Michel De Jonghe Médecin généraliste DMG – ULB Présentation au congres Adhesia 2009 réalisée...
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Michel De Jonghe Médecin généraliste DMG – ULB Présentation au congres Adhesia 2009 réalisée avec l’aide de Marc Jamoulle et Michel Roland Système d’information(s) : le rôle des classifications
Michel De Jonghe Médecin généraliste DMG – ULB Présentation au congres Adhesia 2009 réalisée avec laide de Marc Jamoulle et Michel Roland
Michel De Jonghe Mdecin gnraliste DMG ULB Prsentation au
congres Adhesia 2009 ralise avec laide de Marc Jamoulle et Michel
Roland
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Charlet J, Interoprabilit en mdecine : quand le contenu
interroge le contenant et lorganisation DPA/DSI/APHP & Univ.
Paris 6, GDRI3- GT3.2, 13 dcembre 2001. http://www-
lsr.imag.fr/MCE/Journee13dec01/JCharlet.pdfhttp://www-
lsr.imag.fr/MCE/Journee13dec01/JCharlet.pdf
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Un dossier mdical papier (1/2) 150-200 documents La plupart
sont textuels (CR, bio, protocole, etc.) = collection organise
Comprenant des proprits (couleur, empilages, agrafage, orientation,
etc) lies au support 3MDJ/adhesia2009
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Un dossier mdical papier (2/2): Lire un dossier mdical :
premire lecture p. ex. dans le cas dune premire consultation
relecture ; le dossier comme aide-mmoire recherche de faits
rsolution de problmes avec confirmation ou infirmation dhypothses
[...] a well functionning instrument for the routine work (Nygren
92) 4MDJ/adhesia2009
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Vers un dossier mdical lectronique (1/4) : Contexte : Toutes
les donnes sur un patient sont lobjet de construction /
interprtation / reconstruction La tche modifie le point de vue du
mdecin La mdecine nest pas une science mais une pratique
contextuelle The very possibility of understanding the records
entry is based on a shared, practical understanding of common
tasks, experiences and expectations (Berg 98) 5MDJ/adhesia2009
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Vers un dossier mdical lectronique (2/4) : Modle de donnes vs
document textuel : Linformation mdicale nest pas la somme de faits
unitaires Un modle de donnes fig ne peut tenir compte de la
variabilit du contexte La mise en forme documentaire titres, mise
en page, taille des polices,... est un reflet des contraintes
pragmatiques sexerant sur le praticien Seuls la langue naturelle et
les genres textuels du dossier permettent dexprimer linformation
dans son contexte de cration Servir linformation recherche dans le
format documentaire pertinent et culturellement lisible et
exploitable pour un utilisateur mdical : le document lui-mme.
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Vers un dossier lectronique (3/4): De la raison graphique la
raison computationnelle Principe : le support dinscription et son
format contraignent lintelligibilit du document ; Exemples : Le
volumen (rouleau de parchemin), tenu en main(s), ne permet pas de
construire des apparats critiques, pas de naviguer dans les textes
; le codex (pages de parchemin), pos, permet de feuilleter et de
noter et implique la construction doutils de navigation :
pagination, tables des matires, index, etc. lhypertexte autorise de
nombreux parcours et amne une dsorientation que linformatique
permet dapprivoiser en calculant des tables de matires, index,
nouveaux documents, etc. 7MDJ/adhesia2009
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Vers un dossier lectronique (4/4): Consquences : le support
dinscription implique une certaine rationalit ; Lcriture comme
inscription de la pense a permis de constituer la pense... par
liste, catgories, tableaux, matrices, formules... (raison
graphique), linformatique permet dannoter, de recomposer... de
penser autrement (raison computationnelle) 8MDJ/adhesia2009
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Conclusions sur le dossier mdical : La conservation du contexte
pour permettre linterprtation se fait par la conservation des
textes Respect de normes pour linformation de sant XML et le Web
sont utiliss au regard de leur capacit produire du sens dans un
systme dusage 9MDJ/adhesia2009
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10MDJ/adhesia2009
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Le systme dinformation 11 Contacts patients Transfert d
information OPERATION ANALYSE Vers autres dispensateurs et hpitaux
Politique de sant Vers le patient Promotion de la sant Enseignement
Recherche Donnes patientsDonnes de sant communautaire DOSSIER
MEDICAL ORIENTE EPISODES GESTION DU QUOTIDIEN MICRO-EPIDEMIOLOGIE
MACRO-EPIDEMIOLOGIE MDJ/adhesia2009
13 N.E. De Keiser, 2000 Composed terminological system
Terminology Thesaurus Index & Synonyms Classification Generic
relationships Vocabulary Definitions Nomenclature Composition rules
Coding system Coding scheme Terminological system d l is_a r l r /
d l Is_a A B "r" means possible overlap between subordinates "d"
means disjoint, i.e. intersection between subordinates is empty "l"
means that every object in A must be a member of a subordinate B C
A A consists of B and C Thesaurus Terminology Nomenclature
Vocabulary / Glossary Vocabulary / Glossary Classification Taxonomy
Coding system Terminological System Terminological System Ontology
De Keiser UML MDJ/adhesia2009
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14 Thesaurus Terminology Nomenclature Vocabulary / Glossary
Vocabulary / Glossary Classification Taxonomy Coding system
Terminological System Terminological System Ontology De Keiser UML
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Une tape oblige
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16 Le contact SOAP (SOPAP) Subjective : subjectif raison(s) de
rencontre, anamnse, procdures Objective : objectif examen clinique,
laboratoire, imagerie, avis (Procdures pr-apprciation) Assessment :
apprciation tiquette(s) du contact Plan : planification procdures
post-apprciation/chances (Weed) MDJ/adhesia2009
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Proposal for Belgian EPR architecture 17MDJ/adhesia2009
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Proposal for Belgian EPR architecture 18MDJ/adhesia2009
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Proposal for Belgian EPR architecture 19MDJ/adhesia2009
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Proposal for Belgian EPR architecture 20MDJ/adhesia2009
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22 La grille de la CISP MDJ/adhesia2009
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23 Les diagnostics et les problmes de sant : 1959 : Royal
College of General Practitioners : premier relev de morbidit chez
11 MG, bas sur la CIM : normes difficults. 1972 : Melbourne,
installation du Comit de Classification de la WONCA (WICC). 1976 :
International Classification of Health Problems in Primary Care
(ICHPPC). 1979 : ICHPPC-2 (relie la CIM-9). 1983 : ICHPPC-2-d.
Histoire de la CISP MDJ/adhesia2009
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24 Les raisons de rencontre : 1978 : OMS confrence Alma Ata :
importance des soins primaires Sant pour Tous en lAn 2000 . 1978 :
mise sur pied dun groupe OMS- WICC pour dvelopper une
classification des motifs de rencontre en soins primaire : Reason
for Encounter Classification (RfEC). 1984 : WICC (Mead, Lamberts
& Wood) : test et validation de la RfEC. Histoire de la CISP
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25 Les procdures 1986 WICC : International Classification of
Processes in Primary Care (IC- process-PC). Histoire de la CISP
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ICPC Procedure Le parent pauvre de la CISP Difficult de
standardisation internationale Diffrents pays dveloppent leurs
propres procdures selon leur systme de soins Mise en place dun
groupe de travail dpendant du WICC en 2004 26MDJ/adhesia2009
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27 1987 : International Classification of Primary Care (ICPC)
ICHPPC-2-d ICPC Histoire de la CISP RfECIC-process-PC
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28 Histoire de la CISP 1987 : International Classification of
Primary Care (ICPC). 1992 : Classification Internationale des Soins
Primaires (CISP). 1998 : ICPC-2 (dfinitions, critres dinclusion et
dexclusion) et ICPC-2-E. 2000 : CISP-2 et CISP-2-E.
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29 La grille de la CISP MDJ/adhesia2009
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30 Avantages et puissance de la CISP Oriente vers le patient,
la CISP permet : de relever les plaintes et les symptmes, de noter
les procdures, la notation des peurs des patients, la prise en
compte du social & du psychologique, la gestion des pisodes et
la continuit des soins, la prminence de la localisation sur
ltiologie. MDJ/adhesia2009
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31 Limites de la CISP Quelques 750 items classifis selon une
structure bi-axiale. Nature classificatoire: exclusivit et
exhaustivit. Spcificit et granularit (Prvalence : >1/1000
patient anne) volutivit. MDJ/adhesia2009
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32 Apports et objectifs de la CISP La CISP est faite pour
enregistrer et traiter (sous langle de l information) les problmes
de sant tels quils sont exprims par le patient, apprcis par le
dispensateur, et grs par les deux. La CISP ne pourra tre utilise
que dans cette optique. Le but nest pas de classer le patient, mais
de relever, organiser et structurer la production mdicale, lactivit
des dispensateurs. MDJ/adhesia2009
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Comparaison entre la CIM-10, SNOMED-CT et le Thesaurus 3BT
(version 2005)
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34 EXEMPLE DU CODAGE DES DIAGNOSTICS - ILS SONT CODES AVEC LA
CIM-10 FRANCAISE -QUELLE IMAGE AVEC SNOMED-CT ? -QUELLE IMAGE AVEC
LE THESAURUS 3BT ? - QUE PEUT ON EN CONCLURE? LE CODAGE REALISE UN
FILTRAGE DE LA REALITE MDJ/adhesia2009
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35 CIM10 K73.2Hpatite chronique active, non classe ailleurs
SNOMED T-62000 Liver, NOS M-43000 Chronic inflammation, NOS
Thesaurus 3BT K73.2 D97 Hpatite chronique active ON TROUVE LE
LIBELLE EXACT DANS LA CIM EXEMPLE 1: HEPATITE CHRONIQUE ACTIVE
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36 CIM10 K25.9Ulcre de l estomac, non prcis comme tant aigu ou
chronique, (prcis) sans hmorragie ni perforation SNOMED T-57000
Stomach, NOS M-38000 Ulcer, NOS Thesaurus 3BT K25.9 D86 Ulcre de
lestomac LA CIM EST PLUS PRECISE QUE LE LIBELLE EXEMPLE 2: ULCERE
DE L ESTOMAC MDJ/adhesia2009
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37 CIM10 M53.3 Atteintes sacro-coccygiennes, non classes
ailleurs SNOMED F-A2600Pain, NOS T-D2330Sacroiliac region Thesaurus
3BT M53.3 L03 douleur sacro-iliaque LE LIBELLE EST PLUS PRECIS QUE
LA CIM EXEMPLE 3: DOULEUR SACRO-ILIAQUE MDJ/adhesia2009
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38 CIM10 G93.5Compression du cerveau SNOMED T-A2050 Brain stem
M-31500 Hernia, NOS Thesaurus 3BT G93.5 N99 Hernie crbrale LA CIM
EST DIFFERENTE DU LIBELLE (dcrit plutt la consquence, le libell la
cause) EXEMPLE 4 : ENGAGEMENT DU TRONC CEREBRAL
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39 CIM10 C50.9Tumeur maligne du sein, sans prcision Z85.3
Antcdents personnels de tumeur maligne du sein SNOMED T-04000
Breast, NOS M80003 Malignancy GA500 Recurrence Thesaurus 3BT -----
X76 Cancer du sein LE CONCEPT DE RECIDIVE N EXISTE PAS DANS LA CIM
EXEMPLE 5 : RECIDIVE CONTROLATERALE DUN CANCER DU SEIN
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40 CIM10 T81.0 Hmorragie et hmatome compliquant un acte vise
diagnostique et thrapeutique, non classs ailleurs SNOMED M-37000
Hemorrhage, NOS G-C002 Associated with P8-10000 Tooth extraction,
NOS Thesaurus 3BT K08.8 D82 Hmorragie dune alvole dentaire T88.9
A82 Complication tardive suite un acte chirurgical T88.9 A87
Complication suite un acte mdical LA TRADUCTION DANS LA CIM est
plus large que la signifiance du libell EXEMPLE 6HEMORRAGIE APRES
EXTRACTION DENTAIRE MDJ/adhesia2009
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41 LA CIM et la CISP SONT DES CLASSIFICATIONS : - LE CODE
PERMET D AFFECTER LINFORMATION A UNE CLASSE - L OBJECTIF EST DE
COMPTER LES EFFECTIFS DE LA CLASSE (Classification statistique
internationale...) - POUR CELA, IL EXISTE DES REGLES SPECIFIQUES (
A l exclusion de , Comprend , critre dinclusion..) CONCLUSION - LE
SYSTEME EST COHERENT - UN PROBLEME (EVENTUELLEMENT) : LE CRITERE DE
CLASSIFICATION MDJ/adhesia2009
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42 SNOMED-CT EST UN SYSTEME DAXES SEMANTIQUES - LES CODES SONT
LES FACETTES DE LA MALADIE - L OBJECTIF EST DE DECRIRE : ON Y
ARRIVE BIEN - PAS DE REGLE DE CODAGE CONCLUSION - ON RETROUVE
FACILEMENT LINFORMATION CLINIQUE - LA RECHERCHE FAIT APPEL AU SENS
T : Topography M : Morphology F : Function... MDJ/adhesia2009
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43 -CODER CEST FILTRER - LE RESULTAT EST DIFFERENT SELON LE
REFERENTIEL (exemples de la CIM, la CISP, de SNOMED-CT et du
Thsaurus 3BT) -LA CIM et la CISP, en tant que classifications,
DECRIVENT MAL LA REALITE CLINIQUE INDIVIDUELLE, contrairement
SNOMED-CT et au Thesaurus 3BT CONCLUSION MDJ/adhesia2009
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44 CONCLUSION QUALITE DU CODAGE avec CIM et CISP ne signifie
pas QUALITE DE LA DESCRIPTION DES MALADIES Mme si la QUALITE DU
CODAGE avec la CIM et la CISP est relle, lACQUISITION DE
CONNAISSANCE est difficile car ces classifications ne sont ni
homognes ni contextuelles SNOMED-CT est rigide (11 axes) mais est
plus certainement exhaustive que le Thesaurus 3BT de par sa
construction SNOMED-CT et le Thesaurus 3BT ne ncessitent pas de
rgles de codage MDJ/adhesia2009