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Publication trimestrielle des Chasseurs de Grand Gibier de l’Essonne « L’espère! Quel joli nom pour désigner l’affût, l’attente du chasseur embusqué, et ces heures indécises où tout attend, espère, hésite encore entre le jour et la nuit. L’affût du matin un peu avant le lever du soleil, l’affût du soir au crépuscule.» Alphonse Daudet - Lettres de mon moulin à chasser chez vous, contre quelques menus services par exemple, ou même gracieusement? Tous les observateurs le signalent, les populations de sangliers sont nettement en hausse cette année et nous pouvons légitimement nous en réjouir. Les résul- tats des tirs d’été laissent présager une saison exceptionnelle. Cependant, dans notre département peut-on empiler les sangliers sans conséquences ? Chaque détenteur de territoire doit se poser la question et agir en responsable, beau- coup l’ont compris, fort heureusement. Une nouvelle fois la question des indem- nités de dégâts va se poser, et sans une forte régulation dans les territoires expo- sés, nous souffrirons encore des hausses du prix des bracelets ou de la taxe à l’hec- tare boisé. Les populations de cerfs et de chevreuils semblent également en hausse, ne bou- dons donc pas notre plaisir ! Cette situation constitue un véritable contraste avec le petit gibier. En effet, malgré les efforts considérables que cer- tains ont consenti depuis de très nom- breuses années, celui-ci se porte toujours aussi mal, et il apparaît donc absolument nécessaire de mesurer les prélèvements. Bonne saison et bonnes rencontres à tous ! Jacky Martin Association Départementale des Chasseurs de Grand Gibier de l’Essonne Siège Social : 4 Chemin des Bergers 91410 Roinville sous Dourdan Président : Jacky Martin Le contenu de cette publication ne peut être reproduit sans l’autorisa- tion de l’Association Départemen- tale des Chasseurs de Grand Gibier de l’Essonne. Les opinions émises n’engagent que leurs auteurs Rédacteurs : Serge TAUZIN, Jacky MARTIN Le mot du président L’image de la chasse et des chasseurs n’est pas toujours reluisante ! Loin s’en faut, mais à qui la faute ? Bien sûr, nous sommes souvent assimilés à des tueurs et assassins par plusieurs générations de bons penseurs, bercés par le monde de Bambi ou par la fameuse chanson de Chantal Goya «ce matin, un lapin a tué un chasseur», reprise en chœur par toute une génération de quadragénaires ! Pendant des décennies, le chasseur ne s’est pas soucié de son image et de son comportement. Il battait campagnes et forêts à sa guise, il était maître du monde, en ces lieux dont personne n’avait cure. Aujourd’hui les choses ont bien changé, nous sommes dans une civilisation de loi- sirs et chacun s’approprie l’espace, la na- ture. Nous ne sommes plus seuls et nous devons partager, apprendre à communi- quer et faire comprendre et reconnaître notre passion. C’est à ce prix que ce noble art perdurera et que nous serons compris et reconnus par nos concitoyens. Aide toi, le ciel t’aidera, dit le proverbe... A ce sujet, l’initiative des jeunes chas- seurs d’Île de France, qui depuis 3 ans nettoient bois et campagnes souillés par des promeneurs indélicats, est remar- quable. Cela positionne le jeune chasseur comme un chasseur naturaliste et pro- tecteur de la nature, ainsi que se plaisait à le dire le regretté André-Jacques Hettier de Boislambert. Amis détenteurs de territoire, tout ceci mérite d’être encouragé, pourquoi ne pas inviter occasionnellement un jeune Sommaire : BGG, Session 2015 ............................. 2-3 Brèves ......................................................... 4 Assemblée Générale 2014 ..................... 5 Chasse «découverte» ............................ 6 Les événements de septembre..... 8-9 Une carabine 8x57 JS à l’essai .......... 10 Une heureuse initiative...................... 11 Le loup en Île de France ? ........... 12-13 La Boutique ..................................... 14-15 Le coin des annonces ......................... 16 Inscription Brevet................................. 17 N° 119 Septembre 2014

Le mot du président - ANCGG - Association - Chasse · cours, épreuves de tir, sortie terrain, ... la balistique, la sécurité en battue, ... eu la surprise de prélever un san-

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Publication trimestrielle des Chasseursde Grand Gibier de l’Essonne« L’espère! Quel joli nom pour désigner l’affût, l’attente du chasseur embusqué, et ces heures indécises où tout attend, espère, hésite encore entre le jour et la nuit. L’affût du matin un peu avant le lever du soleil, l’affût du soir au crépuscule.»

Alphonse Daudet - Lettres de mon moulin

à chasser chez vous, contre quelques menus services par exemple, ou même gracieusement?

Tous les observateurs le signalent, les populations de sangliers sont nettement en hausse cette année et nous pouvons légitimement nous en réjouir. Les résul-tats des tirs d’été laissent présager une saison exceptionnelle. Cependant, dans notre département peut-on empiler les sangliers sans conséquences ? Chaque détenteur de territoire doit se poser la question et agir en responsable, beau-coup l’ont compris, fort heureusement.Une nouvelle fois la question des indem-nités de dégâts va se poser, et sans une forte régulation dans les territoires expo-sés, nous souffrirons encore des hausses du prix des bracelets ou de la taxe à l’hec-tare boisé.

Les populations de cerfs et de chevreuils semblent également en hausse, ne bou-dons donc pas notre plaisir !

Cette situation constitue un véritable contraste avec le petit gibier. En effet, malgré les efforts considérables que cer-tains ont consenti depuis de très nom-breuses années, celui-ci se porte toujours aussi mal, et il apparaît donc absolument nécessaire de mesurer les prélèvements.

Bonne saison et bonnes rencontres à tous !

Jacky Martin

Association Départementale des Chasseurs de Grand Gibier de

l’EssonneSiège Social :

4 Chemin des Bergers91410 Roinville sous Dourdan

Président : Jacky Martin

Le contenu de cette publication ne peut être reproduit sans l’autorisa-tion de l’Association Départemen-tale des Chasseurs de Grand Gibier de l’Essonne. Les opinions émises

n’engagent que leurs auteurs

Rédacteurs : Serge TAUZIN, Jacky MARTIN

Le mot du présidentL’image de la chasse et des chasseurs n’est pas toujours reluisante ! Loin s’en faut, mais à qui la faute ? Bien sûr, nous sommes souvent assimilés à des tueurs et assassins par plusieurs générations de bons penseurs, bercés par le monde de Bambi ou par la fameuse chanson de Chantal Goya «ce matin, un lapin a tué un chasseur», reprise en chœur par toute une génération de quadragénaires !

Pendant des décennies, le chasseur ne s’est pas soucié de son image et de son comportement. Il battait campagnes et forêts à sa guise, il était maître du monde, en ces lieux dont personne n’avait cure. Aujourd’hui les choses ont bien changé, nous sommes dans une civilisation de loi-sirs et chacun s’approprie l’espace, la na-ture. Nous ne sommes plus seuls et nous devons partager, apprendre à communi-quer et faire comprendre et reconnaître notre passion. C’est à ce prix que ce noble art perdurera et que nous serons compris et reconnus par nos concitoyens. Aide toi, le ciel t’aidera, dit le proverbe...

A ce sujet, l’initiative des jeunes chas-seurs d’Île de France, qui depuis 3 ans nettoient bois et campagnes souillés par des promeneurs indélicats, est remar-quable. Cela positionne le jeune chasseur comme un chasseur naturaliste et pro-tecteur de la nature, ainsi que se plaisait à le dire le regretté André-Jacques Hettier de Boislambert.

Amis détenteurs de territoire, tout ceci mérite d’être encouragé, pourquoi ne pas inviter occasionnellement un jeune

Sommaire :BGG, Session 2015 ............................. 2-3Brèves ......................................................... 4Assemblée Générale 2014 ..................... 5Chasse «découverte» ............................ 6Les événements de septembre ..... 8-9Une carabine 8x57 JS à l’essai ..........10Une heureuse initiative ......................11Le loup en Île de France ? ........... 12-13La Boutique ..................................... 14-15Le coin des annonces .........................16Inscription Brevet .................................17

N° 119Septembre 2014

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Brevet Grand GibierSession 2015

Dès le mois de janvier prochain, en plein cœur de nos battues hiver-nales, la session 2015 du brevet va débuter. Cette année, afin de faire connaître encore mieux le Brevet, nous avons décidé d’organiser une soirée d’information. Cette soirée se déroulera le vendredi 19 décembre à partir de 20h30 à la maison de la nature et de la chasse de Boutigny sur Essonne.

À cette occasion, tous les adhérents sont invités  ; les anciens brevetés bien sûr, à qui nous demanderons si possible de parrainer 1 ou 2 futurs candidats, mais aussi tous ceux qui n’ont jamais osé ou voulu se lancer dans l’aventure. A l’issue de la soi-rée, autour du verre de l’amitié, les chasseurs intéressés pourront s’ils le souhaitent s’inscrire à la prochaine session et ainsi découvrir en avant-première les dates des différents cours, épreuves de tir, sortie terrain, etc.

Il est utile de rappeler que les ma-tières enseignées concernent no-

tamment les espèces de grand gibier en France (chevreuil, sanglier, cerf, chamois, mouflon…), l’armement, la balistique, la sécurité en battue, la réglementation, la sylviculture, les chiens, les indices de présence, etc.En dernière page de ce numéro de l’Affût, vous trouverez un bulletin d’inscription à cette soirée à retour-ner à :

Marc TAILLANDIER06 73 68 03 02 Mail : [email protected]

Pour plus d’informations sur le Brevet, consultez le site de l’associa-tion :www.ancgg.org/ad91

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Ci-dessous, in extenso le mail reçu d’une de nos candidates 2014...Bonjour tous, membres du bureau et administrateurs

Je tenais par ce mail à vous remer-cier pour cette formation au brevet grand gibier. Pour des raisons per-sonnelles, je n’ai pas pu terminer

celle-ci et me présenter à l’examen, mais je reviendrai !!Pour une novice comme moi, il fau-dra bien 2 années avant d’assimiler toutes ces connaissances.

Vous proposez une formation de qualité, très intéressante, et passion-nante. Cela m’a permis d’aborder la chasse différemment.

L’accueil est vraiment génial, des ad-ministrateurs passionnés, qui ont en-vie d’échanger leurs connaissances et leurs expériences. Bref, vous l’aurez compris, je suis vraiment enchantée d’avoir pu participer.

La seule remarque, avec une note négative que je pourrais apporter c’est sur les horaires des cours, cela finit tard et quand on a de la route à faire, c’est pas facile. Mais je com-prend bien que ce n’est pas facile non plus de trouver des créneaux où le maximum de personnes sont disponibles.

Alors un grand merci à toute cette belle équipe, bravo pour tout ce que vous faites c’est super !A bientôt

Virginie GRIVIAUD

Les jeunes chasseurs nettoient la nature !

Le 27 septembre, le Club des Jeunes Chasseurs d’Île-de-France (CJCIDF) se mobilise pour la 3ème fois en faveur de l’environnement et de sa sauvegarde.

En 2012, le Club avait organisé une première opération de nettoyage des bords de Seine, à Saint Martin la Garenne (78). Puis en septembre 2013, dans le cadre du programme «Nettoyons la Nature» des maga-sins E. Leclerc, était mis en place une nouvelle action de grande ampleur dans la forêt de Beynes (78). En par-tenariat avec plusieurs institutions et associations locales, ce sont plus

de 60 bénévoles de tous âges qui ont collecté plus de 4 tonnes de déchets pendant la matinée.

Fort de ce succès, le CJCIDF renou-velle l’opération cette année sur la commune des Mureaux (78), sur la Plaine de la Nouvelle France et le Bois de Saint-Vincent, ces territoires dépendant de l’Agence des Espaces Verts de la région Île-de-France.

Toujours dans le cadre de l’opéra-tion «Nettoyons la Nature» des ma-gasins E. Leclerc et avec le soutien de la Mairie des Mureaux, de la FICIF, des scouts de Saint-Benoît de Ver-neuil sur Seine, plusieurs équipes de bénévoles seront à pied d’œuvre le samedi 27 septembre au matin.

Monsieur David DOUILLET, député des Yvelines, a accepté d’être le par-rain de cette opération.

A l’issue de cette matinée, un grand barbecue rassemblera l’ensemble des participants et viendra conclure l’opération qui sera probablement un très grand succès.

Bravo aux jeunes chasseurs d’Île de France, cette initiative mérite d’être encouragée. Voici une excellente fa-çon d’améliorer l’image de la chasse et des chasseurs.

Nous sommes fiers de vous !

Club des Jeunes Chasseurs d’Île de France - 06 65 30 61 76 -www.jeuneschasseurs-idf.fr

Brèves

BREVET GRAND GIBIER - RÉUNION D’INFORMATION EXCEPTIONNELLE

Le 19 décembre à 20h30,

à la Maison de la Chasse et de la Nature de Boutigny sur Essonne

Pensez à réserver vos places !

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Un sanglier de 180 Kgprélevé à Ris Orangis !

Dans le cadre de ses missions de régulations des nuisibles en milieu péri-urbain, Fabrice Sirou, lieute-nant de Louveterie de l’Essonne a eu la surprise de prélever un san-glier de 180 Kg sur la commune de Ris Orangis. Les autres animaux sur la photo n’accusent respectivement que 80 et 75 kg et paraissent bien petits à coté de ce gros mâle. En l’absence de la mâchoire, l’examen et les men-surations de son trophée laissent à penser que l’animal était âgé d’envi-ron 7 ans. Il évoluait probablement dans ce milieu protégé et sans chasse, profitant allègrement d’un silo à grains à proximité.

L’organisation de battues efficaces dans ces milieux presque totale-ment urbanisés, où il est nécessaire d’arrêter la circulation, voire le tra-

fic SNCF pour assurer des tirs sans danger, se révèle particulièrement difficile.

Cette configuration facilite l’expan-sion de sangliers opportunistes, qui trouvent là un terrain favorable à leur développement.

Nous voyons là, matière à renouve-ler nos félicitations aux louvetiers, qui effectuent un travail remar-quable de régulation, notamment sur les sangliers et les renards !

Nous rappelons également que les lieutenants de louveterie sont des bénévoles et qu’ils ne bénéficient d’aucune aide financière pour la réalisation de leurs missions. (Voir article paru en décembre 2012 - La Louveterie, une institution - Affût N° 112)

Brèves (Suite)

Charles Henri de Ponchalon, an-cien Président de la FNC s’est éteint le samedi 6 Septembre à l’âge de 84 ans.Ayant pris son premier permis de chasse en 1957, il fut dès lors un dé-fenseur acharné d’une passion qui ne le quitta jamais plus. Il fut admi-nistrateur de la Fédération Dépar-tementale des Chasseurs de l’Indre, dont il devint président, puis pré-sident de la région cynégétique

Centre, administrateur de l’ONCFS et administrateur de l’Union Natio-nale des Fédérations Départemen-tales de Chasseurs.

Lors de la création de la Fédération Nationale des Chasseurs, il en fut le premier président, poste qu’il occupa au cours de trois mandats successifs de 2001 à 2010.

Charles Henri de Ponchalon, cheva-lier de la Légion d’Honneur, et offi-cier du Mérite Agricole, laissera à tous ceux qui l’ont approché le sou-venir d’un honnête homme, extrê-mement affable, toujours à l’écoute et proche de ceux qui comme lui se

passionnaient pour la chasse.

L’ADCGGE présente ses plus sin-cères condoléances à sa famille et à ses amis.

Décès de Charles Henri de Ponchalon

Assemblée Générale du 29 juin 2014

Le dimanche 29 juin dernier s’est déroulée notre assemblée générale.Plus de 50 adhérents étaient réunis autour du président Jacky Martin et des administrateurs de l’AD. Plu-sieurs points ont été soulevés par le président, notamment concernant le conseil d’administration. En effet, Serge Tauzin, que la quasi totalité des adhérents connaissent bien, tant son implication a été importante au sein de notre AD depuis 1995, a été hono-ré du titre de président d’honneur de l’association.

Par ailleurs, le président s’est réjoui de la bonne santé de l’AD91, en effet au 29 juin nous comptions 191 adhé-rents dont 160 adhérents au sanglier courant, ce qui est très proche de l’ob-jectif fixé qui était de dépasser les 200 adhésions. Avec presque 10% d’ad-hésions supplémentaires cette an-née, notre association se développe, alors que l’on continue de constater une diminution drastique du nombre des chasseurs chaque année, nous ne pouvons que nous féliciter de ce suc-cès !

Il ne pouvait y avoir d’assemblée gé-nérale sans évoquer le futur Schéma départemental et le projet de libéra-lisation de l’agrainage. Une nouvelle fois nous ne croyons pas aux vertus d’une telle mesure et nous ne pou-vons approuver l’idée, même si elle

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Serge Tauzin, Président d’honneur... et cuisinier pour l’occasion !!!

est assortie d’un certain nombre de garde-fous. La chasse mérite mieux que l’artificialisation du milieu par le nourrissage, même de dissuasion, et la réglementation si on la veut appli-cable doit rester la plus simple pos-sible.

A l’issue de l’approbation du rapport moral, la trésorière, Thérèse Rigolet

a présenté son rapport financier, lui aussi approuvé à l’unanimité des pré-sents.

La première partie de l’Assemblée Générale s’est terminée par un expo-sé sur la Vénerie, présentée par Jean-

Jacques Janssen, veneur depuis plus de 40 ans. Celui-ci nous a fait partager sa passion et quelques anecdotes et a fait découvrir à certains d’entre nous cette discipline mal connue des chas-seurs à tir.

Après l’assemblée les participants se sont retrouvés autour de l’apéritif et du barbecue traditionnel.

A ce sujet, on remerciera encore une fois Alain Sénéchal pour sa précieuse contribution au barbecue artisanal, et la société de chasse de Vayres en la personne de Michel Ambiaud pour le prêt de la friteuse !

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Nous sommes désormais en mesure de vous énoncer les condi-tions des déplacements au camp de Suippes.

Deux journées de chasse ont été retenues auprès des organisateurs, il s’agit des samedis 22 novembre et 20 décembre. Pour chacune de ces 2 journées, 12 places ont été réser-vées et les validations se feront dans l’ordre d’arrivée des inscriptions accompagnées des règlements cor-respondants. (Malheureusement, suite au succès rencontré les organisateurs ont déci-dé de faire passer le prix de base de la journée de 150 à 200 €).

Afin d’obtenir l’envoi d’un dossier, les adhérents intéressés doivent contac-ter Jean-Claude Caramella, au06 77 15 49 33 ou par [email protected]

Le camp de 13500 ha se situe dans le département de la Marne, à une quaran-taine de kilomètres au sud-est de Reims.

Voici les conditions du voyage :Départ le vendredi soir vers 16h en groupe de 3 personnes par voiture (4x4 si possible, car déplacement en voiture à l’intérieur du camp).

Dîner dans un restaurant de Suippes (environ 20 €)Une nuit d’hôtel dans le camp ou en chambre d’hôtes (environ 30 €). Possibilité également d’effectuer le déplacement le samedi matin.Le samedi, RV 7h15 pour inscription, attribution des postes, consignes de tir et de sécurité.

Deux grandes traques dans la jour-née, une le matin, une l’après midi, entrecoupée de la pause déjeuner avec le casse-croûte sorti du sac. Prix de la journée 200 € + taxes d’abattage établies selon le tarif ci-dessous :Sanglier : 10 €Faon et biche : 20 €Daguet : 290 €Cerf C1 : 410 €

Le plan de chasse annuel est de 250 grands cervidés et environ 500 san-gliers répartis en 22 journées.

Les participants de ces journées « découverte » sont autorisés à tirer tous les cervidés à l’exception des C2 réservés aux actionnaires. Tous les sangliers peuvent être mis au ta-bleau en début de saison, restriction à moins de 65 kg ensuite.

Une caution de 500 € est demandée à l’inscription, ainsi que le permis de chasser national ou en cours de validité pour le département de la

Marne accompagné de son timbre grand gibier et de l’attestation d’as-surance.

Vers 17h, fin de la chasse, retour au RV et distribution de la venaison vers 18h.

Budget à prévoir, environ 250 € + taxes d’abattage + frais de route.

ATTENTION : Déplacement limité à 12 fusils par journée, les ins-criptions se feront dans l’ordre d’arrivée, et seul le versement du prix de la journée et de la caution attestera de l’inscription.

Nous rappelons que l’association ne tire aucun revenu ou bénéfice de ces journées de chasse. Nous nous chargeons uniquement des réservations et de l’organisation des déplacements. Nous ne pou-vons en aucun cas garantir la réus-site et le déroulement de ces jour-nées.

Chasse « découverte » chez les militaires

Remises spécifiques aux adhérents ADCGGE, sur présentation de leur carte, en cours de validité

Les événements de septembre

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Septembre est un mois particuliè-rement riche en événements cyné-gétiques. L’ouverture générale est proche et chacun s’apprête à fourbir et compléter son matériel, à faire ses derniers achats en vue de la future saison. C’est ainsi que nous avons participé successivement à la soirée de la chasse de Décathlon, au ball-trap de Vayres, et au festival de la terre des jeunes agriculteurs d’Île de France au Coudray-Montceaux

La soirée Décathlon

Le ball-trap de Vayres

Le vendredi 5 septembre a eu lieu la soirée Décathlon. La communication de l’enseigne ayant été plus forte que d’habitude, nous avons eu la visite de nombreux chasseurs et adhérents. Des contacts ont été pris et quelques visiteurs se sont montrés intéressés par le Brevet et l’association.

Notre participation au ball-trap de Vayres est désormais tradition-nelle. Chaque année, nous installons notre laser shot avec le programme de tir sur sangliers, petits et grands testent leur adresse dans la bonne humeur. Cette année Saint-Hubert a bien voulu nous gratifier d’une jour-née ensoleillée ce dimanche 7 sep-tembre. Les tireurs de ball-trap sont venus en nombre et certains d’entre eux n’ont pas hésité à changer le fusil de trap pour la carabine laser. En fin de journée nous avons pu remettre une coupe et un gilet de chasse offert par la société de chasse de Vayres à un jeune participant, à la fois premier des jeunes et premier de la journée avec un résultat de 24300 points !Nous lui présentons encore une fois toutes nos félicitations

Nous rappelons nos accords avec le magasin Décathlon de Brétigny sur Orge ; les adhérents ADCGGE sur présentation de leur carte, bé-néficient pendant toute la saison d’une remise de 10% sur le rayon chasse, y compris sur les balles. Par contre sont exclus de la remise, les cartouches de chasse à plombs, ainsi que les produits faisant déjà l’objet de promotions particulières.

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Le Festival de la Terre des jeunes agriculteurs d’Île de France

Le 14 septembre dernier, à l’initia-tive des jeunes agriculteurs d’Île de France et de l’Essonne s’est déroulée le 61ème festival de la terre au Cou-dray-Montceaux.

En cette journée ensoleillée de sep-tembre, les visiteurs ont été très nombreux et ont ainsi pu décou-vrir notre région autrement. L’Île de France, outre son caractère urbain est aussi un territoire agricole et ru-ral, et nos jeunes agriculteurs ont fait preuve d’imagination et d’audace pour le démontrer.

ACHATS - VENTES - RÉPARATIONSZ.A. de Bel Air, 18 rue Pierre Métairie - 78120 RAMBOUILLET - Tél : 01 30 59 20 89

Remises spécifiques aux adhérents ADCGGE, sur présentation de leur carte, en cours de validité

De nombreuses attractions étaient proposées, parmi elles, courses de tracteurs tondeuses, concours de labour avec tracteurs et chevaux de trait, marché du terroir, spectacles équestre et canin, ferme pédago-gique, baptême d’hélicoptère, tours de tracteurs et de poneys, démons-tration de matériel agricole ancien, etc.

Notre association était présente pour cette journée de fête à laquelle nous avait convié Philippe Lejour, major de la promotion du Brevet 2014. Ce fut également pour nous l’occasion de faire découvrir à des néophytes les aspects de la chasse gestion et le mérite de nos valeurs.

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Parfum de savaneUne carabine calibre 8x57 JS à l’essai

Dans le cadre d’un partenariat entre l’ANCGG et la société RIVOLIER (Importateur bien connu d’armes et optiques pour la chasse, et notam-ment des marques Blaser, Reming-ton et Zeiss), il a été prêté à notre as-sociation une carabine R8 Blaser Pro calibre 8x57 JS (ou IS) pour la saison 2014/2015.

Il s’agit de tester durant toute une saison, ce nouveau calibre autorisé pour la chasse en France depuis le 6 septembre 2013.

Nous avons donc reçu courant août, cette arme aimablement prêtée par les Ets Rivolier, accompagnée de ses munitions et d’une lunette de battue Zeiss Victory HT 1,1-4x24.

Deux autres ensembles «carabine + lunette» ont été envoyés dans le même temps à 2 autres Associations Départementales, une carabine en calibre 30-06 avec lunette mixte 1,5-6x42 pour le département de la Drôme, et une autre en calibre 308 W avec lunette de battue 1,25-4x24 pour le département de la Gironde.

Chaque AD a pour mission de don-ner un avis d’utilisateur concernant ces 3 nouveaux calibres et leur effi-

cacité à la chasse, ainsi à l’issue de la saison, un article complet sera consacré à ces bancs d’essai dans «Grande Faune».

Sans trahir les secrets de ce futur article, puisque nous n’avons pas en-core pu tester notre arme dans des conditions réelles de chasse, nous vous livrons ci-dessous les premières impressions tirées d’une séance col-lective de tir au sanglier courant le dimanche 31 août dernier. Onze ad-ministrateurs ont tiré tour à tour 10 balles chacun, soit 110 balles tirées avec la même arme en une matinée de 3 heures.

Pour :• Calibre très doux, peu ou pas de

recul ressenti par les utilisateurs• Crosse synthétique peu fragile et

pratiquement sans entretien, prise en main agréable

• Couple arme-lunette parfaitement coordonné malgré les morpholo-gies différentes des 11 tireurs

• Mécanisme de réarmement auquel il faut s’habituer bien sûr, surtout

pour les utilisateurs habituels de double express ou de semi-auto, mais extrêmement fiable.

Contre :• Un poids plutôt excessif avec un

ensemble de 4 kg environ. (L’arme est quasiment inutilisable pour une femme). Par contre, évidem-ment ce poids joue incontestable-ment un rôle modérateur sur le recul.

• Une esthétique peu agréable fai-sant penser plutôt à un jouet qu’à une arme de chasse (il est vrai compensé par la robustesse)

Une suggestion pour le construc-teur... Ne serait il pas possible de fabriquer des crosses synthétiques imitation ronce de noyer ? Au même titre que l’on ne trouvait que des volets PVC blancs il y a quelques années, gamme maintenant com-

plétée par des volets PVC imitant parfaitement le bois.

Une heureuse initiative...

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L’ouverture générale de la chasse est toujours l’occasion pour les Rac, Roc et autres associations soit-di-sant écolos ou naturistes de se faire inviter par les médias et marquer leur opposition à notre passion. Contre-vérités, approximations, mé-disances, en l’absence bien sûr d’un contradicteur, sont avancées avec pour objectif de limiter le droit de chasse, réclamer le dimanche sans chasse, la suppression de modes de chasses traditionnelles, etc…

Pendant trop d’années nos instances n’ont su ou voulu suffisamment promouvoir la chasse. L’an passé, rompant avec cet abandon, la FNC a édité une excellente plaquette pas assez connue, intitulée « Stop aux idées reçues ». Elle a initié, avec un succès certain, l’invitation à une journée de chasse « un dimanche de chasse » permettant de faire décou-vrir la réalité de notre loisir.

Toutefois l’action de la FNC doit être sur le terrain relayée par nous, chasseurs. Il nous appartient en effet par notre attitude de donner

une bonne image de la chasse. Nos bruyants coups de fusil, nos vestes fluo, parfois nos tenues de camou-flage, et même nos rassemblements inquiètent les promeneurs, citadins à la recherche d’une nature calme et paisible, leur donnant un sentiment d’insécurité et parfois même une im-pression d’occupation de l’espace au détriment de leurs loisirs. A nous par notre accueil, notre sourire, notre attitude compréhensive mais égale-

ment pédagogique de montrer une image noble, raisonnable et apaisée de la chasse.

D’autres initiatives peuvent être en-visagées, comme par exemple, le fait la société de chasse de Roinville qui convie gracieusement les anciens de la commune à un déjeuner organisé par les sociétaires avec bien sûr au menu de la venaison. Voici l’extrait

d’un article de la Nouvelle Répu-blique relatant l’événement :

«Créé en 2005, le traditionnel repas des chasseurs de Roinville a eu lieu pour sa 10ème édition. Le repas était on ne peut plus local. En effet, les chas-seurs ont eux-mêmes cuisiné le gibier abattu. Une particularité qui touche beaucoup les invités, ces derniers se ré-jouissant de manger de la viande dont l’origine est certifiée. La quarantaine de personnes présentes étaient ravies de pouvoir passer quelques heures à bavarder autour d’un bon repas…. Le but est de faire plaisir aux anciens, plaisir qui fût aussi gustatif car, selon leurs dires, les convives se sont réga-lés, trouvant le repas délicieux. L’entrée composée de rillettes de chevreuil et de pâtés de faisan et de cerf, était impec-cable. Alors que dans de nombreuses villes les chasseurs ne jouissent pas d’une bonne image, à Roinville, au contraire, ils sont appréciés et remer-ciés par le plus grand nombre».

Comment ne pas saluer une telle démarche et espérer que cette expé-rience s’étende ! N’est-ce pas plus efficace que de longs discours, aussi bien argumentés soient-ils ? Notre avenir nous appartient, réagissons si on ne veut pas écrire notre dernière page.

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La disparition officielle du loup date de 1937 où les derniers représentants de l’espèce auraient été abattus en Charente et dans le Limousin. Depuis la fin de ces années 30 et jusqu’en 1992, le loup fut considéré en France comme éradiqué.

Son retour est officialisé le 5 novembre 1992 dans le parc du Mercantour (Alpes Maritimes) où un premier couple a pu être observé. Il s’agit de loups en pro-venance d’Italie où les populations, contrairement à la France n’avaient jamais totalement disparues.

Depuis Canis Lupus colonise départe-ment par département et aujourd’hui on ne compte pas moins de 30 dépar-tements sur lesquels sont signalés des ZPP (Zones de Présence Permanente). Le dernier département concerné ne se situe plus en montagne, mais en plaine. En effet, fin août 2014 un loup a tué un veau et blessé une vache dans un enclos de la Meuse. Cela porte à 76 le nombre d’animaux tués dans ce dépar-tement qui jusque là avait été épargné par le canidé.

Le Cerpam (Centre d’études et de réali-sations pastorales Alpes Méditerranée) signale une très forte recrudescence de la population en France. Elle a fait son apparition dans cinq nouveaux dépar-

Le loup, bientôt en Île de France ?

tements cette année. On estime ses effectifs à 300 adultes à la fin de l’été, soit 20 % de plus que l’an dernier, sans compter une centaine de louveteaux de l’année. Rien que dans les Alpes-Ma-ritimes, on recense sur les six premiers mois de l’année 1048 animaux morts à la suite d’attaques à répétition du loup, soit 42 % du total des animaux tués en France, un chiffre en hausse de 24 % par rapport à l’an dernier.

La première raison qui explique cette croissance exponentielle est la surprotection du prédateur. La convention de Berne et la directive européenne Habitats interdisent aux éleveurs de tirer sur les loups pour défendre leurs troupeaux. Le nombre de prélèvements est fixé par décret à 24 au total pour toute la France, avec un quota de 12 prélèvements supplé-mentaires, accordé depuis mai dernier, pour calmer la colère et le désarroi des éleveurs. Les battues officielles se sont pour le moment révélées peu effi-caces, en effet il n’a été prélevé que 11 loups jusqu’à maintenant dans toute la France.

Le taux d’accroissement annuel de l’es-pèce se situe aux alentours de 20 %. Le loup est un super-prédateur, il n’a pas de concurrence avec d’autres espèces. Néanmoins, la croissance actuelle de

cette population ne se situe pas à son maximum biologique : avec des para-mètres de survie et de fécondité au maximum théorique, le taux de crois-sance peut atteindre 40 %. Certains experts estiment ainsi à plus de 700 le nombre de loups en France en 2020. En absence de gestion contrôlée, on ima-gine facilement l’expansion de Canis Lupus ! Par ailleurs, sans la pression de la chasse, le loup est de moins en moins craintif. Le canidé attaque désormais autant le jour que la nuit, aussi bien dans les alpages qu’en plaine, y compris en présence des hommes et des chiens.

Comment les loups s’implantent-ils sur de nouveaux territoires ?Des loups quittent la meute à deux pé-riodes de l’année : avant l’hiver, quand il y a concurrence pour l’alimentation au sein de la meute car les jeunes de l’année ont besoin de presque autant de nourriture que les adultes ; et à la fin de l’hiver, au moment du rut, quand il y a conflit pour accéder au statut de reproducteur. Ces animaux cherchent alors un nouveau territoire et peuvent parcourir 40 à 50 km par nuit. Au final, ils s’installent en moyenne à 200 km de la meute d’origine.

Comment choisissent-ils leur habitat ?On ne sait pas pourquoi un loup s’installe quelque part si ce n’est qu’il cherche un territoire avec de la nour-riture. Son régime alimentaire est composé de 75  % à 90 % d’animaux sauvages (comme les chevreuils ou les chamois) et de 25 % à 10 % d’animaux domestiques (des moutons et, de temps en temps, de jeunes bovins et caprins). Il mange en moyenne 2 à 3 kg de viande par jour, mais peut jeûner plusieurs jours et compenser ensuite.

17% des communes en présence occa-sionnelle. L’extension géographique touche principalement les nouveaux départements colonisés du Massif Cen-tral (Lozère) et du Nord Est (Vosges, Haute-Marne, Meuse). La grosse majo-rité de cette augmentation du nombre de communes en présence régulière s’observe sur des territoires déjà détec-tés l’an dernier en présence occasion-nelle, notamment dans les Alpes de Haute-Provence, les Alpes-Maritimes et le Var.

Sans tomber dans un pessimisme exa-géré, on peut aisément imaginer la pré-sence de Canis Lupus aux portes de Pa-ris d’ici quelques années. Le législateur serait bien inspiré d’élargir la gestion de l’espèce aux chasseurs. Il ne s’agit pas bien sûr de retomber dans une éradi-

cation de l’espèce, mais seulement de limiter l’expansion de son ère de répar-tition et les risques liés à la colonisation de l’animal dans les territoires où il est et restera indésirable.

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Mais le loup peut biologiquement vivre n’importe où, dans les montagnes, les forêts, les grandes plaines agricoles, les déserts froids, les régions chaudes, etc. Il n’y a pas grand-chose qui l’arrête, il n’est par exemple pas inféodé aux fo-rêts dans ses déplacements. C’est vrai-ment une espèce qui s’adapte à tous les écosystèmes. C’est d’ailleurs le mammi-fère terrestre qui a eu l’aire de réparti-tion historique la plus large au monde : l’hémisphère Nord.

Peuvent-ils se rapprocher des villes ?Les loups peuvent passer près de zones habitées mais ce n’est pas quelque chose qu’ils recherchent ; il n’y a pas assez de nourriture dans les villes et, comme tous les animaux sauvages, ils craignent la présence humaine et le bruit.

Économiquement, la protection du loup coûte près de 12 millions d’euros au budget de l’État. Quelque 10 millions d’euros financés par le budget agricole servent à aider les éleveurs à investir dans la protection des troupeaux par le biais de clôtures et d’heures de sur-veillance humaine avec la présence de bergers.

Par ailleurs, le ministère de l’Écolo-gie prend en charge les indemnisa-tions des animaux tués par les loups. Elles ont triplé entre 2008 et 2013 et atteignent plus de 2 millions d’euros pour 6195 bêtes tuées l’an dernier. Ce sont des moutons à 95 %, le reste étant des chèvres, des bovins ou des équins. Désemparés, les élus et les éleveurs des territoires concernés exigent un déclas-sement du loup de la convention de

Berne de façon à faciliter la régulation du prédateur. L’Espagne est souvent citée en exemple car ce pays, pourtant membre de l’Union européenne, permet aux éleveurs de se défendre en tuant des loups sans pourtant exterminer l’espèce. Il s’en tue environ 200 par an de l’autre côté des Pyrénées.

De son coté l’ONCFS, à l’aide d’un réseau d’observateurs dissé-miné sur le territoire, établi le bilan de la progression du loup. L’exercice 2014 (tableau ci-contre, années 2013/2014 cumulées) révèle une progression du nombre de com-munes de présence régulière du loup de 14%, associé à une progression de

Évolution du nombre de communes de présence du loup en France depuis 1994 et état de la distribution de l’espèce en début d’année 2014

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Torfou,Essonne (10 km au sud d’Arpajon). Places pour la saison 2014-2015 : 3 samedis et 14 dimanches, terri-toire de 490 hectares (280 ha de plaine, 210 ha de bois) surveillé et piégé. 11 chasses en groupe au petit gibier (naturel + lâchers) + 6 battues au grand gibier. Petit et grand gibiers ne sont pas chassés sur les mêmes parcelles. 18 chevreuils (21 bracelets) et 12 sangliers prélevés la saison dernière. Rendez-vous de chasse. 1670 € pour les 17 chasses, pièce au garde incluse. Possibilité de ne venir qu’aux battues grand gibier (760 €). Tableau partagé. Visite du territoire sur rendez-vous.Roch Bommelaer : 06 07 42 71 67...Chamarande

Essonne (10 km au nord d’Étampes).Places pour la saison 2014-2015 : chasse du mercredi au marais de Chagrenon, uniquement au grand gibier.Territoire surveillé. 4 chasses dans la saison. 6 chevreuils (7 bracelets) et 9 sangliers prélevés la saison dernière. Rendez-vous de chasse.540 € pour les 4 chasses, pièce au garde incluse. Tableau partagé. Visite du territoire sur rendez-vous.Roch Bommelaer : 06 07 42 71 67.

Ce N° 119 de l’Affût a été en-voyé, en version électronique,

à tous les adhérents ayant communiqué leur adresse

mail.Si vous avez reçu la version papier, et que vous souhai-

tez, à l’avenir, recevoir votre journal par mail, merci de

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par mail aux adhérents ; dates d’ouvertures, fermetures, arrêtés,

manifestations diverses, etc.)

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Jean-Claude Bernar-don nous a fait parve-nir ces photos prises en novembre 2013 dans le département de l’Eure et Loir. Il semble que l’espèce cerf s’y porte parfaite-ment bien !

ADCGGE - Association loi du 1er juillet 1901, enregistrée sous le n° W911001127 4 chemin des Bergers - Hameau de Marchais - 91410 ROINVILLE - 01 64 59 30 27 - 06 16 47 02 37 -

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Association Départementale des Chasseurs de Grand Gibier de l’Essonne

Brevet Grand Gibier - Année 2015 La chasse évolue. Le grand gibier s’est considérablement développé dans notre pays. Après avoir géré la pénurie, il nous faut maintenant apprendre à maîtriser les populations. Le Brevet Grand Gibier, dont le but est d’améliorer la qualification des chasseurs, constitue aujourd’hui une réelle et sérieuse référence cynégétique, notamment pour les responsables de chasse. Dans notre département, les huit cours de préparation se déroulent à La Maison de la Chasse et de la Nature à Boutigny sur Essonne, le vendredi soir à partir de 20h00 tous les 15 jours, dès le mois de janvier 2015. Ils sont dispensés par des animateurs spécialisés et des professionnels reconnus. Une sortie sur le terrain (reconnaissance des essences, des empreintes, des indices, etc.), trois séances de révision et un examen blanc vous aideront à vous préparer. L’épreuve de tir sur cible fixe et sanglier courant (examen pratique) se déroulera en mars sur notre stand de Boissy le Cutté. L’examen théorique aura lieu à Boutigny sur Essonne fin mai, début juin 2015. Le montant de l’inscription (adhésion à l’association, accès au stand de tir, inscription aux cours, frais d’examen…) se monte à 150 €. Un tarif spécial est consenti pour les conducteurs de chien de sang agréé, les garde-particuliers, les jeunes chasseurs, les nouveaux chasseurs. Cette année, une soirée d’information est organisée, le vendredi 19 décembre 2014, à la Maison de la Chasse et de la nature de Boutigny sur Essonne, à partir de 20h30.

Si vous êtes intéressé, Merci de retourner dès que possible le bulletin ci-dessous à :

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Bulletin d’inscription à la soirée d’information du BREVET GRAND GIBIER – Session 2015

Nom : …………………………………………………………. Prénom : ………………………………………………..

Adresse : ………………………………………………………………………………………………………………………………..

Code postal : ………………………………………………. Commune : …………………………………………….

Tel domicile : ………………………………………………. Tel port : ………………………………………………..

Adresse mail : ………………………………………………………………………………………………………………………..

Participera à la soirée d’information du Brevet le 19 décembre 2014.

Pour tout renseignement, contacter :

Marc TAILLANDIER par tel au 06 73 68 03 02 ou par mail : [email protected]

Fait à : ………………………………………. Le ……………………………….. Signature