Les métiers de nos anciens élèves

EauDéchets et RecyclageDépollutionÉco-ConceptionÉnergie

Sommaire

Eau- Ingénieur réalisation, chef de projet- Consultant spécialiste en traitement de l’eau- Chercheur- Ingénieur d’application- Responsable thématique Eau/Assainissement- Chef d’usine eau potable - Chargé d’affaires

Déchets et Recyclage- Chargé de mission prévention des déchets- Ingénieur d’étude- Responsable du secteur Loire Atlantique- Chef d’entreprise- Ingénieur métier tri- Ingénieur d’études, d’exploitation et QSE- Expert métier - audits ordibord- Responsable d’exploitation collecte des Ordures Ménagères- Responsable d’activité

Dépollution- Ingénieur d’Etudes et Process- En poursuite d’études Ingénieur par apprentissage

Éco-conception- Ingénieur en Environnement- Ingénieur Chargé d’études en Environnement

Énergie- Chargé de mission Plan climat Energie Territorial- Doctorante- Ingénieur Génie Civil- Chef de projet/Développement de parcs éoliens

Métiers Singuliers- Attachée administrative- Coordinatrice pédagogique et conception

Eau

- Ingénieur réalisation, chef de projet- Consultant spécialiste en traitement de l’eau- Chercheur- Ingénieur d’application- Responsable thématique Eau/Assainissement- Chef d’usine eau potable - Chargé d’affaires

Marc DuchadeauIngénieur réalisation, chef de projet

Missions : Construction de station de traitement de l’eau (eau potable, et eaux usées). Suivi de chantier, planification de sous traitants, gestion financière, relation bureau d’étude, mise en service, SAV.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Méthodique, relationnel, esprit d’équipe, et savoir gérer toutes les situations. Travail nécessitant des bases dans de nombreux domaines : bureau d’étude, tuyauterie, équipement, canalisation, électricité, automatisme, chimie, finance, contrat.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Nouvelles technologies dans les procédés, évolution des normes européennes sur les rejets de STEP, et les distributions d’eau potable. Nouveaux marchés à l’international.

Votre parcours après l’EME ?Suite au stage de fin d’étude, embauché en CDI chez STEREAU.

Quel souvenir gardez-vous de l’Ecole ?Un esprit de groupe (inter-promo, et entre les différentes promotions). Une vraie communauté qui continue même après être sorti de l’école, et de nombreux contacts dans toutes les entreprises du secteur de l’environnement.

Etiez-vous engagé dans une ou plusieurs associations étudiantes ?En dehors de l’école non. Simplement membre du club animation.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel ?Une base théorique dans tous les domaines de l’environnement. Des cours réalisés par des professionnels pour des futurs professionnels (parfois il est difficile de comprendre l’intérêt de certains cours d’un point de vue d’étudiant, mais une fois dans la vie professionnelle on comprend l’intérêt de ces cours). Un savoir faire de « débrouillardise ».

Quels conseils pouvez-vous donner aux étudiants ?Bien choisir ses stages, dès la deuxième année et y donner le meilleur de soi.

Pour Marc l’Ecole est une vraie communauté qui continue même après être sorti de l’école, et apporte de nombreux contacts dans toutes les entreprises du secteur de l’environnement.

STEREAU, groupe SAUR1 rue Antoine Lavoisier Guyancourt

78064 Saint-Quentin en Yvelines Cedex

Jean-Charles VarinConsultant spécialiste traitement de l’eau

Missions : Je suis missionné chez Degrémont Benelux en tant qu’Ingénieur Responsable d’Etudes Techniques. J’assure la conception et l’exécution de deux stations d’épuration : revoir le dimensionnement des ouvrages, choisir le matériel et les équipements, optimiser le process, encadrer les dessinateurs pour sortir tous les plans nécessaires (ligne hydraulique, plan de Génie Civil etc…), rencontrer le client et les fournisseurs… Le travail se fait en lien avec un Ingénieur Responsable d’affaire.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?En tant que consultant, on fournit un service au client, il faut donc être compétent, capable de se gérer en autonomie (temps, délai, trouver les informations etc…) tout en travaillant en équipe. Il faut pouvoir être mobile car une fois le projet terminé, on part travailler sur un autre projet chez un autre client, mais toujours dans son domaine de spécialité. Être adaptable est très important pour pouvoir assurer des résultats tout en travaillant avec les équipes du client.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Passer de Consultant Junior à Consultant Sénior, devenir Manager, travailler comme Ingénieur Projet ou Exécution pour une entreprise dans le domaine du traitement de l’eau. Avec plus d’expérience, on peut devenir Chef de Projet, Directeur ou Responsable de Bureau d’Etudes…

Votre parcours après l’EME ?J’ai été contacté par l’entreprise Belgatech via le site de l’APEC. Après entretien avec eux et un potentiel client, j’ai été engagé une fois que le projet avec le client (Degrémont Benelux) a été remporté.

Etiez-vous engagé dans une association étudiante ?En 2ème année, dans l’association ECO-CHALLENGE

Quel souvenir gardez-vous de l’Ecole ?Un bon souvenir, l’ambiance était très bonne et les relations enseignants/élèves permettaient une bonne communication.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel ?La vision sur l’environnement est globale, la formation sur l’eau n’est peut être pas aussi poussée que celle de l’ENGEES par exemple, mais l’avantage est d’aborder le domaine de l’énergie, des déchets, des ACV etc… De plus, l’école commence à être reconnue et les anciens qui rejoignent des entreprises diffusent l’image de l’EME.

Quels conseils pouvez-vous donner aux étudiants ?Donner beaucoup d’importance aux stages et aux projets (TI, etc…), les employeurs regardent généralement cela avant le diplôme. Choisir un domaine (déchets ou eau ou énergie) pour faire des stages qui soient cohérents. Ne pas hésiter pour aller à l’étranger et se faire un réseau. Conserver certains cours peut également s’avérer utile, on ne sait jamais si on a un oubli…

BelgatechBoulevard de la Woluwedal 21150 Brussels

La phrase de Jean-Charles

Qui ne tente rien n’a rien !!

Mathieu HallouëtIngénieur d’applicationMissions : Je travaille sur 2 centrales thermiques où Nalco vend des produits chimiques utilisés dans le process de traitement des eaux (chaudières, tours aéroréfrigérantes…). Je m’occupe du suivi du traitement des eaux aux différentes étapes du process (analyses d’eau journalières, suivi des installations, optimisation des dosages). Je transmets aux clients des rapports hebdomadaires, mensuels présentant l’évolution des paramètres, les actions de maintenance à programmer...Je fais également des missions d’assistance technique auprès d’autres clients (sucrerie, distillerie, industries diverses…) en Guadeloupe avec l’ingénieur technico-commercial du secteur.

Sylvain MerelChercheur Departement of Chemical & Environmental Engineering, University of arizonaMissions : Proposer de nouveaux sujets de recherche, promouvoir les travaux du groupe de recherche auprès du secteur privé et public afin d’obtenir du financement, assurer la valorisation scientifique (publication d’articles scientifiques, participation à diverses conférences), participer aux enseignements au sein de l’université et encadrer les étudiants (Bachelor, Master, Ph.D.) dans leurs travaux de recherche.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Rigueur, sens des responsabilités, créativité, flexibilité, maitrise de l’anglais et aptitudes rédactionnelles, aptitude à travailler sous pression, patience et pédagogie.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Je n’ai pas encore assez de recul pour répondre correctement et globalement à cette question. Cependant, avec la diminution du financement disponible pour la recherche, je pense que le système français et européen en général évoluera rapidement vers un système américain, ultra compétitif et très orienté vers le secteur privé.

Avez-vous une remarque à faire ? Un doctorat français vaut bien un Ph.D. américain.

Votre parcours en tant qu’étudiant à l’Ecole des Métiers de l’Environnement et quel souvenir gardez-vous de l’Ecole ?- BTS HPE (2003) et le Cycle ingénieur (2006)Je garde un très bon souvenir de mes 5 années passées à l’EME. Mon expérience actuelle à l’étranger me permet d’apprécier encore mieux la qualité des enseignements et des professeurs de l’EME. Etant fortement impliqué dans des activités hors campus je n’ai pas vraiment pris part aux associations de l’école.

Nalco5 Rue Rosa Bonheur

59290 Wasquehal

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Goût pour le travail en laboratoire, pour le travail sur le terrain. Esprit de synthèse. Aimer le contact avec le client : reporting quotidien et réunions fréquentes avec le client.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Evoluer vers un poste d’ingénieur technico-commercial au sein du groupe ou vers d’autres opportunités au sein du groupe (équipement, bureau d’études…). Nalco est un groupe international avec beaucoup d’opportunités.Evoluer vers un poste de Responsable de laboratoire, chef d’exploitation en traitement des eaux, technico-commercial en traitement des eaux dans un autre groupe.Le fait de travailler sur site permet d’acquérir beaucoup de connaissances et de compétences techniques et ainsi rapidement.

Votre parcours après l’EME ?Après mon double diplôme « EME » et « ENMSE », j’ai cherché du travail pendant 9 mois sans succès, avant de trouver un CDD chez Véolia. A la fin de mon contrat, j’ai donc recommencé les recherches et j’ai immédiatement trouvé un poste d’ingénieur d’application chez Nalco. Le poste est basé en Guadeloupe où je travaille depuis 1 an et demi maintenant.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel ?Formation avec des matières très diverses permettant d’avoir beaucoup de choix de carrières par la suite, d’autant plus intéressant si l’on n’a pas encore clairement choisi sa voie en début de formation : déchets, eaux, QSE... Cependant, les stages et l’expérience sont les points clés pour la carrière future. La formation d’ingénieur permet d’acquérir une façon de travailler, de s’organiser. Les compétences techniques sont acquises lors des stages et des premiers postes occupés.

Quels conseils pouvez-vous donner aux étudiants ?Selon moi, les stages sont déterminants pour le début de sa carrière. Il faut bien les choisir, ne pas se tromper et si possible diversifier ses expériences. Le stage de 3ème année est déterminant : il faut de préférence trouver un stage dans une entreprise avec de fortes chances d’être embauché directement à la fin car je pense que la première expérience est la plus difficile à trouver et cela évite de chercher pendant des mois voire plus et de se décourager.Je me suis rendu compte que je n’avais peut-être pas bien choisi

mes stages précédents. Au cours de mes années en BTS et licence, j’ai fait exclusivement des stages dans le domaine du traitement de l’eau en exploitation. Et j’ai fait mes stages au cours de mon cycle d’ingénieur dans le domaine de la recherche. Lors de ma recherche d’emploi, je me suis rendu compte que les postes d’ingénieur en exploitation (usine d’eau potable, station d’épuration) ne sont pas si nombreux. Les recruteurs préfèrent prendre des chefs d’exploitation BAC+2 avec plusieurs années d’expérience pour ce type de poste. Les postes dans le domaine de la recherche ne sont pas fréquents non plus. J’ai eu l’impression que la plupart des postes proposés étaient des postes d’ingénieur en bureau d’études, or je n’avais pas d’expérience en bureau d’études. Si j’avais réalisé un stage en bureau d’études, j’aurais élargi mes compétences et certainement trouvé un poste plus rapidement.

Pour Mathieu ,Le choix des stages est très important, il conditionne le

début de carrière.

Missions : Management d’une équipe de recherche et d’évaluation sur le cycle de l’eau dans le bâtiment (17 permanents, 8 doctorants, 2 post-doctorants).Enjeux : R&D, expertise, évaluation et diffusion du savoir auprès des professionnels du bâtiment, sur le «petit» cycle de l’eau (réseau intérieur : durabilité, interactions matériau/eau, maîtrise des risques en réseau d’eau chaude sanitaire ; recyclage des eaux grises, réutilisation des eaux de pluie ; procédés d’Assainissement non Collectif ; réseaux d’assainissement…)

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Qualités : curiosité, diplomatie, motivation pour la recherche, implication dans le travailCompétences : Management d’équipe, compétences scientifiques en génie des procédés, montage de projets, relations avec industriels.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Accroissement des activités de gestion de personnel, et d’activités de stratégie au sein de l’entreprise, par rapport aux activités de recherche (gestion de projets…)

Une remarque ?Rétrospectivement, je réalise que ce que j’ai appris pendant cette période m’est très utile et que ces connaissances me permettent d’appréhender très facilement les problématiques industrielles.

Etiez-vous engagé dans une associations étudiantes ?Le BDE s’est créé pendant que j’étais à l’école, avec beaucoup de dynamisme. Concernant la vie étudiante, le campus était très isolé à l’époque et fonctionnait donc un peu trop en vase clos.

Centre scientifique et technique du bâtiment11 rue Henri Picherit

44300 Nantes

Philippefait partie de la

première promo de l’EME

Citation de Philippe : Ne pas subir, être

proactif !

Philippe HumeauResponsable thématique Eau/Assainissement

Arnaud LescopChef d’usine eau potable

Missions : Responsabilité de la production d’eau potable sur l’ensemble des installations exploitées par la Lyonnaise des eaux sur le département de l’Orne (16 contrats). Gestion du renouvellement des matériels. Suivi de petits chantiers (surpression, chloration).

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?En général directeur d’agence départementale ou bien des postes d’expertise technique en support à l’exploitation.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Les postes en exploitation ne sont pas évidents à appréhender à la sortie d’une école d’ingénieur et qui plus est, à 22 ans. A mon avis, et avant d’obtenir des responsabilités d’encadrement en exploitation, il faut passer par une étape intermédiaire : le terrain. Ceci afin de connaître au mieux le métier des agents que l’on aura à encadrer, et ainsi rester crédible devant eux (surtout lorsque ces agents ont 20 ou 30 ans de plus que vous). Bonnes compétences techniques (électromécanique, automatisme, chimie de l’eau…).

Etiez-vous engagé dans une ou plusieurs associations étudiantes ?J’étais dans le Club animation : organisation de soirées et soutien au BDE.

Quels sont les atouts de l’EME ?Polyvalence dans l’ensemble des domaines de l’environnement. Les entreprises sont agréablement surprises de notre large culture de l’environnement et notre sensibilisation à la sécurité.

Votre parcours après l’EME ?4 mois de recherche d’emploi, puis 8 mois chez Veolia eau en optimisation et mise en route de STEP industrielles à Poitiers.Master Veolia (15 mois) en tant que responsable adjoint d’usine d’eau potableDepuis janvier 2012 : chef d’usine d’eau potable à la Lyonnaise des eaux.

Quels conseils pourriez-vous fournir aux futurs étudiants ?Profitez, la vie active est beaucoup moins fun !

Lyonnaise des eaux16 Place de l’Iris

92040 PARIS LA DEFENSE CEDEX

Régis DurandChargé d’affaires

Missions : Je travaille dans une agence de 8 personnes et chacun se doit d’être polyvalent. Sur un projet, je suis souvent impliqué : des premiers contacts commerciaux jusqu’à la réception des travaux. J’apprécie la diversité de mes activités, c’est l’avantage des PME.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Le contact relationnel est très important, que ce soit avec les clients, les entreprises en sous-traitance ou en interne dans la gestion des ressources humaines. Il faut avoir la capacité de prendre des décisions même si on ne maîtrise pas toujours tous les paramètres.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?La grande époque du secteur du traitement de l’eau semble être révolue, les investissements ont été très importants que ce soit dans le domaine du traitement des eaux usées ou de la production d’eau potable. L’activité a plutôt tendance à diminuer et on voit beaucoup de grandes entreprises du secteur réduire leurs effectifs. Aujourd’hui, la tendance est plus à la protection des ressources naturelles en eau qu’à la mise en place de traitements, toujours plus complexes et coûteux.Je pense qu’il faut s’intéresser à la problématique énergétique du traitement de l’eau, c’est le grand sujet du 21ème siècle dans tous les domaines d’activités et le traitement de l’eau ne fera pas exception.

Votre parcours après l’EME ?J’ai été embauché directement par L’Eau Pure à la fin de mon stage de fin d’études que j’avais effectué chez eux.

Quels souvenir de l’EME ?Une grande convivialité entre les élèves. Je me souviens avoir été très rapidement impliqué dans la vie de l’Ecole grâce à de nombreuses soirées organisées pour favoriser l’intégration des nouveaux. Malheureusement, j’ai vu l’ambiance changer avec l’interdiction des soirées au sein de l’établissement. Le Campus de Ker Lann ne proposant pas de lieux adaptés pour que les étudiants se réunissent dans une ambiance festive, les étudiants se retrouvent par petits groupes dans leurs studios. C’est vraiment dommage qu’il n’y ait pas un lieu pour que les associations étudiantes puissent organiser des évènements festifs.

Etiez-vous engagé dans une ou plusieurs associations étudiantes ?J’ai fait partie du BDE pendant 1 an et ça a été une expérience très enrichissante. L’organisation d’évènements tels que le WEI ou le gala sont des expériences inoubliables et un bon entraînement pour la gestion de projet.

La citation de Régis

Un optimiste se trompe aussi souvent qu’un pessimiste ; mais il

s’amuse beaucoup plus !

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?Une école généraliste qui ouvre les portes sur des domaines d’activités variés, attention de garder une formation proche de la réalité des entreprises. L’obtention de la CTI a eu tendance à affaiblir le côté pratique de la formation en faveur d’un plus grand volume de cours théoriques.

Quels conseils pourriez-vous donner aux futurs étudiants ?Profiter de la vie étudiante pour s’amuser, et ne pas se contenter de la formation dispensée à l’EME, il est important de se forger une culture personnelle sur l’environnement, soyez curieux !

Conseil de Régis :Ne pas renier ses idéaux sur la protection de l’environnement même si le monde économique est cynique, on peut toujours agir à notre échelle pour un monde

meilleur.

L’Eau pureAgence OUEST

ZI sud est-22 rue de la Tremblaie35 000 RENNES

Déchets et Recyclage

- Chargé de mission prévention des déchets- Ingénieur d’étude- Responsable du secteur Loire Atlantique- Chef d’entreprise- Ingénieur métier tri- Ingénieur d’études, d’exploitation et QSE- Expert métier - audits ordibord- Responsable d’exploitation collecte des Ordures Ménagères- Responsable d’activité

Tiffany DufrostChargée de mission prévention des déchets

Missions : Coordination auprès des EPCI adhérentes : animation du réseau des ambassadeurs du tri; accompagnement des Programmes Locaux de Prévention; proposition et coordination de projets de communcation. Participation aux projets de Prévention portés par le Conseil Général du Morbihan (groupe de travail thématique, révision du plan, etc).Développement de partenariats avec les acteurs locaux.Communication du Sittom-Mi.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Qualités : écoute, créativité, disponibilité, dynamisme, optimisme.Compétences : déchets, prévention des déchets, réglementation environnementale, communication, management.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Prévention des déchets : secteur porteur (objectif du Grenelle - PLP obligatoire en 2012).Lien avec la mise en place de la Redevance Incitative, développement des recycleries etc.Observation : métier dans lequel on retrouve beaucoup de femmes.

Quels souvenir gardez-vous de l’EME ?J’en garde un souvenir agréable, et la considère comme un bon tremplin vers la vie professionnelle.

Etiez-vous engagée dans une ou plusieurs associations étudiantes ?J’ai contribué à la Création du Bureau Des Arts en 2008.

Quels conseils pourriez-vous fournir aux futurs étudiants pour leur parcours à l’Ecole ? Rester humble en sortant de l’école et ne pas croire que l’on est attendu sur le marché du travail.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?Approche de nombreux domaines complémentaires : permet de définir ou de préciser son parcours professionnel.Liens avec un réseau de professionnels.Disponibilité des enseignants.

Le conseil de Tiffany

Se constituer un répertoire de contacts

dès le début.

SITTOM-MIBP 30218

1, rue Denis Papin56305 PONTIVY CEDEX

Justine DelobelIngénieur d’étude

Missions : Réponses aux appels d’offres de collecte de déchets (dimensionnement, rédactionnels).Gestion de matériel embarqué dans les véhicules (relations fournisseurs, mise en place, gestion contractuelle…).Soutien aux exploitations (logiciels, cartographie, démarrages de contrats).Depuis Février 2012 : Détachement en exploitation : Gestion des hommes et du matériel, respect des engagements contractuels, respect de la sécurité, analyse des coûts et optimisation du service.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Rigueur, capacité d’adaptation, autonomie, dynamisme.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Evolution vers le métier de l’exploitation, de responsable de secteur.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?Sa formation extrêmement variée.

Quels conseils pourriez-vous donner ?Projet BE : la construction d’un cahier des charges et la manière de construire la réponse en adéquation au dossier de consultation est la base du métier que j’exerce aujourd’hui. La compréhension de la construction d’un CCTP reste essentielle pour la réponse à un AO mais aussi pour l’exploitation dudit contrat, de la garantie de la satisfaction client etc…Le choix des missions de stage est primordial pour évoluer vers la vie professionnelle que l’on attend.

Et pour leur avenir dans les secteurs de l’Environnement ?S’intéresser aux nouvelles technologies et à l’évolution de la règlementation qui sont essentielles dans la mutation des métiers des déchets.

Citation de Justine«  Aujourd’hui la plupart des gens se consument dans je ne sais quelle sagesse terre à terre et découvrent, quand il n’en est plus temps, que les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais...  »

[O.Wilde]

Sita Grand OuestCentre d’affaires «ALPHASIS» - Performance 3

- Bât P - CS 8682035 769 SAINT GREGOIRE CEDEX

Nolwenn LeguillonResponsable du secteur Loire Atlantique

Missions : Ma mission principale est d’assurer la bonne gestion de nos contrats auprès des collectivités. Le management d’une équipe de 40 personnes est au cœur de mes activités. Mais je suis également la garante du respect de la sécurité, des attentes de nos clients et du bon équilibre financier de mon secteur. Je suis également l’interlocuteur des collectivités pour tous leurs projets.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Il faut être avant tout polyvalent et ne pas avoir peur de passer d’un sujet à l’autre en quelques minutes et surtout savoir faire face aux imprévus. On ne sait jamais ce qui va se passer le matin lorsqu’on arrive. Il faut développer à la fois des qualités managériales, commerciales, être parfois un géo-trouve-tout qui va inventer une nouvelle solution mais aussi avoir une connaissance des mécanismes économiques de l’entreprise.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Dans les 10 prochaines années les métiers du déchet vont fortement évoluer selon moi. Demain au-delà d’être des collecteurs et des éliminateurs de déchets nous serons avant tout des « valorisateurs » avec de véritables installations industrielles de valorisation.

Votre parcours en tant qu’étudiante à l’Ecole des Métiers de l’Environnement et quel souvenir gardez-vous de l’Ecole ?Cycle ingénieur environnement – option éco-conception.J’ai été impliquée dans la vie de l’école car en deuxième année j’ai été présidente du BDE. Je garde de très bons souvenirs de ma vie étudiante à l’EME tant au sein de l’école qu’en dehors. Je garde tout particulièrement un grand souvenir de l’organisation du gala au sein de l’école.

Sita Grand OuestCentre d’affaires «ALPHASIS» - Performance 3

- Bât P - CS 8682035 769 SAINT GREGOIRE CEDEX

Nicolas BrecChef d’entreprise

Missions : Il s’agit du recyclage des véhicules hors d’usage. ma principale mission est d’assurer la pérennité de l’activité.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Vaste sujet : pugnacité, astuce, culot.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Importantes, de mon point de vue non objectif.

Votre parcours après l’EME ?Responsables Filières Déchets Automobiles filiale Groupe DERICHEBOURG, Directeur Commercial puis Général de 2 filiales Groupe DERIC, démission pour créer ma propre entreprise.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?Vision globale permettant à chacun de trouver son angle. Chacun des mes contacts école est dans un secteur différent de l’environnement.

Quels conseils pourriez-vous donner ?Avoir confiance en l’école et en soi-même.

La phrase de Nicolas

À coeur vaillant, rien d’impossible

TRACAUTO370 boulevard de Balmont

69009 Lyon

Vincent SimonIngénieur métier tri

Missions : Expertise technique sur l’ensemble des centres de tri (collecte sélective et déchets industriels) du groupe SITA France (environ 200 installations). Assistance technique aux filiales. Participation aux projets. Lobbying. Reporting technique et environnemental.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Curiosité, autonomie, dynamisme, rigueur, contact humain.

Votre parcours après l’EME ?Stage de fin d’études chez SITA France, puis embauche en CDD pendant 8 mois, suivi d’un CDI chez SITA Ouest pendant 1 an. Intégration de SITA France depuis juillet.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?Diversité des formations basées principalement sur des compétences pratiques et non théoriques.

Un conseil ?Diversifier les expériences pour définir son domaine de prédilection. Bien définir ses attentes en termes professionnels et personnels. Prendre au sérieux les différents stages qui permettent de se construire une expérience et permettent de faciliter l’entrée dans la vie active.

SITA FRANCECentre d’affaires «ALPHASIS» Performance 3 - Bât P -

CS 86820 - 35 769 SAINT GREGOIRE CEDEX

Ludovic FabreIngénieur d’études, d’exploitation et QSE

Missions : Volet commercial : Étude technico-économique des déchets avant leur prise en charge, Réponse aux appels d’offres, Commercialisation du compost (25 000 tonnes/an).

Volet valorisation :- Valorisation du compost (gestion de l’intérêt agronomique du produit (analyses), vente et négociation des prix du compost.- Valorisation de boues de papeteries (réalisation de plan d’épandage).- Valorisation de mâchefers d’UVE (Unité de Valorisation Énergétique).-  Instruction de dossiers de déclaration et d’autorisation de plan d’épandage / Gestion de plans d’épandage / Suivi agronomique après épandage (7 000 tonnes/an).

Suivi réglementaire et QSE des sites : 2 plateformes de compostage (2 ICPE d’autorisation) :- Gestion de l’ensemble des analyses à effectuer (boues, composts, rejets aqueux et atmosphériques) - Gestion des déchets générés par les activités de l’entreprise.- Veille réglementaire et récolement des activités des sites avec les règlementations applicables.- Suivi du relationnel avec l’administration et les services de l’Etat.- Études réglementaires des déchets avant leur prise en charge.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Autonomie, travail d’équipe, rigueur, être en veille quotidienne sur le métier et la réglementation.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Depuis le 1er janvier 2012 et suite au Grenelle 2 de l’environnement, valorisation des bio-déchets des gros producteurs (grande distribution, restaurants…).

Quel a été votre parcours à la sortie de l’EME ?CDD de 6 mois en bureau d’études déchets (VerdiCité Bordeaux).Période de chômage de 7 mois.CDI SAS Action Environnement Services (depuis janvier 2011).

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?Aborder l’environnement dans sa globalité.

Quels conseils pourriez-vous donner aux étudiants ?Ne pas négliger les projets : renforcer le travail d’équipe et également acquérir l’autonomie dans le travail. Justement pour faire avancer le projet.

SAS Action Environnement ServicesZone Artisanal N°7

91540 Fontenay le Vicomte

Adeline ReckExpert métier - audits ordibord

Missions : Organiser et réaliser des audits en vue de déployer un outil embarqué pour la collecte des DI : audits sur site (organisation et matériel) + audits de certains fichiers.Rédiger les comptes-rendus de ces audits.Analyse de valeurs collectées par l’embarqué.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Communication, sens du relationnel et une bonne élocution. Esprit d’analyse et de synthèse.Bonnes capacités rédactionnelles.Autonomie et être organisée.Aimer les déplacements (50% du temps hors du « bureau »).

Votre parcours après l’EME ?J’ai cherché du travail d’octobre à décembre. Avant cela, j’ai eu un petit CDD dans le bureau d’études où j’avais effectué mon stage de fin d’études.

Quels sont les atouts de l’EME ?C’est une Ecole généraliste en environnement et reconnue par les grands groupes.Capacité d’adaptation des étudiants car de nombreux thèmes sont abordés durant le cursus scolaire.

SITA FRANCECentre d’affaires «ALPHASIS»

Performance 3 - Bât P - CS 86820

35 769 SAINT GREGOIRE CEDEX

Le conseil d’Adeline : Ne pas faire ses stages toujours dans le même domaine, même s’il vous intéresse plus

qu’un autre.

Auberie OmontResponsable d’exploitation collecte des Ordures Ménagères

Missions : Je m’occupe des 3 contrats de collecte de déchets ménagers en porte à porte et une de mes missions pour l’année 2012 est de passer en redevance incitative sur 2 des contrats. Autrement je dois faire «tourner» l’exploitation, c’est-à-dire gérer les plannings, manager les hommes et respecter les budgets.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Pragmatisme, réactivité, compréhension et écoute des hommes.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Les évolutions dépendent surtout de l’évolution du périmètre géré. Plus le périmètre est grand, plus le poste est important. Ensuite, la diversification (centre de tri, décheterie, collecte, ISDND…) augmente l’intérêt du poste occupé.

Votre parcours après l’EME ?J’ai été embauchée en janvier 2012, 4 mois après la fin de mon stage dans la même société.

Quel souvenir gardez-vous de l’Ecole ?Très bonne ambiance, conviviale, familiale.

Etiez-vous engagée dans une association étudiante ?J’ai fait parti du BDS.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?Les connaissances dans plusieurs domaines (déchets, eau, sols pollués, QSE, …).

Quels conseils pourriez-vous fournir aux futurs étudiants ?D’essayer de créer des liens avec toutes les promos car le réseau EME en sortant de l’école est très important. C’est un ancien élève qui m’a permis d’avoir mon stage et mon emploi.S’intéresser à toutes les matières pour pouvoir changer de secteur facilement.

Le conseil d’AuberieCréer des liens avec toutes les promos, car le réseau est

important.

COVEDParc Industriel du Maréchat

6, rue Michel Servet - 63200 Riom

Emmanuelle LimousinResponsable d’activité

Missions : Piloter le développement commercial et technique de l’activité :Encadrement de l’activité commerciale : pilotage de la stratégie commerciale de l’activité, animation de l’équipe commerciale, négociation et vente.Encadrement des équipes de production et de montage.Encadrement du bureau d’étude : Pilotage des études projet (Etude technique et financière, réponse aux appels d’offre des marchés publics), pilotage de l’accompagnement administratif des projets.Relations client : Suivi des plateformes de compostage, transfert de technologie aux exploitants (industriels et collectivités).Relations institutionnelles (bureau d’étude, administration et collectivité).

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Etre polyvalent, dynamique et rigoureux.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Les perspectives d’évolution sont positives. Le grenelle demande un taux de valorisation de 45 % en 2015 (la France est en moyenne à 30 - 35 % en 2011). La valorisation matière via le compostage est une solution pour atteindre ces objectifs.Dans le milieu agricole, la réglementation est de plus en plus stricte dans un contexte reconnu de pollutions (nitrates, algues vertes par exemple).

Votre parcours après l’EME ?2000 Chargé d’affaires – Traitement des eaux ID’O Concept – Montaigu (85).

2001-2004 Ingénieur process – Traitement des déchets : compostage ID’O Concept– Montaigu (85).

2004-2009 Responsable technique- Traitement des déchets : compostage VAL’ID – Louvigné du désert (35).

Depuis 2009 Responsable d’activité – Traitement des déchets : compostage.

OCENELouvigné du désert (35)

Dépollution

- Ingénieur d’Etudes et Process- En poursuite d’études ingénieur en apprentissage

Tiphanie Le CoqIngénieur d’Etudes et Process

Missions : Je suis dans le pôle R&D de l’entreprise. Un pôle tout nouveau pour ce grand groupe spécialisé dans

le traitement de la pollution. Nous sommes en train de mettre en place deux nouvelles filières de

traitement des déchets et coproduits de l’agroalimentaire. Mes missions sont donc extrêmement

variées  : je fais des expériences en laboratoire, je travaille sur le pilote, je rencontre les contacts

en amont et en aval de la filière, je fais de la règlementation (beaucoup de règlementation), de la

qualification, de la conception…

J’ai la chance de pouvoir voir tous les domaines de la mise en place de la filière.

En parallèle, je travaille sur des projets annexes, comme par exemple une étude de tri des RBA (résidus

de broyages automobiles).

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Il faut être polyvalent parce que l’on touche à beaucoup de domaines. Il faut être motivé et prêt à

s’investir car rares sont nos journées courtes. Il faut aimer le terrain autant que le bureau et être prêt

à mettre la main à la pâte quand il faut. Actuellement, nous ne sommes qu’un technicien cadre et un

ingénieur, pas d’équipe pour traiter les déchets à notre place, pour le moment en tout cas.

Je pense qu’il est important de savoir s’adapter et être autonome. J’ai dû acquérir des connaissances

poussées sur des sujets qui m’étaient inconnus. Il ne faut pas avoir peur et foncer.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Dans l’entreprise, plusieurs possibilités s’offrent à moi  : continuer dans la recherche et obtenir la

charge de nouveaux projets de développement, ou s’orienter vers la gestion d’usine de traitement,

suite aux procédés mis en place.

Après, pour un chercheur, je pense que l’évolution vient par la gestion de projets puis par la prise de

responsabilité du pôle R&D.

Votre parcours après l’EME ?J’ai effectué mon stage de fin d’études chez LE FLOCH DEPOLLUTION. Je suis arrivée au moment où

la mise en place d’un pilote de traitement des déchets de l’agroalimentaire se faisait. A la fin de mon

stage, ils ont décidé de m’embaucher pour un CDD puis en CDI.

LE FLOCH DEPOLLUTIONBP 97371

29673 MORLAIX

Etiez-vous engagée dans une association étudiante ?J’étais présidente de l’association de communication, d’organisation et de publication (ACOP)

de l’école en 2009-2010. C’était une association qui organisait de petits évènements à l’école

(découverte gastronomique, jeux divers, concerts, semaine d’intégration…) et offrait aux étudiants

une couverture média des évènements (photos et vidéo notamment pour le WEI), en plus de son

soutien au BDE pour les grands évènements (soirée d’intégration, WEI, Gala). J’ai aussi fait partie du

comité étudiant pour la mise en place de l’agenda 21 de l’école. C’était vraiment très intéressant.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?L’EME est une école sans prétention qui est

en train de se développer. Les entreprises

ont confiance dans notre formation et

notre profil. Nous avons la chance d’être

plus facilement intégrés que des grandes

écoles. L’EME offre aussi des connaissances

sur beaucoup de domaines, nous avons

donc une vision plus large que n’importe qui

d’autre sur les domaines de l’environnement.

Si l’école continue son développement et

devient irréprochable sur l’environnement

(notamment sur le bâtiment), il est fort

possible qu’elle devienne une école de

référence dans quelques années.

Quels conseils pourriez-vous fournir aux futurs étudiants ?Réfléchissez bien dans vos choix de spécialités. La quatrième année est faite pour découvrir de

nouveaux domaines. En dernière année, c’est bien d’avoir déjà une idée du domaine dans lequel on

souhaite travailler et se spécialiser au maximum pour être prêt en sortie.

Investissez-vous dans la vie de l’école, c’est en améliorant la qualité de l’EME que vous allez valoriser

votre diplôme. Toutes les expériences sont bonnes à prendre  : salons via les associations (Eco-

challenge ou autres), petits travaux via la JEEME…

Allez vers les conférenciers, partagez leurs expériences, récupérez leurs coordonnées. Ils pourront

vous aider par la suite.

Un conseil qui ne sera sûrement pas suivi mais que j’aurais dû écouter quand on me l’a fait en première

année : sans rire, la veille réglementaire c’est super important de la faire !

Souvenir de Tiphanie

Je garde de très bons souvenirs de l’école. Tout

d’abord, j’ai eu la chance de me retrouver dans

une promotion très solidaire et qui s’entendait

(et s’entend toujours) très bien. Le climat

était vraiment propice au développement

personnel. Après avoir passé trois ans en

école préparatoire, me retrouver à l’EME m’a

redonné le plaisir des études.

Jean-Baptiste BossardEn poursuite d’étude d’ingénieur en apprentissage

Missions : - Diagnostics de pollution (sols, eaux et gaz du sol) :Etudes historiques, études géologiques et hydrogéologiques, détermination des zones à risques, suivi des investigations de terrain (sondages, piézomètres et piézairs), interprétation des résultats analytiques, réalisation des schémas conceptuels.

- Dossiers de cessation d’activités :Contexte réglementaire, gestion des équipements et des installations en cessation d’activités, mise en sécurité du site.

- Suivis piézométriques :Prélèvements des eaux souterraines, établissement des cartes piézométriques, rédaction des rapports.

- Suivi de chantiers de réhabilitation de sites :Suivi des travaux d’excavation, rédaction de comptes rendus des chantiers, rédaction de rapports de fin de travaux.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Connaitre la nouvelle politique sites et sols pollués.Connaissance de la gestion contractuelle des marchés publics et privés.Avoir un bon relationnel avec des capacités d’écoute et de synthèse, le goût du contact et du travail en équipe.Etre disponible, mobile et autonome.Connaissance du marché régional dans lequel on travaille.Maitrise de l’anglais.

Votre parcours :BTS HPE (2007) EME.Licence pro Protection de l’environnement option gestion et traitement des sols et des eaux (UCO,IBEA, Angers, 2009/2010).Ecole d’ingénieur généraliste par apprentissage (EI CESI, Rouen, 2012/2013).

Comment s’est passée votre vie étudiante à l’école ? De bons souvenirs de soirées, de très bons amis ....

Néodyme Envisol56 rue Chasselièvre

76000 ROUEN

Sa citation

« Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieur» Steve Jobs

Eco-conception

- Ingénieur en Environnement- Ingénieur Chargé d’études en Environnement

Bertrand JaouenIngénieur EnvironnementMissions : Au sein du réseau EcoNav je suis le référent technique et scientifique des éco-innovations. D’une manière générale mon rôle est de :- Conseiller, orienter, accompagner les professionnels dans le développement d’éco-innovation.- Répertorier, analyser et mettre en avant les produits et pratiques exemplaires en lien avec l’éconavigation.- Représenter le réseau EcoNav et transmettre ses valeurs sur différents salons, lors de conférences et auprès des différentes commissions scientifiques des pôles de compétitivité ou des groupes de travail comme ceux du grenelle de la Mer.- Développer de nouveaux projets et rechercher des financements à travers la réponse d’appel à projet et de démarchage de nouveaux partenaires.

Je travaille également sur des sujets plus spécifiques tels que l’animation d’un groupe de travail pour développer un éco-label destiné aux bateaux de plaisance équipés, la mise en place d’une filière de déconstruction des navires de petites tailles en Bretagne et la rédaction d’articles et de rapports scientifiques sur l’éco-conception des navires et la prise en considération de l’environnement dans les infrastructures portuaires.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Le réseau EcoNav étant une petite structure, la polyvalence et la rigueur sont deux qualités essentielles. Il est tout aussi important de savoir rédiger des articles scientifiques, gérer des budgets, répondre à des appels à projet et animer et gérer des groupes de travail. Il faut avoir une vision général du secteur maritime, savoir réagir vite et s’adapter rapidement. L’esprit d’analyse et de synthèse de l’information sont également nécessaires tout comme un bon relationnel.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Le secteur de l’éconavigation est un secteur innovant, beaucoup de choses sont à réaliser aussi bien au niveau de l’éco-conception des navires, de leur démantèlement en fin de vie ou encore de la mise en place de gestion environnementale dans les ports. Et cela est vrai pour tous les secteurs maritimes confondus : plaisance, pêche, marine marchande.

Votre parcours après l’EME ?Stage de fin d’étude chez EcoNav suivi d’une embauche directe dans la même structure.

Quels conseils pourriez-vous fournir aux futurs étudiants pour leur parcours à l’Ecole ?Trouver le juste milieu entre révisions et soirées étudiantes afin de pouvoir réussir son parcours scolaire mais également de pouvoir profiter de ces dernières années avant la vie professionnelle!!

Les conseils de Bertrand :

Réaliser des candidatures spontanées

pour s’ouvrir de nouvelles portes.

Garder un bon réseau d’anciens :

bien pratique pour partager des

expériences !

EcoNav29 boulevard du Général de Gaulle

29100 douarnenez

Marie CaillaudIngénieur Chargée d’études en EnvironnementMissions : Il s’agit de mener plusieurs projets d’audits énergétiques, de programmation de travaux de rénovation et de missions d’assistance à maîtrise d’ouvrage pour la réhabilitation énergétique de logements, principalement pour des offices publics de l’habitat (OPH).

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Organisation, efficacité, sens du management du personnel.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Les missions d’audit énergétique vont diminuer progressivement dans le secteur résidentiel. Par contre les missions d’AMO et de maîtrise d’oeuvre sont actuellement en plein boom, bien que ralenties par la crise économique actuelle.A l’avenir, les bâtiments tertiaires et en particulier dans le secteur de l’industrie, seront touchés par cette vague de rénovation énergétique.

Votre parcours après l’EME ?J’ai été embauchée suite à mon stage de fin d’études.

Etiez-vous engagée dans une ou plusieurs associations étudiantes ?Oui Eco-Challenge.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?L’atout majeur est celui d’avoir touché un peu à tous les sujets liés à l’environnement dans son ensemble (énergie, déchets, bâtiment, eau, etc.).

Quels conseils pourriez-vous fournir aux futurs étudiants pour leur parcours à l’Ecole ?Prenez soin de trouver des stages « solides » dans lesquels vous serez amenés à travailler avec les salariés de l’entreprise et dans lesquels vous pourrez réellement apprendre et comprendre le contexte dans lequel le travail en question s’inscrit. Cela vous permettra d’une part de mieux cibler votre projet professionnel et d’autre part d’étoffer votre CV. Le secteur du bâtiment risque de s’affaiblir un peu dans les prochaines années. Par contre, il est possible que le secteur des énergies renouvelables se dynamise prochainement. En ce qui concerne les secteurs des déchets et de l’eau, ils seront toujours aussi porteurs à mon sens.

S2E (Sécurité energie Environnement)38 avenue de l’Ile de France 25000 Besançon

Energie

- Chargé de mission Plan climat Energie Territorial- Doctorante- Ingénieur Génie Civil- Chef de projet/Développement de parcs éoliens

Urielle HaroChargée de mission Plan Climat Energie Territorial

Missions : - Suivre et piloter, en lien avec un bureau d’études, toute la démarche d’élaboration du PCET dans ses composantes d’animation, de coordination, d’évaluation et de suivi.- Mettre en évidence les facteurs dynamiques des émissions de GES, les leviers de réduction et les cibles prioritaires d’actions.- Proposer des orientations stratégiques, tant sur le volet atténuation que sur le volet adaptation, déclinées en fiches actions à l’échelle de la collectivité ; mettre en œuvre le programme d’actions du PCET afin de réduire l’impact de la collectivité et du territoire sur le changement climatique.- Initier, sensibiliser et mobiliser, à travers divers outils de communication (réunions, ateliers, groupes de travail…), les services internes de l’Agglomération, les acteurs locaux et les habitants au changement climatique et aux vulnérabilités du territoire face aux dérèglements climatiques.- Initier, animer et mettre en œuvre une démarche transversale interne aux services de la collectivité afin d’offrir un accompagnement méthodologique dans la mise en œuvre des actions du PCET et ce, dans un processus d’amélioration continue.- Conseiller les communes et l’ensemble des acteurs du territoire sur la réduction des consommations d’énergie (en lien, par exemple, avec l’OPAH en cours…) ; être un incubateur et un support aux porteurs de projets énergie-climat.- Participer à l’élaboration et au suivi des documents de planification (SCoT, PLH, PLU, Carte communale…) et des projets communautaires (projets d’habitat, d’équipements…),- Assurer l’évaluation du PCET, participer à la conception et à la mise en œuvre d’outils d’évaluation des politiques d’aménagement sur les thèmes énergie-climat (en lien avec le SCoT, le PLH et les différents projets communautaires).- Suivre l’élaboration et la mise en place du SRCAE de Picardie ; participer aux réseaux d’échanges mis en place par le Conseil régional et l’ADEME de Picardie.- Assurer une veille technique et juridique sur les évolutions réglementaires, économiques, techniques et juridiques relatives aux enjeux énergétiques et climatiques.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?- Autonomie, rigueur et sens de l’organisation, esprit de synthèse, dynamisme, réactivité, capacité d’adaptation. - Aptitude au travail par projet et à l’animation de réseaux et à la coordination d’acteurs du territoire- Capacité d’animation (coordination d’acteurs...) et de contact/pédagogie (sensibilisation, information...).- Qualités relationnelles et capacité d’écoute (contact avec les élus, les partenaires, le public…).- Force de proposition auprès de la direction et des élus.- Ténacité et capacité de négociation.- Aptitude au suivi administratif et financier des actions.

Quels conseils pourriez-vous fournir aux futurs étudiants de l’EME ?De ne pas désespérer si une matière en particulier leur donne du fil à retordre.

Etiez-vous engagée dans une ou plusieurs associations étudiantes ?Oui, l’ADEK : Association des Etudiants du campus de Kerlann (j’y ai eu la vice-présidence 2009-2010)

Edith DumasDoctoranteMissions : Mener des travaux de recherche sur le sujet de thèse pour lequel j’ai été acceptée.Au quotidien : essais en laboratoire, bibliographie, rédaction de protocoles et traitement de résultats. Plus exceptionnellement : participation à des congrès internationaux pour promouvoir les travaux de recherche, enseigner à des étudiants de licence, suivre des formations de l’école doctorale.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Curiosité, sens de l’organisation, goût pour les manipulations en laboratoire.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Après la soutenance, quelques années pour acquérir de l’expérience, puis possibilité de postuler à un poste de chercheur permanent.

Votre parcours après l’EME ?Entrée en doctorat dès octobre 2010 (suite au master recherche en cinquième année à l’école des mines) .

Son conseil : Pour ceux qui veulent faire de la recherche, le master en dernière année fait gagner du

temps sans alourdir le programme.

Les atouts de l’EME d’après Edith :

Grande diversité qui offre beaucoup de voies

différentes.Université Blaise Pascale34 Avenue Carnot 63000 Clermont-Ferrand

Votre parcours après l’EME et quel souvenir gardez-vous ?Emploi en tant que Renfort au sein du Conseil Général de Maine et Loire, pour les aider sur leur diagnostic de GES (diagnostic patrimoine et compétence de démarrage du PCET). Il s’agissait d’une mission très ponctuelle de conseil et soutien à la collectivité. Embauche à la CA du Soissonnais sur la problématique PCET. Même si parfois des obstacles se sont parfois manifestés (des matières plus difficiles pour moi...), nombreux sont les bons souvenirs, notamment grâce aux amis que je m’y suis fait. Je garde un bon souvenir de ces années passées sur le campus.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?Une formation professionnalisante et diversifiée, qui plait aux recruteurs, sans cesse actualisée. Des stages riches d’enseignements, une poursuite d’études possible, des partenariats avec d’autres structures et une ouverture à l’international.

Communauté d’agglomération du Soissonnais11 Avenue François Mitterand 02 880 CUFFINS

Thomas PollinIngénieur Génie Civil

Missions : Je participe à l’organisation des opérations d’accompagnement des chasses hydrauliques suisses, visant à assurer le transit des sédiments évacués sur le Haut-Rhône tout en préservant l’Environnement. Entres autres, je coordonne la mise en place de suivis dans le cadre de ces opérations (taux de matières en suspension, éco- toxicologique, bactériologique, piscicole, captages d’eau potable, etc.), de la conception de cahiers des charges jusqu’à la réalisation, je participe à l’établissement du programme hydraulique et de manœuvre des ouvrages sur le fleuve, et de travaux associés, je contribue à l’aspect administratif du dossier et l’aspect communication, c’est pourquoi je suis en relation avec de nombreux organismes (DREAL Rhône-Alpes, Services Industriels de Genève, ONEMA, ARS, fédérations de pêche, CNRS, IRSTEA, élus, etc.).

Les qualités requises pour exercer votre profession ?La gestion d’importantes quantités d’informations hétérogènes requiert de la rigueur et de la méthode, une capacité de synthèse et de mise en relation de données transverses à différents domaines afin de traiter chacune des multiples problématiques du dossier.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?La gestion fluviale et les activités annexes (production hydroélectrique, navigation et loisirs, prises d’eau pour industries et rejets, captages AEP dans la nappe alluviale, préservation de la faune et de la flore, amélioration de la qualité des eaux dans le cadre de la DCE, etc.) présentent des enjeux qui doivent être étudiés afin d’adopter un fonctionnement durable.

Quel souvenir gardez-vous de l’Ecole ?J’en garde un souvenir agréable, et la considère comme un bon tremplin vers la vie professionnelle.

Etiez-vous engagé dans une ou plusieurs associations étudiantes ?J’étais secrétaire de l’ADEK (Association des Etudiants de Ker Lann) dont la mission était d’organiser des actions destinées à animer la vie sur le campus en collaboration avec les étudiants des autres établissements.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?La polyvalence des domaines touchant à l’Environnement qui sont enseignés à l’EME constitue un avantage certain pour des missions professionnelles transversales, dans lesquelles l’ingénieur est amené à mettre en relation des connaissances multidisciplinaires.

Son conseil Rechercher très

tôt ses stages afin d’avoir le plus de

pistes intéressantes possibles.

Compagnie Nationale du Rhône (CNR)2 rue André Bonin

69316 Lyon Cedex 04

Rodolphe HuguetChef de projet-Développement de parcs éoliens

Missions : Gérer le développement de parcs éoliens de A à Z, de la phase de prospection à celle de construction. C’est-à-dire s’occuper de toutes les études nécessaires à un projet éolien (faisabilité, danger, ICPE, permis de construire…).

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Bon relationnel, bonne communication. Aimer bouger. Vouloir promouvoir ses projets auprès des élus, collectivités, agriculteurs…

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Peu de postes à l’heure actuelle mais des ouvertures importantes dans les années à venir, notamment en offshore.

Votre parcours après l’Ecole des Métiers de l’Environnement ?J’ai intégré le master II IPE (Ingénierie Physique des Energies) à l’université de Paris VII – Diderot afin de me spécialiser dans les énergies renouvelables (éolien et solaire).

Autres Domaines

- Attachée administrative- Coordinatrice pédagogique et conception

Marjorie DionAttachée administrative

Missions : Je travaille au sein du pôle patrimoine et sécurité de l’association. J’ai en charge la mise en place et le suivi des contrats avec les prestataires d’énergie. Cette mission regroupe également la recherche de la performance énergétique pour nos établissements. Je travaille également sur la sécurité, très réglementée dans les établissements recevant du public. Je vais également réaliser le bilan carbone de l’association.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?Les qualités sont l’organisation, être rigoureux, pédagogue, savoir rédiger, avoir un bon contact avec les professionnels.

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Il n’y a pas beaucoup de possibilités d’évolution dans ce secteur. Des possibilités existent tout de même pour acquérir plus de responsabilités ou encadrer une équipe si le pôle s’agrandit.

Votre parcours en sortant de l’école :A la sortie de l’EME , j’ai trouvé, après 4 mois de recherche, un CDI au sein de l’A.S.E.I, association de gestion d’établissement pour personnes handicapées ou dépendantes.

Etiez-vous engagée dans une ou plusieurs associations étudiantes ?En quatrième année, j’étais dans l’association Eco-challenge.

Quels sont les atouts de l’EME pour un parcours professionnel fondé sur l’environnement ?L’atout de l’EME est sa diversité. En sortant du cycle ingénieur, on a des connaissances sur beaucoup de sujets ce qui permet d’avoir plus de possibilités pour trouver un travail. Même si finalement on apprend une grande partie de son métier sur le tas.

Quels conseils pourriez-vous fournir aux futurs étudiants ?De participer aux conférences organisées par l’école car c’est dans ces discussions avec les professionnels qu’on apprend le plus sur notre futur métier.De rester ouvert à toutes les possibilités car des missions liées à l’environnement peuvent se trouver dans tous les secteurs d’activités.

Association A.S.E.I12 rue des Pasteliers - 81 000 ALBI

Gaëlle Grosset-ProulhacCoordinatrice pédagogique et conception

Missions : Piloter le suivi de l’élaboration des supports de formation en coordonnant les différents acteurs concernés.Elaborer et suivre les plannings de conception de support de formationOrganiser les réunions intermédiaires et en assurer les compte-rendu.Coordonner les éléments pédagogiques nécessaires à l’élaboration des formations.Coordonner la réalisation des outils multimédias en relation avec les référents métier et le réalisateur.Etre garant de la présence des outils pédagogiques d’animation des formations en rapport avec le cahier des charges concerné (quiz, cas pratique, jeux de rôles…).Etre garant de l’adéquation réglementaire et des documents délivrés à nos stagiaires .Mettre en place les documents en lien avec le service marketing que l’on fournit aux stagiaires.

Les qualités requises pour exercer votre profession ?- Savoirs Pédagogiques- Avoir un bon niveau de connaissance métier sur un maximum de thèmes de formations de l’entreprise- Gérer les priorités- Aptitude de travail en équipe- Management transversal- Respect des délais

Quelles sont les perspectives d’évolution dans ce secteur ?Evolution du poste au fur et à mesure des besoins de l’entreprise, de l’évolution réglementaire, …

ITGA118 Bis Rue Eugène Pottier CS 46537

35065 Rennes Cedex

La citation de Gaëlle

« La joie de vivre n’est pas un but, mais un

devoir. »Louis Pauwels

Un dernier conseil Bien prendre le temps pour les veilles réglementaires et les évolutions du métier de manière à s’engager sur les

voies les plus porteuses.