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NOS OEUVRES SOCIALES P!y<;linio"' Henri M•Wli< j Ollioc~,. GitesT"'"11Jl<ilux··s .. u"1o·lMou11ott!06l Ceniro tle 'lCiln<os etd• loi"".I Rcc0•1<>r>{~l)

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g:::: ::~1~:.:·.~ ~~~:r:.g.•, ~~ ~~1~~!~: ~~f."1~~ ·· Permonences ; Mordi. Mercredi, Yend1edî(1oute la]ournéeJ I> lo Seyne. au siège lmm• uOI• -·u Gounod'' 4v C~•rle$Govn<)CI ltJ. 67 4> .'.lO

EDITORIAL

NOUS AVONS CHOISI LA PRATIQUE DEMOCRATIQUE

ET NOUS PERSISTONS

Mon.sieur M"urice BLANC" pris l'mitiatived'orga­mser une Table Ronde sur la formation profession­nelle. Il m'a demandé do présider cette importanle réunion de nUlexion 111 de concertation qui mel/,,;i en presence d'une délég11ée du Ministère intéressé plus de 60 représentants des organismes liés.! l.t lormil· lion professionnelle (enseignement F.P.A A. N.P.E. · Dir11Clion du Tr4vllil) et les représenlirnts des bénéficiaires (syndicats O!lvriers - p<1renls d"élé­ves · slagiaires - p11tronM).

Les p1trticipants ont certainement eu Je senlimenl qu'une telle réunion 11ous11vait permis de dép,,sser le slad,. des déb<!ls généraux qui ne débouchent sur rien de concret

Ainsi, jJ a été mis en évidence que toutes les mesu­res prises au cours des dernières années dans les domaines de /'organisation du systems scolaüe, de la formation initiale ou continue, des services d'infor­mation et de placement ne procédaient pas d'une conception d'ensemble mais de la juxtaposition de dispositions ''pare-leu" prises en fonction de la con­joncture, alors que la situation de l'emploi se degra­dait irrêmédiablement .

Pour redresser la situation, notre dêmarche pro­cède d'une autre logique : le chômage ne peut être vaincu que par une relance active de l'économie, mais ce sera l'échec si, en même temps, nous ne prê· parons pas les jeunes · en fonction de leurs aptitudes el de leurs goüts - aux possibilitês nouvelles de l'éco­nomie et si nou~ ne permettons pas ""x hom~es et Le Comité Local de /'Emploi qui sera mis en place aux femmes de s Y "dapler pu/" formation con/mue. p<t.r /e Maire de LA SEYNF. peu rra donc s'attaquer

Madame Cole/le PRJVAT, qui représenlail le Min istre de /a Formation Professionnelle .; noire débtlt, a pu prêciser que la gravi/ê de la situation d.~s jeunes demandeurs d'emploi avait incité le gouverne­ment .; metlre en place un dispositif exceptionnel dont doivent bénéficier les jeunes de I6!18"11s el qui bouleverser" les schémas traditionnels puisque /es Mu11icipalités pourront en étre les promoteurs avec l'Agence Nationale de /'Emploi

4vec des moyens nouveaux.; l'urgente question de /'emploi el de /'insertion professionne/le des "16-18", mais il pourra éqa/ement, en prenant appui sur l" somme des réflexions et d~s conclusions de notre col­loque, mieux maitriser 1B nécessaire articulation entre/'emploietl"formationprofessionnelle

Jecm SPRECHER 1er Adjoint au Maire

Revue Municiptlt dt La Seyne <k:l1tée i 22.(Xl(l u. (ddluoét Qr•tu,1emen1 d•n• lçu o leo !oyert de la Commune) Di1ecteur de la Pubhcttion : Jean SPRECHER, J•• adjoint au Moire. Rédacteur en Che! 'P•1fid A ma Io, R<kl•Cllon : Louis Nor• . Comit• de r<k:laction : Robert Bonacccn.i, Henri-Paul Br<lmçndy, Michel ROSS<>, Jean-Louis Novelli S.rvicelnlonnat1onLASEYNE - T<il.94.18.03 Miseenpa9eetphoto.:S.rv.ce [nfcnnttionMunictpal SN!P.QFFSET . 63, av Onolan TOULON . T•l 41.06.10. D.L. 1941

Nousavons1ou!evéà mainte1 reprise1,dansnoscolonnes,notre

désapprobaliontolaleàl'éqarddela pratique du travall!ntérlmaite.

C'es1parc<1qued<1puisdesannée1, laMunicipalitémènececombataux

c6tésdestravailleuuintérimairH "qUeceux·ciavaientdemandéà•tre

reçusàlamHanvierparla Municipolitélle)'noiN.

Aumépri1de1rèqles<iiWmentairH deladiqnité,envlolat!oulla9rante

avecla]éqislationenvi9eur,CH homm<11,doutcerlains (unehentain<1envtron)travail!ent

pourle1chantieradepuisdH di:uune1d'année1,11esontv111

rêcemment notifier leur !icenciementp.ulesentreprises

intérimaires11eynoise1.

Maurice BLANC ni intervenu immédiat<1m<1ntpourprendreleur délen11e auprl11duMinistrodelo

Merenluidemandantdolaire appliquer rapidement les

disposihon1envisa9éespu\e qouvern<1ment vi sant à lalre dispara!trecottepratiquesi méprisable des marchanda

d'hommH.

LaC.G.T. auxc6tésdecH travailleurs intérimaires

essentiellement imml9ré1, s'est déclaréeà l'iuuedel'entrevue,

utislaitedelapositionmunicipale· etafaitparldaaavolontéde

défendrec&1 travail!euudan1 l'entreprisemaisauuisurle terrain

delajusticeconlre les pratiqu91 illéqal<11d'unpotronatanim<iparja

seule recherche du profil.

NOUVEAU DEPART? ••.

LaCalbenon International, une imporlantesociétédetransports,a choiaiLaS..ynecommeporl d'emba.rquementd'untralicde canalisationsm"'talliquesà destination du Moyen-Orient

A ralsond'un<1 ro1alion environ par mois,cetra!ics'ilseconlirmeetse stabilise, devrait porter sur clnquanteAsoixante mi lle tonnes paran,et.,,tre créa1eurde plusieurs dlzalnesd'emploisdedockeu

Cett e installation qui va cerlainementdonnerson véritable départ au Pori de Commerce de Bréqail!ondontla mi Sft enservice remonte àplu1 de deux ansdéià.est le fruitd e diuines dedémarches menffs parla Chambrede Comme rce ,impulaées etsoulenues pa rlesélu1 munidpauxseynois,<1t avanttoutleMaire,MauriceBLanc

C es dé marchesontdoncabouti courantjanvieràla siqnature dela promière conventioncollective avec les docke rs et.!ol'arrivéedupremi<1r \1ainde canalisatiomdestinées à 11 r.ù:.1Apr<1mierbaleaudoilêlre charq<i le l5lévrier,lesacond devraitl'• trevorslalindecemois.

C"n tdoncunesituationnouvelleet 1rès importantequi estcrHeàLa Seyne-Bré9aillon,A laquellela Municipalit.,,seynoiseacontribué activeme nt. Pourtant ni Var-Matin dan11a page départementale, ni FR3n'ontparléde cette contribution déc isive de la municipal ité. Bizarre!

Le1 habitant1 de1 Sable!tes vonl bient6tretrouvu leurbellepetite

lonlaine Wallace .

Pimpantocommeollen'a jamals été. oualora ilyablen!onqtemps,

l'œuvreduphilantropelondonie n WallaceRichard,vabient6tpouvoir

tr6nerànouveau 1ur\aplacelean Lurcatet1outenirlH reQard1

admiratilsdes passantsetriveraln1.

Lalontaine Wallace nous est revenue deMarseil!e où la

Munidpalité"l'avait envoyée.Les FonderiH Groqnard, 1pèeia!lste1 en lamatié<e,ontredonn<i liéreallure

àce beaumonumentquelH année1,IH inlempérie1 etde blen

peuscrupuleuses personnesavaient d <it<i rioré

Alon,quecouxquinourilsaient quelqueinquiétudo ausu jetde cotte bellepetile piice,se rauurenl: tout

valré1 bienpour elleet elle retrouveratrè1 bient6tsaplace qui

lui est silal'lllill re.

Si vous ne recevez pas

"Vivre à La Seyne"

O. nombreuz seynois (rffld• n1 notam· mtnt l'immeublfl "Lt Car1ba9•" , cil<I McnmouMeaueldano d'aulrff qu• rlien) ffll0n1 plaints du comportementde cer tainoi ndividuo EntUet,aprào que l .. dlffuMurt dt oolr• 1tvut municipale "Vivr• •LA SEYNE" toi•n1pa- pourdist•ibuer c.ttt 1evua de111lM bo:iteseuole1trM, CM individus lM•ni.vent. comm<ttt.1Ul1 •!-' un 9ts1e &uuilfl6q&lqu• mesquin

Ou• i.. adver ... ifes de LI Munic1poli"

réélue au 1er tour Vice· présidente

de l'Assemblée Européenne

Lts varo!-et i.. varoa ont appriaavec beaucoupde pl•ioir laréélec!icnaul• r tour de Mme O.. nielle DE MARCH pt.rl•·

==~~i,•;.i::~~d~nei.;:,,:~';,';:oËu!~ pffnn•d• Sl rubou19.

G Avec la 0011 .... llctlon d• MmeSimont WEIL, D.nielle DE MARCH devN!n1 LI NUI• !emm• du burMU d• t'Assemblff Europffno•. Elleaé!é enoutreoommff Membredela commi .. ion k onomique et dt LI commi• 1ionré<;Jional• de la Communaut~ Econo· mlqueEuropéennt.

Tou1 .. not félic!tatlona à Oani• ll• DE MARCH pouron d illio<:1lon1 qu i concr• · 1;...n1letrèsMt it111 travailqu'•lle lourn!t 6 l'AstemblM Europffno•au .. "'ic• du VAR etdela FRA NCE

n'apprkitntpuque(.,.Myno!1 chaque ~---------------­moi1 puissent ju9er de l'action M rlw .. • u otrvlce de la villfl qu'accomplissent noo conse ille rs munic!poux, nouo le $&~Dl : qut les engagement• de Doife p r09 ramme élec101alai• ntété 1enu1,que noHtftvut obliftruiea!nai du lN~. que toulceci lff dépite nou1 en conv.nons, ,,..ll d• t.Un p1aliqua ntNur•ieo1 " ' " tuttm .... Ahn d• ltu roterleqcilt dtlffpttpétuer • l't veoir,n<>11•ioformo111 not conci· lcyen1 quin'auronlpH"Vivreà l.A SEYNE"dans leurboiteauole11f., 10u• lH mo!s, qu'ilo 1>41uvent rk lamer leo uempleires denct re rt vue, en t' léphc· nanl au9'1.18.03, poott 1167,

bur .... ud .. 1fll• liono pub.li·

L<11 t rois ~l8"u:rquireprésente· ronlnoa couleun,lerou9eetle bleu, chezno1 vols!llJ méditerranéens ont b6nélici' pour le déroulement de cette cou,..., de le. p.-rticip,.li on fillanci• redele.Municip.alité. Part icl· p.-tion w.m le.quelle ib n'eur .. itnl certainementpu envi&egerdecourir.

A "Vl"1'e à La SeyneH. ''O.M.S. La Se yne" et "VIIIe de la SeyneH, le. rédaction du mensuel municipal d'inlorme1io11 oouhaite .. b....ucoup desuccfl .

ANSMEDITERRANEENNE ILS SERONT TROIS

DE LA SEYNE

' Vivre à La Seyne, "O.M.S. La Seyne" • I "Ville d• la Seyne" 0011t t119•9'a danslaprem!•retrammédi­tt rre116e11ne quip.artiradela Grande·Mottelel4févrler.

Qu.e.ndvouslirezc .. liqnH ,For· Jane, Aleiandr" et Meri• ·Clo, les troisbAtu u:rquiport• nll• 1couleurs de notre ville, el l• uu équip,.9ea seront 1ur lepiedde 9 uerredans ce tte 9rande épituv• de Course eu lu9e vivant sesderni•re1 heures !rançalsesnentd'emportertoul oon monde verslesrlv .. 9 n d• le.Sud.a.i 9n•,de le.Tunisie,det,.Grb •tde le.Turquie.

I...cou.rsedeveilà l'ori9ine se déroulerentreleleretle25novem brt derniers. Mais elle "v"il ''' repouuée pour c"use de manœuvres militaires ...

Forlan e"VlvreàLaS•yne" : 1\r.ipper, Pierre Flol, é quipieu, C amille Grie lle , Yves Allem,.nt, ÇJ,.udeGali!;s ien • tJ.,.nRiesenmey

Alexandra "O.M.S. La Seyne " : llr.ipper, Geor9ff C a rdona, équi­piers, Frida. e t KHI Van Der Esch, Jun·Cle.ude AlbéroU • I un cin­qui• me à déoi9ner .

Marle·Clo"VUledelnSeyne": alr.ipper, J"'n-Marte Aquettu, équi· pien, Charles Flllon, Maurice Pin, André Brisele t, Pie rre Su<1ue1 el GérudN .. vuin.

0 ........ Ill ..-11 LE C.N.E.X.O.

LE CENTRE NATIONAL POUR L'EXPLOITATION DES OCEANS

L'Avenir est-il au fond des mers?

LI AUGMENTATION galopante de la population du globe. l'lnadé­

quo.Hon entre l'augmentollon de cette population et Io répartition des richesses posent et vont poser dans les années (:i venir avec

acuité le problème de la vie et de la survie pour des millions d'individus. Bien Sfu. les corrections devront provenir ovant tout de Io réalisation. dans les pays du globe. de s~tilmes économiques, pO!itiques et soc:laux plus jus­te s, plus égalitaires, mais la seienee a aussi et surtout son mot à dire.

D'oueuns prétendent que l'avenlr de l'humanité est dans Io mer, peu le développement de ·l'aquaculture, par l'exploitation des modules, par l'extraction des hydro-earbures et des riehessesse trou vont sous l'eau.

Mais d'ores et dêjà des questions fondomentales apparaissent : à qui sont ees richesses et qui a les moyens (forcément énormes) de les exploiter ?

Autant de questions qui , nous en sommes persuadés. posslonnent les Say-

Nous avons la chance d'ovolr dons notre ville la base méditerranéenne du Centre National d'Exploitation des Océans. Pell de vous le savent, alors nous avons décidé. grâce à l'aimable autorisotlon des responsables d1,1 CNEXO de vous ouvrir ses portes pour aborder ces questions.

Prédsons que ce dossier débute une série de dossiers consacrés à la mer et à son influence SU? notre ville et ses diltérentes octivités."

L [ C .N.[_X_Q_ (Centre Nationo.1 pou1 l'ûcplo11a1ion d .. Oc~M) .,.1 uoe)Mloe lruititutionde quin oe an1. Dlea !ti•oonanniver .. ire le 3 1anvierdernie r.[tabJisseme n1publlc i c.ract•r• industri• letcom

me rc,. l, le C.N.[ .X_Q _ qui dépt!nd du Minl$1• •• de l'industrie esl lnveo1i d'import•ntff rffpon ... bilitès en matièr• de ro•che rchff octanol<>qiqu.,.. avec prlnclpalemont,des miu ions decoordination e tdepropo11tlonpourlemi..,en place de p109rammeo, mai• au'"i d'exkution et de 9fl!iOo d'•quipemento d1ver1

Leo actlon1 duC.N.[ .X.O.o'ar1iculen(autourde$tUmeop11nc1pau• :re,.our · c eo vlvanto1 ,ro1oourcesminéralesetfossiloo , i>'n<l1rationde l'hommeenmilieu mo.rin, protectiond• l'environn .. ment .. t em6ruoqemt n1 du Uuoral, inle raction octa n•almotpU 1e.

Coo6qu1 pemen1S, on los retrouve .!.terreuecJa LoS.yne, S.es1 e l Vairao, res pec:tive ment\a S.. .. et loo CentresOc4aoolo<,J;quet d•\a M..i.Jt• rr•née,deBre· 1"9,,. • tduPac!Hq u•(l ).

Coo 6qulpe m• nt1oontau .. i,bi" ""ntendu, "baHl" anme t : 9n•vir.,. oe<lano l~~t'.~d.~':!,~~~~~n:~nnus o<mt le IHn·Charcot, le Noroit, le Nedir et le ... illid

Anèton•·DO\U un peu plu• )on9uemenl IUf Cet deu tl•urons de la technol09ie bançai1a,prototypesun ique1enleur9enreetbaH1àLa Sey ne - Cyona, utilisable à une profondtur mulmal• de 3.0QO mètre• eSI une OOU· coupahabitée,d 'uneautonomlede8h• u1oo; elleautorise l'observaHondir9Cle el perme! des trava ux de manipulation compliquff. Cyaoa a déjà elf&etu6 SSSploo9 .... - Epo ulard. sous·marin inhabité, peut atteindra dei profondeun muimaloo d e 6.00Clmt1rM. Guldépard .. ondoo•lectro&CO<lltiqueo, u ... déplaceJaune vlt-cle2nooudo,toulen...,,.llraîllon1", l.espholooqu'iltransmelre v• 1e ntune impori<locecapi!aledaMledé1oul.mentd01 reche1choo oc61Lnolo<,JiquM.

O'eulre per1, !. C.N.[.X.O. Ml 4ogale.,..ot char9édal'lldtrumention ocialltiflqu• du balhyocaphe Archimàda, capable d'ellelnd1" dff proloru:leun de 11.00Cl mtlreoet•pparlenant.!.laMerine Nationale, •nvuedeoonutil~tiooauW"'· fü:edelareche rcheocéanol09iqua.

mw -o.:.."°""'"""'.i.KW .. ,,•- • ... ""'"'"'""""''P* d'••••

• 4't\ LA BASE OCEANOLOGIQUE DE ~e-- MEDITERRANEE :

Activités présentes et futures

C'est en 1971,que leCentre Natio· nal po ur l'Exploitation des Océans, décidait decréer un établi-ment à Tou!onetdan1sa réÇion, à Sanary et LaGudeprK-!sémen\

Depuis, l'installation à La Seyne· Brè9ail!on du Port de Commerce a en\rMné l'implan\ation,dans cepéri mètre , d 'un ce rtain no mbre d 'entre prises,dontleC.N.E.X.O.

L'ouv11rtu re dans le Var d'un éta· bhnementduCentre, pour•uîvaitun

triple objecUI: fou rnir les moyens lo9ishqu&1àterrep0ur souteni t la préparationetl'e1é<::utiondescamP<1· 9nesocéan09raphique1;reqrouper deséquipessplicialiséesdan1letra· vailpar9randes prolondeun(les côtes m<!lditerrenéennH d e pa r l'étroitesse du plateau continental autorisant ce type d'essais) et déve­]opper sur nœ côtes, les aelions du C.N. E.X .O. dans le domaine de la découve rteetdel'exploitaliond"" richessesde la Méditerranée(exploi talions minièrH, aquaculture), de l'eména9ementdulittoreletdela 1ur· veillancedespoUutions.

Le jour où nou1 nou1ximme1 ren­dus,;. la S.M OcéanoloQique de MMiterranff,ilfeisaituntemps3ne pas mellre un hau ban deho rs. C 'est

dumoinscequenou1croyion1,nous pauvr&1ig norant1desch<lli<la,joie1et mystè res de lamer. Un avis qui n'é tait paa partaçié pu 1out le monde. En particulierp.ulesemployésetmarim du navire ocffn09raphique Capri· corne qui s'a!laiu1ient pour charqer lematérieldev11nt4itre testé,aula<qe dePorqueroll8$, lelendemain.

"Le temps. no111adit M.Lardeau. H prêtera ce rtaine ment aux euol1. ll ne faudrall pci1 toutefol s q ueçu Mgiite trop.~

M. La rdeau, lit avec nous le tour du propriéta ire, présentant avec force déteila, chacun des services, atelien, laboratoires, etc ... qui font de la B.O. M. une unité scientifique assez exceptionnelle , mllme si l'aspect e xlérieurdel'ensemblenese 1i9nalepas par11netrop9r.,,nde recherche d'ori9in..lité . Aprèi tout, ce n'était pas le but premie r recher·

'" Conslr11ite sur un terre-plein de 2hectares,lace3l 'impo5"'ntq11aidu Port de C omme rce , la &se Océane loqique de Médite rranée r1'9roupe des hangars de llockaqe, h"'ll de mon\aqe ,atellenmli<:"niquHet élec­troniques, laboratoires, deux ba1Sins d 'elSll is p0ur l'immersion des tous· marins et la mlse "u p0int de petits *<luipeme nls, qu'il ne ! .. ut pu con· fondreavecd .. plscines,bienqu'ils enaientl'a"spec::t.

Le. locaux de la B.0.M. permet· tent d'accueill;rde1antennesd'or9a­nismei< ext&rie11 n travaillant sur les probl• mes marin• : le Commissari"t,;. !'Energie Atomique, le Laboretoire d'Ochnoquphie Physique du Muffu md'HistoireNaturelledeParil etleC.N.R.S

Confirmant sa volonté, d'une put dene paslravailler enfranc·tireur dan1 le domaine de la recherche océanoloqique,d'autrepartdet'inté-9rer 3 la vie économique !ocala et

réqionale , '"le C.N.E.X.O. a pour· suivi M. Larde..u, souhaite dcint l'a11enl r jouerle rôledebasecirrlère pour d " industriels trcivcilllant sur des problèmH de tech nologie marlne maisn'aycintpas. dulailde leur lmplan!atlon dans l'arrière· paya. le s upport log istique née••· scilre .

En plus de lei B.O.M. le Ce ntre po .. èd• en Médlterrcinée. un éta · bll .. e me nt p0ur le Dé ve loppeme nt, l'Evalucitîon el la ValoriSC1tion de !'Aquaculture (D.E.V.A. ) situé Q; Palava a.dansl'Hérau ll .''

Dle1 s'articulent autour de deux 9rand1axes:

la te<:hnol0gie prnfonde (étude, conception, mise au point, utili sation et maintenance des équ ipements technologiques destinés à l'e xplora · tionetâ l'exploitahondesgrands fonds}.

-l'aquacullure.

l)Latechnolog!eprolonde.Le $ .T.E.P .. c"estleServiceTechnique des Equipements Profonds. Il assure une part importante des aclions.maistravaillea.ussiencal­labaration étroite avec d"autres organismes comme la Marine Nationale. la C.O.M.E.X.. e1 de nombreuses entreprises locales. !a Société ECA (implantée à La Garde). l'Arsenal. Pyroméca. Sodéca.lesC.N.I.M.etc ...

Lesenginsprofondsdontildispose ont permis au C.N.E.X.O. de mener, ces dernières années, un certain nombre d'opéra tions parmi lesquelles on peu t citer: l'opération FAMOUS destinée à confirmer la théorie de la dérive des continents, l'opération CYAMEX au large des côtes de la Californie, sur les failles Rivera et Ta ma ya, l'observation du canyon sous-marin du Var à la suite de l'éboulementd'unepartieduchanlier du nouvel aéroport de Nice, et bien d'autres d'importance égale

Enfin, le S.T.E.P. a mené, en lia i· sonavoolaMarineNationale,lesétu· despréalablesà la constructiond'un sous-marin habitecapabled'interve nir jusqu'à des profondeurs de 6.000m,leS.M.97(1).

2) L'aquaculture' à l'opposé des faillesetautrescanyonsdeseauxpro fondes, le C.N .E.X .O. travaille à fleur d'eau. Dans ce domaine da l'aquaculture, la Base Océanoloqi­quedeMéditerranéeabriteladirec­tian de "L'Unité Régionale pour le Développement de ]'Aquaculture" (U.R.D.A.-S.U.D.) dont la compé· tences'étendsurtout lesuddupays depuisl'Aquitainejusqu'âlaCorse.

Energies Nouvelles MARIER LE CHAUD

ET LE FROID ..•

Geor9.,. Claude e~ pliqua i t en 1928 "Lepriru;ipedal'énergiethermiquedas merSconslsteàtlrerpart!d'undesph<i· nomirneslnpluscurieuxdelaphysi· que.phénomène qui.danslesmernno·

~c;'~;',: d.!':Je~f .,,c;.:~a~:~i:'a1~~~; une dîllérene<> de tempo\rature assez élno\eentre l"eaude surfoceperpé_tuel· lement chaulfée entre 25 .,t 30•c .,1 J"eoude lond unelentecitculation venan\despi;lesmaintient auxenvi­rons dupolntdecongélationdel'eau ooit4à5•C.par!.000mètresdalond".

Dan• \a Joulee. il a va il con<;uunpro· cédé thenno-dynamique pour produ ire del'éleotriciléquin'a plu•qrandchoseà voir avec ce , qu i peut -étre roi alis' a ujoutd'hui. Il n'en re•te pa•moinsque l'idéeet leprincipe,eux,demeurent

LESU.S.A~.LEJAPON _ET LA FRANCE

Troispays sont •urlestanq•de \a batailledel'énuqiethermiqued ... mers Etats·Uni• ,foponetFrance

l.eproqra mmedereohercbe américain O.T.E.C. (Ocean Th~rmdl Ener<;iy Con­version Proqram) l<i ncéen l973est axé surlescen1rales llollan1Màcycle ferm•

Le proçra mme japooais Sunshlne qui datede l 974estpeudifférenldel'améri­ca in, mais la con•truclion d 'une cenirale de démonstration n'est prévue qu'en

""'-Ces deu~ pays ont pri • une cerl aine

avancesur laFrar.cedans ledomainede• gros..,• cenlrales de plu• de !OO méga watts du fait seu lement des sommes inve•· tie• darur los recherches

LEC.N.E.X.O. AL11ilTIATIVE_

EnFunce,!'inihahvede\arechmche , puis de l'exploi1ation del 'énergiethermi· qu.,desmerS,estvenueduCentreNatio n~!pourl'bploitationdesOcéan•

L'avanw prioe par les U.S. A. el le laponn'e•tpa•uninconvénientpui<que une étude de marché eHectuée par le Centre •iluelademande,àunbonmillier àtravors lemonde,do centralMdelàlO méq~waUs,c'esl·à·dir<t celle• su r losque!­le• por1entlM<itud1,. françai..,•

Dan• !• cycle ouver1 (comme c'est lo ca• duprojfttde cenlrale flottanteélaboré parlaSeaîankCofüialodolaC.G.K.) ]., turbines sont direotemenl actionnffg par la dilléronce de tempéroture des eaux,.ansaultesélémenls.

Le cycle fermé quant;, lui ulili.., un fluide inle rmédiairetréovola lile, quie•t leplussouvent l'amorùac

Lecycleouvertn'eslenvi..,geahleque pour les petites puissances.

Le•étude•decoùl;, long terme con cluent àl'équivalencedeocycl""lhcr· modyoamiques, fermés ou ouverts. La miseenœuvred'unecentraleexpérimen· talell.cycleouvert,in•tallée•urunepla­teforme flotl.ante ne demanderait que deux an•, aulieude troi•anspourun cyclefenné,cequidevraitinlluer•urle prh de construction de ce deHiéme 1ype.Etleprixdu !Cw/hserait , pourle cycle ouvert du même ordre que celui d'une centrale nucléaire

UNEDESENERGIES DE L'AVENIR

EnFrance,troi• typeo decentialessont actuellementlitudiéeo ~~!:~~;,,~:,le• contrainte• technique•

surunbateauderécupéralionplacéà lave rticaled'une fossed'aumoinsmille mètres,mais lecoûtdetiansformationdu novireparaîtproh ibilif, -.urune centraleflouanteenbélon

C'estîahitiquisemble ~tre lelieuidéal pourcegenred'expérience (centrale llollante). La mer y est calme, saufpen dant 3 %du1 emp• où la houleest légl!re­ment oupérieure à 4m. Leaétudes vonl bontrainauC.N.E.X.O. dans 110nCen!re Océanologique duPaciliqueàVairao.

L'énergie thermique deo mers e•I une desénergies,confinné<H, del'avenir Elleproduitplusd'éne1giequ'ellen'en consomm•. Ap rè• tout, elle ne consomme quede l'eaudeme1,etaul>oul de4heu resdefonctionnement, ellepounaitv iv re en auta rcie consommant30%da M p ro preéner~ie

C'es1 une forme d'énerqie ut msable d anslespaysenvoie de do!veloppement, ~=~e:"uvenl oilués dan s leo régiono tropi·

Les eaux temonti;..., trèo ticheo en micro-organ isme• pourraient faciliter la nut<iliondetoutesle•espècesvivanles

Silatotalilédel'énetgie produiteen l'an2000étaitdecetteoriqine lesmersne seraientrefroidie• de l 0 seule ment ...

N.B,:Le C.N.E.X.O. " "' ac1ue!lement en état de "veille oci.,ntilique~ ourle problèmedalahoule(utllisationdela pui"'"'n<:<> d es vagueo)etapporle 110n soutien au doHI• • élaboré sur la :,a;~~ èi voile . PIUllieurs lei'$ au feu

L'AQUACULTURE DES LOUPS. DES DAURADES EN QUANTITE

L'equacultur• ,qu '"1·c.quec'est? RJ;;.•:"0!1"d"flpèceomarl11ese11"'1edeieurcommMclall~ti<>n"d11 le Pe~I

• "L'oppond"unenouttl1ute protéfolq11epowle1 payiqulmeurentdelalm" aelond•nombreuxkol0<;i,.t,..et.,;1enhliqufl

Enla!llud•uxû9nU1cationoneoontp...,antinomiqueo.M1eu• . elleo .. rejoi· 9nentdan1lame1uteoùcette"noW'rltutepro1 é\"nlquepourle1pc;y1 qulmeu rentdelalm".i!!aull'<ile.,.retlacommerciali1er.

0.1ou1 lempo, lff populatioosdeC<tr· lollllH e<>nt1 ... dumonde, en pulicuher E%tr•me·Orient el AmMK[ue U.tine, on! p retiqd l'él.,.•9eenNu demetde mol· l\1$QUH ,crutlecffetp<>isoooo.

Toute!oll,eljuoqu'll une ~riod.e tr• 1Kente , leoont r6!e e xe rcé pa r l'homme n'ajamal1été que tr•1 par1iel. Au!ild.,1 e onéH ,!l 1'fl t accru . Et cet accroisN · menl continu caract,riM la p'riode actuellt de développemenl d' une aqua ­cuhu?eplu1complu e

Pou•quoi donc p ratique+on cette e quacuhu1• " oci• nh liqu e " , di rions· no111 ? Tout llmple ment parce qu e depuia d .. 1o.cl .. OO • puiM .U.n1J.,mer u.n1 j.t.1Uia rlenapport• r.

Not1• balance commerciale d..,,. le dom• i,.. d .. pkheo, est d61icitli<• 6 cauH d .. .c:hata depoiaoos ffchen"que conoonun• otvolonliers!eo françaio: tur ­bot1, b.a11, 10lff . u.umo,..,c revett" . L"élevaqedt-osp4<; .. c ontrihue à1ff· qulUh1ercetteb.alance.

Dan1 l"imm&cliat , le prix de revie nt mcyendukilc qll l estd• 50F, interd itde ot pencher 111 ? l'élevage , paru.,mple , d eou. rd lnff.

En dehoro du point de vue o1 ric1eme,.,, conunerclal te. prcblèm"" de outiilion quio• m•nqueront ~ de se po1erda.n1 c e rl.ll,..J>llyl,el daos un &Yenirplu• Ou moi... proche, nec-.;1uaienl uo appro­l°"d~l!lent de le rec:he rche en di1ec:· liondecHHJ)kes moi.m chères

L'• qu• cu11ure perme! de résoudre ce problème pooé par les prot• ïne1 dites ""aQ lm!lch le1ffe\ ""acce p1,;es" .

lln'e1t pao poulble (eot-ceenvi•&Q&a· hle?)do f1l re ma n9or à d<Hhum&in• de1

LeC. N.E. X.O . ut partie preoa ntedan1 c• d• voloppement de l'aquaculture . Pu 1rè1 loi n do la Base Océanol0<1 iqu" d• M&clite n an6e deLo S..yne, es1 install&e une i.,rme 1qu1cole, A Palavas lH Flot1, dansled• parlemenl d el'Hé raull

Q\i el rôle, k> C•olre joutl·t·il da.no l'aquacul1u1• ? "Le C.N.E.X.O .. dlM nt

::-:=.b~":1~e11 ::~:;he7c~: .... ~· ~ .U"loppeme nl. Il adapt10au te rrain lff technlquff de laborato\,..

Les rffultat1 qu'i\obllent,ll lff~•

aupriri. dan11 le conl• xle nat!onal .ou 1 .. ,..ndaun!,..auintornotiona!.par l'lnt t rmé d<alre de 11a filiale Frao<:• Aquocuhure .ff

La11a llon de Pa!ava• quicomp r" nd 12 pe roonneo ada pleaut<>rra inlH t<1<:h nl· queo de laboratcire . Parcontre lec• nl •e

dePioie enCorse(4employ•s) N1 une 6c l<>Mrieetun•1tationde9r0üisM1me nt dont laproduclion eot livalde àune c" n· t•ine de to nn•spar~n

Lac1éf,tion de Fra nceAquacuhurepar le C. N.E.X.O.a eupour objet deconotl • lu erune otructure ooupleet all enhva aux btsoinodet lutu<Sutilisal<>urs pourleu r laclllt• •unt•lmonlage ,tcutenle ur aau-1ant 11 di1P01ilion du savoir-faire déii ::~c:.•t le soulieod'une recherche

Ence qu i conce rne les p10)9ta menH tn Fra nce • irW qu• les D.O.M. ·T.0 .M., il vl de ooi que Franc• Aquaculture. hlialeà l00 % d'uné1abliueme ntpublic, non 1eulemont s'applique i privi!"1ierlu orientallons dèfinesen ma li• r.,•quacole p1 r le1 Pouvo.,1 Pub lic•, mais adopl• d H modal!t•o d' inlerventicn parl icuUra qu! recueillenl leur accord

:E~~r·::::::~~~='.~~ .... ~::::: ~--P-ET-1T-L-EX-1Q-UE-------------, NM •• i0i11non1 donc u l"apport ah· OCEANOLOGIQUE e~T~;,~;;~~!;j!~~=~:1~~,,;v•luatioo t t

ment.aire prot• înlque dont il était qu- • C.N.E.X.O. : Centre Nation11.l poui • S.T.E.P. : S. rviceT!K:hoiquedes[qui· li°" • u d6but. Auu i, des production• l'Exploitaliondes0c6aos - pe l!lentaProl.,,,ds

:~=~~r·d:;•:,tl~:.~:.i:::~·:,~: ;.,~·~=: : S.... Océuol091qu10de Méd1· D!1~:k,~:.·,,;...,~d:~,A~~"î:~re:ur le d e oolutiom • u1 p.ay;oen voi• d• do!M lop· · NIO · N1vire0c<N.n09iaplnque. - S.A.E. Sen•ice d'Armemeot des peme nt ou M heurtant à det problè mff · C.N.fl.S. : Centre Nation11.l de la [n<;11no. alil!le n!alrN O&Dl oOm L'-~"'-''-'"-'' "-''-''"'-iliqu~•------------~

NODULES POLYMETALLIQUES AU FOND DES OCEANS,

Ahlffnodulffp<>lym,talhquff! Quilff exploi1era? La 1ro,.i6m•con/'1enc• dff NationsUniosurle droi1del• mern'alou­jounpasaboutiàun...,co1d

AuC.N.E.X.C.cependenl, Ln~udnM poursulv• nt. La quu1ion po•'• aujou1d'huiffld•savoircomman1rku­p4re1l.,.nodu!.,.polym~a lhquff.

DES MILLIARDS DE TONNES

Av•nl d••Jle r plu1 lo•n peut-6tre l•udr&it-ildir• qu•lqu .. mol•sutln noduJ.,.poJym,to.ll1quM

c·.,.1 un• ui*:!ition od•""9•&phique bnlf.nnique qui enl873d6couvtitln nodul ... po!ymel&lliquff dan1 lff 9rand1 !ond1mat1n1

La plupart d'enlre eux ont la forma et l'"'P1>Ctdqpommnde lenaoudeboule!1 decharbondequelqueodlu1nnoucen• tainq• de 9remmeo. Form .. de mince• couche1 d'oxydHm<itellique1con~ntrl •

que•.fe•tonnéeoetirr'9ulièro1,qu1onro· bentunnoyau . Ilooera1e nldu1 oe loncer· tain• Il do lon ll p<OCiilSul phyolco­chimiques etbiol09 iqueo,..,lond'eutrHà df)S ,v,nomontl tou1-m&rm1 brul&ux et breft (èruptiont volceniqueo, d-c:oulo-1nent•hydro-1harmauxm&uit1)

Enmoyenna, lffnodu1Hpolym6to.lhquH conliennentde76 50%de man9en...,, de2à26%d.,fer,dt0.0l•2.3%de nickel,O.l6à2 % decuivre, de0.03• l.6 % d9coboh. • uxqualo1'•joutentdn IJacff de molybd ... e, de vanadium, d• ti1•oe,d'a[u,.,inium.

Silffnoduleaontt!6dècouve111àlf.lin duXIXeslkle,Hsn'ont4!'~"diffqu'à !>"11irdel965.S.Lonlffceku11publi .. aloJSpatl'amfficalnlohnl.(ERO,lepr•• môe1qui s'y ••><l înt6r ..... ily enaurail su1lesfondomarinoduMulOcNnPaci1;. quq 1.660 m1lliardt de tonnai (li kiloo

LE PACTOLE pa•mètr•can6).End'autreoterme1,36S mllli&rd•de tnnnHde man9aoès<o, 16.6 m!ll!ardt de tonnao d• nickel, 8.3 mil h1rdodelnnnMdecu1v•eetJ . 3milli~rd1 de!onnffdo cobal11eposera,.,n11ulcnd da La mer. Ell'iMudede John MERO ne r•poui1queourdHmesu1es1"partiHsu1 lS4milliDJ>s d•k1Lomè1<Hcerrêo

Daoch1flreaquipermmlentde•pa-• d• loul co"'menu11esur l'intérèt écono miquedesnodulffpolym4-to.l!iqufOI

SUR 50.000 KM2

lll1llalt.,.1Ui1•localiHrles9;...mentslff pluo1nt6re..._ntsel ... voircommen1récu· p4re1 leanodulespolyme!alhquf)S. Deux tkhea qui ont ét4-con!iées au C.N.E-X.0. Av..., Epaula rddM recherchespooctuel­IM ont ~é el sont eflecluées dans 1 ... 9rando lcnd1 marins. Deux c.,,npo.9nvo océan091aph1qu ... ontouheul'anpal1Sé, lloi1Hdèrouleront ceUeenn.., _Uneca1· t091aphie avec le nomb1e moyen de nodule• polymlltelliqueo•u mètre ca.,4-, leu? poido, leur volume, leu r te::ieu r ~ n mètaux, e•t en cou'" d'i!laboration à S.eot

Le161udesont monlréd'une parl, qu'un oite m!nie?(uoeconce .. ion d'uploi\alion 1!vouopr"érei) devrai1-.'étendresur SO.OOOkm', d'aut•eparl, que la réparti hOn des nodules polymèlalliques 6tai1 iné9ale

DES NAVETTES PRELEVEUSES

Letacciden1110poQ11phiqu,..,l'1rni9ula· rit,dft de nsil"et dft leneu"naren d1ont~1t1c1\alarkup6r"hondesoodu­IMpolym6ta!liqu ... LeC.N.E.X.O.a~u di.deuxm•thod .. da rdmasoao;i.,:l'aspi· 1ateur9ffntell•navet!eseulonomes.

51 If. première 6to.tt retenue la léle de l'aspitateut devrait avoir ~n dl4mètnt dq

ZOmèttff :le1uyauqulrellH&itiet!<md1 marino•lf.1urltuaur1itunelon9ueur de6.000 mt!teoet undiam•tre ln1• ri•ur de50 ~ntim•t r•.L'.,pi rtteu1,naturel· ]e,.,ent,lreveU1-ta!tdantlanulttotal••< ouruneoucCftl•Ond.ecrèt•e!d• val· li&es. Ou•de dll!lcuh .. à rUoudre !

Ladeuai6monWthodedarama,..9eH"'·

:~~o~~; .. ni~:i.a~.:"::":n~:!\:~i:= t-ch.tcunade300tonnasdem•li•r .. mtn~ral.,.. 1t611leo. Au tond, oil .u .. H dàplacVJ<llqnt av"" daux vU. d'A1chl­!Mde, ellff rame-relan1 av...,desdre· 9uffpuse>lrnl .. nodul.,polym ... lli­quffquire,.,placer&len11-lestetrejall•· raient ]ff 16chment1. Une !011 pleines elles r•monte1aient ve11 untupportllct· lenlpourydkh.t.r9erlffnodul .. poly· métalliquH. Allo qu• r .. ploitation indu1trielleoo1tvi1ble,ellesdevraien1 eHectuerchaquejourlrOil O~rallonodt r•m~ ... çede250tonneodenoduleopoly­m61alHqueo

Le projet, pourl'houre , onfflàlacono. lruclionde deuxmodèlM?&duotodequel· quo1 m6l rHdolon9. S.nodou1elaudra t· il attendreeocorequelquHannff1 •Nntquole1ilencedesfondomarin1to1I lroubléparleve·• l·vlentlncH11ntd•1 navetteoprtleveu....,denoduleopolym'· telliqueo

Reat• lequff!iond• l'uplcit&!ion deo nodulH.Deuxlh/lllat1'•Hron1ent : -eelledeopay1u1<;iroupffautourde1 E1a1s·Unio qui enlenden! que J'explolta­hon d.,.. nodulff, où qu'il• .. lrou•an1, prolite....,.tiel!ementiceuxquiton! capablesd•IHthe1dufonddHme1t. -celladel'U.R.S.S.•tdffpay1ooc1&li1-1 ... .ou1enus~rlatP11Ylen v<11ede d'veloppem•nl, dem•ndanl qu• ).,. rMuhatsdal'uplollationtol•ntpa11Ag ik 4qui1able-m•nlenlr<110u1leapay1.

Com,.,enou1ladU.1onseud6but.lf.coo­!4-r•nudesN1!ion1·Unie11urcesu1..-tn'• p&o • ncor•ebouti .

Lutte contre les pollutions marines Des perspecu es encourageantes

Comple-lenu d e l'impo1t1nce oie •a laçade maritime, la r'-tion P?ovenu · Côte d'A•u• s'est trh rapidome nt dolff d'uneinha1tructu?e1cionli/lqueotl...,h· nique ep1•à•PP•4-htnde•l'ensembledes p•oblèmMpo~spulemilleumer!n. La cr..,,1ion dao f l11ion11 marineo Il bo•es opéralionne lletduC.N.E.X.0.on tonllo mqilleu?eumple

L'imporlencedul•llic enMtchterrMH, enput!culiercelu!dHhydroc<lfbUrH, n'1ja,.,.ioproduit,fo1lheureu1ement,de catastrophffdulypodocell"qulonl mulil6etmutilenlencorelffcôte1breton· n ... Il n'en ,.,te pu moi,.. qu'un tel dbulren'e1lp11àexclure.D1ntc•tt• optique , U •mblerail qua lfl me!lleun 1touluoie nt,.,llduc<'>l6d•llvi• .

C'nt•in.;qu•d1Nl•do,.,einedel1pro­leciibo del'en•!ronnem.,.t, l'lni>0v•tlnn ep~rait •itale Ill l'allcrt lcuml à~ niYN.nporleC.N.[.X.Q. Ml P11rticuli6·

,.,.,ent imporlanl pour le• équipes uni· veroitaireoduC.N.fl_S.quionldécidéde 1'•n9agerda,..cettevoie; une voie c • racl6ri ... po.rsonapprochep!uridioci pline11e dant laqueH6 intervionnen1 l'ocffn09raphie phy•ique , la clùmie mann<1, la •éd1m<mtolo9ie el l'écologie dan.ooeod1versupecls

Lavreienatu1• desprobl&mesauxquel•il laulfaireJace eotcelle-ci:!e devenir,la lrdn•lormetion et la destruction des pol luanl•en9énllr1le1deshyd roca rburf)Sen pal11cuher dans l'environnement ma rin Peut.ondlrequeju•qu'.!.présent LAsolu· tiona11•tétrouv6ti?Apmpremontpu!er non. C'ut pourquoi, l'ef!ort du C.N.E.X.O.danscedomeinenous pa­ralté!rel991rentdel'aveni1.

Lebiod'-tr1detiondece1p01luanlopar leomicroa19ani1mn(boctllrie1, champi· 9non1, alçuG1 ... )contt11uelep•OCeosu1 majeurd'4-pu•ation.!1 H mbl•p.uallleur1 qu'une meill eu r• conna111unee de ce pUnom6neet de lacopacitéd'11tlmlle­tiondeo milieu• nelural1pounalt boule­verH r le• croyancfl ~n mot16re de QH·

tionrohonnell edo1d6chet•enmer.

L'axiotenced'unpolentleloclenti!lque qualili•enmicrohioloç!e m."'ine danola r'9ioneuoci.t det4qulP11tdeeh1mi11e1 comp4itenlt et di1poaanl de ma1•rlel analytiquelourdlr61performan1

(R.M.N.tp...,1rom4tr!edama..,,cbroma· !OQ<&phie en phaoe vapeur. H.P .L.C ... ) permet d'ffp41er dan1 lff •nn6tit qui viennqntlamioeenpl...,•d'unenHmble disposant dff moyens nka,..iret en hom,.,fflllen,.,1t,rielpourlnnoverdaru le domaina de lt tulle conlre 1 .. poilu· tionodt.nalnmiliauxmutna.

TRIBUNE LIBRE Nous tenons à remerc ier Monsieur Jean DE CHAZEAUX qui nous a accordé ses réflexions en forme de tribune libre sur l'avenir de l'aquaculture.

Morusieur lwn DECHAZF.AUX ~équé du CNEXO pou1 !a Méditerr1' ·

Dir<t<:teu rde laba•eoceanologiquede MO<liteuanée

!nqénieurdel 'kolenavale(promo46) Aété del912àl980déléguéduCNEXO

~~: l~:·c~~:i:: as•uré la direclion du Projel nodules et animé 4.politique du CNEXO <m mali àre d'aqu aculture lropi cale etdanole doma;nedesénergie•nou· velles

OS t r ois loinlains ancètre• ne füaientleur sub•islanc,.quedes produits de 4 chasse et de la

cueill"H". A ce titre, i!. ne oe dill4ren· ciaientd8sautre•prédateursdelachaine ahmenta irequepMun e capadtéli pallier IM ro faible .. ,,. physiques pat l'emploi "d'outils" décuplant leurforceetleur ellicacité. Pour la prem.i~re loi•. l'inl elli qence.., oubshlua it à l'üu1tinc1. c· ... t cettemêmefaculte derai""nn emen1qui, au Hl d"' •ièdes, a pou•<é !'homme â s'allranchir desal...,,de la cha ,.een se con•tituantd.,.."réH rve•",peu!· lltre .I. partir d 'animaux bles..,._ L'élevaqeélai t né . lln'ace.,éd"puilld .. bénltfici"r d'a mélio ralion•succe .. i\•e• qui ont pet mis l'obtenl ion de meilleurs rnndem<>nt• ;~!',~l~;~~";,,~.~-nt de l'éventail des ..,,p;,

S..nsdou1e , enraioondeleurpeurintui· t1ve qu'exerçaitla me1 •ur deo eopritspluo ouve rb auxléqcndesqu'auxobservation• précise" l'élevage de• e•i><oc"• mari ne• n'a paoconnu un tel""'°" On connait b1én l'cxi•tencedeque!quesviviersà l'époque romaine mais i!estdil fici le d'y acco le rlenomd'aquacullure

Aulildes oik le•pourtanlsedéveloppent l'ostréiculture et la my1 iliculture' . Au d<lbut , l'intervenhondel'homme se limite à la mille en plac e de collecteu"artili· c iebperm<>1lanllecapta9e denaio .. ino• . Puis dans ce doma ine éqalemeot, le• tecboique• • 'enTichissent d'init iative• succeniv.,..àcaractèrepraqmoliqu<>. Ce

o'eslquetr@.roicemmentquecelleaqua· culture tradi tionn elle a pu M nélicier d'un •upport •cientiliqu<>•ys1émat ique .

Le CNEXO, pour •a pa •t. a dè< "" créa lion vou lu • 'asS<>Cieraux efforbv,..n!à promouvo iruneaquaculturenouv<>lle non plu• tournée vero le• coqui!laqH mais vero le• poissonsel lesc rn stacés el peut·M•edemainvers le•alquM

Le• ra isons ne manquent paopou• jusli· füorun<>l<>lleorienlation.

l )offrirauxpopulationslillo1ale•une activité propre a amoindrir le• con~· quen~•d'unerégression très marquée del'acl i vi té de p~ch<> 2) part iciper à l'améliorahon de la ba la ne<> commerciale lrançai•e en mati•r&deproduitsdela me1, domaine dano lequelnotre pay•.,.t trè•lar9<>m<>nl 1ributai redel'é1ranger

~~,::Ort~~ip~:l~~a ~ra~~c~i~: d;~~~:;n:~ malqrél'améliorotio n des lechniqu.,.., le tonnaqed.,.produito de lapkhealen d ance à régre.,ertandisque<'aqq•H<>nl dansle• payg envoiededéveloppement leoproblème•demalnut<ition

De pa• Io volonté du lé9i•lateu1, 1., CNEXO.., situe~ la charn iére <?ntre la recherche el le dliv..loppement. le pas· ""qe dir<>etentr<> le loborotoireell'enlrll· pri"' de production "1an1 impo .. ibl<> quellequesoit l'impo1tance decetteder· nière, l""équipe• duCNEXO sont char· qée•detend1eunponlentrec .... deux domaines extrème• . Ce rôle implique troi•typesd'actions

d'unepartl'adaptalion.!.l'échelledu terrain d9" enseignemen to illsus de la recherchelondamentaleet concernanlla phy•iolo9ie des animaux, les problèmes d'alimentationet la luttecon! rele•allein· te•patbo!oqiques,

d'aullepart,la recherched9"solulions 1echnoloqiqu.,..leomieuxadaptée•aubu1 recherché(dl!finitionde•enceint.,..d'@le· vaqe,pompaqe deo uux,recyclaqe,oxy· génalion), · <>nhn, lelransfertde• cOnnai..,.nce• ;,.u.,. de ces expérimentations ver; le secl<>u rproductil

A c<>s diHérenl• tilres, le• équipes du CNEXO sont appelé.,. ~ travailler en étroilecollabora tionavecle• un iveroité• ainoiqu'avecl<>slabo1aloireo public• ou privés

C'esl oi nsiquesu r le p!anlocal,l'ln•titut MICHEL PACHA. situé à La Seyne, et le

~~=::~~i~:.!:-.. E,:~i:~ · n:~! ~!~~~'.' plu

Si l'aclion de la BaseOcéanoloqiquede Méd iterranée en matièr<> d'a quacull ure n'estpas trèsvi •ible pourle•populations voisines,c'.,..tqu'elle s'appu ie•urune

~n:!~l~·~:r:u~~ lenain situ<! a ... Palava•

lln'endemeur<>pa•moin•que le s enoei gnements qu'elle reli<e des travaux de c<>ttestation ""nl in téqral<>men1 mis à la disposihon de ceux qui, e n Proveo~ Côte d'Azur. •ont prêt•~ "' lancer dan• cetteactivité nou vellequ'.,.tl'aquacu!· lu re.De•exemple••écent• à Six·Fouroel auLavanJouoont là pour entémoi9ner

• cullu1ed.,..moul.,. ;r.:mbryonsoula rv.,..d~mou le•oud'hu i·

Arbe//_C_HAUS-SURES-BERGIA

* Avenue Gariba ld i Quai Gabriel Péri

., 94.75.61 83500 LA SEYNE-SUR-MER

10 V ceux Municipalité Associations

Maurice BLANC : "1981 . a vu l'aboutissement de la réalisation des enqaqements passés

avec vous"

La salle dea lêtes de l'Hôtel de Ville ét"it pleine comme on l'avaitrarementvu•pou•unete!le occasion.

L'invitatiop du Conseil Municipal avait fllÇU un kho beaucoupplusimportantqu'àl'ordinair• auprèsdel pe•· i;onna!ité1 civilesetmilitairnsetdes pré1idents d'associn· tions. Etpourtant,l e1 aut rnsanné&,ily avalténormément d• monde ...

Pour cet échange de vœux Municipalit<!o A$$0Ciat!ons. Maurice Blanc plaça d'emblé• son propos sur le terrain du chan9ement : "Les annffs se s uivent mais ne se res-1embl•nl pa$. L'andernieren•!!et. j'aidé ploré la Tie dilliclle. monotone que no us occasionnait le r'9!me glscard!e n. J'ai l• pluisiraujourd'hu! de1;0ullgnerlos por$pectlves nouve ll n ouve rt..,. à notre pays por les changements issus d• l'expreuion du sullroge unlver­sel enMai·Juin 1981.H

LeMairede LaSeyne évoquatou\ff CH années durant lesqu•ll•1 :

"L'ouvrier.lepaysanetl'intellec tuel étaientconsid• ré1 comme d••imples producteunderichesses , . les m" ures socialH n'ont jamais été que de •impies aumones, -lesélusloc"uxn'étaientnientendus,nikoutés, . ladémocratie,ladi911i!é,laju.ticeétaientbalouées, - not re pays a été privé de çet apporlconsidérab\e que consti!u•laparticlpationde!aclasseouvri9re au:ralfaires de la France. '"Pour eux. pour la France. 1982 ne dol! pas décevoir ...

LES GRANDES REFORMES

Brièvement,ilrapp• laensuite qu'el!esconcernent · "la déc•ntralisatlon. sus <::e pllb!e de rendre le pou·

voîrph.1s prèsdescltoyens" . . Mlesnatlonalisatlons, indlspensablnpour,...donner le5moyens d'unepolltlque é<:onomîqueetsociale nou­vello". - Ml• rel9vement des bas salaires. le S.M.J.C. en parti· clllier, ainsi qu•l.s alloçations familla\es, le m;ni­mumvle illesso •tl'allocatlonauxhandlcopés."

"Bién sQr. enchainait le Malre, nous ovons<::on&cl• nce que tout.s <:es mH ures sont • ncore lnsuUisanlH au regord dH retard. ac<::umulés et qu'à l'ove nîr , le Gou· vernement devra ac<::omplir un effort plus Important versl111catégorlessocialesquienontl• plusbesoln ...

Tout natur•llement la question de l'emploi lut "bordée eru;uite "il " tsignillçatildevoirqueleGouvernement 1'ttJ1tdonné <:0mm• prlorilé<::• ntrale. la lutte <::ontrele <::hômage (çar) la quttlltion d• l'•mploi nt indi55oc:iable d 'une v9ritable politique d• re!an<::e 9<::onomlque. Notre vlll• qui. malgré nos • florts, subit dureme nt !a montée du <::h8mage attend beauçoup d el résultall de <::ettepolillquedan1laquelle nou1nou11<>mme1lnsé· r91 par l• biais de la <::r&ation d'un Comitê Loc:al pour !'Emploi".

CHANGEMENT DE TON. RAPPORTS NOUVEAUX

A ce moment de son discours, Maurice Blanc précisa ce que recouvre"le changement au plan politique: c'est la modîfkalion dlH rapports • ntr • les iilus locaux et I• pouvoirçentral".

Al'inversede l'ind i!!<!orence el du mépris qu'un mai r1 de gauche ,àplus forteraisoncommuniste, rencontrai t aupa­ravant auprès d'un Minislére, ~aujourd'hui le ton o changê" dit Maurice Blanc. ll énuméra alors les d<!oplac• · mentsqu'llaeUectuéàPa ri s au:1Mi nistà re1 de laSanté et de ln Solidafité Nationale, et, qui ont appo rté IO postes supplémentairesàl'Hôpitaletlagaranliede laprogram­mation e n 82 du Centre Payeur d'Assurance Maladi•.

Tout en relevan t Mla volonté du Gouverneme nt de stop· pe rla régression des eflectll1 dons les Chantiers Navals, poursuivaitMauric<1Bla nc, j'ai fait observer au Ministre d<1 la Mer que je trouvais lnsuffisants lH objectilsde créallondel.500 emplois pourl'ensemb!• de schantl<1rsnavalsendeuxans. Nous50mme1loin des 2.000 postes de ttovail supprimé• aux C.N.l.M. depuisl978( •.• ) 11 H turgentded&gogerd'autres poui· b!Utês de crêotlons d'emplois dons la construction naval11H.

SERVICES MULTIPLES. EQUIPEMENTS REALISES

"Comm•nl pourrais·i• présenter les vœux du Conse il Munkipal, questionnait le Maire , sans porler. comme j9 l'ai fait l•• autres annêes, de l'activité muoicipole de l'onnff9coulff?

Le premie r mngi•trat de la ville rappela alors que en laveur du3oàge,laMunicipalité omis enplacelesrepu et petites réparationàdomicil• , adévelopp4iles anima­tionsel 50rl iH qui 50nttoujour1fort a ppréc iées.

Ln mèrH de lamill• • t mères travailleuses ont pu bénéH­cie r des premiern c•ntrH de loi1ir1 matemels.

Pour les jeunes et adolescents, de nomh•eux camps de vacances ont été orc;ianlsél , des bourHS de voyage d'étudeoch oyées

Près de l.000 jeunes ch6meu" ont reç u e n 81 encore l~ prlmederévoilloo."

LA CULTURE ET L'INFORMATION

Dan• le domai ne culturel, Maurice Blanc, devait souli­qner '"la volontê de donn•r ô la crêation locale et régionale un essor nouveau. Avec MSeyne V.O. 81" nousavonsj<1télesbasesd'un• politiquecu\turelle dif· fér<1nl<1 qulfavorl1<1 la partlclpalion elleclivede la

pop1,1lcztlon e t de11 czuoçlczllons. No1,1s czvons prlri l4gl" l•trovczll c1,1lt11tel111tnot:r•Ldentlté,notr•m."molr•."

P011rl•Maire, T inform.czllonm.unlcipalea11ta certalne­m•nt "t" \ID point !or\ d• l'annff SL avec en pr•mler li•u lepa6$Clgeen-tont querevuemensu•ll•d•~Vivre àLo S•yne""q1,1ioattelntledoubleobjectifquilui9tczit oulgné : - .. alncr• les effets né !cz&tH d e la société moderne q1,1i isole luindivid1,1s, - e t promo1,1voir une information locale, vivant•. czi'"eczble.

C ' .. tdan1lemème esp11tdera!fermirlesliensentrele1 hommes el les femmH d• notre. cité que des journaux l1.1mineuxontéléinstallften3pointsdelaville.

L ES TRAVAUX POUR L'ENVIRONNEMENT

LE SPORT. L'ECOLE ... ... Etto11td'abordenfave11rdel'enlanceave<:dHe1pace1 verts si aires de je1,1 dan1 les quartiers: square Bobby Sa.a.d.,MonldesOiseauz,etc.

P011 rembellirlacité,desja1dln1ontétéconçu1, dHcer­'e!ounaména9ésetletravaildepréservationetderéqé­c•rationdelaForê!de)anu1'e1tpoursuivi11r&ceàde1 c•ntainesdevolontair•1, parmilesque!sdejeunHko­lan.

Pour le sport . lesloisin, l'ensei9nement ily a eu," le1 j9ux de boules du Porc Salnt-Jeon. le C,0.S.E.C. au'! Sablsn es. la po11tsulte des 1rovaux du complexe apor-111 du Quartier Léry. lez mise en service de l"&cole mczternelle du Genninczl; quant à. celle de lez Mczure lle elle sera tenninêe dons quelques mois.H

"Pour Io voirie, aménagement de trottoirs, extension de l'"clairczge public. l milliard de centimelo 9té r"ser vé , insistez Ma1,1rlc• Bleine. Dczns le mê me temp1, 800mlllionsdecenllmesonté!éconsczcrés àl'oHcz ini1· nmen! pluviczletdeseczuxiué es , etàlczdl1trlbuUon d"S<t11potoble.enportlcu!ler pour locon1!rucllondu réservoir d"enu de 2.000 m' du Fort Napoléon lequel o6quilibr .. cz la desserte en S<lU potoble pour les nnn&e1 prélentes•tà. venlrdan1l•1q11czrttendeTczmarl1et desSnbl•ttes.H

G "1."onné• 1981 . concluaitdonc(1urcechap!tre)Maurice BLanc,ave<:juste raison,o êtél"nnn&ed"oboutissement de lez réczllsotlon dn engczge menta panés ovec vous en 1971H. Au paua9• il félicita l'ensemble dn •mployés de l'administration communale et indiqua que "1 982 para· chèver<r ce bilan en l'ampli!icznt.H Il " voqua aussi la placeob!enueparlavilledansledomainedel'accessibi­litépourleshandicapff(voirnotre"Enquète")

"Acepropos.devait-ildi..!', i'cziplczi1irbrendrepczrticu­liè r•ment hommage czux différents i'"oupe1. aux hom­mes et oux lemmes qui composent notre Conseil Muni­cipal, ( ... 111 y o li ln titedecetteMunlclpczlité, 35 hom­mes et lemmes déllreux de trovoiller au service d"une population pour une ville qu'ils o!ment e t pour lczquelle lhl n'auront decessede1'actlverà la rendre !01,1jounpliubelleetczllrczyante .

Nous n• perdons jomczis d• vu9, !"intérêt du bien public.

L'intéritd"unevLl\equîvil.

Qui 'll'il parce que notre Municipalité tente de foire ce qu'ilfautpourro6pondreaux bei;olns.

Quivitpnrcequs nosassodcztiona locolessontimngi­nnlives ethardln.

Qui vit parce que nous avons une populotion jeune désireuse d·amrmer l'ldenli!é de notre ville et SO\I·

cieuse de prouver qu'à La Seyne on peul faire les cho­ses cz uai bien et, pourquoi ne pa$ le dir•. des fois m.ieuxqu"ollleurs.H

Etavanld•souhait .. unebonneannffa uxcentainesde personneiprésentes,MauriceBlancpré .. ntaaunomdu Conseil Municlpa!etdelapopulatlo11 le1vœuxlesplus chaleureux de rétablissement à Philippe Giovannini. mairnhonoralre.

~lleNEAUD: "Pour le renom:] et la vitalité ae notre chère cité. nous vous assurons d'un soutien unanime"

Lou longs applaudissements qui ponctuè ren t le d isco urs de Maur ice Blanc, saluèrent pu la mé me.occa· lion,l'a rrivée a u mic ro deM\leFe r· nande Neaud , Présfdenle d e la Socié té des Amis de La Seyne Anc ienne et Mode rne qui , c 'est une 1raditionenriendé1uète ,répond au x vOlux présent 4s parle premiermaqis· lralde laville.

C'est au nom detoute1lesassocia­Uo ns localeo q ue Mlle Neaud 1'adre"9aux élu1·

.. Monsieutle Malre .Messieur&et Mesdames le~ ConH illers Munici­paux, l'assistanc:• toujours si no m­bre use qui H pr.ss. chaque année dons no tre coque u e salle des !ê tes H lle gag•c:erta în du r.spec:t, d• la conlianc:e qu• nous .. o us !é moi· gnons" .

Pour Mlle Neaud ce tte "tâche " c'•s ttoutce q uilaitd• LaS..yne une villedillé rentedesautres. Et d 'allir ·

-, 1 suffit que nous nous a bsen · lions quelque temps de notre doml · elle pour que nou1 découvrionl au retourdes trgvguxencoul'1;, de 1ub· tlles tran&lormotlons".

leslrand ormetionscesonl,et Mlle N .... ud s'yattardaun peuplus lonque­men! , les embellluemenls qui don· nentunai r pimpan t à touslesqu1r­tiersde lacité.Elle citaalors·

"Les espaces verts surgis au ce ntre-ville {rond-point Ke nnedy. rueChevalle rdelaBarre)ou dans hts quartien ucentré•'" ( . .. ) "Tcuné­nogement d u con efour G éné ro l Co:rmille et ceux du Clos de la Grotte. du Pi le-Mi le . de ]"Avenue Estienne-d'Orves" .

Trèsattentlve aux questionsde le sécu rité , e lle a rem1rqué que ''par une circulat ion plus fluide . des passages matér ialisés. l'é la rgisse· me nt des trollolrs, les pié tons w H ntiront sé<:url1 ... H

MaisAl'enve r1 de lamédail!e ,Mlle Neaud a noté le "côté né9atl!. naVTant spectacle '" q u 'olf"'nt ceux quise soucient peu de1 eflorts rélll· Ms e t des 110 mmes investies. Allssi déplore·t·e lle : • M( • . ,)lessqulllures d es chiens 1ur le1 trottoirsetde van t lesportes, IH dé pôtsd'ordures sauvages.c&S aaC'I plastique que l'o n dépose n'importe où, n'importe comment, n'importe quand (même le dimanche ) e t {qui)

$0DI souve nt oiventré'i pgr I" oni· moux" .

Q u'a d onc fait la mun!e i1>41ité'> "Des alllches &loquentea. dit -elle. n'ontpa1senslbîlîsétous nosconci­toyens". Elle pou rsuivit •ur le nou­v .... u s~t•me decollecte hermétique des ordures ménaqères quela Muni ci!"'litéa mis en pl..ce : "( . . . ) Ainsi. sons qu'on leur Clppl!que de sonc· tlons.les n•gUgen~etinconsclents observeront une discipline qui aboutira à plus d'hygiène et dont ils seront , IOmme toute. W néfü:lal·

Si e lle je1a un re<;i ard optîmilie5Ut le présen1 e l l'a venir, Mlle Neaud n'enoubl ia pu pour autan1 notre passé ; c <1tt<1 h i•!oireloc:a l• , c <1lte mémoire loc:ale qu'une sé rie de mani· lesta.lions comme "Seyne V.O." a si b ienmi•enavanl

Mlle Neaud dia alors lu noms des rues, p la<::ft, quart ie rs q ui ~neurent

bon l<1 l• rrolrH. Elle se li1 méme l'échodenombreux seynois qu!dési re raient re1rouve r "des doc:uments. t émoigna ges de la vie s.ynoiH " dan• un loealqui serait"un lle u d • renconlre1. unfoyermusé•biblio· thèqu• enqu<1lque sor\e~ .

" Aussi. conclua · t ·e!le , p o u r l'œuvre a c:complie,les ,..ali1atio ns futures,pour!e renometlavitalité denotre chè r<1 dté,nous vou1 a 1s u. ronsd'un soutl enunanime".

"AU FIL DE L'HISTOIRE SEYNOISE"

(par N. GUI GOU) . LE COMBLAGE",

r .. r><>•la••l d"Pa>.._. deLA:'\l'.Y"~

~=:~i~~~ l,..;:~o~::~~:~::~ la1·lllccllc>l>au1cu<odellrtga lUon nét a il cncmc compo><'c . il ny a 9"~ 'e plu• du ne centaine d·a ., M••· qucdc lc"C>v;•u u o>. m~r<'cayc u•<0

t aic~,c~::~~;~,,1."u~ ·~~~~::: '.!~~:. ~~·~;:,~.~~ su~r;.:, ao~~~.·~~I · Cctt•plantcapeunlsanosancétfO de•-i•n:oll>>cn..," aicntpo•"'a confccti<>nd0Djel>de1•annc•k<0<·

~~~lcsd~a~~".:~ic".~gesf>ec; · ~:: ~~:.~·~ ~ ve nan t de l"Oues t. quartie r St Jon llert l>elo t ravusal<: ntpou• a ll.,..,

1:.:':;. ,~,::~n~a !a~,0~...,1a.., 5<:{:,'i :_

~:'::~~~~ ~~~;1':.".!.s "i:.n~c ~~ la mcrvcnant dflcurcr i.o pnéo qu lsc trouvai.nt aiors• l"cmpl • ccm• nl o ù fu,. nt, par la suite , tdifitc• IU mal ·

~~~~~~~~:vu;111e mi mt cl>tt que la

nais~ .~~,~~1 ~~~.:.\~~:.i~n,\;~:!::::, d'u!\e mise au> encl><re> publlquo

::;';~c:nt~~a~~!. ~~:..~"'~ ~':,';;.

~~~~~!~ 11\~o~';!·,.':.!',',',;n~"~":!,~~ sa lo " g "cur. ~Oll le mot <om bl•g<' q "c nosa ri clcu>c tnplole ntc ri co•cdc uo>jours.ct !i)·ouvri r t1 ti bo Ll lc v" ' d

g'.~,~,~~fü~~;:i:iifü.!~~;1~·1~~~ [~~~::,~:.~dus ~ <i.• p.orH<ulicr• des

Quelques anntu aupa•••·anl l(tatttaitd<•·cowproptltlai<edun.c

~ :~i:~ ~~~~",, ~~ ~c;~~~~~~i;_ :,~-.~.":;

~~:~~i~i!fa~:~~:~:~~!~:~:~~~::~~'. ::.'~·~~;.~u~ ~'.i'.~1=• d~~1;a c":11:~ lmportanlc \<anolo•mation fut riall · sttsouslamunlclp.ollltS.fl\llllf.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~G !environnement

Dans une de ses dernières réu­nions,le BureauMunicipa l réuni~u1 la prffidence du Maire, Ma11rice Blanc a pris une dkjsion (double d e.:>i.sion,devrion1-nou1 dire)qviler" cerl&inemenl trèspl.>lsi•• tou1ceu1 qui app•41cient déjà l'action munici· ~~:1dans le domaine de l'envi ronn.-

Cettedoubledkl1lonconce•nela cré11tion. potn l'un, e t l'aména9e­~e.~:· pou· l'autre , de deu~ espaces

Ces deu:r nouveau:r poumons de verduresetentlortpeu éloionês l'undel'autre,puisquelaocrffHon concerne l'an9le des avenues Charles de Gaulle e t Noèl Verlaque, ei J'am4onar,iement H situe i l'angle dH avenues De G aulle et Henri Matisse. Donc:, lelon(l de l'aue­nue qui conduit de Mar-Vivo aux Sablet\ ...

Ces espaces verts venonl le jou r dan1le cadredubud9etl982.La Municipalité ch1m;h9 A trouve r le meillu r !inancemen1 possible. C'est pourquv! des procédu,es de demeo­desde1ubvention1 ont étéenqa9"" auprès du Conseil Général et du CooseilR'6qional.

Souhaitons qu'elles a boutisftnt pou r que lesgen1du quartierpui• · senttré1bient<!>t.1erepose<1urles banctqul .1eront inst.allés;!o l'ombre desoliviu1,pL11t11nH,palmier1,ou 11u\reseuoa\yptu1eto11roubie r1.

DEUX FUTURS ESPACES VERTS

ASSOCIATIONS

E CIL DES SABLETTES COMMUNIQUE A

"VIVRE A LA SEYNE"

Pourvou1 rend recompte de nosaclivités eu cou,.del'annffl98let vou1d•111an de r deoou• renov.velervotreconfiance. nouo vou1 invilono à asoiote1 à l'A1st1m· blée Géné ralequ! H 1iend1ale DIMAN CHE 7 FEVR!ER 1982 t 10 he uret . au PROVENCE PLAG E. au~ S.hlett•.

ORDRE OU JOUR: l ReppoJ1moraldu P1Mident

i : ii:iF~~. ,~~~u ~:~~~~:· ~~~~::;·~~ ConNild'adminiltration 4 . Oi.cussion llb1e detobnrv1tlo111 et ru99Hlio0i p.-t ... p&r let11~1ent.

Voic i deu11n1 quelaoouve lleéquipedu prffenll C.l.L. deo SahleHe1e1envi1on•!rav&illeà Nou1comptoru1 . dan1 tou1ela m•1 ure de l'am, lior1tionde vot1eenvi ronneme nt et V<»Jl:ONlbllités,•ur vQtresouU.nitlvotre delaqual!tédelavieda111nosqu11He". prffenoe

......

1.11cot1 .. tionl9S2est !ixffà2<I F.Vou• pourre•vo.,.matlrei.jouril'•11h}fld<0la NUe deréunion,et, auc111eùvou>ne peurrie• a .. loter .. l'A•emblée, nou• vous demando11• de nous faire parvenir un ch~que deoette oomm• à l'ordre d u C.l.L. dao S..blellH et Environs, à l'ad.-suivanle· C. l.L. DES SABLETIESET ENVIRONS H6te1Provanc •· Pla~e i..1 S..blelles 83SOO LASEYNE

Enoutre,noutVOU5.., rM>no 1econna..­NDli de vouloi r bi<ln nou1 apporte• ou nou•eovoyart•oi•enveloppet tlmb•ée•i votre adres .. ,de façonà all~erle travall d u S.Cr•tarlat,ce do11\nou1 vou• reme,. cion1i.l'ava11ce.

Maurice PAUL, obtient 65 millions de centimes

pour la Prévention Spécialisée Aucoursdeladernièresessiondu

Conseil Général qui s'est achevée voici quelques jours, Maurice Paul, adjoint au Maire, conseillerqénéral de\aSeyne·Nord,a faitavancertro is dossi&rs très importants pour notre ville

Dans ces mêmes colonnes nous avonsdéjaévoquéleptojetdecons!i­tuliond'uneEquipedePrévention Sépcialisée.

Sansenlrerdans!edétail,préci· sonscependantquelaPrévention Spécialiséeintervientsurunpublic dejeunesquedesstructurestelles quefamille,école,a"'3ociations,équi· pements communau x ne concernent pas,soitparcequ'ilssontdescas sociaux, soitp;ucequ'ilssetrouvent dansunetelle situationalleclive,éco­nomiquequ'ilssetiennentenmarge de la vie collective.

Au nom de la première commission de l'Assemblée Départementale dont illa it partie,Maurice Paula !aitattri·

buer65mil!ionsdecenhmespourla mise·enplacedecette équipedans le quartierBer!heetauCentre·Ville

LeconseillergénérnldelaSeyne· Nord estégalementintervenuausujet du Chemin Départemental 216, Che· min dn Col d'Artaud de la Seyne à Six·Fours, car il s'agit là d'une voie quirépond.,.. rfaitementauxcaraxté Tistiques des progrnmmes indiqua nt "'lapriseenconsidérationdeche· mins sinueux. étroits et dange· reux"'.SnTsoninsistance,!ePrési·

.dent du Conseil Général a promis quec.,cheminlera itl'objeldesprises enconsidérationl.,splussérieuses.

La troisième intervention de Mau· rice Paula porté su r l'aménagement duport defaBaieduLataret(celui de laPetiteMer).Ilalai tvaloir quela Seyneavaillaitdes projets imporiants pour !"aménagement de la Baie d u Lazaret, et qu'elle déplorait les retards accumulés pour l'aménage·

EXPOSITION

ment du port et du terre.plein. !la enfininsistésurl'urgencedel'aide quidoitètreapportéeàLaSeyne. Uneaided'ai!leursdemandéepar la Chambre de Commerce concession· nairedupland'eaudelaradede Toulon.

fr :rt,. VI ./V1

Ces jours prochains(5,6et7 février) sentàquimieuxmieuxàquilerales Je ne veu x pas en dire davantage, comme ils le font traditionnellement, plus pittoresques, les plus attirants, mais je vous assu re qu'une visite en etcepour la2lefoisconsécutive, le les plus beaux. Des séries entières curieu" vous convaincra, ou vous a Comi1é permanent des Fêtes e t confonden t par leur gràce et leur con,•aincu. Et pourquoi, à votre tour, "L'Entente Philatélique CNIM et channe. vous ne seriez pas atteint par le virus loca le" présentent une Exposition et n'adopteriez pas un thème de

1

~. h.~~~.t~=!~~!.~~u.·.~~:~Ji:.~~~:~i;~~:;. ~~~~l~1~~;::~1s:~~:~: ~~:::u~;î ii;!:?.~~~ ~;z;:_:d~::~:;::~~~1

1:~ desètresunpeu ladelus,genrevieux su r le vil dans leur cadre naturel ; pots de tabacs? C'est un passe.temps mesS!eurspouss1é reux,armésdepin· puis vous pouvez admirer des chii· (surtout les jours de pluie ou demis· ces,deloupes,etpassantdesheures teauxde rève,despaysagesrnagnili· tral) ausoiintéressantque fai re un" entières à compter les dents d'une ques, des rétrospectives de moyens partie de pétanque ou a!lertaquiner vignetle ... àcouperlescheveuxen detransport bàteaux,locomotives, le gobi.En toutcas , l'Ententeph ilalè· quatre, si vous préférez! automobiles,avions ... plusloin,voici lique,sonPrésid •:mtThéoPEPINO en

de• portraits d'hommes illustres: tête, est prête à vous conseiller, à Cet1e1magen'estplusd'époque. ces savants, artistes, hé ros de l'histoire, vousquider, à vous aider, les jeunes oriqinauxn'existentplus. Jesuisper· gouvemants,sportifs ... Maislesom. surtou t. Essayez! suadé,auconlraire,qu '1!faut mai nte· metestatteintaveclesreproductions nantentrerdansun.,salled'exposi· de tableaux des grands peintres, Et vous contribuerez ainsi, d'une ~ion comme . 1e ne c ra ins pas le mot . tableaux miniatures, en vérité, mais façon concrète, à la vie culturelle de on entre dans un musée . Car les Hm fignolés dans les moindres détails, la Cité

S :~~re:o~·~,t::~:~: le~e~:;:•riv~~ ~:;;~::::~ ~~n:! ;!;~voir un véritable ~Jj~i':JaEuN5~eU .JVl-l'-lù '-"'-/V ...r

FEVRIER voit 111 repf!se &lie G11maume Apollinaire du "Rapport Wal·. lace Muller" créé par Je CENTRE DRAMATIQUE OCCITAN d11ns cette mème S411e en MAI 1980. li n 'est f>-'S inutile de rappelerquco ce spM;liJcle " 9té J l'origine un" crhtion de /,, Compagnie C11t.,J<1ne "ELS JOGLARS" (" 1) que nous avons acc1Je;J/ie avec un 1mm 111nse su~ le mois dernier.

Ce simpls e1<&mp/e montr<1 qu'il e:t.ist9 bel 9f bien une continuité ddns l'action culturelle uynoisfl et que des liens se cnktnl or H développent enlrelescompai;;niesthéMrales,/eslieuxculture/s,d"svJ/lesétr11ngères (Barcelom~ <1vec ELS JOGLARS et VENISE avec "SEYNE VO 81') el notre cité.

Toul cela n'est pasforrui/, c'e•llelruitdelapo/i/iqueculturelledele Mimicipalité .

En effet, travailler sur /'identité culturellB de /11 Ville n'implique pas le repli sur soi, mais au con/rl!lir" des khan<jes el des contac/J multilorm9s enlre/escrél!lteurs etlesl!lssoc1ationsdenotreVil/e, etceu.,ded1lléren· lesrégionsetd'l!lu!respeys. Les contacts, riches, variés qu1sesonramsi crt>és offrent pour notre Ville, en matière culturelle, de o randn pers· peclives

S'.,nrichir en retrouvant nos sources, noire patrimoine, notre mémoire, aid9r/l!lvieassocial•v• soustoutessesformes,lavoriser/acrél!l/1ondans notrevil/e,mellre encontactdesartistesdetoushoriionsav~/l!lréalité seynoiseetenrotourpermellreA/apopull!llion de notre ville des'9nri cbiraucontactdolacullurevivantequiselai/l!li!J.,urs,telssontleslils conduc/6Ursquinousguid.,nt

Mais,nuldou/6quonousauronsi'occasionderepMlordetoutcolaavec "SEYNE VO". Millésime 82 ...

c

SAMEDI27

"LES AMIS DE LA SEYNE ANCIENNE ET MODERNE

Monaieur A. BRAUX, au oours d'une çau.,.,rieamicale,lundllljan· V1u, aracontesesvoyages enlandem de leChampaqneàlaProvence;une suite d'anecdotestruculent&a,quiont ialonnécespéripl•s,arenducette évoca tion vivante et amuu.nte Ceiwondantunetouch11denostal9ie a color, ce ltenarration:celutl'aveu d'\tn <i'Qret profond de na plus ret rouver quarante an1 plus tard qu'une Provence défigurée par les promoteurs et le cri d'une &me de poète: oil sont pasHs ln paysages bucoliques. les routet. tranquilles? Où. est notre Provence ?

Pourlatraditionnelletoiréepo6ti­que dulundi .15 janvier,lalormuleh1t unpeudifférentedesautresannées· Mad•meMRDuportaévoqué\apoé­te- Marçelir.e De$bordes-Valmore (1786-l859):"&.viequilutunlon9 o;: hemlnemenl pn1ionn• e t tour­menté '', IOn enlance lra9ique , 0011 • mourl•ta\,aamatemU•douloureuse et"ses 1uccè1de 9r•nde ~te:1Q du cc.ur",n.luéepu!e1phu9randsde la po4o1ie: "uncœurqénéreuxlou­)our1prét àS& donnere1 àvlbreraux é tresetauxchoi&s" "len'alauqu'aim&reloou!frir "Mapauvrelyrec'estmon6me".

Lel..,ndil5févrierno..,a r&eevro11s Monsieu• VIEILLEFOSSE : il .... rrera " Bonaparte au siè<}e d e To..,lon" e11 1793.

21 février 15 h et 21 h REALITES

DU MONDE REGARDS SUR

LA CHINE FILM· GRAND REPORTAGE

CONFERENCE

Forent CARTIER Une approche de.la Chine réelle et vivante,unqrandpéripleenconti· nent chinois : PEKIN, CANTON, SHANGAI, NANKIN, WU HAN. La vîeenvilleet.!alacampaqne. Monu­ments , sites, artisanal, u1infl, com­mun"" populaires au sud <;1u·Yan9-T ... l.a jeune'llle chinolse. Grande parade à Pékin. La cité interdite. Opéraetqrande fète. Le poids des sièclesetdelatradition.Evolulion d'aujourd'hui.

QUINTET "AFRO-BLUE"

Mardi 23 Févrie r à 21 heures

- an:< saxophones : Chri$tian BON­NAUD

lt.latrompette elauhu9le: Claude VA ISSEAU

au piano : Michel VECCHIONE . A la contrebuse Frédéric POR· TAL . à la batterie : Jean-Paul BERNARD

L'oriqinalité du quinte! "AFRO BLUE" 1•1id e da11.11 le faitqu'il t 'a9il

demusiciena d a chez nous, pou< la p lupart a ma teurs, qui s 'attaquent cependant à une musique souve nt diflicileetpaujouée jusqu'icidans notre région.

Les thèmes proP<)Hs lllnt de Wayne SHORTER, Herbie HANCOCK, Horl!lce SILVER, Joh11 COLTRANE, Miles DAVIS et Chrlie MINGUS

Musique moderne , dcnc, que ces musiciens nou• proposen t de parta 9erlonde lasoiréedu23février et qui sera, souhaitons- le, appré<:iée psrunnombren:<pubUc.

RAPPORT WALLACE MULLER PAR LE CENTRE DRAMATIQUE OCCITAN

La piàee , c1U. por ELS JOGLARS, se fonda aur una doubla e<>n•t~t~Hon. Le mondem,diterranffoestmenac,.Et .,. neaon1pu lao1llua1iono secondaifH qu! di!!,renci.ntun...,teurdel'1ul••,l1 Catalonede l"Occttaole.la Toscane de la SM:ile .qui peuvenl...,.oquarc@11e rNht,.

Quelqueooitleniveaudem~intienoude reconqu"e de r>01 ide n1itéo et denoo cul­tu1es1espectl ,,..,nQtre avenirquloou1 sefa impoaé pard'au1rea.laMtditerran•• · y·a·l·il encore le moindre doule · e11 l'obj&eti!prlvll6gi• de!'EuropeduNotd pou•en!aire oonréservoirdeplaiol rse1 da déloulemen11. O. manlére e nco1e

:~~.:~~~~i::.::=~e. Mais demain pla-

Comma le se1ont 1 .. compor1ama nt1 des hom ..... lutu11. qu'ilaooientd'iciaud'a!l­leu•1. Elc'utladeu1ii mee<>i>st1ta1londu spectacle. A qommer les diUéTenCH, à fabriquerdes homma..,mblab!M pou1i. oeulbu1dal'e f!lcacit6,n'allon1·nou1pao ve11 une 11111i." malade à lore<t d'ttre otg~ni.e.. cohé rente , ptop•aet "'noprO· blème11ppe•ent1 ?No1petits en!a nt1 na se•ont-ilapa1 un)ou1cont•aintsde•éap· prendre. en m1n~ ra de traite me nt, psycho1héraplque , lao 9esteslff p].,. él• · men\a11fl, @1 1pp1 remmeot,leoplualnu ­tiles, quioontles n6!1es?

RAPPORT WALLACE MULLER PDH la quMtion. Et pe11eule menlau%Occitan1, auCatalanaeti.touolMaulresmlkllter­ranffno. Le CENTRE DRAMATIQUE OCCITAN a choi1i d'adapter la pite• d'Albefl BOA DELLA non seule ment p.our rappelerlea llen1quiunissentlaCatalo· gne etl'O«:ituie depuio deo sikleo ou pou1pounulvre uoe collaborationqu'lla ent1e prise enl978 a V9Cl1nstitu1delTff.· tredeB&rcelone. Ma;s parcequaladou­ble lectu1e i. laqueUa elle nou1 inv ile enrichit i. thél tre occitan d'une dimen­sion nouvelle por la prise en e<>mpta d'uoe inle rr09atioo foodamentai.1ur i. devoitda l"individu.oùque leoituele haii~rd de aon appa11 .. nanc e nal\onall­taire. Andr~ NEYTON

~~~~l MULLER

îexta: Albe•t BOADELLA Adaptalion:And,,INEYTON Diopoomlocénique :FabiaPUIGSERVER Mu. en scène : André NEYTON Réqie:MichelNEYTON

DISTRIBUTION Docteur LACROTZ-RIVER : Cuoline MEGGLE Docteur VABRE-GRAU: Jooyone H.R·

'" NlNE : Ro.,. ·MuiafREZZA 1.E:StéphaneBALISTRERI TITIN:Guidof!ORI CISSOU: GutanoMOSCA

JEUDI 4

FEVRIER à I4 h

ANIMATION SCOLAIRE THEATRE MUSICAL

POUR ENFANTS "ROBIN' SONG" DE ET PAR

ALEX GRILLO ET LILIANE FENDLER

RobinsonetV1ndrediàladécouv•nte d 1 !'ILE DESERTE : L 'UNJVERS DES SONS

"Une vaoue déferla, courut sur la gréve humide e t lkha les pied.. de Robinson qui qisait lace contre wble ... " (MichelTournier:"Vendredioules limbesduPa.;:1!ique")

Cequ!estreprlkentéc'est!'ileetl'ile c'estlesdone. Surlase•ne,ilyeunmondeàdécou vrir,commesurl'ile Le monde des inslruments de musi· queéchouél6,commelesépavesdu bât.au de Robinson

Meia l'ile , i::'ut-à-dire la scè ne, va chen9erdefi9ureeucoursd'une q riedemétemorph01S<1etc'estlesur· qiuement d'un autre penonnaqe Vendredi, objet insolite ou étranq" complice d•tenteurd'unsecret nou­veeuqulvemen.oc.rl'ordr .. musical.

Tentbt ouide, !ant61 esclave vers ce quiestmy1t6re,fantaisje ,c'esllaren· contre d'une comédienne e t d'un muslcienetcequis'ensuit ..

CONNAISSANCE OU MONDE

àl5het2lh MERDREDI 3 FEVRIER

"PEROU, RACONTE-MOI" ...

SAMEDIS FEVRIER

a 21 heures

"DROLES ET

DIABLES"

"ou COMMENT LE DIABLE CONSTRUISIT PARIS"

SPECTACLE THEATRAL POUR UN ACTEUR PAR :

PATRICK ELLOUZ

(créationori9inale)

CrHenAVRIL !9Blà!'11l11ociaHonpour l•Crff tivit9,l11Reche1cheetl"Anim&tion dan1 la VaJ14eduBuich(A.C.R.E.A.) ontcollabor• : Acl eur : Palr lceELLOUZ Auteu r ,SylvieOURBEC Mu tlcleo t t C<>mpo•iteur: Mue ALES· S<O Chaot1d t : lt cqueo DESIGAUO Decorateur :Piene BESSON Co.thimi6re : P"uca le MOR!MEAU Aalotantelechn>queelarlislique :Chtil· t!a.BONNAYS

Out mon conle ooit beau et se d" roule commeunlonq fil. Un jour, un ca nton· nie r ... Etl'h lltoireC<>mmei>ee.Ellenou• faC<>nte !""ranq• avenhu• d'un homme ..:uitit un pac!t avecundiable. Carcel

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MYTHES ET LEGENDES

u .. e1ran1po1itionmodeme

Leol4';1endeodontl'his!ci re1""1l.,qe· mentin1pirée (Triltanel Iseult, Fil.us! ... ) ton1inO!re1en1 trùprésenleo dan• l1 "m6moue populaira". Nous leo avon1 tr1n1posff1 dan1 une forme C<>ntempo· r.lne plu• immM!iate, phis directemaot porteuHde na.préo<:cupationoquoh· diennes.

Εi1tanet l .. ults'parhparl• pouvoh po.l!Hque, d• m• me que la mort a rompu ielllenoqui uni..,,ien1 Orphée el Euri· dice , leo amanl1oonticidkhir .. Pf.rl.o ville. PARIS SYMBOLE DE NOTRE VIE QUO· TlOlENNE:

SinoU1 a voftlcboisiPARIS, 6lémentdr1· matiquede ce con1e .c'estqueC<1ttevilJ. ert devenueunrymboledenolrevie con· \fmpor&ine .Letb6mes"inscrivantau1our d'une r611uion aulou r du pouvoir qu't xtrce la ville sur l'homme, Il 6t&it n..,. ... lre que laci"en qu,..tiontut dirt C1tmen1 poileuHpourchaquespec lal eu r.de r6!•ranca(lieu , ... pac•.uchi· l&clu1t.modedevie ... )quiévi\aien111osi tout• dM<:riplion etlais.., ientplacet J'imaqinaire

Lt.villeest doncunréelpartenaire thtA· 1Jalpultqn'e llee11capable d'11Qirsur notre quoudien, perd1e, "ouffer, ma il auulcapabledelil>6r••d,..lorces telles qu'ellelinîlparloilpar se laüeaime r.

UN CONTE FANTASTIQUE:

ll1>0\ll a p&run8c .... iredetr1i!er ~ th6maoou1 l1 !orme d'unconlelanlasll· queo~ m•rv.ill•u~ et r<>alit• sont 6troite · menl m"e1. En effet tout en nous inlrO· duioanl danole monde du •uréelavwlt diablt , ce C<>nta nous p romène dan • le monde r•el deo '"lalls" . Lediablesymbo· liH ici la pan ion d .. Hommes mai• il ost 1urtoullnc1rnationde l'1ction"'ilperocn· nlf~lNlorcto quinou1 pou...,nt àa9lr pour lranslormer le monde qui nou1 enloure" . Ce d<ldoublement.,olre la dia· bleellecantonn!erjustiliale choi1de a. ma1tre.,ooc6nequ'unaulact8urquidoit trouverdan1tonjeuth<l.l.tial la 1ff lilé concr6tedeceodew:per!Onnaq-.

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Celle nuitée rait suite au/< ··5 heures de musique~LLV~~c;lnéma· togrnphiqucs" qulap.:rmisàprts de 300 personnes. amoureux de la " KOCK. 1'01' MUSIC d e se retrouver il la Salle Apolllnll i re. Cétalt lcl9déœmbrc81

1'our no trcprochainr1:11dci· vous. nous espéronssatisfaireun <iussi grand nombre d·cntre vous en proposant cette forme cinéma·

le 2 7 fév rie r à 21 heures

Vous connaissez peut·drecc groupe au nom bien français et quelque peu corsé pour ravoir déjà vu l"an Pernier à Apoll inaire. A l'époque Ils étaien t trois et Ils avaientdéjà é ton nelesquclques 150 personnes ven ues assister à leurpremlère·.

A l"orlglnc du groupe. il y a déjà 5ans. Christian et Gérard se sontconnussurlcspelousesdela Fac deTOULON·L.A GARDE et au f il del<:urs rencontresallaitse dessl· nerunstyleori{lhrnldechansons.

Bien tOtlav.::nuedePhHippe. violoncelliste et ~ontrebasslstc

permis d "t labore r lm spectac le quidevaitrnplde1llc11tcon11 ai tre dcssuccés c 11courageanlsdans notre département

U11anaprès le trio s"enrichis· sait dcJean·L.ouisaux percus· sio11s et de Serge au Saxo . cc qu i

vint colorerdavant ageleurtour de chant par des arrangeme nts musicaux affirm ant la personna· Ht t d u grou pe.

5i l"on tient nullement à accrocher un st y lc·é tlqucttc à Toutalégou··. le pas:"agc du naïf

au surréaliste. les quelq\•CS ima gesconcrètesct e nt11o t1slastes"e peuvent laisse r Indifférents le public.

llfautlesvoirccsdnqtàdon· mer vie à leurs chansons en mariant le bu rlesque. la poésie et le ry thme. véri t ab les dimensions delcurspectaclcintitulé:

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qu"il ne faudra surtout pas man qucrlc27.

cheu rvlsuclle qu ·est le dessin· tographlque empreinte de frai · lliiiiiiiiiiiiiilii

Qui sont·ils ces 900 jeunes seynois qui ont défilé, hésitants venant a u Service Municipa l d e la Jeunesse s'i nscrire pour l'attribution d'une prime exceptionnelle de lSOF que notre Municipalité leur octroya it à l'occasiondeslêtesdefind'année.

Leur!içedel6à25ans,unemajorité d e dix-huit ans, tous demandeurs d'emploipourlapremièreloi$ ... àla. sortie du lycée sans perspedive aucune de débouchés professionnels

Tristedevenirpou<oesfillesetces ga<çons dont seuls, !es plus motivés o nt fait la démarche de venir lairn pa rt de leurs problèmes, de leurs a ngoisses ... de leu<sèchecs.

Constat d'échec pour un enseigne· mentinadaptéàlavieaclivepuisque plusde80% d'enlreeu><sontissusde lycée d'enseignement prnlessionnel {LEP)oudelycéeteohniquealorsque précisément les rélormessuocessives del'enseiçnementpublioauraienldû tendreàunobjectilconlraire.

Forceestdeconstaterquesu<800 jeunes ayant suivi un enseignement detypeprofessionnel.seuls300ont

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llsobtiendro11ttouslesren· seigtlements sur les différentes fonnations fondamentales (Cen tresde Lois irs. Centres de Vacan· ces. Centres Aérés. Centres Loi · sirs de Jellnes. ratrnnages foyers de Jeunes. structures Socio·Educatives), sur les forma tions complémentaires (survcil lancedeBaignade.Secouri5mc)et 5ur le placement en Centres de VacancesetdeLoi5irs.

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llconvientdesoulignerqu'unecen­ta ine pour les mieux nantis ont obtenu le BAC et pou<suivent des études supérieures

Alalectu<edecesdonnéespaflielles etlocalon,onn'avaitque l'impression d'unimmensegkhis ;gâchis d'une jeunesse qui a été mal orientée, gachisdesonénergiedelalorce qu'ellereprésentepou<nolrnpays

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Préoccupépa rlasituationdecesjeu­nes Seynois demandeurs d"emploi, notreMuniçipa!itéprnna itl'i nit iative de convier Mme Colette PRIVAT, char9éedemissionauprèsduMinis lm de la Formation Prnfessionnelle Au cours de cette ta ble ronde, Mme Privat rappelait les objectifs gouver nementaux en matill<e de formation professionnelle e t. Iéalfirmait la volonté de M. MAUROY de voi<, dans l'immédiat les 150.000 deman· deursd'emploisdel6àl8ansacqué­rir une formation et une insertion socia le Elleévoquaitlout undispositi!de comh<lt visant, dès sep1embre 82 ii prendreencharçiecesjeunesgens inscrits à !'ANPE et à proposer que soitconstituésousla responsabilité des Maires une structure d'accueil, dotée de moyens i!xcephonnels, gr!ceàlaquelledesliensentrnles entreprises,lesétablissementsscolai <es et les administrations locales seiaient établis

Blauldoncvoirdanscetteréunionla préliguration de l'organisation du oomitéloca!del'EmploiP<1rlequella. Municipalitéfix•nalesmodalitéspra­:~~:es des objectifs çiouvernemen·

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"POURSUIVRE L'ACTION ENGAGEE"

"'Cetteenquêle,dontnou• appre<:ions les réoultats, "pporle confirmation de l'-'ctionquenou;avoos""'oéeaun;veau municiJ><1l eo relation a vac les associa· tionsd'handicapés:voiriesnouvelles, coostruc1ionsprivéesetpubiiqu es.

Lfls interventionsquenousavomfaites endire<:liondesservicespublics onlcon. duit à desensibles a m<!liorationsde hccueil pour le• p@roonne• à mobilité r~uitt1,à l'E.O . F., àla CaiS>e d'Epar9oe, aunouvMubureaud,.Po•tesdesP!ain<IS.

llreste ct1p@nd"ol~ucoup à faire SécuriléSoeiale, PootesduCentre-Ville, cabinestéléphoniques"cce .. ibles,nous ner•Ucheronopas notr11 attentioopour arriveràde• •olutionssalistaisantes.

Au niveaumuniciJ>i>I, l'anno>e 1982va voirlapoursuitedel'a ctiooencourspour rendre la villeencoremieux accessible.

Mais pour nous élus municipaux, l'ac~sionvadepairavecl'iolé<,Jration, laparlicipationdetousaux acHviléo,en particulierculturelleo elsporliV<10. Nou s peru.on• d oncdévelopper,la ceà la d•mande, les activitéomi•eo enplace,en ;';';..~.rant déboucher sur la praHquespO<·

LA SEYNE 1 re ville aux handicapés Une

revue de .

C -'EST à unesortedebilan( réaliséenfinde l'Annéelnternatio· naledesPersonnesHandicapé6$celasemblelogique)auquelse sontlivrésnolreconfrlm1"Qu.,Choisir",lemensuelde!'Union

FédéraledesConsommateurs,et90desUnions!ocalesd&laFédération . 35.0001ieuxdel60villespetites,moyennesetgrandeson\ainsiétépas­sés aucribledel'accessibilité,oudelanon-accessibilité.Rienquepour la Var, 2 .0CIO endroits ont subi "l'inspectionu des enquêteurs de Var­Consommateurs et du GJ.D.E.C.-U.F.C. dans un éventail très large de communes,se\onleurimportance,ladominantedeleursactivités.

A Toulon, La Seyne, Hyères, Fréjus, Draguignan, Saint-Raphaël, Saint­Tropez,Salernesetl.or9ues,lesenquèteursontdoncportéleuraltention sursept9randssecteurs:rues,passa9espmté9és,servicespublics,ser vicesdesanté,commerces,servicesetlieuxde!oisirsetculture.

CetravaildefourmisadonnéànotrevilledeLaSeyneunepremiêre place, avec 53% d'accessibilité, 3% de semi-accessibilitéet44% d'inaccessibilité.EU.;est suivieparDra9ui9nan(38,24et39 %),Sainl·

M. BOCHARD, Président de l'A.D.A.P.E.

0\lest-Var

"La compréhension des services de police"

'"Notrepositionvis·à·visdelaMunici· palitén'ap,..variécarnoo contactssont toujouro•xcell,nts; à nospropositioos répondentpresqueloujoursd<!Sro!al;sa

lions. Celle collabor"tion est, à notre avill,cequi peutnouo faireav"ncer,le plusrapidem&ntpossible,danslecombal que nou o menon• pour l'"cce,.ibihté el l'intéQratioo

LaSeyne,villelaplus acC10"'ibledu déj><lrtement pour leohandicapéo : c'est vrai,elil!aut s'enléliciter.encorequ'ily aitquelquespetil.,.choses à réa lioer. avaottout,pomsui·nela politiquede la voirie en réa ~sant chau,.ées et trottoirs adapt4s .. uxlauteuilsetpouosette•. Ne pourrait-onprévoiraussi unoudeux emplacements réservés aux handicapé• danslesparcmètreoin•tallésàproximité immédia!educentre·ville . Cela ditsano omett re de reconnallre que le park in9 Martin i 0Hreà tous é9"rds les me illeureo po,.ibilités de stationnement: coUt, proxim ité,_.cçe,.ib ilité

Enlio,nousneS!lurionspasseroouo silence, la compr<!hension donl !ont preuvevi•·à ·visde• aulomobilisteshand i capés eninhactioo, les "pervenches" et

~8;,:~~~;~a~·~ police de la mairie et du

du Var pour l'accès ~ étude de "Que choisir", [E consommateurs ~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Raphaii!,ToulonatHyô,.n. Il faut bien voir dan• celte enqu6te (inhlulff: ~35.000 lieux publics et privêstestês. Handicapff: Forcer l'ae<:hH) lo démoll$trationdece que côtoient quotidiennement dH millio11$ de fronçgis de tous âges. Il n'y ci IO:oucune complalsonce. ll1'agltd'unglgontesquecatalo­gue. du releYci de ~ qui va dcirui le Mii$ de l'intégration harmo­nie\1$0 dff hondlcopé1 dcua ]g vie sociale. comme de ce qui ne va pos du to\lt et qu·u !out améliorer ou translonner. Aussi. la place qu'occupe notre commune au niveau départemental comme au nlv.au nalioncd (n'Hl-elle pos clt1sffe dans la même tranche que des vlllH bien plu1 Importantes. telles Lyon, Grenoble ou encore Clermont-Fenand) est, à nos yeux. révélateur de l'action menêe depul1 des gnn6" par les""'• nninlclpoux. toujours très attentUsouKbeso!n1eKpr!mHparleshandicopésetleursno_mbreu­sesassoclat!ons.

M. MARENCO, Délégué de l'U.N.A.F.A.M.

pour Lo Seyne "LA ZONE PIETONNE

C'EST TRES BIEN"

"Cetteenqu6te,,..,.,..blelo<;Jiqueper rapport 6 <:e qui nlate 6 La S.,.,e L'a<:ceHihlli~ t'fft 9rondement •m•Ho­rée <:eo derni•rff• nn,...,916ce6l'ochon de la Municipalilil , A cet"O• rd, l•zone p~onnefftcerteinementuner'11uitedu q enre.

Bien t \lr on peut ,..;eu~ foi••· C'ff t d'arneu rolatendance•ctuelle. J'a!en ellet remarqu6quele1 conolruction1 nou· ve lleoétaie nt leplu1l<>Uve ntr6al!...,1en fonctionde leur ul!l!oallon,auH!.parleo handicapffou poroonne1 l 96eo

En tout cao , je1ulocertain que1!la Municipalit•en evailleo moyeno,l'acceo· oibillt6 H ra!l e ncoreplu1hnporta ntelLa S..yne".

M. GUEPIN, Directeur du Centre

Médico-Psycho-Pédagogique "LA RECONNAISSANCE

DE VOS EFFORTS"

"LaSeyneesllaHuLevi\\eoi>j'aipu apprkie1datelleorül;s.tionseolaveur ~;'; ;~,.u~~apé> ou des peJSOn""" à mobi-

La S..yne eot Ja vil\e la plus accessihle dud6perte men1 ?Celane m'élonnepao. Cette'diltinction est Ja '""'OnMisu.nce lo<;Jiqua deoeH01ts quela Municipahté a déploy .. dan1ce domaine. le ne pren· d1•i qu'un .. uluemple , mais que j'ai oouo lff yeu x quotidiennement :la rampe qui facilite l 'ae<o~• de la u.Ue d'attente du C.M.P.P. C'e.i peut-i h e une pelile chow, ma il a·t·on une idée préci,. des lacllll~o que peuv &nt procurer deo petites

c hooe1dece qenre ?"

Mme NOELLE RONSOUX 1 Responsable de l'A.P.A.J.H. ' A CC UE IL

EXTRAORDINAIRE AU SERVICE SOCIAL"

"l.eapenonnu quenouoavono .. ncon lr ... onttoulHoouli9dl'i,..portonce dff &11Mlioratlo1>1eppo11 ... depuls quelquff ann .... Conocien1ff dffe!!ort1 conoentil dans ce domaine, certalnff ont auui

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~n1.t1~~:oi~u:,"~ une clwouosff. Au nivHu dff cméliora· 1;o.u.i appo l1a r,l'-1;.ldff 1..,.endî­<:aHon1concerneleocahinffoéléphoni· quaset l'utilis&tion dff tra.n•port.iencom-

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Su.rle\lndr<'llead'enqin.s. Oui, nou1connaiuon1l'hi1toir&. En fait, ce1enolr11neeontpa1si drêl&1quaç.11. Une motocyclette , uneautomo­bile, pourparlercommenosqrandsparents,eontdH"•ngins"d&plus enpluscouran11. Mêmes'ilsservent,nonplusuniquementpourlapro· mena de, mais poµr la compélihon comme noua allons la voir.

Deuxjeunes"8ynoi1,undanschaquedomaine, 1uite auxTé1ullatsqu'i ls ont obtenus,ontmontré unautrevisaçe,queceluiquenousconnaissons hebiluellementde "LaSeynevllleaportlve",Allonadoncà. 1<1.rencontre de G11y Bo1testi et Denis Derepas. championa motocycliste et automo· bile.

Uoulhtd4oMpto.,..netundi.,..nchedue6t'dt.SIGNESpour1'•percevoiTque 1t oporl molOC}'diste auqmente d9~•emenl oon •udt.nc. aupr .. d ... jeunu. 1-1por11mk&niqu•,quoiquetràon,1eus,atlirentdeplu1.,,plu1celt•)9n· -avicl•d•MnMtionslortM.

~~!i:,;,:~~~~~~t~=~~~Tm!a:··11fl~7.~E:;~:~ entr.ieou1pcurqu'il no11.1parlede .,.p.u1lonelnou1lnMcot1nafüeunpeul• ct."c•ch•dec.1pcrl. Pour1ltuernotrer,qioMl&univeaunaHonal.di10n1qu'apr•1untitre de Cham· pion de Proveoe<1 en 74, il n"a jamai• cesH de proqreaer peur parv<tnir à. une plaeedell•uCbampionna1d<tFr~nca en l91lO.

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O..perlormu<:eo i ltl•epriV<ieovit-.luion1permiadeN l&11e en9a9e rp,11 uneusinepourluépreuvesd"enduranc..LIWté deo_.ci, ..,..té r>els.il a pu •NliNile r6"1lte1 quenouo coanaiaon1. El c;@mme li e 1eçu, cette anoiH enc:@re, dM popoomons poUT le prochain Championna! du Monde. ~ tru•me d"&n•che·piedpourpro<,1•-•unpeuplu1dlon1l•h10rarchie .

Ce1110!1mot1oonl oouventlié1maio il1n"emp"=h•nl punotre pilotelocald• do1mir.bienqu'il1oitconscient d.,.ri•quvo•ncouru1.

l.&molo.ill'time oou1toutesoesformffpuiSqu'ilpre1iqu•auuiàl'occasionle Trialetl'•nduropcurtr•vaillersonéquilibre,oaté1i1lance .Ceci1Urloulpcur sa N1i1!achonperoonnellem•i1 a.,..ipou•obte nird•meilleu,.rMultatsdans].,. ~ ouS w loon1 qu'i!aencoredevantlui.

Ledtn9er,illecennaltmaisilsaituui qu e lMrilquHqu'ilptendneoonlP"I !nunles, comme buucoup le pensent, mail qa"il1 permettant d'améli<>rer, par d M reduncbM l&M<:uri10detou1.l.&peur,ilpeutl•avo11quelquefois,11i1roacti· vemea1. comme par uemple quand il pe!\le • ton ami toulonnais Alain BERAUD qui 1' .. 1 tué hD dernier au Grand Prix de Tcbéc<Wovaquie, <j'rand prixaucov. .. duquelGuy•niv&l4eetS.françti1.Mt,.unelois en selle,tout 1'ettompeet1lunjourcen·é1•ilplu1le cH,iln"in1i11eraitJH1• ·

2

0 ~-. . Guy BATI'ESTI H l .._tidait de la tournure q ue Nmblent prend re lei 6v6neme nto • • N4 le S Me-,. -19-'1 ,- il_ • _•«-• .- 1-0 -,, ... , • et<ifforientatlon1 dunouveaumlnlr11edes spor11, e v1tC enlreeutr.,. l'euqmenta l'k<>le deru9byMynoiM. Ho<1des!acili1 .. pourl .. aportiltpretiquaotàhau1niveau. 0'1utr .. lacilitff Elève tr• do114, il te rmine oon kole e1'"1fl oteuss:ipourles j"",,...,qu;Leurperme llenlde d6bv.tu e lde pre l\d..,rap;. ruqb,.sliqu1 enepolhèoseen9e9unl e n deme nt COMC'-nc. d e leur poaibilitéo, mai.a if ffpire , A trner1 Cft qu elquff 1969 le cone<>uB d u me!lleur i•u ne h9 nM,leuravo,.Je 11 d.bcouni1lflN<:rificesq\lile ur Mronl dem.,.d... ru 9bymande f ra nce

Nou• lui laiuon1 le ooind•cOnclu re penonntllement ;'1evoud.ral1 me~r­meure dedonnerquelqu&1 conHll1 ouxjeune1 pa11!onnffdece1port.Foire dolom<>1o oétle 11 .. m" ntmol111<1na jamai.I M pre ndre au M rleux.SoV<1ir a ua.i qu'U e xl•te dH circult1pour 1'enlfainer .,1abllrdesperlormanc.s. que la lécurilii daltf!re de mi" 1urlarautepour le b ltlndetous. Je tie ns o uui à t e mercierloMunlclpalit.! .. ynolu pourtoute l'alde qu'e lle m'aoppotté ,Je me1ui1ape<çu. e ndi1culGnlGvecde1 omi11urtou1 lesdreullt qu'elleétGit une desraru àagl ralnsl".

DENIS DEREP AS LE REVE DE SES

!BANS

~:1~i:d~~~!~~t5u: i:~ :: vri~':'~~;~."'~~...°t;~~. ~~:1 .. ~1 ;;:~. ";~~·h~!,.~~ bien

lnté ressé "deloln" {camme1ldit)au tportautomobikt, illa11lare ncontreen l9n, d'Ala1nAlin1t"L'encyclo~le du 1pottoulo" (c'est<>nca relu1quile d1tJ. Avecl ui,il1ppr.ndtoutle c6\é lec:hniqu e,l'ennn dud<k<>r 1i vou1 voule1

A l'école de pil~ag a du Castella!, 11 r6ve de !ai re camme G uy f r6que hn et )u n Rag notti

ll e ntre doncdan1 lacampétitlon • n76, auvo!anld'une Rallye 2,d1n1la R1llye du Var

"Le Sud·Esl . dl t-ll. H tune u à bonne écale pour iff pîlotes ouluturt pilotn, -c·..,.1Le paf$ parexcelle~ de1 rallyu".

I! te lance aloro dan a un travail acharn~ pour H faae une place dan1 le monde du sport aulomobile. fin 76, ilto1 m!neà la•&eondoplacc del'&colo de pilo1aq• de N09a rodan1laGe ..

En 77, il parheipe à la Cou pe de franc• RS Df •~ u11<1 RS Alpine version Coupoi . llq&Qnal é preuve,term>ne 6epuil 7eelel>ondon,,.. é tro" repr1-

Penda nt unan.,demi il travaille avec un9uaQla1ede Toulon, Claude Hn , man1, pourcorrigor seslau l<>t

Ce boohomm•A lacrinière blonde et au ""u rir• !aclle ,recl!le un• vQ!Qnté lorou­che de réustir etune k>rcede caract6re qui vont lulpermettre &prffc.. lonç1 moil d 'undurtr&v&1l,d'•ll<>etue rune bonne re ntrée. Ren1rH poiut· tl•• f>l!• &ussi r&pide qu'ill'aut&l1dési1ée,car e n79ildoi! M canle nla rd'une bonorable (ma il p&s canvamef.nle pourlu i) Seplf,ce lon deJ.,cau pe RSEll . C'" luna ren lrl:esur !apointe des pied1

La q randeannàeHra 1980.Bie naidée1aosiltàf>11r )ojo ,Momo et C"quelledu G11aqe Mitalel , il con na li? a ton heure de qloi re e n Octobre , loroqu'il 1emporto !aCoupeda Ftance aprols unatà rie impJ-.ionna nte de victoirH., da plac" d 'honneur

l.eo prlx (RS Turbo e t60.CXXl F 0Ue rto par DOvon1[•incite r i-o'enqa<;1erd.ansla Coupe Européenna des R5Turbo, une ép1euva de prH1 19e ,qul "ou"'e"tou•les 9rand • ;irix -..ropffns.

Malheureu,..menl, la 5'lison n'e<l pao aussi bénélique que la prkédente. Il fou i dlrequ'il se heurl e , é ce niveau,àlrff !orle part!a.

Padkoura9• pou•autant,il 1'1ppr6teà r&tou1ne rtralne r ses pneu1ce1te année ••nles plus qr&nd.t c ircui1s européens.Hil!olre d e mesu re rl.,.pro<;1•• •N.l..ës .

C e qui!ro!te dans lah\te de notre cha mpion!ocalc'e ù, aprff avo iracq:u il le p lu• d'exp6rlenc.,de tMil ri ... d't ndu rance àce n1v .. u,deprendre le chemin doo ra!ly9• d QnOl re réqion

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L..travauxquisont e!leduéfiactuel· lementlelongduC063entre le car· refourdu Pêle-Mêleel l'kolemaler nelle Pierre Semard, font partie de ceuxqui,réguliérement,sontréalisés dan1l11.Z.U.P.deBerthe

C'est l'é lar9issement de cette voie trèlimpor14nteeldeplusenplu1fré­quentéequi estencou r1d'exkution, le1trav11.uxnedevralenlpatt'ache­Yflfll.Yantdeuxoutroismol1.

Précisons qu'il 1'agitde la premiére tranche des travaux d'élaroi ssement concernantlec6té suddelavoie. Dant le méme temps, on procède ;i l'améliorationduréS&aud'évacuetion dffeauxp!uvialesparl1pooede canalisations

Noua avons déjà évcqué dans ces mli mH colonnes, la colére des rive­raint duCD559(ex. RNS59)1aceau manque de sécuri té qu'offre cette vole empruntée quotidiennement par deemllliersdeper&0nnff,et 1ur1out, parlH enlanlsdu9roupe11eo4'ire Touqaint-Merletoutproehe.

Nous avons également évoqué les inte rventionsdesmi!itants descellu­IH COmmunistesduquartieretcelles, nombrauses, enoa9ées par Maurice Blanc,MairedelaSeyneetparMau rice Paul, adjoi nt au Melre et Con Miller Général du Var, euprèl de l'assemblffdéparlemenlale, d ... ser-

•

vices del'EqulpementetdesMini1tà· resàPari1,lntérieur,Transports .

o.,. travaux viennent d'àlre enoa9é1 quiapporlenlundébuldes.atidection auxrevendlcatio1U1desriverai1U1.

Lepetilpon! H tdoubléparunepa1-serellepourlespiétons.Ladilepasse­re!leseraacceniblepardespa$S11Qel prot•qés.

Voil;idoncqui s.atisferacerta inement tous ceux quiemprnntentlaCD559, en attendant la solulion qlo~le demandée,toutdamièrementencore formulée pu Maurice Paul à M Charlet Filerrnan, Ministra dH Transpor1s .

StaHonnement;i La Seyne · c ertes, \out n'est pu perlait, al nous ne saurions ava ncer le contraire. Pouru.nt force .. t d~ r..::onnaître que cetla question esl étudiée sérieusement, tout é tanlmi•.lo prolitpourrfforberlasproblé­rn•enqendré1 pa.rl'au9mantationdunombre d'automoblles,etdoncpour!acil!terlaviedes 9en1.

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