Un forfait « Grande table » pour deux personnes
pour deux nuits dans une chambre de catégorie clas‐sique, les petits déjeuners, un souper pour deux per‐sonnes (Restaurant Louis‐Hébert, Le Sirocco ou La Crémaillère), le stationnement pour une voiture ain‐si que le service de valet. Prix d’une valeur de 660 $, offert par l’hôtel Château Laurier.
Si vous êtes qualifiés pour la catégorie « Club des 1000 » (dons recueillis de 1 000 $ et plus) : Vous vous mériterez automatiquement une veste
spéciale « Club des 1000 », gracieusement fournie par Avalanche.
À venir : description du prix et sa valeur.
Visitez notre site web pour plus de détails : http://www.societealzheimerdequebec.com/wp/?page_id=112
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LA FOLLE JOURNÉE DE FÉLIX
Les 26 lettres de l’alphabet nous donnent 26 noms de lieux. Si Félix devait les parcourir en un seul jour, ce serait assurément une folle journée, à l’image de celle que vécut Ferris Bueller dans le film de 1986. Si les voyages forment la jeunesse, celui que nous vous proposons leur en garantirait une presque éternelle. (Suite du no précédent)
Et puis c’est l’heure du solfège. Rendons‐nous au chemin du Maître‐Chantre.
Origine et signification Le nom de cette voie de com‐munication rappelle le souvenir de Marcel Picard (1920‐1994), cultivateur et maître‐chantre à l’église de Saint‐François pendant 48 ans.
C’est le moment de déconner! Allons au lac Niais. Un esprit sain dans un corps sain! Faisons du sport rue des Olympiades.
Retour à la géométrie : empruntons la rue Parallèle. La parole est aux écoliers! On va au lac de la Ques‐tion. Un peu d’écologie à la forêt Récréative. Cours de langue seconde dans la rue School.
Maintenant, ce sont les explications au Tableau.
Faisons une virée chez les grands en empruntant le boulevard de l’Université.
Pas facile d’être un écolier! Rêvons à des jours meil‐leurs dans la rue des Vacanciers. Encore de l’énergie? Dirigeons‐nous vers l’avenue Watt pour un cours de physique. Un peu d’algèbre avant de terminer. Allons au lac X pour essayer de connaître la valeur de cette fichue variable. La journée est longue : déjà la 25e lettre, quand mê‐me! Relaxons au lac du Yoga. Terminons notre voyage en remontant dans le temps, jusque chez les Grecs. Intéressons‐nous à leur mythologie, plus particulièrement au dieu de leurs
dieux, le dieu de tous les lieux… Montons au lac Zeus. Source : Commission de toponymie du Québec
ASSEMBLÉE ANNUELLE DE LA CAISSE
Cette année, l’assemblée se déroulera à Québec.
Date le mardi 26 avril 2016 à 17 h Lieu Hôtel Grand Times 5100, boul. des Galeries
Un léger goûter sera servi après l’assemblée et des prix de présence seront tirés.
Veuillez confirmer votre présence avant le samedi 16 avril 2016 au 1 877 442‐3382.
Vous pourrez vous joindre à l’assemblée par internet via le lien suivant www.vpsolution.tv/caisseeducation
N é c r o l o g i e Membres décédés
Gilles Goulet, Gaston Drolet Yvette Leclerc‐Frenette, Léopold Paré
Cécile Gagnon, son époux Mariette Genest, sa sœur
Aux familles éprouvées,
nos plus sincères condoléances.
QUILLES
Nous sommes toujours à la recherche de personnes qui veulent intégrer la ligue de quilles. Nous jouons pour le plaisir et sans compétition.
418 627‐6509 ou [email protected]
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1051, rue Gabriel‐Dumont, Québec G1W 3Z8 418 627‐6509
Télécopieur : 418 627‐0069
Courriel : [email protected]
Site : capdiamant.areq.ca
Jacques Boucher, président 418 658‐7515
Claire Gauvreau, 1revice‐présidente 418 647‐2682
Suzanne Bolduc, 2e vice‐présidente 418 627‐9717
Claire Guay, secrétaire 418 627‐6509
Roger Desjardins, trésorier 418 628‐4577
Normand Bourgeois, conseiller 418 687‐5386
Pierrette Simoneau, présidente 418 667‐1927
495, rue de la Girouille, Québec G1C 8K4
Courriel : [email protected]
320, rue Saint‐Joseph Est, bureau 100 418 525‐0611
Québec G1K 9E7 1 800 663‐2408
Courriel : [email protected]
Site : www.areq.qc.net
AREQCSQ Cap‐Diamant
AREQCSQ Région 03
AREQCSQ
Conseil sectoriel
NOUVEAUX MEMBRES
Le Conseil sectoriel est heureux de vous présenter les personnes qui se sont jointes au Secteur depuis le mois de février 2016 :
Marielle Boutin, Yvan Cauchon
Thérèse Côté, Rino-Hugues Turcotte,
Pierre Lavallée, Gervais Richard
Nous sommes chanceux de vous compter dans la grande famille du Secteur Cap‐Diamant.
Bienvenue!
DU GOLF-CROQUET À QUÉBEC
Oubliez le croquet de votre enfance et venez jouer selon une formule qui allie stratégie et adresse, sans négliger l’aspect convivial d’une activité de plein air.
Le Club de Croquet de Québec vous invite à jouer, au printemps et à l’été 2016, selon la formule du Cro‐quet‐Golf qui favorise la participa‐tion de toutes et de tous. S’inspirant de l’éthique sporti‐ve un peu British du golf, du curling et du billard, la so‐ciabilité et la bonne humeur sont à l’honneur.
En opération depuis près de 15 ans, le Club de Croquet de Québec tient ses activités au parc Boisvert qui est situé sur la rue Boisvert, entre le boulevard Sainte‐Anne et la piste cyclable, dans l’arrondissement de Beauport.
Les activités se tiennent le mardi et le mercredi, en après‐midi, et le jeudi en soirée, évidemment quand les conditions climatiques le permettent. Le coût pour l’en‐semble de la saison est de 20 $ pour les personnes rési‐dant sur le territoire de la Ville de Québec et tout le matériel est fourni. Les activités devraient débuter à la fin du mois de mai. Une journée « porte ouverte » a lieu au début de chaque saison et un encadrement est of‐fert aux nouveaux membres.
L’invitation vous est donc lancée.
Pour information : Daniel Fortier au 418 627‐0573 ou fortierdanqc.gmail.com Claude Nadeau au 418 628‐1525 ou [email protected]
DEMANDE D’AIDE – PROJET GÉNÉALOGIQUE L’HÉMOCHROMATOSE
L’hémochromatose est une maladie génétique qui consiste en une surcharge de fer dans l’organisme. Cet‐te condition est entraînée par la présence d’une muta‐tion (C282Y) dans le génome humain. Cette mutation augmente, au niveau de l’intestin, le taux d’absorption du fer qui se loge dans les tissus et les organes, dont le foie. Cette surcharge de fer dans l’organisme entraîne, vers l’âge de 40 ans, des problèmes de cirrhose, cancer et diverses manifestations pathologiques. Dans la popu‐lation, cette maladie affecte deux personnes sur mille. Heureusement, le traitement est relativement simple si cette maladie est diagnostiquée à temps.
Étant moi‐même porteur de la mutation, je souhaite étudier la transmission du gène dans diverses généalo‐gies afin de retracer les ancêtres qui ont apporté cette mutation en Nouvelle‐France. Pour ce faire, j’aurais be‐soin de remonter les ascendances de personnes attein‐tes de cette maladie génétique.
Si vous êtes dans cette condition ou connaissez une personne de votre entourage qui a cette condition, vous pourriez contribuer à ma recherche. Il suffit de me contacter par courriel ou par téléphone.
Pierre Laporte [email protected] 418 623‐3042
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RETOUR SUR LE DINER-CONFÉRENCE Denise Turcotte‐Gauthier
Les fromages du Québec, une histoire savoureuse
Le mardi 22 février, le dîner‐conférence avait lieu dans un nouvel endroit, l’hôtel Grand Times. Environ 35 personnes sont venues entendre madame Catherine Ferland, historienne, auteure et spécialiste de l’histoire culinaire du Québec. Venue nous entretenir de « fromages », madame Ferland nous a fait vivre un fabuleux voyage dans le temps, de l’Antiquité à nos jours, et dans l’espace, de la Rome antique en passant par différents pays d’Europe pour arriver finalement au Québec d’aujourd’hui. Sa conférence s’est ponctuée de trois dégusta‐tions de « fromages d’ici » accompagnés, pour l’une, d’un cidre mousseux rosé et pour la seconde, d’un hydromel médiéval au goût de porto à s’y méprendre.
Le berceau originel du fromage est incertain – Europe, Asie, Moyen‐Orient? – mais ce qui l’est, c’est que ses origines remontent à plus de 7 000 ans et sa découverte est due à une coagulation accidentelle du lait, que ce soit celui de jument, de chèvre ou de brebis. L’armée romaine, dont les légionnaires ont essaimé plus particulièrement en France (Gaule) et en Angleterre, a contribué à faire connaître l’art fromager. À partir du Moyen Âge, c’est le fromage d’ab‐baye qui assure aux moines, bénédictins et trappistes entre autres, un nouveau moyen de subsistance et devient, par le troc, une valeur économique. Si le fromage se confectionne d’abord en grosses meules de 700 à 1000 litres pour nourrir équitablement les familles d’un village ou d’un comté, vers 1580 il commence à se diversifier en spécia‐lités régionales (comté, emmental, gruyère). Afin de le conserver plus longtemps et de le faire voyager partout en Europe, on commence à le saler et à l’affiner.
Dès la naissance de la colonie française en Amérique, les premiers colons ont su profiter des nouvelles opportunités que les terres riches et les seigneuries leur offraient pour instaurer chez nous l’art fromager. Dès 1610, les vaches laitières normandes étaient mises à contribution. L’île d’Orléans a été le berceau de la fabrication du fromage en Nouvelle‐France. Plus tard, au XVIIIe siècle, on a commencé à utiliser le fromage en cuisine et à le déguster avec du vin. Après la Conquête, l’influence anglaise s’est fait sentir et de nouvelles variétés sont apparues, plus particulière‐ment le cheddar, originaire de Glouchester en Angleterre. Une première École de laiterie a vu le jour en 1892 à Saint‐Hyacinthe. Son but était de former la relève des maîtres fromagers et était axé sur des technologies innovantes, soit la centrifugation, le caillage et la pasteurisation. Fait intéressant à noter, depuis 1895, la Fromagerie Perron de Saint‐Prime au Lac‐Saint‐Jean approvisionne en cheddar la famille royale britannique.
Aujourd’hui, de nombreuses fromageries québécoises mettent à profit leurs connaissances acquises de l’art fromager et offrent aux amateurs d’ici et d’ailleurs une grande variété de « fromages fins » dont la renommée est sans cesse grandissante. C’est une invitation à encourager nos producteurs et à « déguster local ». Ce diner‐conférence a été des plus intéressant, instructif et apprécié de toutes et de tous.
RETOUR SUR LA CABANE À SUCRE Jovette Girard
Le 1er avril dernier, une quarantaine de personnes ont répondu à l’invitation lancée.
L’ambiance était formidable. Le repas était abondant, délicieux et servi chaud. Des chansons à répondre ont réchauffé l’atmosphère de la salle; celle‐ci était remplie de joyeux fêtards, les moments de silence n’étaient pas de mise, évidemment…
Des prix de présence ont été tirés; trois personnes ont pu repartir avec un produit de l’érable.
La tire nous attendait dehors sur la neige; elle donnait le goût d’y retourner plusieurs fois. Pour terminer, une courte balade en carriole était gracieusement proposée.
Encore une fois, merci et bravo à l’organisation!
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RETOUR SUR LA JOURNÉE DES FEMMES Claudette Mercier
Le féminisme d’hier à aujourd’hui, l’héritage de nos grands‐mères. Voilà le thème de la conférence donnée par madame Flavie Payette à l’occasion de la Journée internationale des femmes.
Madame Payette nous parle de ces femmes inspirantes qui ont marqué notre histoire. Elle nous décrit sa grand‐mère et son arrière‐grand‐mère comme étant des femmes déterminées et en‐gagées. Elles tenaient à se faire entendre, à s’affirmer et à faire valoir leurs droits dans la socié‐té et dans la politique pour faire progresser la cause des femmes. Le droit de vote en est un bon exemple.
Voici un bref aperçu de ces changements à travers l’histoire :
1940 Édouard Godbout a fait passer le bill du droit de vote pour les femmes, enfin!
1961 Élection de madame Marie‐Claire Kirkland Casgrain suivie de celle de madame Lise Bacon.
1970 Les avortements n’étant pas permis, ça se faisait donc en cachette.
1976 Cinq femmes sont élues députées dont mesdames Lise Payette et Thérèse Lavoie‐Roux.
1981 Les femmes qui se marient ne sont plus obligées de prendre le nom de leur mari. Elles peuvent donner leur nom à leurs enfants.
2006 L’équité salariale dans le secteur public est acquise.
2012 Première femme première ministre à être élue au Québec : Madame Pauline Marois; elle fut victime d’un attentat.
Il y a encore beaucoup de chemin à faire pour être enfin reconnues à notre juste valeur; dans certains domaines, des femmes ayant un baccalauréat gagnent le même salaire qu’un homme ayant un secondaire 5.
Il est toujours vrai de dire : ensemble on avance vite mais en groupe on va plus loin.
Merci à madame Flavie Payette, une femme inspirante, dynamique et engagée envers la cause des femmes.
COURRIEL Claire Guay
Plusieurs courriels me reviennent lors d’envois massifs. Si vous n’avez pas re‐çu de message de ma part au cours du mois de mars, envoyez‐moi votre adres‐se courriel pour que je vérifie si j’ai tou‐jours la bonne. Si les messages que vous recevez ne vous intéressent pas, vous pouvez toujours les effacer sans les lire.
N’oubliez pas de regarder vos courriels au moins une fois par jour. Cela évite que la boîte de réception soit remplie de courriels de toutes sortes et que vous ne puissiez voir ceux qui sont importants.
Il est essentiel de garder un lien rapide entre nous en cas d’urgence. C’est un des moyens faciles à utiliser. Votre adresse n’est pas communiquée aux autres à moins d’avoir votre accord. Merci de faire diligence.
SAVIEZ-VOUS QUE?
Ordinateur En 1842, le premier programmeur n'était autre que Lady Ada Byron Lovelace (1815‐1852) fille du célè‐bre poète anglais Lord Byron. Un langage d'ordinateur porte aujour‐d'hui son prénom ADA.
Ada Lovelace est considérée par les informaticiens com‐me la première programmeuse de l'histoire.
On peut voir son portrait sur des hologrammes d'au‐thentification des produits Microsoft.
Quant à l'invention du compilateur, nous le devons à la mathématicienne Grace Hopper, vice‐amiral de la Mari‐ne américaine. Elle est décédée en 1992.
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ET… POUR LE PIRE ! Une folle comédie! Adaptation d’après une comédie de F. Joffo
Après leur divorce, Yves et Emma‐nuelle ont choisi de vivre à proximité l’un de l’autre pour l’amour de leur fille à l’humeur variable. Mais quand leurs conquêtes respectives défilent et entrent dans le tourbillon frénéti‐que de la dynamique familiale écla‐tée… on doit s’attendre obligatoire‐ment à des situations sans dessus‐dessous. Après tout, ils étaient mariés pour le meilleur et… pour le pire!
Présentée au Studio‐théâtre Paul Hébert 800, St‐Alphonse Sud Thetford Mines
Du 24 juin au 27 août 2016 Les mercredis, vendredis et samedis à 20 h. Prix régulier : 25 $ Réservation obligatoire : 418 338‐1953
Suivez‐nous à : www.theatrelesbatisseurs.ca et sur Facebook
LA TOPONYMIE DANS LE MONOPOLY
Le jeu Monopoly a 80 ans cette année. Son concept : ruiner les concurrents par des opérations immobilières. Le matériel : un plateau sur lequel on trouve, entre autres, 22 voies de com‐munication. On y construit des maisons et des hôtels. Saviez‐vous que les noms de ces voies reprennent ceux de voies d’Atlantic City?
Neuf noms de voies utilisés dans le Monopoly n’exis‐tent pas dans la toponymie du Québec. Il est en effet impossible, au Québec, de bâtir un hôtel sur une ave‐nue de l’Orient, du Connecticut, des États‐Unis, de la Virginie, du Tennessee, de la Caroline‐du‐Nord ou de la Pennsylvanie, sur une Promenade ou encore aux jardins Marvin.
Toutefois, si un promoteur cherche une avenue du Ver‐mont, une place Saint‐Charles, une avenue de l’Atlanti‐que, une avenue Ventnor, une avenue du Pacifique ou une place du Parc, il pourrait aller respectivement à Laval, à Montréal (bis), à Saint‐Augustin, à Pointe‐Claire ou à Varennes.
Enfin, les noms de sept voies de communication du Mo‐nopoly se trouvent avec de légères différences dans nos villes. Ainsi, au Québec, nous n’avons pas d’avenue de la Méditerranée ni d’avenue de la Baltique. Nous avons toutefois une rue de la Méditerranée et une rue de la Baltique. Il en va de même pour la place Saint‐Jacques, l’avenue du Kentucky, l’avenue de l’Indiana et l’avenue de l’Illinois.
Soulignons qu’une nouvelle version du Monopoly a été lancée en 2008 avec des noms de villes plutôt que des noms de voies de communication, sur le plateau. Ce sont des internautes qui ont choisi les villes. Quelles sont celles qui se sont substituées à la célèbre place du Parc et à la prestigieuse Promenade, les endroits connus comme étant les plus chers du jeu? Respective‐ment Riga, la capitale de la Lettonie, et Montréal!
Source : http://www.toponymie.gouv.qc.ca/ct/
RIONS UN PEU
L’apocalypse C’est l’apocalypse...... la fin du monde.
Des milliards de personnes, de tou‐tes religions, de toutes races, de toutes langues, s’alignent devant les portes du Paradis.
Dieu ordonne : « Que les hommes forment 2 rangs! Un rang pour ceux qui ont dominé leur femme et un rang pour les hom‐mes qui ont été dominés par leur femme.
Les hommes ont formé 2 rangs. Le rang des hommes dominés par leur femme a des milliers de kilomètres de long et dans le rang des hommes qui ont dominé leur femme, il n’y a qu’un seul gars.
Dieu interpelle les hommes : ‐ Pourtant, je vous ai créés à mon image, et voilà que vous vous êtes laissés diriger par vos femmes. Tas de faibles!
Et il se retourne vers le seul qui a dit avoir dominé sa femme.
‐ Et toi, champion, quel est ton secret?
Moi? Oh! C’est ma femme qui m’a dit de me placer dans cette ligne!...
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DOSSIER DE L’ACTION SOCIOPOLITIQUE Normand Bourgeois
La surfacturation médicale dans la mire de l’AREQ
Il est un peu périlleux d’écrire une chronique sur l’actualité lorsque sa publication a lieu plu‐sieurs semaines après sa transmission au comité de rédaction. Pour parer à toutes éventuali‐tés, j’ai pris l’habitude de conclure chacune d’elles avec ces mots : « à suivre ». Car, on le sait très bien, il arrive que les événements se bousculent.
L’article paru dans Le doux temps au mois d’octobre 2015 intitulé La surfacturation médicale : ce qui se trame depuis l’été 2015 n’a pas fait exception à cette règle. La précaution a été heu‐reuse cette fois car entre l’envoi de l’article le 10 septembre et sa parution le 22 octobre, l’AREQ a diffusé sur le sujet pas moins de 3 communiqués de presse.
J’aborde ici ces prises de position et d’autres encore afin d’apporter un complément d’information à l’article paru l’automne passé.
Depuis un bon moment, l’AREQ s’intéresse de près aux frais accessoires et à la surfacturation médicale. En effet, un survol des communiqués de presse répertoriés sur son site web nous apprend qu’elle rejette ce genre de frais parce qu’ils portent préjudice aux personnes les plus vulnérables, réduisent considérablement l’accès aux soins de santé, ciblent directement les aînés et à terme, favorisent la privatisation des services de santé.
L’AREQ dénonce avec vigueur l’adoption du projet de loi 20 qui donne au ministre de la Santé le pouvoir d’imposer des frais accessoires par simple règlement. C’est là un changement radical à notre régime de santé, effectué sans qu’il y ait eu débat social ou que l’on se soit préoccupé de son acceptabilité sociale. Devant la gravité de la situation, l’Association a interpellé la nouvelle ministre fédérale de la Santé pour qu’elle fasse respecter la législation cana‐dienne qui interdit expressément la surfacturation médicale. Son intervention est jugée essentielle dans les circons‐tances car l’intégrité du système de santé public est en jeu.
L’AREQ a établi de nombreuses alliances au fil du temps, dont une toute particulière avec Médecins québécois pour un régime public (MQRP). Des membres de ce mouvement ont d’ailleurs signé un dossier sur la surfacturation médi‐cale dans l’édition du mois d’avril 2015 du magazine Quoi de neuf. Ginette Plamondon, la conseillère au dossier de l’action sociopolitique, a rappelé aux responsables sectoriels, le 10 novembre dernier, que l’AREQ a participé à de nombreuses sorties publiques sur la surfacturation médicale avec divers acteurs de la société civile qui forment une large coalition à géométrie variable. Outre le mouvement MQRP, elle comprend la Coalition Solidarité Santé, le Conseil de la protection des malades, la Clinique communautaire de Pointe‐Saint‐Charles, le Réseau FADOQ, l’Asso‐ciation québécoise des retraité(e)s des secteurs public et parapublic du Québec (AQRP), la Fédération interprofes‐sionnelle de la santé (FIQ), la Fédération de la santé du Québec (FSQ‐CSQ) et plusieurs autres organisations commu‐nautaires et syndicales.
La démocratie est vivante lorsque des organismes comme l’AREQ réussissent à exprimer et à faire entendre la voix de leurs membres. Elle l’est encore davantage lorsqu’il y a de part et d’autre une volonté de dialogue social et une ouverture au compromis. Malheureusement, il n’en est rien du côté des autorités politiques en ce qui concerne les frais accessoires et la surfacturation médicale.
Le dossier n’est pas tout à fait clos au moment de l’écriture de ces lignes. À suivre donc. Un exemple entre mille Un ophtalmologue remet à ses patients une facture de 25 $, 40 $ ou plus encore pour quelques gouttes ophtalmi‐ques utilisées dans le cadre d’un examen oculaire. De tels frais dits « accessoires » sont manifestement démesurés d’autant plus que ce professionnel de la santé est très bien rémunéré par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) pour effectuer cet acte médical.
La médecine a fait tellement de progrès que plus personne n’est en bonne santé. Aldous Huxley
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Q 1 Jeter le bébé………………………….. a. Il se brise. b. Dans les choux c. Avec l’eau du bain. Q 2 Faut pas pousser mémé……………………..
a. Dans les escaliers. b. Dans les orties. c. Dans le dos. Q 3 Sauver ses…………………………….
a. Biches! b. Miches! c. Quiches!
Q 4 Pousser une……………………………...
a. Stridente. b. Gueulante. c. Vocifération. Q 5 Couper la…………………………………….
a. Brique. b. Crique. c. Chique.
Q 6 C’est le plus malin…………………………...
a. Qui va le plus loin. b. Qui attrape l’autre. c. Qui rira le dernier. Q 7 On a souvent besoin……………………………..
a. D’un couteau suisse. b. D’un plus fort que soi. c. D’un plus petit que soi. Q 8 Bête à manger…………………………………….
a. Du foin. b. Une main. c. Des clous. Q 9 Con comme un………………………………….
a. Bouchon. b. Croûton. c. Boulon. Q 10 Long comme un jour sans…………………………..
a. Fin. b. Pain. c. Gain.
JOUONS UN PEU Claire Guay
Complétez les expressions.
RÉPONSES AU JEU
1c; 2b; 3b; 4b; 5c; 6b; 7c; 8a; 9c; 10b. Brune – Ballon – Vendredi
2e énigme Il prend des coups sans arrêt mais sans peine. Ovale, ses réactions sont incertaines. Au gré des vents, il vogue en l’air. Au sommet d’un pied, c’est aussi un verre. Qui est‐il? 3e énigme C’est la fin d’une période pour beaucoup. Ce fut un compagnon célèbre. Quand il est saint, il est triste. Il est le jour de Vénus. Qui est‐il ?
1re énigme Messieurs Lenoir, Lebrun et Levert mangeaient ensem‐ble au restaurant. Tous portaient des cravates de cou‐leurs. L’un portait une cravate noire, l’autre portait une cravate brune et le dernier portait une cravate verte.
Soudainement, l’homme portant la cravate verte s’écria :
‐ « Réalisez‐vous que chacun porte une cravate de la même couleur que nos noms, mais personne ne porte une cravate semblable à son nom? »
‐ « C’est curieux! » s’exclama monsieur Lenoir.
Question : Quelle est la couleur de la cravate de monsieur Lenoir?
Les énigmes
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DOSSIER ASSURANCES Lucile Laforest
Le 16 février dernier, les responsa‐bles sectoriels du dossier Assuran‐ces ont été réunis en assemblée nationale.
Nous y avons appris que les modifications concernant le remboursement de certaines activités professionnelles regroupées en Santé+ avaient permis de répondre aux besoins des membres et, aussi, de ne pas hausser le coût de la prime.
Une présentation spéciale sur les médicaments a été faite par une pharmacienne. Elle nous a éclairés sur plu‐sieurs sujets, entre autres, sur la norme « Ne pas substi‐tuer » (NPS) et les médicaments d’exception.
Ne pas substituer (NPS) Si un médecin inscrit NPS sur son ordonnance, il doit justifier sa décision : allergie OU intolérance OU forme essentielle pour l’atteinte d’un résultat si ce médica‐ment est le seul inscrit sous cette forme.
Médicament d’exception S’il s’agit d’un médicament d’exception, il faut que la procédure (évaluation du médicament (Santé‐Canada et INESS), recommandation à la RAMQ, approbation du Ministre) soit strictement suivie pour l’ajouter à la liste.
Personne conjointe survivante Nous avons reçu aussi un document s’adressant à la personne conjointe survivante en cas de décès d’un membre ASSUREQ. Si un tel événement survient, SVP communiquez avec moi ou avec ASSUREQ le plus tôt possible (à l’intérieur d’un délai de 90 jours), car la per‐sonne conjointe a des droits dont elle peut se prévaloir.
Maison de convalescence Forte d’une expérience personnelle en maison de convalescence, j’ajoute le conseil suivant : si vous allez en maison de convalescence, demandez à SSQ (ASSUREQ) les deux formulaires à remplir pour être remboursé : l’un pour la personne spécialiste et l’autre pour vous.
J’espère que ces renseignements vous seront utiles et vous aideront à mieux comprendre certains termes ayant trait à votre assurance.
Mieux vaut faire soigner sa santé que sa maladie.
Proverbe français
DOSSIER RETRAITE Lucile Laforest
Le 10 mars dernier, les membres sectoriels du comité Retraite ont été convoqués en réunion régionale. Le res‐ponsable, Jacques Boucher, dirigeait cette rencontre.
Depuis les dernières négociations du secteur public, le titre du comité Retraite ne contient plus le terme « indexation ». Lors des discussions en négociation sur le sujet, les associations de personnes aînées du secteur public disposent maintenant d’une personne déléguée.
Au cours de la rencontre, nous avons révisé notre man‐dat, avons pris connaissance du bilan 2015‐2016 et de la documentation transmise au cours de l’année.
Nous avons étudié le plan régional établi en concordan‐ce avec le plan national. Nous avons élaboré quelques idées susceptibles de s’insérer dans ce plan. Nous avons parlé d’une activité régionale possible à l’automne et de d’autres activités sectorielles (en partenariat avec des secteurs voisins) au cours de l’année 2016‐2017.
Vous en saurez davantage dans un avenir rapproché.
Budget provincial Donnant suite à la publication du budget provincial, l’AREQ a réagi dans un communiqué qu’elle nous a fait parvenir.
Le budget prévoit une diminution de la contribution santé (environ 50 $ en 2016, de même en 2017). Mais le budget légali‐se les frais accessoires de plus en plus nombreux. Où est l’économie pour le contribuable?
Aussi, le gouvernement augmente de 2,4 % le budget du maintien à domicile, ce qui ne couvre même pas l’augmentation des coûts de système! Paraît‐il qu’un montant de 60 M $ sera injecté pour le maintien à do‐micile, mais il est inclus dans le budget total du MSSS : comment vérifier l’attribution de cette somme?
De plus, les sommes prévues pour l’installation de gi‐cleurs dans les résidences de personnes aînées sont cinq fois moins élevées que prévues!
Cependant, la diminution graduelle de l’âge d’admissi‐bilité au crédit d’impôt pour travailleurs expérimentés constitue une mesure d’encouragement en faveur du maintien au travail du personnel plus âgé.
En résumé, voilà ce que révèle le dernier budget.
Comme le disait Ken Follett : « Un budget est un peu comme la rubrique des potins : on peut l’épicer de fic‐tion car personne ne connait jamais la vérité. »
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LES TRÉSORS DE L’HUMANITÉ Claude Le May
Lors de sa 17e session tenue à Paris du 17 octobre au 21 novembre 1972, la Conférence de l’ONU a adopté cette recommandation : préserver le patrimoine culturel ou naturel menacé par sa pro‐pre dégradation et des impératifs économiques. Le patrimoine culturel comprend des biens ir‐remplaçables, à conserver de façon permanente; il en est ainsi pour le patrimoine naturel, soit des monuments à haute valeur scientifique ou esthétique, et des zones magnifiques à valeur uni‐verselle. Dans cet écrit, nous identifions ces types de patrimoine et nous donnons une descrip‐tion détaillée de l’un ou l’autre de ses constituants. Pour ce quatrième texte, nous visiterons sept pays dits d’Amérique centrale.
1) Belize. Le long de ses côtes s’étend la plus longue barrière de divers types de récifs dans l’hémisphère nord; l’Unesco l’a inscrite en 2009. On y a recensé environ 180 plantes terres‐tres, 250 taxons de flore marine, 500 espèces de poissons. Vu son importante biodiversi‐té, elle est un habitat recherché par plusieurs espèces animales dont le lamantin, la tortue imbriquée, le fou à pieds rouges, toutes menacées par la pêche aux sels de cyanure et aux explosifs, et par le réchauffement climatique. http://.whc.unesco.org>fr/list/4764
2) Guatemala. Habitée dès le IIe siècle, la ville d’Antigua, retenue depuis 1979, a gar‐dé l’intégrité de son plan d’urbanisme (XVIe siècle), reflet de la culture espagnole. Sur la Grande Place, on a conservé une série de monuments d’une valeur exception‐nelle, sculptés en haut‐relief entre les années 200 et 900. En plus des 50 édifices religieux (dont l’église et le couvent de la Merced) et du Palais des Capitaines (54 arcs sur 2 niveaux), on peut y admirer des inscriptions et des calendriers mayas figurant sur des stèles colorées. http://.whc.unesco.org>fr/list/645
3) Honduras. La vaste réserve de la biosphère Rio Platana est classée depuis 1980; c’est une des rares forêts vierges (150 km de long sur 15 de large) très denses, où sont présents trois types de savane : sèche, humide et de pins. Des tribus indigènes (Pech, Sumo, Tawahka, Rama, etc.) y vivent; elles totaliseraient environ 2000 person‐nes. Outre une flore (2000 espèces de plantes) et une faune (39 espèces de mammi‐fères, 377 sortes d’oiseaux) très diversifiées, cet habitat est un paradis pour ces es‐pèces menacées : singe hurleur, jaguar, ocelot, tamanoir, ariane de Lucy, ara de Buf‐fon, grand hocco, paruline à dos noir, harpie féroce, daguet rouge; tortue verte, lou‐
tre géante. http://.whc.unesco.org>fr/list/196); http://cocomagnanville.over‐blog.com/2014/
‐ Autre attrait : les ruines mayas de Copan dont ses tunnels, son Acropole, son temple Rosalila, le jeu de balle et son musée actuel témoignent de leur valeur. 4) Salvador. Comme Pompéi et Herculanum jadis, le village agricole de Joya de Cerén fut recouvert au VIIe siècle des cendres du volcan Loma Caldera. Le lieu fut découvert en 1976, lors de la construction de silos à grain. Les fouilles, commen‐cées en 1989, ont mené à son inscription en 1993. À ce jour, on a identifié 18 struc‐tures en terre, au toit de chaume : bâtiments publics et religieux, maison du sorcier, ateliers, bains de vapeur. Les outils, potagers, plants et arbres fruitiers rensei‐gnent sur la vie quotidienne de cette communauté. http://.whc.unesco.org>fr/list/675
5) Nicaragua. Classé depuis l’an 2000, le secteur des ruines de Léon Viejo, fondé en 1524 et abandonné en 1610 à cause de fréquents désastres, permet de découvrir les caractéristiques d’un ancien peuplement colonial. Parmi les 17 structures déterrées depuis 1967, mentionnons la Calle Reale (Voie royale), la Plaza Mayor (Grande Place), la cathédrale Santa Maria de la Gracia, l’école et le couvent, la fonderie. http://.whc.unesco.org>fr/list/675
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‐ La cathédrale de Léon, site retenu en 2011, a été construite de 1747 à 1814; outre l’abondance (calculée) de sa lumière naturelle, elle vaut par ses peintures flamandes qui datent du XIVe siècle.
6) Costa Rica. Classée en 1997, la Isla del Coco, située sur la route des Galapagos, est la plus grande île vierge au monde; sa faune sous‐marine exceptionnelle en fait un paradis pour plongeurs. Jadis, elle servit longtemps de coffre‐fort aux boucaniers et flibustiers qui y auraient caché des tonnes de lingots d’or et d’ar‐gent. À ce jour, plus de 500 expéditions, munies des meilleurs instruments de détection, en sont toutes revenues bredouilles… http://www.costar ica ‐nature/org/FRANCAIS/ infos ‐generales_Costa ‐Rica; www.idssinfo.com/plantes‐et‐animaux‐
‐ On y compte deux autres trésors : A) Talamanca‐La‐Amistad, réserve d’histoire géologique due à ses chaînes de montagnes, ses lacs d’origine glaciaire, ses quatre types de forêts, la richesse de ses habitats où évoluent plusieurs espèces rares : ces félins (caracal, tigre tacheté, couguar), ces oiseaux (toucan, aigle noir), tapir de Baird, fourmilier géant, écureuil noir, quetzal. B) Guanacaste, importante zone de conservation à cause de la diversité des habitats et des courants marins riches en nutriments.
7) Panama. Inscrit depuis 1981, le parc national Darién offre une riche variété d’écosystèmes, d’habitats, de zones humides et forestières. Outre une faune marine étonnante, on y a recensé 40 espèces d’orchidées et 450 d’oiseaux. Dernier espace de vie pour certaines espèces menacées telles l’atèle à tête brune et le pécari à lèvres blanches, c’est aussi le refuge de tribus indigènes (Embera – 31 284, Wounan – 7279, Guna – 80 526, populations évaluées selon le recensement de 2010) qui y vivent selon leurs coutumes ancestrales. http://.whc.unesco.org>fr/list/159
‐ Ajoutons ici le parc Coiba où s’allonge un rare récif de corail du Pacifique, véritable laboratoire de recherches scientifiques; le parc La‐Amistad, un prolongement de celui du Costa‐Rica; le centre historique (Casco Viejo) de la ville de Panama, fondée en 1673, entourée de murs épais dont l’intérieur cache plusieurs attraits dont la Plaza Mayor, la Cathédrale et El Palacio Municipal.
ÇA ME RAPPELLE UNE CHANSON…
Je m’voyais déjà en haut de l’affiche En dix fois plus gros que n’importe qui mon nom s’étalait Je m’voyais déjà adulé et riche Signant mes photos aux admirateurs qui se bousculaient
En 1960, Charles Aznavour a déjà connu un certain suc‐cès en tant qu’auteur et compositeur de chansons. Il peine toutefois à percer en tant que chanteur. Il livre alors un constat quelque peu désabusé sur sa carrière dans la chanson intitulée Je m’voyais déjà. Yves Mon‐tand ne souhaitant pas l’interpréter, il décide de l’inter‐préter lui‐même. Lors de son passage à l’Alhambra de Paris, le public ne manifeste pas un grand enthousias‐me. Charles Aznavour entame alors Je m’voyais déjà, qui rencontre aussitôt un franc succès. À 36 ans, sa chanson le place enfin... en haut de l’affiche!
Source : Les Almariaks
J’AIME LES MOTS
Faire le Jacques Faire l’imbécile (avec une connotation positive, dans le cas de plaisanteries et drôleries, ou négative, dans le cas de bêtises).
Origine Cette expression apparaît vers 1880. À cette époque, Jacques est un des prénoms (comme Gilles ou Guillaume) désignant un simple d’esprit, un naïf, un niais.
Aujourd’hui, selon le type d’imbécillité, on dirait « faire le pitre (ou l’andouille) » ou bien « faire l’imbécile (ou le con) ».
Il n’est pas impossible que cette expression soit une importation venue d’Outre‐Manche, où la locution an‐glaise « to play the Jack », utilisée par Shakespeare, voulait dire « faire le farceur ou le fourbe ».
Source : expressio.fr
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Lorsque vous envoyez du courrier, il est important d’inscrire votre adresse dans le coin gauche de l’enveloppe.
CHANGEMENT D’ADRESSE
Il est très important de nous avertir lorsqu’il y a un changement dans vos coordonnées : téléphone, adresse, courriel, lieu de résidence, etc.
Prévenez un membre de votre famille afin qu’il effec‐tue ce changement lorsque vous ne serez plus en mesure de le faire. Cela nous permettra, en cas d’urgence, de communiquer avec vous ou avec quelqu’un de votre famille. 418 627‐6509 ou [email protected]
BULLETIN PAR INTERNET Claire Guay
Recevez votre bulletin plusieurs jours avant les autres. Adhérez à la formule par Internet. Vous aurez ainsi la possibi‐lité de le lire dès que l’original est en‐voyé chez l’imprimeur.
Adhérez à cette formule en envoyant un courriel à [email protected] et soyez les premiers à obtenir l’informa‐tion. Un message vous informera de la parution d’un nouveau numéro.
C’est un excellent moyen de travailler pour l’environne‐ment et de sauver des coûts à votre Association.
COMMUNIQUÉ
L’AREQ dénonce l’abolition du poste de Commissaire à la santé
22 mars 2016 – L’Association des retraitées et retraités de l’éducation et des autres services publics du Québec (AREQ‐CSQ) dénonce l’abolition du poste de Commissaire à la santé et au bien‐être. Cette décision a été prise par le gouvernement en catimini, dans la foulée du dernier budget.
Soulignons que le Commissaire à la santé et au bien‐être constituait une source indépendante d’information et de pistes de solution à l’égard du réseau de la santé. Au cours des dix dernières années, le Commissaire a publié de nombreux rapports et mémoires, dont plusieurs jetaient un regard critique sur les décisions et les orientations gou‐vernementales. Il poursuivait actuellement des travaux, entre autres, sur la qualité de l’hébergement des personnes aînées et sur le mode de rémunération des médecins, des sujets chauds et donc potentiellement controversés.
« Le Commissaire à la santé faisait un bon travail d’évaluation de notre système de santé, en toute indépendance et à faible coût. Son abolition est un non‐sens tant au plan administratif que budgétaire. Cela nous semble donc une décision purement politique. Cela donne une fois de plus l’impression que le gouvernement et en particulier le mi‐nistre Barrette sont totalement allergiques à la critique », souligne le président de l’AREQ, Pierre‐Paul Côté.
Rôle maintenu? Permettez‐nous d’en douter! L’AREQ accueille avec beaucoup de scepticisme l’intention du gouvernement soi‐disant de maintenir les rôles et les responsabilités du Commissaire, tout en les confiant au ministère de la Santé et à l’INESSS.
« On voit mal comment le ministère de la Santé pourra faire une évaluation objective et critique de son propre travail. Et encore, il ne s’agit que d’une intention exprimée par la voix de l’attachée de presse du ministre. Pour en avoir le cœur net, il faudra s’en remettre au projet de loi sur la mise en œuvre du budget. Or, la mesure risque d’être enfouie parmi une tonne d’autres dispositions qui concernent une foule de sujets. Cela n’a rien de rassurant », a conclu le président de l’AREQ.
Rappelons que le projet de loi de mise en œuvre du budget contenait l’an dernier 337 articles, de sorte qu’il a été qualifié de « loi mammouth ». Au surplus, il a été adopté sous bâillon.
À propos de l’AREQ Fondée en 1961, l’Association des retraitées et retraités de l’éducation et des autres services publics du Québec (AREQ‐CSQ) compte plus de 57 000 membres dans l’ensemble des régions du Québec. L’AREQ est affiliée à la Cen‐trale des syndicats du Québec (CSQ).
Source : Dominic Provost, conseiller en communication – AREQ
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Dîner du Bel‐Âge, le mardi 24 mai 2016 Coûts : 24 $/membre ____ 29,40 $/non‐membre ____ apéro : 7 $ ____
Nom et prénom : Téléphone : Numéro de membre : _ _ _ _ _ _ Adresse : Code postal :
Nom de la personne qui vous accompagne : Numéro de membre : _ _ _ _ _ _ Veuillez faire parvenir un chèque à l’ordre de « AREQ 3A Cap‐Diamant », négociable avant le mardi 10 mai 2016.
Adressez‐le à Madame Claire Guay, 8630, rue des Grizzlis Québec (Québec) G1G 6G3
Dîner de l’AGR, le jeudi 2 juin 2015 Coût : 10 $/membre
Nom et prénom : Téléphone : Numéro de membre : _ _ _ _ _ _ Adresse : Code postal :
Veuillez faire parvenir un chèque à l’ordre de « AREQ 3A Cap‐Diamant », négociable avant le jeudi 12 mai 2016. Adressez‐le à Monsieur Roger Desjardins, 6795, 9e Avenue Est, Québec (Québec) G1H 6M6
ATTENTION : Il est important de faire un chèque par activité. IL FAUT LIBELLER LE CHÈQUE AU NOM DU BON DESTINATAIRE.
LA DATE DU CHÈQUE NE DOIT PAS EXCÉDER CELLE INDIQUÉE SUR LE COUPON
Si vous envoyez votre inscription par la poste, bien vérifier sur le coupon l’adresse d’expédition.
Mise en pages : Claire Guay Relecture : Claire Gauvreau, Claire Guay Impression : Groupe ETR Claude Le May et Bernard Lebeuf
Tous les articles publiés dans ce bulletin sont la propriété du Secteur 3A, Cap‐Diamant. Toute reproduction doit être autorisée et faire men‐tion de la provenance de l’article.
N’OUBLIEZ PAS D’APPUYER LA FONDATION LAURE‐GAUDREAULT
Je veux devenir membre à vie de la Fondation Laure‐Gaudreault (10 $). ______ Je désire faire un don à la Fondation Laure‐Gaudreault ______ $.
Vous recevrez un reçu pour fins fiscales pour tout don de 15 $ et plus.
Nom et prénom : Téléphone :
Adresse : Code postal :
Secteur 3A Cap‐Diamant Numéro de membre : _ _ _ _ _ _
Veuillez faire parvenir un chèque à l’ordre de Fondation Laure‐Gaudreault Adressez‐le à Monsieur Roger Desjardins, 6795, 9e Avenue Est, Québec (Québec) G1H 6M6
Théâtre de la Bordée 2016‐2017 Coût : 110 $/pers.
Nom et prénom : Téléphone : Numéro de membre : _ _ _ _ _ _ Adresse : Code postal :
Nom et prénom de la personne qui vous accompagne : Numéro de membre : _ _ _ _ _ _
Veuillez faire parvenir votre chèque à l’ordre de Théâtre de la Bordée, négociable avant le mardi 10 mai 2016. et adressez‐le à Madame Claire Gauvreau 437, rue Bagot, Québec (Québec) G1K 1W3
Encart 1—Avril 2016
RÉALISER SES RÊVES À TOUT ÂGE
Suite à l’article Réaliser ses rêves à tout âge paru dans Le doux temps d’octobre 2015, madame Blanche Gilbert‐Demers, 98 ans, nous a manifesté son rêve. Que l’article de la journaliste Mylène Moisan, paru le 27 juillet 2014 dans le quotidien Le Soleil, soit reproduit dans le bulletin du Secteur.
Les leçons de Blanche
(Québec) « Les garçons étaient debout sur leurs chaises, ça criait, ça tirait des brosses. J’étais la troisième professeure qu’on envoyait dans cette classe de sixième, pour essayer d’en venir à bout. J’avais deux options : soit je criais plus fort qu’eux et je me rendais ridicule, soit je trouvais une autre façon. »
Voici ce qu’elle a trouvé.
« J’ai pris un livre, j’ai lu. Après un bout de temps, ça s’était calmé un peu, mais ça criait encore. Je me suis levée, je leur ai dit "c’est dommage, j’étais contente de vous voir, on au‐rait pu être heureux. On aurait appris des choses" et je suis partie. Je suis allée à la salle des professeurs. »
Un élève est venu la chercher par la main, littéralement. « Il m’a dit, "madame, on veut vous avoir". » Et ils ont fait une belle année.
Des histoires comme ça, Blanche Gilbert‐Demers en a des dizaines à raconter. Je l’ai rencontrée cette semaine chez elle, dans l’appartement qu’elle habite depuis 1964. La dame a 96 ans.
Blanche avait 24 ans lorsqu’elle est devenue institutrice, presque par hasard. Un ami de la famille lui a proposé d’ensei‐gner, elle s’est dit pourquoi pas. « Au début, j’étais trop sévère. Je disais "va à ta place, assis‐toi, tais‐toi". » En parlant, elle frappe sur sa table de bois. «Bang, bang.»
Elle a vite compris que ça ne marchait pas. «Je me suis dit que je devais commencer par m’interroger moi‐même. Mon père était un colonel de l’armée, la méthode autoritaire, c’est la seule que j’avais connue. Il me fallait trouver une fa‐çon d’enseigner sans chicaner sans arrêt les enfants. Je voulais les valoriser.»
C’était avant les manuels de pédagogie moderne.
C’était dans les années 40 et 50, les soeurs à cornettes venaient encore remettre les bulletins dans les écoles.
Blanche a suivi son pif, elle parle de « gros bon sens ». C’est plus que ça. Blanche aimait les enfants comme s’ils étaient les siens, elle n’en a jamais eu. « L’école, c’est le prolongement de la famille. Il faut faire passer l’enfant avant toi‐même. Il n’y a pas juste le côté académique, il faut lui donner le goût d’apprendre. »
Comme ce gars‐là, en cinquième année B. « Au premier cours, il tapait son étui à crayons sur son bureau pendant que je parlais. Toc, toc, toc, il n’arrêtait pas. Je me suis demandé comment je pouvais le faire réfléchir, au lieu de le punir. Je lui ai demandé d’aller faire une commission chez le directeur et, pendant qu’il était parti, j’ai dit aux autres élèves «votre copain, il n’est pas méchant, il a peut‐être un problème, peut‐être de la peine. »
Sa mère était morte pendant l’été.
Le gars était révolté, il cassait des vitres de l’école, la police devait parfois le rappeler à l’ordre. Blanche a fait un pac‐te avec la classe. « On va l’aider, et vous allez m’aider. Vous allez lui donner des responsabilités, moi aussi. »
Blanche et les autres élèves l’ont pris en main, à son insu. Il est entré dans le rang, a réussi ses examens. À la fin de l’année, Blanche a demandé aux élèves de rédiger une dernière composition, sur les vacances. Le gars a écrit ça : « j’ai eu une bonne institutrice et un bon directeur. [...] C’est ma plus belle année scolaire. L’an prochain, je voudrais passer une autre bonne année. »
Elle a été moins bonne. « J’ai appris qu’il a fini par décrocher. »
Encart 1—Avril 2016
Dans une boîte en métal noir, de la grosseur d’une boîte à souliers, Blanche conserve précieusement ses papiers importants. À l’intérieur, une douzaine d’enveloppes blanches, identifiées par leur contenu. Elle a ouvert la boîte, a sorti une envelop‐pe marquée d’un seul mot : « souvenirs ». Elle a sorti la composition de l’élève, me l’a tendue. « Je l’ai toujours gar‐dée. »
Elle se souvient aussi de cet autre élève, qui faisait une faute aux trois mots. « Dans sa première composition, il a fait 18 fautes. Je lui ai dit, pour qu’il s’améliore, "on va arrêter de compter les fautes, on va compter les fautes en moins". Ça l’encourageait. Dans sa dernière composition, il a fait trois fautes. »
Une dernière histoire, ma préférée. « Un jour, une mère m’appelle pour me dire que, si son garçon boude, s’il est renfrogné, c’est parce qu’il s’imagine qu’il n’est pas aimé, parce qu’elle ne l’a pas porté, parce qu’il est adopté. »
Blanche a eu une idée. « Dans ma catéchèse, j’ai expliqué aux élèves qu’il y avait deux façons de porter un enfant, dans son sein et dans son coeur. Le petit gars me regardait avec de grands yeux. Il s’est levé d’un bond et il s’est ex‐clamé : "moi aussi, ma mère m’a porté, elle m’a porté dans son coeur!" »
Le petit gars n’a plus jamais boudé. « Il s’est senti désiré. Qu’est‐ce que c’est de rendre un enfant heureux? »
C’est toute la différence du monde. « Quand on enseigne aux enfants, il faut tout d’abord établir un contact. Il faut les écouter, les valoriser. Il faut leur dire "Ce n’est pas toi, ça, tu es plus fin que ça, tu peux faire de grandes cho‐ses." »
Leur tendre la main, plutôt que leur taper sur les doigts.
VIE PRATIQUE Différents trucs pour laver les vitres
Pour laver les vitres et les accessoires électriques, mélangez 1 c. à table de savon à vaisselle et 2 c. à table d’alcool à friction dans 5 litres d’eau tiède.
Pour laver vitres et miroirs, mélangez 1 bouteille d’alcool à friction et ¼ tasse de vinaigre blanc et versez dans un contenant de 4 litres. Remplir d’eau du robinet et ajoutez 1 c. à soupe de savon liquide à vaisselle. Versez dans un petit contenant avec vaporisateur.
Pour des vitres propres et étincelantes, mélangez 8 litres d’eau, ⅓ tasse d’assouplissant et ⅓ tasse de fécule de maïs. Lavez les vitres avec un chiffon J et essuyer avec un linge de coton.
Une fois les vitres lavées, essuyez‐les avec de la mie de pain blanc. Elles seront claires et se saliront moins rapidement.
Pour nettoyer des vitres tachées de pluie sèche, appliquez du nettoyant à four et laisser agir 15 minutes. Lavez‐les ensuite à l’eau claire.
Pour savoir de quel côté sont les rayures sur les vitres, frottez‐les à la verticale d’un côté et à l’horizontale de l’autre.
Frottez les vitres grasses avec une tranche d’oignon et elles redeviendront nettes.
Pour nettoyer la vitre du foyer, utilisez un papier journal chiffonné et légèrement mouillé. Trempez dans la cendre et frottez la vitre.
Nettoyez les miroirs et les vitres avec un savon doux. Rincez avec un mélange d’eau et de vinaigre.
Pour empêcher la formation de givre sur les vitres d’auto, remplissez une bouteille avec vaporisateur au ¾ de vi‐naigre et ¼ d’eau et vaporisez les fenêtres le soir. Le matin, les fenêtres seront claires et sans glace.
Source : Trucs et astuces Express, les CFQ
PROCHAIN BULLETIN
Le prochain bulletin paraîtra vers la fin du mois de juillet.
Si vous avez des articles à nous proposer, la date de tombée est le mardi 31 mai 2016.
Merci à toutes les personnes qui acceptent d’écrire pour le bulletin. Votre aide est très précieuse.
Encart 2—Avril 2016
Hommage aux personnes aînées du Secteur Cap-Diamant
Un dîner-hommage aura lieu le mardi 24 mai 2016 à L’Hôtel Québec.
Parmi les 580 membres du Bel-Âge, nous saluerons les 166 personnes
qui ont ou auront, au 30 juin 2016, 75-80-85-90 ou 95 ans et plus.
Ci-dessus le nom de quelques personnes qui ont accepté que leur nom paraisse.
Avril 2016
Francine Barcelo Lucie Beaubien-Lachance Renée Bégin-Hamel
Monique Bélanger Lise Béland-Morency Cécile Bernier
Gilles-Marcel Bertrand Gaston Bidégaré Aline Blanchet
Florence Brideau Annette Brochu Simone Bussières
Michel Cloutier Jacques Couture Robert R. D'Avignon
Noëlla Dionne-Hendriks Françoise Doucet Thérèse Drolet
Fernande Dubé Rita Dumais Louis Emond
Lucille Fecteau Ghyslaine Gagnier Raymonde Gagnon
Cécile Gagnon-Goulet Claudette Giguère Huguette Gilbert
Blanche Gilbert-Demers Serge Giroux Armand Gosselin
Monique Hamel Denise Hamel-Jobin Jacques Harvey
Françoise Huot Roméo Huot Gabriel Labrecque
Thérèse Lacasse Théodore Lagloire Denise-Cécile Laliberté
Constant Lamoureux Marcel Langlais Reine Laperrière
Denise Leclerc-Claveau Édith Légaré David Legris-Juneau
Jean Lemelin Thérèse Maltais Bernadette Mayrand
Aline Pakenham Pierrette Paré Denise Pilon
Ginette Pomerleau Michèle Poulin Magloire Proulx
Lucien Quessy Jean Robitaille Yvan Robitaille
Michelle Roy Georgette R-Bernatchez Jeannette R-Harmegnies
Michel Saint-Laurent Jean Simard Lise Tanguay-Colette
Jacques Thiboutot Thérèse Tondreau
Colette Toussaint Gérard Viaud
Hommage à Alfred Marquis né le 1er octobre 1915