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SAMEDI 12 NOVEMBRE 2011 LE NOUVELLISTE SIERRE RÉGION 13 La BPCO est souvent sous- diagnostiquée chez les femmes. www.stop-bpco.ch imedia Vous avez plus de 45 ans et vous êtes fumeur ? Faites le test de la BPCO ! La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) est communément appelée la toux du fumeur. PUBLICITÉ Qui n’a pas admiré le magnifi- que paysage de haies et de champs qui monte le long du cône de la Souste? 50 élèves du cycle d’orientation (CO) de Loè- che l’ont fait à la sueur de leur front, hier au hameau de Plet- schen. Sous la direction du garde forestier Pascal Walther, ils ont pratiqué une journée thé- matique qui leur a fait mettre la main à l’ouvrage. «Ce paysage de haies est un hé- ritage culturel», explique Pascal Walther. «Il fait partie du parc naturel de Finges et se trouve, de ce fait, protégé comme site d’im- portance nationale à l’Inven- taire fédéral des paysages et mo- numents naturels (BLN).» De loin, les choses paraissent intouchées. Mais de près, l’on constate la dégradation venue non pas de l’homme cette fois, mais de la nature elle-même. Faute d’entretien, il y a trop de hêtres, de bouleaux, de peu- pliers, de chênes et même de noisetiers. Ce qu’il faut, ce sont des buis- sons et des arbustes et un bon équilibre entre la végétation haute et la végétation basse. Au- trefois, les paysans y veillaient. Leurs haies contenaient de très nombreux arbustes à baies, bons pour la nourriture des oiseaux. On pouvait également en tirer des tisanes et toutes sortes de médications. Les paysans d’au- jourd’hui n’ont plus tellement le temps et la commune ne peut guère suivre. Ecoliers à la rescousse Alors, les élèves du CO de Loè- che sont venus à la rescousse. Hier, ils étaient à l’œuvre avec trois de leurs professeurs et deux gardes forestiers. Ils ont coupé et arraché les pousses et les arbris- seaux indésirables. Ils ont curé les canaux et reproduit les tas de broussailles si favorables aux ca- chettes de toutes sortes d’espè- ces animales. Ce bel effort a duré toute la journée. Car il y en a des hectares à nettoyer, là-haut. Les quatre groupes d’élèves motivés en ont fait une partie. Des jeunes s’étaient mis torse nu, tant ils avaient chaud. Et quand ces cinquante jeunes gens auront terminé leur travail, d’autres prendront le relais à l’occasion d’un programme sui- vant. PASCAL CLAIVAZ LOÈCHE-LA SOUSTE Des haies mourantes le long du cône. Des écoliers passés jardiniers Sous la direction du garde forestier Pascal Walther, des élèves du CO de Loèche travaillent à la régénération du paysage de haies à Pletschen/ La Souste. LE NOUVELLISTE EN MARGE D’UN SPECTACLE AUX HALLES Rencontre avec le public En marge du spectacle «La se- conde surprise de l’amour», de Marivaux, joué par les acteurs du Théâtre du Brandon et qui sera présenté du 29 novembre au 3 décembre aux Halles, les activi- tés suivantes sont présentées: lundi 14 novembre à 14 heures, répétition publique pour les éco- les, aux Halles, où les élèves sont invités par l’équipe artistique et où ils pourront échanger sur le travail en cours; mardi 15 no- vembre à 18 h 30, lecture-apéri- tif des acteurs à la bibliothèque- médiathèque de Sierre (réservations au 027 452 02 60). Le vendredi 18 novembre à 20 heures, projection du film «Le jeu de l’amour et du hasard» en présence de la réalisatrice Elena Hazanov (aux Halles, réserva- tions au 027 455 70 30). Vendredi 2 décembre, à l’issue de la représentation de la se- conde surprise de l’amour – qui raconte l’histoire d’une jeune veuve s’enfermant dans ses ap- partements pour y pleurer jour et nuit la perte de son mari... –, ren- contre avec le public en présence des comédiens et du metteur en scène du spectacle, Marine Billon. CD CABARET EDELWEISS Théâtre. Samedi 12 novembre à 20 h à Chalais, la compagnie Mot à Mot présente trois comédies de Cervantes. PFYN-FINGES Excursion. Ce samedi 12 novembres apprenez à connaître les poissons qui vivent à Finges. Un repas est prévu ce soir. Inscription au 027 452 60 60. HÔTEL DE VILLE SIERRE Le chemin de l’Eldorado. Le Brésil, le Venezuela, les Caraïbes, trois lieux d’exception qui ont incité Pierre Dubois à entreprendre une expédition de 10 000 km, pour 14 mois d’exploration. Un film d’action et d’émotion aux images superbes à voir mercredi 16 novembre à 19 h 30 à la grande salle de l’Hôtel de Ville. Organisation: Unipop Sierre. ESPACE INTERCULTUREL SIERRE Ateliers. Jeudi 17 novembre à 14 h, atelier témoignage, avec Liubov Cina, originaire de Moscou, qui parlera de son intégration sociale et professionnelle réussie à Sierre. Vendredi 18 novembre à 14 h 30 (changement de date), atelier gym et bien-être avec Renate Katzgrau. MÉMENTO Facebook n’oublie jamais! CHRISTIAN DAYER Sébastien Fanti est clair: les ré- seaux sociaux et les blogs ont en- gendré une prolifération des données personnelles sur le web et vous n’avez plus le contrôle de ces données. Un exemple pour illustrer ces propos. «Celui d’un employé qui se porte malade et qui ne va pas travailler. Sur sa page Facebook, il écrit qu’il est pâle parce qu’il a fait la noce la veille et il joint même des photos de ses exploits. Son patron va consulter sa page. Vous pouvez aisément deviner la suite... Un au- tre exemple est celui de cette mère de famille qui se baignait seins nus sur une plage. Des photos d’elle cir- culent peu après sur Facebook. Pire encore, ces mêmes photos font bientôt la une d’un site X. Vous imaginez la tête de son mari et de ses enfants.» «En donnant vos informations personnelles sur le Net, c’est bien pire que si vous donniez votre carte d’identité au premier venu. En re- coupant ces informations, certains peuvent savoir quelles sont vos ha- bitudes, vos passions, vos désirs. Ces données qui vous concernent intéressent les entreprises. Votre enfant joue au foot. Il est fan de Lionel Messi et il porte toujours des baskets de marque. Alors il est un client rêvé pour les fabricants d’articles de sport» a lancé Sébas- tien Fanti. Problématiques d’actualité Durant 1 h 30, l’avocat sédu- nois, expert mondial en matière de propriété intellectuelle, va captiver son auditoire en multi- pliant les exemples que ses clients ont vécus sur la Toile, tout comme lui. Mais que peut-on faire pour éviter ces dérapages? «Tant que la transparence ne sera pas assu- rée, vous ne saurez pas ce qu’il ad- vient de vos données. Et il sera très difficile de faire disparaître des in- formations personnelles alors que le siège de Facebook, par exemple, est aux Etats-Unis. Que ces gens viennent en Europe et là nous pourrons faire respecter nos lois». Pour Gérard Clivaz, directeur de l’Ecole professionnelle de Martigny et organisateur du rendez-vous sierrois des direc- teurs d’écoles professionnelles, l’intervention de M. Fanti a été hautement appréciée. Elle a per- mis de répondre aux attentes des directeurs d’écoles, tout en les mettant en garde contre les sites de réseautage du web. «Les conte- nus du programme de ces deux jours de rencontre sont des problé- matiques d’actualité. En débattant sur les thèmes comme les réseaux sociaux, le partenariat avec le monde du travail, la conduite des établissements de formation pro- fessionnelle, nous visons des objec- tifs qualitatifs dans un environne- ment professionnel et une société qui sont en constante évolution» relève Gérard Clivaz. En soirée, les directeurs d’écoles ont partagé un repas valaisan au château de Villa. Parions donc qu’ils ont prolon- gé la discussion autour d’un verre de blanc... et autour de Facebook. Sébastien Fanti, expert mondial reconnu en matière de propriété intellectuelle, a parlé des périls qui menacent les utilisateurs de Facebook. INFONOUVELLISTE UNE PREMIÈRE EN VALAIS C’est la première fois que le canton du Valais accueille la conférence du réseau latin des directeurs d’écoles professionnelles qui existe depuis quatre ans et qui regroupe une qua- rantaine d’établissements canto- naux de la Suisse romande et du Tessin. «Chaque année, un canton différent organise cette conférence et c’est le Valais qui la met sur pied en 2011. Mon rôle est d’organiser cette rencontre en collaboration avec Jean-Louis Maillard, directeur du Centre de formation profession- nelle de Sion» souligne Gérard Cli- vaz, directeur de l’Ecole profession- nelle de Martigny. Les objectifs du réseau sont nombreux. Les plus importants sont l’amélioration de la circu- lation de l’information, le développement de la formation continue de l’en- semble du personnel des centres ou le développement des outils de veille (législative, démographique, pédagogique). «La rencontre au château Mer- cier a pour objectifs de travailler à une formation professionnelle qui vise l’ex- cellence, à mieux se connaître pour mieux travailler ensemble, à favoriser la promotion de la formation professionnelle et à contribuer à la défense des spécificités romandes en formation professionnelle. La conférence de Sébas- tien Fanti sur les réseaux sociaux s’inscrit parfaitement dans ces objectifs» relève M. Clivaz. CD Les organisateurs de ces rencontres, Gérard Clivaz et Jean- Louis Maillard, directeurs d’écoles professionnelles. LE NOUVELLISTE CHÂTEAU MERCIER Invité par les directeurs d’écoles professionnelles de Suisse romande et du Tessin, Sébastien Fanti a donné des pistes pour mieux appréhender les réseaux sociaux. xd - gb

Le Nouvelliste Fanti Facebook 2011

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Page 1: Le Nouvelliste Fanti Facebook 2011

SAMEDI 12 NOVEMBRE 2011 LE NOUVELLISTE

SIERRE RÉGION 13

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La BPCO est souvent sous-diagnostiquée chez les femmes.

www.stop-bpco.ch

imedia

Vous avez plus de 45 ans et vous êtes fumeur?Faites le test de la BPCO !La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO)est communément appelée la toux du fumeur.

PUBLICITÉ

Qui n’a pas admiré le magnifi-que paysage de haies et dechamps qui monte le long ducône de la Souste? 50 élèves ducycle d’orientation (CO) de Loè-che l’ont fait à la sueur de leurfront, hier au hameau de Plet-schen. Sous la direction dugarde forestier Pascal Walther,ils ont pratiqué une journée thé-matique qui leur a fait mettre lamain à l’ouvrage.

«Ce paysage de haies est un hé-ritage culturel», explique PascalWalther. «Il fait partie du parcnaturel de Finges et se trouve, dece fait, protégé comme site d’im-portance nationale à l’Inven-taire fédéral des paysages et mo-numents naturels (BLN).»

De loin, les choses paraissentintouchées. Mais de près, l’onconstate la dégradation venuenon pas de l’homme cette fois,mais de la nature elle-même.Faute d’entretien, il y a trop dehêtres, de bouleaux, de peu-pliers, de chênes et même denoisetiers.

Ce qu’il faut, ce sont des buis-sons et des arbustes et un bonéquilibre entre la végétationhaute et la végétation basse. Au-trefois, les paysans y veillaient.Leurs haies contenaient de trèsnombreux arbustes à baies, bonspour la nourriture des oiseaux.On pouvait également en tirer

des tisanes et toutes sortes demédications. Les paysans d’au-jourd’hui n’ont plus tellement letemps et la commune ne peutguère suivre.

Ecoliers à la rescousseAlors, les élèves du CO de Loè-

che sont venus à la rescousse.Hier, ils étaient à l’œuvre avectrois de leurs professeurs et deuxgardes forestiers. Ils ont coupé etarraché les pousses et les arbris-seaux indésirables. Ils ont curéles canaux et reproduit les tas de

broussailles si favorables aux ca-chettes de toutes sortes d’espè-ces animales.

Ce bel effort a duré toute lajournée. Car il y en a des hectaresà nettoyer, là-haut. Les quatregroupes d’élèves motivés en ontfait une partie. Des jeuness’étaient mis torse nu, tant ilsavaient chaud.

Et quand ces cinquante jeunesgens auront terminé leur travail,d’autres prendront le relais àl’occasion d’un programme sui-vant.� PASCAL CLAIVAZ

LOÈCHE-LA SOUSTE Des haies mourantes le long du cône.

Des écoliers passés jardiniers

Sous la direction du garde forestier Pascal Walther, des élèves du CO deLoèche travaillent à la régénération du paysage de haies à Pletschen/La Souste. LE NOUVELLISTE

EN MARGE D’UN SPECTACLE AUX HALLES

Rencontre avec le publicEn marge du spectacle «La se-

conde surprise de l’amour», deMarivaux, joué par les acteurs duThéâtre du Brandon et qui seraprésenté du 29 novembre au 3décembre aux Halles, les activi-tés suivantes sont présentées:lundi 14 novembre à 14 heures,répétition publique pour les éco-les, aux Halles, où les élèves sontinvités par l’équipe artistique etoù ils pourront échanger sur letravail en cours; mardi 15 no-vembre à 18 h 30, lecture-apéri-tif des acteurs à la bibliothèque-médiathèque de Sierre(réservations au 027 452 02 60).

Le vendredi 18 novembre à 20heures, projection du film «Lejeu de l’amour et du hasard» enprésence de la réalisatrice ElenaHazanov (aux Halles, réserva-tions au 027 455 70 30).

Vendredi 2 décembre, à l’issuede la représentation de la se-conde surprise de l’amour – quiraconte l’histoire d’une jeuneveuve s’enfermant dans ses ap-partements pour y pleurer jour etnuit la perte de son mari... –, ren-contre avec le public en présencedes comédiens et du metteur enscène du spectacle, MarineBillon.� CD

CABARET EDELWEISSThéâtre. Samedi 12novembre à 20 h à Chalais, lacompagnie Mot à Mot présentetrois comédies de Cervantes.

PFYN-FINGESExcursion. Ce samedi 12novembres apprenez àconnaître les poissons quivivent à Finges. Un repas estprévu ce soir.Inscription au 027 452 60 60.

HÔTEL DE VILLE SIERRELe chemin de l’Eldorado.Le Brésil, le Venezuela, lesCaraïbes, trois lieux d’exceptionqui ont incité Pierre Dubois àentreprendre une expédition de10 000 km, pour 14 moisd’exploration.Un film d’action et d’émotionaux images superbes à voirmercredi 16 novembre à 19 h 30à la grande salle de l’Hôtel deVille. Organisation: UnipopSierre.

ESPACE INTERCULTURELSIERREAteliers. Jeudi 17 novembre à14 h, atelier témoignage, avecLiubov Cina, originaire deMoscou, qui parlera de sonintégration sociale etprofessionnelle réussie à Sierre.Vendredi 18 novembre à 14 h 30(changement de date), ateliergym et bien-être avec RenateKatzgrau.

MÉMENTO

Facebook n’oublie jamais!

CHRISTIAN DAYER

Sébastien Fanti est clair: les ré-seaux sociaux et les blogs ont en-gendré une prolifération desdonnées personnelles sur le webet vous n’avez plus le contrôle deces données.

Un exemple pour illustrer cespropos. «Celui d’un employé quise porte malade et qui ne va pastravailler. Sur sa page Facebook, ilécrit qu’il est pâle parce qu’il a faitla noce la veille et il joint même desphotos de ses exploits. Son patron

va consulter sa page. Vous pouvezaisément deviner la suite... Un au-tre exemple est celui de cette mèrede famille qui se baignait seins nussur une plage. Des photos d’elle cir-culent peu après sur Facebook.Pire encore, ces mêmes photos fontbientôt la une d’un site X. Vousimaginez la tête de son mari et deses enfants.»

«En donnant vos informationspersonnelles sur le Net, c’est bienpire que si vous donniez votre carted’identité au premier venu. En re-coupant ces informations, certains

peuvent savoir quelles sont vos ha-bitudes, vos passions, vos désirs.Ces données qui vous concernentintéressent les entreprises. Votreenfant joue au foot. Il est fan deLionel Messi et il porte toujoursdes baskets de marque. Alors il estun client rêvé pour les fabricantsd’articles de sport» a lancé Sébas-tien Fanti.

Problématiques d’actualitéDurant 1 h 30, l’avocat sédu-

nois, expert mondial en matièrede propriété intellectuelle, va

captiver son auditoire en multi-pliant les exemples que sesclients ont vécus sur la Toile,tout comme lui.

Mais que peut-on faire pouréviter ces dérapages? «Tant quela transparence ne sera pas assu-rée, vous ne saurez pas ce qu’il ad-vient de vos données. Et il sera trèsdifficile de faire disparaître des in-formations personnelles alors quele siège de Facebook, par exemple,est aux Etats-Unis. Que ces gensviennent en Europe et là nouspourrons faire respecter nos lois».

Pour Gérard Clivaz, directeurde l’Ecole professionnelle deMartigny et organisateur durendez-vous sierrois des direc-teurs d’écoles professionnelles,l’intervention de M. Fanti a étéhautement appréciée. Elle a per-mis de répondre aux attentes desdirecteurs d’écoles, tout en lesmettant en garde contre les sitesderéseautageduweb.«Lesconte-nus du programme de ces deuxjours de rencontre sont des problé-matiques d’actualité. En débattantsur les thèmes comme les réseaux

sociaux, le partenariat avec lemonde du travail, la conduite desétablissements de formation pro-fessionnelle, nous visons des objec-tifs qualitatifs dans un environne-ment professionnel et une sociétéqui sont en constante évolution»relève Gérard Clivaz.

Ensoirée, lesdirecteursd’écolesont partagé un repas valaisan auchâteau de Villa.

Parions donc qu’ils ont prolon-gé la discussion autour d’unverre de blanc... et autour deFacebook.�

Sébastien Fanti, expert mondial reconnu en matière de propriété intellectuelle, a parlé des périls qui menacent les utilisateurs de Facebook. INFONOUVELLISTE

UNE PREMIÈRE EN VALAISC’est la première fois que le cantondu Valais accueille la conférence duréseau latin des directeurs d’écolesprofessionnelles qui existe depuisquatre ans et qui regroupe une qua-rantaine d’établissements canto-naux de la Suisse romande et duTessin. «Chaque année, un cantondifférent organise cette conférenceet c’est le Valais qui la met sur pieden 2011. Mon rôle est d’organisercette rencontre en collaborationavec Jean-Louis Maillard, directeurdu Centre de formation profession-nelle de Sion» souligne Gérard Cli-vaz, directeur de l’Ecole profession-nelle de Martigny. Les objectifs duréseau sont nombreux. Les plus importants sont l’amélioration de la circu-lation de l’information, le développement de la formation continue de l’en-semble du personnel des centres ou le développement des outils de veille(législative, démographique, pédagogique). «La rencontre au château Mer-cier a pour objectifs de travailler à une formation professionnelle qui vise l’ex-cellence, à mieux se connaître pour mieux travailler ensemble, à favoriser lapromotion de la formation professionnelle et à contribuer à la défense desspécificités romandes en formation professionnelle. La conférence de Sébas-tien Fanti sur les réseaux sociaux s’inscrit parfaitement dans ces objectifs»relève M. Clivaz. CD

Les organisateurs de cesrencontres, Gérard Clivaz et Jean-Louis Maillard, directeurs d’écolesprofessionnelles. LE NOUVELLISTE

CHÂTEAU MERCIER Invité par les directeurs d’écolesprofessionnelles de Suisse romande et du Tessin, Sébastien Fantia donné des pistes pour mieux appréhender les réseaux sociaux.

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