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Les estacades étant réalisées sur chaque rive, les engins (grues, camions), ainsi que les ouvriers, peuvent accéder aux zones de construction des socles et gabions. 70.2° La Se i n e Appuis des travées levantes Socle Gabion Gabion Fûts de la tour Vue de dessus partielle du pont levant Travée levante amont Travée levante aval Viaduc d’accès sud LE PONT LEVANT – LES SOCLES ET GABIONS FIN

Les estacades étant réalisées sur chaque rive, les engins (grues, camions), ainsi que les ouvriers, peuvent accéder aux zones de construction des socles

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Les estacades étant réalisées sur chaque rive, les engins (grues, camions), ainsi que les ouvriers, peuvent accéder aux zones de construction des socles et gabions.

70.2°

La S

eine

Appuis des travées levantes

Socle

Gabion

Gabion

Fûts de la tour

Vue de dessus partielle du pont levant

Travée levante amont

Travée levante aval

Viaduc d’accès sud

LE PONT LEVANT – LES SOCLES ET GABIONSFIN

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Vue en élévation des appuis, gabions et fondations

Gabion

Pieu20 m

15 m

22 m

70.2°

La

Seine

Vue de dessus partielle du pont levant

Ces éléments sont en béton armé, reposant sur le lit de la Seine et fondés sur des pieux.

Socle

LE PONT LEVANT – LES SOCLES ET GABIONSFIN

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Les fondations des socles et gabions sont réalisés par pieux. Pour cela, des tubes d’un diamètre de 1,80 m pour le socle et 1,40 m pour les gabions, sont descendus dans la Seine puis enfoncés de 8 mètres à partir du lit de la Seine. Ceci permet de réaliser un guidage de l’outil de forage sur la partie haute et ensuite une protection du forage sur les 8 mètres sous le lit de la Seine. Les forages sont exécutés jusqu’à une profondeur de 20 mètres.

Les fondations des socles sont réalisées à partir de l’estacade.

FONDATION DES SOCLES ET GABIONSFIN

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Les tubes sont amenés et mis en place par la grue mobile. Les contrôles de positionnement et verticalité sont effectués par un géomètre.

Une fois les réglages effectués, les tubes sont enfoncés de 8 mètres sous le lit de la Seine.

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A l’aide d’une benne-preneuse, on creuse à l’abri du tube, jusqu’à une profondeur de 20 mètres.

Un trépan de 11 tonnes est utilisé pour les sols durs. Il est lâché à l’intérieur du tube, et, en arrivant au fond, désagrège le sol sur une épaisseur de 30 à 50 centimètres. La benne-preneuse peut alors prendre cette couche rendue friable.

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Les cages d’armatures sont préparées sur la zone de préfabrication par une équipe de ferrailleurs.

Une fois le forage de 20 mètres effectué, les cages d’armatures sont descendues par éléments de 7 mètres environ, guidées par le tube. Ces éléments sont assemblés par soudure.

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Le pieu est ensuite bétonné à l’aide d’un tube plongeur, surmonté d’un entonnoir (goulotte). Ce tube est descendu jusqu’au fond du forage, puis remonté au fur et à mesure que l’on remplit le forage de béton.

FONDATION DES SOCLES ET GABIONSFIN

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L’estacade étant à peu près centrée par rapport au socle, la grue mobile ne peut atteindre les zones où sont implantés les pieux des gabions, les distances étant trop importantes. Il a donc été décidé de mettre en place une grue sur barge pour la mise en place des tubes.

7 tubes par gabion, d’un diamètre de 1,4 mètres de diamètre sont ainsi enfoncés.

FONDATION DES SOCLES ET GABIONSFIN

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FONDATION DES SOCLES ET GABIONSFIN

Sur le diaporama intégré au

DVD, le schéma est complété en

faisant glisser les vignettes

au bon endroit

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Les tubes concernant les gabions sont enfoncés de façon inégale, en fonction de la nature des sols rencontrés. Il a donc fallu les rehausser (de 0,15 m à 3,20 m) pour qu’ils soient tous de même niveau.

Cette opération a pu être effectuée depuis l’estacade, malgré la distance, les éléments métalliques ayant un poids suffisamment faible.

Une fois les éléments positionnés, ils sont soudés.

FONDATION DES SOCLES ET GABIONSFIN

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Des passerelles sont mises en place à chaque fois qu’un tube est enfoncé, pour que les ouvriers puissent travailler en toute sécurité au dessus de la Seine. D’autre part, un platelage est réalisé au droit du socle, afin de prolonger l’estacade et donc d’agrandir la zone de travail.

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