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ÉNORAMALAGRÉ

SOPHIEMOUNICOT GUY

LECLUYSEFRANÇOISROLLIN

CHRISTOPHEALÉVÊQUE

MARIE CLÉMENT MARIE-CHARLOTTE LECLAIRE ALEXIS NÉRET

MISE EN SCÈNE ALAIN SACHS

C’est fou comme l’homme peut parfois se compliquer la vie inutilement…

Il eut été tellement plus simple que le Docteur Petypon expliquât à sa femme que la veille au soir, afin de se détendre après une opération des plus délicates, dans les vapeurs d’un alcool dont il avait un peu trop abusé, il s’était tout simplement permis d’inviter la Môme Crevette, célèbre danseuse du Moulin Rouge, à dormir chez lui, et ce bien sûr en tout bien tout honneur...

Madame Petypon aurait certainement compris la chose !

Mais nous aurions alors été privés d’un rocambolesque very bad trip bien avant l’heure, avec un scénario catastrophe plein de rebondissements, flirtant avec l’absurde et pro-voquant le rire à chaque réplique.

Pour incarner ce chef d’œuvre de l’humour, il fallait une équipe à la hauteur !

Elle est bien plus que ça : explosive et talentueuse ! Les comédiens, tous plus allumés les uns que les autres, donnent tout sur scène. Pour réjouir les anciens bien sûr, mais aussi pour faire découvrir aux plus jeunes que les comiques d’aujourd’hui sont bien les dignes héritiers de l’immense Feydeau…

©Aurélie Deniaud

« Cela fait des années que je rêvais de monter la Dame de chez Maxim, ce pur chef d’œuvre de notre répertoire. Mais pour y parvenir

la première difficulté à surmonter était que, s’agissant d’une œuvre chorale dans laquelle tous les rôles apparaissent comme plus savoureux les uns que

les autres, il me fallait avant tout trouver des comédiens prêts à partager et à faire briller chacun d’entre eux de mille feux, et ce à parts égales.

D’autant plus que depuis le début, j’avais imaginé un parti pris de mise en scène totalement décalé, un tantinet novateur, et truffé de surprises en tout genre...

En effet, monter un tel monument, c’est à chaque fois pour le metteur en scène, se poser l’éternelle question du fond et de la forme.

Le fond on le connaît, un modèle d’humour et de sens du comique, une construction machiavélique, toujours reliés à une irrésistible poésie.

Le mouvement Dada et les surréalistes ne sont pas loin...La forme, c’est à chaque fois se poser la question de savoir quels moyens

seront mis en œuvre pour espérer encore surprendre...Et c’est bien ainsi que, peu à peu, j’ai songé à réunir cette magnifique équipe !

Surprenante, multicolore, et pour le moins inattendue.Des artistes créateurs aux parcours atypiques, fortement engagés,

aussi inventifs qu’inspirés, et ce chacun dans sa pratique.Tous prêts à faire une pause dans leurs parcours respectifs pour vivre

une aventure commune, pour le plaisir du jeu collectif, avec l’envie de surprendre

DÉCLARATION D’INTENTION D’ALAIN SACHS

aussi bien les spectateurs qu’eux-mêmes, ainsi que de rendre un vibrant hommage à un grand maître vénéré de chacun d’eux.

Mais d’abord et avant tout, une équipe entièrement issue de la scène et du Théâtre. Sophie et Guy, comédiens si souvent liés aux plus grands succès de nos comédies

à la Française, Christophe et François, deux de nos plus éminents et peu conventionnelshumoristes, et enfin Énora, qui rappelons-le ici pour ceux qui l’ignoreraient,

a d’abord suivi une formation de théâtre, de chant et de danse avant de commencer dans le Subventionné !

Georges Feydeau on le sait, était un grand fou furieux. Alors pour le servir, qui mieux qu’une bande d’Artistes tous plus fous furieux les uns que les autres ?

Car soyons clairs, on n’invite pas à sa table de tels histrions pour leur demander de laisser leur ADN au vestiaire.

Cet ADN qui fait depuis longtemps la joie du public, et à commencer par la mienne !Grâce à leurs talents, nous allons pouvoir entre autre peu à peu entrer dans le cerveau

de Feydeau et saisir quelques bribes du fonctionnement d’un tel génie. Tout cela à travers un savant mélange des genres, un véritable équilibre

à mi-chemin entre modernité et classicisme.Mais pour ce faire, encore me fallait-il avant tout affirmer l’ambition d’un très grand

et beau spectacle, tel qu’on peut s’y attendre à la simple évocation du nom de Feydeau...Trois décors, cinquante costumes, de la musique jouée sur scène, de la danse,

et bien sûr tout d’abord des interprètes éblouissants et généreux, que je ne remercierai jamais assez de m’avoir suivi dans cette folle aventure,

contribueront sans nul doute à relever joyeusement tous les défis ! »

ALAIN SACHS

Plus d’une quarantaine de mises en scène lui ont valu une trentaine de nominations et plusieurs Molière, dont celui du Meilleur Spec-tacle Musical pour Le Quatuor en 1994, 1998 et 2003, et celui de Meilleur Metteur en scène pour Le Passe muraille de Didier Van Cauwelaert et Michel Legrand avec Francis Perrin en 1997.Parmi celles-ci on peut citer :Vous êtes mon sujet de Didier Van Cauwelaert avec Gérard Dar-mon, Madame sans Gêne avec Clémentine Célarié, La Femme du Boulanger avec Michel Galabru, Bernadette Lafont et Philippe Caubère, Les Deux Canards avec Isabelle Nanty et Yvan le Bol-loc’h, Je m’voyais déjà comédie musicale de Laurent Ruquier sur les chansons de Charles Aznavour, Victor ou les Enfants au pouvoir avec Lorànt Deutsch, Le Bourgeois Gentilhomme avec Jean-Ma-rie Bigard, Le Jazz et la Diva avec Caroline Casadesus et Didier Lockwood, La locandiera avec Cristiana Réali et Pierre Cassignard, Accalmies passagères, Mado la Niçoise, La vie Parisienne, Les Noces de Figaro, Un fil à la Patte, Roméo et Juliette »…Il est aussi auteur d’une vingtaine de pièces distinguées par de nombreux prix, chroniqueur à la radio pour les émissions de Daniel Mermet et Laurent Ruquier, auteur aux Guignols de l’info et comé-dien au théâtre, au cinéma et à la télévision.

ALAIN SACHSMISE EN SCÈNE

©Daniel Sachs

ENORA MALAGRÉ

LA MÔME CREVETTE Jeune bretonne au caractère déjà bien trempé, Enora débarque à Paris, prête à en découdre avec la capitale ... c’est décidé elle sera comédienne !Après une formation au cours Simon, elle répond à l’appel du Théâtre contemporain et de la performance artistique qui la portent vers de multiples et riches collaborations. Avec la compagnie Fa-nadeep elle joue Fils de D (espace Pasolini à Valenciennes), avec Claire Maugendre (collaboratrice de Ian Fabre), elle coopère dans Quartett d’Heiner Müller, et Casanova à la MC93 (Bobigny), puis elle exprime son art aux Ateliers Berthier.Son rôle de clown dans Le contre Pitre d’Hélène Parmelin lui souffle l’envie de goûter à un art plus populaire, mais loin de s’imaginer qu’elle incarnerait le trublion à la télé.Une rencontre déterminante avec Paul Ouazan la fait travailler dans son atelier de recherche sur Arte, ce qui développera son goût pour la télé.Mais son destin à le même tempérament qu’elle, il n’en fait qu’à sa tête et place sur son chemin Fadia Dimerdiji qui la convainc en 2004 de faire ses premiers pas en tant que chroniqueuse puis animatrice sur la radio, alors trendy, Nova. Enora affirme “ j’ai rencontré celle qui a changé ma vie”, mais n’oublie pas pour autant ses rêves d’ac-trice puisque qu’elle incarne au même moment son premier rôle au cinéma dans un film court de Jean Paul Civeyrac, Tristesse beau visage.

L’année suivante, c’est naturellement la télévision qui lui fait les yeux doux en lui proposant l’émission musicale Juke Box Memories sur Arte - la musique étant une part importante de son ADN elle ne peut pas refuser, et elle devient alors, dans la foulée, l’auteur de diverses émissions sous la houlette d’Alain Kappauf qui l’encourage ainsi à renforcer son univers.Une incursion sur Paris Première, dans l’émission culte La mode, la mode, la mode produite par Mlle Agnes.En 2010 Sébastien Cauet l’embarque dans le tourbillon de son émission C’Cauet qu’elle co-anime sur NRJ. La même année, elle est choisie par Cyril Hanouna comme chroniqueuse dans l’émission Touche pas à mon poste, sans jamais penser une seule seconde que c’était peut-être là son premier grand rôle de composition...Libre, Enora décide de se consacrer à des projets qu’elle aime et qui lui tiennent farouchement à coeur : comme animer la Libre antenne de Virgin Radio pendant deux ans (qui était un de ses rêves), avoir ses propres émissions telles que Derrière le poste ou encore Le van parmi d’autres et créer le site féminin La Women Trend Family imaginé avec sa consoeur la journaliste Justine Fraioli.Aujourd’hui, elle tient la promesse qu’elle s’était faite : monter sur les planches et donner à voir au public un personnage qu’elle choisit, avec une distribution aussi moderne qu’élégante et sous la bienveil-lance de son metteur en scène Alain Sachs.

©Arno Lam

SOPHIE MOUNICOT

MADAME PETYPON Connue surtout pour le rôle de l’infirmière Clara Saulnier dans la série télévisée H, de Canal +, Sophie Mounicot est une artiste plurielle jouant au cinéma, à la télévision, ainsi qu’au théâtre.Vous avez pu la voir sur grand écran, entre autres, dans La Cité de la peur de Alain Berberian, Deux de Claude Zizi, Les frères Gravet de René Féret, Tiré à part de Bernard Rapp, Monique de Valérie Guignabodet, Ah si j’étais riche de Michel Munz et Gérard Bitton, Clara et moi de Arnaud Viard, Vic-tor de Thomas Gilou, La robe du Soir de Myriam Aziza, Hollywoo de Frédéric Berthe et Pascal Se-rieis, Par Amour de Laurent Firode, Camping 3 de Fabien Onteniente, Les Municipaux et vous irez la voir dans Celles et ceux qu’on n’a pas eu(es) ! La Suite… de Pascal Thomas.A la télévision, notamment La grève des femmes, de Stéphane Kappès, Merci pour tout, Charles,

de Ernesto Ona, Le secret d’Elise d’Alexandre Laurent nous ont régalés de sa présence. Ne la manquez surtout pas dans Deutsch les landes, de Denis Dercourt et Annette Ernst.Et sur les planches, vous vous souvenez sûrement d’elle dans Quand l’amour s’emmêle de et mise en scène Anne-Marie Etienne au théâtre du Palais Royal, Toc Toc de et mise en scène Laurent Baffie au théâtre du Palais Royal, Un jour c’était la nuit mise en scène de Catherine Marchal en Avignon, Renata de Stephan Druet et Sebastian Galeo, mise en scène de Stephan Druet à la Comédie Bastille et Folle Amanda de Barillet et Grédy, mise en scène de Marie-Pascale Osterrieth au théâtre Antoine.La voici maintenant dans La Dame de chez Maxim de Feydeau, mise en scène d’Alain Sachs au théâtre du Gymnase.

©Julie Reggiani

CHRISTOPHE ALÉVÊQUE

PETYPONChristophe Alévêque débute dans Les Stagiaires (duo déluré). En 1992, il monte sa première pièce avec Philippe Sohier, qui restera son complice. Très vite, il intègre l’équipe de Laurent Ruquier dans l’émission Rien à cirer sur France Inter, où il tourne en dérision l’actualité avec un humour corrosif et dé-calé. Sa collaboration avec l’animateur perdure et il devient chroniqueur dans les émissions On a tout essayé sur France 2 et On va s’gêner sur Europe 1. Dans le même temps, il collabore avec Michel Druc-ker, Thierry Ardisson et l’équipe de l’émission Nulle Part ailleurs.En 1998, il joue au théâtre Grévin dans Même pas peur, un one-man-show décapant où il fait la satire de notre quotidien. Et ce n’est que le début ! Vont s’enchainer ses spectacles solo : Debout, Chris-tophe Alévêque est super rebelle ! …enfin ce qu’il en reste, Les Monstrueuses Actualités de Christophe Alévêque, Christophe Alévêque et Super Rebelle en candidat libre, Ça ira mieux demain, Le Tour de la Dette en 80 minutes, et sa Revue de presse.Parallèlement il est également à l’affiche de plusieurs

films et téléfilms : L’Ami du jardin de Jean- Louis Bou-chaud, Les Perchistes d’Antonio et Killy Olivares, Tout pour l’oseille de Bertrand Van Effenterre, Nos amis les flics réalisé par Bob Swain, Mes Parents chéris de Philomène Esposito, La Plume empoisonnée d’Eric Woreth, L’Affaire Blaireau de Jacques Santamaria, Piece montée de Denys Granier Deferre, Toutes les femmes ont le même sexe de Jérome Soubeyrand…Le 23 octobre 2008 il publie son premier livre, Dé-codeur médiatique du XXIe siècle. Suivront Le dico d’Alévêque, libertude égalitude fraternitude, Le petit Alévêque illustré, les Monstrueuses Actuali-tés, J’aime pas la crise, Faux discours politiques, Le Candidat super rebelle, On a marché sur la dette, Bienvenue à Webland…On a également pu le voir sur les planches dans les pièces : Ciao Amore de Jérome l’Hotsky, Deux mille ans de mensonge, Little Boy, Ah le grand homme de Pierre Pradinas.Et avec Christophe c’est aussi la création de la pre-mière Fête de la dette, au 104, au profit du secours populaire.

©DR

GUY LECLUYSE

MONGICOURTMADAME VIDAUBAN Originaire du Nord de la France, Guy Lecluyse se découvre très tôt une passion pour la comédie. Il débute au café-théâtre, sur la scène du Petit Casi-no puis du Point-Virgule. On le découvre à la télévi-sion dans les émissions de divertissement comme La Classe, Qui est Qui ? Motus, E=M6, Coco Pa-radise... Ensuite, pour la première fois sur grand écran, dirigé par Olivier Marchal, ‘’son parrain du cinéma’’ comme il l’appelle, dans Gangsters, 36 Quai des Orfèvres et MR 73.Suiveront, Bienvenue Chez Les Ch’tis, Rien à Déclarer, Supercondriaque et La Ch’Tite Famille avec Dany Boon, Safari, L’Italien, Les Tuche, Qui a Re-tué Paméla Rose ? avec Olivier Baroux et Kad Mérad… Il interprète Pap’s, le père de Kev Adams dans la série Soda, et joue récemment, aux côtés

de Cristiana Réali dans la fiction Les Bracelets Rouges. Il donne la réplique à Michel Leeb dans Le Tombeur de Robert Lamoureux, mis en scène par Jean-Luc Moreau.Aujourd’hui, dans La Dame De Chez Maxim de Georges Feydeau, Guy Lecluyse affirme joyeuse-ment : ‘’Comme disait Peau de la Vieille Hutte, le vieux chef Cheyenne heureux d’adopter Jack (Dus-tin Hoffman) dans le film culte Little Big Man :‘’Mon coeur s’envole comme un faucon’’ !...D’être de cette aventure, accompagné de magni-fiques comédiens, tous plus déjantés les uns que les autres et dirigés par Monsieur Alain Sachs, ce merveilleux capitaine de navire, talentueux et ex-traordinaire de création, c’est...c’est... !!! On n’est pas à l’abri de s’amuser !...

©DR

FRANCOIS ROLLIN

LE GÉNÉRALFrançois Rollin est né le 17,6 thermidor 6000 sur l’île de Pâques. Dès l’âge de huit ans, il invente le « claribour », instrument hybride tenant de la clari-nette et du tambour, dont il reste à ce jour l’unique fabricant, l’unique interprète, et le seul ami vérita-blement sincère. Cinq ans plus tard, il a l’intuition géniale que personne ne lit les biographies conte-nues dans les dossiers de presse, et il invente alors le concept de BIF, «biographie farfelue », pour le-quel il reçoit le prix Nobel de farfeluterie. Deux ans plus tard, très logiquement, il vend des œufs à bord d’une péniche sur le canal du Midi vers midi. Tout le reste est sur Wikipedia.

©DR

MARIE CLEMENT

CLEMENTINELA DAME PIPI

Marie Clément découvre sa vocation de comédienne à douze ans, lorsqu’un film se tourne chez elle, en Bourgogne. Elle commence alors à tourner dans plu-sieurs téléfilms, puis va poursuivre son rêve à Paris. Après un bac littéraire et une formation en prépa Hypokhâgne/théâtre, elle rentre aux Cours Ac-quaviva, anciennement Les Ateliers du Sudden, et en sort diplômée en 2015. Elle y découvre sa passion pour le théâtre, en travaillant avec des ar-tistes qui l’inspirent, tels que Raymond Acquavi-va, Michel Fau, Béatrice Agenin, ou encore Phi-lippe Uchan. En 2016, elle intègre la Compagnie Acquaviva, et joue au théâtre des Bêliers parisiens l’Epreuve et les Sincères de Marivaux, mise en scène par Philippe Uchan.En 2017, elle interprète l’un des rôles principaux de la dernière pièce de Jean-Marie Chevret, Un Air de

Provence, mise en scène par Gérard Moulévirer au théâtre Tête d’Or, à Lyon. S’en suit une tournée en France et en Suisse.En parallèle, elle continue de travailler à l’écran, dans plusieurs téléfilms et courts métrages, dirigée par Jean-Daniel Verhaeghe, Gabriel Aghion, Christophe Dagobert… Elle interprète également le rôle princi-pal du clip de Borussia, Vuole Ballare, en duo avec l’artiste. Elle fait partie d’un collectif artistique réunissant des comédiens et metteurs en scène de sa génération, rencontrés au Ateliers du Sudden. Ils ont créé en-semble la websérie FastFoodSocial, disponible sur Youtube.Passionnée par l’Art en général, elle pratique éga-lement la danse, notamment street-jazz, le piano, et le chant.

© Marlène Goulard

MARIE-CHARLOTTE LECLAIRE

MARCELINELA DUCHESSE5ème collaboration avec Alain Sachs…autant dire que nous sommes un vieux couple ! 2ème Feydeau après Le fil à la patte monté en 1999 à La porte St Martin…et je m’arrête là pour les chiffres ! Avec Alain, j’ai eu la grande chance d’être employée pour ce que je SAIS et AIME faire : chanter, jouer la comédie, danser et jouer du piano ! J’ai donc été comblée sur les aventures « Offenbachiennes » de La vie parisienne et Tout Offenbach où presque.C’est d’ailleurs la scène musicale qui m’a vue démar-rer dans No woman’s land de Elisabeth Wiener, La Marée d’inox de Ramona Lulu, Frou-frou les bains de Patrick Haudecoeur, Trazom de Dorine Hollier… C’est au Café de la gare que j’ai fait mon appren-tissage de comédienne, dirigée par Sotha, Le

graphique de Boscop, Philippe Manesse, Elle voit des nains partout puis plus tard, l’éminente relève : Manon Rony Comment l’esprit vient aux femmes. Puis le théâtre m’a fait les yeux doux, dirigée par Etienne Bierry au Poche Montparnasse, La fortune du pot, Marcel Maréchal au Rond-point Les enfants du paradis. Parallèlement, le cinéma et la TV m’ont fait des clins d’yeux, dirigée par Hervé Palud, J.Pierre Vergne, Joyce Bunuel, Philippe Harel … D’autre part, ce n’est un secret pour personne (!), Dame Nature m’a dotée d’un passeport vocal, qui me donne souvent l’occasion de doubler des «Toons» notamment pour Disney, Warner, et autres Majors .... Je suis Marceline et la Duchesse… un grand écart, qui ravit ma nature joueuse et créative.

©Ledroit-Perrin

ALEXIS NERET

CORIGNONLE DUC

En 2011, lors de sa formation à l’école Jean Périmony, Alexis est récompensé par le Prix du Jury pour son interprétation du petit vieux dans Les Chaises d’Eu-gène Ionesco mis en scène par Erick Desmarestz au concours de la ville de Savigny-sur-Orge. Des expé-riences de scène lui sont alors offertes: il joue dans Le Malade Imaginaire, Le Bourgeois Gentilhomme et interprète le rôle de Gustave Flaubert. Il aura la chance de travailler sous la direction de Pascal Légi-timus. En 2015, il met en scène Cyrano de Bergerac avec Christian Bujeau, et endosse le rôle du turbulent cadet de Gascogne au Vingtième Théâtre à Paris. Il joue également le rôle de Henri de Navarre dans la Reine Margot, ou encore celui de Vidocq dans Coup de Feu Rue Saint Roch.Au printemps 2019, il interprétera, dans La dame Céleste et le Diable Délicat du docteur Claude-Alain Planchon, le rôle de ce dernier aux côtés de Béren-gère Dautun - ex sociétaire de la Comédie Française -

et sous la direction de Sylvia Roux au Studio Heber-tot.Le cinéma ne le laisse pas indifférent. Passionné, il travaille la création de thèmes classiques qui lui sont chers et nourrit le projet de réaliser un long mé-trage, développement du court métrage tourné en février 2017 Marguerite, actuellement sélectionné ou récompensé dans plus d’une vingtaine de festivals dans le monde, dont le prix du meilleur réalisateur au Montreal International Wreath Awards Film Festival, le prix du meilleur film d’horreur au Erié international film festival, ou encore le prix du meilleur court mé-trage de fiction aux Hollywood-just for short. Très sensible aux créations « d’atmosphères » et porté par le dessin et la peinture qu’il réalise depuis toujours, il élargit ses expériences en apportant der-nièrement son concours à la création de costumes et de décors.

©DR

COSTUMIÈRE

Formée aux Beaux-Arts, Pascale Bordet est créatrice de costumes pour l’opéra, le théâtre, et de temps à autre, pour la télévision ou la scène musicale. Elle a commencé au Théâtre du Trèfle (1979-1982) et aux ateliers de l’Opéra Garnier (1982-1986).Depuis plus de vingt ans, elle travaille indépendamment et a été nommée huit fois aux Molières dans la catégorie « Meilleure créatrice de costumes », prix qu’elle a obtenu deux fois.

PARMI LES DERNIÈRES CRÉATIONS 2018Miracle en Alabama au Théâtre la BruyèreMichel-Ange et les fesses de Dieu au théâtre 142016À tort et à raison de Ronald Harwood avec Michel Bouquet en tournée et au Théâtre HébertôtL’éventail de Lady Windermer d’Oscar Wilde au Théâtre Tête d’or à Lyon en septembre2015Le roi Lear de William Shakespeare au théâtre de la Madeleine puis tournée24 heures de la vie d’une femme de Stefan Zweig au théâtre Rive GaucheL’élixir d’amour d’Eric-Emmanuel Schmitt au théâtre Rive Gauche en janvier2014Le roi se meurt d’Eugène IONESCO avec Michel BOUQUET au théâtre Hébertôt2013La flûte enchantée de Mozart opéra en plein airLa folle de Chaillot de Jean Giraudoux à la Comédie des Champs Elysées avec Annie DUPEREY2011Collaboration de Ronald HARWOOD avec Michel AUMONT et Didier SANDRE au Théâtre des Variétés

PASCALE BORDET

©Laurencine Lot

THÉÂTRE DU GYMNASE MARIE-BELLD IRECT ION JA CQUES BERT IN

38, Boulevard de Bonne Nouvelle 75010 Paris

MERCREDI-JEUDI-VENDREDI 20H45SAMEDI 16H30 ET 21H00

DIMANCHE 15H30

DU 3 OCTOBRE AU 3 FÉVRIER

CONTACT PRESSEGRÉGORY QU IQUEMELLE

GQU IQUEMELLE@2BELGES.COM06 18 56 10 36

MISE EN SCÈNE ALAIN SACHS ASSISTANTE À LA MISE EN SCÈNE CORINNE JAHIER | COSTUMES PASCALE BORDET ASSISTÉE DE SOLENNE LAFFITTE

DÉCORS PAULINE GALLOT ET ALAIN SACHS | LUMIÈRES MURIEL SACHS & PIERRE MILLE CHORÉGRAPHIES PATRICIA DELON | COIFFURES MICHELLE BERNET | PEINTURES SOPHIE HIERONIMY

AVEC LA PARTICIPATION SUR SCÈNE D’ÉDOUARD PRETET

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