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Les auteursMarie-Pierre Bès est professeure de sociologie à l’Université Toulouse Jean Jaurès et chercheuse au LISST. Ses travaux portent sur les réseaux sociaux, et en particulier sur les réseaux personnels (d’étudiants, d’ingénieurs, de chercheurs), et les réseaux entre organisations (entreprises, laboratoires, écoles).Claire Bidart est directrice de recherche au CNRS au LEST, Aix Marseille Université. Elle travaille sur les dynamiques relationnelles, les évolutions des réseaux personnels et les bifurcations biographiques.Vincent Cardon est maître de conférences à l’Université Picardie Jules Verne et chercheur au Curapp-ESS (UPJV-CNRS). Il travaille notamment sur les carrières et biographies professionnelles.Cécile Charlap est maîtresse de conférences en sociologie à l’Université Toulouse Jean Jaurès et chercheuse au LISST. Ses travaux croisent les ques-tions de genre, santé et vieillissement. Elle a publié récemment La fabrique de la ménopause (2019).Anaïs Collet est maîtresse de conférences en sociologie à l’Université de Strasbourg, membre du laboratoire SAGE (UMR 7363) et chercheuse associée à l’INED. Adrien Defossez est maître de conférences à l’école d’ingénieurs ISIS (Institut national universitaire Champollion) et chercheur au LISST. Ses travaux portent sur les réseaux personnels en lien avec les questions de santé et de maladie.Jean-Luc Demonsant est ingénieur au sein de la Plateforme universitaire de données (PUD) de Toulouse.Guillaume Favre est maître de conférences en sociologie à l’Université Toulouse Jean Jaurès. Ses travaux portent sur l’évolution des réseaux per-sonnels et des sociabilités au cours des dernières décennies.Julien Figeac est chargé de recherche au CNRS. Ses recherches traitent des usages des technologies de la communication et de leurs effets sur les sociabilités.Colin Giraud est maître de conférence en sociologie à l’Université Paris Nanterre et membre de l’équipe CSU du CRESPPA (UMR7217).

PERSONNE NE BOUGE

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Frédéric Gonthier est professeur de science politique à Sciences Po Grenoble, Pacte-CNRS. Ses travaux portent sur les attitudes à l’égard de l’économie et de l’État providence en France et en Europe.Michel Grossetti est directeur de recherches au CNRS et directeur d’études à l’EHESS, il travaille sur les processus et les réseaux sociaux.Tristan Guerra est doctorant en science politique au sein du laboratoire Pacte à Grenoble. Ses travaux portent sur les dynamiques de polarisation de l’opinion publique en Europe.Léo Joubert est docteur en sociologie au Laboratoire d’Economie et de Sociologie du Travail (LEST). Ses recherches portent sur les biens com-muns numériques.Lydie Launay est maîtresse de conférences en sociologie à l’INU Champollion, membre du LISST et chercheuse associée à l’INED. Elle travaille sur les iné-galités socio-spatiales, la mixité sociale et les sociabilités.Antoine Machut est chercheur au Data Institute à l’Université Grenoble Alpes et au laboratoire Pacte. Ses travaux portent sur les trajectoires profes-sionnelles dans les mondes incertains, en particuliers celles des journalistes.Nicolas Mariot est directeur de recherche CNRS au Centre européen de sociologie et de science politique (CNRS-Paris 1-Panthéon-Sorbonne-EHESS).Pierre Mercklé est professeur de sociologie à l’Université Grenoble Alpes. Il a publié récemment Pourquoi les top-modèles ne sourient pas (avec Baptiste Coulmont, 2020), et Un panel français. L’étude longitudinale par internet pour les sciences sociales (dirigé avec Emmanuelle Duwez, 2021).Simon Paye est maître de conférences en sociologie à l’Université de Lorraine et membre du Laboratoire lorrain de sciences sociales (2L2S). Anton Perdoncin est chercheur à l’École des hautes études en sciences sociales.Tristan Poullaouec est maître de conférences en sociologie à l’Université de Nantes. Il a publié récemment La France d’en bas ? Idées reçues sur les classes populaires (dirigé avec Olivier Masclet et Séverine Misset, 2019). Mélodie Renvoisé est infirmière et doctorante au Centre nantais de socio-logie à l’université de Nantes. Hélène Steinmetz est maîtresse de conférences en sociologie à l’Université du Havre et chercheuse au laboratoire IDEES. Ses travaux portent initialement sur les questions urbaines et le logement, en particulier sur les transforma-tions du secteur HLM en France, sur l’accession sociale à la propriété et plus récemment sur les relations de voisinage dans les quartiers populaires.Olivier Zerbib est maître de conférences en sociologie à l’Université Grenoble Alpes. Ses travaux portent sur l’analyse des pratiques culturelles et les formes de réflexivité qui y sont associées.