L’économie numérique sur Aix Marseille-Provence Vente à distance sur catalogue spécialisé 9511Z Réparation d'ordinateurs et d'équipements périphériques 9512Z Réparation

L’économie numérique sur Aix Marseille-Provence

Janvier 2016

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Sommaire

Contexte & objectifs de l’étudeChamps de l’étude & champs statistiques

L’économie numérique sur Marseille-Provence Fabrication TICRéseaux & services télécomsLogiciels & services Production de contenuDistribution & réparation

Les leviers de croissance de l’économie numérique sur Marseille- ProvenceCloud/ big data E-santéMarketing digital /TransmédiaObjets connectés Smart cities

Annexes

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61315171921

252732384347

53

Contexte & objectifs de l’étudePour assurer ses missions et actualiser ses données, Medinsoft coordinateur et animateur d’Aix Marseille French Tech a sollicité la CCI Marseille-Provence pour mettre à jour les chiffres clés de l’économie numérique sur la métropole Aix Marseille Provence.La CCIMP a réalisé depuis 2010 plusieurs études économiques dans ce domaine :2010 : étude logiciels et services en paca pour Medinsoft2012 : étude sur l’économie numérique dans les BdR, pour la Maison de l’Emploi de Marseille2012 : la e-santé en PACA2013: contribution au panorama « services &TIC en PACA »2013: panorama des industries des contenus et des services numériques pour PRIMI2014: étude-action économie numérique (contribution au dossier de candidature AMFT) en partenariat avec Provence Promotion et le CG13

Cette étude vise à :

> Mesurer le poids de l’économie numérique par segments de la chaîne de valeur en nombre d’entreprises, nombred’emplois, estimation du CA.

> Mettre en évidence le poids de la métropole au niveau régional dans ce secteur, les évolutions les plus significatives à l’échelle des segments.> Sur les 5 leviers de croissance identifiés avec le Conseil Numérique territorial (Smart Cities, Big data / cloud, E-Sante, Marketing Digital / Transmedia, Objets connectés) mettre en évidence les principaux atouts du territoire métropolitain (quelques entreprises emblématiques du territoire, principaux projets et/ou acteurs structurants).

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Champs de l’étude / champs statistique

Fabrication TIC2611Z Fabrication de composants électroniques2612Z Fabrication de cartes électroniques assemblées2620Z Fabrication d'ordinateurs et d'équipements périphériques2630Z Fabrication d'équipements de communication2640Z Fabrication de produits électroniques grand public2651A Fabrication d'équipements d'aide à la navigation2651B Fabrication d'instrumentation scientifique et technique3320C Conception d'ensemble et assemblage sur site industriel d'équipements de contrôle de processus industriels3320D Installation d'équipements électriques, de matériels électroniques et optique

Réseaux & services télécoms6110Z Télécommunications filaires6120Z Télécommunications sans fil6130Z Télécommunications par satellite6190Z Autres activités de télécommunication

D’un commun accord avec Medinsoft, la CCIMP a adopté un champs statistique analogue àcelui couvert par l’étude Action Economie numérique réalisée en 2014, dont les principauxrésultats ont alimenté le dossier de candidature AMFT. Il correspond également à celuicouvert par l’étude « Panorama des TIC » réalisée par la MDER PACA (Mission deDéveloppement Économique Régional), paru en 2013.2 codes naf (« R&D scientifique » et « location et location bail d ’équipements » ) de lacatégorie « autres activités liées aux TIC » ont été retirés de la présente étude car la majoritédes acteurs présents dans les BdR dans ces codes naf ne relèvent pas du numérique.Le e-commerce non identifiable au travers des codes NAF n’est pas traité dans ce document.Les investigations nécessaires pour l’identification des entreprises leur CA et effectifnécessitent la réalisation d’une étude spécifique.

Fabrication équipements et composants TIC

Réseaux & services télecomsServices fixes et mobile

accès à internet

Logiciels & services informatiquesÉdition de logiciels, conseil,

intégration et développement

Contenus & services numériques :production audiovisuelle, cinéma,

médias, marketing & publicité

Commerce de gros et de détail - réparation

Autres activitésliées aux TIC

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Production de contenus1820Z Reproduction d'enregistrements5811Z Édition de livres5812Z Édition de répertoires et de fichiers d'adresses5813Z Édition de journaux5814Z Édition de revues et périodiques5819Z Autres activités d'édition5821Z Édition de jeux électroniques5911A Production de films et de programmes pour la télévision5911B Production de films institutionnels et publicitaires5911C Production de films pour le cinéma5912Z Post-production de films cinématographiques, de vidéo et TV5913A Distribution de films cinématographiques5913B Édition et distribution vidéo5914Z Projection de films cinématographiques5920Z Enregistrement sonore et édition musicale6010Z Édition et diffusion de programmes radio6020A Édition de chaînes généralistes6020B Édition de chaînes thématiques6391Z Activités des agences de presse6399Z Autres services d'information n.c.a.7021Z Conseil en relations publiques et communication7311Z Activités des agences de publicité7312Z Régie publicitaire de médias7410Z Activités spécialisées de design7420Z Activités photographiques8220Z Activités de centres d'appels9101Z Gestion des bibliothèques et des archives

Logiciels et services informatiques5829A Édition de logiciels système et de réseau5829B Edition de logiciels outils de développement et de langages5829C Edition de logiciels applicatifs6201Z Programmation informatique6202A Conseil en systèmes et logiciels informatiques6202B Tierce maintenance de systèmes et d'applications informatiques6203Z Gestion d'installations informatiques6209Z Autres activités informatiques6311Z Traitement de données, hébergement et activités connexes6312Z Portails Internet

Distribution et réparation4651Z Commerce de gros d'ordinateurs, équipements informatiques périphériques, logiciels4652Z Commerce de gros de composants et d'équipements électroniques et de télécommunication4666Z Commerce de gros d'autres machines et équipements de bureau4741Z Commerce de détail d'ordinateurs, d'unités périphériques et de logiciels en magasins 4742Z Commerce de détail de matériels de télécommunication en magasin spécialisé4743Z Commerce de détail de matériels audio/vidéo en magasin spécialisé4763Z Commerce de détail d'enregistrements musicaux et vidéo en magasin spécialisé4791B Vente à distance sur catalogue spécialisé9511Z Réparation d'ordinateurs et d'équipements périphériques9512Z Réparation d'équipements de communication

Autres activités liées aux TIC2660Z Fabrication d'équipements d'irradiation médicale, d'équipements électromédicaux2670Z Fabrication de matériels optique et photographique2680Z Fabrication de supports magnétiques et optiques4222Z Construction de réseaux électriques et de télécommunications4799B Vente par automates

Champs de l’étude / champs statistique

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Chiffres-clés des BdR:.39 756 salariés privés .8,4 Mrds € de CA estimé .1 Mrd € de CA export.11 226 établissements

L’économie numérique sur Marseille-Provence

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7

Un écosystème numérique qui pèse aussi lourd que la construction ou la santé /médico-social

NB: Comparaison hors numérique pour les secteurs considérés

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Le positionnement du numérique au regard des autres secteurs à enjeux du territoire*

*Il s'agit de secteurs définis par rapport à la nomenclature statistique (Code NAF), et ne correspond pas parfaitement à la notion de filière, plus large qui englobe partiellement d'autres secteurs d'activité.Par exemple le secteur Energie intègre les entreprises identifiées avec les codes NAF, raffinage, combustible, production, distribution et commercialisation d'électricité, gaz, vapeur…mais ne tient pas compte des entreprises du secteur BTP sous-traitant d’ITER

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Réseaux & services télecoms

Logiciels & services

informatiques

Contenus & services

numériques

Distribution & réparation

Autres activités

liées aux TIC


Les départements qui affichent plus d’emplois que les BdR : Hauts-De-Seine, Paris, Rhône, Yvelines, Seine Saint Denis, Haute-Garonne, Nord

Près de 40 000 salariés – 8 ème rang national

6 678 salariés5 ème rang national






Candidature FTDonnées

31/12/12


1317 salariés7 ème rang national





Actualisation Données 31/12/14

Les données statistiques sont réactualisées chaque année par les organismes producteurs pour corriger d’éventuelles erreurs, manques ou changement de définitions. Cela peut avoir effets plus ou moins importants sur les données antérieures : la dernière année est donc considérée le plus souvent comme provisoireLes évolutions doivent donc s’apprécier par comparaison avec ces chiffres réactualisés du millésime n+1 et non par comparaison avec la précédente édition.Les données portant sur l’emploi et le nombre d’entreprise du précédent document d’octobre 2013 repris dans le dossier de candidature FT ont donc été révisées en conséquence.

2014

2015

L’économie numérique sur Marseille-Provence : une évolution contrastée selon les segments

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L’économie numérique sur Marseille-Provence : une évolution contrastée selon les segments Segments moteurs

Hauts-de-Seine

Paris

Rhône

Nord

Seine-Saint-DenisHaute-Garonne

Bouches-du-Rhône

Loire-AtlantiqueEssonne

Isère

GirondeVal -de-Marne

Il le-et-Vilaine

Alpes-Maritimes

Val -d'Oise

Bas -Rhin

Hérault

Seine-et-Marne

Seine-Maritime

France

3%

5%

7%

9%

11%

13%

15%

17%

19%

21%

23%

-2% -1% 0% 1% 2% 3% 4% 5%

Source : DEST CCIMP d’après données URSSAF

Les BdR : 8ème département français en volume dans l ’économie numérique

Avec près de 40 000 emplois salariés en 2014,les BdR se situent au 8ème rang desdépartements français, derrière 4départements franciliens (Hauts-De-Seine,Paris, Yvelines et Seine-Saint-Denis), le Rhône,la Haute-Garonne et le Nord.Il concentre 53% de l’emploi régional dansl’économie numérique .

Les TIC au sens large occupent une placesimilaire dans les BdR (6,8%) que dansl’ensemble de l ’économie française (7% del’emploi privé).

Sur la période 2009-2014, l’emploi dans ledépartement affiche un taux de croissancelégèrement supérieur à la tendance nationale(taux de croissance annuel moyen de 0,5% alorsqu ’il est à 0,2 % au niveau national ).

Ainsi, les BdR se placent parmi lesdépartements « émergents ».

Taux de croissance annuel moyen Economie numérique 2009-2014

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014

Départements locomotives

Départements en émergence

Départements en perte de vitesse

Départements en retard

Mapping des 20 premiers départements français en volume d’emploi

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Chiffres clés des BdR par segment

Source : DEST CCIMP d’après données URSSAF et Diane

Répartition du CA estimé dans l ’économie numérique dans les BdR

Répartition du CA export* dans l ’économie numérique dans les BdR

Réseaux & services télécoms – 3 931 salariésCA estimé : 1,7 Mrds €CA export* : 7 M€

Fabrication TIC – 6 678 salariésCA estimé : 1,6 Mrds €CA export* : 760 M€

Production de contenus – 10 935 salariésCA estimé : 1,4 Mrd €CA export* : 29 M€

Logiciels et services informatiques – 12 982 salariésCA estimé : 2 Mrd €CA export*: 88 M€

Distribution & réparation – 3747 salariésCA estimé : 1,3 Mrd €CA export* : 50 M€

Autres activités liées – 1 483 salariésCA estimé : 334 M€CA export* : 11 M€

*CA export année 201312

EssonneIsère

Yvel ines

Hauts-de-Seine

Bouches-du-Rhône

Haute-Garonne

Val -d'Oise

Il le-et-Vilaine

Bas -Rhin

Maine-et-LoireFinistère

Val -de-Marne

Rhône

Gironde

Hérault

Alpes-Maritimes

Loire-Atlantique

Indre-et-Loire

Nord

Haut-Rhin

France

0,0%

0,5%

1,0%

1,5%

2,0%

2,5%

3,0%

3,5%

4,0%

4,5%

-6% -4% -2% 0% 2% 4%


Fabrication TIC dans les BdR : un renouveau industriel à trouver

Depuis 5 ans, les effectifs sont en légère baisse(-1,4% par an) sur l’ensemble du territoirenational, sous l ’effet des restructurations dansl’industrie européenne des composants.

La tendance est plus accentuée dans ledépartement avec une baisse de 2% imputableen partie à la fermeture de Lfoundry en 2014 àRousset.

La fabrication de composants et équipementsTIC occupe une place légèrement supérieuredans les BdR (1,1%) que dans l’ensemble del ’économie française (0,9% de l’emploi privé).




Départementsen émergence

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014

Taux de croissance annuel moyen fabrication TIC 2009-2014

Source : DEST CCIMP d’après données URSSAF et Diane 13

174 établissements emploient du personnel sur les 276 présents dans le département.

Données clés 2014 - Fabrication TIC Avec près de 7 000 emplois salariés en 2014, les BdR se situent au 5ème rang des départements français, derrière l’Isère, l’Essonne les Yvelines et les Hauts-De-Seine et représente à lui seul près des 2/3 de l’emploi salarié de PACA (62%)

Ce segment de l’économie numérique est soutenu dans les BdR par lamicroélectronique avec comme acteurs principaux : STmicroélectronics, Gemalto, Atmel mais aussi Toppan Photomasks etInside Secure ou Mirion Technology à Lamanon .

Autour de ces donneurs d’ordre, un tissu d’entreprises detechnologies à forte valeur ajoutée est implanté :IBS (Ion Beam Services), spécialiste de l ’implantation ionique,Orsay Physics, fabricant de systèmes de faisceau d’ions et d ’électronsfocalisés,Smart Packaging solutions, spécialisé dans la conception de modulesde micro-systèmes électroniques sur support souple : carte à puce,cartes d ’identité ou passeports électroniques sans contact.

La microélectronique se caractérise par un marché cyclique, dans lequel les sites d ’exploitation n ’ont pas ou peu de prise sur les décisions stratégiques des sièges.Ainsi dans les Bdr, l’effectif salarié accuse une baisse depuis 2000.Les chiffres d’affaires sont également impactés. STMicroelectronics, la plus importante entreprise du secteur a ainsi vu son CA chuter entre 2010 et 2013 de 986 M€ à 675M€

La zone de Rousset-Peynier concentre 47% de l’emploi du département en Fabrication TIC .

5ème département français

4 entreprises à forte croissance* sur les 19 recensées dans l’économie numérique :ITAS MEDITERRANEE, SYSTELCOM SAS,SMART PACKAGING SOLUTIONS, MOBILISOn peut aussi citer parmi les PME qui se distinguent par la forte croissance de leur CAINSIDE SECURE, MG INTERNATIONAL,POSITIF,ARCHITECTURE ET CONCEPTION DE SYSTEMES AVANCES,SOMAP TECHNOLOGIES* PME affichant une croissance moyenne de 10%/an de l’emploi entre 2010 et 2013


CA en K€ CA export en K€ EFFECTIF

Fabrication TIC 1 583 154 761 533 6 678


Les BdR en retard dans les réseaux et services télécoms malgré le développement des data centers

Les BdR font partie des départements en retard sur ce segment.Les activités de réseaux et services télécoms occupent une place similaire dans notre département qu’au niveau national (0,7%).

Depuis 5 ans, les effectifs du départementrégressent plus que sur l’ensemble duterritoire national (-4% vs - 3%).

Départements en perte de

vitesse




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014

Taux de croissance annuel moyen réseaux et services télécoms 2009-201415

Avec près de 4 000 emplois salariés en 2014, les BdR se situentau 9ème rang des départements français, derrière les Hauts-de-Seine, Paris, Seine-Saint-Denis, Rhône, Ille-et-Vilaine,Gironde, Haute-Garonne, Loire-Atlantique, et représente 46%des effectifs régionaux.

Les 20 établissements d’Orange dans des BdR représententprès de 2 400 emplois soit plus de la moitié des emplois dusecteur.

Parmi les opérateurs présents dans les BdR on retrouve :Orange, Free, SFR, Bouygues Télécom, Futur Telecom,Numéricable ….

Le territoire s’appuie également sur une bonne offre de datacenter parmi lesquels on peut citer : Interxion, IELO, JaguarNetwork, TDF, ASP serveur…

C’est un véritable atout pour le développement du cloudcomputing local qui bénéficie ainsi de la partie infrastructure(IaaS) nécessaire au développement de ces projets.


153 établissements emploient du personnel sur les 415 présents dans le département.

Données clés 2014 – réseaux et services télécoms

1 entreprise à forte croissance : JAGUAR NETWORK hébergeur informatique et opérateur télécoms qui vient d’être consacrée « Entreprise du PASS French Tech, Promotion 2016 »1 entreprise en hyper croissance « 1er prix TechnologyFast 50 » : TECH&ME téléphones mobiles Crosscall pour les activités en extérieurOn peut aussi citer parmi les PME qui se distinguent par une forte croissance de leur CA la société aubagnaise AUBACOM



Réseaux & services télécoms 1 683 809 7 092 3 931


Les logiciels & services occupent une placecomparable dans les BdR que dans l’ensemble del’économie nationale.

Ce segment représente en effet 2,2% de l ’emploiprivé du département contre 2,3% au niveaunational.

Depuis 5 ans, les effectifs progressent de 5,2% paran, soit 2 fois plus vite que sur l ’ensemble duterritoire national (2,7%).

Dans notre région, ce sont les Alpes Maritimes quitirent l ’emploi de ce segment.

La région parisienne est fortement soumise auxaléas des transferts de sièges sociaux de grandsgroupes d’un département à l’autre. Ainsi Le Vald’Oise a connu ces 5 dernières années un taux decroissance remarquable de 24,4% par an enmoyenne, qui s’explique notamment par letransfert du siège social d’Atos implantéauparavant dans les Hauts de Seine.

Les BdR : un département en émergence dans les logiciels & services

Hauts-de-Seine

Paris

Rhône

Haute-Garonne

Yvel ines Loire-Atlantique

Nord

Bouches-du-Rhône

Alpes-Maritimes

Seine-Saint-Denis GirondeIsère

Val -de-Marne

Il le-et-VilaineVal -d'Oise

EssonneBas -Rhin

Hérault

Loiret

Seine-et-Marne

France

0%

1%

2%

3%

4%

5%

6%

7%

8%

9%

10%

11%

-3% 2% 7% 12% 17% 22%


Départements en perte de

vitesse

Départementsen émergence Départements

en retard

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Taux de croissance annuel moyen logiciels & services 2009-2014


Données clés 2014 - Logiciels et servicesAvec 12 982 emplois salariés en 2014, les BdR se situent au 8èmerang des départements français, derrière les Hauts-de-Seine, Paris,le Rhône, La Haute-Garonne, les Yvelines, la Loire-Atlantique et leNord et concentre près de la moitié des effectifs régionaux (49%).

Il gagne 2 places par rapport à 2010 et passe devant la Seine SaintDenis et le Val de Marne

Ce segment est composé d’un grand nombre d ’établissements depetite taille.

On retrouve également dans notre département les filialesnumériques des grands groupes (CMA, Dassault,), les agences desgrandes SSII nationales comme, Cap gemini, Steria, Atos, Bull, IBMmais aussi des éditeurs, Amesys, Quadratus, Wyplay, Enovacom.

Les entreprises adressent pour l’essentiel un marché national.


929 établissements emploient du personnel sur les 3 443 présents dans le département.

58% de l ’emploi en logiciel et services du département est situé sur Aix.

C’est le segment où l’on dénombre le plus grand nombre de PME à forte croissance dans l ’économie numérique.On en compte 10 sur les 19 : FINOPSYS, VIAXOFT, INTERTEK INGENIERIE, ALTERSIS, REAL-NOT, SYSTEREL, CITYWAY, CMA SYSTEMS, SYNCHRONE TECHNOLOGIES. On peut aussi citer parmi les PME qui se distinguent par une forte croissance de leur CA : LA CENTRALE DES MARCHES PRIVES; WYPLAY, CLEARSY, EGM-SOLUTIONS mais aussi NETREVIEWS (Avis Verifiés) et COPPERNIC qui se sont vues décerner le label « Entreprise du Pass FrenchTech, Promo 2016 » récompensant les entreprises du numérique en hyper croissance, WEENle thermostat intelligent qui a reçu un awards au CES 2016 mais aussi INTERWAY pour la croissance de son emploi.


Logiciels et services informatiques 2 059 992 88 017 12 982



Les activités de production de contenus occupentune place quasi similaire dans notre départementqu’au niveau national (1,9% vs 2%).

Depuis 5 ans, les effectifs du département sont enlégère augmentation (0,6%) alors qu’ils sont enbaisse sur l’ensemble du pays (-0,6%) et positionneles BdR dans la catégorie des départements enémergence .

Le secteur est essentiellement tiré par laproduction de contenu audiovisuel et les centresd’appels qui affichent une nette progression.

Cette croissance est tout de même atténuée par lacrise qui a touché l’ activité média/ presse duterritoire et impacté les gros employeurs dusecteur comme « La Marseillaise » et aussi parvoie de conséquence le secteur des agences depublicité.

Les BdR, en émergence dans la production de contenus





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Taux de croissance annuel moyen production de contenus 2009-2014Source : DEST CCIMP d’après données URSSAF et Diane

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Avec près de 11 000 emplois salariés en 2014 représentant57% des effectifs régionaux, les BdR se situent au 5ème rangdes départements français, derrière Paris, les Hauts-De-Seine,le Nors et la Seine Saint Denis .La production de contenus concerne 4767 établissements.Parmi eux, 1015 emploient un ou plusieurs salariésElle comprend la production audiovisuelle et cinéma dans sagrande majorité avec parmi les acteurs importants :. des chaînes de télévision : France 3, OM TV, LCM, Canal Maritima. des producteurs de films/série et documentaires : TelFrancesérie, Action Synthèse, Films du soleil, 13 productionsdes producteurs dans le domaine musical : Harmonia Mundi, Soundworks.Le reste du segment est constitué de TPE, notamment dans lejeu vidéo avec :Exkee, Indeego Games, Royal Cactus, Tika Editions, C4M,Orphée Multimedia…On retrouve pour la partie centre d’appels les principauxemployeurs de ce segment : SFR service clients Marseille,Phone marketing méditerranée, B2S Aix, Pro Direct services


Marseille est la 2ème ville de France la plus filmée, avec 1098 jours de tournage réalisés pour la seule année 2014 et 362 tournages tous formats confondusElle concentre 46% des emplois départementaux en production de contenus et activités liées.

Données clés 2014 - production de contenus

3 entreprises à forte croissance : STUDIO 555 créée en 2004 réalisateur et producteur de programmes audiovisuels institutionnels et publicitaires et BAZILE TELECOM et PRO DIRECT SERVICES pour les centre d’appels

Une offre qui s’étoffe avec :> au Pôle Media Belle de Mai un studio de capture de mouvement MOCAP inauguré en octobre 2015par Newen repreneur de TelFrance .> à Martigues 26 000 m² de hangars dédiés à l’offre cinématographique par Provence Studios en 2016 : ateliers, espaces de stockage, plateaux et décors extérieurs (backlots)

.20


Production de contenus 1 434 778 28 819 10 935

Hauts-de-Seine

Paris

Seine-Saint-Denis

NordRhône

Essonne

Yvel inesSeine-et-Marne

Bouches-du-Rhône

Val -d'Oise

Haute-GaronneLoire-Atlantique

Gironde

Hérault

Bas -RhinIsère

Alpes-Maritimes

Haut-Rhin

Il le-et-Vilaine

France

0,5%

1,0%

1,5%

2,0%

-4% -3% -2% -1% 0% 1% 2% 3%


Les BdR en perte de vitesse dans la distribution et réparation

Les BdR font partie des départements en perte de vitessesur ce segment. Si les activités de distribution etréparation occupent une place légèrement inférieure dansnotre département qu’au niveau national (0,6% vs 0,7%),depuis 5 ans, les effectifs du département sont en baisse à– 3,7% alors qu’ils se maintiennent sur le territoirenational (+0,06%). Le secteur le plus impacté est la« réparation d’ordinateur » (-77%).

Les BdR se situent néanmoins au 10ème rang français,avec 3 747 emplois salariés en 2014 et un CA de 1,3Mrd €et concentrent la moitié de l’emploi de la région.

Parmi les plus importants employeurs, on trouve : AVENIRTELECOM, PSION SAS, FEEDER, SANGHA France, ORBITE

584 établissements emploient du personnel sur les 1 822présents dans le département.





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Taux de croissance annuel moyen distribution réparation 2009-2014Source : DEST CCIMP d’après données URSSAF et Diane

2 entreprises figurent parmi les entreprises à fortecroissance : E CONCEPT TELEPHONIE ET INFORMATIQUE, THEMYS.On peut aussi citer parmi les PME qui se distinguent WIKO,le numéro 2 sur le marché français des smartphonesvendus sans abonnement, IZITEK et DIGIT HALL dans lecommerce 21


Les BdR : En léger retard dans les « autres activités liées aux TIC »

Avec près de 1 500 emplois salariés en 2014, les BdRse situent au 5ème rang des départements français etfont partie des départements qui affichent un léger retard sur ce segment.Il concentre tout de même la moitié des effectifs de PACA.

Les « autres activités liées aux TIC » occupent une place comparable dans notre département et au niveau national (0,3%).

Mais les effectifs augmentent à un rythme inférieur à celui du territoire national (0,8% vs 1,1%).

Ce secteur est dominé par les constructeurs de réseau et quelques entreprises à la frontière de la fabrication TIC comme Supersonic Imagine ou Thales Sesos





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Taux de croissance annuel moyen Economie numérique 2009-2014


De 2010 à octobre 2015, 139 levées de fonds réalisés par 92 entreprisesont été identifiés sur les Bouches-du-Rhône pour un montant de408M€*.

Les activités du numérique (au sens de la présente étude) représentent46% des entreprises impliqués pour un montant total de 91 M€. Cetterelative faiblesse du montant global levé résulte de la présence des deuximportantes levées dans le domaine des BioTech (Innate Pharma etSupersonic Imagine, qui approchent les 100M€ chacune).

Au sein du « numérique », ¾ des levées de fonds effectuées l’ont étépour des entreprises de Logiciels et services informatiques pour unmontant de 72M€

Parmi les plus importantes entreprises numériques ayant effectué unelevée de fonds : Jaguar Networks, Wyplay, Monshowroom.com, Prixtel,Enovacom.

* A noter que le montant de certaines levées reste confidentiel

Levées de fonds : les entreprises du numérique bien placées

Source : DEST - CCIMP23

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Les tiers lieux numériques : Nouveaux espaces de collaboration et de créativité sur MP

La démocratisation et la massification des technologies du numérique ont contribué à l’apparition de « tiers-lieux », nouvelles alternatives d’espaces de travail proposées à des professionnels de plus en plus mobiles, entre le domicile et le bureau traditionnel. Cette notion regroupe des initiatives diverses comme les espaces de coworking, les fablabs(« laboratoires de fabrication »), les hackerspaces ou makerspace …À Paris, c’est la Cantine - le Numa maintenant - situé dans une ancienne fabrique de tissus du Sentier, qui a ouvert la marche.Le territoire métropolitain compte de multiples initiatives dans ce domaine. Certaines sont encore au stade de projet (Créalab du Puits Morandat à Gardanne), d’autres sont en cours (Le Carrefour de l’Innovation sur le secteur de Valcros- Constance) d’autres enfin sont d’ores et déjà opérationnelles parmi elles :- Le Marseille creativity center un espace créatif, porté par Centrale Marseille et dédié à l’émergence, l’articulation

et la transformation de projet. Il est ouvert aux étudiants mais aussi aux entreprises , chercheurs, association et au grand public à l’occasion de manifestations.

- Le L.A.B « Laboratoire d’Aix-périmentation et de Bidouille » qui offre un lieu ouvert au public et aux adhérents avec des outils de fabrication numérique accessible à tous.

- - Le LMFO de Zinc (Lieu de Fabrication Ouvert) : Situé à la Friche de la Belle Mai , l’espace est doté d’outils, de machines et de matériels électroniques permettant à chacun d’échanger , d’expérimenter et de prototyper ses idées

- Le Fab Lab de Centrale Marseille dont l’atelier de proptotypage a vocation à être utilisé par l’ensembles des acteurs de centrale Marseille

- La plateforme d’expérimentation Connectwave (voir page 45 de cette étude )Mais aussi implantés en cœur de ville à Marseille : La Boate, La Ruche, La Charbonnerie, La Fabulerie…

Les leviers de croissance de l’économie numérique sur

Aix Marseille-Provence

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Lancé en 2014 par l’Etat pour placer la France parmi les principales nations numériques et fédérer les acteurs de la dynamique digitale nationale le label French tech s’adresse aux métropoles dotées d’un riche écosystème et d’entrepreneurs leaders.C’est ainsi qu’en Mars 2014, Aix-Marseille a été le 1er territoire sur le plan national à avoir déposé son dossier de candidature. En Novembre il est officiellement labellisé « Métropole French Tech ».Cette distinction consacre le dynamisme de son écosystème numérique, sa portée internationale et sa capacité de fédérer autour de projets de croissance ambitieux.Tout au long de l’année 2015, AMFT organisé sous forme de partenariat public-privé s’est attaché à coordonner les actions collectives et à dynamiser l’offre de services pour accélérer le développement de startups, se positionnant autour de 5 domaines d’activité stratégique identifiés par le conseil Numérique territorial comme principaux porteurs de croissance (et donc créateurs d’emplois) :

. Cloud & big data

. Esanté

. Marketing digital & transmédia

. Objets connectés

. Smartcities

Un label French Tech qui consacre la richesse et le dynamisme de l’écosystème numérique d’Aix Marseille Provence

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Cloud & big data

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Cloud & big data: une maturité progressive et une croissanceimportante des marchés d’ici à 2017

Le cloud computing présente plusieurs avantages notables, notamment pourles PME : la rentabilité, la flexibilité, la simplicité et la possibilité pour lesutilisateurs finaux de convertir une partie de leurs dépensesd’investissement (CapEx) en dépenses d’exploitation (OpEx). Les grandscomptes peuvent également voir des perspectives de croissanceintéressantes dans le cloud computing.Les data centers atteignent progressivement des taux d’utilisation trèsimportants, nécessitant d’investir régulièrement dans de nouvellesinfrastructures pour satisfaire la demande. C’est notamment le cas de l’IaaS,qui se base uniquement sur la location d’infrastructures. Le PaaS et le SaaSreposent généralement sur des services d’IaaS ou sur des infrastructuresspécifiques.

Face à l'explosion du volume d'informations et de contenus dématérialisés,le Big Data vise à proposer une alternative aux solutions traditionnelles debases de données et d'analyse. Plusieurs technologies matérielles etlogicielles taillées pour le big data ont émergé, et se répartissent autour desfamilles de solutions suivantes : serveurs, stockage, réseau et logiciels (basesde données relationnelles, XML, Hadoop...) sans oublier les services de BigData.

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Chiffres clés Cloud Monde 2015Marché estimé à près de 93,7 Mrd €+20% entre 2014 et 2015Source : Idate

Chiffres clés Big data Monde +24,6% par an jusqu’en 201841,5 Mrds € en 2018Source : IDC

Cloud & big data: le marché français décolle La dynamique est portée par le SaaS et des services associés quireprésentent plus de 60% du marché.

Les prestations de conseil se développent et jouent un rôle de plus enplus important dans les projets de Cloud computing (définition desbesoins fonctionnels et techniques, à la migration, à l’accompagnementau changement, aux respects des règles sécuritaires et/ou juridiques...)

Selon Markess, les services à valeur ajoutée (paramétrage, intégration,services managés, services d’exploitation d’environnements hébergésdans des Clouds…) comptent aussi pour une part non négligeable dumarché.

Et la tendance à la verticalisation des offres permet de mieux répondre àdes enjeux sectoriels ou métiers spécifiques avec des solutions adaptéesau contexte et aux contraintes (cf. la réglementation) de certains secteursd’activité

L’adoption du Big Data dans les entreprises françaises semble sur le pointde décoller. Selon une étude IDC réalisée en juin 2014, près d’uneentreprise sur deux a déjà mis en place cette technologie ou envisage dele faire. Dans 65% des cas, l’analyse en temps réel des données estconsidérée comme un enjeu métier majeur. Des gains considérables sontattendus dans des secteurs comme la santé, l’administration ou ladistribution. 29

Chiffres clés Cloud France 2015Marché estimé à près de 5 Mrd €+19,5% entre 2014 et 2015Source : Markess

Marché du big data France 285 M€ en 2014652 M€ en 2018Source : IDC

Cloud & big data sur AMP : une situation stratégique à exploiter Grâce à la présence de multiples points d’atterrissage des câblessous-marins de télécommunications à Marseille, le territoire MP setrouve au carrefour de la connectivité entre l’Europe du Sud, l’Asie,l’Afrique et le Moyen-Orient.

Dans les années à venir des câbles sous-marins de fibre optique denouvelle génération qui pourront transporter encore plus dedonnées vont être installés.

Cette situation stratégique au cœur des autoroutes de l’informationreprésente un atout considérable pour MP et lui permet dedévelopper une bonne offre de data centers. Ils sont 8 à êtreimplantés sur Aix, Marseille ou La Ciotat parmi lesquels on peutciter : Jaguar network, Interxion, IELO, Acropolis, ASP Serveur …

C'est un atout pour le développement du cloud computing local quibénéficie ainsi de la partie Infrastructure (IaaS) nécessaire audéveloppement de ces projets.

Sur cette ossature viennent ainsi s’appuyer des offres de PaaS, SaaSet services associés avec des sociétés de conseils et d’ingénieriecomme Servebox à Aix, Nova Things (sécurisation des donnéespersonnelles sur le cloud), ou Treeptik qui vient de lancer uneplateforme pour le développement d’application dans le cloud (PaaSJava cloud unit)

MP: Au cœur des autoroutes de l’information

. 1er hub européen de connexion aux autoroutes de l’information mondiales reliant l’Europe, Moyen Orient, l’Océan Indien / l’Afrique de l’Est et l’Asie.1ère localisation de datacenters en France après Paris, 8 data centers dont 1 Tier IV et 3 Tiers III

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Cloud & big data sur AMP : Leaders, start’up et projets structurants

Des start’up : AMSolutions (collecte, traitement, analyse des données de la grande distribution), Bittle solutions (tableaux de Bord multicloud en ligne), Wooxo (sauvegarde et cloud entreprise), Mixxit (communication unifiée en mode cloud )…

Outre sa situation stratégique au carrefour des autoroutes de l’information, Marseille Provence dispose aussi à son actif d’un tissu d’entreprises composé de leaders, de start’up mais aussi de projets majeurs qui contribue au renforcement de son attractivité dans le domaine du big data & du cloud computing.

Des leaders : Jaguar networks, Interxion, ASP serveur…

Opérationnel courant 2017, il sera implanté en face du Data center marseillais et disposera d’un bâtiment de 5 000m² à l’architecture innovante équipé de l’ensemble des outils et des espaces nécessaires à l’éclosion de projets technologiques à très forte valeur ajoutée:. moyens techniques hauts de gammes actuels (fibre optique, débit, stockage…) . Accompagnement technique et financier. . Appui en marketing technique pour se concentrer sur les technologies qui permettent répondre à une demande du marché (et non l’inverse) A ce jour au moins 2 startups sont déjà en cours d’accélération : Omycron & Mentis services

La société Jaguar Network, opérateur télécom et hébergeur de données spécialisé dans le Big Data porte le projet d’un accélérateur dédié aux start’up à très fort contenu technologique avec des modèles disruptifs.

L’accélérateur Jaguar networks

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E-santé

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E-santé : un marché porteurFace au vieillissement de la population, au développement desmaladies chroniques et la nécessité de maîtriser et réduire lesdépenses de santé en France, la e-santé apparaît aujourd’huicomme réponse à ces défis majeurs.

Le marché est vaste : il concerne l’ensemble du parcours desoins, de la prévention et du bien être du patient jusqu’aucontrôle et au suivi en passant par le diagnostic et letraitement.Les offres sont multiples et ne cessent croître, des seriousgames, aux applications mobiles, en passant par les solutionsmétiers et de télémédecine ou les systèmes de gestionélectronique des images médicales (PACS), la médecineprédictive mais aussi des innovations qui s’imposentdésormais dans le paysage de la santé digitale « leswearables » ces vêtements et accessoires équipés de capteurspour mesurer certains paramètres biologiques (IMC,glycémie…).

Le marché de la e-santé concerne l’ensemble du parcours de soins

Chiffres clés e-santé France 2015. Un marché de 3Mrds €. 30 000 emplois(Estimation sur la base etude Xerfi 2013)

Wearables et m santé ont le vent en poupe au CES 2015Wearables : un marché estimé à 30Mrds£ pour 2018M santé : .65% des professionnels de santé déclarent utiliser des applications santé pour leur pratique.

. En 2017, le marché devrait être multiplié par 11, et

. 50% des mobinautes auront au moins une application de santé sur leur smartphone, choisie parmi les 100 000 produits du marché33

Le Livre blanc de l’ordre national des médecins « Santé connectée », les travaux du Groupe de travail du Comité Stratégique de filière Santé « Mesure 33 » pour développer des projets champions, le rapport « La santé bien commun de la société numérique » du Conseil National du numérique pour renforcer un écosystème d’innovation en santé rendu en Octobre dernier à Marisol Touraine, sont autant de signaux forts marquant l’implication et la volonté de l’ensemble des acteurs pour faire de la esanté française une filière d’excellence. Il découle de chacun de ces travaux des recommandations et des propositions d’actions concrètes. Comme pour marquer qu’elles sont désormais en ordre de marche pour atteindre cet objectif les 5 principales organisations professionnelles des entreprises de solutions e-santé se sont regroupées au sein de l’alliance eHealth France et accroître la visibilité et l’impact de la filière ( FEIMA, le LEEM, LESISS, le SNITEM et Syntec Numérique).

E-santé : des freins réglementaires et culturels qui se lèvent

2015 : Mobilisation des acteurs et plan d’action pour une e-santé compétitive

Mobilisation des acteurs, proposition, actions concrètes, confiance croissante dans le numérique l’année 2015 semble marquer la disparition des verrous règlementaires et culturels (assurance maladie, protection des données personnelles …) qui entravaient le développement de la filière dans l’hexagone

Les 5 organisations professionnelles de l’alliance ehealth France

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E-santé : des freins réglementaires et culturels qui se lèvent

En parallèle, les freins culturels se lèvent aussi, la confiance de la plupart des acteurs dans l’usage des technologies du numérique a nettement évolué et continue à gagner du terrain notamment chez :. les professionnels de la santé : Particulièrement les médecins généralistes qui selon le baromètre 2015 CESSI/IPSOS ont une pratique d’internet de plus en plus importante (71% d’entre eux se connectent au moins une fois par jour à Internet vs 67% en 2014) et dontl’équipement en smartphone progresse (80% vs 73%).. les patients : 3 sur 4 se disent prêts aux services d’esanté et 85% d’entre eux plébiscitent le dossier électronique, qu’ils pourraient alimenter sans restriction, un chiffre en hausse de 11 points en trois ans (source baromètre du syntec numeriqueoctobre 2013)

Source baromètre des pratiques numériques des professionnels de santé CESSIM/IPSOS 2015

Une confiance des acteurs dans l’usage du numérique qui gagne du terrain

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AMP : un environnement favorable au développement des entreprises dans la e-santé

Aix Marseille Provence dispose de nombreuses expertises et atouts :> 2 pôles de compétitivité convergents vers l’e-santé : le pôle SCS et le pôle Eurobiomed(et des synergies avec OPTITEC et le pôle SAP… )> Un dispositif complet et développé d’appui à la création de start-up . Plusieurs incubateurs et pépinières technologiques> Des acteurs pour faciliter l’innovation dans le domaine :. Une plateforme technologique pour tester les innovations notamment dans le domaine de la RFID ( Connectwave) et a proximité une spécialisée plateforme dans la mobilité à Nice . le centre national de références RFID à Rousset et dans la région le CNR Santé à Nice > 1 établissement de soins locomotive :L ’APHM 1er employeur du territoire qui peut expérimenter et déployer les innovations (300 000 patients hospitalisés par an).> Une filière santé régionale structurée: l’Interpro santéL'Interpro santé, structure d’appui innovante et inédite en France, intervient en transversalité et en complémentarité des branches professionnelles sur les problématiques de la filière. Elle regroupe entrepreneurs publics, privés et associatifs du secteur de la santé.

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> Un segment logiciel, services informatiques et conseils dense. des entreprises leaders comme EMA société d’ingénierie médicale à Aix en Provence qui développe des applications d’aide à la gestion en temps réel du dossier patient en néphrologie et dialyse ou Softway médical un éditeur majeur des systèmes d’informations en France spécialisé dans les logiciels de santé, à la fois pour les établissements de santé et pour les centres d’imagerie libéraux basé à Meyreuil. . Des start’up comme Olea médical à la Ciotat qui développe des solutions logicielles dans le domaine des AVC et des tumeurs cérébrales , ESPHI qui vient de développer des bracelets de « monitoring » pour des usages sportifs, médicaux, ou de bien être ou ESP consulting spécialisé dans la santé et la performance sportive, SANOIA (plateforme dédiée aux patients pour l’auto-suivi de maladie chronique) ou H4D (cabines de téléconsultation)… . Des solutions innovantes à surveiller de près : I3S solution(Tags anti errance), Snoos (tablettes seniors), Axyn Robotique (robots d’aide aux personnes âgées), Pocrame ((Bornes laboratoires mobiles communicantes, géolocalisables)

Psion teklogix, Tagsys,LaCyber compagnie-snoos…

Orange , SFR, Jaguar network,Softway médical services

Bazile télécom, Interway

Enovacom, softwaymédical, Medisys, Anticyclone, EMA hemadialyse, Olea Medical,H4D, I3S, ESPHI, ATOS, IBM…

SANOIA, 2J process

Des entreprises présentes sur tous les niveaux de la chaine de valeur

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Marketing digital & Transmedia

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En réponse au contexte de convergence technologique et de mutationsdes usages, les contenus se sont faits multi supports (convergence desmedias TV, web, mobile, cinéma), géolocalisés, ubiquitaires,communautaires ; ils se diffusent de plus en plus via des plateformes etbientôt via des objets communicants (Internet of Things).

Les auteurs et les producteurs de contenu se doivent a minimaaujourd’hui de penser le déploiement de leurs contenus sur plusieurssupports (cross-media) et idéalement dans un mode qui favorisel’interaction, la participation et l’immersion du spectateur pour uneexpérience-utilisateur maximale: c’est ce que propose le transmédia.

Les mondes du marketing et de la communication ont bien saisi lesopportunités offertes par les nouvelles possibilités d’interactions entreles marques et les consommateurs, qui déclinent de plus en plusfréquemment des campagnes transmedia pour les annonceurs.

Cette convergence des medias présente des opportunités fortes pour lesentreprises de l’audiovisuel, du web, du mobile, du marketing et de lacommunication digitale.

Marketing digital & Transmedia : des opportunités fortes à saisir dans le secteur des médias et loisirs ...

Le transmédia est une nouvelle façon defaire, d’écrire, de transmettre au public etde monétiser des œuvres, qui touchel’ensemble des industries des contenus etservices numériques. A la différence ducross-média qui décline un même contenusur plusieurs supports, le transmédiaarticule un univers narratif original,fragmenté sur différents médiascomplémentaires.Cet univers est porté par différentssupports qui apportent, grâce à leurspécificité d'usage et leur capacitétechnologique, un regard nouveau etcomplémentaire sur l'univers et l'histoire.

Selon une étude PWC de 2015, le marché mondial des Médias et Loisirs devrait croître à un rythme de 5,1% par an pour atteindre 2 230 milliards de dollars en 2019.Internet et le digital devraient contribuer à plus de 80% de la croissance à horizon 2019.

Une croissance française qui s’appuie sur une publicité Internet très dynamique

La France dispose d’un marché mature avec en prévision une croissance moyenne de 3,2%/an d’ici 2019.Internet et le digital contribueront à 100% à la croissance du secteur à horizon 2019.Avec une croissance annuelle moyenne de 14,4% la publicité internet porte le secteur français des Médias et Loisirs, et place la France au 3ème rang du marché européen sur ce segment.

Taux de croissance annuel moyen par support média(France 2015-2019)

… car la croissance de celui-ci sera portée par le digital

Source: Global Entertainment & Media Outlook 2015-2019-PWC

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Aux cotés de TelFrance, leader sur le marché de la fiction quotidienne, qui produit à Marseille le feuilleton Plus belle la vie et cumule plus de 338h de diffusion chaque année, des acteurs de plus petite taille comme Films du soleil, Studio 555, 13 productions… Forge animation développe un long métrage d’animation décliné de façon complémentaire avec un jeu vidéo et des applications mobiles. A cette fin, le studio, capitalisé en 2011 par des Business Angels (Alumni Angels, Savoie Angels), acquiert des licences à fort potentiel, qu’il produit et réalise.

AMP : toutes les compétences pour l’ancrage d’un écosystème Transmédia

L’audiovisuelLes entreprises leaders : TelFrance, Forge animation, Films du soleilDes start’up :La planète rouge, Gobi studio, Primcode, Nexvision

Le marketing et communication digitalesLes entreprises leaders : Groupe High Co, Custom solutions, Varibase, Prodirectmarketing, Eliophot, Digital virgo

Des start-up :Ldmobile, Makazi, Nextperformance, So Buzz, iMakeit4U, Correlis, Darwin interactive,

150 agences de marketing et communication digitales ont été recensées sur les BdR, proposant la création de site web, des conseils en webmarketing, du communitymanagement, des services interactifs (fidélisation, gamification..) ou un panel de services multimédia (application mobile, visite virtuelle…). Aux cotés des agences « généralistes » qui se sont développées dans le digital comme le groupe HighCo, des plateformes comme Oxatis ou Jalis et des pépites technologiques ont éclos notamment dans la e-publicité.

Les start’up :C4M Prod, Exkee Prod,

Indeego games, Gerwinsoftware, Honikou games,Royal App, Royal Cactus

Les jeux videoQuelques pépites notamment sur le Pays d'Aix, créateurs de jeux vidéo, pour mobiles et réseaux sociaux commencent à se faire un nom dans un univers très concurrentiel où les sociétés sont confrontées à un double défi : anticiper les évolutions du marché mais aussi trouver des ressources et des fonds pour financer les productions.

Le site réunit sur 23 000m² une cinquantaine de PME représentant 1 000emplois et des acteurs publics emblématiques de la filière (cluster PRIMI,Incubateur de la Belle de Mai, Pépinière Marseille Innovation…).Il accueille depuis peu un studio de Motion capture « MoCAP », opéré parTelFrance. Il permettra aux professionnels d’accéder aux technologies demotion capture qui consistent à enregistrer grâce aux capteurs demouvements placés sur le corps, les mouvements d’un modèle vivant afinde les intégrer dans un univers virtuel. C’est le deuxième studio de ce genreen France.Un projet d’extension (Pôle Média 2.0 ) dans un nouveau bâtiment phare permettra :˃ d’accueillir de nouvelles startups et des entreprises « matures », ˃ de mettre à disposition des acteurs locaux un ensemble d'équipements pour le dynamisme de l’écosystème local ( « cantine » numérique/ espace de coworking, un espace de socialisation et de démonstration (showroom)…)˃ de regrouper sur un même site les écoles dédiées aux métiers de l’image, du son et du numérique (ateliers de l’image et du son, école transmédia, école de l’internet, école de la fiction portée par Tel France),˃ de créer un transmédialab conçu comme un lieu « ouvert » de R&D (expérimentation, équipements, veille informative), permettant d’expérimenter de nouveaux usages dans le domaine de l’audiovisuel et des nouvelles écritures.

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Le Pôle Média s’est imposé depuis sa création en2004 comme «le» lieu privilégié de toutes lesactivités de l’image, du son et du multimédia.Initiés et gérés par Groupe TSF, Groupe Image, LesFilms du Soleil, les Studios de Marseille accueillentquotidiennement depuis plusieurs années letournage du feuilleton « Plus belle la vie » produitpar France 3 et TelFrance/newen. Une télévisionlocale, La Chaîne Marseille (LCM), diffusée 24h sur24, a également choisi le Pôle Média pour yinstaller ses plateaux, ses journalistes et sestechniciens.

Le pôle média de la Belle de Mai : le lieu de convergence des technologies et de la production de contenus

Objets connectés

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En France, 2 milliards d’objets connectés devraient être vendus de 2015 à 2020, selon GFK. En moyenne, chaque foyer français devrait disposer d’une trentaine d’objets. Mais si le marché a certes doublé l'an dernier, à 150M€, il ne pèse pour autant que 1% du total des équipements high tech vendus en France et les chiffres annoncés englobent trop d’objets pour être révélateur (wearables , ordinateurs, tablettes...et les voitures).

Le marché des "wearables", apparu avant les autres, tire son épingle du jeu avec un CA de 90M€ et les autres segments identifiés par GfK sont encore à leur balbutiements (drones de loisirs, gadgets connectés, produits de santé, …). Ils ne permettent pas à ce jour à leurs acteurs de dégager des bénéfices.

La maison connectée (box domotiques, alarmes et serrures connectées, électroménager...) semble elle vouée à un avenir prometteur à court terme avec un chiffre d'affaires attendu de 3,2 milliards d'euros .Le marché est en pleine croissance, l’Hexagone compte déjà plusieurs entreprises connues dans le secteur ( Withings, Netatmo, Parrot… ) et il intéresse désormais les industriels français.

Objets connectés: des prévisions très encourageantes

Wearables et smart home des marchés prometteurs (source GFK 2014- Lascom)

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Marché IoT dans le monde2014 : 655,8 Mrd $2020 : 1 700 Mrd $ (+16,9% par an)Source : IDC

Marseille Provence possède un écosystème propice au développement detoutes les applications en rapport avec l’IoT (internet des objets) . Porté parles plates-formes R&D du Centre intégré de microélectronique (CIM Paca), dupôle de compétitivité Solutions communicantes sécurisées (SCS), du Centrenational RFID, de pépinières d’entreprises innovantes comme celle deMeyreuil , Marseille Provence se positionne comme terre d’innovation dansle domaine des objets connectés et du sans-contact .Dans les 10 dernières années les investissements dans des projets R&D (plusde 200 M€ selon le Pôle SCS) ont favorisé l’émergence de nombreuseinnovations sur le territoire.

Dans le sillage des entreprises pionnières, des start’up et des pépitesprometteuses émergent portant des applications dans les domaines :. industriels : comme Tagsys et ses systèmes innovants de gestiond’inventaire, Traxens et son « traceur » de conteneur, ou éditag et son« Moontag « une étiquette hybride d’identification RFID suivi des conteneurs. domestiques : Ween et son thermostat intelligent, HDSN et son « Kub e-sylife pour la supervision à distance de l’habitat. ou urbains : Terradona et sa solution innovante de tri des déchets pour lessmartcity, Think&Go et ses écrans connectés

Objets connectés sur AMP : un écosystème porteur

Des entreprises leaders : Editag, Innova card, Inside secure, NeowaveNewsteo,Tagsys,STID…

Des start’up et des pépites : Novathings (sauvegarde de données), Fenotech (interface de connexion d’objets), SP3H (capteur de carburant), ADD « Alert Gasoil » (outil de mesure de carburant), Ween (confort thermique) , Terradona (tri des déchets), Anyces(télécommande sans internet), HDSN (supervision de l’habitat), Think&go (écrans connectés)…

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Objets connectés sur AMP : des initiatives et des projets à exploiter

Crée en 2015 à Rousset à l’initiative du CNRFID, Connectwave est une plateforme unique d’expérimentation et d’usages dédiée aux objets connectés et au sans-contact (RFID, NFC…). C’est aussi une vitrine technologique grandeur nature qui se décline en concept d’exposition itinérant dans les événements clés dédiés aux objets connectés grâce à des démonstrations d’applications existantes. Lieu de tests et de compréhension des usages et des technologies à vocation nationale, il s’adresse à l’ensemble des acteurs investis dans le déploiement des solutions sans-contact (fournisseurs de solutions, acteurs industriels…) et de tous horizons sectoriels (aéronautique, commerce…) et leur permet de concrétiser leurs projets.Marseille-Provence a été hôte en 2015 de la 6eme édition de l’ International RFID congressorganisé par le CNRFID. Orienté vers les objets connectés, leurs applications dans l’industrie, le commerce, la santé et les collectivités locales, 2 de nos entreprises locales ont été récompensées :Tagsys : prix de la meilleure innovation technologique pour la numérisation des processus de gestion des ressources en magasin grâce à sa plateforme 3D.Inside secure: meilleure solution NFC pour sa solution de traçabilité et d’authentification des vins et spiritueux.

Initié par le Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, et crée en 2008 par le Pôle SCS, le Centre National de Référence RFID a pour vocation de faciliter l’adoption et l’appropriation des technologies Sans-Contact (RFID et NFC) auprès des professionnels. Il fédère près de 150 acteurs du sans-contact au niveau national et international . Engagé dans l’une des 9 Solutions industrielles françaises du projet Industrie du Futur, il est partie prenante de la French Tech. Basé à Rousset, il contribue à l’attractivité du territoire et joue avec le Pôle SCS et le CIM un rôle moteur dans l’animation et le rayonnement de l’écosystème avec notamment à son initiative la création de Connectwave et l’organisation du 6ème International RFID congress.

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Smart cities

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Smart Cities : une nouvelle façon de penser la ville

17.000 Mrds € à l’horizon 2022 : Un marché mondial encore peu exploré mais prometteur Selon une étude menée par l'américain Cisco, leader mondial des réseauxnumériques, le marché mondial des smart cities générera 17.000 Mrds €de revenus au niveau mondial d'ici à 2022, avec 4.350 Mrds € pour le seulsecteur public. A ce jour ce sont les poids lourds américains (Cisco, IBM) etchinois (Huawei) qui occupent ce secteur.La France juste derrière la Chine et les Etats-UnisEn France, Cisco évalue les enjeux financiers à 165 milliards d'euros d'ici à2022, juste derrière la Chine et les États-Unis.Avec 10 entreprises du CAC 40 parmi les leaders mondiaux la France estbien positionné sur le marché . On y trouve: EDF, ENGIE, Veolia, SchneiderElectric dans le secteur de l’énergie, Orange dans les télécoms et Vinci,Lafarge, Saint-Gobain pour le bâtiment .

Le concept de « smart city » ou ville intelligente correspond à une nouvelle façon de penser la ville, le service urbain et l’interaction de ses différents acteurs (administration, habitants, entreprises).A l’horizon 2050 la population de la planète devrait atteindre 9 milliards d’individus et près de 70 % de la population de la planète vivra en zone urbaine. En France les grands pôles urbains concentrent déjà plus de 80% de la population.Dans ce contexte d'urbanisation croissante, les villes et les territoires doivent optimiser leur fonctionnement tout en réduisant leurs coûts. Des transports à l'approvisionnement en énergie, de la gestion des déchets aux services urbains innovants, tous les secteurs sont concernés. Pour répondre aux enjeux de la ville de demain, la « Smart City » intègre des technologies numériques au cœur de l’environnement urbain.

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Smart Cities sur AMP: vers une métropole intelligente et connectée Développement harmonieux, levier de croissance et d’attractivité du territoire, la smart city est un est un enjeu primordial à double titre pour la métropole la plus peuplé de l’hexagone après Paris.Qu’il s’agisse de transport, d’énergie, de déchets, de logement, de sécurité ou de services aux citoyens, il est crucial de réfléchir et d’anticiper les infrastructures et solutions modernes à mettre en place pour que la smart métropole soit le garant d'une meilleure qualité de vie des citoyens mais aussi être un levier de croissance économique fort pour MP permettant de contribuer au développement de l’écosystème numérique. Dans cette perspective, la Mission Interministérielle pour le projet métropolitain et la Caisse des Dépôts ont lancé une « étude pour la prise en compte du Numérique dans la construction de la métropole Aix-Marseille-Provence ». Son objectif est d’aboutir à un document d’interpellation stratégique permettant de partager les enjeux, formuler des visions, identifier des projets, et proposer une hiérarchisation des priorités pour construire une métropole innovante et intelligente. Comme l’a révélé le 1er forum smart City Marseille Méditerranée en septembre dernier MP dispose déjà d’atouts :A la fois métropole connectée (400 000 foyers sont équipés en Haut et très haut débit à Marseille), ouverte sur le monde et ingénieuse avec un secteur numérique d’où commence à émerger des start’up présentant des solutions innovantes dans différents domaines… elle développe aussi désormais des initiatives « smart » concrètes:> dans le domaine portuaire avec le déploiement en 2017 sur le GPMM de la nouvelle solution de "Cargo Community System" de la société MGI pour la gestion des flux de marchandises en "porte-à-porte" dans les ports et aéroports.> mais aussi dans différentes villes de la métropole… 45

Start’up et initiatives « smarts » sur AMP

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Initiatives dans les villes . A Aix des bornes numériques intégrées au mobilier urbain et équipées d’un écran tactile proposant des bouquets de services (accès wi-fi, actualités…), des informations pratiques mises à jour en temps réel et des applications smart phone.. A Venelles où l’association des commerçants locaux a développé une application pour smartphones permettant de trouver gratuitement et rapidement un commerce sur la commune.. A Meyreuil où a été installé le 1er collecteur de déchets intelligent de la start’up Terradona qui permet d’identifier l’usager lors de son dépôt dans une borne de tri sélectif et de le récompenser. A fin 2015 ces systèmes équiperont aussi les conteneurs de tri pour le verre la Communauté du Pays d'Aix et Marseille Provence Métropole.. A Marseille une solution d’autopartage électrique développée par la start’up Totem Mobi, met à disposition 20 véhicules fonctionnant sur batterie, géolocalisables avec une application smartphone à télécharger, et l’application Saytaxi qui facilite la mise en relation des taxis avec les clients en leur proposant le taxi partenaire disponible le plus proche.Start’up MP . Rendezvouscheznous.com dans le tourisme, un site qui offre aux touristes la possibilité de découvrir la région à travers plus de 200 activités. Smart cycle, application web et mobile de revalorisation locale et solidaire des rebuts urbains de tout types (objets, gravats, déchets…) qui fonctionne par géolocalisation. Développée par les étudiants de l’IAE d’Aix et d’AMU, la start’up a été séléctionnée dans le programme EDF « 10 projets pour le climat ». Terradona à Aix en Provence, spécialisée dans le développement durable et la technologie qui développe des dessolutions innovantes pour accompagner nos villes à faire des économies dans le recyclage des déchets (containers de recyclage intelligents). INU start’up aixoise qui a développé pour les commerçants locaux une application mobile réunissant tous les services, de la géolocalisation d’un magasin, en passant par la dernière promotion, les tendances et astuces.. My Galoo portail de services pour les associations et les clubs, contenant de la billetterie en ligne, du crowdfunding, de l’encaissement de cotisations ou de l’appel aux dons. Ces services sont inclus dans un portail associatif proposé aux collectivités.

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Smart Cities sur AMP: des projets structurants

Inspiré des campus américains, The Camp est un laboratoire international d’innovation de formation et d’expérimentations numériques orienté vers la ville intelligente et durable.Ce projet d’accélérateur visant à accompagner la création et la croissance de startups est un des fers de lance de la labellisation « French tech » du territoire.Ce tiers lieu est conçu pour permettre le travail en commun de multiples acteurs, grands groupes, PME, startups, scientifiques, étudiants, collectivités locales, État(s), financeurs pour développer les nouveaux services, les nouvelles technologies, les nouveaux modèles économiques, juridiques et financiers de la ville de demain.Initiative privée –publique dotée d’un budget de 75M€ qui verra le jour à l’horizon 2017 sur le technopôle de l’Arbois, The Camp positionnera la métropole d’Aix-Marseille-Provence comme référence internationale dans la recherche, la création et l’expérimentation des solutions pour rendre la ville du futur plus durable, plus équitable et plus humaine.

The Camp en chiffres :. Un budget de 75M€. 7Ha de nature sur le technopole de l’Arbois . 12 000 m²de bâtiments dont :. 3 500 m² dédiés aux entreprises et à la formation.Une cafétéria de 600m² ouverte 24h/24h et 7j/7j. 7000 m² de surface de résidences hôtelières, soit 284 chambres

The Camp : un hub de compétences international pour faciliter le développement des projets collaboratifs

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Smart Cities sur MP: Des projets structurants

Donner naissance à un écoquartier, au service des habitants et des usagers, c’est l’objectif de l’îlot démonstrateur Allar, ou « Smartseille ».Initié par Euroméditerranée . Le site, situé au nord de la ville, va permettre de tester les principes fondateurs d’une ville plus intelligente, plus harmonieuse, où chacun de ses aspects fondamentaux est réfléchi et rationalisé.Le projet apparait exemplaire à plusieurs titres :. Il apporte des réponses aux problématiques d’habitat, de déplacements, de nature en ville, de services et de réseaux,. Il contribue à la valorisation de savoir-faire et de technologies spécifiques et concentre de nombreuses innovations s’appuyant sur le numérique.. Il associe des acteurs de toutes natures dans une démarche participative : des grands comptes (Eiffage, EDF, Orange…), des PME et des start-ups (Polypop, 3D Enodo, Zenpark, Echy…).Ce prototype de 58 000 m2 de logements, bureaux et équipements préfigure la ville idéale de demain avec des e-services performants, des transports doux, une valorisation des déchets, une mixité sociale, fonctionnelle et générationnelle.Il est la préfiguration d’un écoquartier plus vaste au sein d’une ZAC de 700 000 m² : l’îlot XXL futur FABLAB de la ville durable méditerranéenne.

L’écoquartier « smartseille » en chiffres :. 2,7 hectares. 3 000 m2 de commerces et services. 58 000 m2 de logements, bureaux et équipements. 385 logements. 90 chambres d’hôtel. 1 crèche. 1 résidence pour personnes âgées

Smartseille: l’îlot démonstrateur Allar

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Annexes

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Réseaux & services télecoms

Logiciels & services

informatiques

Contenus & services

numériques

Distribution & réparation

Autres activitésliées aux TIC**


STMICROELECTRONICS

MIRION TECHNOLOGIES

ATMEL ROUSSET

INSIDE SECURE

TOPPAN PHOTOMASKS

SMART PACKAGING SOLUTIONS

ENERGIE INDUSTRIE SERVICES

CONTROLE MESURE REGULATION

ITAS MEDITERRANEE

SYSTELCOM

FUTUR TELECOM

JAGUAR NETWORK

GENERATION HAUT DEBIT

AEXPERTISE

WINEA

CALL IN EUROPE

AUBACOM

PACWAN

SACHA BTEL

TECH&ME

SYNCHRONE TECHNOLOGIES

AMESYS CONSEIL

CMA SYSTEMS

SA QUADRATUS

DIGINEXT

LA CENTRALE DES MARCHES PRIVES

WYPLAYSOCIETE MEDITERRANEENNE D ETUDES ET D INFORMATIQUEINTERWAY

CITYWAY

AVENIR TELECOM

PSION EUROPE SAS

ORBITE

L' AGENCE TELECOM

PSION SAS

FEEDER

THEMYS

AVON COMMUNICATIONS

OMNIBURO

ELECTRO SUD-EST

ADREXO

LA PROVENCE

CERTICALL

REGICOM

CONCEPT MULTIMEDIAPHONE MARKETING MEDITERRANEE

OPTIMARK

ACTES SUD

HIGH CO DATA

GROUPE EDITOR

ENTREPRISE GLE ELECTRICITE NOEL BERANGER

GRANIOU AZUR

THALES SESO SAS

DALTYS SUD

INABENSA FRANCE SASL'IGLOO DISTRIBUTION AUTOMATIQUEENTREPRISE TESTONI ELECTRICITE GENERALEENTREPRISE GLE D ELECTRICITE LEON BROUQUIER

SYNAPSYS

MARSEILLE ECLAIRAGE

Top 10 des employeurs* sur les BdR par segments

Quelques entreprises bien que « hors département » sont des employeurs notables au travers de leurs établissements implantés sur le territoire. Parmi elles on peut citer :

ACTIA TELECOMHONEYWELL…

ORANGEBOUYGUES TELECOMCIRCETSPIE COMMUNICATIONSNUMERICABLE…

Société pour l’informatique IndustrielBULL SASIBM FranceSOGETI France…

SFR services clientsFrance Télévisions,B2S AixMBA Productions…

INEO INFRACOMSOBECA…

Relais FNACXEROXNEXTIRAONE…

* Dont le siège social est situé dans le département des BdR**le champs statistique « autres activités liées aux TIC intègre les entreprises du secteur construction de réseaux électrique et télécommunication et la vente par automate

Précisions méthodologiques

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1) Estimation du chiffre d’affaires.Le chiffre d’affaire de chaque segment du numérique est estimé en utilisant trois sources : • Données sur les bilans des entreprises locales, permettant d’extraire le chiffre d’affaire et l’emploi (sur 2013).• L’emploi Urssaf, qui sert de base d’estimation pour évaluer l’activité (2014).• Les ratios CA/emplois issus de l’enquête nationale ESANE de l’INSEE.Pour chaque secteur (code APE) on effectue le calcul suivant• Extraction du CA et l’emploi des entreprises locales, cela donne un CA « observé » et un emploi « observé ».• Calcul de l’emploi « non observés » (Emplois Urssaf – Emplois « observé »)• Calcul du CA « estimé » à partir des ratios ESANE : CA/emploi « ESANE » * emplois « non observé »Au final cela donne : Estimation CA = CA « observé » + CA/emploi « ESANE » * (Emplois Urssaf – Emplois « observé »)Sous contrainte : emplois « observé » + emplois « non observé » = emploi « Urssaf »Puis regroupement au niveau des segments de l’étude.

2) Le chiffre d’affaires export.Il s’agit des CA observés au niveau de l’entreprise (siège) via l’étude des bilans des entreprises locales. Aucune estimation n’est réalisée

Documents

L’économie numérique sur Aix Marseille-Provence Vente à distance sur catalogue spécialisé 9511Z Réparation d'ordinateurs et d'équipements périphériques 9512Z Réparation