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n°17, mars 2015 Le portrait du mois p.7 L’instant détente p.8 La minute Culture p.6 Le spectacle le plus mordant vu par Melyssa Les découvertes musicales de Samira What’s up Sup Career p.2/3 Quels sont les événements à venir pour les étudiants ? L’annonce du mois La finale des Négociales arrive à grand pas ! BDE SupK Net Le Gala Les afterworks Wesh le Web p.4 La chronique Web de Charly Le Cinéma d’Eugénie p.5 4 films - 4 critiques Dès fois quand je lève la tête, j’te vois E DITO Chers étudiants, L’actualité de mars / avril est riche à Sup Career ! Tout d’abord, les évaluations intermédiaires pour les bachelors et les M1 : épreuves souvent ressenties comme intenses mais avec leurs petits moments de joie (« Pile ce que j’avais révisé ! »). Bravo aux M1 pour leur endurance et leur concentration, les épreuves ayant été fortement concentrées sur deux jours. Mars, c’est également le mois des challenges. Dix d’entre vous partent aux fi- nales des Négociales les 25 et 26 mars à Epinal. Tandis que sept autres sont allés se mesurer à des étudiants d’autres écoles à forte notoriété au 1er concours de Management et d’Eloquence : « la croisée des talents ». Dans les 2 cas, ces parti- cipations ont permis aux candidats d’étoffer leur réseau ! Toujours en mars, les semaines « spéciales » de Sup Career : - Le « K2Spé » en M1 accueillera huit entreprises « qui bougent » et vous challengeront sur leur problématique actuelle. - L’étude « UK in Paris » pour les Bachelors projettera l’école dans une am- biance toute britannique. - Les M2 Marketing ont de leur côté assisté et participé à une conférence « Konfkitweet » de Sup Career avec l’intervention de 3 entreprises en pleine croissance (Marmiton, Spread Family, Flamety) sur le thème du futur de la Relation client/Marques. La seconde aura lieu fin avril pour les M1 des spécialités digitales et Commu- nication. Et puis bien sûr, je l’avais presque oublié, le printemps est quasiment là ! Christophe Renault Responsable Pédagogique A vant-propos A chaque fois que je prends le métro, j’ai cette impression d’être une de ces tortues ninja qui passe une partie de sa vie dans ce trou à rats, pas vous ? Chacun a son boulot, tout le monde se croise, s’entre- choque et peut-être même se choque. Et pourtant per- sonne ne se regarde. Le métro c’est un peu la définition même de l’individualisme vous ne trouvez pas ? C’est vrai, des fois, vous levez la tête … (« Ah pas mal ! Beau gosse celui-là ! », « Attends, elle a le même sac que moi là !!! ») Mais sinon avouez-le, vos meilleurs amis dans les transports en communs s’appellent Candy Crush et Marshall. Plutôt pas mal les deux d’ailleurs ! En même temps qui a envie d’entendre les jérémiades d’une pauvre adolescente qui vient de vivre son premier cha- grin d’amour ? Qui a envie de regarder le monsieur qui mange son kebbab à 8h du matin (ou de sentir d’ail- leurs) ? Hier, pourtant, j’ai levé la tête et j’ai regardé autour de moi. Et OMG ! C’est aussi divertissant que la télé-réalité ! Je vous invite alors à regarder, ou mater, à juste ouvrir vos yeux une fois dans la journée, et de vous deman- der si de temps en temps quelqu’un vous regarde, vous voit, juste comme vous êtes, et non comme un objet gênant qui encombre la sortie du tunnel. Anabelle Rédactrice en chef

Le Sup Career Chronicle

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Page 1: Le Sup Career Chronicle

n°17, mars 2015

Le portrait du mois p.7

L’instant détente p.8

La minute Culture p.6

Le spectacle le plus mordant vu par Melyssa

Les découvertes musicales de Samira

What’s up Sup Career p.2/3

Quels sont les événements à venir pour les étudiants ?

L’annonce du mois

La finale des Négociales arrive à grand pas !

BDE SupK NetLe Gala

Les afterworks

Wesh le Web p.4La chronique Web

de Charly

Le Cinéma d’Eugénie p.54 films - 4 critiques

Dès fois quand je lève la tête, j’te vois

EDITOChers étudiants,

L’actualité de mars / avril est riche à Sup Career !Tout d’abord, les évaluations intermédiaires pour les bachelors et les M1 : épreuves souvent ressenties comme intenses mais avec leurs petits moments de joie (« Pile ce que j’avais révisé ! »). Bravo aux M1 pour leur endurance et leur concentration, les épreuves ayant été fortement concentrées sur deux jours.

Mars, c’est également le mois des challenges. Dix d’entre vous partent aux fi-nales des Négociales les 25 et 26 mars à Epinal. Tandis que sept autres sont allés se mesurer à des étudiants d’autres écoles à forte notoriété au 1er concours de Management et d’Eloquence : « la croisée des talents ». Dans les 2 cas, ces parti-cipations ont permis aux candidats d’étoffer leur réseau ! Toujours en mars, les semaines « spéciales » de Sup Career :

- Le « K2Spé » en M1 accueillera huit entreprises « qui bougent » et vous challengeront sur leur problématique actuelle.

- L’étude « UK in Paris » pour les Bachelors projettera l’école dans une am-biance toute britannique.

- Les M2 Marketing ont de leur côté assisté et participé à une conférence « Konfkitweet » de Sup Career avec l’intervention de 3 entreprises en pleine croissance (Marmiton, Spread Family, Flamety) sur le thème du futur de la Relation client/Marques. La seconde aura lieu fin avril pour les M1 des spécialités digitales et Commu-nication.

Et puis bien sûr, je l’avais presque oublié, le printemps est quasiment là !

Christophe RenaultResponsable Pédagogique

Avant-proposA chaque fois que je prends le métro, j’ai cette

impression d’être une de ces tortues ninja qui passe une partie de sa vie dans ce trou à rats, pas vous ?

Chacun a son boulot, tout le monde se croise, s’entre-choque et peut-être même se choque. Et pourtant per-sonne ne se regarde. Le métro c’est un peu la définition même de l’individualisme vous ne trouvez pas ? C’est vrai, des fois, vous levez la tête … (« Ah pas mal ! Beau gosse celui-là ! », « Attends, elle a le même sac que moi là !!! ») Mais sinon avouez-le, vos meilleurs amis dans les transports en communs s’appellent Candy Crush et Marshall. Plutôt pas mal les deux d’ailleurs ! En même temps qui a envie d’entendre les jérémiades d’une pauvre adolescente qui vient de vivre son premier cha-grin d’amour ? Qui a envie de regarder le monsieur qui mange son kebbab à 8h du matin (ou de sentir d’ail-leurs) ? Hier, pourtant, j’ai levé la tête et j’ai regardé autour de moi. Et OMG ! C’est aussi divertissant que la télé-réalité !

Je vous invite alors à regarder, ou mater, à juste ouvrir vos yeux une fois dans la journée, et de vous deman-der si de temps en temps quelqu’un vous regarde, vous voit, juste comme vous êtes, et non comme un objet gênant qui encombre la sortie du tunnel.

AnabelleRédactrice en chef

Page 2: Le Sup Career Chronicle

Non, Non ! Seulement K2SPE ! Et oui le fameux challenge annuel de Sup Career – K2SPE adressé aux étudiants de M1 (Bac+4) arrive à grand pas et se déroule du 16 au 20 mars prochain.

Qu’est-ce que les K2SPE ?Comme certains aiment

tant l’expliquer de manière la plus synthétique au possible, K2SPE, c’est un cas à étudier selon ta spé. Voilà, pas compliqué du tout. Pour faire aussi simple mais plus concret, des entreprises parte-

naires de l’événement viendront briefer les M1 sur des pro-blématiques réelles qu’elles rencontrent dans l’exercice de leur activité. Une expérience unique pour les étudiants de Sup Career qui permettra à chaque spécialité de travailler sur un cas relatif à son domaine d’expertise et compétences.

Quel est le programme ?Quotidiennement, les étudiants peuvent faire le point

avec un coach autour de rendez-vous du « pôle consulting » afin de vérifier l’avancée des projets et d’être accompagnés dans leur stratégie, leur réflexion et leurs propositions afin de répondre aux souhaits des diverses entreprises.La présentation qui conclue cette semaine d’analyse, de ré-flexion et d’élaboration stratégique, se fait devant un jury constitué de professionnels de l’entreprise ainsi que d’inter-venants.Bon courage à toutes les spécialités, que l’inspiration et l’audace soient les moteurs de vos projets !

WINPIC, parce que vos photos se méritent !!! Etudiante en M1 Marketing Stratégique, je suis Amandine Périllat, et

depuis maintenant 1 an je suis rentrée dans une superbe aventure qui se concré-tise de plus en plus et j’aimerai la partager avec vous.

Un jour, 3 collègues travaillant dans le secteur des applications mobiles ont pen-sé que des photos de soirées, vacances, drôles, que nous souhaitons envoyer à nos amis devraient vraiment se mériter. A partir de cette idée, ils décidèrent de développer un projet d’application mobile et d’y consacrer tout leur temps libre.

Durant cette longue année, j’ai eu l’opportunité de contribuer au projet au tra-vers de toutes ces différentes phases. Dès le début j’ai participé au tri de toutes nos idées, suivi de la réflexion ergonomique, la création du parcours client en wireframes interactifs via Axure, puis le design des écrans et du logo… Pendant la phase de développement, nous avons travaillé en méthode agile avec une évo-lution majeure livrée toutes les 2 ou 3 semaines. Durant chaque sprint, j’ai aidé dans les tests fonctionnels de l’application et maintenant que celle-ci est publiée sur Gplay, (iOS courant Avril), j’ai comme objectif de faire connaitre Winpic au plus grand nombre. Ainsi, il me paraît logique de commencer par vous !

Le principe de l’application mobile : Winpic per-met d’envoyer une photo en y attachant un défi. Si tes amis relèvent le défi, la photo leur est dévoilée.

Des évolutions ont été ajoutées très récemment grâce aux commentaires des premiers utilisateurs et nous ne demandons qu’à faire participer les étu-diants de SupCareer.

Nous avons énormément rigolé en créant cette ap-plication et nous espérons que vous ferez de même en l’utilisant.

Alors tous à votre smartphone et venez découvrir l’application Winpic !

Rejoingnez nous sur les réseaux pour donner votre avis :Facebook : winpic

Twitter :@winpic_app

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What’s up Sup Career

Plein d’aventures débarquent à Sup Career, beaucoup de stress, un petit peu de panique et pas mal de challenges !

Comme chaque promo après avoir vécu une rentrée épique avec le Bu-siness Game, une nouvelle aventure attend les bachelors. Après les M1 (bac+4), les Bachelors eux aussi ont le droit de se montrer audacieux ! Cha-cun son tour les petits padaones et pas

de jalousie comme ça !

UK in Paris c’est une semaine intensive (du 30/03 au 4/04) de neurones qui s’entrechoquent dans le but de transposer un concept innovant d’entreprise Britannique à Paris. Ce pro-jet sera ponctué de 3 conférences, ainsi que d’un coaching à thématique par jour, permettant aux bachelors d’affronter, tels des champions de boxe sur un ring de compétition, leur soutenance le vendredi 4 avril.Pour soutenir les bachelors dans cette épreuve, voici une petite citation de Shakespeare, in english of course : « It is not in the stars to hold our destiny but in ourselves ». C’est beau hein ?!

Les événements à venir à Sup Career

- Les suivis, rencontre entre votre référent Sup Career, votre tuteur et vous-même afin de parler de votre alternance dans l’entreprise.- Les techniques de recherche d’entreprises (TRE), réunion avec un référent Sup Career vous permettant de revoir les techniques pour décrocher votre pro-chain contrat pro (courant mars/avril).- CV Vidéo, le 13 avril, pour les étudiants pré-inscrits pour l’année prochaine.- Speed Meeting, le 13 et 14 avril, rencontre et entretien avec des entreprises qui recherchent leurs alternants de demain.

Pour plus d’informations, prenez contact avec votre référent relations entre-prises, ou bien venez lui faire un petit coucou pendant votre pause.

Quoi ?! Brian is in the kitchen !

L’annonce du moisVous avez dit « A vos souhaits » ?

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What’s up Sup Career What’s up Sup Career

Petite piqûre de rappel, les Né-gociales est un concours fran-

cophone (Belgique compris) per-mettant aux étudiants de différentes écoles de tester leur talent de négo-ciateur dans des «sketchs de vente»

face à un jury composé de professionnels.Après les qualifications du 11 février dernier, au sein de Sup Career, 6 étudiants de l’école se sont qualifiés pour partici-per à la grande finale du concours le 25 & 26 mars prochain au centre des Congrès à Épinal:- Franck DA SILVA- Jonathan DEMARQUAY- Gonzague GUSTIN- Ewen MENGUY- Ghizlane BENNANI‐KARIM- Dorian DEHAYS

Afin de mieux comprendre son fonctionnement, rien de mieux que de rencontrer Charlotte Caton (M2 spécialité International Business Strategy), un des membres staff qui a organisé les qualifications des Négociales et qui va encoura-ger nos qualifiés lors de la finale.

Peux-tu nous expliquer en quoi ton rôle consiste exactement ?

Je partage avec Arnaud Le Gouill le poste de chef d’équipe

et nous étions en charge d’une partie de l’organisation des qualifications, le 11 février dernier. Avec notre équipe composée de 12 personnes nous de-vions faire en sorte d’être un vrai support pour les par-ticipants et de les encadrer en dehors de leurs diverses négociations. Pour ce qui est de la finale à Épinal, nous serons 4 de l’équipe initiale, et le but principal de notre présence est d’essayer de détendre au maximum les candidats avant leur négociation. Nous sommes là pour les soutenir et mettre de l’ambiance tout le long de ces deux jours his-toire de rendre l’expérience encore plus appréciable.

Qu’est ce qui t’a motivé à participer à cette aventure ?L’an dernier je ne souhaitais pas participer aux Négociales en tant que candidate, je ne me sentais pas prête à affronter de telles négociations. Cependant je désirais connaître l’envers du décor, alors je me suis présentée pour faire partie de l’équipe qui organise les qualifications et qui encadre les étudiants. Comme j’ai apprécié l’expérience et l’ambiance, j’ai décidé de renouveler l’aventure cette année mais cette fois en tant que chef d’équipe.

Quel est pour le moment le sentiment des étudiants de Sup Career qui vont à Épinal pour la finale ?

Ils sont tous très contents, très fiers de participer à cette finale. La plupart ne s’y attendaient pas du tout. Bizarrement ils ont l’air moins stressé que lors des quali-fications, mais c’est tout à leur avantage !

6 étudiants de Sup Career qualifiés pour la finale des Négociales à Epinal !

GALA SUP CAREER 2015Le moment tant attendu est enfin arrivé !

Votre BDE SupK Net’ vous convie le Jeudi 2 Avril, de 23h à 5h, dans les prestigieux Salons Vianey autour du thème ‘The Great Gatsby’.

Robes de cocktail et smokings des années 20 seront donc à l’honneur pour la soirée la plus importante de Sup Career !

Au programme : Photoshoot, élections de Miss & Mister SupK’15 et d’autres surprises !

Toutes les informations et tarifs sur l’événement Facebook :« GALA SUP CAREER ‘15 ‘The Great Gatsby’ -

Jeudi 2 Avril @ Salons Vianey »

EntréePrévente + 1 coupe (Venez nous trouver pendant votre semaine de cours !)- Internes/Anciens, espèce ou chèque : 18€- Externes, espèce ou chèque : 20€Sur place + 1 coupe : 20 €Billetterie en ligne : https://www.weezevent.com/gala-sup-career (+frais de loc)

#SupKnet

#PourVousCerfVir

Votre BDE SupK’Net

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Etudiant en M1 Management de Projet Web, j’ai une moustache depuis mes 7 ans, j’adore arnaquer ma grand-mère au Mo-nopoly, je suis anatidaephobe, j’aime les séries TV d’’actions genre Louis la Brocante. Je suis, je suis, je suiiiiis ?... Charly Lavaud ? Bonne réponse !

LA question que tout le monde s’est posée, celle qui a agité la classe politique, les cours de récrés et ton mur Facebook

c’est bien sûr : De quelle couleur est cette foutue robe ?!!

Très vite, il y a eu un clivage, tel les Hutus et les Tutsis (Big Up M. Salliège), entre la #TeamNoiretBleu et la #TeamBlan-cetOr. Les mecs de la Team Noir et Bleu ont commencé à se la ra-conter, genre :« Ah toi tu la vois Or et Blanc ? Bah désolé de te dire ça mais tu pourras jamais être pilote de chasse ! » Merci d’avoir brisé mon rêve le plus cher…

Pour ceux qui n’auraient pas vu passer la robe (soit parce qu’ils vivent dans des grottes, soit parce qu’ils ont fait une grosse sieste d’un mois) je remets en photo la robe.

Pour clore ce sujet et mettre tout le monde d’accord, je vous propose ce proverbe Espagnol :« Si no puedes decir el color del vestido, es que es un de Desigual ! » Débrouillez-vous pour traduire si nécessaire.

Maintenant j’aimerais revenir sur un sujet plus grave encore, un atroce attentat revendiqué par « Les Enfoirés » à l’encontre de la musique française avec leur clip « Toute la Vie ». Je ne m’attarderai pas sur le fond et ses paroles…Bon si, un peu parce que c’est marrant !Dans ce clip, la troupe (les vieux) s’opposent à des inconnus (les d’jeunes).

Vous aviez tout: paix, liberté, plein emploi, Nous c’est chômage, violence et SIDA : Belle vision du monde, fais tourner le cyanure frère !

Aujourd’hui j’envie tellement ta jeunesse, Quel ennui, je l’échange contre ta caisse : Je ne suis pas super bon en commerce, mais je crois que vous vous faites enfler sur ce coup là !On passe maintenant au plat principal, accrochez-vous c’est là que ça se corse !Les goûts ne se discutent pas donc si vous avez des goûts de chiottes et que vous trouvez cette musique cool, tant pis pour vous ! Pour ma part après avoir saigné des oreilles sur une première écoute, j’ai préféré couper le son et m’attarder à la réalisation du clip en lui-même ! Après avoir saigné des yeux (Si si, c’est possible), voilà ce que j’en ai retenu :La troupe est rangé d’un côté en mode photo de classe, les petits devant et les grands dans le fond (sauf Mimi Mathy, mais c’est pour pas qu’elle complexe). Face à eux, la génération Y, celle qui se shoote au Prozac. Le tout dans un hangar glauque au possible, un genre de squat abandonné.La chorégraphie au moins est bien, elle est simple à reproduire. Idéal pour dra-guer en boite par exemple :« - Pourquoi tu t’agites de haut en bas comme ça, t’as envie de pisser ? - Mais pas du tout ! Je danse comme dans le clip des Enfoirés bébé ! - Ah d’accord, OKLM, épouse-moi direct ! » Efficacité RE-DOU-TABLE !

Et je vous ai réservé le meilleur pour la fin ! Le réalisateur s’est dit, pour représen-ter la jeunesse on va taguer ces superbes lyrics et punchlines en tout genre sur les murs… Voici mon TOP 3 :

Noir et Bleu ou Blanc et Or ?

Pour éviter toute émeute j’ai mis l’image en N&B et j’ai élargi pour celles qui complexent Bah c’est pas trop mal là, on lit bien…Non ?

On a flingué un mur pour ça !

Y’avait plus de peinture donc on finit au scotch.

Merci d’avoir lu. Je termine avec un florilège des plus belles expressions faciales de ce clip :

Charly

Pour vous, je décrypte ce qui a fait grand bruit sur la toile, de manière objective et neutre tel Eric Zemmour. Si vous avez des suggestions pour les prochains articles, faites m’en part :

[email protected]

Page 5: Le Sup Career Chronicle

Le cinéma d’Eugénie

Ce mois-ci je suis allée voir quatre films au cinéma, un peu de guerre, un peu de sexe, une comédie musicale et beaucoup de Disney.

Résumé : : Les intrigues de plu-sieurs contes de fées se croisent

afin d’explorer les désirs, les rêves et les quêtes de tous les personnages.

Je suis une grande fan de Disney. Sans même regarder la bande annonce, et aveuglée par le casting (Meryl Streep, Johnny Depp…), me voilà arrivée dans ma salle de cinéma.

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai vu qu’il s’agissait d’une comédie musicale ! Que dis-je, un MUSICALL ! 90% du film est chanté et sur deux heures j’ai trouvé ça beaucoup trop long (certains ont même quitté la salle !)J’ai trouvé en revanche le mix des contes et l’histoire en elle-même très bien réalisés. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié voir à l’écran la retranscription des contes de Grimm et non ceux de Perrault que l’on a l’habitude de servir aux enfants !L’histoire a cependant quelques défauts pour moi et notam-ment l’aventure extra conjugale entre le prince de Cendril-lon et la boulangère. Même dans un Disney on nous met de l’adultère, de la tromperie et du mensonge maintenant ? Le choc : le prince déclame « on m’a appris à être charmant et non sincère ». PARDON ?!En bref, un film que je conseille à ceux qui apprécient les comédies musicales, ceux dont la chanson hérissent les poils, s’abstenir !

LES NOUVEAUX HEROS

Résumé : Un petit génie de la ro-botique nommé Hiro Hamada

découvre qu’un complot criminel me-nace de détruire la ville de San Fran-sokyo. Avec l’aide de son plus proche ami, Baymax le robot infirmier, Hiro va tout faire pour sauver la ville et sa population de l’infâme Yokai…

Ce n’est plus un secret, je suis une fan de Disney. C’est donc avec le plus grand plaisir que je suis al-lée au cinéma voir le petit dernier. Mon dieu que c’est mignon ! Je suis tombée totalement amoureuse de Baymax, ce gros ro-bot chamallow. Des héros, des robots, on se croirait vraiment dans un Marvel. L’histoire est touchante, les personnages sont attachants. Mais on n’en oublie pas l’action !La relation entre Hiro et Baymax est vraiment bien tournée. Oui Baymax est un robot mais il finit par avoir des senti-ments. L’histoire se passe dans un futur pas si lointain. Un fu-tur où les robots seraient capables de ressentir des émotions, de vivre parmi les humains. Et je dois dire que ça me fait un peu peur. En dehors de mes angoisses assez spéciales, j’ai adoré le film.En bref, un Disney génial qui plaira aux petits comme aux grands, aux garçons comme aux filles.

Résumé : L’histoire d’une romance passionnelle, et sexuelle, entre un jeune homme riche amateur de

femmes, et une étudiante vierge de 22 ans.

En tant que lectrice de E.L. James, c’était un devoir que d’aller voir 50 Nuances de Grey au cinéma. C’est vrai, adaptation au cinéma du livre le plus lu de 2013. Cam-pagne marketing, campagne communication, parfaites ! Date de sortie ? La semaine du 14 février, à la Saint Valen-tin, pour exciter les couples ennuyés et pimenter la vie des

jeunes célibataires déprimées. Comment dit-on très TRÈS déçue, poliment ? Bon, soyons clairs, je n’ai pas été fan du bouquin. Ainsi soit-il. Mais je me devais de lire ce livre qui avait fait baver toutes mes copines. Bof. Au cinéma, je pensais voir un film explosif, une romance excitante. Au lieu de ça, je me suis ennuyée. Mortellement. Je m’explique : c’est mou ! Mon dieu que c’est mou. Je voulais de la passion, de l’excitation, au lieu de ça, toutes les scènes m’ont paru longues. Même les scènes de sexe sont bâclées. J’espérais enfin comprendre Ana, pouvoir comprendre pour-quoi elle se laisse embarquer là-dedans. Mais encore une fois je suis restée sur ma fin. En revanche, la musique du film est géante. Il faut également dire que les deux acteurs principaux sont très bons (et que Jaimie n’est pas désagréable à regarder)…En bref, une romance mollassonne que je ne conseille même pas à celles qui ont lu le livre. Ou seulement pour dire « je l’ai vu » comme on a toutes voulu pouvoir dire « je l’ai lu ».

AMERICAN SNIPER

Résumé : Tireur d’élite des Navy SEAL, Chris Kyle est envoyé en Irak dans un seul but : protéger ses cama-

rades. Mais en rentrant au pays, Chris prend conscience qu’il ne parvient pas à retrouver une vie normale.

American Sniper n’est pas le film que j’irais voir de mon propre chef au cinéma. Mais poussée par ma sœur et mon amoureux (et un peu par Bradley Cooper aussi), je me suis laissée tenter. Et c’était un bon choix !J’avais déjà vu plusieurs films sur la psychologie après

guerre comme Brothers ou The Lucky One et celui-ci est très bien fait. Porté par son acteur principal au jeu parfait, American Sniper ne m’a pas déçue. On se retrouve dans la tête de ce sniper, sur le terrain comme à la maison. Même si les images de guerre sont fabuleuses, ce sont ses retours à la maison qui m’ont le plus fascinés. Le fait de voir cet homme changer complètement de façon de penser, de façon de vivre à cause de ses blessures psychologiques liées à la guerre. En revanche, 2h20 au cinéma pour cela m’a paru assez long. J’ai trouvé certains passages inutiles ou qui auraient mérité d’être coupés à certains endroits.La musique porte cette œuvre plutôt bien et Bradley Cooper, métamorphosé pour le rôle, signe ici son film le plus remarquable.En bref, American Sniper est un bon film de guerre mais c’est surtout le côté psychologique qui est très bien abordé. A aller voir au cinéma, car le grand écran procure de belles sensations.

INTO THE WOODS 50 NUANCES DE GREY

Eugénie. Etudiante en M2 Stratégie de Communication. 21 ans. Parisienne. Amoureuse. Folle de cinéma et de bou-quins (oui les gens comme moi ça existe encore!). Pour en lire plus : https://eugenhippie.wordpress.com

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La minute culture

Un spectacle qui a du mordant ! Grrrrr…..

Les découvertes musicales de Samira

Théâtre Mogador, un jeudi soir comme les autres, une belle soirée qui s’annonce avec Le Bal des Vampires.

J’étais pourtant loin d’imaginer dans quel monde j’allais être plongée ! Une entrée en scène marquante, frappante même, avec plus d’une vingtaine d’acteurs sur scène … en bref dès le début nous sommes plongés dans un monde fantasmagorique où humour et horreur se côtoient.

Pendant 2h40 de spectacle, les décors et les 230 costumes s’enchainent pour nous en mettre plein la vue ! La scénographie a été rondement pensée, c’est à souligner. Mais n’est-ce pas au détriment des paroles des chansons entonnées tout au long du spectacle ? Hum, je pencherais pour le oui. Les chansons prêtent à sourire de nom-breuses fois, entre connotations « triviales » et paroles à l’eau de rose, on est servi !

Roman Polanski a réitéré l’aventure en adaptant l’histoire parodique de ce cher professeur et de son jeune assistant sur les planches de ce magnifique théâtre (pour les incultes, cette comédie musicale est l’adaptation d’un film de 1967 réalisé déjà à l’époque par Roman Polanski lui-même), alors malgré les paroles farfelues, j’ai quand même passé un excellent moment. Les 7,2 millions de spectateurs vous le diront aussi !

Vous voulez vous laisser tenter ? Alors profitez des 30% de réduction actuellement accordées et courez au théâtre Mogador. C’est jusqu’au 28 Juin, faites vite !

Etudiante en M1 Conseil en Communication, la culture est mon dada : lecture, pièce de théâtre ou exposition, tant que je peux passer un bon moment et alimenter mon savoir, je dis OUI OUI OUI.

Mélyssa

Etudiante en M2 Stratégie de Communication, #çam’ira #1991 #bouclette #hiphoploveuse Sinon : #jaimelepesto #lesM&Msbleu #ouiçanapasle-mêmegoût #etlaguitare

Musicalement, l’année 2015 est surprenante, sans fron-tière, vulgaire, inattendue, refuse de vieillir, s’entend

bien avec le cinéma, est dans « une relation compliquée » avec la justice …en somme c’est une quinquagénaire en pleine crise d’adolescence, un peu frivole, voyageuse qui accumule les nuits en GAV –oui- elle s’annonce mouvementée, lais-sez-moi vous en dire un peu plus :

#blurredcopyBluuu girlll Aï-noyouwannit Aï-noyouwannit (ver-sion «Yaourt» de Blurred Line), oui, on l’a tous chanté et de la même ma-

nière, c’était LE tube de 2013, mais ce que tu ne sais peut-être pas c’est que tu as en réalité dansé sur du Marvin Gaye. Oui, le Mardi 10 Mars, Pharrell Williams et Robin Thicke ont été condamné pour avoir plagié le titre « got to give it up » datant de 1977, de notre légende soul Marvin. Après l’écoute du fameux son plagié, il est vrai que la ressemblance de l’ins-tru est assez surprenante. T.I crédité en tant que co-auteur n’a pourtant pas été condamné, ses deux copains, devront verser 4,7 millions de Dollars aux ayants droit de Marvin gaye.

#NnekaCéKi ?Donne-moi un peu d’Eryka Badu, de Selah Sue et une poignée d’Ayo, mélange le tout à la sauce nigérienne : veuillez déguster Nneka à volonté.

Son menu musical baptisé « My Fairy Tale » est reposant, doux avec des couleurs de reggae soul et d’afrobeat dominantes. Si tu prends un dessert à la carte, je te conseille « My love, my love », un pur délice à siroter !Il y a deux ans, le rappeur Disiz l’avait rejoint sur son titre «Shinning Star». Per-sonnellement, j’ai trouvé ma Keziah Jones au féminin…

#GradurisationParlons peu, parlons bien, parlons rap, parlons trap.Des paroles crues, saignantes, pas cuites quoi ; le nombre de vulgarité par minute s’élève à 60. On aime ou on n’aime pas, c’est le style Gradur. Personnel-lement, je like l’aisance et le culot à s’affranchir de toutes censures, en revanche je like moins son genre super-mega-hardcore.Je ne voulais pas mais je suis obligée: SHEGUEY !

Mais encore

#EtLesKainris : Personne n’a loupé la sortie de l’album de Drake. Mais si ! Tu sais celui où on a l’impression que ta petite nièce a écrit sur la cover. If you reading this is too late. Drake.

#jenelachepaslaffaire #jesuistoujoursjeuneà56ans : la madonne ne s’arrête-t-elle jamais ? Elle a annoncé sa prochaine tournée « Rebel heart soul » et sera de passage sur Paris le 9 et 10 Décembre à Bercy.

Samira

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La minute culture

Quel est ton métier aujourd’hui ? En quoi consiste-t-il ?

Une fois mon contrat professionnel terminé (au mois de septembre), j’ai eu envie de me tourner vers de plus petites structures.

Au mois de décembre j’ai trouvé un emploi, en CDI, au sein d’AmaxTeo, organisme de formation spécia-lisé dans la prévention des risques dans le bâtiment (amiante, plomb…), entreprise plutôt familiale. Je

suis actuellement chargée de développement. Mon poste correspond à des mis-sions très variées : commerciale, communication interne/externe, digitale mais également sur le pôle conception (mise à jour des supports de formation). C’est un poste qui me plaît beaucoup car je touche à beaucoup de choses et l’impact de celles-ci est direct. J’ai la chance d’avoir beaucoup d’autonomie et de responsabilités dans mon travail. J’ai plusieurs projets dans les mois qui suivent : retravailler nos outils commer-ciaux, organiser l’inauguration de nos nouveaux centres, revoir la stratégie digi-tale mais aussi notre stratégie de communication aussi bien interne qu’externe.

Comment s’est passé ton insertion dans la vie active ?

J’ai la chance de travailler dans une entreprise assez jeune qui m’a aidé à pleine-ment m‘intégrer. Concernant le travail au quotidien, mon expérience m’a permis d’acquérir une certaine confiance en moi et je me sens plus à l’aise dans mes missions et mes propositions.

Quels conseils pourrais-tu donner aux étudiants de Sup Career ?

Je vais être honnête en disant que trouver un emploi est difficile en ce moment. Mais avoir un parcours en alternance est un réel atout sur le marché : nous avons un pas dans le monde de l’entreprise mais également un réseau (aussi bien cama-rades de classe que collègues). Il suffit de se donner la chance que l’on veut pour avoir le poste que l’on souhaite et dans les conditions idéales. Il est important de se dire le plus souvent possible: « Quand on veut on peut ! », il ne faut pas lâcher, et prendre conscience que les opportunités sont partout.

Quels sont tes projets à venir ?

Pour le moment, je souhaite continuer dans la communication et prendre le maximum d’expérience et de concret afin d’évoluer par la suite au sein de mon entreprise. Je vis plutôt au jour le jour, mais pourquoi pas lancer plus tard ma propre entreprise de communication spécialisée dans l’audit et le conseil, ou bien partir à l’étranger et saisir les opportunités pour changer radicalement de vie.

Pour contacter Amélie :

Amélie Besnier est une jeune femme dynamique qui a pleinement réussi son entrée dans la vie professionnelle

grâce à ses compétences mais aussi ses convictions. Après deux années en alternance dans le domaine de la communication, Amélie a su tirer les avantages de ses ex-périences professionnelles afin de partir à la recherche du travail idéal (« Mais tout en étant réaliste bien sûr ! » selon ses dires).

En CDI depuis le mois de janvier, elle nous raconte son parcours de jeune diplômée, sa formation, ses expériences et ainsi que ses inspirations.

Peux-tu nous parler de ton parcours ?

Après un Bac ES, j’ai entrepris une licence Information Communication à l’université Paris VIII. A la fin de ma licence j’ai effectué un stage de 6 mois dans l’événementiel. Après cette première expérience professionnelle, j’ai souhai-té continuer les études et choisi un cursus en alternance afin d’étoffer un peu plus mon expérience professionnelle.

Je me suis tournée vers la formation M1 (bac+4) Manage-ment de Projet Web au sein de Sup Career. Pour cette pre-mière année en alternance, Sup Career m’a proposé le poste de Chargée de Communication Web, avec des missions as-sez polyvalentes et un poste à la fois étudiante et employée qui m’a énormément plu.

Pour ma deuxième année de master, j’ai voulu profiter de ma dernière année alternance en tentant ma chance dans une grande entreprise. J’ai alors été prise à la Société Générale en tant que Chargée de Communication pour la Direction de l’Organisation France. J’ai eu la chance d’avoir un poste très enrichissant, formateur et avec une grande autonomie. Mes missions touchaient aussi bien à la communication, à l’événementiel qu’au web. Cette expérience m’a fait réaliser que les grandes entreprises ont du potentiel, certes, mais ne reflètent pas le travail que l’on peut faire. Il y a beaucoup d’étapes de validation dû à une hiérarchie interminable et les possibilités d’évolution sont présentes, mais la part de responsabilité l’est moins.

Découvrez Amélie Besnier, ancienne étudiante de Sup Career

Le portrait du mois

Page 8: Le Sup Career Chronicle

p.8

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