Les lois de la république et du haut-empire

Rapport de recherche bibliographique - mars 2002

DESS Ingnierie documentaire

Les lois de la rpublique et du haut-empire romains

LECAUDEY, Timothe

Sous la direction de Jean-Louis FerraryDirecteur de recherches au CNRS

Rapport dtude de lEnssib

Rsum Les lois romaines taient votes par les citoyens de Rome runis en comices centuriates ou tributes. La plupart des lois concernaient le droit public, et furent donc au centre de la majorit des grandes crises et des grands dbats politiques de la rpublique et du dbut de lempire, comme la question agraire ou le problme de la composition des jurys. Il est aujourdhui possible, grce des documents pigraphiques, des auteurs littraires ou des juristes, davoir une vision assez prcise des causes, des buts et des aspects sociaux de ces lois

Descripteurs : lois romaines, droit romain, rpublique romaine, hautempire, comices

Abstract The roman laws were voted by the citizens gathered in assemblies, the comitia centuriata and tributa. Most of the laws concerned civil law, and therefore were involved in the majority of the main political crisies and debates of the republic and the beginning of the empire: e.g. the agrarian problem or the jury composition. Thanks to epigraphical documents and literary or juridical authors, it is now possible to have a fairly precise overview of the motives, aims and social aspects of the roman laws.

Descriptors: roman laws, roman law, roman republic, principate, comitia

LECAUDEY Timothe | DESSID | Rapport de recherche bibliographique | 2002

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Table des matiresPREMIRE PARTIE : MTHODOLOGIE DE RECHERCHE ................... 5 1. Collecte des rfrences bibliographiques1.1. 1.2.

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Prsentation du commanditaire et de ses besoins ............................. 5 Dtail des recherches .................................................................. 6 1.2.1. Choix des descripteurs ..................................................... 6 1.2.2. Droulement des recherches ............................................. 7 1.2.2.1. LAnne philologique ............................................. 7 1.2.2.2. DRANT ............................................................... 9 1.2.2.3. Bulletin Analytique dHistoire Romaine en ligne........ 10 1.2.2.4. Frantiq ............................................................. 11 1.2.2.5. Gnomon on-line ................................................. 11 1.2.3. Estimation des temps de recherche .................................. 12

2. Prsentation des rfrences2.1. 2.2.

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Le logiciel Endnote .................................................................... 13 Rgles de prsentation adoptes ................................................. 13

DEUXIME PARTIE : SYNTHSE.................................................. 15 Introduction 1. Etat des sources1.1. 1.2. 1.3.

15 16

Sources pigraphiques ............................................................... 16 Sources littraires..................................................................... 16 Sources juridiques .................................................................... 17

2. Procdures de vote2.1. 2.2.

17

Les comices ............................................................................. 17 Le vote ................................................................................... 18

3. Aspects politiques, conomiques et sociaux3.1. 3.2. Champs dapplication................................................................. La loi dans les luttes politiques : deux exemples............................. 3.2.1. Les lois agraires............................................................ 3.2.2. Les lois judiciaires et la question des jurys ........................

1919 20 20 21

TROISIME PARTIE : BIBLIOGRAPHIE ....................................... 23 1. Grandes lois ou grands ensembles de lois1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. Loi des Douze Tables ................................................................. Lex Aquilia .............................................................................. Lois agraires ............................................................................ Lgislation syllanienne ............................................................... Lgislation pompienne.............................................................. Lgislation julienne ................................................................... 1.6.1. Lois sur le mariage ........................................................ 1.6.2. Autres lois ...................................................................

2323 47 61 72 82 85 85 95

2. Autres lois

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TABLE DES ANNEXES ............................................................... 170


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Premire partie : Mthodologie de recherche1. Collecte des rfrences bibliographiques1.1. Prsentation du commanditaire et de ses besoins

Cette recherche a t commandite par Jean-Louis Ferrary, directeur de recherches au CNRS et co-responsable avec Philippe Moreau du groupe de recherche Les lois des romains . Ce groupe rassemble des chercheurs europens1 autour de ltude du corpus des lois romaines de la rpublique et du haut-empire2. Il sest donn, entre autres buts, celui de remplacer le livre de G. Rotondi, Leges publicae populi Romani3, ouvrage qui fait actuellement rfrence pour ltude des lois romaines, mais dont les limites commencent se faire sentir. Chaque collaborateur du projet est responsable de la rdaction de notices regroupes par thmes, de la relecture d'un certain nombre de textes, et enfin du soin de revoir et de coordonner toutes les notices de lois datables dune priode donne. Il labore des projets de notices et les adresse aux deux responsables, qui les diffusent tous les membres du programme pour examen individuel. Ces notices sont discutes lors de runions annuelles de travail commun. Cette phase dexamen des sources et de la littrature secondaire donne lieu de nombreuses publications darticles. Ce travail ncessite un dpouillement systmatique des sources et un rexamen critique de toute la bibliographie. Cest cette dernire exigence qui

1 Collaborateurs membres de l'U.M.R. : P. BOTTERI, M. CBEILLAC-GERVASONI, P. COSME (depuis 2000), M. H. CRAWFORD, S. DEMOUGIN, E. DENIAUX, J. C. DUMONT, Y. RIVIRE (depuis 1999), J. SCHEID, Y. THOMAS, C. VlRLOUVET (dmissionnaire de l'U.M.R. en 1999, mais continuant collaborer au programme). Collaborateurs associs : J. D. CLOUD (Univ. Leicester), T. CORNELL (Univ. Manchester), M. COUDRY (Univ. Mulhouse), M. HUMBERT (Univ. Paris II). 2 Pour la dfinition de ce quest une loi romaine, cf. plus bas Deuxime Partie : Introduction. 3 ROTONDI, 1966


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est au fondement de ce rapport de recherche bibliographique : il sagissait de disposer dune bibliographie la plus exhaustive possible compte tenu du temps dont nous disposions - sur les lois romaines, afin de disposer dune liste de rfrences lire et utiliser dans des articles publis par les collaborateurs. Le travail prsent ici nest donc pas clos : il sera complt au fur et mesure par les rfrences qui ntaient pas prsentes dans les bases de donnes ou dans les ouvrages de bibliographie mais qui sont cites dans dautres ouvrages ou articles. Cest la raison pour laquelle nous avons ralis, en plus de la version papier de ce travail, une base de donnes sous Endnote contenant lensemble des rfrences rassembles pour ce travail, et qui sera remise en mme temps au commanditaire. 1.2. Dtail des recherches

1.2.1. Choix des descripteurs Le travail demand par le commanditaire sapparente un travail dtat des connaissances, avec cette diffrence notable que, contrairement ce que lon constate dans les sciences dures , des rfrences relativement anciennes ont souvent une valeur importante pour les historiens. Les dates adoptes pour effectuer cette recherche sont donc celles qui ont t choisies par les concepteurs des outils bibliographiques, c'est--dire essentiellement la seconde moiti du XXme sicle. Une recherche plus complte sur la littrature de la fin du XIXme sicle et du dbut du XXme sicle reste faire, mais passe essentiellement par la lecture darticles et douvrages dans lesquels on rcuprera les rfrences. Le choix des descripteurs rpond donc ce souci de ne rien laisser de ct ; la rgle adopte a t de prendre en compte tout article mentionnant une loi prcise ou un ensemble de lois, dans son titre ou dans le rsum et les descripteurs associs. Nous nous sommes servis de deux listes de lois romaines, disponibles en annexe de ce travail, pour slectionner les articles pertinents, en laissant de ct les rfrences portant sur lgislation municipale.


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Pour les bases de donnes, les mots lex et ses quivalents en franais ( loi , lgislation ), allemand ( gesetz ), anglais ( law , avec la rserve quimplique le fait que roman law signifie le droit romain dans son ensemble, non une loi romaine) et italien ( legge ) ont t la base des recherches, que les listes de lois ont permis daffiner. Dautres descripteurs complmentaires ont galement t utiliss : les mots tabula et fragmentum qui se rfrent des sources pigraphiques, rogatio lorsque lauteur de la rfrence a mis laccent sur llaboration de la loi, ou bien la notion de rforme , terme souvent employ propos des rformes agraires ou judiciaires, en particulier des Gracques. Les outils utiliss tant tous spcialiss sur lantiquit, il ntait pas ncessaire, la plupart du temps, de prciser des limites chronologiques (une loi romaine date forcment de la rpublique ou du haut empire) ou gographiques (le nom de la loi permet gnralement de savoir si elle est romaine ou municipale). 1.2.2. Droulement des recherches1.2.2.1. LAnne philologique

LAnne

philologique

reste

loutil

bibliographique

fondamental

de

lantiquisant. Ce priodique parat chaque anne et rassemble tous les articles et les ouvrages parus dans le domaine des tudes antiques au sens large. Trois sources diffrentes ont t utilises : lAnne philologique sur papier pour les annes 1950-1974 et 1990-1996, la Database of Classical Bibliography pour les annes 1974 1989, et enfin lAnne philologique en ligne (AnPhilNet) pour les annes 1996 2000.LAnne philologique (version papier) : annes 1950-1973

Dans les deux premiers cas, nous nous sommes servis dabord du classement en grandes catgories propre lAnne philologique depuis sa cration. Les catgories qui ont fait lobjet des recherches sont : Histoire sociale : Histoire romaine Epigraphie romaine Textes et auteurs : lex Duodecim Tabularum


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Civilisation romaine Droit romain

Les rfrences contenues dans lAnne philologique ne sont pas indexes, mais simplement ranges dans de grandes catgories comme celles que nous venons de citer. Ce systme ne permet pas toujours de connatre le sujet dun article et de dterminer sa pertinence pour une recherche comme la notre. En revanche, il lui arrive assez frquemment de fournir un rsum de larticle, notamment pour les plus importants. La recherche darticles pertinents est donc passe par une lecture systmatique des titres darticles et des rsums. Tous les articles mentionnant expressment une loi particulire ou un ensemble de lois ont t relevs, ainsi que certaines rfrences traitant de sujets o il tait vident que le sujet tait trait. Cette dmarche nest bien sr pas compltement satisfaisante, car elle laisse sans doute de ct un certain nombre de rfrences pertinentes. Elle montre avant tout les limites de cet outil et de son mode dindexation. Outre son exhaustivit, son autre intrt est dindexer galement les recensions darticles et douvrages dans les revues, informations que nous navons cependant pas retenu dans notre travail de collecte.Database of Classical bibliography : annes 1974-1989

La consultation de lAnne philologique en version papier a pris environ deux heures par volume. Le CD-ROM permet deffectuer un travail quivalent sur 16 volumes en environ quatre heures de travail. Cependant, alors que la version papier est facilement consultable dans la plupart des bibliothques universitaires consacres aux sciences humaines, la version lectronique, dont le cot nest pourtant pas trs lev, en particulier en comparaison de la version papier, sest rvle difficile trouver, sur Lyon en particulier. Sans doute se trouve-t-elle dans des centres de recherche, pour la consultation interne, plutt que dans de grandes bibliothques. Cest finalement lEcole Normale Suprieure de la rue dUlm que nous avons consult ce CD-ROM. Ce problme devrait disparatre dans les jours venir avec lapparition dune version en ligne, au contenu plus large.


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La DCB ne permet dexporter les notices quen format texte et non dans un format importable dans une base de donnes, ou sous EndNote ; cela nous a en outre caus des difficults de conversion de formats, la machine utilise pour la consultation tant un Macintosh. Quant au CD-ROM, il est certes beaucoup plus rapide consulter, et aussi complet, mais il est dpendant des erreurs de reconnaissance de caractres effectues lors du passage sur support lectronique4, et il est galement plus opaque , au sens o des rfrences pouvant tre pertinentes ne sont pas trouves lors de requtes portant uniquement sur le texte intgral des titres et des rsums donc non indexes, sans rfrence un thsaurus.AnPhilNet : annes 1990 2000

AnPhilNet5 est une pr version en ligne des volumes papier de lAnne Philologique. Cette base de donnes contient les rfrences des volumes en cours dlaboration et de ceux de parution rcente. Elle fonctionne comme la version CD-ROM, cest--dire par catgories, mais son interface dinterrogation est minimale et peu pratique, tout comme son interface de consultation des rsultats. Les recherches ne sont galement pas trs rapides. Nous ne nous sommes servis de cette base que comme outil de complment et de vrification.1.2.2.2. DRANT6

Linterrogation de cette base de donnes en ligne produite par le CNRS se fait au moyen dun thsaurus et de listes de descripteurs attachs chaque champ dinterrogation. Dans le cas qui nous concerne, le plus simple tait dinterroger le champ mot-cl en demandant toutes les rfrences lies une loi particulire. Cent dix-sept noms de lois sont ainsi prsentes dans la liste de descripteurs Sources . Ce mode de recherche a donn 883 rponses,

4 Voir la recension du Cd-Rom par T. COREY BRENNAN dans la BMCR : http://ccat.sas.upenn.edu/bmcr/1996/96.01.05.html, BMCR, 96.01.05, visit le 11/03/2002 (et http://ccat.sas.upenn.edu/bmcr/1996/96.01.08.html, rponse BRENNAN sur la DCB, BMCR 96.01.08, visit le 11/03/2002) 5 http://callimac.vjf.cnrs.fr:8080/AnPhilNet/AnPhilNet.html, visit le 11/03/2002 6 http://argentoratum.u-strasbg.fr/basesweb/DRANT/html/RECHFRMENU.htm, visit le 11/03/2002


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toutes

susceptibles

dtre

intgres

dans

la

base,

en

veillant

au

ddoublonnage. Nous avons cependant not en utilisant cet outil, aprs lAnne Philologique, que les diffrents outils de recherche utiliss, sur support papier et lectronique, avec ou sans thsaurus, ne donnent pas le mme type de rsultats. Dune part, certains titres suggrant un contenu en rapport avec le sujet peuvent chapper une recherche sur le texte intgral (par ex. avec lAnne philologique sur CD-ROM), tandis quune interrogation de base de donnes utilisant un thsaurus fournit des rsultats mme sur des titres peu transparents quant au contenu de larticle. Dautre part, lors de lutilisation de DRANT, les rfrences obtenues ont parfois un rapport moins direct avec le sujet, mme si elles doivent aussi tre intgres. Malgr sa moins grande exhaustivit, DRANT est un meilleur outil que lAnne philologique, du point de vue technique et dans le cadre de notre recherche : il gnre moins de silence. Le problme le plus grave rencontr avec DRANT venait du choix des concepteurs de fournir aux usagers les rsultats uniquement en lettres majuscules, ce qui rendait impossible lintgration des rfrences directement sous EndNote ; il a donc fallu jongler avec Word pour repasser les rfrences en minuscules, rajouter les accents, etc. Ce dtail en apparence anodin est lorigine dune perte de temps considrable.1.2.2.3. Bulletin Analytique dHistoire Romaine en ligne7

Le Bulletin Analytique dHistoire Romaine est un priodique de bibliographie parution annuelle. Il rassemble les rfrences de lanne coule qui concernent lhistoire romaine sous tous ses aspects. Depuis quelques annes, une version en ligne a t dveloppe sous la forme dune base de donnes par lUMR 7044 du CNRS, Strasbourg. Son interface dinterrogation est la mme que celle de DRANT ; le thsaurus est galement de mme facture, mais contient moins dentres relatives aux lois. La quantit de rfrences obtenue est nettement moins importante quavec DRANT, puisque, tous mots-

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http://argentoratum.u-strasbg.fr/basesweb/BAHR/html/RECHFRMENU.htm, visit le 11/03/2002


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cls confondus, elle a donn 159 rsultats ; rappelons que cette base nest pas spcialise dans le droit antique. Les rsultats obtenus sont plus directement utilisables, car en lettres minuscules. Aucune fonction dexportation des rfrences na cependant t prvue.1.2.2.4. Frantiq8

Cette base de donnes spcialise dans la bibliographie dans le domaine de lhistoire ancienne et de larchologie est produite par le CNRS partir des fonds spcialiss de vingt bibliothques et centres de recherches sur lantiquit ; elle contient moins de rfrences que les autres bases utilises. Elle propose lutilisation dun thsaurus, PACTOLS, qui couvre les domaines suivants : Peuples , Anthroponymes , Chronologie relative , Toponymes , uvres , Lieux et Sujets . Nous avons obtenu nos rsultats en combinant des mots-cls chronologiques rpublique romaine et haut empire romain avec les entres du thsaurus concernant les lois : dans le thsaurus uvres, les entres Lex Julia , Loi des Douze Tables , Loi Gabinia-Calpurnia et dans le thsaurus Sujets les entres loi agraire , loi , lgislation . On le voit, ce thsaurus est trs loin de la spcialisation des deux bases de donnes prcdentes, qui permettaient beaucoup plus de prcision linterrogation. Lautre partie des rsultats a t obtenue en utilisant le texte intgral sur le champ titre, en interrogeant sur les mots cls cits en 1.2.1.1.2.2.5. Gnomon on-line9

Comme le BAHR, Gnomon est un priodique spcialis dans la bibliographie sur lantiquit. Sa version en ligne consiste en une base de donnes interrogeable en texte intgral, reprenant une slection de rfrences du CDROM Gnomon auquel nous navons pas eu accs pour cette recherche. Bien que le site ait une version franaise, le thsaurus utilis est en allemand uniquement ; il nest pas trs dtaill et son emploi a produit beaucoup de bruit, le seul mot-cl vraiment utilisable tant Rmische

8 9

http://frantiq.mom.fr:89/FRANTIQ/FRANTIQ.html, visit le 11/03/2002 http://www.gnomon.ku-eichstaett.de/Gnomon/Gnomon.html, visit le 11/03/2002


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Rechtsgeschichte , c'est--dire droit romain . En combinant cette entre avec une recherche en texte intgral sur lex , nous avons obtenu 15 rsultats, ce qui est peu. Linterface est cependant simple utiliser et offre plus de facilits que les autres pour lintgration des notices sous EndNote. 1.2.3. Estimation des temps de recherche Le temps pass cette recherche a beaucoup vari selon le support utilis et les possibilits offertes par les outils de recherche. Le plus long a bien sr t de dpouiller les volumes papier de lAnne philologique. Il nous a en effet fallu environ deux heures par volume. Les bases de donnes ont produit des rsultats rapidement, mais le nombre des mots-cls utiliss a allong les temps de recherche. Voici une estimation des temps de recherche pour chaque outil utilis ; nous y avons inclus le temps ncessaire lintgration dans EndNote des rsultats, ce qui explique le mauvais score de DRANT, d son interface prsentant les rfrences en lettres majuscules. Outil de recherche Anne philologique Papier DCB AnPhilNet DRANT BAHR Frantiq Gnomon Total 46 4 2 20 4 2 2 80 Volume horaire


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2.

Prsentation des rfrences2.1. Le logiciel Endnote

Endnote 5.0 est un logiciel de bibliographie dvelopp et commercialis par ISI ResearchSoft. Il permet de saisir des rfrences bibliographiques dans une petite base de donnes documentaire, permettant deffectuer des recherches par thmes (si les rfrences ont t indexes), de prsenter automatiquement des slections de rfrences, ou bien dinsrer des rfrences dans Microsoft Word. Les fonctionnalits de ce logiciel ne sont pas aussi tendues quun vrai logiciel documentaire (il ne gre pas les thesaurus, par exemple), mais remplit trs bien son rle, tant comme outil de prsentation que comme base de donnes. Il permet la multivaluation sur certains champs, comme le champ auteur. Pour ce travail, nous avons complt le maximum de champs, en tenant compte dune utilisation base de donnes . Lors de la prsentation sous forme papier, certains champs nont pas t retenus, dans un souci dharmonisation, et afin de permettre une lecture plus facile des rfrences : ainsi les champs Original publication , Serie Title , Serie editor napparaissent pas ici. Ces mentions ne sont que complmentaires et ne sont pas indispensables pour identifier ou localiser le document. 2.2. Rgles de prsentation adoptes

Le classement des rfrences que nous avons adopt est imparfait, en raison de la prsence dans notre slection darticles pouvant entrer en mme temps dans plusieurs catgories. Ce problme, fort courant, ne pouvait tre vit. Il a t quelque peu attnu par le compromis choisi : un classement thmatique large pour les lois les plus tudies et les ensembles de lois les plus circonscrits. Il aurait t sans doute possible de raffiner ce classement, mais cela aurait conduit des problmes de classement dans telle ou telle catgories dun article litigieux. Les rfrences entrant dans plusieurs catgories la fois ont t volontairement rptes afin dviter une recherche inutile dans les autres catgories.


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La prsentation des rfrences elles-mme suit les prescriptions de la norme internationale ISO 690-1. Nous avons cependant prfr abrger les prnoms des auteurs afin dviter trop de disparits entre les rfrences. Enfin, en ce qui concerne les abbrviations de titres de revues, cest encore un compromis, souvent adopt dans les ouvrages de bibliographie, qui a t choisi ici : seules les revues les plus connues et dont labbrviation est vidente ont t cites sous forme abrge. Tous les autres priodiques sont cits sous leur nom complet. La liste des abbrviations est fournie en annexe de ce travail.


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Deuxime partie : SynthseIntroductionContrairement ce que pourrait laisser croire le sujet de cette recherche, nous naborderons pas ici lensemble des sources du droit romain sous la rpublique et le haut empire. Loin de l. Les lois romaines ne sont pas le droit romain ; celui-ci est beaucoup plus vaste et ses sources beaucoup plus varies. Quest-ce quune loi romaine ? Elle se dfinit avant tout par son mode de dlaboration et de ratification : une loi romaine est un texte lgislatif issu de la consultation du peuple de Rome (ou plutt de ses citoyens libres) runi en comices centuriates ou tributes. L'ensemble des textes normatifs constituant les sources du droit contient galement les senatus-consulte (issus des dlibrations du Snat, lun des organes principaux de prise de dcision Rome), les dits du prteur et des diles (promulgus chaque anne par ces magistrats et qui concernent surtout les questions de droit priv), les dits impriaux ou la jurisprudence. Beaucoup de lois taient mises par des cits de lempire romain. Cette lgislation municipale, bien que trs souvent inspire de modles romains, nest pas concerne par cette recherche, qui ne soccupe que des lois promulgues Rome. Les lois furent promulgues tout au long de la rpublique romaine, aprs la chute de la royaut trusque, jusquau dbut de lempire, durant lequel les comices finirent par perdre toute importance au profit de la lgislation impriale. Elles concernaient de nombreux domaines, privilgiant cependant nettement le droit public sur le droit priv. Ces cadres juridique, gographique et chronologique dfinis, il nous reste examiner comment taient votes les lois, quelles taient leurs champs dapplication, et enfin, dans quelle mesure les lois sinscrivent dans les problmes politiques, conomiques et juridiques de leur temps.


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1.

Etat des sources10

La plupart des lois ne nous sont pas parvenues directement. Publies sur le forum, graves sur des plaques de bronze, certaines ont t conserves comme documents pigraphiques. Dautres lois ne nous sont connues que par des citations dans dautres textes, littraires ou juridiques. 1.1. Sources pigraphiques11

Les inscriptions restent lune des principales sources de connaissances sur le monde romain. Moins nombreux que les inscriptions funraires ou les ddicaces, les textes de lois ont aussi t partiellement conservs sur des tables de bronze qui servaient les publier. Ces inscriptions sont souvent fragmentaires, ce qui rend parfois leur datation et leur identification avec telle ou telle loi difficile, voire impossible12. Ces tabulae sont souvent lobjet de vifs dbats, propos de leur datation (quand la partie suprieure du document, qui contient les informations sur la loi, manque), de leur identification et de la restitution des passages manquants (les tables sont souvent brises, comme la Tabula Bembina, ou abmes sur les cts. Ces problmes de restitution sont trs importants, car deux dpend la comprhension du sens de la loi, de son contexte politique et social, de son champ dapplication, des intentions du rogateur, etc. 1.2. Sources littraires

Certaines lois sont connues en partie ou totalement par des textes littraires. Lune des plus importante loi des romains et la premire des codifications connue de leur droit, la loi dite des Douze Tables , na pas, contrairement ce que pourrait laisser penser croire son nom, t conserve sous forme pigraphique. Nous la connaissons par des auteurs littraires13 ou par des juristes (voir ci-dessous 1.3.). La littrature de Rome, et notamment le genre

ROTONDI, 1966 ; CRAWFORD, 1996 CRAWFORD, 1996, vol. 1 pour ldition de ces textes 12 cf. par ex., propos de la lex repetundarum, MATTINGLY, 1969, 1970, 1971 et 1987 ; NICOLET, 1966 ; MOSSAKOWSKI, 1993 13 par ex. Festus (STRZELECKI, 1966 ; BOSCHERINI, 1970) ou Cicron (RUSCHENBUSCH, 1963 ; COLEMAN-NORTOn, 1950 ; DERY, 1993)11

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dit oratoire est insparable du contexte juridique : la plupart des grands crivains romains, et au premier chef Cicron, furent galement avocats et accusateurs, et connaissaient trs bien la loi. Cicron, dont nous avons des plaidoiries en faveur de clients attaqus en justice sous le rgime de lois prcises, a galement crit des uvres concernant certaines lois, comme ses discours de lege agraria qui sopposaient un projet de loi agraire. On peut mme retrouver des allusions ou des rfrences des lois chez des potes comme Ovide14 ou un auteur de pices de thtre comme Plaute15. Les historiens nous renseignent galement sur les lois : Salluste, Dion Cassius ou Tite-Live prtent une attention particulire aux lois, et notamment leur contexte politique et social16. 1.3. Sources juridiques

Parmi les textes de loi rassembls par les juristes de la priode impriale dans ce quon appelle le Corpus iuris ciuilis, qui comprend le Code de Justinien, le Digeste (ou Pandectes), les Institutes et les Novelles, on trouve galement de nombreuses rfrences des lois romaines, y compris sous forme de citations17. Ces juristes continuaient analyser et interprter les textes lgislatifs des priodes prcdentes, y compris les lois des Douze Tables, qui datent de 450 av. J.C. environ18.

2.

Procdures de vote192.1. Les comices

Les comices taient les seuls organes lgislatifs de Rome faisant intervenir directement le peuple, constitu des citoyens libres de sexe masculin. Ils taient galement utiliss pour lire les magistrats et rendre la justice pourDAVIS, 1999 ; STROH, 1979 ; BARCHIESI, 1988 MCDONNELL, 1986 ; CUGUSI, 1991 16 par ex. FREYBURGER-GALLAND, 1997 ; SARTORI, 1970 ; RUSCHENBUSCH, 1963 ; BILLOWS, 1989 ; GABBA, 1956 ; etc. 17 par ex. pour le Digeste, WOLF, 1959 ; WALDSTEIN, 1966 ; CIULEI, 1967, etc. ou pour les Institutes, CROOK, 1967 18 RUSCHENBUSCH, 1963 ; CIULEI, 196715 14


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certains procs de droit public. Ils se rpartissent en quatre grands types : comices curiate, centuriate et tribute ainsi que le concilium plebis. Les trois premiers sont prsids par un magistrat curule (consul ou prteur), tandis que le dernier est prsid par un tribun de la plbe. Le peuple ntait pas prsent aux comices curiates, prsids par un magistrat curule ou un pontifex maximus, qui votaient la lex curiata confirmant limperium des magistrats. Les comices centuriates, qui runissaient les 193 centuries de Rome (rpartition censitaire du peuple romain, selon le niveau de ressources) taient surtout utiliss pour lire les magistrats, pour les dclarations de guerre, pour les accusations capitales et pour le vote des lois. Pour le vote des lois, ce sont les comices tributes (rpartition gographique du peuple romain en 35 tribus, 4 urbaines et 31 rurales), prsids soit par un consul ou un prteur (comice tribute proprement dit), soit par un tribun de la plbe (concilium plebis), qui furent utiliss dans la majorit des cas. La majorit des lois fut propose par les tribuns de la plbe ; ce sont proprement parler des plbiscites, qui avaient valeur de loi depuis 287 av. J. C. 2.2. Le vote

Le vote des lois Rome tait comparable celui dun referendum en France : le citoyen pouvait soit voter pour la loi soit la rejeter. Pour cela il utilisa dabord le vote oral, puis un bulletin partir du IIme s., une tablette de cire o il crivait soit un V pour uti rogas ( comme tu le demandes ) pour signifier son approbation, soit un A pour antiquo ( je repousse ) pour rejeter la proposition de loi (rogatio). Les citoyens, rangs en files par tribus, votaient chacun leur tour, au dbut de la rpublique en passant devant un rogator, puis en dposant leur bulletin dans une urne. Chaque tribu comptait pour une voix. Pour que la loi passe, il fallait quil y ait une majorit de voix pour cette loi dans au moins 18 tribus sur les 35. Avant de procder au vote, un tirage au sort avait lieu pou dterminer quelle tribu et quel citoyen de cette tribu voteraient en premier.19

NICOLET, 1976


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3.

Aspects politiques, conomiques et sociaux3.1. Champs dapplication

Les lois romaines ont un champ dapplication trs vaste, qui couvre aussi bien le droit priv que public. Mais en pratique, la grande majorit des lois promulgues pendant la rpublique ne concernaient pas le droit priv, laiss dautres formes de lgislation, en particulier ldit du prteur. En dehors de quelques lois consacres aux donations, aux successions testamentaires, aux dommages causs autrui, au statut des esclaves, etc., la plupart des lois concernaient le droit public : dfinir le statut de certaines colonies ou provinces, rgler la distribution du bl, dfinir les rles des magistrats, prendre des mesures exceptionnelles pour lexil ou le rappel dun citoyen, rpartir les terres, mettre en place de nouveaux tribunaux, telles furent quelques-unes des fonctions des lois de Rome. A la fin de la rpublique, nous assistons une activit lgislative intense, due pour une part aux luttes de factions, dont laction politique se traduisait par des rformes, souvent soumises larbitrage du peuple, et pour lautre part laction de dhommes politiques qui prirent successivement le pouvoir Rome, comme Sylla (leges Corneliae), Pompe (leges Pompeiae) ou Csar et Auguste (leges Iuliae). Ces autocrates se servirent des lois dans leur exercice du pouvoir, pour se donner une lgitimit rpublicaine auprs du peuple romain. Auguste en particulier, qui fondait son idologie politique sur la continuit du systme politique rpublicain, alors mme quil ntait plus quun souvenir, utilisa abondamment les lois comme mode de promulgation de ses rformes. Au sein de la lgislation, on relve des domaines dapplication privilgis, comme les lois agraires, qui soccupent de la rpartition des terres conquises ou les lois judiciaires, qui mettent en place des tribunaux correspondant un crime prcis. Nous allons ci-dessous dvelopper ces deux domaines titre dexemple, parce quils montrent limportance des lois dans les luttes politiques de Rome et quils sont au centre de la vie politique des derniers sicles de la rpublique.


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3.2.

La loi dans les luttes politiques : deux exemples

3.2.1. Les lois agraires20 La question de la rpartition de la terre cultivable Rome a t lune des questions centrales des deux derniers sicles de la rpublique, et plus encore pendant et aprs les tentatives de rforme des Gracques. Ces lois visaient remdier lalination de lager publicus, qui appartenait thoriquement lEtat, mais que les grands propritaires romains de la nobilitas staient progressivement appropri aux dpens des petits propritaires, qui servaient majoritairement dans larme. Les grands domaines taient surtout cultivs par des esclaves. La question agraire ne concernait pas seulement ces terres, bien souvent perdues pour les petits propritaires, mais aussi et surtout les terres rcemment conquises lors des oprations militaires et ajoutes lager publicus, quil fallait attribuer aux citoyens romains, en particulier aux vtrans. A Rome, un certain nombre d'hommes politiques (qui d'ailleurs taient souvent des nobles), formant le parti dit des populares , reprit ce problme son compte et dfend des thmes proches des proccupations de ces petits propritaires et des citoyens plus pauvres : Le souci de faire passer une loi agraire sur la redistribution des terres. Les lois frumentaires : distributions bas prix ou gratuites de bl aux citoyens pauvres. Cration d'tablissements coloniaux en Italie ou en province. Mettre un terme au monopole du Snat dans les tribunaux (soutien aux chevaliers, cf. ci-dessous). Mise en avant de la souverainet du peuple (vote secret, possibilit de dmettre un magistrat, droit d'appel au peuple romain)

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HERMON, 1976 ; BERNSTEIN, 1969


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Parmi eux se trouvait Tiberius Sempronius Gracchus qui tenta de faire passer une rforme plus radicale, qui limitait les surfaces que chaque propritaire peut possder, instituait un collge de trois membres affect rcuprer des terres, juger de la lgitimit de l'occupation et s'occuper du transfert et de l'assignation des terres. Il fut assassin lt 133. Son frre Caius tenta de reprendre ses rformes, en les accompagnant de nouvelles mesures, comme la cration de colonies (lex Rubria), des mesures frumentaires (lex Sempronia frumentaria), des mesures juridiques (lex Sempronia iudiciaria, peut-tre une lex theatralis). Il subit la mme opposition du parti des snateurs, et fut finalement tu. Par la suite de nombreuses lois agraires firent leur apparition, suivies de lois votes par le parti adverse pour revenir sur cette lgislation. La question agraire a t lune des plus importantes du point de vues du nombre de lois votes, soit directement sur les problmes lis lager publicus, soit sur des questions annexes. 3.2.2. Les lois judiciaires et la question des jurys21 Les quaestiones perpetuae, premiers tribunaux permanents institus Rome en matire de droit criminel, furent dune trs grande importance la fin de la rpublique, en matire dexercice de la justice, mais aussi et surtout dans les affaires politiques et conomiques de la cit. Elles furent un instrument daction politique privilgi pour les diffrentes classes sociales qui en prirent tour tour le contrle au cours de cette priode, et surtout lun des lieux o les luttes dintrts entre snateurs et chevaliers furent les plus vives. Les procs se droulaient en public au forum, sous les yeux de tous, et servait de lieu dexpression politique des luttes de partis, de clans et de dynastes, ainsi que dcole politique, pour les jeunes gens de la classe snatoriale qui navaient pas encore commenc leur cursus honorum ; Cicron est lun des meilleurs exemples de formation politique acquise dans les tribunaux.

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GRUEN, 1968 ; FORSYTHE, 1988


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Les tribunaux, ou quaestiones, sont institus par une loi, chacun concernant un crimen particulier : crimen repetundarum, maiestatis, de vi, etc. Chacun de ces crimes fait lobjet de lois indpendantes qui dfinissent la composition des tribunaux, les sanctions prvues, etc. La question principale de la fin de la rpublique fut celle de la composition des jurys : au dpart uniquement composs de snateurs, devant juger dautres snateurs dans des procs mettant en cause des magistrats au sortir de leur charge, ils furent contests par les chevaliers, classe immdiatement infrieure dans lchelle censitaire, qui aspirait plus de pouvoir et dfendait ses intrts conomiques. La lgislation dite judiciaire fut donc aussi abondante que lagraire, et tout aussi implique dans les luttes de factions, surtout aprs les Gracques, qui lgifrrent galement beaucoup dans le domaine. La lex Sempronia repetundarum, en particulier, est capitale par les rformes quelle introduit dans les quaestiones repetundarum (institues en 149 av. J. C. par la lex Calpurnia) destines rclamer aux anciens gouverneurs ayant pressur abusivement leur province les sommes spolies. Cest ce type de quaestio devant lequel fut traduit Verrs, ancien gouverneur de Sicile, dont le procs fut pour Cicron un formidable tremplin politique. Lempire, en mettant fin aux luttes de parti, mit aussi un terme cette bataille lgislative et judicaire.


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Troisime partie : Bibliographie1. Grandes lois ou grands ensembles de lois1.1. Loi des Douze Tables

ALBANESE, B. Il trinoctium del flamen Dialis. Studia et Documenta Historiae et Iuris, 1969, vol. XXXV, pp. 73-98.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: L'analyse de la description transmise par Aulu-Gelle, N.A. X,15,14 permet de la mettre en rapport avec l'institution de l'usurpatio trinoctii qui apparat dj dans les lois des Douze Tables. Le flamen Dialis ne pouvait dormir plus de deux nuits hors de son lit, qui tait lieu sacr du culte et portion du sol romain, sans violer les lois saintes et mettre en cause sa disponibilit permanente l'gard de Jupiter.

ALBANESE, B. Una congettura sul significato di iniuria in XII tab. 8.4. Iura, 1980, vol. XXXI, pp. 21-36.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: La conjecture alteras ou aliter au lieu de alteri permet d'viter de donner ici au terme iniuria le sens absurde et anachronique de " violence physique injustifie ". troitement li aux deux prceptes qui le prcdent, le mot iniuria a une valeur technique propre, puisqu'il dsigne toute action contra ius.

ALBANESE, B. Maximus comitiatus. in Mlanges B. Albanese, scritti giuridici. Palerme: Palumbo, 1991, pp. 1691-1698.Mots-cls: Loi des douzes tables

ALBANESE, B. Privilegia, maximus comitiatus, iussum populi (XII Tab. 9. 1- 2, 12- 5). in Mlanges B. Albanese, scritti giuridici. Palerme: Palumbo, 1991, pp. 1701-1717.Mots-cls: Loi des douzes tables

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ALBANESE, B. Sulle cause di diffissio diei in XII Tab. 2, 2. Ann. Sem. giur. Univ. Palermo, 1995, vol. XLIII, pp. 176-198.Mots-cls: Loi des douzes tables

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des

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Mots-cls: Lex Aquilia; Loi des douzes tables

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CANNATA, C. A. Delitto e obbligazione. in Illecito e pena privata in eta repubblicana. Atti del conv. intern. di diritto romano, Copanello, 4-7 giugno 1990. Naples: Ed. Scient. Italiane, 1992, pp. 23-45.Mots-cls: Lex Aquilia; Loi des douzes tables

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CARCATERRA, A. Manum endo iacitod. (significato superficiale, significato profundo). Studia et Documenta Historiae et Iuris, 1975, vol. XLI, pp. 159-204.Mots-cls: Loi des douzes tables

CARCATERRA, A. Sei kaluitur pedemue struit, manum endo iacitod. Significato superficiale e significato profondo. Studia et Documenta Historiae et Iuris, 1975, vol. XLI, pp. 159-204.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Il convient de rtablir la structure phonique originale de Tab. 1,2 pour en dceler la signification profonde. En sei/si, il n'y a pas subordination, mais parataxe. La dsinence -tod a une valeur locative (ibidem) et de consquence (igitur). Grce l'absence totale d'abstraction et aux images videntes et concrtes, la phrase a une forme potique, accentue par le rythme ; pedem struit signifie : ne pas bouger, ignorer la convocation en justice.

CASCIONE, C. Una norma dimenticata delle XII Tavole? Dion. Hal. 10. 60. 6. Index, 2000, vol. XXVIII, pp. 187-201.Mots-cls: Loi des douzes tables

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Mots-cls: Loi des douzes tables

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CIULEI, G. D. 47.22.4. Zeitschrift der Savigny-Stiftung Romanistische Abteilung, 1967, vol. LXXXIV, pp. 371-375.

fr

Rechtsgeschichte.

Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: L'affinit entre la Loi des Douze Tables et la lgislation solonienne en ce qui concerne la libert d'association ne doit pas tre surestime

CIULEI, G. Gab es einen Einfluss des griechischen Rechts in den Zwlfstafeln ? Gesellsch. & Recht im griech.-rm. Altertum, 1971, vol. II, pp. 21-46.Mots-cls: Loi des douzes tables

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CORBINO, A. XII Tab. 2. 2. e la presenza del magistrato nel processo privato romano dell'epoca decemvirale. in Mlanges J. Iglesias, Estudios en homenaje al profesor Juan Iglesias. Madrid: Seminario de derecho romano Ursicino Alvarez, 1988, pp. 1179-1186.Mots-cls: Loi des douzes tables

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DE MARTINO, F. Intorno all'origine della schiavit a Roma. [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

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DILIBERTO, O. Studi sulle origini della "cura furiosi". Naples: Jovene, 1984, VIII & 142 p.Mots-cls: Loi des douzes tables

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FONTANARROSA, R. O. Introduccion al latin de las XII Tablas. Juris, Rev. de doctrina, legislacion y jurisprudencia, 1955, vol. III, n 15-16 Suppl. mensuel, pp. 1-21.Mots-cls: Loi des douzes tables

FRANCIOSI, G. L'heres extraneus e le dodici tavole. Labeo, 1964, vol. X, pp. 352-356.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Contrairement l'opinion de Solazzi, la loi des Douze Tables (5,4) connat dj la possibilit de dsigner comme hritier une personne trangre la famille

FRANCIOSI, G. Due ipotesi di interpretazione formatrice dalle Dodici Tavole a Gai 2, 42 e il caso dell'usucapio pro herede. in Nozione formazione e interpretazione del diritto dall'eta Romana alle esperienze moderne, melanges F. Gallo, vol. I. Naples: Jovene, 1997, pp. 247-257.Mots-cls: Loi des douzes tables

FRANCISCI, P. D. Per la storia dei comitia centuriata. in Studi in onore di V. Arangio-Ruiz nel XLV anno del suo insegnamento, vol. I. Naples: Jovene, 1953, pp. 1-32.Mots-cls: Loi des douzes tables

FRECKELTON, I. Women in Roman law. [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

GABBA, E. Maximus comitiatus. [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

GAGLIARDI, L. Iure caesus esto. Labeo, 1999, vol. XLV, pp. 421-439.Mots-cls: lex Licinia Sextia; Loi des douzes tables Rsum: A propos de F. Serrao, Ius e lex nella dialettica costituzionale della prima repubblica. Nuove riflessioni su un vecchio problema. Mlanges F. Gallo. II. Napoli, Jovene, 1997, pp. 279- 317

GAUDEMET, J. Uti legassit... (XII Tables V,3). in Hommages Robert Schilling. Paris: Les Belles Lettres, 1983, pp. 109-115.


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GEORGESCO, V. A. Partes secanto. Revue Internationale des Droits de l'Antiquit, 1949, vol. II, pp. 367-384.Mots-cls: Loi des douzes tables

GIOFFREDI, C. Su XII Tab. VI,1. Studia et Documenta Historiae et Iuris, 1961, vol. XXVII, pp. 343-350.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Parallles entre des normes grecques et des preceptes dcemviraux mettant en lumire l'influence exerce par les lois grecques sur le premier droit civil. Il semble que la jurisprudence romaine ait senti trs fort l'importance de sa lgislation la plus ancienne. Etude, dans son contexte historique, du prcepte cum nexum faciet mancipiumque, ut lingua nuncupessit ita ius esto.

GIOFFREDI, C. Rem ubi pacunt orato. XII Tab. I,6,9. Per la critica del testo decemvirale., [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

GUARINO, A. Ast ei custos nec escit. Studia et Documenta Historiae et Iuris, 1944, vol. X, pp. 374-381.Mots-cls: Loi des douzes tables

GUARINO, A. Sui e adgnati nelle XII Tabulae. in Le origini quiritarie. Naples: Jovene, 1973, pp. 254-257.Mots-cls: Loi des douzes tables

GUARINO, A. Corporis sectio. in Iusculum Iuris. Naples: Jovene, 1985, pp. 143-147.Mots-cls: Loi des douzes tables

GUARINO, A. Partes secanto. in Iusculum Iuris. Naples: Jovene, 1985.Mots-cls: Loi des douzes tables

GUARINO, A. Il dubbio contenuto pubblicistico delle XII Tavole. Labeo, 1988, vol. XXXIV, pp. 323-335.Mots-cls: leges Valeriae Horatiae; Loi des douzes tables

GUARINO, A. Una palingenesia delle XII Tavole ? Index, 1991, vol. XIX, pp. 225-232.Mots-cls: Loi des douzes tables

GUARINO, A. I privilegia dai romanisti a Cicerone. in Ars boni et aequi. Festschrift fr W. Waldstein zum 65. Geburstag. Stuttgart: Steiner Verl., 1993, pp. 123-125.Mots-cls: Loi des douzes tables

GUARINO, A. L'enigma di fondo. Index, 1995, vol. XXIII, pp. 377-380.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: A propos de: F. D'ippolito, Questioni decemvirali, Naples, 1993

GUILLEN, J. El latn de las XII tablas. Helmantica, 1967, vol. XVIII, pp. 341-401.Mots-cls: Loi des douzes tables


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Rsum: Texte des fragments conservs; analyse des problmes de morphologie

HACKL, K. Gab es eine provocatio ad populum auch im Zivilprozess ?, in Mlanges F. Sturm. Droit romain, histoire du droit, droit civil, droit compar, droit international priv, vol. I. Lige: Univ. Lige, 1999, pp. 179-187.Mots-cls: Loi des douzes tables; lex Valeria de provocatione

HAGEMANN, M. Iniuria: von den XII Tafeln bis zur Justinianischen Kodification. Weimar Wien - Kln: Bhlau, 1998, XVIII & 272 p.Mots-cls: Loi des douzes tables

HALPIN, A. K. W. The usage of iniuria in the Twelve Tables. The Irish Jurist, 1976, vol. XI, pp. 344-354.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: While it is probable that the general term iniuria, wrong, had not acquired a restricted technical meaning of physical assault by the time of the Twelve Tables, still the provision in VIII,4 can be understood as referring to the delict of physical assault. Take the original phrasing to have been : iniuria (adverbial ablative) alteri facere, an archaic and blunt phrase used to express committing a wrong directly upon another, i.e. a physical assault. The later expression with accusative iniuriam bore the potentially wider meaning of causing another person a wrong.

HORAK, F. Kreditvertrag und Kreditprozess in den Zwlftafeln. Zeitschrift der SavignyStiftung fr Rechtsgeschichte. Romanistische Abteilung, 1976, vol. XCIII, pp. 261-286.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: A propos de Behrends, 1974

HUGHTHAUSEN, L. Rmisches Recht. Zwlftafelgesetz. [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

HUMBERT, M. Le tribunal de la plbe et le tribunal du peuple. Remarques sur l'histoire de la provocatio ad populum. Mlanges d'Archologie et d'Histoire de l'cole Francaise de Rome, 1988, vol. 100, pp. 431-503.Mots-cls: Loi des douzes tables

HUMBERT, M. La crise politique du Ve sicle et la lgislation decemvirale. in Crise et transformation des socits archaques de l'Italie antique au Ve sicle av. J.-C... Rome, 19- 21 nov. 1987. Rome: Ecole Franaise de Rome, 1990, pp. 263-287.Mots-cls: Loi des douzes tables

HUMBERT, M. Les procs criminels tribuniciens, du 5e au 4e sicle av. JC. in Collatio iuris romani : tudes ddies Hans Ankum l'occasion de son 65e anniversaire, vol. I. Amsterdam: Gieben J. G., 1995, pp. 159-176.Mots-cls: Loi des douzes tables

HUMBERT, M. Les XII Tables, une codification ? Droits, 1998, vol. XXVII, n 3.Mots-cls: Loi des douzes tables

KAHN, O. Die Personalexekution der 12 Tafeln in den Volkserzhlungen. Der Nothilfevertrag im rmischen Recht. Der Vertrag zur Lebensrettung in den Volkserzhlungen. Zeitschrift der Savigny-Stiftung fr Rechtsgeschichte. Romanistische Abteilung, 1979, vol. 96, pp. 352-359.


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KASER, M. Vindicia falsa und fructus duplio. Jura, 1961, vol. XIII, pp. 22-52.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Nouvel examen des sources, en commenant par la loi des Douze Tables

KASER, M. Prtor und Iudex im rmischen Zivilprozess. Revue d'Histoire du Droit, 1964, vol. XXXII, pp. 328-362.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Sur la juridiction civile romaine primitive, notamment dans les Douze Tables

KASER, M. Die Beziehung von lex und ius und die XII Tafeln. in Studi in memoria di Guido Donatuti. Milan: Cisalpino-La goliardica, 1973, pp. 523-546.Mots-cls: Loi des douzes tables

KASER, M. Unmittelbare Vollstreckbarkeit und Brgenregress. Zeitschrift der SavignyStiftung fr Rechtsgeschichte. Romanistische Abteilung, 1983, vol. C, pp. 80-135.Mots-cls: Loi des douzes tables

KOFANOV, L. L. Nexum i mancipium zakonov XII Tablic (VI. 1) / Nexum et mancipium dans les lois des XII Tables (VI. 1). Vestnik Drevnej Istorii, 1992, vol. 202, n 3, pp. 68-80.Mots-cls: Loi des douzes tables

KOFANOV, L. L. Zakony XII Tablic i problema sodales (= la loi des XII Tables et le problme des sodales; en russe). in Anticnost'evropy. Mezvuzovskij sbornik naucnykh trudov. Perm: Univ. Perm, 1992, pp. 15-22.Mots-cls: Loi des douzes tables

KOFANOV, L. L. K voprosu o palingeneze zakonov XII tablic : sakral'noe pravo v sisteme rimskogo zakonodatel'stva / Sur la question de la palingense des lois des XII Tables : le droit sacr dans la lgislation romaine. Vestnik Drevnej Istorii, 1996, vol. 2, pp. 26-43.Mots-cls: Loi des douzes tables

KUNST, A. J. M. Die Lex XII Tabularum VIII,26 und der Decanus Traiectensis. Zeitschrift der Savigny-Stiftung fr Rechtsgeschichte. Romanistische Abteilung, 1965, vol. LXXXII, pp. 329-340.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: En 1451, Le Pogge crit une lettre au Doyen d'Utrecht qui croyait avoir dcouvert une cinquime Catilinaire de Cicron, dont le texte contenait un fragment de la Loi des Douze Tables. Le doyen ainsi que l'auteur de ce faux nous restent inconnus.

LEMOSSE, M. Remarques sur le testament romain primitif. Jura, 1952, vol. III, n 1952, pp. 224-228.Mots-cls: Loi des douzes tables

LEPOINTE, G. L'occentatio de la loi des Douze Tables d'aprs Saint Augustin et Cicron. Revue Internationale des Droits de l'Antiquit, 1955, vol. 3e srie, II, pp. 287-302.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: L'occentatio diffre de l'incantatio ou de l'excantatio magique: injure scnique, lourdement rprime par les Douze Tables

LEVI, M. A. Gentes e centurie dopo le XII Tavole. Rivista di Filologia e di Istruzione


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classica, 1995, vol. 123, pp. 172-177.Mots-cls: Loi des douzes tables

LEVI, M. A. Le gentes a Roma e le XII Tavole. Dialogues d'Histoire ancienne, 1995, vol. 21, n 1, pp. 121-147.Mots-cls: Loi des douzes tables

LEVI, M. A. Patres, plebs e populus nella Roma arcaica. Atti della Accademia Nazionale dei Lincei, Rendiconti, 1996, vol. s.9, n 7, pp. 445-449.Mots-cls: Loi des douzes tables

LINDERSKI, J. The auspices and the struggle of orders. in Roman questions, Mlanges J. Lindeski. Stuttgart: Steiner Verl., 1995, pp. 560-574.Mots-cls: Loi des douzes tables; lex Canuleia de conubio patrum et plebis; lex Ogulnia de auguribus et pontificibus

LINDERSKI, J. Usu, farre, coemptione. Bemerkungen zur berlieferung eines Rechtssatzes. in Roman questions, Mlanges J. Linderski. Stuttgart: Steiner Verl., 1995, pp. 154-164.Mots-cls: Loi des douzes tables

LINTOTT, A. W. La servitude pour dettes Rome. in Carcer. Prison et privation de libert dans l'Antiquit classique. Paris: De Boccard, 1999, pp. 19-25.Mots-cls: Loi des douzes tables

LUEBTOW, U. V. Die Ersetzung gestohlener Sachen nach dem Recht der XII Tafeln und der lex Atinia. in Festschrift fr F. Schulz, vol. I. Weimar: Blhau, 1951, pp. 263-269.Mots-cls: Loi des douzes tables; lex Atinia

LUEBTOW, U. V. Recht und Rechtswissenschaft im Rom der Frhzeit. in Mlanges U. von Luebtow. Beitrge zur Geschichte des Rmischen Rechts, vol. IV. 1996, pp. 328362.Mots-cls: Loi des douzes tables; leges regiae; lex Ogulnia de auguribus et pontificibus

LUEBTOW, U. V. Zum Nexumproblem. in Mlanges U. von Luebtow. Beitrge zur Geschichte des Rmischen Rechts, vol. I. 1996, pp. 199-264.Mots-cls: Loi des douzes tables; lex Poetelia Papiria de nexis

MACCORMACK, G. Witnesses in the law of the Twelve Tables. Bollettino dell'Istituto di Diritto Romano, 1973, vol. LXXVI, pp. 225-243.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: On peut distinguer les catgories de tmoins suivantes : 1) tmoins de l'in ius vocatio ; 2) t. des procds in iure ; 3) t. d'endoplorato ; 4) t. des recherches faites pour retrouver un objet vol ; 5) t. des transactions per aes et libram ; 6) t. des mariages par confarreatio ; 7) t. dont la seule fonction est de tmoigner apud iudicem. La procdure du licet antestari tait rserve la catgorie 1. La clause de l'obvagulatio donnait droit la partie dont le tmoin ne s'tait pas prsent au procs d'organiser devant la maison du fautif une manifestation publique.

MACCORMACK, G. Fault and causation in early Roman law. An anthropological perspective. Revue Internationale des Droits de l'Antiquit, 1981, vol. XXVIII, pp. 97-126.


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MACCORMACK, G. The liability of the judge in the republic and the principate. Aufstieg und Niedergang der Rmischen Welt, 1982, vol. II, n 14, pp. 3-28.Mots-cls: Loi des douzes tables

MAGDELAIN, A. Les XII tables et le concept de ius. in Zum rmischen und neuzeitlichen Gesetzesbegriff / 1. Symposion der Kommission "Die Funktion des Gesetzes in Geschichte und Gegenwart" vom 26. und 27. April 1985. Gttingen: Vandenhoeck & Ruprecht, 1987, pp. 14-33.Mots-cls: Loi des douzes tables

MAGDELAIN, A. Les mots legare et heres dans la loi des XII Tables. in Ius imperium auctoritas. Etudes de droit romain. Rome: Ecole Franaise de Rome, 1990, pp. 659-677.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Commentaire des fragm. V,3 et 4.

MAGDELAIN, A. Paricidas. in Ius imperium auctoritas. Etudes de droit romain. Rome: Ecole Franaise de Rome, 1990, pp. 519-538.Mots-cls: Loi des douzes tables

MAGDELAIN, A. Esbozo de la justicia civil durante los primeros tiempos republicanos. in Seminarios Complutenses de Derecho Romano. Madrid: Fac. Derecho Univ. Complutense, 1992, pp. 33-51.Mots-cls: Loi des douzes tables

MANFREDINI, A. D. Rem ubi pacunt, orato. in Atti del seminario sulla problematica contrattuale in diritto romano. Milano, 7- 9 aprile 1987, vol. I. Milan: La Goliardica, 1988, pp. 73-79.Mots-cls: Loi des douzes tables

MANZO, A. M. L'organizzazione gentilizia nelle dodici tavole. in Ricerche sulla organizzazione gentilizia romana. Naples: Jovene, 1995, pp. 99-119.Mots-cls: Loi des douzes tables

MARTINI, R. Considerazioni comparatistiche in tema di sacramentum. in Mlanges F. Sturm. Droit romain, histoire du droit, droit civil, droit compar, droit international priv, vol. I. Lige: Univ. Lige, 1999, pp. 381-394.Mots-cls: Loi des douzes tables

MARTINI, R. XII Tavole e diritto greco. Labeo, 1999, vol. XLV, pp. 20-37.Mots-cls: Loi des douzes tables

MAYER-MALY, T. Studien zur Frhgeschichte der usucapio, II. Zeitschrift der SavignyStiftung fr Rechtsgeschichte. Romanistische Abteilung, 1961, vol. LXXVIII, pp. 222-276.Mots-cls: Loi des douzes tables; usucapio;

MEIRA, S. A. B. A margem de una recenso. Jura, 1963, vol. XIV, pp. 177-180.Mots-cls: Loi des douzes tables


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Rsum: Rponse aux critiques de Guarino dans sa recension de "A lei das XII tabulas .."

MEIRA, S. A. B. A lei das XII tabuas. Fonte do direito publico e privado. Rio de Janeiro: Forense, 1972, 260 p.Mots-cls: Loi des douzes tables

METZGER, M. D. The present passive of testor. Eranos, 1974, vol. LXXII, pp. 74-77.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Refus des exemples de l'emploi de testor comme passif dans Lex XII tab. VIII,22 et Caton, conserv par Aulu-Gelle, N.A. v,13,4. Il n'y aurait donc pas d'exemple attest avant Ps. Aug., Contra Fulg. VII, apostolus dixisse testatur

MICHEL, J. H. La folie avant Foucault ; Furor et ferocia. L'Antiquit Classique, 1981, vol. 50, pp. 517-525.Mots-cls: Loi des douzes tables

MINIERI, L. Tab. 6.8. Il tignum iunctum e la coltura vinaria ` a palo morto '. in Sodalitas. Scritti in onore di Antonio Guarino., vol. III. Naples: Jovene, 1984, pp. 1223-1232.Mots-cls: Loi des douzes tables

MORGESE, S. Taglio di alberi e "latrocinium": D.47.7.2. Studia et Documenta Historiae et Iuris, 1983, vol. 49, pp. 147-178.Mots-cls: Loi des douzes tables

MUSUMECI, F. Vicenda storica del tignum iunctum. [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

NENCI, G. Una testimonianza sulle XII tavole in scoli ad Orazio del IX secolo. Rivista di Filologia e di Istruzione classica, 1981, vol. CIX, pp. 304-308.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: La tradition sur les XII Tables en tant que tabulae quae prohibent peccare s'est conserve d'Horace, Ep. II,1,23 Magister Gregorius (XIIe s.) (cf. APh XLI p. 376) par. 33, p. 31. Une tape intermdiaire peut tre releve au IXe s. dans une scolie d'Heirich d'Auxerre Horace, in Scholia in Horatium (cf. APh XX p. 59) IV,3,418. Il semble que ces tables aient frapp les tmoins par le caractre archaque ou archasant de leur latin.

NICOSIA, G. Il processo privato romano. I: le origini. Ii: la regolamentazione decemvirale. Turin: Giappichelli G., 1986.Mots-cls: Loi des douzes tables

NOBREGA, V. L. D. Partis secanto. Zeitschrift der Savigny-Stiftung fr Rechtsgeschichte. Romanistische Abteilung, 1959, vol. LXXVI, pp. 499-507.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: secare= dcider, s'entendre sur une distribution

NOBREGA, V. L. D. A successo no antigo direito romano. Romanitas, 1965, vol. N 6 & 7, pp. 276-289.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Etude fonde sur une analyse des caractres particuliers du heres et une interprtation des fr. 3,4 et 5 de la table V de la loi des Douze Tables

NOBREGA, V. L. D. L'iniuria dans la loi des XII Tables. Romanitas, 1967, vol. N 8, pp.


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250-279.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Le terme d'iniuria, dans le fr. 4 de la VIIIe loi, tait bien une atteinte la personnalit, mais les dommages physiques n'taient considrs comme une iniuria que si, par leur nature, ils n'taient plus une offense l'honneur d'un citoyen qu' sa personne physique

NOBREGA, V. L. D. Forme et volont dans les Douze Tables. Romanitas, 1981, vol. 1420, pp. 353-362.Mots-cls: Loi des douzes tables

OGILVIE, R. M. The maid of Ardea. Latomus, 1962, vol. XXI, pp. 477-483.Mots-cls: Loi des douzes tables; lex Canuleia Rsum: Le cas de la jeune fille d'Ardea (T. L. IV, 9, 4-6), s'il n'est pas rel, a du moins t considr par son auteur comme tant historiquement plausible. Il faut y voir un exemple illustrant trois points des Douze Tables remanis par la lex Canuleia, soit que le mariage n'est pas ncessairement accompagn de manus, que les tuteurs des femmes sui iuris ne peuvent pas les empcher de se marier sans manus, que les plbeiens sont lgalement autoriss pouser des patriciens

ORS PREZ-PEIX, A. D. Adversus hostem aeterna auctoritas esto. Annuario de Historia del Derecho Espanol, 1959, vol. XXIX, pp. 597-607.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Contre les interprtations rcentes de cette loi des Douze Tables VI, 4, il convient de reprendre Mommsen, Jurist. Schriften, III, p. 464

ORS PREZ-PEIX, A. D. La ley romana, acto de magistrado. Emerita, 1969, vol. XXXVII, pp. 137-148.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Bien que auspicia, iussum populi et auctoritas patrum soient requis pour passer une loi, il ne reste pas moins que la loi elle-mme est pratiquement dicte par le magistrat. Non seulement les lois les plus importantes comme la loi des Douze Tables, les leges Iuliae et Claudiae sont des actes dictatoriaux, mais aussi des lois rpublicaines ont t faites par le magistrat sans possibilit pour le peuple d'en modifier le texte. Contrairement la thorie moderne du pouvoir lgislatif de l'assemble du peuple, c'est donc le rogator qui dcide.

ORS PREZ-PEIX, A. D. Sobre hechizo de cosechas en las Doce tablas. in Homenaje a Julio Caro Baroja. Madrid: Centro de Investigaciones Sociolgicas, 1978, pp. 815-825.Mots-cls: Loi des douzes tables

ORS, X. D. Sobre XII Tab. V,7a : Si furiosus escit..., I : Consideraciones lexicogrficas. Anuario de Historia del Derecho Espaol, 1980, vol. L, pp. 797-814.Mots-cls: Loi des douzes tables

ORS, X. D. Sobre XII Tab. V,7a : Si furiosus escit..., I : Consideraciones semanticas. 1. "furiosus". in Homenaje A. Otero, Secr. de publ. de la Univ. de Santiago de Compostela. 1981, pp. 221- 249.Mots-cls: Loi des douzes tables

PAGLIARO, A. Testo ed esegesi delle XII Tavole (I,4). in La critica del testo. Atti del secondo congresso internazionale della Societ Italiana di Storia del Diritto., vol. I. Firenze: L. S. Olschki, 1971, pp. 567-574.Mots-cls: Loi des douzes tables

PANKIEWICZ, R. Early Roman economy and the origins of the monetary system. Eos,


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1983, vol. LXXI, pp. 257-264.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Les peines pcuniaires qui dans la Loi des XII Tables remplacent les peines dfinies en units de btail ont t introduites Rome vers le milieu du ve s. et non avec la Loi Papiria Iulia. Bien que la premire mission de monnaies de bronze romaines remonte 326 environ, le plein dveloppement du systme montaire ne commena qu'au moment des querres puniques ; il tait dfinitivement tabli vers la fin du IIIe s.

PARRONDO PARDO, J. L. En torno a los delitos y las penas en la ley de las XII Tablas. in Mlanges J. Iglesias, Estudios en homenaje al profesor Juan Iglesias, vol. III. Madrid: Seminario de derecho romano Ursicino Alvarez, 1988, pp. 1525-1530.Mots-cls: Loi des douzes tables

PASCUCCI, G. Diritto e filologia. Atena e Roma. Rassegna trimestriale dell'Associazione Italiana di Cultura classica, 1970, vol. XV, pp. 161-173.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Comme les documents juridiques n'ont pas encore fait l'objet d'tudes philologiques assez approfondies, de nombreuses erreurs ont pu et peuvent encore se perptuer dans les thories courantes concerenant certains phnomnes syntaxiques de la langue juridique. Seule une meilleure connaissance de cette dernire, langue spciale au mme titre que le latin chrtien ou le latin du culte, permettra de rsoudre les problmes que posent, par exemple, l'authenticit de la tradition de la loi des Douze Tables ou les interpolations du Digeste.

PATAULT, A. M. Rflexions sur les limitations au droit de proprit Rome jusqu' la fin de la Rpublique. [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

PIGHI, G. B. Lex XII Tab. 16-19. Latinitas, 1957, vol. V, pp. 283-289.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: reconstitution du texte de la loi tel que Varron pouvait le lire, avec commentaire

PIRO, I. Consortium, heredium e storia dello ius gentilicium. Labeo, 1999, vol. XLV, pp. 268-282.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: A propos de "Ricerche sulla organizzazione gentilizia romana, III, G. Franciosi, ed. Napoli, e. Jovene, 1995.- x- 298 p.

PLAY, E. Iniuria-Tatbestnde im Archaischen Zeitalter des antiken Rom. Zeitschrift der Savigny-Stiftung fr Rechtsgeschichte. Romanistische Abteilung, 1984, vol. CI, pp. 142189.Mots-cls: Loi des douzes tables

PLAY, E. Der Schutz der Ehre und des guten Rufes im rmischen Recht. Zeitschrift der Savigny-Stiftung fr Rechtsgeschichte. Romanistische Abteilung, 1989, vol. CVI, pp. 502534.Mots-cls: loi des douzes tables; lex Cornelia de iniuriis

PLAY, E. Das Jurisprudenzmonopol des Pontifikalkollegiums in Rom. [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

POMA, G. Tra legislatori e tiranni. Problemi storiografici sull'et delle XII Tavole. Bologna: Ptron, 1984, 383 p.Mots-cls: Loi des douzes tables; leges Valeriae Horatiae


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POMA, G. Gaio, Gellio e le XII Tabulae. Labeo, 1997, vol. XLIII, pp. 280-291.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: A propos de: O. Diliberto, Materiali per la palingenesi delle XII Tavole, Cagliari, 1992

PUGSLEY, D. Furtum in the XII Tables. The Irish Jurist, 1969, vol. IV, pp. 139-152.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: Examination of the distinction between furtum manifestum and furtum nec manifestum, the two forms of search for stolen goods, and the right to kill thieves caught red-handed.

RADKE, G. Sprachliche und historische Beobachtungen zu den Leges XII tabularum. in Sein und werden im Recht. Festgabe fr Ulrich von Luebtow. Berlin: Duncker & Humblot, 1970, pp. 223-246.Mots-cls: Loi des douzes tables

RADKE, G. Die berlieferung archaischer lateinischer Texte. [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

RANDAZZO, S. Leges mancipii. Contributo allo studio dei limiti di rilevanza dell'accordo negli atti formali di alienazione. Milan: Giuffr, 1998, IV & 192 p.Mots-cls: Loi des douzes tables

RASCON GARCIA, C. et J.-M. GARCIA GONZALES. Ley de las XII Tablas. Estudio preliminar, traduccion y observaciones. Madrid: Technos, 1993, XXVIII & 100 p.Mots-cls: Loi des douzes tables

REBUFFAT-EMMANUEL, D. Un problme d'pigraphie italique ; l'nigme de rit., [s. d.].Mots-cls: Loi des douzes tables

REINACH, J. Crs ou Crale ? Comment les Douze Tables chtiaient les dprdations rurales. Mnemosynon Bizoukids, 1960, pp. 9 p.Mots-cls: Loi des douzes tables

RODRGUEZ ENNES, L. Sobre los origenes de la prohibicion legislativa de la verberatio civis. in Estudios en homenaje al profesor F. Hernandez-Tejero, vol. II. Madrid: Univ. Complutense, 1992-1994, pp. 483-488.Mots-cls: Loi des douzes tables; lex Valeria; lex Porcia

ROMANO, A. Riflessioni sulla decima tavola. Atti della Accademia di Scienze morali e politiche della Societ nazionale di Scienze, Lettere ed Arti di Napoli, 1981, vol. XCII, pp. 7-21.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: La tradition relative aux XII Tables et la critique historique. Ncessit d'un nouvel examen des normes attribues au dcemviral. L'interdiction d'inhumer en ville et les spultures dans la campagne. Un anachronisme vident : l'interdiction d'introduire de l'or dans les tombes, et la diffusion des mtaux Rome.

ROWLAND, R. J. Grain for debtors. A note on the Twelve Tables. Classical Weekly, 1970, vol. LXXIII, pp. 269.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: The minimum amount of grain for survival, 1,5-2 modii, was supplied by a creditor to a


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defaulting debtor whom he seized.

RUEPKE, J. You shall not kill. Hierarchies of norms in Ancient Rome. Numen, 1992, vol. 39, pp. 58-79.Mots-cls: Loi des douzes tables

RUSCHENBUSCH, E. Die Zwlftafeln und die rmische Gesandtschaft nach Athen. Historia, 1963, vol. XII, pp. 250-253.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: La lgende rapporte par T.-L. III, 31,8 ne peut avoir t forge que sur la base d'une comparaison entre les Douze Tables et les Axones de Solon faisant apparatre de nombreuses similitudes. L'examen des textes de Gaius, D. 47,22,4 et 10,1,13 et de Cicron, De Leg. II,59 permet de conclure que le commentaire des Douze Tables utilis par Cicron contenait dj la comparaison avec les Axones.

SANCHO ROCHER, L. El matrimonio romano primitivo y el valor de la lex inhumanissima (Cic. Rep. II 37, 62). Revue Internationale des Droits de l'Antiquit, 1990, vol. XXXVII, pp. 347-383.Mots-cls: Loi des douzes tables

SANSEVERINATI, S. Ermodoro e i decemviri : una questione aperta. Rivista storica dell'Antichit, 1995, vol. 25, pp. 55-70.Mots-cls: Loi des douzes tables

SANTA CRUZ TEIJERO, J. Apostillas juridicas a una satira de Horacio. Arbor, 1955, vol. XXXI, pp. 65-75.Mots-cls: Loi des douzes tables

SANTALUCIA, B. Il processo penale nelle XII Tavole. in Societa e diritto nell'epoca decemvirale. Atti del convegno di diritto romano, Copanello 3- 7 giugno 1984. 1988, pp. 235-265.Mots-cls: Loi des douzes tables

SANTORO, R. XII Tab. 12,3. Ann. Sem. giur. Univ. Palermo, 1967, vol. XXX, pp. 1-102.Mots-cls: Loi des douzes tables

SATO, T. Lex XII Tabularum. Tokyo: Waseda Univ., 1969, X & 243 p.Mots-cls: Loi des douzes tables

SBORDONE, F. Per la sintassi delle XII Tavole. in Synteleia V. Arangio-Ruiz. Naples: Jovene, 1964, pp. 334-339.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: L'analyse des propositions conditionnelles dans la loi des Douze Tables montre que ce texte appartient la priode de transition de la forme paracritique la souplesse de la syntaxe classique. Les formules de protase au futur sont sans doute plus anciennes que les protases au subjonctif

SCHERILLO, G. Res mancipi et nec mancipi. in Synteleia V. Arangio-Ruiz. Naples: Jovene, 1964, pp. 83-96.Mots-cls: Loi des douzes tables Rsum: La magna differentia qui existe, selon Gaius 2,18, entre les res mancipi et les res nec mancipi subsiste dans le droit italien actuel sous forme de distinction entre cosi mobili et cose immobili. Cette dernire formule

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Les lois de la république et du haut-empire