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Vanessa Girard

Les collectivités territoriales face à l’attractivité et la compétitivité

économique de leur territoire – Nouveaux modes de gouvernance

Sous la direction de Philippe Maingault Université Paris VIII Année 2006-2007

SOMMAIRE

Introduction

I La compétence économique des collectivités territoriales

1. La commune

2. La communauté d’agglomération

3. Le département

4. La région

II Les critères d’attractivité et de compétitivité du territoire

1. Qu’est-ce qu’un territoire attractif ?

2. Qu’est-ce qu’un territoire compétitif ?

III La marge de manœuvre des collectivités pour améliorer et développer

leur tissu économique

1. Compétence humaine et mobilité

2. L’offre de services aux entreprises

3. L’offre de foncier

4. Les zones d’activité

5. Les pôles de compétitivité

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Conclusion : la veille stratégique et les systèmes d’indicateurs, un outil nécessaire et

évolutif

Introduction

Le développement, comme la pérennisation de l’économie est un enjeu

tant au niveau national, que l’une des problématiques majeures des collectivités

territoriales à tous les échelons. La compétence économique de l’échelle locale est

aujourd’hui reconnue comme l’indispensable complément de l’action nationale et

communautaire. Elle l’est tout particulièrement au travers de la politique

d’aménagement (gestion du foncier, offre de structures, services publics) et désormais

d’animation de l’espace économique : élaboration d’une stratégie de développement

concertée avec l’ensemble des acteurs locaux ; coordination des acteurs et rôle

d’impulsion et de soutien des entreprises ; promotion du territoire à l’extérieur, etc.

La compétitivité et l’attractivité économique d’un territoire sont des

enjeux majeurs pour une commune ou une communauté d’agglomération. En effet, il

y a de multiple raisons qui permettent d’expliquer cet attachement affiché à avoir une

économie municipale performante. D’une part, une partie du budget communal

provient des taxes professionnelles que la commune touche des entreprises

domiciliées sur son territoire. Afin d’avoir un budget suffisamment élevé pour être en

mesure d’assumer ses dépenses, et de pouvoir dans le même temps ne pas assommer

ses contribuables par une taxe d’habitation trop élevée, les communes doivent avoir

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des établissements et entreprises1 qui paient la taxe professionnelle. Bien qu’il aurait

été fort intéressant d’inclure l’échelon communal à notre sujet d’étude, nous devront

cependant le laisser de côté car les compétences en matière économique d’une

commune ne sont pas suffisamment larges pour entrer dans notre sujet d’étude.

Afin d’illustrer nos propos, nous prendrons des exemples tirés de l’analyse

du tissu économique de Saint-Quentin-en-Yvelines et de celle de l’Espace Sud de la

Martinique auxquelles j’ai participé dans le cadre de mon stage au cabinet d’évaluation

des politiques publiques E.C.s., donc nous étudierons particulièrement les modes

d’action des Communautés d’Agglomération.

La question qui reste fondamentale dans le cadre de cette étude est :

comment les différentes collectivités territoriales parviennent-elles à attirer le plus

grand nombre d’entreprises sur son territoire et maintenir celles qui y résident déjà ?

Comment encourager la création ou la reprise d’entreprise ? Voici les questions

auxquelles nous tenterons de répondre dans ce mémoire.

La compétence économique n’est plus aujourd’hui entre les seules mains

de l’Etat. Les lois de décentralisation ont permis un très large transfert de

compétences aux différentes collectivités territoriales. Celles-ci doivent donc

désormais composer avec les grandes orientations données à l’échelle nationale et les

entreprises implantées sur leur territoire qui ont des besoins à satisfaire. Besoins

d’espace, d’infrastructures, de services, de main d’œuvre plus ou moins qualifiée, etc. ;

les collectivités territoriales ont une marge de manœuvre généralement assez restreinte

qui les poussent à composer entre les différents acteurs.

1 «Entreprise : Toute personne physique ou morale exerçant de manière indépendante une activité professionnelle non salariée. Une entreprise peut être une société ou un entrepreneur individuel. C'est une entité financièrement et juridiquement autonome, constituée pour la production de biens ou la prestation de services. Une entreprise est dite "régionale" si son siège social est en Franche-Comté.

Établissement : Unité dans laquelle une entreprise exerce tout ou partie de son activité. Cela peut être une usine, un atelier, un magasin, un dépôt… La plupart des entreprises n'ont qu'un seul établissement, mais les plus importantes en ont plusieurs. Cette unité de production est géographiquement individualisée, mais est juridiquement dépendante d'une entreprise.

L'établissement est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'entreprise. L'établissement, unité de production, constitue le niveau le mieux adapté à une approche géographique de l'économie. » (Source : www.insee.fr)

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Nous verrons également ce que signifient réellement compétitivité et

attractivité car ce sont deux termes employés très fréquemment au sens large mais qui

ont un sens précis lorsqu’il s’agit d’un territoire.

Pour finir, il sera intéressant d’analyser par quels biais les collectivités

peuvent agir sur leur attractivité et sur leur compétitivité. Nous verrons quels sont les

leviers que les collectivités territoriales peuvent actionner pour attirer et conserver le

plus d’entreprises sur leur territoire.

I La compétence économique des collectivités territoriales

1. La Communauté d’agglomération

Les communautés d’agglomération sont créées par la loi du 12 juillet 1999. Elles

associent plusieurs communes urbaines d’un seul tenant, regroupant plus de 50 000

habitants autour d’une ou plusieurs communes de plus de 15 000 habitants. Elles

exercent des compétences obligatoires dans les domaines du développement

économique, d’aménagement de l’espace communautaire, d’équilibre social de

l’habitat et enfin de politique de la ville dans la communauté.

En d’autres termes et si l’on examine de plus près ces quatre champs de compétence,

il apparaît en toute lumière qu’un seul linéament, une direction principale préside à

tout le reste : la volonté politique des acteurs qui réalisent, ou en manifestent le désir

affiché, de tracer un itinéraire, imprimer une marque qui soit propre à son mandat.

Les communautés d’agglomération exercent également au moins trois compétences,

au choix, parmi :

- la création ou aménagement et entretien de voirie et de parcs de stationnement

d’intérêt communautaire ;

- l’assainissement ;

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- l’eau ;

- la protection et la mise en valeur de l’environnement et du cadre de vie ;

- construction, aménagement, entretien et gestion d’équipements culturels et sportifs

d’intérêt communautaire.

La Communauté d’Agglomération est l’une des collectivités territoriales qui possède

les compétences parmi les plus larges. Du quotidien le plus élémentaire aux choix les

plus politiques, l’éventail de la décision est au moins aussi ouvert qu’efficace. C’est

ainsi et aussi la communauté d’Agglomération qui gère les Zones d’Activité comme

nous le verrons dans la dernière partie. Preuve qu’elle illustre et investit mieux et plus

largement que d’autres le domaine délimité mais interactif auquel sa compétence se

rattache et s’exerce.

2. Le Département

Héritage vivace du découpage administratif napoléonien, le département conserve

toute sa réalité politique, comme les élections cantonales ainsi que le poids dans la vie

quotidienne que conservent et dessinent les conseils généraux. La manne financière

qu’ils ont droit et mission de lever rend possible et confirme cette capacité à agir.

Ainsi des routes départementales comme des collèges. Instruction et transports

n’échappent donc nullement aux compétences de la presque centaine de conseils

généraux en France. Mais leurs attributions ne sont ni que scolaires ni routières ?

Ainsi le département participe, s’il le croit nécessaire ou judicieux, au financement des

aides directes aux entreprises dans le cadre d’une convention avec la région, ce qui

signe la possibilité d’articulation harmonieuse entre différents échelons de décision

comme de représentation.

Il y a enfin attribution d’aides indirectes aux entreprises et possibilité de mettre en

œuvre leurs propres régimes d’aides après l’accord de la région. En quoi le

département est assurément un échelon qui, très au-delà d’un rôle aussi strict que

réducteur de maintenance des territoires, contribue largement au maintien sinon à la

stimulation économique.

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3. La Région

La région est une idée longtemps avancée par certains comme le degré

tempérant entre un Etat trop centralisateur et des territoires parce que parcellisés

seraient privés dénués de culture du voisinage et donc de la synergie. Produit affiché

et pleinement assumé des lois de décentralisation, la région répond d’abord à la

volonté manifeste de coupler la cohérence géographique partant historique aux

dynamiques économiques que les territoires, forts de ce legs, rendent possibles.

Ainsi, le développement économique est la première compétence de la région qui

joue tout particulièrement un rôle de coordination. Elle :

- détermine le régime des aides directes et les attribue (primes

régionales à l’emploi, à la création d’entreprise et prêts et avances à taux bonifiés…)

- Met en œuvre et attribue des aides indirectes (garanties d’emprunt

aux entreprises, exonération de la taxe professionnelle…)

- Supprime la distinction entre aides directes et indirectes aux

entreprises, remplacée par la distinction entre aides économiques et aides à

l’immobilier.

Le Conseil Régional définit le régime des aides économiques aux

entreprises et décide de leur octroi. C’est également lui qui a été en charge de

l’élaboration d’un schéma régional de développement économique à titre

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expérimental pour cinq ans qui a pour but de rendre la stratégie régionale plus lisible

au yeux du public.

Loin de s’afficher en puissance nouvellement adoubée et hostile au

département, débarrassée du complexe de n’être que l’intermédiaire superflu et

juvénile entre le domaine de toute préfecture et celui, ô combien centralisé, de la

capitale, sure de son bienfondé comme de son avenir, la région, les régions regardent

l’avenir, le leur, avec non point l’audace mais la sérénité assurée de ceux que le temps

n’a pas encore abîmés. Mais aussi de ceux que l’absence de légitimité met à l’épreuve

et invite à faire preuve de soi. Ainsi l’accent économique mis par la région sur son

action précède et prépare ses galons d’autorité politique. Mais n’en fonde pas moins

la pertinence de son existence, en d’autres termes, sa raison d’être.

In fine et à ce stade, il va de soi que la pertinence de ces nouveaux échelons

pourvus de compétences économiques inatteintes jusqu’alors ne fait sens qu’à la

lumière de leurs articulations réciproques et des synergies en action. En effet,

commune, communauté d’agglomération, département et région se trouvent

désormais jointes, toutes ensemble ou d’instance à instance, dans une solidarité de

destin et, avant tout, une possible réunion d’intérêts.

Ce point mérite d’être souligné car il indique avec insistance les nouveaux

enjeux soulevés par les entités territoriales condamnées, non comme une fatalité

mais plutôt comme une chance historique, à composer ensemble. Ceux-ci, au-delà

du profit que chacun saurait en tirer pour son compte propre, sont en mesure, si des

résultats convaincants accompagnent ce volontarisme des parties en présence, de

provoquer un mouvement autrement plus vaste de redéfinition des périmètres et

dynamiques des territoires comme une redistribution et donc un rééchelonnement

des compétences particulières. Une ultime inconnue, parce sans doute mal encore

mis en œuvre, est ici à pointer et concerne le statut et l’utilité des « pays » prévus par

la loi Pasqua relative à l’aménagement du territoire de février 1995. L’échelon

territorial de trop ?

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II Les critères d’attractivité et de compétitivité du territoire

1. Qu’est-ce qu’un territoire attractif ?

L’attractivité est un terme utilisé fréquemment par les économistes. Elle

peut se définir comme la capacité du territoire à capter, accumuler et retenir, en raison

de conditions spécifiques de localisation, un ensemble de ressources économiques

(entreprises, centres d’innovation) et humaines permettant de stimuler et pérenniser la

croissance économique locale.

L’attractivité renvoie donc à la concentration de ressources qui orientent

le choix des entreprises à venir s’implanter – ou à demeurer – sur le territoire.

A l’attractivité des territoires, notion ancienne qui fonde les stratégies de

développement local, s’est ajoutée celle de compétitivité qui en est devenue

indissociable. Dans un contexte de globalisation où les interactions spatiales

deviennent complexes, la délocalisation des activités et la volatilité des entreprises

entraînent une concurrence accrue entre les territoires pour l’accueil et l’ancrage des

entreprises.

L’ancrage d’une entreprise sur un territoire dépend des conditions et

avantages spécifiques du territoire sur lequel elle est implantée. Ces avantages se

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définissent comme les ressources présentes localement et les opportunités de

synergies induites par la proximité spatiale d’entreprises participant à une même

chaîne de valeurs : les réseaux de coopération ou « clusters » en sont facilités.

Chaque territoire développe des avantages spécifiques, créant ainsi des

facteurs de concurrence spatiale. Mais l’entreprise qui produit sur le territoire des

ressources aura une propension moindre à la mobilité ; l’investissement sur un

territoire limite les risques de départ. A contrario, l’entreprise à capital volatil ne

cherchera pas à construire des ressources locales spécifiques.

Comme le décrit Frédéric Gilli2, « la multipolarisation revient souvent,

suggérant que l’emploi ne s’étale pas de la même manière que la population, mais

aurait plutôt tendance à s’agglomérer et les espaces à se polariser. » Ce phénomène

décrit la tendance de plus en plus marquée à la concentration des activités sur les

territoires attractifs, ceux qui polarisent le mieux un ensemble de ressources

économiques et humaine. La Commune du Marin dans l’Espace Sud de la Martinique

est l’illustration parfaite de ce phénomène. En effet, le Marin possède un grand port

de plaisance qui en fait un pôle privilégié pour le tourisme. La dynamique touristique

a enclenché une réelle dynamique économique et résidentielle, et a engendré la

délocalisation de nombreuses entreprises venues de l’agglomération foyalaise (alors

que c’est la zone la plus développée économiquement et la plus attractive de la

Martinique) et venues d’autres communes de l’espace Sud en direction du Marin. La

taxe professionnelle a augmenté de 350 000 euros entre 2005 et 2006 dans cette

communes qui est aujourd’hui obligée d’agrandir la zone d’activité d’Artimer de

3000m2.

2 GILLI FREDERIC. « La région parisienne entre 1975 et 1999 : une mutation géographique et économique », in Economie et statistiques, no 387, mai 2006, p. 6

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C’est aussi bien sur le cas de la Région Île-de-France, qui regroupe à

proximité des centres de décision (notamment de Paris), tout un ensemble de

ressources et de salariés comme le montre la carte.

Les grandes agglomérations sont, par leur statut, des territoires attractifs.

L’enjeu est donc pour les communautés d’agglomération comme Saint-Quentin-en-

Yvelines, proches du pôle central (Paris), de se positionner par rapport aux autres

territoires. Dans le cas de Saint-Quentin, l’un des enjeux de la communauté

d’agglomération, est d’être plus attractive que les autres communautés aux structures

similaires comme Evry, Cergy-Pontoise ou Marne la Vallée.

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2. Qu’est-ce qu’un territoire compétitif ?

La compétitivité d’un territoire est évidemment une notion complexe qui

intègre des dimensions à la fois sociétales et territoriales.

Dans un système économique marqué par un haut niveau de concurrence

entre les différents agents économiques (entreprises) mais aussi entre les différents

territoires qui les accueillent, la compétitivité économique d’un territoire renvoie à son

positionnement relativement aux autres régions économiques nationales ou étrangères

ayant des activités économiques comparables.

La stratégie de Lisbonne, décidée par l’Union européenne en 2000, élargit

la notion à la capacité du territoire à « améliorer durablement le niveau de vie de ses habitants

et à leur procurer un haut niveau d’emploi et de cohésion sociale ». Pour les entreprises

implantées sur un territoire cela repose sur la capacité d'innovation et l'amélioration

constante de la productivité, et sur la capacité de diminution des prix et des coûts de

production.

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Le rapport de l’entreprise au territoire obéit à :

� La logique de recherche de la localisation la plus optimale possible,

liée à la maîtrise des coûts et des prix des facteurs de production ;

� La logique de l’ancrage des entreprises. Celle-ci s’insère dans une

logique sectorielle, de transversalité, rattachée à la technologie et à l’interaction entre

les entreprises, la formation de filières.

� La logique de recherche de compétences complémentaires liée à la

valorisation des ressources spécifiques.

Ces trois modes de développement territorial reflètent des relations

particulières entre les entreprises, les territoires et les dynamiques territoriales. Cela

pose directement la question de l’animation de la relation entre les pouvoirs publics et

parapublics, et le secteur privé.

� La logique de recherche de meilleure localisation induit une

concentration des activités économiques. Les modes de coordination entre acteurs

publics et privés ne sont pas organisés. Le jeu des intérêts individuels domine.

� La logique sectorielle implique la domination d’une activité

industrielle sur le territoire. Le territoire se spécialise et peut devenir plus vulnérable à

la concurrence et à l’évolution de l’activité concernée ; sauf si la chaîne de valeurs

couverte par des entreprises, ses fournisseurs et sous-traitants agit pour le compte

d’un donneur d’ordre multisectoriel de l’aéronautique ou de l’automobile entre autres.

Toutefois, dans cette dernière logique, les activités sont organisées autour

de compétences, de savoir faire, de technologies complémentaires et trans-

sectorielles.

La spécialisation est nécessaire au renforcement de certains processus

d’innovation et d’avantages en terme de compétitivité ; elle renforce l’attractivité et

permet à certaines opportunités locales d’être très compétitives à une échelle nationale

et internationale (notamment par le bais du développement d’économies d’échelle3).

3 Hausse du volume de production pour diminuer les coûts moyens de production et obtenir un avantage concurrentiel par rapport aux autres producteurs

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La diversification permet l’émergence d’autres types d’innovation et de

nouveaux marchés, qui relèvent plus de complémentarités entre activités et/ou

technologies différenciées (articulation automobile-TIC4 par exemple pour Saint-

Quentin-en-Yvelines), de valorisation des comportements innovants et de

croisements pluridisciplinaires (recherche de synergies).

Les complémentarités et les interactions qui se nouent entre l’interne

(Saint-Quentin-en-Yvelines) et l’externe (environnement proche : Versailles, Saclay,

Vélizy) sont essentielles au dynamisme de l’économie locale. Cette relation interne /

externe peut prendre différentes formes selon le type d’entreprise considéré.

� Ou bien les ressources locales trouvent des débouchés externes

(régional, national, ou international) et la pérennité de leur implantation est assurée, ce

qui stimule l’attractivité économique du territoire. Mais l’existence d’entreprises

tournées vers des débouchés internationaux signifiera simplement que la variable

« coût transport » n’est en ce cas ni significative, ni décisive dans le choix de

localisation des activités.

L’implantation de firmes à taille nationale ou internationale à Saint-

Quentin-en-Yvelines ne répond pas à une logique d’économie d’échelle, dans le sens

d’une recherche du point mort pour éviter les pertes ou dégager des marges. C’est

plutôt la proximité du plus grand marché français (Ile-de-France) qui est un facteur

déterminant d’implantation, et de manière plus générale, l’insertion de Saint-Quentin-

en-Yvelines dans la dynamique économique de l’Ile de France.

� Ou bien les ressources locales assurent

- soit une localisation multiple et internationale pour couvrir à la fois le

suivi des opportunités scientifiques (technologiques) et le suivi de leur marché,

- soit une complémentarité productive avec d’autres ressources de

territoires différents avec lesquels elles interagissent.

Par exemple, une entreprise de Saint-Quentin-en-Yvelines peut se fixer

sur l’amont de la chaîne de valeur (recherche, étude de marché, conseil, ingénierie …)

alors que les unités de productions (les entreprises chargées de réaliser la production)

4 Technologies de l’information et de la communication

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en fin de chaîne seront situées sur un autre territoire (national ou international). Plus

simplement, c’est une complémentarité entre les territoires de la couronne ouest

parisienne qui pourra être recherchée (en terme de partenariat, de contrats entre les

entreprises).

� Ou encore, les ressources technologiques locales font l’objet de

rachat par des entreprises non locales, qui cherchent à rapatrier les compétences dans

leur propre stratégie de développement. Cela concerne pour partie les logiques

d’investissements directs étrangers (IDE). Dans ce dernier cas, on peut être confronté

à un risque de déperdition relative pour l’agglomération de Saint-Quentin-en-

Yvelines. Ce risque est surtout valable pour les grands groupes et les sous-traitants

qu’ils drainent dans des secteurs fortement concurrencés.

III La marge de manœuvre des collectivités pour améliorer et développer

leur tissu économique

1. Compétence humaine et mobilité

La compétence humaine est le premier besoin des entreprises. En effet,

une entreprise à besoin de main d’œuvre plus ou moins qualifiée selon son type

d’activité. Il est évident qu’une entreprise comme EADS que l’on retrouve à Saint-

Quentin en Yvelines exprime un besoin de main d’œuvre hautement qualifiée tandis

que d’autres entreprises ont davantage besoin d’ « employés non qualifiés ». Il est

primordial pour une entreprise qui s’implante de trouver des salariés au profil

correspondant à son activité. Sur ce point, il est important pour les collectivités de

favoriser un tissu social mixte regroupant toutes les catégories socio-professionnelles.

Cependant il apparaît comme très difficile pour une quelconque administration

d’attirer des personnes de telle ou telle catégorie socio-professionnelle pour qu’elles

s’installent sur son territoire. Il est vrai que sur ce point, les collectivités ne peuvent

pas avoir beaucoup d’effet.

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Plusieurs actions peuvent cependant être menées afin de favoriser l’emploi

et de faciliter les procédures de recrutement pour les entreprises. Outre les maisons

de l’emploi, missions locales, PLIE (Plan local d’Insertion et d’Emploi), les

collectivités peuvent permettre le regroupement des structures d’emploi, ce qui

permet aux entreprises de n’avoir qu’un interlocuteur lors des procédures de

recrutement. Cela autorise également de mesurer plus aisément le taux d’activité

occupée, en particulier si la collectivité territoriale a mis en place un système de veille

économique, composé de multiples indicateurs. Les calculs ne se font alors que sur un

seul et même mode.

« Le taux d’activité occupée est une mesure directe et peu contestable,

donc un indicateur plus pertinent que l’évolution du taux de chômage, qui est un

solde, donc une mesure indirecte reposant sur la définition complexe de la population

active5 ».

La position géographique et la mobilité sont des facteurs particulièrement

importants quant au choix stratégique d’implantation des entreprises. En effet, un

bon réseau de transports permet d’une part une plus grande mobilité des travailleurs

et donc des migrations alternantes6 plus amples et souples. Cela permet de faciliter

l’accès à toutes les catégories socio-professionnelles qui seraient insuffisamment

représentées sur un territoire de pouvoir venir y travailler.

Les cas de Saint-Quentin-en-Yvelines et de l’Espace Sud de la Martinique

sont particulièrement intéressants à comparer car antagonistes. Saint-Quentin-en-

Yvelines dispose d’un très bon réseau de transports : autoroutes, routes nationales,

RER, trains etc. qui desservent les Yvelines et relient Paris. Une bonne mobilité est

assurée, les salariés peuvent se déplacer et les entreprises peuvent faire circuler leurs

marchandises et s’approvisionner aisément. Cette mobilité rend le territoire attractif

aussi bien pour les salariés que pour les entreprises.

5 « L’attractivité des métropoles moyennes en France », étude réalisée par la DIACT par le recteur Gérard-François Dumont, professeur à la Sorbonne et Laurent Chalard, novembre 2006 6 Migrations alternantes sont formées d’une part les habitants d’un territoire qui quittent ce territoire pour aller travailler ailleurs et d’autre part les salariés de ce territoire qui ne l’habitent pas et qui y entrent pour travailler.

16

En revanche le Sud de la Martinique souffre de nombreux embouteillages,

particulièrement sur les routes nationales qui relient le sud à l’agglomération fayolaise

et à Fort-de-France. Or, la Martinique importe beaucoup de marchandises qui

arrivent par avion et donc à Fort-de-France. La faiblesse du niveau des infrastructures

est un frein réel à l’attractivité et à la compétitivité du territoire. L’amélioration et

surtout l’agrandissement des routes seraient nécessaires afin de favoriser le

développement économique du territoire. Le projet actuel de la communauté

d’agglomération est de regrouper les entreprises autour des axes de communication

pour permettre à ces dernières d’accéder le plus rapidement possible à Fort-de-

France, à l’aéroport et aux ports, mais aussi pour regrouper les infrastructures

nécessaires : eau, électricité, assainissement etc.

2. L’offre de services aux entreprises

Les entreprises ont besoin, pour fonctionner correctement, d’autres

entreprises, des entreprises de « services aux entreprises7 ». Les TPE8 (très petites

entreprises) dont une majorité d’entre elles ont moins de deux salariés, qui sont

souvent membres de la même famille lorsqu’il s’agit d’entreprises du secteur agricole,

ou de superettes par exemple ; n’ont pas besoin de faire appel à une entreprise

extérieure pour les services de ménage ou de comptabilité. Ce sont des activités qui

sont faites par le créateur de l’entreprise ou un salarié.

Cependant les activités de nettoyage, de sécurité, de comptabilité etc. sont

réalisées par des prestataires extérieurs, c'est-à-dire d’autres entreprises spécialisées

dans ce type de service.

7 Terme utilisé par l’INSEE dans sa nomenclature et dans les codes NAF. 8 Bien qu’il n’y ait pas de définitions officielle, en France nous considérons les TPE comme des entreprises de 0 à 20 salariés et les PME (petites et moyennes entreprises) comme les entreprises de 21 à 250 salariés. Cependant l’INSEE précise que se sont des normes acquises par l’habitude mais que certains parlent de PME jusqu’à 500 salariés. Il est donc primordial de préciser si l’on prend 250 ou 500 salariés la fourchette haute.

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Les entreprises des services aux entreprises comptent 400 600 entreprises

en 20049. Les activités qui ont comptent le plus grand nombre d’entreprises sont les

entreprises d’activité de conseil pour les affaires et la gestion avec 52 000 entreprises,

l'administration d'entreprises (39 000 entreprises), les activités juridiques

(39 000 entreprises) et l'ingénierie et les études techniques (32 000 entreprises). 91 %

des entreprises ont moins de 10 salariés. À l'opposé, 2 850 entreprises comptent 100

salariés ou plus. Elles emploient 57 % des salariés en équivalent temps plein et

réalisent 51 % du chiffre d'affaires. Les services aux entreprises réalisent 182 milliards

d'euros de valeur ajoutée dont 26 par les télécommunications hors transmissions

audiovisuelles. Le travail temporaire en rassemble 18 milliards d'euros, suivi par

l'administration d'entreprises, l'ingénierie et les études techniques, et les activités

juridiques, qui dépassent les 12 milliards d'euros chacune.

9 Source : INSEE, résultat de l’enquête annuelle d’entreprise.

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3. L’offre de foncier

La maîtrise et la gestion d’un fond de foncier disponible est l’une des

compétences les plus importantes des communautés d’agglomération. Le foncier,

surtout lorsqu’il est soumis à une forte pression, constitue une contrainte. L’espace

disponible ne peut s’étendre indéfiniment, particulièrement dans un espace fortement

urbanisé (comme à Saint-Quentin en Yvelines) ou bordé par des barrières naturelles

incontournables (comme c’est le cas pour l’Espace Sud de la Martinique, la

communauté d’agglomération est encerclée par la mer au sud, à l’est et à l’ouest et par

l’agglomération foyalaise au nord).

Les entreprises ont besoin d’espace et de locaux adaptés, certaines sont

par ailleurs soumises à des contraintes encore plus strictes de localisation s’il s’agit

d’entreprises chimiques ou polluantes. Face à cette contrainte, il existe deux solutions

politiques possibles pour les collectivités territoriales comme cela se pose pour Saint-

Quentin-en-Yvelines.

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La faible disponibilité foncière à Saint-Quentin-en-Yvelines implique deux

voies d’aménagement possibles selon la stratégie de captation des entreprises qui sera

in fine retenue :

� soit les acteurs de l’agglomération optent pour un

redéploiement/réorientation des espaces fonciers aujourd’hui utilisés, mais peu

adaptés à la dynamique de Saint-Quentin-en-Yvelines. Il s’agira alors de libérer

l’espace pour le réaffecter à de nouvelles zones d’activités, dédiées notamment à

l’installation de PME de haute technologie et à l’extension ou au transfert des activités

des grands groupes déjà implantés sur le territoire

� soit on considère que le niveau du foncier constitue une contrainte

« réelle » et on choisit d’orienter l’attractivité vers les PME et TPE, moins

consommatrices d’espaces.

Il faut cependant noter que les groupes ont généralement une « durée de

vie » beaucoup plus longue que les entreprises indépendante10.

Il est donc tout particulièrement important pour un territoire de posséder

des groupes, des grandes entreprises plus pérennes que les TPE-PME. Un risque se

pose alors aux collectivités qui n’ont joué que la carte des groupes puissants : si leur

économie repose essentiellement sur les groupes et grandes entreprises, elles

deviennent dépendantes de ces dernières et ne peuvent risquer de voir l’un d’entre

10 DUHAUTOIS RICHARD. « De la disparition des entreprises à la mobilité des salariés », in Ecomonie et statistiques no 400, mai 2007, p. 6

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eux se « délocaliser ». La mixité du tissu productif apparaît alors comme une condition

à la « bonne santé » économique d’un territoire.

4. Les zones d’activité

La gestion du foncier passe pour en grande partie, pour les Communautés

d’Agglomération, par les zones d’activités. Une zone d’activité est un outil majeur de

la politique de développement économique des collectivités ; la ZA est entendue

comme « un espace aménagé selon une démarche volontariste par un agent

économique en vue d’être commercialisé à des entreprises ou à des organismes afin

que ceux-ci puissent exercer leur activité économique ». Sa finalité doit répondre au

mieux aux besoins des entreprises autant pour les fixer durablement sur le territoire

que pour les attirer lors de leur recherche d’un site d’implantation.

Une zone d’activité économique est dépourvue de cadre juridique, elle

peut être une emprise d’un PLU11, une ZAC, un lotissement voire une zone de fait

rassemblant des entreprises. S’ajoute une pluralité des espaces, des propriétaires et des

modes de gestion et donc une pluralité d’acteurs.

11 Plan local d’urbanisme

21

Il s’agit donc d’identifier les propriétés, les usages, les responsabilités et les

attributions respectives des acteurs.

Art. L. 5216-5. - I. - La communauté d'agglomération exerce de plein droit au lieu et

place des Communes membres les compétences suivantes :

« 1o En matière de développement économique : création, aménagement, entretien et

gestion de zones d'activité industrielle, commerciale, tertiaire, artisanale, touristique,

portuaire ou aéroportuaire qui sont d'intérêt communautaire ; actions de

développement économique d'intérêt communautaire »

« 2o En matière d'aménagement de l'espace communautaire : schéma directeur et

schéma de secteur ; création et réalisation de zones d'aménagement concerté d'intérêt

communautaire »

5. Les pôles de compétitivité

« Un pôle de compétitivité est, sur un territoire donné :

• l’association d’entreprises, de centres de recherche et d’organismes de formation,

• engagés dans une démarché partenariale (stratégie commune de développement),

• destinée à dégager des synergies autour de projets innovants conduits en commun en direction d’un (ou de) marché(s) donné(s).

Cette politique vise à susciter puis soutenir les initiatives émanant des acteurs économiques et académiques présents sur un territoire »12.

Ils ont été sélectionnés sur la base de trois critères :

� l’existence d’un partenariat science/industrie,

� la référence à un marché et/ou à un domaine technologique,

12 Source : site officiel des pôles de compétitivité, http://www.competitivite.gouv.fr/

22

� et l’exigence d’un mode partenarial de gouvernance.

Par exemple, Saint-Quentin-en-Yvelines est impliqué dans six pôles de

compétitivité : Cap Digital, MVD (Ville et Mobilité Durables), Mové’o, Medicen,

System@tic et Cosmetic Valley. Il n’y en a cependant aucun dans l’Espace Sud de la

Martinique

Les pôles de

compétitivité associent

généralement des partenaires

publics et privés, universités

comme centres de recherches

privés afin d’optimiser la

recherche et ainsi l’innovation

selon le schéma suivant13 :

Les entreprises qui appartiennent à un pôle de compétitivité à Saint-Quentin-en-

Y

v

e

l

i

n

e

s

13 Source : www.diact.gouv.fr

Ville et Mobilité Durables System@tic Paris Région Mov'éo Cap DigitalColas X X

Renault X X XEgis X

Bouygues XIsis X

Dryade XEsterel Technologie X

Valéo X XBertin Technologies X

Atermes XThalès X X

Softeam XCaisse d'épargne IDF X

Emitech XEADS X XTDF X

Snecma Services X XElapse X

Assystem XSestream X

Intuigo XNemoptic X

Isis X XFiltrauto X

Laboratoire Régional de l'Ouest Parisien des Ponts et

Chaussées XUniversité de Versailles Saint-

Quentin-en-Yvelines X X XLaboratoire National de Métrologie et d'Essais X X

Institut Pierre Simon Laplace X

23

Conclusion : la veille stratégique et les systèmes d’indicateurs,

un outil nécessaire et évolutif

Mesurer l’attractivité et la compétitivité de son territoire est un objectif

nécessaire avant d’établir une stratégie de développement économique. L’évaluation,

le diagnostic, l’analyse stratégique et prospective peuvent jouer un rôle à différents

24

moments dans la mise en place d’une politique publique économique ou dans la

procédure de réorientation de cette dernière. Ils peuvent également n’obéir qu’aux

exigences gouvernementales et/ou européennes qui demandent une évaluation finale

afin de mesurer l’efficacité et l’efficience de la politique qui a été mise en œuvre, avant

de proposer de nouvelles mesures. Evaluation ex-ante, ex-post, simultanée, évaluation

à mi-parcours… chaque type d’étude doit apporter des réponses spécifiques aux

collectivités afin de les aider à mener à bien leur mission. Une fois le diagnostic établi,

les collectivités territoriales peuvent définir leur stratégie afin d’améliorer leur

attractivité et leur compétitivité ; et généralement, elles mettent en place un système

d’indicateurs composite, créé pour permettre le suivi des actions entreprises, pour

savoir si les politiques mises en place sont efficaces ou non.

La veille a une double dimension : la collectivité qui entreprend la

démarche de mettre en place une veille stratégique et les entreprises de son territoire.

Elle a vocation également à faire droit aux organismes « partenaires » de la collectivité,

partenariats formalisés ou non, dont dépendront de nombreuses données. Ainsi, les

organismes consulaires et les collectivités « infra » (il s’agira des communes par

exemple pour Saint-Quentin-en-Yvelines) et « supra » (les conseils général et régional)

sont par nature à associer. De même, certains services de l’Etat tels la DDE, le

ministère de la Recherche et les services fiscaux entre autres. Enfin, et, ce sont peut-

être les partenaires centraux, les structures fédératives et de pilotage des pôles de

compétitivité.

L’outil de veille et de suivi devra être apte à optimiser le pilotage du

développement économique du territoire. Il assurera les fonctions suivantes :

- un suivi dynamique et prospectif du développement économique du territoire;

- détecter, suivre, analyser les mutations ;

- objectiver, centraliser, synthétiser des données, actualiser le savoir en temps réel ;

25

- la production des bases de connaissance et des éléments appropriables par les

différents partenaires qui doivent leur permettre de replacer leur réflexion et leur

activité dans l’ensemble du territoire;

- émettre des signaux en fournissant aux décideurs publics une information fiable,

problématisée et actualisée

Bien informées, les collectivités territoriales peuvent bien décider quant à

la stratégie à mettre en œuvre pour rendre l’attractivité et la compétitivité de leur

territoire plus grandes. Elles ont ensuite plusieurs moyens possibles pour attirer les

entreprises à venir s’implanter sur leur territoire. Amélioration des infrastructures,

offre de foncier disponible, zones d’activité, pôles de compétitivité… sont des

moyens en plus des traditionnelles mesures initiées contractuellement avec l’Etat ou

schéma directeur (Contrat de Plan Etat-Région, SAR14, SDUC15, CUCS16 etc.). Mille

mesures possibles pour répondre à une multitude de situations différentes.

14 Schéma d’aménagement régional 15 Schéma directeur d’urbanisme commercial 16 Contrat urbain de cohésion sociale

26

ANNEXES

L’objet de ce questionnaire que j’ai réalisé avec l’aide d’Elodie Cassignole, autre consultante junior au cabinet E.C.s. est d’effectuer une lecture, puis un suivi de la stratégie de développement économique du territoire. Les réponses apportées permettront de saisir de manière plus pertinente la réalité économique et de proposer des alternatives stratégiques pour le développement du territoire.

27

1. Votre entreprise

1.1. Nom de l’entreprise (facultatif) : ……………………………………………….

1.2. Activité principale :……………………………………………………………………. 1.3. Secteur d’activité :

�Activités associatives �Industrie chimique, biologique et pharmaceutique �Administration publique �Industrie de machines et d’équipements �Art et culture �Industrie de matériel de transport �Commerce �Industrie du papier et du carton �Construction �Ingénierie et bureau d’étude �Divers industrie �Métallurgie �Education �R&D (les centres uniquement dédiés à la recherche) �Energie et environnement �Extraction de produits non énergétiques �Santé �Services aux entreprises �Finance, banque, assurance �Services aux particuliers �Hôtellerie, restauration �Technologies de l’Information et de la Communication �Immobilier et location �Transport, logistique et entrepôts

� Si votre entreprise appartient au secteur touristique, nous vous remercions de bien vouloir répondre également au volet correspondant de ce questionnaire.

� Si votre entreprise appartient au secteur du commerce, nous vous remercions

de bien vouloir répondre également au volet correspondant de ce questionnaire

1.4. Année de création : …………………. 1.5. Nombre de salariés :……………………………………………………………………

1.6. Votre entreprise est située :

o Sur la commune de : …………………………….. o En Zone d’Activité : � Oui � Non o En centre ville : � Oui � Non

� Si oui, nous vous remercions de bien vouloir répondre également au volet de ce questionnaire portant sur les Zones d’Activité

1.7. Etes-vous propriétaire ou locataire de vos locaux :

� Propriétaire � Locataire

2. Les besoins de votre entreprise

28

2.1. Où se situent majoritairement vos fournisseurs : � Sur l’île de la Martinique � Espace Sud � Centre � Nord � En France métropolitaine � Dans l’Union Européenne � Dans les Caraïbes � Dans le reste du monde, précisez où : ………………………………………………………..

2.1.1. Votre entreprise a-t-elle des filiales ? � Oui � Non

Si oui, lesquelles ? ……………………………………………………………………………….

2.1.2. Votre entreprise est-elle une filiale d’un groupe ?

� Oui � Non

Si oui, lequel ? ……………………………………………………………………………….

2.1.3. Qui sont majoritairement vos clients : � Entreprises � Habitants � Touristes � Administration publique D’où viennent-ils ? � De l’île de la Martinique � Espace Sud � Centre � Nord � De France métropolitaine � De l’Union Européenne � Des Caraïbes � Autre, précisez où : ………………………………………………………..

2.2. Besoins de votre entreprise en services divers

De quels services avez-vous besoin pour votre entreprise ? Sont-ils présents ? En êtes-vous satisfaits ?

29

Equipements et services

Besoin (cochez si

oui)

Présents +

Absents -

Satisfaisants +

Insatisfaisants -

Activités juridiques Activités comptables Études de marché et sondages Conseil pour les affaires et la gestion

Administration d'entreprises Architecture et techniciens du bâtiment

Maintenance informatique Analyses, essais et inspections techniques

Gestion de supports de publicité Conseil en publicité et communication

Sélection et mise à disposition de personnel

Agences de recrutement Sécurité et gardiennage Activités de nettoyage Conditionnement, emballage Secrétariat et traduction Routage Centres d'appel Organisation de foires et salons Services annexes à la production Internet Haut Débit Internet Très Haut débit Offre de logiciels adaptés à votre entreprise

Offre de formation

2.2.1. Quels autres services ou dispositifs manquent à votre entreprise ? …………………………..………………………………………………………………………..……………………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………….…………………………………………………………………………………………………….

2.3. Les aides financières

2.3.1. Avez-vous déjà fait une demande pour obtenir une aide financière ?

� Oui � Non

Si oui, laquelle(s) :

30

� Aide aux entreprises en difficulté (pour les entreprises en redressement judiciaire qui ont de graves difficultés)

� Aide à l’accompagnement et au développement des entreprises (aide à l’investissement en matériaux, équipements ou aménagements) � Fonds régional d’aide au conseil (pour les entreprises qui veulent moderniser leur production et opérer une réorganisation) � Fonds d’aide aux microprojets (aide à l’investissement plafonnée à 91 500 euros) � Prime régionale à l’emploi des jeunes (pour les entreprises qui recrutent un jeune de moins de 25 ans en CDI) � Prime régionale à l’emploi (pour les entreprises en création, reprise, extension, modernisation qui créent ou maintiennent de 1 à 30 emplois en deux ans) � Prime régionale à la création d’entreprise (pour les entreprises qui font un investissement qui va créer ou maintenir de 1 à 30 emplois) � Prêt d’honneur de Martinique initiative (prêt à taux 0 pour les petites entreprises de moins de 3 ans) � Mesure 2.2 du DOCUP (aide pour l’investissement en matériel pour les entreprises commerciales ou artisanales de moins de 20 salariés) � Mesure 6.1.1 du DOCUP (financement de projets NTIC) � Facilités à l’exportation : Cofacrédit (crédit, gestion et recouvrement des créances)

Si oui, quelle était la principale motivation :

� Faire face à des évolutions technologiques ou règlementaires � Faire face à une perte de compétitivité � Faire face à une dégradation de la rentabilité � Le désir de créer des activités � Le désir de créer des emplois � Autre : …………………………………………………………………………….

2.4. Accompagnement à la création d’entreprise

2.4.1. Avez-vous eu recours à un accompagnement à la création d’entreprise ?

� Oui � Non

Suffisante Insuffisante Très insuffisante Aide aux financements Exonération fiscale Offre immobilière Location de matériel Recrutement des ressources humaines

Accompagnement juridique et conseil

Pépinière d’entreprise Incubateurs

31

2.4.2. Trouvez-vous que l’offre de services aux créateurs d’entreprise est :

2.5. Les salariés de votre entreprise

2.5.1. Combien de salariés de votre entreprise ont :

- Un emploi permanent ……………. - Un emploi saisonnier……………..

2.5.2. Nombre de salariés par niveau de formation

� Niveau inférieur au bac �……Salariés

� Niveau bac �……Salariés � Niveau bac + 3 et plus �……Salariés � Niveau bac + 5 et plus � ……Salariés

2.5.3. Avez-vous déjà eu recours à une structure d’insertion professionnelle ?

� Oui � Non

Sinon, pour quelles raisons ?................................................................................................................. ………………………………………………………………………………………………...

2.5.4. Avez-vous recruté dans l’année écoulée : � Oui � Non

2.5.5. Avez-vous l’intention de recruter dans l’année à venir :

� Oui � Non

2.5.6. Des dispositifs d’insertion professionnelle vont être crées en 2007. Pensez-vous y

avoir recours ? � Oui � Non

3. Le territoire de l’Espace Sud de la Martinique

3.1. Le territoire de l’Espace Sud de la Martinique vous semble t-il être un environnement favorable pour votre entreprise?

� Oui � Non

Si oui, pourquoi ? � Cadre de vie � Proximité des centres de décision et de rencontres professionnelles � Accessibilité du territoire

32

� Proximité des services et des commerces � Image et notoriété � Immobilier d’entreprise � Foncier disponible pour les entreprises � Offre de logements pour les salariés � Offre de réseaux de communication (Internet, téléphone…) � Autres : ……………….

3.1.1. Quels seraient les facteurs qui vous pousseraient à délocaliser votre entreprise hors de l’Espace Sud ?.…………………………………………………………

……………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………

3.1.2. Les réseaux de transport vous paraissent-ils dans l’ensemble :

Satisfaisants � Suffisants � Insuffisants � Très insuffisants �

3.1.3. Réseaux de transport bus :

Satisfaisants � Suffisants � Insuffisants � Très insuffisants �

3.1.4. Infrastructures routières : Satisfaisantes � Suffisantes� Insuffisantes � Très insuffisantes �

3.1.5. Accès à l’aéroport

Très satisfaisant � Satisfaisant � Insatisfaisant � Très insatisfaisant �

3.1.6. Accès aux ports

A quel port recourrez-vous pour les importations/exportations de marchandises ? � Fort de France � Le Marin � Le François � Autre :…………………………………………………………

o Votre besoin en transport maritime de marchandises est-il : Satisfait � Insatisfait �

o Vos suggestions pour améliorer le trafic : …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

o Le transport maritime de passagers autour de l’ile et dans la région

caraïbe, vous paraît-il :

33

Satisfaisant � Insatisfaisant �

3.1.7. La facilité d’accès aux communes du Centre te du Nord de la Martinique est-elle un paramètre :

3.1.8. Que faudrait-il développer selon vous comme services et infrastructures de transport pour augmenter la compétitivité de votre entreprise ?

…………………………..………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 3.1.9. Offre FONCIERE et IMMOBILIERE

� Trouvez vous que :

Est satisfaisante Est suffisante Est insuffisante Est très insuffisante L’offre immobilière en Zone d’activité

L’offre foncière en Zone d’activité

L’offre immobilière hors Zone d’activité

L’offre foncière hors Zone d’activité

� Avez-vous un projet d’extension :

à proximité de vos locaux actuels ? � Oui � Non � Si oui, où ?

� Espace Sud ? Quelle commune ?................................. � Centre � Nord

� pour quel usage ou fonction de votre entreprise ?

� administration � production � commercialisation � stockage/logistique

� Quel est l’état d’avancement de ce projet ? Quels freins rencontrez-vous ? …………………………………………………………………………………

Très important (++) Important (+) Sans importance (0) par voie terrestre par voie maritime par avion

34

3.2. Satisfaction des salariés à l’égard des services à la personne :

3.2.1. Comment qualifiez-vous :

L’offre de : Présent Absent Accessible Inaccessible A développer

dans le Sud Santé loisirs culturelle superettes Supermarchés hypermarchés banques hôtellerie/restauration crèches et autres modes de garde d’enfant

écoles collèges lycées enseignement supérieur : emploi et insertion administration :

3.2.2. Offre de logement

Location Parc privé :

Satisfaisante � Suffisante � Insuffisante � Très insuffisante �

Parc social :

Satisfaisante � Suffisante � Insuffisante � Très insuffisante �

Accession à la propriété Parc privé :

Satisfaisante � Suffisante � Insuffisante � Très insuffisante �

Parc social :

Satisfaisante � Suffisante � Insuffisante � Très insuffisante �

4. L’enjeu environnemental

4.1. Avez-vous déjà engagé une démarche environnementale ? � Mesures de certification � Mesures de prévention des pollutions et protection de l’environnement � Mesures d’écomanagement

35

� Bâtiment à haute qualité environnementale � Architecture intégrée aux paysages � Utilisation de produits recyclables et biodégradables � Exploitation des énergies renouvelables (solaire, éolien etc.) ?

5. Conclusion

5.1. Votre politique de développement :

5.1.1. Votre entreprise a-t-elle des activités d’innovation et de recherche � Oui � Non

Si oui avez-vous des échanges avec des centres de recherches publics et privés ? Lesquels : ………………………………………………………………………………………………………....................................................................................................................................................................

5.1.2. Menez-vous des études de marché et de développement

� Oui � Non

5.1.3. La recherche et ses applications industrielles, sont-elles suffisamment présentes dans le Sud ?.............................................................................................................

……………………………………………………………………………….

5.1.4. Avez-vous une politique de diminution des importations ? � Oui � Non

5.1.5. Avez-vous une politique d’augmentation des exportations ?

� Oui � Non

5.2. Vos suggestions :

5.2.1. Quels types de synergies pouvez-vous créer avec d’autres activités ou secteurs connexes actuellement dynamiques ?...................................................................

……………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

36

5.2.2. Quelles sont vos perceptions et vos attentes sur le développement économique du Sud ? ……………………………………………………………………………

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

5.2.3. Quels sont les éléments majeurs qui contribueraient à rendre votre activité plus performante ?.....................................................................................................

………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………….

Volet destiné aux entreprises du secteur « TOURISME »

6. Informations sur votre entreprise :

6.1. Quelle est la Capacité d’accueil de votre entreprise : Hôtellerie (nombre de lits) : ……………………………………………………………. Restauration (nombre de couverts) : …………………………………………………….

37

6.2. A quelle filière touristique appartient votre entreprise ?

� Hôtellerie � Restauration/brasserie � Offres d’activités aux touristes � Services aux entreprises touristiques � Autre. Précisez :…………………………………………………….. 7. La fréquentation touristique

7.1. Quelle a été pour votre établissement l’évolution de la fréquentation touristique ces 5 dernières années :

Quantitativement : Par type de client (majoritairement)

� Forte augmentation �Jeunes (- 25 ans) � Augmentation � Stagnation �Familles � Baisse

� Forte baisse �Retraités

7.2. Ces 5 dernières années avez-vous plutôt :

� Recruter du personnel � Licencier du personnel � Maintenu votre effectif de personnel

7.2.1. Dans les 2 prochaines années comptez-vous :

� Investir pour vous agrandir � Investir pour améliorer la qualité de vos prestations

7.3. D’après vous, la demande de séjours des touristes aujourd’hui porte plus vers :

� Séjour en club � Séjour découverte / culturel �Séjour d’affaire

7.3.1. D’après vous, la demande des touristes aujourd’hui porte plus vers :

� Des produits locaux � Des produits importés

8. Votre approvisionnement en produits alimentaires :

8.1. Vous proposez des produits majoritairement issus de:

� De l’agriculture, de l’élevage et de la pêche martiniquais � Des produits importés :

38

� De France métropolitaine � Des caraïbes � Des Etats-Unis � Du reste du monde

8.2. L’offre d’activité touristique vous paraît-elle satisfaisante ?

� Oui � Non

8.3. Quelles activités touristiques faudrait-il développées selon vous? ………………………………………………………………………………………

8.3.1. Vos suggestions pour améliorer l’offre globale

………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

Volet destiné aux entreprises COMMERCIALES

9. Informations sur votre entreprise :

9.1. De quelle filière relève votre entreprise ?

� Commerce automobile/réparation � Intermédiaire du commerce � Commerce d'alimentation générale � Superette

39

� Supermarché � Hypermarché � Commerce de gros � Commerce de détail � Commerce de proximité � Autre, précisez :...........................................................

9.2. Quelle a été pour votre commerce la fréquentation de la clientèle ces 5 dernières années :

Quantitativement : Type de clientèle majoritaire

� Forte augmentation � Augmentation �Clients réguliers …………… � Stagnation �Clients occasionnels… ………….… � Baisse �Clients saisonniers (touristes)......... � Forte baisse

9.2.1. Ces 5 dernières années avez-vous plutôt :

� Recruter du personnel � Licencier du personnel � Maintenu votre effectif de personnel

Volet destiné aux entreprises situées en ZONE D’ACTIVITE

10. Informations sur votre entreprise :

10.1. Dans quelle Zone d’Activité se situe votre entreprise ? ……………………………………………………………………………………………….

10.2. Depuis quand votre entreprise est-elle située sur cette Zone d’Activité ? ………………………………………………………………………………………………..

40

10.3. Quels sont les avantages et inconvénients d’être situé sur cette Zone d’Activité ?

Avantages Inconvénients

Sans opinion

Localisation Accessibilité État de la voirie Services proposés Cadre de travail Stationnement Proximité des centres de décision et de rencontres professionnelles

Proximité des services et des commerces Image Immobilier d’entreprise Offre de réseaux de communication (Internet, téléphone…)

10.4. Avez-vous des observations à faire sur les avantages et inconvénients de votre localisation ?...........................................................................................................

………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

Voici le questionnaire destiné aux DGS (Directeurs Généraux des

Services) des 12 Communes de l’Espace Sud de la Martinique que nous avons réalisé

avec Elodie Cassignole au cabinet E.C.s.

41

Commune de :

1. Quelle est l’année de création de la ZA ?

2. Quel est le nom de la ZA ?

3. Dans quel(s) quartier(s) est (sont) située(s) la(les) ZA ?

4. Combien y a-t-il d’entreprises dans la ZA ?

5. Quels sont les secteurs d’activité des entreprises présentes : (mettre une croix)

CommerceIndustrie chimique, biologique, pharmaceutiqueConstructionIndustrie de machines et d'équipementsDivers industrieIndustrie de matériel de transportEnergie et environnementIndustrie du papier et du cartonFinance, banque, assuranceIngénierie et bureau d'étudeServices aux particuliersServices aux entreprisesHôtellerieRestaurationTechnologies de l'information et de la communicationTransport, logistiques, entrepôtsImmobilier et location (précisez)Recherche

6. Combien d’emplois dans la ZA ?

FICHE DESCRIPTIVE DES ZA

42

Foncier et immobilier7. La surface de la ZA ?

8. Quels types de bâtiment sont présents sur la ZA ?

Bureaux tertiairesEntrepôtsHangardsLocaux industriels Centres de rechercheLocaux mixtes (laboratoire, bureaux)

9. Une réhabilitation est-elle nécessaire aujourd’hui ?

Signalétiques lisibles et homogènesParkings VoiriesRéseau d'eau et énergieEclairageBâtiments et locaux

10. La ZA est-elle délimitée localement et balisée ?

11. Utilisation des espaces non bâtis de la ZA ?Surface Suffisant Insuffisant

ParkingsAire de manœuvreAire de stockageEspaces vertsEspace délaissé

12. Quelle est la capacité d’accueil de la ZA en nombre d’entreprise ou m² de locaux ?

13. Surfaces foncières encore disponibles sur la ZA ?

Pour quel type d'entreprise?Très petite entreprise (0-9 salariés)Petite entreprise (10-49 salariés)Entreprise moyenne (50-249 salariés)Grande entreprise

Pour des entreprises de quel secteur d'activité?CommerceIndustrie chimique, biologique, pharmaceutiqueConstructionIndustrie de machines et d'équipementsDivers industrieIndustrie de matériel de transportEnergie et environnementIndustrie du papier et du cartonFinance, banque, assuranceIngénierie et bureau d'étudeServices aux particuliersServices aux entreprisesHôtellerieRestaurationTechnologies de l'information et de la communicationTransport, logistiques, entrepôtsImmobilier et location (précisez)Recherche

14. Surfaces immobilières disponibles sur la ZA ?

Pour quel type d'entreprise?Très petite entreprise (0-9 salariés)Petite entreprise (10-49 salariés)Entreprise moyenne (50-249 salariés)Grande entreprise

43

Pour des entreprises de quels secteurs d'activité?

CommerceIndustrie chimique, biologique, pharmaceutiqueConstructionIndustrie de machines et d'équipementsDivers industrieIndustrie de matériel de transportEnergie et environnementIndustrie du papier et du cartonFinance, banque, assuranceIngénierie et bureau d'étudeServices aux particuliersServices aux entreprisesHôtellerieRestaurationTechnologies de l'information et de la communicationTransport, logistiques, entrepôtsImmobilier et location (précisez)Recherche

15. A qui appartiennent les locaux et bâtiment sur la ZA?

16. Projets d’évolution de la ZA ?AgrandissementRestructurationCessation

Accessibilité et Visibilité17. Comment jugez vous le trafic routier (poids lourds, véhicules personnels)

FluideDenseSaturé

18. Visibilité et de l’accessibilité de la ZA ?

Présent Absent Satisfaisant Insatisfaisant

Besoin d'être développé

Signalétiques lisibles et homogènesParkings VoiriesAccès RNAménagement de carrefoursRéseau d'eau, assainissement et énergieTransport en communQualité paysagèreEclairage

44

Services19. Quel est le niveau d’équipement en télécommunication ?

Haut débitTrès haut débitPrix de raccordement pour une entreprise

20. Quels services aux entreprises sont présents sur la ZA ?

PrésentServices à créer ou à développer

Activités juridiquesActivités comptables Études de marché et sondages Conseil pour les affaires et la gestion Administration d'entreprises Architecture et techniciens du bâtiment Maintenance informatiqueAnalyses, essais et inspections techniquesGestion de supports de publicitéConseil en publicité et communicationAgences de recrutementGardiennage Activités de nettoyageConditionnement, emballageSecrétariat et traductionRoutageCentres d'appelOrganisation de foires et salons Services annexes à la productionOffre de logiciels adaptés à votre entrepriseSalle de réunionCollecte de déchets industriels banalsCollecte de déchets industriels spéciauxBanque et organisme financierPépinièreOffre de formation

21. Quels services aux particuliers sont présents sur la ZA ?

PrésentServices à créer ou à développer

SantéloisirsCulturesuperettesSupermarchéshypermarchésbanques hôtellerie/restauration crèches et autres modes de garde d’enfantécoleséquipements sportifsadministration

45

Règlementation22. La ZA est-elle organisée en réponse à des normes environnementales précises (laquelle) :

23. Quel est le statut de la ZA ?

24. De quelle(s) réglementation(s) dépend-elle ?

Documents de référenceConception et positionnement de la zoneProjet de territoireEtude d'opportunitéEtude de faisabilité

Aménagement et équipements de la zoneDocuments d'urbanismePlan de réseauxPlan de prévention des risquesPlan de déplacement

CommercialisationPlan de commercialisationPlaquettes de promotionCD ROM de promotionPresse

Gestion de la zoneConvention de gestion (lesquelles)Charte de qualitéCertification Qualité ou Environnement

Appréciation25. Quels sont les atouts et handicaps de la zone ?

26. Quelles sont les opportunités ou menaces pour la zone ?

27. Quels sont vos projets pour la zone ?

28. Comment voyez vous la zone à 3-5 ans ?

46