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Les chantiers 2012 de Colas Suisse
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Chantiers
CHANTIERS I VIE DU GROUPE I SANTÉ & SÉCURITÉ I VIE DES CENTRES I CARNET
Juillet 2012 I www.colas.ch
C’est maintenant chose faite, avec la construction d’une mini-centrale à béton ORU, d’une capacité de 30 m3/heure, le malaxeur ayant une capacité de 1.5 m3.
L’idée de cette centrale est de pro-duire des bétons non classés des-tinés à une clientèle de petits arti-sans ne désirant pas des quantités de béton importantes et n’ayant pas besoin d’un béton classé. Nous devrions ainsi pouvoir servir un client souhaitant, par exemple, seulement un quart de m3 de béton.
Nous avions déjà un prédoseur nous permettant de produire des spécia-lités comme la grave CFF, ou des mélanges particuliers. De nouveaux alimentateurs, qui se déversent sur un tapis peseur, ont été installés sur les trémies existantes. Un système de tapis pivotant pour la production de mélange sans ciment nous permet d’éviter le passage dans le malaxeur.
Cela fait quelques années déjà que Carrières d’Arvel SA réfléchit à fournir du béton prêt à l’emploi. Sur le site des carrières, il existe déjà une décharge terreuse, une décharge inerte, un centre de tri de bennes de chantier (TRI SA), un poste d’enrobage avec Famobit et un centre de recyclage avec Valormat. Il ne manquait donc qu’une centrale à béton pour que la panoplie soit complète.
CARRIèRES D’ARVEL - NOUVELLE INSTALLATION
ARVEL SE MET à PRODUIRE DU BETON PRêT à L’EMPLOI
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Grâce à l’expérience d’Ertec Genève, nous avons pu élaborer la formulation des différents mortiers, bétons et grave-ciment. Il ne reste plus qu’à développer le côté commercial.
Un grand merci à Robert Savoy qui s’est chargé du suivi de cette construction, à Gabriela Delgado d’Ertec Genève qui a développé toute la formulation des bétons, à Olivier Bard qui a réalisé tout le montage électrique de l’installa-tion et à l’équipe de l’atelier d’Arvel !
LE CHANTIER EN CHIFFRES Conduite industrielle : 3’000 m Caniveau béton coulé en place : 1’000 m Conduite EP et Eu : 3’500 m Enrobé : 7’800 tonnesDurée : 10 moisCA : CHF 5’600’000.--
Dans le cadre de sa politique de relogement des forains et des gens du voyage, le DCTI (Département des Construc-tions et des Technologies de l’Information) a mandaté Colas Genève pour aménager une plateforme de 30’000 m2 pouvant accueillir une centaine de caravanes.
Le projet consiste en la construction de places de parc, d’un bâtiment collectif (sanitaires, buanderie et salle de réunion), d’un exutoire pour acheminer les eaux pluviales dans le nant de la Bécassière et d’un bassin de rétention d’une capacité de 880 m3.
Afin de réduire la durée et le coût du chantier, une variante de stabilisation a été proposée. En collaboration avec la SCREG, le terrain a été stabilisé à l’aide d’un liant hydraulique spécial destiné à agglomérer les couches de fondation, ce qui a évité l’évacuation et la mise en décharge des matériaux sur l’ensemble de la plateforme.
Autre particularité technique, tous les réseaux d’eaux claires et d’eaux pluviales ont été exécutés sans aucun bétonnage. Ces réseaux sont tous posés avec des tuyaux PVC cr4 enrobés de gravellette. Le remblayage de ces fouilles n’a nécessité aucun apport de grave.
Enfin, une variante de caniveau béton, coulé en place, a été proposée pour permettre le remplacement des tradi-tionnelles dalles d’écoulement de type CC2. Cette solution permet de réduire le planning tout en garantissant une bonne tenue à long terme.
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COLAS gENèVE - VERSOIX
AMéNAgEMENT DES TERRAINS DE LA BéCASSIèRE
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Le projet d’extension se situe dans la zone de développement industriel et artisanal du Bois-de-Bay, sur la com-mune de Satigny. Il prévoit la création d’une nouvelle route de desserte de 1’300 m, la rue de la Maison Carrée.
Le projet comprend une chaussée de 7,5 m de largeur, 2 trottoirs de 1,5 m dans les-quels prendront place l’ensemble des ser-vices, ainsi que des bandes rudérales laté-rales.
Les travaux de génie civil nécessaires à la pose des services SIG (eau, électricité, gaz, etc.) font partie des travaux effectués.
La présence d’une ligne ALPIQ à très haute tension en travers des parcelles a fortement influencé la manière de travailler.
Le projet se situe sur le site d’anciennes gravières, dans une zone inscrite au cadastre des sites pollués.
En conséquence, pour remédier aux problèmes de pollution des remblais sur l’entier de l’emprise du chantier, il a été décidé, en collaboration avec le bureau d’ingénieurs et le maître d’ouvrage, d’évacuer un minimum de déblais en décharge DCMI ou bioactive et de stabiliser, en place, le coffre de la chaussée.
Nous remercions l’équipe de M. Bouca et toutes les personnes qui ont œuvré à la réussite de ce chantier ainsi que la FTI et le bureau d’ingénieurs T-Ingénierie pour la confiance témoignée lors de l’adjudication.
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AMéNAgEMENT DES TERRAINS DE LA BéCASSIèRE COLAS gENèVE - Z.I. DU BOIS-DE-BAY à SATIgNY
NOUVELLE ROUTE DE DESSERTE
Le chantier en chiffres
Tuyaux SIg/SwisscomDécapage de terre végétale
Terrassement pleine masse
Collecteurs EU/EC
Bordures
Revêtements bitumineux AC
Revêtements bitumineux AC EME Stabilisation
CA : CHF 5’500’000 .-- Durée : 18 mois
17’000 m 6’000 m3
10’000 m3
1’300 m 5’200 m 1’300 tonnes 2’200 tonnes10’000 m2
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L’aménagement de la route cantonale 67, nommée route de SORAL, est un projet du Département des Constructions et des Technologies de l’Information (DCTI). La construction de la piste cyclable s’étend sur 3’000 mètres environ. Le montant des travaux est de CHF 4’500’000.-- pour une durée de 1 an.
L’organisation Colas ainsi que la longueur du chantier permettent de travailler sur 3 fronts simultanés : • un atelier de terrassement en aval, • un atelier de pose de conduites industrielles et réglage,• un chantier de soutènement.
LE CHANTIER EN CHIFFRES
Fraisage revêtement bitumineux : 21’000 m2 Terrassement de chaussée : 4’000 m3
Conduites industrielles : 15’000 mlMur de soutènement ht 3.00 : 200 ml Mur en gabion : 350 m2
Paroi béton projeté : 480 m2
glissières mixtes bois/métal : 580 ml
Elargissement de chaussée et construction d’une piste cyclable. Pose de conduites industrielles sous la nouvelle piste réalisée (3’000 ml)
UN MUR EN gABION Rien de plus naturel qu’un parement minéral pour maintenir des pieds de vignes.
COLAS gENèVE - ROUTE CANTONALE 67
ROUTE DE SORAL : UN CHANTIER INNOVANT
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gLISSIèRES MIXTE BOIS/MéTALLe DCTI met un point d’honneur à sécuriser cette RC 67 et a opté pour un dispositif de retenue de qualité, type glissière mixte bois/métal, parfaitement intégrée au cadre local.
La superstructure bitumineuse mise en œuvre résulte d’une variante d’entreprise en enrobés anti-orniérants COLAO.PE (6’000 tonnes) et enrobé écologique avec l’ECOLOCOL (en-robé constitué de 100 % d’agrégat d’enrobé). Colas fait ainsi un pas de plus pour le développement durable. Félicitations aux équipes de MM. Schoerlin et Gonzalez-Perez pour la coordination, le respect de la qualité et du timing.
Construction d’un mur en gabion (boulet 120/200). Assemblage manuel pour uniformisation du parement.
PAROI EN BéTON PROJETéEncore une particularité du chantier : un soutènement passif, avec un système de tirants ancrés de 3 ml sur l’arrière du mur, pour le renfort d’un sol en déblais, et un revêtement en béton projeté sur une épaisseur de 25 cm.
ROUTE DE SORAL : UN CHANTIER INNOVANT
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LES POINTS FORTS DE LA FIBRE
• Performance et rapidité : la fibre optique supporte sans contrainte une augmentation significative de débit dans les années futures, alors que les autres technologies ont déjà presque atteint leur capacité maximale.
• Pérennité et innovation : les prochaines évolutions des services numériques nécessiteront de très hauts débits de données que seule la fibre optique pourra supporter à long terme (télévision HD, téléphonie IP, partage de fichiers, jeux en ligne, visioconférence).
• Fiabilité et qualité de service : le débit et la qualité de trans-mission sont identiques pour tous les abonnés, quelle que soit leur situation géographique.
Félicitations à l’équipe de M. Caetano pour le timing et le respect des privés.
De quoi parle-t-on concrètement ? De la «tuyau-terie» entre les ordinateurs, les téléphones, les télévisions de votre domicile et les fournisseurs de contenus. Le bon vieux câble de cuivre ne suffit plus à transporter toutes les images, conversations ou vidéos dans un temps record. Il faut donc passer à la fibre optique (FTTH) pour répondre aux besoins exponentiels de la popula-tion en matière de communication.
Les travaux consistent à tirer de nouveaux câbles dans les canalisations existantes, depuis un point de raccordement (central Swisscom) et jusqu’aux habitations concernées.
Ces aménagements se font pour des quartiers entiers comprenant une centaine d’habitations. La zone de travail actuelle sur Genève est le sec-teur de Châtelaine.
Toute cette technologie passe par ces câbles multicolores (c’est la tuyauterie) !
Ecrans toujours plus grands, résolutions toujours plus élevées et volumes de données toujours plus importants. Tout cela exige des capacités de transmission toujours plus fortes. C’est pourquoi Swisscom construit le réseau du futur : 100% fibre optique, pour une transmission des données à la vitesse de la lumière.
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LE CHANTIER EN CHIFFRES
CA : CHF 400’000.--Durée : 4 mois Tirage de fibres : 12’000 ml Percement de mur (en cumul) : 4 ml Pose de coffrets de distribution : 100 piècesCheminement intérieur d’immeuble : 1’500 ml Maître d’ouvrage : Swisscom
COLAS gENèVE - SWISSCOM
RéSEAUX EN FIBRE OPTIqUE (FTTH) : TOUJOURS PLUS !
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Pour ce faire, de nombreuses techniques plus ou moins modernes et onéreuses ont été mises en œuvre, telles que :• les murs anti-bruit, difficilement édifiables
dans le cœur des cités,• le traitement des façades avec des isolants
phoniques et le remplacement des fenêtres, solutions efficaces, qui demeurent tout de même coûteuses et longues à mettre en application.
Forte de ce constat, Colas a développé, il y a maintenant six ans, un revêtement bitumineux phono-absorbant nommé NANOSOFT, produit qui se révèle être aujourd’hui à la hauteur de nos espérances. En effet, ce produit «phare» de notre catalogue permet de réduire les nuisances sonores de neuf décibels, soit une diminution de bruit d’un facteur huit.
Séduits par ce procédé peu onéreux et rapi-dement applicable, au regard des deux points évoqués précédemment, le Canton de Genève (DCTI) met en soumission depuis quatre ans une campagne de reprofilage axée sur cette technique.
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Les nuisances sonores causées par la circulation des véhicules en ville sont un fléau que les pouvoirs politiques de nombreux pays, dont la Suisse, s’attèlent à solutionner. Le Conseil fédéral suisse a fixé comme limite l’année 2018 pour assainir les routes trop bruyantes.
LE CHANTIER EN CHIFFRES
CA : CHF 600’000.--Durée : 1 mois (de nuit)Rabotés ep. 10 cm : 6’500 m2 Pose de COLAO.PE : 850 tonnes Pose de NANOSOFT : 450 tonnes
COLAS gENèVE - CAMPAgNE DE REPROFILAgE DCTI
RéSEAUX EN FIBRE OPTIqUE (FTTH) : TOUJOURS PLUS !
LOT PHONO-ABSORBANT
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Adjudicataires de ce lot les deux années précédentes, les équipes de Colas Genève, associées à celles de Pia-sio Genève, s’affairent à rendre les routes du canton plus silencieuses, à la grande satisfaction et stupéfaction des riverains.
Douze millions de francs et quelques 4’000 tonnes de NA-NOSOFT plus tard, appliquées pour le compte du DCTI, tout sera mis en œuvre cette année pour que notre client nous renouvelle sa confiance.
Un grand merci aux équipes de Messieurs Domingo Gonzalez, Ludovic Robin et Licesio Duran pour leur im-plication sans faille.
PRINCIPE ET PRéPARATION D’UN COURS CLIENTèLE Afin de nous démarquer de la concurrence dans ce domaine, nous avons la volonté de limiter à 5 personnes chaque cours don-né, pour créer davantage de convivialité et d’interactivité entre les orateurs et les parti-cipants. De plus, nous souhaitons que nos clients bénéficient d’un aperçu global de la construction routière et qu’ils sachent où trouver les informations dans les normes, via les documents que nous leur remettons, sans les noyer sous une multitude d’informa-tions ou de détails qu’ils ne retiennent pas.
Par ailleurs, afin de préparer au mieux notre cours, en fonction des attentes de notre client, nous lui adressons, au préalable, un questionnaire afin qu’il nous indique l’intérêt qu’il porte à chacun des modules proposés. Nous adaptons ainsi le temps à disposition dans la journée en fonction de ses souhaits.
COURS DE TECHNOLOGIE
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INGÉNIÈRIE ROUTIÈRE
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ROUTE ET INDUSTRIEOUVRAGES D’ART
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De la conception à la mise en œuvre, en passant par le contrôle et le suivi des travaux, ERTEC SA apporte une
solution professionnelle, technologique et économique à tous les problèmes spécifi ques liés aux réseaux et
ouvrages routiers. ERTEC SA, bureau d’ingénieurs civils certifi é ISO 9001, 14001 et 18001, dispose également
de deux laboratoires d’analyses de matériaux, accrédités STS (Swiss Testing System) selon la norme EU 17025
à Yverdon-les-Bains et à Meyrin.
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- Direction de travaux - Suivi de chantiers
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L’auscultation, l’expertise des ouvrages d’art et des
constructions en béton hydraulique consistent à
contrôler l’état général des matériaux composant
la structure de l’ouvrage et à établir un constat.
- Audit de sécurité routière
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- Plan directeur de la sécurité routièreERTEC détient deux laboratoires routiers
modernes et performants à Yverdon-les-Bains
(VD) et à Meyrin (GE). Les deux entités sont accré-
ditées selon la norme ISO 17025 : depuis 1995 pour
Yverdon-les-Bains et 2001 pour Meyrin.
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Ertec a élaboré des cours sous forme de modules, qui traitent particulièrement :• de l’importance du sol, • des graves et des enrobés sur la durabilité d’une
chaussée.
Nous abordons également les moyens à disposition pour garantir la qualité de chacune des étapes de la construc-tion routière et ainsi éviter des dégradations futures. Nos cours reposent sur les exigences des normes en vigueur et sur l’expérience acquise au fil des années, par le personnel d’Ertec, sur les matériaux et les chantiers.
A qUI S’ADRESSENT NOS COURS ?Nos cours s’adressent à tous nos clients internes et ex-ternes (communes, entreprises, bureaux d’ingénieurs, personnel technique des cantons ou de l’ Office fédéral des routes).
Depuis environ 2 ans maintenant, Ertec passe devant le tableau noir pour aider ses clients à s’y retrouver dans les normes et à comprendre l’importance de chaque étape dans la construction routière.
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DéROULEMENT D’UNE JOURNéE ET SUPPORTS DE COURS à DISPOSITION L’hospitalité fait partie intégrante de notre accueil. Nous débutons la formation autour d’un «café-croissants» et faisons connaissance à cette occa-sion avec les têtes inconnues, pour celles qui le sont encore.
Puis nous abordons nos différents modules à disposition :• La structure routière (coupes types, famille
et rôle).• Les sols: les types, la qualification (qualité), les
contrôles sur chantier, l’augmentation de la por-tance.
• Les graves: essais (contrôles), fréquence et uti-lité des essais (conséquence sur la portance), renforcement des sols (moyens, stabilisations, géosynthétiques).
• Les enrobés : description des enrobés (consti-tuants, types, couches), les granulats (filler, sable, granulats, qualification et caractéristiques), les bitumes (types, sortes, essais, choix et com-portement), les RA, l’épreuve de formulation (principe, but et utilité), contrôles avant tra-vaux (documents nécessaires, vérifications), contrôles de mise en œuvre (contrôle des poses, températures, compacités).
Au cours de ces différentes présentations, nous uti-lisons comme support une série d’échantillons que les participants peuvent toucher et qui leur donnent l’occasion de s’exprimer et d’échanger.
De plus, afin que les participants se dégourdissent les jambes, nous descendons deux fois au labo-ratoire pour leur montrer nos locaux, les équipe-ments et essais que nous réalisons, des échantillons de matériaux et les produits spéciaux Colas.
Le repas de midi est aussi l’occasion indéniable de mieux connaître nos clients, leurs préoccupartions, leurs besoins et d’établir une relation de confiance.
Nous clôturons la journée en les faisant par-ticiper aux différents stands de la Journée Colas 2011 "La route dans tous les sens". Puis ils repartent avec un classeur de nos diverses présentations.
CONCLUSIONL’impact de ces journées est très positif, tout particu-lièrement d’un point de vue relationnel.
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Journée Colas 2011
NOTRE éQUIPE DE SPéCIALISTES EN éTANCHéITé
Parking St-François - Lausanne
Les travaux sont principalement composés de la pose de collecteurs EC/EU, la pose ou le rempla-cement des réseaux pour les services de télécom-munication, de gaz, d’électricité, d’eau potable et d’éclairage public.
Une partie des travaux a lieu dans des rues peu accessibles, étroites et moyenâgeuses, dont la largeur est fréquemment inférieure à 3 mètres. De plus, les maisons adjacentes n’ont pas de fonda-tions. Ceci implique un avancement très faible, une mécanisation de la creuse et du remblayage de fouilles limitée, et une mise en place systéma-tique de blindages.
Pour l’évacuation des excavations et des pavés des ruelles du Dr Gondoux et des Pêcheurs, ayant respectivement une largeur de 2 et 0,8 mètres, l’aspiratrice de Piasio Genève a été réquisitionnée.
La commune de Villeneuve étant par ailleurs au bord et au même niveau que le lac Léman, l’eau est une autre contrainte de ce chantier. Certains fonds de fouilles doivent bénéficier de systèmes de pompage quasi permanents en raison des poches d’eau, quand d’autres nécessitent un bétonnage complet, notamment à cause de limons fluents.
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PITTET-CHATELAN EN TOURNéE EN SUISSE ROMANDECOLAS VAUD – VILLENEUVE
ASSAINISSEMENT BOURg-SUD
Colas Vaud s’est vue confier les travaux d’assainissement de la partie sud de la vieille ville historique. Ils ont débuté en mai 2011 pour une durée de 14 mois.
Dans le cahier des charges du chantier, un exutoire pour le ré-seau d’EC devait être réalisé impérativement entre fin mars et fin avril 2012. En effet, tous les ans à cette période, le niveau du lac Léman descend de plusieurs centimètres. Les années bissextiles, comme 2012, il est abaissé d’environ 0,70 mètre pour faciliter les grands travaux.
Enfin, la zone de chantier étant passante et comptant de nombreux riverains, la commune nous a demandé de mainte-nir en permanence la circulation des piétons.
Pour relever l’ensemble de ces défis, l’étroite collaboration entre le représentant de la commune, Daniel Steinbach, l’in-génieur en charge du dossier, Serge Weber du bureau ESM Hagin et notre Contremaître, Rodrigo Rodrigues, a permis de trouver les solutions optimales.
LE CHANTIER EN CHIFFRES
• CollecteursEC/EUetréseauxtechniques:600 m
• Enrobésbitumineux:900 tonnes
• GNT0/45:4’000 m3
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Les revêtements en résine de deux étages sous-terrains du Parking St-François viennent tout juste d’être achevés par nos équipes d’étancheurs, spécialistes en la matière.
Tant pour ses qualités esthétiques que pour ses propriétés de résistance à l’usure, un revêtement à base de résine polyuréthane a été choisi par la société propriétaire du Parking St-François pour la rénovation des étages -5 et -7.
Ces deux niveaux, détériorés par le temps et présentant quelques infiltrations d’eau, ont été remis à neuf au début du printemps.
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Couche d’accrochage (primaire) Couche de sable (secondaire) Couche en polyuréthane (tertiaire)
COLAS VAUD – PARkINg ST-FRANçOIS à LAUSANNE
RéFECTION DE DEUX éTAgES EN RéSINE POLYURéTHANE
Résultat final
Si le travail de préparation comporte les mêmes étapes que pour un revêtement en asphalte coulé (dégrappage, démolition de la chape, reconstitution et ponçage), la pose de la résine requiert un savoir-faire tout particulier, que nos équipes d’étancheurs, avec l’appui technique de notre fournisseur et partenaire Chrysor-Ré-sipoly, maîtrisent parfaitement.
Après la préparation, ce ne sont pas moins de 3 étapes qui per-mettent à la dalle de retrouver l’aspect que vous pouvez découvrir ici.
Nos remerciements vont au maître de l’ouvrage pour la confiance témoignée et à nos équipes de spécialistes, gérées par Benjamin Perez, Conducteur de Travaux et Candido Pereira, Contremaître, pour la qualité de la réalisation.
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Parking St-François - Couche de sablage
COLAS VAUD – PARkINg ST-FRANçOIS à LAUSANNE
HISTORIqUE ET TRAVAUX DE RéNOVATIONRéFECTION DE DEUX éTAgES EN RéSINE POLYURéTHANE
Résultat final
1960Construction du bâtiment qui abrite un garage ainsi qu’un parking privé.
1976 Le garage cesse ses activités et vend le bâtiment à plu-sieurs commerçants du centre ville regroupés dans la société anonyme ‘Parking St-François’. Les statuts spécifient que le lieu doit maintenir des places de parking pour les clients des commerces du centre ville ainsi qu’une station essence.
2008 Début des rénovations du bâtiment, en parallèle à la construction de la ligne de métro lausannois M2. Le bâtiment est en effet placé à la croisée des lignes M1 et M2, directement au-dessus de la station du FLON.
Les utilisateurs étant la priorité du Parking St-François, une grande attention a été portée à leur confort, qui englobe aussi bien la sécurité que la propreté et l’aspect esthétique.
M. Philippe Schuler Président de la société Parking St-François
LE CHANTIER EN CHIFFRES
CA : CHF 480’000.--Durée : 2.5 moisCollaborateurs : 6 personnes
LES AMéLIORATIONS APPORTéES DEPUIS LORS :
• La remise à jour de toute l’infrastructure électrique. • Le renforcement des normes anti-feu avec aména-
gement de sorties de secours aux étages -6 et -4. • Le renforcement de l’éclairage. • Un escalier de secours. • La remise en service d’un ascenseur privatif
directement relié au M2. • La mise en place d’un système de ventilation à
extraction avec sondes, ce qui permet un avertis-sement par sirène si la limite de CO (monoxyde de carbone) est dépassée, ainsi que de grilles d’amenée d’air qui permettent une ventilation naturelle de tous les étages du parking.
• Le remplacement des colonnes par des piliers d’un diamètre inférieur de 22 cm dans les étages qui permettaient cette adaptation, ceci pour
offrir un gain d’espace sur les places, très apprécié des conducteurs. • ... et enfin la musique à tous les étages
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METHODOLOGIE DE TRAVAIL D’ERTECLors de l’inventaire des jonctions, Ertec a veillé à appliquer au mieux les directives de l’OFROU. En cas de situation peu claire, au nom de la sécurité routière, des signaux et des marquages supplémentaires sont proposés :
• Avoirtoujours4panneauxdeØ90visiblesd’unseulregardetdehautequalitéréfléchissante.Si tel n’est pas le cas, un complément de signalisation est suggéré.
• Avoirplusde2panneauxenprésenced’unîlotdirectionnelenamontdelarampe.• Audroitdelasortie,silarouteprincipaledisposed’unîlotcentral,unpanneausupplémentaireen
amont, côté îlot, est recommandé.• Lemarquagedeflèchesdirectionnellesexistantessurlesautoroutescorrespondauxdimensions
de l’ancienne norme. Dans la nouvelle norme, les dimensions ont été augmentées afin de renforcer leur perception et leur visibilité, recommandation impliquant le renou- vellement de tous les marquages existants.
ERTEC – ETUDE SIgNALETIqUE
LES CONTRESENS SUR AUTOROUTE
EN PREAMBULEAu niveau de l’infrastructure, l’assainissement des jonctions sur l’ensemble du réseau autoroutier suisse n’est pas à l’ordre du jour pour lutter contre les contresens. D’une part parce que les acci-dents provoqués par des conducteurs circulant à contresens sont rares et dispersés et, d’autre part, seule la moitié environ des tra-jets répertoriés à contresens commencent sur une jonction d’auto-route, l’autre moitié étant à imputer aux aires de repos/restoroutes.
Il a été choisi de mettre l’accent sur des mesures peu coû-teuses, à travers un renforcement de la signalétique (flèches de direction et signal Accès interdit des deux côtés de la chaussée, dans le sens non autorisé).
SITUATION SUR LE RESEAU ROUTIER SUISSELa Suisse dispose actuellement de trois normes – en partie obsolètes – qui contiennent des indications isolées sur la construction et la signalisation des jonctions autoroutières. Par ailleurs, une enquête menée par le Bureau de prévention des accidents (bpa) a révélé une signalisation très hétérogène des sorties d’autoroute, particu-lièrement en ce qui concerne : • le nombre de signaux «Accès interdit»• et le marquage des flèches de direction.
Entre 2000 et 2004, la police a recensé une moyenne de 21 acci-dents par an provoqués par des conducteurs circulant à contre-sens, qui ont fait en moyenne 3 victimes et 20 blessés.
Sur les autoroutes, si les accidents provoqués par des conducteurs circulant à contresens sont rares, ils sont en revanche souvent très graves lorsqu’ils se produisent. De plus, les conducteurs ayant vécu une conduite à contresens restent choqués, très longtemps.
Si de tels accidents sont donc rares, ils sont en revanche très graves. Ces chiffres repré-sentent uniquement la pointe de l’iceberg ; bon nombre de contresens ne sont tout sim-plement pas interceptés et se terminent sans accroc : •soit le conducteur est sorti de l’autoroute à
la jonction suivante ; •soit il a corrigé son erreur dès qu’il s’en est
aperçu.
Si heureusement beaucoup de contresens finissent bien, il est difficile par contre de faire une étude statistique car aucune donnée n’est disponible.
Les facteurs de risque souvent mis en évidence dans ce type d’accidents sont :• alcool/drogue/médicaments,• la nuit,• ou un âge avancé.
Ces caractéristiques font déjà l’objet de mesures tant éducatives que répressives (contrôle d’alcoolémie, examen de la capacité de conduire pour les conducteurs de plus de 70 ans).
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Exemple de jonction autoroutière conforme aux nouvelles exigences de l’OFROU (Office fedéral des routes).
DIRECTIVES DE L’OFROU (OFFICE FéDéRAL DES ROUTES)Pour éviter la circulation à contresens sur les autoroutes, l’Office fédéral des routes (OFROU) a décidé de renfor-cer les mesures de signalisation et de marquage aux jonctions et aires de repos.
Entre 2009 et 2010, après avoir fait l’inventaire de la situation actuelle pour le Jura Bernois, le bureau Ertec a été mandaté par le département de la gestion du patrimoine de l’OFROU afin de réaliser un inventaire sur le réseau autoroutier fribour-geois, genevois, valaisan et vaudois. Il s’agissait d’établir un coût estimatif pour l’ensemble de l’équipement supplémen-taire à prévoir en matière de signalisation et de marquage, pour éviter la circulation à contresens sur les routes nationales.
RECOMMANDATION DE L’OFROUPour chaque jonction, l’OFROU recommande d’équiper la sortie avec 2 paires de signaux 2.02 selon l’OSR Accès Interdit et de 3 flèches. Cette recommandation équivaut également pour les aires de repos et restoroutes.
LES CONTRESENS SUR AUTOROUTE
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Quant aux systèmes électroniques permettant de détecter les conducteurs circulant à contresens, ils génèrent un nombre trop important d’alertes erro-nées.
EFFICACITé DES MESURES ENTREPRISESAujourd’hui, l’efficacité des mesures entreprises ne peut être quantifiée, les accidents dus à un contre-sens étant statistiquement peu représentatifs.
Les accidents répertoriés continuent à être la pointe de l’iceberg, bon nombre de conduites à contresens se terminent sans interpellation du chauffeur, ce dernier corrigeant son erreur de lui-même. Toutefois, cet inventaire a eu le mérite d’homo-généiser et de mettre à jour la signalisation et le mar-quage aux jonctions autoroutières suisses avec de la signalisation hautement réfléchissante et de grand format.
AUTRES MESURES PREVENTIVES A L’ENCONTRE DE CONTRESENSDes interventions ponctuelles au niveau de l’infrastructure de la jonction peuvent aussi s’avérer nécessaires si cette dernière ne permet pas un guidage clair du trafic.
L’importance des informations routières radiophoniques, dans la prévention des accidents, est unanimement soulignée. En moyenne, 65 annonces sont diffusées à la radio chaque année. Certaines autoroutes sont davantage concernées que d’autres: il s’agit de : l’A16 (Bienne-Tavannes), de l’A6 (Interlaken-Berne), de l’A13 (Sargans-Coire) et de l’A5 (Soleure-Bienne). La conduite de jour, feux allumés, promet également des effets positifs.
En revanche, les dispositifs anti-contresens mécaniques, tels que des herses par exemple (hérissons) bloquant physiquement les conducteurs engagés à contresens, rencontrent des réticences au niveau de la sécurité et de l’exploitation.
Exemple de jonction autoroutière conforme aux nou-velles exigences de l’OFROU
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ERTEC – ETUDE SIgNALETIqUE
LES CONTRESENS SUR AUTOROUTE (SUITE)
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Les premières livraisons ont commencé en été 2011 et devraient se poursuivre jusqu’en été 2013.
La gestion d’un stock de cette importance pose naturelle-ment des problèmes de place et il faut tenir compte de la qualité de ces matériaux, qui ne permet pas de les desti-ner à entrer dans la composition des enrobés bitumineux; la présence d’éléments gonflants dans le filler étant trop importante.
Il est cependant possible de réaliser des matériaux pour le béton et des graves de fondations.
Dans le contrat avec FMHL, il est également prévu que nous façonnions des granulats pour la confection des bétons de la caverne. C’est ainsi que le consortium LEDI (Prader-Lösinger, Evequoz, Dénéréaz et Imboden), adjudi-cataire des travaux d’excavation et de construction, nous a approchés pour installer une centrale à béton dans la car-rière. Nous devrions produire 90’000 tonnes de granulats pour cette centrale.
Pour Arvel, cela représente un joli challenge car il faut jongler entre les places de stockage, la production de matériaux et la gestion de la qualité.
Carrières d’Arvel SA a signé un contrat avec FMHL (Forces Motrices Hongrin-Léman S.A.) pour reprendre les 500’000 tonnes (initialement 250’000 tonnes) de marin de la caverne de Veytaux. Par ailleurs, FMHL construit une nouvelle centrale de pompage-turbinage, à côté du Château de Chillon et d’Arvel, qui de par sa proximité, se prête bien à recevoir ces matériaux.
CARRIèRES D’ARVEL - VEYTAUX
UNE CAVERNE SE CREUSE, UNE MONTAgNE SE CRéE
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LES CONTRESENS SUR AUTOROUTE (SUITE)
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COLAS JURA – JURA BERNOIS
CHANTIER AUTOROUTIER N16
LE CHANTIER EN CHIFFRES
• Surfacesfraisées:28’000 m2
• Coffredefondation:3’800 m3
• Réglageplanie:30’300 m2
• Pavésdebord:2’600 ml
• Bordureenenrobé:2’300 ml
• EnrobéACT32S:3’230 tonnes
• EnrobéACT22S:8’500 tonnes
• EnrobéACMR8:3’630 tonnes
• CAtotal: CHF 4’920’000.--
•CAColas:CHF3’800’000.-- (77%)
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CHANTIER AUTOROUTIER N16
Colas Jura a terminé en 2011 un lot de travaux de revêtements sur l’autoroute N16, sur le contournement Moutier Nord et Moutier Sud, travaux qui ont permis l’ouverture de ce nouveau tronçon à la circulation.
En collaboration avec une entreprise locale, nous avons effectué la pose des revêtements et réalisé les finitions du contournement de Moutier, dans le Jura bernois, ainsi que de 2 jonctions :• sur un tracé de 2’200 ml, dont 1’200 ml en
tunnel;• sur une route d’accès de 900 ml, dont 200 ml
en tunnel.
Nos travaux ont duré 12 mois et ont donné entière sa-tisfaction au maître de l’ouvrage ainsi qu’à la DLT, pour laquelle Colas est devenue un référant dans l’application des enrobés dans le Jura bernois.
Un grand merci à Pierre Montavon et aux collaborateurs de l’équipe de génie civil ainsi qu’à Christophe Schaller et son équipe de pose d’enrobés, pour leur profession-nalisme et le travail accompli.
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