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a ju i l l e t M O » Sam edi 3 Ju i l le t I M t t .
MIX DE L'ABONNCMKNT
m u m » : t r . — m t w u . t i v .
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30* A nnée.
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A U B V U U U I M l JMM) Mugr t M o < j » r « M * * * É o ' ^
OHBC TOO* U M I.18ÉU *
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A P tH « ,c ^ n n . Num m^H m de M> Bonne, •» ' ,
■ M i ' d œ i i m... j . f i f t « j < ^ L'annoi . _» .r 'I a ligne, 4 # ë i — En f*its divcre,* î
H L^llkLIL . ■ : • ■ • ■ ■
t qU-dèreous (Je L’abonnem ent t e l payable d lavaore. 11 n'est!, b !r ®“ ou.ve‘é 8‘ A î’w p ira tio n o h ti
im ais in te rrom pu e t est considéré com m n ’ donne pas d ’avis contraire .
, l i è v r e 4e la S em aine.La session exiradrdlriàfre d n 1 C (d ^ 'lég isla tif a été Couverte sans
discours de l’Ëmjterèpr. L à . Chambre ta consacrer ses séanéçs uniquèment'à 1 éxatnèn dés ppiWoirade sés mèmbpre, sans aborder aucune lob ou aifcurio' taréure qui intéresse l’eiM nible de notre
‘ é-1J-l LL' J“ * Fajnsi, il n’ÿavait dre gmrids^orps
pièls il rie sé ra il pas A l'ouvertu ro d e la
politique iQtérieorô e t ex térlèuré . Lé* chosésgta point l ie u f p o u r le sériverain, d 'en tre ten ir l ’un d e l ’E ta t^ le question* ou d e pro jets su r lesouèrô ie ts su r les
s io n açtqcllc.eance; M. Rouhfera lu u ^ é déclaration. d o n t voici le tex te :
^Â ttx ^ te rm ès d jj lâ C onstitution, la Corps législatif do it ê tre convoqué dàn* l e s # m ois q ù i su ivant lo décret d e d isso lu tion ,
« La d é là t 'I è p lu s/é lo ig n é ' p é f ir vo tre réunion é ta it lo 26 ' o c to b r ti iL d It é téIm possib re à ce tte da te de. vous soum ettre les
. '- - ® i®'. poncçrnant les au tres aflaires delE fa t . U ne sessioti ex trao rd inaire du Corps législatif é ta it donc « é d fé à i i r e : ;* î
* Da.bS 'é e tte s itM iio n , le G ouvernem ent d e l'E m pereu r a pensé q u 'i l é tait s agé 'ç t po litique d e procéder im m édiatem ent à la vérification 'd e 1vos p oüyojrs e t..'de fhire cesser ainsi to n te incertitude s u r la validité dcs'àpcralioris électorales dans chaque .circonscription.
» Dans la pensée du,G ouvernem ent, la session actuelle n a pas d ’au tro objet.; _ r ^
« Lè rcnoqvelleiWenl d it C orps législatif p a r (esufjTrage universel « s i une occasion ju t t t r a to jA u r là naliôn d e m anifester scs pensées, ses afipiràtioUs e t m besoins.
^ÿ^^h^N^lats'l^jtiqueade oette ê tre * » - — :------- ■-sa u ra it ê tré précipitée. 'A > . s ^ o n . ‘ord ina ire le G ouvernem ent
feoriitiéttra à la -h au tè abpréciàiion des pouvoirs public» les résolu* lio n s e tlè s pfojéta q u i lui a u ro n t paru les p lus propres à réaliser les v œ ux 'd it pays.
« Au nom d e l’E m p ereu r, je déclare ouverte la session ex trao rd in a ire d u Corps législatif. »
_ Ces paro les d u m in istre d ’E la t p ro d u iro n t une excellente im pression, c a r ellcp p ro u v en t q u e le gouvernem ent se préoccupe d ’associer les pouvoirs p u b lic s à des réform es q u i se ro n t la conséquence m atérielle des dern ières é lections générales.
La q u es tu re a (lût d is tr ib u e r les dossiers des élections des quatre-v ingt-rieuf départem ents. Les h u it prem iers bu reaux o n t à vérifier chaftM lés élections d e d ix départem ents ; lé neuvièm e n ’en a q ue neuf.
Celte rép a rtitio n s’est faiie Comme s u i t : le 1 " bu reau sera chargé des do reièrt d es dép a rtem en ts com pris, par o rd re a lp h a bétique, e n tre l ’Ain e t T A réy ron . L a liste d u 2* con tien t lés départem ents;des B oûches-diLR hône e t d e ’lia C orse; celle d u 3%
Som m e ; d u 9% le T à th ! efc l’Yonne.L’ehsem ble do ces qU atre-vingt-rieuf départem ents form e u n
total de deux cen t qua tre -v in g t douze circonscriptions électorales.
L’éleçtion de M. C lém eqt-D uvernois se ra , d it-o n , lrès-vlvciuent At^ u é e . ,Æ r e t ,a u ri r f[ bi^ u ^ q u ’elle e s t échue. La com m ission e t le d ite d e Choiseul-Preslin .
M. Bancel l ’a ttaq u e ra it au n o m de la gauche, e t M. G am betta v iendrait a la rescousse.
[ajesté, M. Schneider a re tiré saCorps législatif.là lecture d e la réponse d é S a démissibn. .
Nous pub lions e t la le t t r e d e H . le p résiden t e t la réponse de l'E m pereur :
« Paris, le 21 ju in 1869.« S ire; .
« P o u r se rv ir V oire M âjésté, j e n ’ai jam a is com pté avec m es convenances personnelles n ia v e c m és in té rê ts ; m ais l ’E m pereu r com prendra, j e TcSpè'rt, tfué je jfnë préoccupe davantage des sentim ents d e d ignité , e t q u e je côrisidère com m e u n devoir de ne pas laisscraflaim Ar en m éâ m ains l 'au to rité m orale si nécessaire au présiden t d ’un g ran d Corps.
■ La nom ination en ce m om en t de M. le baron Jérôm e D avid comme grand officier de la Légion d 'h o n n eu r, m e p a ra îtra it avoir ce résu lta t; elle com porte d 'a illeu rs , dans les circonstâncès'afctuelles, une signification q u i m ’oblige à p rie r l ’E m pereu r d ’accepter ma dém ission d e la haute fonction q u ’il avait daigné m e conférer.
« Je suis avec le p lu s p ro fo n d respect,« olriV . ,
« De Votre M ajreie, le t rès-hum ble e t très-obéissant se rv iteu r c l fidèle su je t,
« SCIINEIDKR. ■
• C am p de CliMons, le 24 ju in 1869.« Mon «lier m onsieur Schrièider,
« J s ne pu is accepter la dém ission q ue Vous m ’offrez p a r vo tre le ttre du 21 q u e je n’a i reçue q u ’hier.
« Au m o m en t où j e vous donnais u n nouveau tém oignage de
m a confianetret d é m bn esthtfe p o u r ) « services ém inen ts q u e v o u sa v e z re n d u sa u p o y s c t à m ongouvcrnéinont, il n ’a pu e n tre r d ans m a penséo do faire u n a c te q u i po rtât a tte in te à vo tréd ig n ilé , ni aflaibfiL l’au to rité m orale q u i vous est nécessaire com m e président du Corps législatif. La prom otion au grade d é g rand officier de la Légion d ’honneur do M. le baron Jérôm e D avid n ’a , en effet, aucun des caractères q u e vous lui a ttr ib u ez ; elle es t la ju ste récom pense d ’une carrière honorablem ent rem plie e t la réalisation d ’une prom esse faite l’annéo dernière, e td o n t, j e cro is, v o u s aviez connaissance.
. * J e no saurais ad m e ttre davantage que celte nom ination a it, dans l ’op in ion pub lique, la signification que vous paraissez redouter.
« La politique de m on gouvernem ent se m ppifesle assez c la ire m en t p ou r év iter lou téquivoquo, A près com m eavant les éjections, il continuera l’œ uvre q u ’il a entreprise : la conciliation d ’un
C I m n m Ir 4 e f e r d u N a r d .D é p a rts nr. S e n u s : 7 h . 5 6 m alin . — 1 2 h . H , — 4 h . 2 6 , — 8 h . 1 8 so ir. -
Déi*auth db P a r is : 7 h . 6 5 , — m id i, — 5 h . 10 , 1 0 h . 1 0 soir.
i iii. , i » s B w i i i j a s
i q u . _______p ouvo ir fo rt avec des institu tions.sincèrem ent libérales.
« Je com pte s u r vo lrcdévouem cntpour m ’a ider à l’accom plissem en t d e celte tâclie.
« Croyez, m on cher m onsieur Schneider, à m a sincère am itié .■ n apoléo n . >
U ne le ttre de F lorence nous apprend quo, dans u n récent co n seil présidé par le ro i V ictor-Em m anuel, M. FerrarLs au ra it fait un tableau fidèje de la situation de l ’Italie, ainsi q ue des trouilles g raves qui viennent de se produire dans plusieurs provinces. La proposition du m inistre, tendant à ce que lés m esures d e rigueu r Ire p lu s énergiques fussent employées (j l'égard des agita teurs, a éité adoptée unanim em ent p a r tousses collègues e t par le ro i lui-m ôm e. D a u tre part, le m inistère parait décidé â présenter .de nouveau au P a rlem en t les lois financières élaborées par M. Cambray-Digny, q u i leu r au ra it fait s u b ir quelques modifications, d ’accord àvec le com ité de la C ham bre des députés.
L 'assem blée générale d e la franc-m açonnerie italienne vient de tm m n c r scs travaux . Le colonel F rapolli, député a u P arlem en t de F lorence, a é té é lu grand -m aître do l'ordre.
La Gazette do T urin cro it savoir que la san té d u général Gari- baldi laisse beaucoup à désirer. L’allection rhum atism ale do n t il souffre tous les ans a celte époque est p lus intense e t si douloureuse q u e le général est obligé de garder le lit.
lue tem ps, les P olonais avait dem andé l ’appui de la leurs revendications autonom istes auprès d u cabinet
l a s H ongrois v iennent de leu r répondre en term es q u i ind iquent to u t 1 a ttachem en t du pays à la m onarchie e t do n t voici le résum é :
La Hongrie ne veu t po in t s 'im m iscer dans les affaires de la Gal-!LtL-î|l)arce <l a '* P °urrait a rriver quo la Cisleithanie, usant de
représailles, se m élat de leu rs propres a t t i r e s ; 2° parce qu 'en ap- pu y an t les idées particu laristre do laG allicie, on donnera it ainsi u n p o in t d appui aux velléités analogues des Slaves Hongrois.
E n d erq ie r lieu , l ’opinion des Hongrois é tan t q ue la Gallicic do it ê tre le boulevard de l ’A utriche contre la Russie, il im porte de no poin t p récip iter des réform es n u i au ra ien t p ou r conséquence, i la fo is, d e m éconten ter le czar e t de d im inuer la force de cohé
sion d e l ’em pire.
fkdllÿ dfiJ^esge-J)arm sladta.re[ijsé..de rec e v o ir ..i j it H nèorporâlion "de cèffo ’Ville â l â :C6hfcdôratipn du c iu n d e s p rincipaux passagesde ce docum ent p russophile
o u i p rovoque de la p a rt des feuilles a llem andes libérales-nationales d u Sud de v iolents d ém entis :
Quel est le spectacle q ue nous offre le Sud? la paresse, l’o isiveté y so n t à l ’o rd re d u jo u r . Rien n’y prospère, si ce n ’est les partis , d o n t le b u t est l’asservissem ent des esprits ou bouleversem en t général. Pçrsisterons-nous dans cet isolem ent sans gloire? La
Tération d u Sud n ’est q u ’un rôve. S i nous ne n ous décidons pas à nous réu n ir a u N ord, nous tom berons dans u ne situation incom patible avec l ’esp rit m oderne : rien do plus fatal q u ’un p ro visoire é te rne l. P our les ennem is de l’AU cm aqne, le Midi n ’est q u ’u ne brèche par laquelle ils espèrent pénétrer dans la forteresse; p o u r ceux h q u i incom be le soin de le développer à l ’in té rieu r, il n ’est q u ’une sentinelle perdue. »
U n m eeting populaire a été convoqué à Rerlin p a r plusieurs éputés du P arlem en t fédéral, après la c lô ture d e ce lte assem blée,
dans le b u t d e fonder u ne libre association pohr favoriser la n a v i- g a tio k tu r les fleuves e t les canaux allemands. » Dans le p ro g ram m e p ublié par la com m ission provisoire qui a p ris l'in itia tive de ce tte création, on l i t le passage su ivan t :
« Les récentes discussions d u Reichstag fédéral o n t m is en évidence l’insuffisance des voies ferrées allem andes e t la nécessité u rgen te d ’am éliorer e t d ’augm enter les voire fluviales.
« L ’Allemagne, e t spécialem ent la P russe, es t resté bien en a rriè re d re g ran d travaux d u s au génie d e Frédéric le G rand ; car, Sur 371 ,300 hab itan ts, elle ne possède q u ’une lieu de canal, en d ép it de la situa tion des p lus favorables d re plaines fertiles dq l’Allemagne d ii Nord e t do scs g rands fleuves. — Il s’ag it d e re lie r lios p o rts de m er avec l’in térieur du pays par dévastes canaux, e t do r d ie r en tre eux les fleuves de Mcmel, Pregcl, la V islule, 1 O der, l’E ider, l'E lbe, le W eser, l’Em s, la L ippe, l a R u h r, le R hin , le Mcin e t le D anubo.
âîoti d u b ill deT E glk te U r l a n d e co n tin u e en A nglete rre à laCFlam bre des lo rd s; Ire am endem ents son t en nom bre' considérable, m ais le p lu s im p o rtan t de tous e s t celui q u i rojpousse do 1 8 7 1 6 1872 la nuso en application du bill de M. G ladstone, d o n t les a rtic les principaux se ro n t acceptés par Ire lords com m e ils l ’o n t é té aux Com m unes. \
L’épiscopat catholique a tte n d , avec une certa ine im patience, q u e le V atican lui fasse conna ître le p rogram m e détaillé des . im portan tes questions qu’au ra à résoudre le fu tu r concile œ cum énique.
Malgré le silence d e la co u r rom aine, divers préla ts étrangers v iennent de publier sous form e d e Catéchisme d re le ttres jwslo- raies expliquant au peuple ce q u e c’est q ue le concile. Les évêques d ’U ddiue, de G uastalla, do M alinre, de M unster, de Cologne, de Sm yrno, son t Ire prem iers q u i a ien t am plem en t développé l’a u to rité suprêm e de cette assem blée. Quoi q u 'il en so it, u n groupe d e catholiaues libéraux d ’Allem agne, auquel se jo in t le savant clergé am broisicn, rédigent d re adresses â leu rs évêques p ou r les inv ite r à sou ten ir a u concile la liberté de l'E g lise e t de l’E ta t e t celle de la société m oderne basée sur la liberté de conscience.
Dre in struc teu rs de m arine, détachés de la m arine anglaise, vont passer au service du v ice-ro i d ’Egvptc. Ils"seronl placés sous le com m andem ent du cap ita ine Mac K illop, q u i a q u itté l ’Anglete rre l ’an dernieirafin de réorganiser les forces navales de l'Egypte.
On annonco q ue M. Mac-Mahon, m in istre des Etats-Unis près du d ictateu r paraguayen Loncz, e t s u r le so rt duquel on n ’é ta it pas sans inquiétudes, vient d ’adresser à la M aison-Blanche u ne le ttre d re plus rassurantes, datée d u qu a rtie r général de l'a rm ée paraguayenne.
D’après cetto m issive, la résistance con tinuera it avec p lus d acharnem ent que jam ais , e t les alliés seraient lo in d ’ê tre m aîtres d u pays.
Du 1! au 21 ju ille t c o u ran t, au ra lieu à Zug (Suisse) le grand t i r fédéral q u i rassem hlo chaque année Ire sociétés de. francs-tireurs d e chaque can ton . Le président d re tireu rs allem ands vient d adresser u n appel à tous Ire m em bres de ce tte association p our Ire engager à se rendre en Suisse. T ou t l’in té rê t de cette g rande reunion se trouve dans les d iscou rs de couleur po litique q u i y 8 fo n t prononcés e t q u i a u ro n t, p ré tend-on , unesignificalion p lus im portan te q u e ceux qui fu ren t entendus l’année d ern ière à > icnnc.
P o u r e x tra it e t rédac tion : E rnest Pavcn.
q u i s e r o n t p rodu its d*nq tou tes Ire sphjVre d o i'ac tiv ihH La difficu lté des com m unications rap ides a p u scnitfàBÉ développement. industrie l d e no tre .v ille , m aissi q ù e lq o e W n s d ès traces de chem ins d e fe r, sollicités p a r nos p opulations, recevaieât l’ap p ro b a tio n 'd û . G ouvernem ent ; ; s i de nouveaux débouchés Couvraien t à nos produits, c l à no trecom m èfce , s i enfin nods trouvions p ou r nos-relatione les facilités q u e nous é tions;ea d ro i t(l’.lltpnflm il u a I r .llln An nnlM n M Ï i! .. . ___*_.__
NOUVELLES DÉPARTEMENTALES.V o y n g c île l ’I in || io r c u r c l d e l ’I m p é p a lr ic e
à I tc a u v a is .L’Em poreur, l’Im pératrice e t leu r su ite , p a r tis dim anche m alin
ù neu f heures un q u a r t de la gare du N ord , son t descendus du tram im périal vers ouzo heures e t dem ie, à la sta tion de Hello- M ouchy, où le d uc e t la duchesse de Moucliy (princesse Anna M ural), les p rincre Achille e t Joach im M ural les reçu ren t d ans Hn
î ^ ï s s s ichapelle par Mgr T irem achc , so m ettaien t à tablo p on r le d éjeu n e r où n’étaicrit conviées aucunes personnes étrangères. C 'est à deux heures q u ’arriva â Béauvais le tra in im périal q u i, rem isé à Creil, é ta it venu rep rend re à Ilello-M ouchy les augustes voyageurs, accom pagnés cclté fois d u d u c , d e la duchesse e t des princes M urât. 1
L ’E m pereu r e t l’Im pératrice o n té té re ç u s p a r M. le p réfet e t son secrétaire général, par M. le m a ire de Bcauvais ainsi q u e lecon - seil m unicipal e t par lo général M etm ann, com m andan t de la garnison, e t son a id ed ccam p . I ls p énétrèren t ensu ite dans le r iche salon q u i le u r avait é té p réparé , e t M. le m aire Pcliihom m e, s’avançant vers l’E m pereur, prononça le d iscou rs su ivant :
« S u i e ,« E n rem ettan t à l’E m pereu r les clefs de la ville d e Beauvais,
com m e gage certain de la fidélité d e tous les habitan ts, j e ne pu is me rappeler sans ém otion q u ’en 1851 Votre M ajesté assistait ic i m êm e à u n e so lennité patriotique.
« N ous inaugurions la s ta tu e q u e n o tre reconnaissance érigeait â Jeanne H achette e t l ’élu do la nation p rononça it ces paroles q u i son t restées gravées d an s nos cœ urs : « Souvent, d isa it-il, la Providence réserve à un seul d ’être l 'in s tru m en t d u sa lu t de tous. » Cette m ission p rovidentielle, S ire , vous a été réservée e t vous la rem plissez dignem ent.
« Après d ix -h u it ans d ’u n règne d o n t les b ienfaits éclatent do tou tes pa rts e t q ue l 'h is to ire placera au rang d re p lus g lorieux, V otre Majesté daigne revenir dans nos m u rs ; E lle veu t v isiter n o tre Concours régional, e t d o n n e r par son auguste présence un nouveau gage do sollicitude p o u r les in térêts essentiels d u pays. Nous lui en tém oignons n o tre profonde o t respectueuse reconnaissance.
« Pendan t la longue période do p rospérité q ue l ’E m pire a donnée à la F ran ce , Bcauvais n ’est pas resté en deh o rs des progrès
nouvel essor, o t n o tre c iio d ev ra it à l'E m pereu r îes élém ents certa in s d ’un rich e aven ir.
« M adame,■ Veuillez agréer les respectueux hom m ages d ’u ne ■ i. _
s 'honore d ’avo ir vu na ître Jeannc-H achette , e t q u i salue avec jo ie d ans l’Im pératrice-E ugénie l ’héroïne d ’Amiens.
« Nos pères nous ren ie ra ien t, — e t nous ne sau rions p lus apprécier les grand» cœ urs, — si la .présence de Votre M ajesté ne ran im a it en nous le cu lte q u e l ’on d o it au courage.
« L’h is to ire n é s'y trom pera pas, c l elle inscrira vo tre nom parm i les plUs.illuslres. ’
« Mais la reconnaissance populaire «.devancé le jug em en t deii siècles à Venirj- e t elle p ro m e t de ' s ’acqu itte r envers vous en repo rtan t s u r le P rince itnpêrial l ’inaltérab le dévouem ent q ue sa More a conquis. » •
. L ’E m p ereu r a répondu : •M essieurs, . . I j
« J e vaus renioreie d e vou lo ir bîèfl vous souvenir de la v isité « Que j e vous ai faite il y a v ing l a n s ; m oi aussi, j e m e so u v ie n sd a• chaleureux accueil que j ’a i reçu ic i.
u X ! ? “ * £ f ' ce tte îw u g o rw t t " «totmr d e Jeanne• d e Beau va is; a u jo u rd ’h u i ce so n t les p ro -« grès de 1 industrie e t d e l ’agricu lture q u e je viens consta te r « progrès q u i son t dus au calm e e t à la tranq u illité q u i n ’o n t « ce8sé\do régner en F rance depuis dix-sep t a n s ; e t soyez « persuades, m essieurs, q u e cette tranqu illité ne sera jan ia is• profondem ent troublée. » 1
Ces paroles o n t été suivies d ’acclam ations.Le cortège se m it a lo rs en m arche. La p opulation accourue aux
aDords de la gare e t su r to u t le parcours d e cortège é ta it im m ense e t ta q uan titep resque aussi innom brabledo pom piers q u i faisaient a haie de la ra re a la cathéd rale , pu is do la cathédrale à l ’exnosi-
tion , c r e t- a -d ir e s u r u n eé lenducd’environ deux k ilom ètres, avait grand peine a conten ir ces masses de braves gens.
H fau t a jo u te r q u ’un g ran d nom bre o n t é té fort déçus, ne se b g u ran t pas 1 E m pereu r en h ab it no ir. L s général F leury e t M. R aim baux, tous d eux en costum e, o n t c ü to ù s Ire honneurs de celte prom enade. . . . . -
Le cortège éta it précédé p a r un détachem ent d e cuirassiers, puis tro is p iqueu rs, un détachem ent d e cen t-gardre , e t enfin tro is vo itures suivies d ’un nouvçai}, pelo ton de cuirassicre. V enaien t à lâ su ite les vo itures d re au to rités de la Ville.
L’E m pereu r et l’Im pératrice , avaient p ris place na turellem ent dans la prem ière vo iture avec lo général Fleury.
M“ “ Caret te e t de Saulcy, dam es d ’ImUneur d e l 'Im pératrice , avec les p rinces Joachim e t A chille M ural, occupaient la seconde
Dans la tro isièm e se U ouvaien t l e d ù c e t la duchesse déM ouchv!»! * L erm ina e t M. le com te de Cosaé-Brissac.. I« s m rlrresjfas n am o an jes . *
e t (a garde nationale fa isaien t i se dirigea d ’abo rd vers la cathédrale.
L’im m ense e t m agnifique c h œ u r de la vieille ca th éd ra le— hélas! pourquoi n ’y a-t-il q ue celai — es t couvert d e tap is faits à Beauvais; un dais g igantesque e n velours rouge e t o r , doublé de sa tin jau n e e t d o id é d 'herm ine , es t m ajestueusem ent suspendu au -dessus des prie-Dieu o ù Mgr G ignoüx, évêque d e B eanvais, reçoit l ’E m pereu r e t l’Im péra trice en leu r adressan t le discours qu’on va lire :
• S ire , M adame,« C’est la seconde fois q u e Votre Majesté vient adorer Dieu dans
cette ancienne basilique, e t la socondc fois que j 'a i l ’h o nneur insigne de la recevoir. D ans le . p rem ier voyage, S ire , voiis étiez seu l; au jo u rd ’h u i, p rès de Votre Majesté, nos yeux contem plent avec b onheur cette auguste com pagne d o n t là F rance est fière, dont la France bénit le nom synonym e de la charité.
« En elle la d ouceur ne n u it pas â la force; nous l'avons vue fi Amiens, nous l’avons vue il y a quelques jo u rs à P aris , nous la verrons p a rto u t e t tou jours.
« Bcauvais, S ire , ne sau ra it oublier n ue de votre bouclic so rtiren t, il y a d ix -h u it ans, ces m ém orables paroles : « Souven t il p laît à la Providence d e se serv ir « d 'u n seul p ou r le sa lu t d e tous. » Elles se son t réalisées; plaise à Dieu q u ’elles se réalisent tou jou rs malgré la m obilité a re op inions h um aines, tro p o u blieuses d re services ren d u s, e t m algré les passions frém issantes de l’anarch ie .
« Le m onde ca tho lique , les yeux fixés s u r la F rance, l’o reille a tten tive â to u t ce q u i so d i t de la p a r t d e l ’E m p ereu r, rie saurait non plus pordre le souvenir d u solennel engagem ent d u n d e vos m in istre : A bandonner le sa in t père, ja m a is ! Ce m o t énerg ique, ém inem m ent digne d u fils aîné de l’Eglise, é ta it, S ire , l ’écho do votre g rand cœ ur.
« E t nous aussi, nous répéterons m ille fois : Q ue ja m a is la
FEUILLETON.(3)
LE COLONEL D’ANGES.
Et la jeuric fille s e pen d it vivem ent a u cordon d e la son n ette .
An d eh ors, on en ten d it dans |e co rr id or d es p as qui IVotlaient tô p â fq u et c i tine voix q u i frtdonriaït le même, coüplét d e la cüànsott d c s H eu res ;
tu, vrrft«jr*w ? lU m A l lM U i -i dYmOnr «t àa cb^nlp«gn«
Aux PBnMTn^ttbi; 1KdVn>nA-aoatf d1— ------- „rit qtM iurtoutla gu^oÉ n'entre p«»1
Pùip la p p r |e u 'ouvrli.— G arçon , fil A m élie , avec-voua d es cigare* p eu r rao tf
^ L e terb in s ’arrêta siupéfaÙ ? Ce m o t- li n’éta it pas dan* le* habitudes de* cabinet*. p artic il|ier t.'
Il feortit, Sans èhafriler c é t lé fo is , e t rap p o rta bientôt le* dgares deriiarfdés. ..
D om inique ayant a llijm é son lon d ri* d e Bercy, sa fille lu i d it:
— A l'au tre m ain ten an t, pêrol— A l’a u tr e secre t?— O ni. . .— J ’en a l d on c un autre? . .— \ l ût* sem b le , T ù viep* d e T avoner tou t A I h eu re en m e
priant d e n e poin l invoquer d e so u v en ir s m ilita ires.D om inique rougit e t b a lb u tia .— Je s n i s u n p é a , c o m m e le* làu reaax d e co h ib a t. Je
n'aim e p as le roogo.— R aU on d elem p éraracn l, père. L’autre raison m a in ten an t!
•— C’est q u e ... d a m ! m on enfant, c’e s t bien d u r h d ire !E t le graY éùr e u t com m e un sartgjol d ans la vo ix .—■ Les secrets pén ib les son t m oin s lourds quand on les
porte i d en x , p è r e ! E t, tu le sa is , j e su is ton airii !D om inique regarda sa fille dan* les yeux avec un se n li
m en t Visible d ’angoisse .— Il y a d es ch oses q u e l ’on no sa it com m ent avou er.— Des cr im es, par exem p le! fit A urélie eu rian t.— O uj, de* cr im es.— A llons, m on petit père cr im in el, confesse-to i ID om inique fit un efifbrl su r lui-m ôm e e t com m ença len te
m ent. e n b a issan t I* Voix :— Afl*1u parfois en ten d u parler d es jou rn ées d e ju in ?•— Q uelles jo u rn ées, pôre ?— En ju in 1848.— C onnais p as.
— C’m I « e ù i déjà , m on enfant, et jam ais personne n e m ’én a p ar lé devan t to i.
— Q u’y a-t-il d o n c A cette da te?—r D u *aug, d e s b arr icad es... e t l'archevôquo d e Paris
lou d royé n u * palm e à la m ain . ,— O ui, m onseigneur Affre. On n’a ja m a is su q u i l ’ava it tu é ,
n’e s t-c e p a s /— N o n : ce lu i qu i l ’a tu é ne le visait peut-être pas ; m ais
o n a voulu trouver l ’a ssa ssin ... Je fus pris su r un bru it v a g u e ... on m e tradu isit devant Un conseil d e g u e r r e .. . c l ton p ir e fu t condam né à mort» Assurém ent j ’au ra is m érité ce lte peine s i j'eu sse é té coupable; m ais j 'é ta is innocent ; e t c’e s t d u r d e m ourir pour le crim e d'un autre. T u av a is d ix - hu it m ois , A u ré lie ... e t ta m ère m ourut fo lle , en apprenant la se n te n c e .. .
— Pauvre père!— Voilà pourquoi je ne puis voir un pantalon rouge.— Mai* q u i d on c t'a sau vé , père?— Un en fa n t... un In con n u ... E ncore un verre d e ch a m
p agn e, A nrélie !— E h b ien , non, p ir e , ne reparlons p ins d e c e s m auvais
jours.
E t faisant le lo u r d e lu tab le , e lle l’em brassa fièvreusem ent, en lu i prenant la tê te d an s sc s m ains m ignonnes.
— C’est fini, r ep r it-e lle , n ous n ’en r cparlcrous jam ais p lu s!
Dans u n e d e nos v illes frontières q u ’il e s t au m oins in u tile d e nom m er, u n e scèn e ava it lieu p récisém ent i la m êm e h eure, tenant par d es fils en core in v is ib les aux événem ents q u e nous venons d e raconter.
Le colonel d ’A nges, com m andant le rég im ent qui s ’y trouvait eu garnison, a ss is ta it à un punch offert au x officiers p ar le licu tenau l-co lonel nouveau venu au corps.
N ous con n a isson s trop b ien l ’arm ée fran ça ise pour n ous la isser a ller à la ten tation d e créer un corps de fanta isie . Le régim ent don t il est ici q u estion ressem ble à tou s les an tres, et e s t fait d 'hom m es pris d an s l'en sem b le e t co u lé d an s ce inou ïe rig id e o ù les a u tres corp s p ren n en t leu r form e m orale. '
C ependant le co lonel d ’A nges, nature d ’é life , a vait d onné à son régim ent une physionom ie toute sp éc ia le . H y r ég n a it en m aître absolu par l ’a scen d an t ir r é s is t ib le d e s o n b e a o caractère et p ar son esp r it d e ju stice et d 'im p a rtia lité . Sa vaste in telligen ce, se s c on n a issan ces pratiques e t sa bravoure in d iscu tab le , lu i avaient fa it pardonner sa jeu n esse et son rqpide avan cem en t, e t le s grin ch eu rs d u corp s s ’éta ien t sen tis a ttirés eux-m ôm es v ers lu i p ar u n ch arm e secret don t ils n'avaient pu se d éfen d rè longtem ps.
Au ser tir d e ta b le , o ù il ava it d în é eu lê le-ù -tôte avec sa jeu n o fem m e, le co lonel av a it reçu par le té légrap h e u n e dépêche qu-’il avait paru lir e avec in térêt et qu'il ava it la issée ouverte su r la tab le , d ans son cab in et d e travail.
P u is, ayant e m brassé sa fom m e e t sa fille — un ange m u tin d o trois à q u atre an s, — il é ta it parti pour retrouver se s officiers au ca fé .
th iq u e d e s b e lles natures : m ignonne, b lo n d e , p&lotte, elle ava it o«Ue b ea u té p articu lière aux filles du N ord . Elle a im ait le c o lo o d Jgsqn'ù l’ad oration . " s o p iè m r
l l j g s q n ______ ______* a i l physique co m m e au m oral,
Pour c lic , il é ta it la perfection
Cet am ou r d e fem m e s ’é ta it ft son insu transform é d a n s son âm e. Il s'y m êla it du respect, d u cu lte , et auqai q u e lq u e 1n o n Hf, î a ln n c i l l I A -flln n a l ci l>An na na.H rl .a . ' — I , •____ _peu d e ja lo u sie . Le co lonel s i bon, s i g ran d , s f cpmpl su p ér ieu r aux autres h om m es, devait naturellem ent a p p eler à lu i d’au tres cœ u rs d e fem m es. Ce qu i se trouvé d a n s le rayonnem ent d e la lu m ière en su b it l'in fluence.
E l e lle avait p eu r. S i son m ari cessa it d ’ê tre à elle tou t e n tier , c ’é ta it la m ort I
L u i, le so ld a t, avait s i b ien com pris ce tto d o u ce fa ib lesse , qu’il avd il fa it de son m énage un p etit sa n c tu a ire o ù le m onde n e pénétrait p as. M aître d ’u n* fortu n e o p u len te il v iva it d an s son in tér ieu r com m e si son b u J g e t lo i e n e û t la i t u n e nécessité .
C elle v ie retirée n’é ta it p as un sacr ifice bien lourd fa it à la tran q u illité ja lou se d e sa fem m e. I l s e com plaisa it dân* c e lte retra ite , d o n t la petite R osin e é ta it l e bru it e t là j o i e , :
P u is , â certa in es ép oq u es, aûii de rom pre bette m on oton ie , il donnait de* fêtés â son régim ent don t les g ra n d s fra is écorn aien t légèrem ent son superflu . Daiis ces occasion s-là sa jeu n e fem m e é ta it rad ieuse c l renchérissait éricoré su r la lib éra lité d u co lon el, ea r d ans c e s fê le s m ilitifré s . Il h ’J av a it q u e d es uniform es.
La ja lo u sie a d es cau ses m u ltip les C eliè d e k ”* d ’A n sesni! InnlA d ’Inclin ,.! I - ___________ j . _____ / * * .
m ent d e sa propre fa ib lesse encore p lu s q ue d e l’égoïsm e.,La pauvre jeunp fem m e sa v a it ce qu’il t avait d ’am ou r
Sitir e lle e t d ’honrienr d ’h om m e d a n s l'âm e d e «on m a r i, éanm oins e lle s e d éfen d a it m al d e sa crainte e t s ’en v o u la it
d e son in excu sab le fa ib le sse . E ilccro y a il à la loyale dtàU O re d u co lo n e l, à sa natu i1* ou verte , et pourtant, à cdrtafrtës h eu res, q uelque ch o se d ’im m a itr issb le la poursuivait daris lb bureau d e son m a r i; t e s m ain s fiévreuses Iburràgaleritdarik les pap erasses, s e s yeu x fou illa ien t jusqu’au m oin d re recoin .
Pu is c lle ren tra it ch ez e lle toute h on teu se de c e tte défiance qu’e lle savait ê tre u ne m au va ise action .
E l e lle p leurait su r e lte -ln êm c , c lic donnait à «a cu riosité
T( I
tfr& U Buc--?
l'ro loetion d iv ine n 'ab an d o n n e rE in p em ir, l 'Im pératrice , le P rince Im jiérial ! Q m ja m a is les doctrines odieuses et envoyantes p ou r I av en ir ihi juV ivalt-nld^nsyiotrc belle France! L e pouvoir nYst l»asm oins néW s&tiic'à là liberté q u a l’o r d r e : puisse-t-on le
iii C îviiitli
1*8 m oins ucù& aiic ' c o m p re n d re !- ; .
• Puisse-t-on com prendre égalem ent que la religion, base et juido du-pou voir, m odératrice e t règle de la liberté des peuplesguido dtl-(Milvoir, m odératrice e t règle d e 'la liberté"’des’peupie
est lo jn e in je r beso in ,connue le prem ier devoir d e la société.« Eli déposant aux pieds de Votre Majesté l’hom m age de mon
dévouem ent U iV rospeclueux, e.t mes vieux les p lus sincères tan t po u r Elle q ue p o u r 1 Jm oératrico et q ue l > P rince Im péria l, je te rm ine p ar cè tte p rière q ue nous offrons to u jou rs à Dieu, devant
Jtei sa in ts nutcls : F ia i m n s u tua .super r i n i ni dexterw luw t! super f iljfin i h om inis m cu ifo iif ir in a s ti tibi. «
L’èhnperonr a répondu « qu 'il accueillait to u jou rs avec déi’é- « ronce les adresses des év«V|U(<s u n i lui tiennent le langage d e D
• • pTélé'et 110 cessent de rappeler les saintes doc trines, e t q ue , si - ses p rières é ta ien t exaucées, la religion serait honorée, le pem«it « iieuroutf, la F rance grande et prospère. »
Un Te J h u m e t u n Domine sàleuin solennel o n t é té chantésw.. I..J .M .U IU u n ,<« o u ïr il ut bUlt'IIlU’i o u i Ole CliaillCS^apres ces d iscou rs pendant q ue la foule se p ressait tum ultueusem en t dans la cathédrale et aux abords.«une, IU t il. Minime vi tlliA itlllims.
Do la cathédrale l’Em pereur se rendit à l’exposition p a r le concourè h ippiquo; tou jou rs accom pagné de l'Im pératriée , nui lü l 'su r to u l l ’o b je t d 'u n e d ém onstration en p assan t devant l’Hôtel- Dieu trèsrqm é e t o ù lessorurs do charité s ’é ta ien t groupées avec les enfan ts des pauvres p ou r la m ieux saluer.
L’E m pereu r s 'e st arrê té devant les chevaux do JI. le baron de F o iin n c ry ,d é p u té d e la S o m m e ,c t il a adm iré le petit étalon Ttirbiqo
•qui lu i a é té présen té ; Rue cha rru e à vapeur, à q u a tre socles a bouleversé en u n clin d ’œ il d evan t lui u ne vieille ro u te foulé depuis P lu s de. cen t ans . Enlin l’E m pereu r a voulu soulever lui-m êm e u n bloc én o ru iedep ie rre -ii l’a id ed ’u nc so rte de grue-locom otive q u ’un en fan t d e q u a to rze a n s p ou rra it m anier.
A l’en trée d e l’exposition industrie lle , l'E m p ereu r a é té reçu p a r le d u c d e Moucliy e t M. d e Corboron, député sortant au jo u rd 'h u i cham bellan du souverain. V ingt-quatre jeunes lille<’ vêtues de b lan c , attendaient. là i ’Im pératrico p o u r lui o ffrir m i bouquél q iie lu i nrçsepta en ces term es MIU M arie (i.iilla rj ül!.- du présidepl d u jr ib u n a l :
j ‘ * M adam e,« J ’ai l ’Iionnour^aii nom d es jeunes filles de la ville d .-ileou vais
ue .vous o llyir ces fleurs. Dads la vieille c ité do Jeanne H achette ' nous som m es habituées à honorer le courage q u i r a i l avec lè dévouem ent. «
I.’Im pératrjçe répondit par d e gracieuses paroles et baisa 1 enfan t au fron t. O n lui présenta ensuite m esdam es Chevreau Corberoii, G aillard, Pctillioininô e t . les présidentes d e toutes le- œ uvres de bienfaisance qui so n t en grand uo in b rê à Deauvais.
A pres sa visite à l'exposition industrie lle e t dos beaux-arts, oi'i 1 E m pereu r s’intéressa à bon nom bre d ’œ uvres rem arquables, il regagna sa vo itu re , e t a u m ilieu de la m êm e foule et d e là m êm e poussière, v in t s’installer su r l’estrade dressée à la porte de l’hôtel «le ville p ou r là d i s t r i b u t i f des p rix . l'Im péra trice prit place à «.■* çotes. Les dam es e t les jeunes fi Mes de la ville o ccupaient «les g rad ins places su r tou te l'é tendue d e la place d e chaque cô té de I estrade im périale.
Mgr (ligneux , évêque de Deauvais, M. D anjou, p résident honora ire du tn b u n a l civil do Deauvais, e t M. d lla u d ic o u r t «le T artigny , q u i n 'é ta ien t q ue chevaliers, reçu ren t des m ains de 1 E m pereur la cro ix «l'officier de la Légion d ’honneur. Reçurent la croix de chevalier : M. Doiacour, ancien m ag istral, président de la bociete d ’ho rlicu ltu re de Deauvais ; M. Lévèqtie, peintre verrierindiniiril l>nn/ni( tnnni.iïnhl .1» I) . ,, ... • t . 'uevequo, peintre verni m em bre d u conseil m unicipal de Deauvais; M. T oupie, m aire
r-sur-Oise; M. Labilte. (Gustave), médecin «le l’hospice «“1 tli- i ( 'r in m tl • M T /m ....! .1.. i l . __ . . .
P r c e y - s u r - O i .... w iu h c ^« is iuve j, nieuecin «te t Hospice «les a liénés de ( Je rm o n t; M. T oupet, m aire de Mouv ; M. Poirel l ila leu r à D alagnv; M. Vasselle, m a ire d ’H élom csiiiï; M du Dais vice-prosedent d u tribuna l civil de Deauvais; M. T rihoulet’ c u ltiv a teu r à Ansanvillers (Som m e); M. P e tit, cu ltivateu r - à (foam pagne, (Seino-el-Oiso) ; M. G arnol, cultivateur à V illaroche (Seinc-el-Mjiriie) , et fenvaux, cu ltivateu r à Choisv, (Soine-ci- M iime). • * v
A près u ne légère collation à un buffet dressé à l’Hôlel-de-Vilh*I E m pereu r e t sa su ite se rend iren t à la gare, non sans a riv tés à la M anufacture de tanis. «ml’lnilit-inli-icf. ra. nl .
* i, • « wi aune se ■ oiHiiicm a ni gare, non sans s ê trearrê tes a la M anufacture de tap is , o u l’Im péra tric f rec u l u n «lernier bouquet. 11 é ta it c inq heures 1/1 quand le tra in im périal se m il en m arche. Rarem ent l’Em pereur a d û recevoir des populations un......... l'E m pereur.u «m _______ ___plus chaud accueil. 11 faut d ire q u e to u t a co n trib u é à rend re brillan te cette solennité, organisée avec au tan t d ’intelligence, que «lezele par les au to rités de la ville patrio tique e t hospitalière de Deai vais. *
S l u r e ^ u d e « atom m e donnan t les m eilleurs soins uu xa iiim a itx de l'arm er,
<l»i leu r o n t é té rem is en dé/nit.MM. Le F rère Kugèno-Mario, d irec teu r de l'In stitu t à Deauvais
Iioclielort \u iu is-G ustave), à Thiescoiirl,Delignières (A lexandre), A Canny-sur-M alz ;Gore (Philippe), à Encncourl-le Sec;De la D runeric (Jules), à Fenières ;Leleu-Millon (Noël)) à Ravenel ;Paussy (H enri), à L iherm ont ;Lecus (E dm ond), à Guiscard ;C hevalier (E rnest', à Francières;D csm arest (A rthu r), à V illcrs-Saiiil-Frani! o m v •Lcm airc (E rnest), à Ognon ;Durgcviii (Joseph), à T iverny:Fasquel (Conslance-Jules), à Courteuil ;D einonchy (Nicolas-Augustin), à T illé ;Sainte-Douve (Jacipies), à P lailly ;L ebellc(A lphonse), à Gouy-les-Grcseillers;> a cousin (Alexandre), à C hepoix;P raq u in (Fédéric-Auguste), à Ilém évillers.
S B C N U , I f * .
Nous avons le regret d ’annoncer la m ort de no tro confrère, M. (.harles Duriez, im prin iour à Senlis «•! proprié taire-géran t du jou rn a l le Courrier tic l'Oise.
Hom m e intelligent, laborieux , tou t c n lh 'r e t sans cesso aux «Ithcalsol m ultiples détails «|iioconiporte la position q u ’il occupait, notro regretté confrère em porte dans la tom be les sincères regrets de ses nom breux am is et de tous'.«eux auxquels il n été donné d a pprécier chez. I hom m e e t chez le père de fam ille les sentim ents q m n o n t cesse de le gu ider e t de le souten ir dans sa labo rieus’ quo ique trop courte carrière.
M. l)u rii« r ia it depuis ( 8 i 2 à la lé lc d c l 'im p u m c n c e t nvnit tonde en 1 8 1 1 le journal auquel- il y a quelques jo u rs à peine il consacrait «MU-ore les in stan ts d e calm e q ue lui Accordait sa maladie. A djoint au m a ire d e Senlis en 1 8 i8 , élu conseiller m unicipal en 1863, il avait consacré au service de son pays les loisirs «lue lui laissait sa position.
Les obsèques de M. Duriez o n t eu lieu jeu d i dern ie r, a u milieu d une foule nom breuse et sym path ique, appartenant à tous les rangs de la soeufo. Mus par un sen tim ent pleifi de haute convenance, le m aire, les adjoints, les m em bres du Conseil m unicipal se son t reunis avant l 'h eu re des obsèques à l’Hôlel-de- \ iIJoçl se sont rendus en corps au dom icile d u défunt,
A 1 issue des dernières p rières d e l'Eglise, les m em bres de la Loge m açonnique «le Senlis, à laquelle appartenait M. Duriez, lui ont rendu les d e rm e s devoirs. Voici en q uels term es s’est exprim é celui des frères m açons chargé en celle tr is te circonstance de po rte r la paro le au nom «le la Loge m açonnique :
« M«'s frères,“ Hans u ne circonstance aussi douloureuse, no tre p rem ier'
devoir était «le venir d ire un dern ie r adieu à n o tre bien aim é et bien regrette frere Duriez.
« Il a vécu parm i nous d e folle sorte q ue nous ne «levons plus q u e nous ne pouvons plus l ’oublier.
« Comme citoyen et com m e père de fam ille, j ’aurais souhaité vivem ent «pi une voix plus autorisée q ue la m ienne vint célébrer dignem ent et ce qu il a été, et ce q u ’il a fait. Du reste, sa vie, ses m alheurs, ses bit tes infatigables, sa vive et profonde affection p ou r les siens, to u t cela n est-il pas assez connu d e to u s ’ r .“ ty m m e franc-maçon, il appartien t à nous, mes frères, de faire ici I eloge «le son esprit libre et généreux, tou jou rs au service « u n e ju s te e t noble cause; «le son cœ ur fraternel, tou jours p rêt au dévouem ent cl a u sacrifice. 1
c ^ ous savez que dans le conseil, il nous su rp rena it p a r la sagesse, la m odération, la c la rté de sa raison et d e ses idées; que dans 1 ac tion , il nous cu lm ina it par la cha leu r et la sincérité de ses exemples. \
« Ame vraim ent fraternelle, et naturellem ent élevée, c .eu r si fulele a tous les sentim ents do solidarité inaeonniiiue, il j, honoré par toutes les q u a lit.» e t tou tes les vertus ia franc-m açonnerie, à laquelle d o ta it lier d 'apparten ir.
■< Nous tous, ses frères e t ses am is sincères, nous nous efforcerons il e tre ses im ita teurs, e t nous conserverons éternellem ent son souvenir, avec un profond regret de l’hom m e qui descend d ans la tom be, avec un vif et du rab le a ttachem ent p ou r la làm illc «iui lui su rv it, et a laquelle jam ais ne fera défaut n o tre sym path ique et fraternel concours. , .
P rère D uriez, reçois l ’adieu de fos frères, et 1 a ssurance «tu’ilsne failliront pas au «levoir q u i leu r reste à rem p lir envois ceuxq ue tu laisses après toi. '
■■ A dieu, frère. Adieu. »
C a i s s e d ’Ë p a r g n c « le S e n E i s .
Situa tion de la C aisse (l'optuyiia tle S en lis cave.déposants au 3 0 ju in IS09.
Le so ld e d û a u x d é p o sa n ts le 3 0 m a rs1809éta it d e .....................................................................
A jou tan t p o u r re d re s se m e n t d u co m p te dés in té rê ts c ap ita lisé s au 1" ja n v ie r I8G9, p a r su ite «le l 'a p u re m e n t d e s é c r it m e s , a in s i q u ’il I8G9 (*'* ' IU (*cs ^ 'r e c te u r s d u 2 0 a v ril
E n sem b le .............................P e n d a n t le d eu x ièm e tr im e s tr e d e 1809, j|
'? ,29r) 'c r s e m e n ls q u i s e so n t é levés àa I /o ,2 2 0 f r . 31 c ., s a v o ir :1279 v e rse m e n ts eu e sp èces . . 173 ,512 4 8 j
i V i a l i « S i î e V l t e c a p l i e s c l S S lv - îc i ico m p tes so ld é s p e n d a n t c e tr im e s tr e ................
T o ta l .........................A d é d u ire If.0 ,710 f. 97 «:., m o n tan t d e 433
re m b o u rs e m e n ts . d o n t 127 p o u r so ld e q u i «Â'i L,,i ht m êm e tem p s, savon- •ir t i r c m b o u rse m c iits e sp è c e s . . 139.079 7 4 \ ‘■18 a c h a ts d e re u e s .................2 0 ,0 0 5 2 5 '
I tra n s fe r t p a ie m e n t.............. 1 ,027 08.)
1 ,8 5 8 ,7 8 0 53
2 21t , 85 8 .7 8 2 7 i
L f.çons i>’Hoiitic.vi.tcrk.Taille cii vert. — écussons. — tra va u x de saison.
Dimanche i 1 : Séanco à Duron, à 8 heures d u m a lin . — Leçon après la séance.
Séanco à N'anlcuil, à 2 h eu res de l ’après-m idi. — Leçon après la séance. • ‘
L u n d i 1 2 : Leçon & Thury-cn-V alo is, à la m airie , à 9 h . du m atin .
Séanco à Detz, à 2 h . 1 do l'après-m idi. ■— Leçon après laséance. * 1
M ardi 13 : Leçon à D oran, à 9 hour«*s du m alin .S tan ce à Cham bly, à 2 heures de d 'ap rès-in id i. — I.econ après
la séance ' * rJeu d i 1*5 ; Leçon ù Ita rav , chez M. Delignières, à 9 h . tfialin. S tanco à Rellusy, à 2 h , de l’ap rès-m id i. — Leçon apr
D im anche 18 ; Leçon à Auger-St-Vincent, à 8 h . d u m atin, l A-on à Grépv, à 12 h. 1/2. - Séance après la leçon.J e u d i*2-2 • l.ei-m i ?i «tniivimiv- r . .-. n i . (|u m
Leçon après la
*I*ont-Slo-.Maxence, à m id i précis. —
l T a - i i 1’ ' *'**• u|iic; ......Je u d i22 : Leçon à (.«un ions, à la m airie , à 9 h . d u m alin,
icc à Chantilly , à 2 h . do l'après-m idi.Séance séance))
Dimanche 2 5 : Leçon Séaqco a p rès la leçon*.
Séanco à Creil, à 2 heures de l’ap rès-m id i. — Leçon ap rès la séance * 1
ILe T Iié« irc -S i’i,a n v a îs à S n in f-V in c en t.La s o iré e d u sa m e d i 2fi j . in 18G9 a éfo , p o u r les «'lè
les am is d e S a in l-V in ceu l, u n e fè le l i t té r a ir e d o n t ils d e rn n i lo n g tem p s le so u v e n ir .
Ou a t te n d a i t b e a u c o u p d e MM. S é w s tc , M assot, G n é rin ! a r t is te s d e la Coin t '«lie F ra n ç a is e , e t «le M. M azo n d ic r, la u ré a t du C o n se rv a to ire ; o n p e u t d ir e q u e la co m m u n e a tte n te a c lé d« 'p assée.
Le p ro g ra m m e é ta it h e u re u se m e n t v a rié . M olière y te n a it u ne la r g e p lace , e l c ’e s t ju s tic e . C’e s t u n b ien fa it p u b lie ilo fa ire c o n n a ître e t a im e r M olière , ou d u m o in s c e r ta in e s œ u v res «le M olière . Chez cet h o m m e, la lé g è re té n ’e s t q u ’A la s u r - lace : la leçon n u ira lo e s t d e sso u s , p ro fo n d e «•! v ig o u reu se P o u r em p lo y e r u n e co m p a ra iso n c é lè b re , l 'iro n ie e s t là com m e l’a ig tn lle q u i p e rc e c l fa it p a s se r lu fil. E t, p a r ex em p le , p o u r q u i s a i t c o m p re n d re , y a-t-il u n e tr is te sse m ieu x s e n tie q u e ce lle d u M isanthrope?
Les dé fa illan ces d e s Ames les p lu s fo r te s , m û n e d a n s 'une L poque sa in e et ré g u liè re , le M isanthrope vous les d i r a • j | e st p o u r les e s p r i ts ju s te s c l les c œ u rs b ien f i i t s ce q ue l a u s t cl M anfrcd so n t p o u r les im ag in a tio n s ex cessives c l les c œ u rs m a la d ifs . Le r u d e À lccste vous é lo ig n e ra d e c es Ames la d e s et m o lle s , q u i , en p ré se n c e d u m a l, u c s a v e n t p a s s in d ig n e r , e t n 'o n t p a s p .u ir les m é c h a n ts
Ces haines vigoureuses Que t'oit (tonner te vice aux âmes verlueu
A vec lu i vous d e v ie n d re z a n tip a th iq u e A to u te a ffec ta tio n a to u te m anière , A to u t c«i q u i s o r t d e la n a tu re e t d e là<1 lu w it IIIIIIIILIu, il IIIUI C«! q u i Sül l Utv é r ité ; vous re n v e r re z e n le u r lieu le s g râ c e s fa n i «fos." les finesses a ln in b iq iiéc s , les s e n tim e n ts q u iiilc sseu e ié s , le tnari- va n d a g e m iro i ta n t e t p ré c ie u x ; vous a im e re z d e p lu s e u p lus le v ra i , le n a tu re l q u i se u l e s t a im a b le , a d i t Ifoilc m e t D otleau a r a is o n . ’
Le m êm e B oiteau n ’a p a s é té te n d re p o u r M olière . A p ro p o s (t u n e a u t r e p iece q u i fig u ra it é g a le m e n t a u p ro g ra m m e :
Dans le sac ridicule où Scaiiin l'enveloppe,Je ne reconnais plus l'aulcur du Misanthrope.
T a n t m ieu x , rép o tid rn i-jc a n c r i t iq u e c h a g r in ; M olière e u t- i l u se d e to u te s les re s so u rc e s d e so n a r t , s ’il n ’ava it eu le s e c re t d e s e v a r ie r a in s i?
Les F ourberies do S cd p in m é r i te r a ie n t n u a i t l re re p ro c h eI IIIIO in .ll lll.... I , . . . (1^..___i.. , _ . . . *----- - /»*«• ii iu i l i e r , n i
ce lu i d ’une im ita tio n t ro p f la g ra n te , d so n s ie ’m ô l 's a n s ’b à r - «!î!a!ÎP.Ü*. Ee <i’r s l pas p o u r a v o ir fait
580 9 !
2 ,0 3 4 ,589~9Ô
100,710 97
• m c , ' ' ,a,l! a “ * d é p o sa n ts le 30j 'i iu IS09 , e s t d e .................................1 .875 .878 99
é v é r ita b le ,L e C aissier,
E . V TIN.
I a r décre t im peria! en da te d u 3 0 ju in 1809, les conseils «i arrondissem ents so réu n iro n t le 2G ju ille t prochain p ou r la p rem ière partie de le u r session, d o n t la du rée Jest fixé# à cinq
i» In r i , t . w Carî.C<î-(In 12 i*- CV1,st‘il départem ental a nom m é« l e * l à i ‘f r n 8V0U.é» p 0 ,,r ,a s '*rv« lla n c e d e s écolesd e la v ille de. Senlis, en rem placem ent do M. Dufay, décédé
; objets
S«M «« <é triio rilru ltu p c «le Scnll.v.Ordre du jo u r de la séance du 4 Ju ille t 1809.
<,ans lw ÙJHiiléd. - Exam en «le «teposes su r le bureau.A 2 h . , réunion générale.A.I(j|.liu,i.lu |,ru c iM W ln l ,U( la m „cc du (I Ju in .Au m ission «I un m em bre nouveaux D épouillem ent «le la « o rrèspondaiice (.oinm uiiicati.m «Indécisions d u GoiiiiléconsulLitir Rapports des (.om ités s u r les objets pr('*senlés.|i roposdtons e t com m unications.
Société,1'* 1,U m alin ’ k‘ 0n d ho rlic" U" rc I'1 ja rd in de la
q u e lq u e s e m p ru n te a n P l m i o » , q u e M nllùre m e 1 linriiîl c o n ila m n a lile : lû m e s les [n is q u 'i l luuc lio * •Tùrenee il |è n in n ilie c l le li'u iis ln i-n ic ; il ne p a r la g o |u is le o ln il d e son s unie p n n r ec ilc im -B lénandre ,c l. il l 'e x q u ise u i'lian ilé d e l’es- el.ive iifi-icain, il j in ifé re é v id e m m e n t la lan g u e IValichc cl iniiTuin In u l.ilen ieu l h a r d ie île P ia u le : S /m rc id ic i v e r tu s Ini m em o ra b ilc tt (C upl. P ro l. 6 e ) .
« lu is je v ien s d e re l i re le l ’édau l jo n c , d e C yrano d e D ei- g c ra e , .11 j ai é té s lu p é fa il d u s a n s gCne avec leque l le g ra n d M uliere s a p p r o p n a l l le b ien d 'a n l r u i . Il y a là d e s s u s ! j e le ï ï n ' . m f (;'i ic s . I .e s .e ia n d s J i i in W ii i 'i ,d l i iU nh-dm m - 1 I " " ' " 11 c l I re s eo m m ndii p o iir les ce rv e lles Ind - l ' e ' ‘ i i‘'s so ti lc n e u rs d e p a ra d o x e s : m a is il ne se i-iïl
» r des’ e a d a w e s ! d '* " l , l r iw r lc » ' • ! « » " « <1U >> »‘« i'« ^ (U
Q uo i.qu 'il e n so it, les F ourberies d e Scaiiin s e u l on n e nlliil p s d é je p U a m ç s porrr- le s gens . q u i , , 'o u l „ j
fae r d è s ^
r a l Ü u * " ' " ' - 'f . l '^ S 'a n i u i e p .ir l . i i l au ss i le nom d e re l ieS u e ' ' “ p l r a l i » » .* y iittm ifiir d S
le o u , ' d i r i , l°e , ' r ' l t e » T ” 11? l i -r " i l ,,ÏCC ‘ ' « « " ' n l Wnom «le t a il le n t d e D ritanm cus, s i «m uc sav a it nonn " S f , 1. ■ro :,n |l ,c iiial'iH 'live d e . é g /n ie l ù d i S 0q . c eu x la IIII'IIIC q u i se sm ii le p in s ap p ro e lié s d e l 'id é a le I oesie , el q u i o u i la il c h a u s s e r à l e u r m u se le n lu s s S rô
S h n S - S ,ù , l’i' s c r , , l , r U " " " ‘ «™“ le» f i S u q i m u 'r s ' , ! s . , 'r ! S | ' ! " ,Î , , !° 1,1 P ia isn n le r ie . Ila i lne" . , . I '" i b t i r d e s le t t r e s d e P o il-U nvu | e t don ié i'ië im Vl*i“ , ;, î,,-n,ri5 ^ " .> o!^ c t tre m p é e s do v en in , les n iu lle u tc .s , j«. c i o is, q u i e x is te n t «m lan g u e frança ise» I l n ’est
J e tlo S VU ‘" ,SSi ;li‘ «’îiP i'ché, d o n sIci i cJ ^ a. i st „ 1. lx: . „eà. , uo ijes
s o iré e SLI,CUX 0 “ S' ' " |l la c e a “ " i « I f e . iu lé re s s a n lç
«Ion .'au , U e V w U d é c h iré e q u i a “ dm
d e c ro ire c l d 'a im e r , r l q u e la voix d e s c lo ch es im porliine w r c o « r e l i e re sse m b le à la voix d u r e m o rd s , c i q n 'e lh " # ei î » l |s U r n e d u s e e n U W p q H H 0 3 A M ’. ' l x m
ot lo fond «le son c«eui-, de tul-méme ignoré, peu de vieille foi, parfum évapoté. lfit/J-dioiii.J
De l o n t t«lien en
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lien e n j a r M i h e r . on a vu e n p ré se n c e r l n , conflit < w J ai " ! T ü m 6 ," , ,e '.H , ô è ,,û d tf» l a W b ^ o r |g ih 2 Uïx
m uvniit: rnx <1..
a i l i e r , on
d é b n l d e n o tre th é â tre , la t r p u n e do M oliè re a v n ï ^ u ? n .ù tc l d e B ou ig o g n c . La ^ if t lo if tW ' A e é Æ c i l ié ^ i f v lc h ' p a r fa ite d ig n ité r t la n o b le sse , ce n a tu re l q u i ne p eu t ô lre ilt q u un n a tu re l l r è . s - l m a i l l e t t r è s - s a v a n r1 P ®,r e lc|
i ^ s ^ i i î S S a S ' 5 ? ! ] ? . ' . ^ puru n e so u p le sse d e p p r n l c e , d , j e ules e x p ie s - i , upu »iiui|i>tr a d i t io n offic ie lle , p ro d u i t la n e rfrc lio n E n la '7 ’ ,u
r a d ie r d a n s e r â le d 'O ro n lo . les p r é lc n lio n » e l te v'a, ild m i !ih n lm arq u is h e l - o s p r i l r t l d a n s ce lu i d e I I “ l e s ï i s t e îlo> t ic s d e c e r ta in s c ic é rn n s Hn m ’ovi.,..» ... „ Cs. ' tlus rie., d e c o r la in s r ic é ro n s d p p rovince ' e n h n , d u n iie r .a i .x s lro f il lr s « jM o V eid rU h 'iÆ een l l e u r K m
’A 1
g ra n d p a é lc u r n 'a u ra i ! |m on d i r e e n u n e h , , « f f l M M ’M M- S êvcslo s ’appM. M assct a jo u é , s u p é r ie u re m e n t le rô le cb lé ll l’.V f I il «ldio hôi'n !.. "
I e v iliu u -l«> ch o ses q u e , le plus i ie .h e u ro . . i j'PPjjflJt® à ' s r f nhiis.
b ien i .illi'li!de f o '« “ lc !q n b r e f ë l r ië d ig n m h m c m iiè n n c îh | h n in n ie e u x rubans m à ; e l d a n s le X c o u r s d o l”« i» l î il r e p ro d u is a i l , avec , u n e e x a c lllu d c i r ré s is lîb iè m ïü i co m iq u e 1rs in lo n a lio n e b u r le s q u e s d é so i, j e 'Û S s S n , q u i . m a ig re so n in e x p é rie n c e , fa isa it a s s e i b o n n p n îv .ln a
Aii :,c,tî,,rs •«•V1? JT ^ m iè re iscène d u m o n d e . M (fu é rin d it avec u n e v é r ité «licidon.i»^ j . Ul,IH, • ■ im m u iu ic Mitnie «tu m o n d e 31 G uéri,,
N e ^ L ^ ' ; ‘e , ,VJC
p re n d re c o n g é d e n o u s , e l M. I f f i T i L S K" " o r p r é i ç . d ‘ s vers d e c irc o n s lk n c c . i . e p u b lic v n' i ccouim o u l io le d o n p n e liq ile , u n e 'q iln li lé d i,) . ip po rlicu ', S e m c n i « se s 1, 111, s . r , q u e 1rs p r iv ilég ié s M , :'W a | i p r é r £ p h Ï Ï o s r : ,e vonx d u e c e lle p a r la i le e o n v ë n a n îé . « I l e a m a-
b ilifo , C c je ilo sa is quoi q u i d r i l in a û c rtiifo.ii-H 'hm i i . k . .T » "î : . « • u v e n a iic r , c e tte a m a -
I.V é c y « .fo M /s (yH(, , q , „ d is tin g u e .in jo ü rd h u i l’h o n in e ! I'} *1'" f s D a d a u 1 7 - S iècle I honnc le h o m m e
h ab ilc léF o u r ê t r e co m p lt-l, j e d e v ra is d ir e bvcé q u c ï ïê 'l ia b i lc lé j ..,0IX a JVUÔ- !' , , r *c l^ a ,l° u n e o iiv e r ti irc d u B arb ier de
S M I la . é t :ù |,‘e h llv ih ln re d e i 'e o . /rn in iï . M , A ™ h t jtro fe sscn r d e m u s iq u e « m ûrira it «lè co i h n m m .M lié ,en , r , Je p r « l 4 o 1 , , d s s e ? ) ! f % ^ e ^ / î W ^ c^I o n t s i c h a le u rc u s e m e id a p p la u d i . n a I "
Un a c c iilrn ,. q u i pou v a it a v o ir d e fn n çs lo s c o n s in u e n c rs e s , a r r iv é à S .-nlis m a rd i d e rn ie r . 20 ju in ‘•“ “ séq u en ces .
M. X . . . se p ro m e n a i, v e rs lo m ilieu d u j o u r su iv i d e ses a n s u n e ru e d ô s r r iP .-mnoizs» i- o ..I j . . . hC!>
. . . . lc m ilieu a ,| j o u r su iv d e kmen fan ts .' D ans u n e ru e « luserte a p p e lé e la ru e d e s Ja rd in ip r* d a p r rq o i, M i l i a . , a u m il ie u d û h o ïb es .™ !,e lm ,e & sa vue a sse z fa ib le lu , fa i , p r e u d r ,, p q u r u i ï l é w d . S r i m m o n tr e r A sc s e n fa n ts «inc le J tW rd e s t iiuiDRiii - n . i . ^ i •inolTeusir q u e c ra in lif , il seI a n im a l, b e a u c o u p p lu s g ro s q u ’u n lé z a rd , Iqj en v e lo p p e lo p o ig n e t, e l le m o rd .. . S in n i is c l « ,i« t ««,,. I L r - S 1 . B
rlsèn i, la p ia fo , La n ia ip ■s'cs't.eugoiirdio d 'n l L c t'f ld re g 'g n a i l in se n s ib le m e n t ju sq u 'A fn b o rd avec Ile b ra s
m a n | s , é s . f ) * «À u p iu rd l iu i , M . X ... e s t p ré sq ite c n l i i r c m c n l 'r é ta b l i .
1 s ’en e n q u it . M. X . A.V u . 1 ’ p re s q u e c n tie re n ie n l ré ta b li .
Q u a n t A la v ip è re ; 011 s e r t e n q u it . M. X . . . n ’nv .u l pas
ntdrP du n '*■•". . . . _ , vtlv ..p p e léo .laest fougue d e 4 0 ccu lin iè lro s p i n m n iiA "■««g o u lo l d 'u n e b o u te il le . E lle po ide c o m m e W i f t e r S ^ i 9 ”! t d e s c rn p h e ls à v en in , r e c o u rb é s e l m o b ile s u n i so n i üî*11"!’ nu dcVaiil d e la
la v ip è re jSonl c re u se s e'| 'm a rq u é e s en ' ’
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F , S , 7 5 r ' ' S ® I K 2
p e l i ls ré s e rv o ir s à la h .ise .d e c h a q u e d e n , 1
i i i i f e s i s
B3<«t c i v i l « le fS en llA ,.
d ' , . . . N aissances.Itoard (M arguente-A lphonsine); ' . ,A iibcrl (E lirnne-V ictôr). •! ii,;. ,
Ks m ois'Linné (A nliiine-qjn'sidore), 83 hns « 'm ois
eequcm oiillA delaîde-Conslanco), veuve j ia u p in , 8 7 a n s 2 m ois Publie /liions d e m a rie tic t.
Ç J ” ' c ' " j ' p e i'sp icae ilé d o n t so n , d o u é s les c u ra n ts , Rosim , a p e rç u ! le n u a g e q u tc o u v ro i , la lig u re d e sa m ère f S 1? , ! ', chev i1 cl » p ru d a n l au cou d e h, p a u v re
V " * 111 J ' le u d re s se d o n , o u ne l 'e u tp a s c r u e ca p a b le :^ 'T ^ .S ô u ff re R , m è re ?
Un tp u f p e til p eu .— M ais lu so u ffre s fo n jo u rs q u a n d p è re n ’e s t pas IA !
ΰ.US**- V rn fa n l vcna il d e lo u c h e r u n peu b ru sq u e - m c n l s a p la te sec i e tc . .. . M
~ |N!n ' ' ,,u‘*011 a D e tid an l T h c n re d u som m eil
lon gtem p s’deho!v!.ral '' *' " dH '1" il "c s m " f™( j A S l t e S S i È rC.P' ! 1 a. ,,ss. ilù l lc " « » " • ^ A m élie , il e ù l é lé
A . d r d é ( ,c n n e i ' ,a n a tu re d e sa p ré o c c u p a tio n persévérant^ . H
A p lu sieu rs, r e p r is e s elle tourna te l i l e co m m e p o u r £ ’ T ,a I " ' l’o b séd a i, ; m ais à la l l ,e ta r e n s t a
b e m b la n le- ,<v (lO.OlUIllvC JCUIlt
m ,’éÛ!.Svon? m ." Pili 5 ' î W .A 'n w * * » » } * 8 c la m a u v a ise a c iiu n q u eHc va c tm im e tiré , se r e n d i t , u n b o ’ ’ le c a b in e t d u cô lo n c l.
b o u g e o ir A la m a in , d a n s
i W f e r s •*- *q u i tiro ic iiL le s . ...
Uou.ÿrit d u b o p l d it d o lg l é t lu t :
> : ---------- — e Ifjtriu, éln o ir , avec se s b a n d e s a z u ré e s
Z o ' *r. î ü i i T i ' n o i‘I Ul> a ° 'g l e l lu t ;* S u r s ig ita le iflen l, re t ro u v é e a u G ym nase Su lly .V iens jVRé, v t r r a s d ém n in lo i-m ôm e. »
i ; « Albert »d u r* n p l re trouvée f la m b o y è re n t a u x yeux
U n é f tm m e ! « sca rb o u c le s . Ce fém in in d é n o n ç a it
,,or,1in« r a P*ï« d u f lu id e é le c tr iq u e n ’esl pas ® f f i n !.*0,ï re c ,0 , ,0 'JjMUr? * 1 flue T e m u e l d u m o t p o u v aitAlICU . Cire lin llIXH Hi> flàUlruum nruto il . . . (--la-:.i ) r k ai «evfiw iu lu i i j i iu r s e ï q u e l 'e u
'E li ll l lo «n,ivn 1.x I.w. j . . .i l r ï î o 'S S é V " ,! , ,0 ,l» J“ l0u ; e e n d es ango isses ind ic ib les , rk h l Æ l ! ? i ir s r in q .sn n é in , d o son m é n a g e so d re s sé
' l e ' :” ,ll r t * T " ,* avec le u rs m o in d re s Iu c ld e n ls , c , b ien
U r r i b i r 8 ' “ '-’S in b an le s p re n a ie n l lo u l à co u p u n e g ra v ilé
p l a u s i b C ! 1 l’l " Si™ r3 fuis s a " “ m o tifs
i, il I ll,llc .'b".,? s “ " ll:lssi! d 'h o m m e u n e lim ire d ° m m e m m t'n «un c 'J ia i i d é ro b é e __ ■ - n 0 'u«. u .. • « ■■ ' ' ' •« «m ilium u n e u s u r e «i'* -e in m c a im é e q u i s ’é la i l d é ro b é e aux r e g a rd " e t (,.ri v en a it - to u jo u rs re c h e rc h é e - d e r e p a r a î t r e A l 'h o r iz o n ?
Ce rc tic u v c c d u t t lé g r .im tn c lo d is a it b ien .im iir ,® 0 I* l t ,n ,r a ‘l,,cJ«|Ucti n u iu iic s (ivaiil l ’h e u ic d i t e c l i o u i a sa fem m e e n p le in e c r is e n o rveuse .
- - V oyons, m o n c n fa n l, lu i d it- i l d e ce to n n u i i v m n n n i to u jo u rs h. s é r é n i té d a n s l’â m e d e la ja lm fsc" h , t,e^ H «Jonc j a m a is A m es ab sen ces ? J e le liens le n lu s "i-u»d rHnénià d u p ro fond a m b u r q u i «e re n d si n iilh m fo o . ' n is c l t c c e s e r a i t m e ille u r «l’a v o ir d u c o u ra g e !
7 ~ p h ! m on R ic h a rd , c ’e s l n.iss«’- «i tu uv.i-.i^ . . . . . . . . t
p in s o n 'CU' C p r o " liso- " ' 'é " r » i s ï 'o u v é c g a ie co m iq e nu
o î e ï ï E S S ' . f W . dirC ' C,,F,n,; " ,ÈrC ctl lp“i ““ ' a— A llons! a llo n s.' j e vous p ré p a re u n e n e litc s u rn ii< :..-
S 'p a r i ï ! 6 * risC" e s f D a,,? jo u r s n o u s s e ro n s
~ T u v à rA ép !ié is» aSSa t h n * !CS yCllX d 'Arc<:’li,;-— Avec v ous d e u x , m a co lone lle !— P o u r a ffa ire s d e se rv ice»— P o u r f lâ n e r u n b r in , m ad am e .~ W P ° u r v o ir G uignol. nA! \
n o u s ™ c ; S t e h , e m 'm ; j „ ni: ' ,MOi" ' , '1 r # , ° i r ‘'■«•i3 » o l ro .. .
r S i : ,d MU ipi" a cuup •»— « te lm c M n . R ic h a rd !0 ' V° " 4 C , ,is " 01 ' l " ‘ r l , rn l)? t'o t l* !— V ra isem b lab lem en t, m a co lonelle.
les n o m s les p lu s o d ie u x ; len d e m a in .
J.e s o i r d o puiir.li. e lle oyoR . e c u ld u i l le co ten r l iu x qu 'au il ,l<! 1 a p p o rle m o u L P u is e lle l 'a v a i l re te n u l u r e neüo
p a r un sc r re m c n l d e m a in |,ro ln n g 4 . 1 “ " u— A dix h e u re s — h e u re 'm ilita i, 'u ! fil le colnnnl— Dieu v u r? •Pf 1
, „ 7 , d e . ’" P“ " vr° a r *, " s ‘e- aie <lc m ' i . i™ v o lub ilis es,
— V ciix-I„ q u e je russes se u lo n ,e n , ne lo d tr p ré se n c e ? -
a v ï ü l in u l ' h , ï ' ,“ r a i l «•alv l(>rU*r<l. ,.e d e v o ira v a n t t o u t , j t n en s u is p lu s A I a p p re n d re ,,
U l b é n n a p a ro le s , c o n im e les b o n n e s a c lio n s , n ié f ilo n t -------- - r ; ” wt»-", «•«•iiiiuu ics îionnos aclionsk ile u r réeo m p en se . T u a u ra s u n q u a r t d ' m u re d e m i r a ' o r o d e m a m je id T i.H s i l'o i-Jro d â j o u r ï ï S , 9 '■
L ll PCII (Ifi n u l l> II (If s f lld tt V /.lll Ivili.v I ' ' '- , j e tu t i l t 13 «I I «I. UI C u
U n p eu d e p a tien ce , m o n v o lub ilis! E l le co lonel l 'e m b ra s sa a u IVonl n / i u iu i1
A m élie!
I u n i m a s s a a u i r o n t .I u is il s 'é lo ig n a c h a n lo n n a n l è l fai.san lclj« inô ler son
s u r le pavé d e la m e . ' ro m m d p o u r p r , i l , ' c r 1 , m tsm ie a u p rè s d e sa fom m o a im é e . " T: fo r W .
J Z . l ï S f ï â ï " " ! ! ! ^ î î L ’r * ! ' . ^ . P ^ M u 'r n o > é ,e du. - y ........................ fl’” UoYlt la p é ^ é liic r to - ro te dut fo î î ,,,ûn ,b î,Hj ° ,*'*'d'htii, q u e l’An no
o ? ,,,o lro c iv i,is a ll° n f ro n d e u se , cesa iu o u is se c a c h e n t p o u r c c h a p p e r a u r(y c . . -,
A m élie re n tra n a v ré e ; e lle o u v rit la fen ê tre s a n s nt
S S î â " ,8 ? v ü c <,U rC8;" ' 1 J" M," ’aU p , ^ ,it' r ^ l o u r q u i leuly
l e i n d . l V i PlV'im ? 1,1 r' l lô l l '« . V in t s e m e u re le . p i é d r s u é le g , i id c - lc i i , I u n i a t o n e , los m a in s s u r le s g e n o u x . '
^ i R e a in e m e u a i ln n b r n i l d 'e n fé r d a n s les a t i l r e i p iSe,., .
E lle a r r iv a a in si c h iv iiu c h a n l à n p rè s do sa m ère
si j te v a is 'u n ^ i » f â v pl!)s ;
E h b ierl? tn t q h l és l BAh. f fllT W f m T S n l n i i S S f 1S àn m . h , peux m e d u ,m e r u n e p re u v e d e eo, a m m ,r
— N e r is p a s a in s i . . .-<■ J e ne ris p lu s !
- Eh b ie n I c e lle p re u v e n o u v e lle .. . n 'e s t d e r e m e ttr a au
& -— J a i ln il.',I,.-.ol... . . . . . . ,
, . . . . . . . . . . „ m o is :
E l h ' ' , , e li î a U p h ,» . t , ' iC l' P8,M' ' n u “ 1,uri' ’11' ' '
s f i L j e' a'h,c(srp t '" P*vrjf, qui qu.ri 1
clm.M 4 - Kn ,t.b |eu wj|lftl, r
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n1r„ C," M’‘.'Ja ‘ “ t l * • P r r fc lion «te Cliornl.it DuK imjilcs o ‘t unir,ttr< ."l'è "l" ,‘" la1nat> ' ,u fJoùle» ou . nU IlteuA lA tincM "iil iir li tf i t ....I V , „ . uuuUunct spcomtM qui, cn liv o u l nü enen»
, . 1 ! ..............! (L inriU j ro L luieolnl est |,arfnilenii.'iit k ,I,|I,|o etOlivirnl n i» rOnniv,.. !... i ’ , |iarrnilcni,.‘iit infoltlc et “ . w S u „ ! *!' te d te b U vüeqifto p h i,
«Iii.tlilo VfthitlA A « «V «1 oV '.V ) ) i 1’ î C,'i T* fL , il,I l f> fr . lu l i t . ; \ Î Ï J Ï Ï S ô é l K r: f '• . V- . * « Chocolat
1" - tlu tl (T ’L« ** pur « <lle l’itiltin il est
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II.. I, pu r ««ne r il non il c itSenti» , « mi « A.' ' <e». pfacoiVen,l3|}if, f.ifi,. ffr. |>ciiH\‘ «
ehpt lemilyiwq. et êpiç.
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Margucriti Fou tain
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1. Avilly1“ L 'A u 2 ° / ld i e t
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approuvé pa l’In térieur, a élé désigné l ’arrondisscr judiciaires c
est oldigatoi soixantfvncii feuilles de l’a l’insertion d<
Elude d é 1 r u e è
C iR R IÈflSiso t e r r o i r
lit
L’adjudicatio w p l J u ille «les criées tattee d e S
En cxccuti nislèrc do La Maxcncc, en enregistré, tr des hypothè 1869, vol. 4!
El à, la Lemairc, pn ranl à JLianct
Ayant pou Il sera1 pr«
vJist L andqt, nouille, c an t
N’ayant pa A la venu
plus offrant l’extinction t
D’uhe Gari la Garcriue d, ficio, ' j ' coin l’entourent; d’un cô té no couchant à coinmuno cl aux héritiers
Oiitide l’on, •a mis»!
il pouifaison quérir lion d'
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E n r ^ i s l r etxfih, reçu
PM nne c l do
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JOUItNAL DIS SKNIi'lS.
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HPcom ê. S i U e u , r>8inaux. H t. Nous u c r re nu i r r i t e de f avec la il ê t r e Ici
c jillé par l à (unies " iu le à la ml jo u e r p u is p ;u " fié so l legCStCS l (
le P a r is ; ni' à to u r URCm'cm « I l é ta it n rl.iii en i rem ue- î le plus
r s 1 ain is. I >1 avait te n u e de b,lit -Jean, ib lem cn i pu ffleu r, ï f ig u re à . G uérin l iq u e de eu CI Inm m e un u p a r un »sê p o u r b ijem cn l rec o n n u , ja lo u ic n t •r p in s à Ho a rp a - l'h o m m c
h a b ile té irbtcr de 'a im ab le i inco in- c u i s q u i
qucnccs,
vi d e scs rd in ie rs , hdsc que IK 'siriiul nul aussi au ss ilô l
iloppe le s. il je lle
il a une iug . puis i reçoit- I. eaulé* île b ra s ; ic itàçn iit t p ro d u i- s 'é ta ie n t
. ré ta b li, iv .ul pas n m ç s de
■ri. k l le ie fjire le IVipnroK l p lacés e s te q ue d esso u s
le pe lilo dans, de
ire d e là M. X. .
a p a r tie llt'IIlCIll,le m o r t , c a u lé r i- 'in iq u e s é s .
Idly, e t Ognon. ainc-ct-
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lire au
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S ©nilrinc,
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MJlIftllrI I.ÇÎICÏ10 c; h
|ll|c c l icn irn l le l!l. î inculnt n II c l t»«Hl “épie.
Loire), e t m adem oiselle Beiicq (Gatherine-PhiUppine) sans pro fession à S a in t-S a tu rn in . ,
M ariages.Vallée (Louis-Fclix), ct'm &dpmoiselle Morin (Roec-Krnesline). Tarcy (Joseph-Thcophih»), e t madem oiselle Ile rb lo t (Marie*
Marguerite-Claire).Fontaine (A inbroise*Goustant),cl tnadem oiselle l)al|in (Argeline).
î festival q u i deva it ayoir lieu dans ceUo est définitivem ent rem is a u dim anche p o u s ‘T àv ionâ annoncé. E u voici l |
P a s s a g e s d e t r o u p e » .Le 2* bataillon d u 49* de ligne so rendan t du H avre au cam p do
Chiions, fo rt de 18 officiers, 418 hom m es e t 2 chevaux, logera à UeauVais Ips 0 e t 7: ju ille t,' le 8 à C lerm ont e t le U h Compiègue.
Un bataillon d u I IP de ligne so ren d an t d e Caen àu cam p du Chiions, fo rt de 17 pfïlçjcrs, 485 hom m esdo troupe e t 4 chevaux, logera i Scnlis lu 8 ju ille t.
L’é lat-m ajor e t q p bataillon d e .mémo régim ent se ren d an t également de Caen au cam p do Ghàlons, fo rls ensem ble d e 2 5 o ff i- cicra, 485 hom m es d e troupe e t 4 chevaux, logeront à Sonlis lo
| M # i ï\ i i i w i N H *iàograinm otî Lj .
; Jusqu’à onze heu res , les M usiques se ron t reçues par M. lo Maire e t MM. les,M em bres du Conseil m unicipal, sous le péristyle de la M airie, où Tè v i i rd ’h o hneu r leu r sera offert, au fu r e t à mesure de leu r «privée. , . .
A onze héurcâ e t"dèirfie, réunion do toutes les M usiques, s u r l’ancienne place de la Fêle , avec. Bannières e t Insignes, p ou rso rendre en cortège, cii traversan t la com m une, su r l’em placem ent du Festival.
A m idi précis, d é p a t td u Cortège p our le défilé, e t o uvertu re d u Festival par la Fanfare de F lcurines.
Dre MEDAILLES DÉ VERMEIL so n t offertes par les Notabilités de la com m une.
F A N F À K E S .1. F o u l a l n c - l c s . C o r p s - M i i d s ,
48 .exécutante. . . . . . . .4° Im Reine R erlhe , ouvertu re . . .
’ 2" L 'E l is ir c / fA v w r e , fantaisie . -. .
A * .L a k e n a e s s é a d R ois, o uvertu re .2° L a Fée de Postdata, fantaisie . . ,
3 . C r u n d - F r c s n o y , 20 exécutants4 “ F a n ta i s i e ......................................... .2* M arche .....................
4. . I l o r t e f o n d a â u c , 2 0 exécutants1 . Pœ tilio , m arche tr io m p h a le .. .2 . A urore , m arche .........................
5. C h a n t i l l y , 18 exécutants . . ..1* O u v e rtu re . . . . • .........................2° Fantaisie ................. ....................
C her : VERIN. Tiu-iAno.Nkkuman.Chef : MEUNIER. T ii.t.nno.T ill ia iu ».
Cher : 110BIGAND. X.H.Chef : PELLETIER.Clo d o m ir .T i i .u a u n .
Chef : "JULIEN.
O R i » l l l E O N $ .1 4 'exécu tan ts . . .. . . . .
1“ VAigle. de-Frànce . . . . . . .2° A dieu e t R e tour . . . . . • . . . .
2. P o n t - S t e - H a ï C H e e , I8 c x é c . , 1* S a lu t a u x C hanteurs .2* L es F r a n c s - T ir e u r s .....................
3. A u g i c o n r t , 2 0 e x écu tan ts . . .1° P atrie . . .........................................2° L a T yro lienne des Pyrénées. . .
C h ef; BENSSE. S t k iSt z .Cii. S c.i i i.o s sb .
C her: CARILLON. A annoisn T homas.L . df. R il l é .
Chef ; BOULANGER. L . lu; R il l k .
20 e x é c u ta n ts ................................. C hef; LABERGUERY.4° Les Moissonneurs de la P r ie . . . L. u k R il l k .2* L a P rin tan ière ................................. OSCAU CoMKTTANT.
5. l'oiit-Nte-lInxrnre, 30o.\éc . Chef : MEUNIER.4” Vivat, chœ ur avec so lo ................. L u ic i Boiidksk .2* Chœur des P è le rin s , opéra (b
Jérusalem . . J ............................. VF.nui.G. N îa p -e B il- I rw -W iv B ^ c » , 3 0 cxéc. C hef : LÉTRILLARD.
1° L is P aysans ..................................... A. S a in t is .2" L e d épart des Chasseurs . . . . An. S.vei.N.
7. C.’o s u 2>îèa;u(* , exécutan ts . C h .'f :
4. C k e v r i è r c s , 42 exécutants . . C h e f: BOURSIER.4° A udaiilo ............................................. GAMini:n.2 ' Thémistocle . . . . ; ..................... ScilMKlDFII.
2 . Saiiil-itlaxâmiii, 18 exécutants. C hef : CASS1ROLLA.4° L u P erle , fan ta isie ......................... D uiiam kl.2“ Polonaise ............................................ Maiuk.
3 . > V c p I s c i-î c , exécu tan ts ................. C hef : MARÉCHAL.4* L ’Ingénue, m a r c h e ......................... X.2* L ’A u tom ne, fantaisie......................... X.
4 . Ponlpoiul, exécutan ts . . . . 4“ F antaisie s u r la S tra n ie ra . . . .
C hef : MEUNIER.
2'* A ir varié.................................................. N .5.- S c n l i s , 3 2 exécutan ts.......................... C h e f : CHAUVIN.
1 “ O uverture d e R é a l r i x ...................... B f l i .i m .2° Fantaisie s u r M a rth a ..................... ni: F lo to w .
Après le concours, m orceaux d ’cnseiiible p ar les Sociétés in stru m entales : le Sergen t, pas redoub lé sous la direction de 51. N antiiik i».
D istribu tion solennelle des prix su r la Place. .A h u it heu res c l dem ie d u so ir, Bal public à grand orchestre .
Dans n o tre num éro d u 7 novem bre I8G 8, nous avons annoncé l’apparition d u M oniteur de l ’Orphéon, cho ra l e t in strum en ta l, e t nous avons appelé su r ce lle publication l'a tten tio n d e tou tes les personnes q u i se préoccupent 'd u développem ent d e nos Sociétés d e m usique. Le soin apporté à la rédaction des prem iers num éros, le ta len t bien connu des artistes ém inents q u i avaient p rom is leu r co llaboration, le dévouem ent p rouve des fondateurs d e cette1 nouvelle feuille o rphéôn ique , to u t, ju sq u ’aux a ttaques violentes d o n t elle é ta it l’ob jet, n o u s avait la it un devoir de la recom m ander au public.
L e M oniteur de l ’Orphéon, q u i com pte m ain tenant neuf mois d'existence, n 'a pas cessé un seu l ii.s’.an t depuis sa fondation de ten ir les prom esses de son p ro g ram m e; paraissan t régulièrem ent chaque sem aine, il apporte aux m aîtres d e sages conseils p o iir la bonne d irection des é ludes; il in itie ses lecteurs à tous les événem ents q ui peuvent avoir v u e influence quelconque s u r la m arche générale do l ’orphéon français; e t en p u b lian t les appréciations (les ju ry s des concours, il se r t à l 'in s truc tion des exécutan ts en leu r faisant connaître les fautes à év ite r e t 1rs qualités q u ’ils do ivent s'efforcer d 'acquérir . \
Nous croyons donc u tile d 'in sis te r encore au jo u rd 'h u i su r Ira services sérieux q u e peu t rendre ce tte pub lica tion , e t nous engageons fortem ent nos Sociétés m usicales à fa ire u n léger sacrifice p ou r é tab lir en tre elles une com plète e t constan te com m union d ’idées. '
Les bureaux du jo u rn a l, d o n t l’ab o nnem en t annuel e s t de 12 i'r., so n t situés ru e G range-B atelière, u* 2 0 ; il a p o u r rédacteur en ch e f M. AhVed Leroy, auquel la correspondance d o it ê tre a d re s sé e .
â t a i n t i n c » . — Les faits regrettables do n t la com m une do Saiu!m cs a été le théâ tre pendan t la soirée du 2 1 ju in nous o n t am ené à fa ire quelques recherches su r cette coutum e bizarre d jà llum er des feux le jo u r do la fête de Saint-Jcan-Baplistc, en réjouissance de l 'arrivée d u soleil a u solstico d ’éto. •
Celle coutum e se ra ttach e au pèlerinage étab li à Snintincs vers la lin des croisades e t q u i a é té pendant longtem ps le plus renom m é des pèlerinages d u Valois. I) après un h istorien digne de foi, « on s’y renda it do tou tes les provinces de F ranco e t môme des royaum es étranger». •
Il é ta it a lo rs d 'u sage , p o u r les pèlerins, d ’a rriv er la veille de la Saint-Jean e t d e r.e baigner dans la fontaine, q u i avait, croyail-oa, la p rop rié té d e guérir les m aladies e t spécialem ent l’épilepsie; ils passaient la nu it à la belle étoile, couchés pêle-mêle dans le c im etière ou aux ab o rd s d e l'église. Après avoir en tendu la messe d u jo u r e t la it do nom breuses em plettes à la foire, où sodonnaient rendez-vous une m u ltitu d e de m archands, chaquo pèlerin repren a it le chem in de son pays, em p o rtan t, p o u r se préservor des accidents d u tonnerre , quelques déb ris d u bûcher, de l ’eau do la fontaine e t u ne petite figuro en plom b do sa in t Jean-Baptiste.
.L’ancienne confrérie u e S ain t-Jean-B aptiste fut reconstituée par lessoins de P ie rre de G üignùrès, (pii o b tin t à ce t effet une bulle d u l ’apo C lém ent VI, m ais les archives a yant été b rûlées pendant les guerres d u lig n e de C harles VI, il fallut de nouveau recourir au Pape, e t Clém ent VU, par une bulle datée d u 12 avril 1531, consacra les anciennes coutum es.
Quelques tem ps ap rès, les bains d evinren t une source d ’assez jo lis revenus, ca r ils é ta ien t d ivisés en tro is classes e t ne coûtaient pas m oins de 3 0 , II» e t 8 livres, ce (pii a ttira eulin l'a tten tion de m onseigneur Sanguin , évêque de Sonlis, (pii p a r une ordonnance du 24 ju in 1048, défendit les bains, -• tan t à cause de la m allolo q u ’à cause du spectacle indécent des gens q u i se déshabillaient publiquem ent ju sq u ’à la nud ité av an t d ’ê tre plongés dans la fontaine. »
Les m arguillcrs, (pii voyaient p o rte r a tte in te à leu rs intérêts, usèrent de tous les m oyens p o u r am eu ter le peuple con tre l ’évèqué de Sonlis, . l'u n d es p lus réguliers e t des p lus respectables prélats du clergé d e F rance. » Ils en appelèren t de l’ordonnance, comme d 'abus, au Parlem ent q u i finalem ent prononça co n tre eux une am ende de douze liv res . Cet a rrê t n e p u t d ’abord ê tre exécuté, m ais le cu ré de Sain t-P ierre de Verberic parv in t enfin à ram ener jes m arguillcrs à l ’obéissance, *■ en leu r donnan t 4 livres de rente à la condition q u ’on ne se baignerait plus. »
Le pèlerinage d e Sain t ines, qu i alla it de pair avec ceux d u M oat- Saint-M iciiel, de S n in l-IIu b c rl, du Saint-Jacques en Gallicie, de S ain t-P ierre de R om e e t de Jérusalem , n’est p lu ; guère fréquenté m ain tenan t (pie p a r les h ab itan ts des com m unes de Bélhisy, Saint- S auveur, V crbcrie, Sa in t-W aast, en tre lesquels s 'é tab lit p ou r la possession de la perche placée s u r le bûcher, des rivalités (pii fout b ien tô t pleuvoir ho rions et coups de poing plus d ru s e t plus nom breux q u e les g ou ttes d’eau bénite échappées du goupillon de M. le çiiré.
Nbns savons com bien il se ra it difficile à cet Iionorableecelésiüs- liq u e de s'élever seul co n tre les abus q u i sc com m etten t sous le prétexte de la d évo tion ; m ais nous pensons qu ’en présence de la g rav ité du scandale de ce tte année, l’adm in istra tion prendra des m esures p ou r en su p p rim er la cause, en in te rd isan t le feu d e là S a 'n l-Jcan , conservé ju sq u ’à ce jo u r p a r une superstition aussi ignoran te q u ’im m orale .
LA NATIONALEC apita l d e garan tie en tiè rem en t réa lisé : Î!K» m â J îL ï t j j»
A ssu ra n c e s s u r la v ie . — A ssu ra n c e s eu c a s d e d écès . R e n te s v iag è re s .
S 'a d re s s e r à S en lis , ch ez M. C h a rle s d e L a.nux , ru e N euve- d e P a r i s (p o rte C o m piùgnc).
L ’ ü N i q t îCOM PAGNIE D’ASSURANCES SU R LA V IE HUMAINE
C ap ita l d e g a ra n t ie e t fonds p lacés T ren te m illions de franr*.
ASSURANCES DE CAPITAUX "Pay ib 'c s a p r è s d écès , p e rm e tta n t a u p è re d e L m illu d e
la is s e r u n c a p ita l à sc s h é r i t ie r s .ASSURANCES MIXTES
P ro filan t a u x a y a n ts d ro i t d e l 'a s s u ré , s ’il m e u r t , ou à lu i- m êm e , s 'il vit à u ne époque d é te rm in ée .
UENTBS VIAGÈRESIm m é d ia te s ou d iffé rées , s u r u n e o u p lu s ieu rs , tô le s , aux
ta u x les p lu s a v an tag eu x .PARTICIPATION
Des a s s u ré s d a n s les bénéfices à ra iso n ;d e c in q u a n te ro i" ' CENT.
L a C om pagn ie v ien t de f a ire , s u r ce lle b a se , s a q u a to rz ièm e r é p a r t i t io n ; e lle s ’é lève à frtm es 3 I4 ;6 7 ! 9 3 , q u i s o n t en voie d e d is tr ib u tio n .
ASSURANCES CONTRE LINCENDJEC ap ital g a ra n t ie et (om is p lacés , qu a to r ze m il l io n s .La C om pagnie est re p ré se n té e à S en tis , p a r M. MÉLAND,
p lace d e la C om éd ie . ■>
SOUSCRIPTION A 33 ,0 0 0 ACTIONS DE 5 0 3 PR. DU
C R É D I T R U R A L D E F R A N C ECapital élevé p a r émission d ’actions
V ingt m illions «le francs.
1m souscription sera ouverte au siège social, 5 , ru e Scribe. l 'O in PARIS, LE 5 JUILLET SEULEMENT.
Mais DÈS AUJOURD'HUI lo i souscriptions des départem ents ac com pagnées d u p rem ier versem ent de 5 0 francs, reçues p a r correspondance, se ron t classées, jo u r p a r jo u r , e t les dernières seront seules réductibles.
Le Conseil d adm inistra tion au ra la faculté de clore la souscription dès q u ’il le jugera utile.
On verso • I fr- !)ar aelion en souscrivant.' i 7 5 à la répartition.
E nvoyer 5 3 francs n ùu r charpie action, en espèces ou m andats s u r P a n s , ou verser des fonds dans l’une des succursales d e la Banque de France, au com pte de M. II i r a d a t , directeur du Crédit R u ra l de France.
Donner exactem ent scs n om s, p rénom s, adress?; cl le nom bre d ’actions souscrites.
E n vo i de prospectus su r demande.
GUÈ81S0X DE LA PIITIHSIE PULMOAURBEl de la M S R O .U C H lT iE € l l R O ^ I « J U J i
T ra i l rm e n l n o u v eau . — B ro c h u re d e 134 pag es, T é d itio n p a r le D octeu r J ules Ro v e r . — O n reço it cet o u v ra g e fra n c o e u a d re s s a n t I fr . 50 en t im b re s p o d e , a u D octeur J in ^ s R o v e r , 1 7 4 . b o u le v a rd M agen ta , ou à M . D elaiiavk , l ib r a i r e 2 3 , p lace d e i’E cole-dc-M édecine, à P a r is .
Le Propriétaire-G érant : Ernest Pàyex
A nnonces Ju d ic ia ire s .P ar a rrê té de M. le P réfe t de l ’Oise,
approuvé par S . E xc. M. le M inistre de l'In térieur, le J o u rn a l d e S e n t i » a été désigné p o u r in sérer en 48G9, dans l'arrondissem ent do Scnlis, tou tes annonces judiciaires e t légales.
i ü im u 'i tn i ™ , ic g a ic u r à a c ie a u o ' i m u m »est ob ligatoire p o u r Tannée m il h u it cen t soixante-neuf, dans chacune des deux feuilles de l’arrond issém en t désignées pour l’insertion des annonces jud icia ires.
A r t . I " .
Elude d e M " F r é m y , avoué à S eu ils r u e N e u ve«dc*P aris , n° 13.
V E r U T ES u r sa is ie im m ob ilière ,
d ’une
CARRIÈRE en exploitationSiso te r r o i r d e V IL L E R S S A IN T -l'A U L ,
lieu d i t la G a re n n e .
L’adjudication au ra lieu le M ardi v ingt- sept J u ille t I8G9, à m id i, en l'audience des criées d u tribuna l de [ireinièro in s tance d e Scnlis.
En exécution d ’un procès-verbal d u m inistère dé L am bert, huissier àP onl-S ain tc- Maxcncc, en d a te d u tren te avril 48G9, enregistré, t ranscrit l ittéralem ent au bureau dis hypothèques de Scnlis, le treize mai I8G9, vol. 4 9 , n -2 7 .
E t à, la requête d e M. Louis-IIenri Lemairc, p ropriétaire-cu ltivateur, dem eurant àJLiancqurJ,(Q is(û.
Ayant pour avoiié M* Frém v.Il sera1 procédé bontro M. Rotnàin-Ger-
v ais.L ando l,.,.carrier, d em eu ran t à B /e- nouille, canton de L iancourt (Oise).
N 'ayant pas d ’avoué constitué.A la vente aux -enchères publiques au
plus offrant e t d e rn ie r enchérisseur e t à l’extinction dés feux.
D’ujie B arrière en explo ita tion , lieu d i t la Garenne de Villers, con tenan t en su p erficie, ÿ com pris les lerros e t fiiehes <|ui l’en tourent; Koixanlotdix-sopl a res’ tenant d'un cô té n o rd .Lucien P o iré e t Jaco b , du couchant à B erollepol, les friches d e la eoinmuno c l au tre s , e t (l’mi bout au m idi aux h éritie rs Jcan-D aplisto Landot.
M IS E 1 P R IX .Outro.l.es charges, clauses e t conditions,
de l’enchèm , l'ad jud ication au ra lion su r la misi? à prix de. . . . . . . . 300 fr.
Déclarant (pie tous ceux d u chef desquels \d pourrait ê tre p ris des inscriptions posr faison d ’hypothèques légales, d ev ron t rc- T 'é tir cetfe inscrip tion av an t la transcrip- bon du jugem ent; d ’adjudication . •
; S’adresser phui" les renseignem ents j4* A si- Fn iiM Y , avoué, im nrsu itfln t la
fente; (
.’oeiitis,1 p«> le cahtcm f ; ' - • < ;
l’a il et rédigé p a r 'l'avoué poursu ivant soussigné., Sonlis, le deux ju il le t 1869.
S ig n é ! FRÉMY.. Eoreglstré .. à iSenlis, le tro is ju ille t ,. , ’ :r*A'u un franc quinze centim es,
Moonne e t dem i com pris.Signé : Bov.x,
- P o u r insertion,S ig n é : F rèmy.
du tribuna l c iv il de hier des charges est dé-
A r t . 2 .
E tu d e d e M° IFrcmy, av o u é à S aillis , r u e N cnVc-de-Par is , n* 45.
V E R I T ES u r publications jud icia ires,
P u r s u i te d e co n v e rs io n d e s a is ie im m o b iliè re .
M* A vnnx, notaire $ Îm fter'té-'îfilon (Jfisne), commis d cet e ffe t,
d e :
4 “ U N E M A I S O NEl Dépendances,
S itu é e s à AUTI1EU1L-EN-VAL01S (O ise), ru e d u M oulin;
•Z f t - i B-IKCIW i le T Ë im s ; Sises a u te r r o i r d ’A U T IIE U IL ;
En (rois Lois q u i p o u r ro n t ê t re ré u n is p a r t ie lle m e n t
ou e n to ta l i té .
L’ad judication au ra lieu le Dimanvlic prem ier A oû t 18G9, à m jdi p récis.
E n v ertu d ’un jugem en t su r requête ren Ju par le tribunal civil de prem ière instance d e Senlis, le v in g t-qua tre ju in m il h u it c en t soixante-neuf, enregistré, m entionné au bureau des hypothèques do Senlis, conform ém ent à la loi,
E t aux requête , pou isu itc e t diligence d e M. Jean-M arie L am b in , m eu n ie r, dem eu ran t à Authcuil-on-Valois,
Ayant M* I’rém y p our avoué,- U s 'r a procédé en présence d e M. An
toine D ecarrière, ancien boulanger, dem euran t à A utheuil,
Ayant M 'C halm in p oqr avoué,A la Veule aux enchères publiques au
plus offrant e t dern ie r enchérisseur, et à l ’ex tinction des feux, des im m eubles d o n t la désignation su it :
D É S IG N A T IO NP r e m i e r L o t .
Une m aison, fcituéo à A uthcuil-cn-Valois, canton d e Retz (Oise), on ja rue du RJoulin, consistan t en pièce d ’habita tion , cham bra n cô té e t Ibuniil, grenier,, au-dessus; grange e t rem ise, co u r en avan t ay an t entréo su r la rue par Une g rande po rte , dem i c la ire -voie; d ans ce lte cou r, à d ro ite , écurie avec greffier au-dessus; à gauche, fourn il, to it à porcs, poulailler, le to u t couvert en tu iles e t ardoise»; ja rd in derrière . L’ensem ble con tenan t, y com pris l’em placem ent des bâtim ents, vingt-cinq ares cinquan te centiares, e t ten an t d 'u n cô té M. C artier, d 'au tre a MM. Lacroix et P rieu r, p a r devant à la ru e , par derriè re à nlie pièce de te rre à m adam o Decarrière- Angol, avec d ro it do passage dans ladite co u r p o u r arriver à celte pièce.
D e u x i è m e I . o l .. Vingt-six ares sept cen tiares de terre,
le rro îr d ’AjiUieuil, lieu d it lo H aut do Drussy,- e t la sente îfc M arolles, tenant d 'u n cô té bord et d ’un bout ouest à m adam e D ecarrière, d ’nulre cô té m idi à m a dam e Allaine, e t d ’a u tre bout est à M. Guay. " - v U .
T r o i s i è m e L o t . T ren te -h u it ares tren te centiare» de
te rre , m ém o te rro ir , lieu d it les Ilacols, tenant des deux côiés à m adam e Allaine, d ’un b o h l à la ipêm e, e t d ’au tre bout à* M. Augustin Decarrière.
1MISH$ A P R IX .Outre» lés e!larges clauses cl conditions
dè l’enchère, lèS fninfeiible.; su s désignés se ron t m is en vente sû r lès m ises à prix su ivantes, fixée» pu r ré jugem ent sus-daté, savoir :
4* P o u r le p rem ie r lo i, à la som m e d e ................................. . 2 ,0 0 0 fr.
2° P o u r le deuxièm e lo t, û celle d o .................................................. 209
3* E l p o u r le troisièm e lo t, ucelle d e ..................... \ . . . . . 250
T otal des m ises à p r ix . . . 2 ,1 5 ü fi\S 'a d resser p o u r a vo ir îles rense igne-
4“ A M* FREM Y, avoue , poursu ivan t la ven te;
2 “ . t M* CHALMIN, avoué, présent à la vente; \
3* A M ' AUBRY, nota ire , dépositaire du cahier des charges.
F a it c l rédigé p a r l’avoué poursu ivan t soussigné.
A Sentis,,lo p rem ie r ju il le t 18f>9.fS igné : FREMY.
E nregistré à Senlis, le 1er ju ille t I8G 9; reçu u n fran eq u in zo centim es, subvention com prise.
Signé : Botn.P o u r in sertion ,
S ig n é ; FRÉMY.
A r t . 3 .E lude de 3 3 " F e é i u y , avoué à Senlis
(Oise), ru e Ncuve-de-Paris , n- i3 .
saas* B^SvII^IsonE n tre M ajeurs c l avec a dm ission
d~ E tra n g ers ,E n l 'a u d ie n c e d e s c r ié e s d u li ib u n a !
c ivil d e p ic m iè ro in s ta n c e s é a n t à S en lis . a u p a la is d e ju s t ic e ,
L » S L s i ’d l v i n g t J u l l k - d H fitëîO , à m id i ,
nu
0O I M N E b e m m imS itu é c o m m u n e d o RUSSY, p rè s C répy-
en-V alo is;
S 'adresser p our l i s renseignem ents :4° .-1 M ' FREMY, avoué, poursu ivant
la ven te ;2 ‘ E t à M - RKNOIST et BALEZEAUX,
notaires à S enlis.
E lu d e d e AH' i F r c m y , avoué à S e n lis .
o V I V O T EE L a S S i e n s ( l e n i h i c u i ' v ,
P ar le m in is tè re d e M' V h au an t. nota ire à Duron, co m m is à ce t e ffe t,
4“ » ’UNE MAISONSiliiéo à l 'E ltO V E .I.E S C O M U IIIE i,
ca iilftn d e N .in leu il-le -H au ilo u in (O ise), <L’o u i ' , J a r . I S u e t I l é p c n i l a n c r f » ;
2'' & DE 4 PIÈGES DE BOISS itu é e s m ém o t e r r o i r , et 1er ro i r
(I’Aiokh-Saint Vincrnt ; lE ia o S u « | L o i »
q u i p o u r ro n t ê t r e r é u n is p a r tie lle m e n t ou e n to ta li té .
L’a d ju d ic a t io n a u ra lieu eu la M a ir ie * »IC P c ro y é le s -G o in h rirs , le D im anche
onze J u ille t 1809, d eu x lico re .
S 'a d resse r p o u r lès ren se ig n em en ts :1° .m i-'T R K M Y , a voué à Scnlis, pour
su iva n t la vente ;2 “ A M ' YRAMANT, notaire fi lia m u ,
dépositaire du cahier des charges.
Aitr. 4 .E lu d e d e SB0 H 'V é n x y , a v o u é à S en lis ,
(O ise), r u e N c iiV ed h v P aris , n* 13.
I . K I S A Ï J î .D 'un exploit d u ih irtistè te de Bouffe,
huissinr à Groil, en da te d u v ingt-neuf iuin 1809. enreuistré,
i! ap p e rt q u 'à la requête de Messieurs I es .V liiiinistratoiirs de la Compagnie a no nym e d u chem in d e fer d u N ord, dont le siège est à P aris , ru e d e D unkerque, n* 18,
N otification a été faite à M. le P ro cu reu r im périal n rès le tr ibuna l civil d e p rem ière instance de Senlis,
D’un ac te fait au greffe d u d i t tr ibuna l
Kir. f f l k pK*tEà51* F rém y, avoué d e la Goinpaguio du chem in de 1er d u N ord , do la copie col- bilionnée e t enregistrée, d ’un acte passé devant M " B audrier e t G orrard , no taires à Paris, le v ing t-neuf avril 18G9, enregistré, con tenan t vente p a r .M. Johu-B ‘nnington Blytiic, négociant, dem euran t à B ordeaux, ü tu r s d u Ja rd in P ublic , n* 2 1 , à la Co'm- pagnie anonym e du chem in de li r d u N ord, de :■ 1“ un te rra in d 'u n e contenance de v ingt-quatre aras dix-c-epl centiares, siiu'é te rro ir d e Grcil, lieu d i t la Vallée do Mon- ta ta iro , e n tre le chem in d e 1er du Nord et ja rou te déparlen icn tale , ten an t d ’un côté à M. A llâry, d 'au tre co té au te rra in ci-après, d’im bout à h ro u le , e t d 'a u tre bout à la Compagnie d u chem in d e fer d u N o :d ; 2" e t ou te rra in d 'u n e contenance do vingt-six a rc s4 7 c ju iia re s , situé au m êm e lieu , section A, n*1 381 e t 3 3 5 d u cadastre, e t te nant d ’un cô té à la ro u le départem entale, d 'au tre cô té au chem in de. fer du Nord, d 'un bo u t au p rem ier désigné, et d ’au tre bout a u chem in de fer d u N o rd ; le to u t form ant ensem ble c inq u an te ares soixauto- qu a 're cen tiares; e t ce , o u tre les charges, un prix principal de d ix m ille /'rancf.
L edit dépôt ainsi cîfcclué p o u r parvenir à purger lesdils im m eubles des hypothèques légales e t privilèges pouvan t les grever.
Avec déclaration à M. le P ro cu reu r im péria l ;
1° q ue ladite notification lui é ta it faite n o u r q u ’il eû t à req u érir , si bon lui sem blait; au p ro fit do q u i de d ro it, dans le délai de deux m ois, telles inscrip tions d ’hypothèques légales q u 'il av iserait, faute do quoi lesdits im m eubles en seraien t affranchis. ■
2° Q ue les anciens p rop rié ta ires, ou tre les vendeurs, so n t : p o u r lo (prem ier terrain , Jean-Nicolas Delaplace e t (,’ene- vièvo-Adélaïde B ury, son épouse ; François- Nicolas-Roy Delaplace c l Sylvie Quillef; son épouse ; Jean -B ap tis te Delaplace;' Marhî-Jeaime-Véroniquo D oucher, épouse de Nicolas - P h ilippe D elaplace; P ierre Savoyc, d it Bellerose, e t Françoise Bou- le illier, sa fem m e; — e t.p o u r le deuxièm e te rra in , Joseph-A lexandre O bry e t Marie- Louise Navellior, son éjiouse; Jeau-B.qi- tisto O bry ; T iié rèse-E lisabe th Mahieu, veuve O bry ; dem oiselle Ilenrielto-M arie Y cillard ; E m ile. Frnnchem ont e t Marie- Ilen ric lto Ü outreh 'au , sa fem m e; héritiers de Piorre-Noël Mcnq e t do .Marie-Fr.mçoise- Glôlilde W altelier, sa fem m e; lesdits époux Menu ; A lignâtoE dm e Dolafosse.
3° E l ( |ue les requéran ts lie connaissant pas tous ceux du ch e f d esquels il p o u rra it ê tre p ris des inscrip tions p o u r raison d ’hypothèques légales existantes. indé|*endam- m ent d e l ’inscrip tion , feraien t publier ladite notification conform ém ent à la loi.
P o u r insertion :Signé : F rkjiv.
A UT. 5.E tude île .H ' l i m S I i i , avoué à Senlis.
S q jv a n t e s p r i t ,do D ém et . -buV -iier à C h a n t i l ly , e n d a te d u vieux ju i l le t m il h u i t c e n t so ix a n te n e u f , e n re g is tr é ,
•ol à la r e q u ê te d e M. Â d b lp l io M \u iR • E m ile I la l fo u rp T , a r t i s te p e in tr e , d e m e u
ran t à P aris, rue F ro rh o t, n° 8 , lequel a liii* élection de dom icile en l'é lude de M- (iod in , avoué à Scnlis, ru é Ncuve-de- Paris, n" 22 .
Notification a é té faite à M. le P rocu reu r im périal près le tribunal civil de Senlis, en Son parquet,
De l'expédition d 'u n acte reçu au greffe dud it tr ibuna l le vingt-cinq ju iii 1859, on- rçiijslré. eoQ&tat-.iut lo d énô l fait xiu lit grclfi» p.tr ni U otiui, n e ta cojüc^collailoiiiiîfé cl euiTgislréc, d ’un jugem ent rendu en I audience des criées du m êm e tribuna l, le vingt-cinq m ai 18G9, en reg is tré , contenan t adjudication su r surenchère du d ixièm e, au profil de M. Ualfourier, de : i “ qu P arc, ap jjrlé le Clos de la Barraipic, sis terro ir de Gouvieux, lieu d it le Mont- de-P ô , en touré de m u rs (ie toutes parts, garni d espaliers, d ans lequel se trouve un logem ent de garde, con tenan t en to talité s;x hectares onze-ares, tenant du nord au chem in du M oul-de-Pû à Gouvieux, du m idi à plusieurs, d ’un bout au dom aine de C hantilly , et d ’a u tre b é u l à M. Tesson è! au tre s ; 2 '- deux ares c inquante-neuf cou - tiares de bois, au m êm e lieu , tén an t d 'u n col,-; Louis Clnvslicn, d ’au tro cô té lîh rcsticu j i C ulotte, d ’un bo u t D u p n a -o ir , et d 'au tre bo u t l'encoignure du c lo s ; S* treize ares soixante-six centiares de te rre e t bo-ÿ, à la Mnnique'.le, plantés de h u it pom m iers et (leux cerisiers," tenant d 'u n co té D erinot, cl par jiaelie Nicolas M ingucl, d 'a u tre côté Lavallee, d ’tui bout au m u r d u clos, cl d ’au tre bout à plusieurs; 4" Six ares quatre- vingt tro is centiares de te rre , lieu d it au P.icanahl, plantés de onze pom m iers, tenant d ’un côté A lanquant, d ’au tre cô té le m u r du clos, d ’un bo u t Dalagny e t au tres , e t d 'au tre bout au m u r ; 5* trois ares q uarante-deux centiares dé te rre , au m êm e lieu , plantés do six pom m iers, tenant d 'u n bout an clos, e t d ’au tre bo u t A lanquant c l au tres, d 'u n cô té D uprcssoir; G” buit ares (piajre viiutl-cinq centiares de terre, au m ême lieu , planté» de, neuf pom m iers, tenan t d 'u n côté Tesson, - d 'au tre côté Thom assin, (Pun bo u t Jacques Sa- varie, et d 'au tre b o u t a u c lo s; 7“ cinq ares treize centiares d e te rre e t bois, au mémo lieu, plantés de sep t pom m iers, tenant d ’un côté A ubin, d ’au tre côté Lo- g ran d , d ’un bout le clos, d'util! c bout P e rro t; 8" h u it ares cin ip ian te-trc is centiares de terre , au m êm e lieu , tenant d ’un cote M atimclé, d 'au tre cô té la veuve Noël Méry, d 'u n bout le d o s , d 'au tre bo u t la F ro n tiè re ; 9* dix-sepl ares neu f centiares de terre , à la Gavée d u chem in de Paris, tenan t d 'u n côté Lobas, d 'a u tre cô té De- m ade, d 'u n bout lo d o s , e t d ’au tre bout la cuvée., e t par hache Y arillon ; 40* dix- sept ares neu f centiares d e bois, au même lieu , ten an t d un cô té Gesseamiie, d 'a u tre côté L mglois, d ’un bout Je clos,' et d 'au tre bout la cuvée de Paris ; 4 ! ’- dix-arcs de bois,- nu m êm e lieu, tenan t d ’un cô té Ges- siMiime, d 'au tre cô té le rideau , d ’un bout le d o s , et d 'an tre bout la cuvée, et ce m oyennant lu som m e de quinze, m ille cing cents francs d e p rix principal ou tre les charges. Ladite ad judication prononcée p ar suit ; d e surenchère form ée p a r le sieur Raoul d 'O rivul, nroprié tn ire , dem oaran l à Gltmlilly., su r le .s ie u r Em ile-Ilyacinthij B .llel, négociant, dem eurant à Duvy (Oise): ad judicataire surenchéri d rsd ilsim m euble» vendus p ar suite de conversion d e ,saisie su r le sieur Aûguslc-Léon D uprcssoir, p ro prié ta ire , dem euran t à G h aq tjlly .,,
Ledit dépôt ell'edKé p o u r parvenir à p u r j gêr les im m eubles vendus des hypothèque» légales potiv.ahl* les grevoiv
Il a été d éd ftréà M. le 'P ro c u re u r im péria l. . ,
I" Q ue ladite notification do n t s 'agit lui
était faite afin (jn'ii eû t à m p ié rir , si | lui sem blait, nu profit de qui de d ro it, |, inscriptions (riiypothèques |égale:; q r aviserait; dans h délai de la loi, faute quoi lesdits im m eubles en serai affranchis ;
2* Q ue les anciens propriéta ires »lasd im m eubles él u -n i. o u tre JIM. B 11-a Uupréssnir, ard jndid taiire . surenchéri v cg 'M r. : Aumiste-.Slanislas Duiucss» propriétaire , (Icinéiiraiit au ,Alonl-de1 com m une d e G ouvieux, et m adam e Nice l'ranço.so Claudin, sa fem m e; France lo u ssn n t C ordier, lieigcr, c l Genevi’è Rose Leffivre, sa femme, d em euran t à (è vieux; C liaries-Franrois Bellet, imissj et B ernard-llenrietlc M oulin, sa feinr d em euran t a Chantilly; François Le» propriétaire , et M aric-Elisabeth l.cshroi s a ri, son épouse, dem eurant à G reil; Je; Louis Letollier, m açon,“dem eurant à' p.n rua de la; rVannciio, n* 14 ; Gcueviè Françoise Pipeaux, veuve du sieu r Fr; çois Nicolas M arquis, a n c in i m eunier Gouvieux ; Nicolas-August •' I.avémin t tour d ’h ab it, et Limise I.elèvre, s i feiim d em euran t à G ouvieux; NoÊl-Frane Labbé, nianonvrier. et dam a Genevièi Victoire Foven, sa fem m e, dem eurant a ( .arrières, com m une de Gouvieux; De Laversin, m ard ian d de bois, et Elisibi P aren t, sa fem m e, dem euran t à Guuvici Jein-L ouis-Y ictor Foyen, .. tisserand, Ilonorinc Malfieux, sa fem m e, dem eur; a Gouvieux; François M omiuelé, cull'r leu r, e t (Jencviève-Uonqrine Mangé, > épouse, dem eurant à Gouvieux; Jean B ban t, cu ltivateu r, e t . Angélicpie-ElisalM Méry, sa fem m e, dem euran t à Gouvieii l.oius-Piorre-M arie P a ren t, cultivateur M arie-A ngélique,G nibert, sa fem m é, \ m ouran t il G ouvieux ; Félix-Auguslo Mari n ianonvrier, «l Rose-Véronique Niellé, fem m e, d em euran t à Gouvieux.
3* E l q ue le requéran t ne connaiss; pas tons ceux du chef desquels il pourr ê tre pris des inscriptions pour raison d 'I pothèques légales existantes indépendai m ent de l'inscription, ferait publier lad notification conlorm ém ont à la loi.
Pour insertion.Signé : J . Gom.v.
Aiit. 0.
E lude du -M* D c l e u z e , agréé à Paris rue M ontm artre, n* I4ü.
I) un jugem ent rendu -le douze ju I8G9, par le tribunal de com m erce de Seine,- en tre : 1* M. Philippe-Nieol L ktui.i.if.r, négociant, dem eurant à P a r boulevard d u Prince-Eugène, n- 1G; M. Viclor-Ma\imilicnJ,Kri;i.i.iKp, négociai dem eiiran t à Paris, rue M artel, H* 8 b e t la Société Ihicz et compagnie, dont siège est à Paris, rue du Faubourg Saiu M artin, fi* 471 ;
* ' Apport ' : ‘Le tribunal ;i annulé , èn ce (pi’elle
nom m é le s ieu r L \m bfi\t fil», co-gérant la Société l)ui]z c l compagnie, la délibci lion prise le tren te e t un janvier I8G9, | les .ac tio n n a ires de. Jad ite Société, lorn paiç.açle.du v ingt-trois février Î8 1 9 , a m inutes d e M* Ttihiu uk h Guài h f , nol; à. l’aris,L iyaut p ou r objet l’exploitation carriè res sises à Siltery-la-Pol( rie , V; cieniiés, Moloy, La l érlé-^IiKm, Mi Jouv-le-C otiiiè ,' Ravier»-», et çon sièg P a ris , (ùe du Faiil ourg Salnt-lIlaHlii
Lès d é p i ls p i ê 'd i t s pr r la loi ont ell'euimV. - :,t . " ;. t -, ,
- P eu r insoDlui'y i •- S ‘g ré : I F ! 1 T 7 F
\
A r t . 7 . ,
Suivant acte reçu par M* R ichard , n o taire à Ponl-Sainle-M axcnce, substituan t RI. l 'av en , notaire en ladite ville, le seize ju in 4869, enregistré,
M. Eugène DEBAIX, négociant en v ins, d em euran t e n le v a n t à Pont-Stc-Maxence,au jo u rd 'h u i à 'Coulange-la-Vineuse,
E l M. A rsè n e ......................... Arsène RERD1N, aussi négociant e n v in s , dem euran t à Pont-Sainle- Maxencc,
O n t r& ilié à com pter d u 19 mai 1809, la Société form ée en tre eux sous la raison D edaix e t IIkiuu.n.
M. •Bcrdin a été seul chargé de la liqu idation .
U ne expédition de l'acte a été déposée au greffe du tribunal de Senlis, faisant fonction de tribunal de com m erce, le prem ier ju il le t 1869,
E l pareille expédition au greffe de la ju stice d e paix de Pont-Sainte-M axence, le 2 ju ille t.
■Pour ex trait :S ig n é : P a y e s .
Art . 8 .E tude d e I I e I ta l lé i le n t , com m issaire-
p riseur à Senlis.
Vente MobilièreAUX ENCHERES.
P a r su ite d 'acceidation bénéficiaire, A pres le d écès d e M. llippo ly le -M aric
M nrol,A S e n lis , S a lle des Ventes,
Les D im a n c h e 4 et L u n d i 5 Ju ille t 1869, â u n e h e u re d e re levée .
P a r le m in is tè re d e M* ü a l l é d e s t , com m issa ire -p rise ttr à S en lis ,
DÉSIGNATION.U sten siles d e cu is in e c l d e m én ag e ,
fa ïe n c e , p o te r ie , v e r r e r ie , c u is in iè re en fo n te .
P e n d u le s , g laces , tab leau x .C o u ch e tte s , t a b le s , ch a ise s , b u ffe t,
s e c ré ta ire , ch iffo n n ier, fa u te u ils , c a n a p é . v o lta ire , li ts e n fe r.
M ate las , lits d e p lu m e s , s o m m ie rs é la s tiq u e s , o re i l le r s , tr a v e r s in s , é d r e d o n .
L inge d e c o rp s à u sag e d 'h o m m e e t g .ird e -ro b e d 'h o m m e .
L in g e d e m é n a g e , d r a p s , s c rv ie l l t s , to rc h o n s , e tc .
D eux b e lles tim b a le s en a rg e n t .E t b e a u c o u p d ’a u t r e s o b je ts .
L a v en te d e s m a rc h a n d ise s neu v es, p ro v e n a n t d e la fa illite V a cq u c rie , s e ra co n tin u é e U im auchc 4 Ju i l le t , à tro is h e u re s d e re levée .
A nnouces D iverses.
E tn d e d e M' Bm oisi, n o ta ire à S en lis .
A L O I E K M E U B L H E ,P o u r e n t r e r e n jo u is sa n c e d e s u i te ,
ONE MAISON DE CAMPAGNES itu ée a S a in t-L é o n a rd .
S 'a d resser a 3P Ue x o is t , nota ire .
A V E A l H t E A L I M I A U L E
lA lSU fl BOURGEOISEN o u v ellem en t re s ta u ré e .
S ise à Y illcvcrt, f a u b o u rg d e S cu lis ,AVEC.
C our, Ja rd in cl Drprmlanrc»,C o n te n a n t le to u t 72 a r c s 60 c e n tia re s .
S ’a d re s s e r p o u r am p les re n se ig n e m e n ts , â M* BEN O IST, n o ta ire à S en lis .
A V E N D R E o u A I .O I EIKMF.UBI.ÉF. OU NON.
MAISON DE CAMPAGNEAu P lc s s is -C h a m a u l.
Avec b assc c o u r , é c u r ie , rem ise , Ja rd îu c i Dépendances.
Contenant 56 ares.S 'a d re s s e r à M' Ue x o is t , n o ta ire à S en lis.
K lu d c d c M e B c n o i w i . n o ta ire à S en lis .
A V E N D U E OU A L O U E RA L AMIARI.F.,
P o u r e n t r e r e n jo u tsa n c c le 1 " o c to b re 1869,
IÆ MOULIND e l a C l i a n s s é c d e S t - I t r o l n s ,
S itu é A S a in l-N ico las , co m m u n e d e r .o u rlc u il.
M onte d e d e u x p a ire s de m eu les . S 'a d re s s e r : à P a r is , à Mr DREUILLAND,
n o ta ire , ru e S a in t-M arlin , 5331;E t A S en lis, a u d i t M* B EN O IST, n o ta ire .
A C É D E R à l'am iable
EXPLO ITA TIO N AGRICOLE«le 3 1 8 H ectares
A Ilu lly , e n tr e S en lis e t I tu lly , Longue jou issance.
O n p o u rra i t n e c é d e r a u p re n e u r q ue 175 h e c ta re s ou m o in s, e t u ue p a r t ie d u C o rp s d o F erm e.
C ',i l rDCCDl* •A R ully , à m a d a m e FREM ONT;E t à S en lis , à M* UENOIST, n o ta ire .
A C É D E R A L ’AM IABLE P o u r e n t r e r e n jo u is sa n c e d e su i te ,
UNE FEMMEde 3 1 0 H ectares
D 'un s e u l tenant,A v e e B a i l d e d l x - h n l l n a s .S 'a d re s s e r & M* B EN O IST, n o ta ire à
S en lis .
A L O U E R D E S U IT EBELLE CIIASSES u r e n v iro n . * !& • fc e e ia re * d e
p la in e , f r ic h e s e t bo is .A u te r r o i r d 'Iv il le rs , c o m m u n e d e
V itlcneuvc-sur-V erberio (O ise), d'IIa la tte .E n bordure d e la fo rê t d '
S 'a d re s se r A M. L E FÈV R E, g a rd e au c h â te a u d 'O gnon , p rè s S en lis (O ise).
A C E D E R D E S U IT EA l’a MIADLE,
UNE FERMES itu ée à R o uv ille , p rè s C répy ,
C o n ten an t e n v iro n f l O l h e c t a r e s . S 'a d resse r p o u r tous renseignem ents :A M* FRA N CH E, n o la i ic â C rép y .
A CED ERUNE FERME
■ 06 H ectares de T e rre s labourab les
A la p o rte d e So issons (A isne). Corps de F e rm e neuf.
P o s itio n ex cep tio n n e lle c om m e in d u s tr ie S 'a d resse r à M* CA1LLET, no ta ire à
Soissons.
A L O U E RU n e M iiiso n s e u le
Aveu JA R D IN , E C U R IE c l REM ISE A VOLONTÉ.
S 'a d re s s e r chez Mm‘ veuve D i i p i l l e , 3 3 , ru e V ieille-de-P aris.
V ILLE DE CR EIL .
A D JU D IC A T IO NP o u r la
Construction d’une Ecole<le F illes.
L e D im anche 1" A oût 1S69, à u n e h e u re s , il s e ra p ro c é d é en la m a ir ie de C re il , à l 'a d ju d ic a tio n a u r a b a is , s u r so u m iss io n s cac h e té e s , d e s t ra v a u x à e x é c u te r p o u r la c o n s tru c tio n d 'u n e E co le d e filles.
Ces tra va u x seront adjugés en n e u f lots:
l " lo i . T e r ra s s e m e n ts e tm a ç o n n e rie . . . 33 ,4 1 0 f r . 19
2 e — C h a rp e n te r ie . . 3 ,6 1 5 715 ' — M enu iserie . . . 5 .791 274 ' — P a rq u e ts s u r b i
tu m e .......................... 3 ,2 4 9 405 ' — S e r ru re r ie . . . 14 ,522 576r — C o u v e rtu re c lp lo m -
b e r ie . . . . . 4 .6 4 4 377e — P av ag e . . . . 1 ,516 »»8e — P e in tu re c l v itre r ie 2 ,0 4 7 767* — P ré a u x co u v e rts . 5 ,0 0 0 »»
T o ta l des tr a v a u x . 71 ,797 27
O n p o u rra p re n d a e co n n a is sa n c e , à la M airie d e C re il, d e s p la n s c l' dev is c l d u c a h ie r d e s c h a rg e s .
3 0 h ectares 3 5 a re s 13 e .
DE TERRES, PRES ET ROISS itu é s te r ro ir s d e S a in t-L eu , C ram o isv ,
M ayscl c l C ire s les-M dlo ,
A l E \ D R i :P ar a d judica tion amiable'.Eu la m a ir ie d e M ayscl,
P a r le m in is tè re d e M* Budin, no ta ire à P récg-sur O isc,
E n présence d e Si* V rayk , nota ire à C om picgnc,
Le D im an ch e 11 .In itie 1869, à I h e u re . S 'a d resse r a u x d ils M" B ud iu e t Y ra y e .
.A djudication a im a hic,Au p lu s o ffran t c l d e r n ie r e n c h é r is s e u r ,
E u la m a ir ie d e S t-L cu -d 'E sse rcn l, l .c D im an ch e 18 J u i l le t 1869, à 1 h e u re ,
P ar le m in is tè re d e M* Buiu.x, no ta ire« Précij,
1 4 PIÈCES DE TERRE & PRÉT e r r o i r d e S a in t-I .cu .
Jou issance après la réco lte . Im m é d ia te m e n t a p rè s la v en te d e ces
b ie n s , on p ro c é d e ra â l 'a d ju d ic a t io n d e s réco lte s q u i ex is te n t dessus.
S 'a d resse r a ud it M ' B ud iu , nota ire .
E tu d e d e M' I.ciiic<|uc, n o ta ire à ÎNunlcuil Ic-IIau d o u in (O ise).
M A I S O NS ise à N a n te u il- le - lla u d o u in ,
A VENDREPAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,
l.c D im an ch e 18 J u ille t I8G9 à 1 h e u r e . P ar le m in is tè re d e M ' Lem cque, notaire,
cl en son é tude,E n tré e e n jo u is sa n c e d e su ite .
S 'a d resse r a u d it M* Lexicque, nota ire
E tu d e d e M' Maitre-Dcvalloii,n o ta ire à C h a m bly (Oise).
M A I S O NS itu ée â P e rs a n ,
cl IO P IÈ C E » de T E K I tES itu é e s t e r r o i r d e P e rsa n ,
A V E N D R EPAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,
P u r le m in is tè re d e M* M a itre -D ev a llo .n, no ta ire à C ham bly , e t en son é tu d e .
L e D im an ch e 9 J u ille t 1869, â m id i.F ac ilité s p o u r le p a ie m e n t.
S 'a d resse r a u d it M ' M aitrc-D cvallon.
M êm e é tu d e .
RÉCO LTES DE B L É -H É T Ë ILet d ’A V O IN E
S u r 16 h e c ta re s 30 a r e s , s is t e r r o i r d e N eu illy -en -T h e lle , lieu d i t le Bois Dolus,
A V E N D R E su r piedPAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,E n d é ta i l , — S u r les lie u x ,
P a r le m in is tè re d e M* M a itre -D k v a llo n , no ta ire à C ham bly,
L e D im anche 11 J u i l le t 1869 , à m id i.A l ’issue d e c e tte v e n te , il s e r a pro*Jiro -
c laré c o lte d ’o rg e à fa ire s u r u n e p ièce de 17 a r c s 2 5 c e n tia re s , s itu ée à P u ise u x .
S 'a d resse r a u d it M' M aitrc-D cvallon .
E tu d e de M' Franche, n otaire à Crépy (Oise).
A djud ication volontaireP a r su ite de cessation de cu lture,’
L cD im anche-11 J u i l le t 1869 , à m id i. P ar le m in is tè re d e M* F r a n c h e , no ta ire
à C répy,
A ROU V ILLE, p rè s C répy ,E n la dem eure de .11. M irland,
C o n s is tan t en : c h e v a u x , v aches, p o rc s , v o itu re s , c h a r r u e s , h e rse s , une m a c h in e â bat I re sy s tè m e D uvo ir, vola il le s , 5 ,0 0 0 b o tte s d e sa in fo in c l lu z e rn e , b o is â b r û le r , e t a u tr e s o b je ts d e c u l tu r e c l d e m én ag e .
Au co m p ta n t. F r a is o rd in a ire s . - S 'a d resse r a ud it M 'F ra n c h e , notaire.
M êm e é lu d e .
2 hectares 16 a rc s 6 6 e.
Terre, Pré, Friche et BosquetEn 15 p a rc e lle s , a u x te r ro ir s d e Gillo-
c o u r t , O rro u y , B é th a n c o u r l, S é ry e t M o ricu v a i.
A V E A D R EP a r ad ju d ic a tio n v o lo n ta ire , ,
E n la m a iso n d 'é co le d e G illocourt, Par le m in is tè re d e M* F ra n c h e , no ta ire
à C répy,Le D im an ch e 25 Ju i l le t 1869, à m id i.
Jo u issa n c e d e su ite .F a c ili té s d e p a ie m e n t-
S 'a d resse r aud it M‘ F ra n c h e , nota ire
E lu d e d e M® P o y o n , n o ta ire à P o n t.
A V E i V R R EP a r a d ju d ic a t io n v o lo n ta ire ,
A P ont, en l 'é lu d e e t p a r le m in is tè re de M* P a ï e n , nota ire .
Le D im an ch e 25 J u ille t 1869, â m id i,
î t Pièces de PréC ontenant ensem ble 2 hectares 0 4 arcs.
S itu é s t e r r o i r s d e Poul-Snin te-M nxcncc e t d e s i\ge tix .
Il y a to u te s é c u r i té p o u r a c q u é r ir .F a c ilité s p o u r le p a iem en t.
S 'a d resse r a u d it M* P a ïe n , n o ta ire .
E lu d e d e Mc Lciuoinc, n o lu iro à Cha n t i l ly.
A V E X D R EP a r a d ju d ic a tio n v o lo n ta ire ,
Le Moulin îles PlanchesS itu é co m m u n e d e G nuv icux ,
Par le m in is tè re d e M* I.kjioink, notaire, à C hantilly ,
Le D im an ch e 25 J u i l le t 1869, â m id i , F.u la sa lle d e la m a ir ie de G ouvieux .
L ’a d ju d ic a ta ir e d e v ra p r e n d re p o u r so n e s tim a tio n , le m a té r ie l c l le m o b ilie r in d u s tr ie l d u m o u lin .E n tré e e u jo u issa n c e le I " o c to b re 1869
S 'a d resse r a ud it M* L cm oinc , notaire.
A L O U E R A V O L O N T ÉP o u r F ê te s e t D în e rs ,
UNE TENTEd e 5 m è tre s d e la rg e s u r 15 m . d e long.
T rès b ien conditionnée e t bien décorce. C e tte T e n te co n v ien t p a r t ic u l iè re m e n t
a u x m a rc h a n d s d e v in .S 'e d c e s se r â M. R u i s s e l l e , p la c e de
la C o m éd ie , â S en lis .
O A DSLU AVDE
l \ E C l I S l M E I tE - I I O M
La place de Garde-CIiainpèlreest vacan te
Eu la c o m m u n e d e R é lh isy -S .iin l-P ie rrc . T ra item en t 600 francs.
S 'a d re s s e r â la M a irie .
lu Cornet à pistons S s rm‘,“sa c , a é té p e rd u s u r la ro u te de P o n t â P o n lp o in t. R éco m p en se à c e lu i q u i l 'a u ra i t t ro u v é .
E c r ir e a u C hef d e M usique de P o n t- po in t.
Le Moniteur de l’Orphéon(C horal e t In s tru m e n ta l)
P a ra is sa n t tous les d im a n c h e s , e s t le m e ille u r m a rc h é d e s J o u rn a u x
o rp h é o n iq u e s .Un an , 12 fr . — S i x m o is , 8 f r .
A d re s se r les d e m a n d e s d 'a b o n n e m e n t au r é d a c te u r e u c h e f : M. A lfred l e Rot,- 26 , r u e G ra u g c -B a te iiè re , à P a r is .
L E P H E A iXC O M P A G N IE F R A N Ç A IS E D 'A S S L R A A C E S S I R L A V I E
t i a r a n l l e t T r e n t e - n lx M illio n »
A ssurance p our la v ie en tière : U n ca p ita l e s t payé a u d écès d e l 'a s su ré .
A ssurances m ix te s : Un c a p ita l e s t payé â l’A ssu ré , s 'i l e s t v ivan t a p rè s un c e r ta in n o m b re d 'a n n é e s , ou â scs h é r i t ie r s aussitô t son décès.
L es a s su ré s reço iv en t a nn u ellem en t le p r o d u i t d e 50 p. 100 d a n s les b é n é fices d e la C om pagn ie . La p a r tic ip a tio n ca lc u lé e s u r le m o u la n t d e to u te s les p r im e s v e rsée s a d o n n é les r é su lta ts s u iv a n ts p o u r ch a c u n e des tro is d e r n iè re s a n n é e s 1866, 1867 c l 1868 :
A ssu ran ces vie e n t iè r e 4 .2 0 */„ — c h a q u e a n n é e .
A ssu ran ces m ix te s 5 .4 0 •/„ — c h a q u e a n n é e .
E x e m p l e : M. G .. . a fa it a s s u re r s u r la v ie e n t iè r e , e n 1848, un cap ita l de 100 ,000 f i . m o y en n an t u n e p r im e an n u e lle d e 5 ,0 0 0 f r . I l a reçu p o u r sa p a r tic ip a tio n en 1866, — 2 ,394 fr .; en 1867, — 2 ,520 f r . , e t en 1868, — 2 ,616 fr .
L 'a s su ra n c e p ré se n te do n c u n d o u b le a v a n ta g e : e lle g a r a n t i t l 'a v e n ir d e 1a fa m ille ; e lle c o n s titu e p o u r l 'a s s u ré u n p la c e m e n t d e fonds.
E n v o i franco d e n o tes exp lica tives .S 'a d re s s e r â P a r is , a u siège d o la
C om pagn ie , ru e d e L nfnycllc , n* 33 .E t à S en lis , à M. W A TELLIN , ag e n t
g é n é ra l.
A L O U E R
PETIT LOGEMENT GARNIA S e n lis , r u e R èllo n , n* 3 2 .
S 'a d re s se r , r u e D ellon , 5 2;O u à M* B e k o i s t , n o ta ire à S e n lis .
E lu d e d e 1 1 e l l r c t t e , n o ta ir e â Acy.
A V E N D R E P A R A D JU D ICA TIO N E n la s a lle d e la M airie d e Iie tz ,
Le D im an ch e 18 Ju illo t 1869 , â 1 h e u re P ar le m in is tè re d e M* B r k t t e , notaire
à A cy ,
DEOX MAISONS CONTIGÜESUn trè s beau Clos
C o n ten an t 1 h e c ta r e 5 3 a r c s 54 c e n t ., cl M l 'a re e lle s do T e rra
D’u n e co n te n a n c e d e 1 l i e d . 25 a r . 6 6 c . Le to u t s i tu é co m m u n e e t te r r o i r
du B elz.F a c ili té s p o u r p ay e r.
Ou tr a i te r a ay a n t l 'a d ju d ic a tio n s ’il e s t fa it des o ffres su ffisan tes .
S 'a d resse r a ud it M* B r e t t k , notaire.
E tu d e d e M® J u l c » N o l c v n l l r ,h u is s ie r â S en lis .
T E N T E V O L O N T A IR EDE
SEIGLE, AVOINE, POISS u r p ied e t s u r les l ieu x ,
- Terro ir de S en lis ,Le D im an ch e 4 J u ille t 1869 , â m id i. P a r le m in is tè re d e M* J . IS'o l e v a l l e ,
On se r é u n i r a a u c h a m p d e m a n œ u v re .
S O U S -P R É F E C T U R E DE SEN LIS.
C hem ins v icinaux.
Travaux neufs el d'eiiircticnA D J U D I C A T I O N
Le M a rd i 7 J u i l le t 1869 , à d eu x h e u re s , A l'liô lel de la Sous-P réfecture.
O u p e u t p re n d re c o n n a issa n c e d e la n a tu i 'c d c s tr a v a u x e t d e s c o n d itio n s de le u r e x é c u tio n , s o it â la S o u s-P réfectu re , so it eu b u ra n u d e M. l 'In g é n ie u r d e l 'a r ro n d is s e m e n t de S en lis .
A V E N D R EUNE MAISON
O i i s V i p l o î t c u n c o m m e r c e d 'E p l c c r i c ,
S is c â F rc sn o y -lu -L u a t,c a n to n de N a n lc u ii (O ise).
S 'a d resse r à M. D sro ix , pro p rié ta ire à F re sn o y - le L u a t, q u i e x p lo ite le d it fo n d s d e c o m m erce .
A V E N D R E A L 'A M IA B L E B F L L E
M A I S O N B O U R G E O I S EAvec g ram lfs Bcpciiduuccs,
G ra n g e s , h a n g a rs , fo u rn it , é c u r ie , d ia b le , to it à p o rc s , c la p ie rs , p o u la ille rs , p 'u s ic n r s c a v e s , p e tite m a iso n d e j a r d i n i e r ; g ia n d c c o u r , b a s s e -c o u r , g ra n d
,-dos e n to u ré d e m u r s , g a rn is d e v ig n es en e s p a l ie r s c l d 'a r b r e s f ru it ie rs , d ’u n e c o n te n a n c e d e 12 .501) m è tre s .Le to u t s itu é il S e n lis , ru e des Ja rd in ie r s ,
n* 12.
B ue Bcllon, O, ficnlis,
VOTE-BONFILSv rlé s s . g . S o m m ie rs à b u r e t te s , à b o u r r e le ts , ç l so m m ie rs m a le la s c a p ito n n és . U n seu l m a te la s sn flit.
t'oim iiiN M lon p o u r a m c u l i lr n i r n l .
A V I S .
PEIN TU RE. — V IT B E R IE , — DÉCORS,P a p ic r§ p e in ts .
S I. S A U V A G E , p e in tre à S en lis , ru e d e s T r ib u n a u x , p ré v ie n t sa n o m b re u se c licu tè le q u e la v en te d e scs P a p ie rs p e in ts a y an t p r is u n e ex ten sio n c o n s id é ra b le , il a p u fa ire d e nouve lles acq u is it io n s chez les m e ille u rs fa b r ic a n ts . e l q u ’il p e u t so u m e ttre a u x p e r so n n es q u i v o u d ro n t b ien l 'h o n o re r d 'u n e v is ite , u n g ra n d cho ix «le P a p ie rs d e to u te s n u a n c e s , d e p u is les p lu s o r d i n a ire s ju s q u 'a u x p lu s r ic h e s .
P r i s 1 r e s m o d é r é » .
L'ACTIONNAIREU n A n
JOURNAL D E S INTÉRÊTS FRANÇAIS P u r a i s s u n t l e L u n d i
P R I X D E L ' A B O N N E M E N T *. . . 6 fr . I S ix M o is . . 3 fr,
ACHAT E T V EN TE a u c o m p ta n t, d e s v a le u rs f ra n ç a ise s e l é t ra n g è re s , sans a u t r e c o u r ta g e q u e c e lu i d e s ag e u s d e c h an g e .
ESCOM PTE E T EN C A ISSEM EN T, d e co u p o n s , m o y e n n a n t u n e commission d e 1 1/2 p. 100.
SO U SC R IPTIO N S, V ER SEM EN TS, CONVERSIONS, ÉCHANGES E T DÉPÔTS DE T IT R E S . — ARBITRAGES.
L'A CTIO N N A IRE d o n n e p a r r e to u r d u c o u r r ie r , to u s les ren se ig n e m e n ts que lu i d e m a n d e n t sc s a b o n n é s e l sc s c lie n ts .S'adresser, p o u r i
L e Jou 'i;a! financier
L’IMGN DES ACTIONNAIRES
LE 8E U L LFS HARDISpcriUiaiit
DKUX FOI VENDREDISn a r« tm a h ie
D o n n e h p re m iir i.-.- ro u v .-lle s fin an c iè re s , l a . tc im irm iilii* de» u-xeu ib lèeu g é n éra le s , je c o u rs e t su r to u t lu ro m p u ra lso n -ii,- .-1! s t a « n r s « o tê es « t non c o tées, av ec le u r te ie i iu . le u rs ira ra n tiv s , le u r a v en ir , e n n n m o t, les tv iiau ignom ciitu le s p lu s complets.
Pu! lie te prem ier le s I .ts te s oftlctellcs d e s T .r a g m « t 1« p r ix c o u re n t d e s v a leu rs
D it-eutu to n te s le s F m iss i ris, in d tq u o le s a lu tin ... s c j p in s n r iin ta g e i ix , e t ex p liq u e le s iii .-ilicu ics o p é ra tio n s û te rm e o ti a u c o iu p tu n t.
A no .N xm iB vrs :U n on , 10 tr . — S ix m o ts , S fr. (Le m ê m e
p o u r to u te la F rauce ).U n n u i r A r o : 2 0 c e n t im e s
B uiif. vux : 18 , C h au 'séo -d 'A n tin , P a r is
q u i concerne l’A dm in is tra tio n , d M. I)E RICI1EROURG, 4 , rue dn Cardinal-Fesch, « P aris.
CntCOLAT-l3 4F
! PARIS, 4, r u e do Temple, MONDICOURT (Pai-do-ColaU). EMMEBICH (Allemagne),
E X PO SIT IO N U N IV ER SELLE D E 1087 .
M K M B A m L J L J E JR A P P O R T D U J U R Y :
I ,k MAISON 1BLED, pour la q u a lité do sos produits et l 'Im p ar- t n n e e do sa fabrication, occupe le »*r r a n g dans l'Industrie Chocolatière . — E lle oat dans les moiltouros conditions p ou r fab riq u e r B o n et è B on M arché.
Le C hoco laM blcd se vend chez tous les d ita illà n ts .
T R E I L L A G E A L A M E C A N I Q U E D E A” L É Y Ê Q U E3 5 , r a e N le n a s e le t , A P # r U , 3 5
O n e x p é d ie f ra n c o à to u te p e rs o n n e q u i e n f a i t . l a d e m n n J e a f f r a n c h ie l e t a r i f d e s t r e i l la g e s à l a j _ m é c a n iq u e , p ie u x e t l i s s e s , r e n d u s d a n s tb u le s le s 1 [ g a re s d o c h e m in s d e f e r s i tu é e s d a n s le d é p a r te m e n t , j
P L U S DES 1 1 L D E € L \E !LA SANTÉ RENDUE SANS MÉDECINE, S xN S l’URGES E l S \N S FRAIS AUX ADULTES
ET AUX ENFANTS, PAIl LA DELICIEUSE FARINE DF. SANTE,
REVALESCIÈRE DU BARRY - LONDRES
qu i c cononm c 50 fois son p r i t en m édecine.U n repas en coû te e n v iro n 25 centim es e l no u rr it m ie u x qu ’une liv re d e v ia n d e .
E lle ren d la san té pai faile a l'estom ac, aux nerfs, aux poum ons, (o ie, g landes, vessie, reins, c erveau , sang e t m uqueuses, a in si que l'ap p é tit, lionne d igc tlion e t som m eil rafraîchissant, guérissan t les m auvaises d igestions (dyspepsies), g astrites , gastro-en térites, gastralgies, constipations hab itue lles ,hém orro ïdes,g la ire s . Onctuosités, ballonnem ent, pa lp ita tions, d ia rrhée , dyxMütcriè, gonilcn ien t, é tou rd issem en t, bou rdonnem ents dans les. ore illes , aç id ilé , p itu i te , m aux d e lêtr, m igra ine, su rd ité , nausées ou vom issem ents ap rès repas ou en m e r, m êm e en grossesse, douleurs, a ig reu rs , congestions, inllam m ations des in te stin s e t de la vessie, c ram pes e t spasm es d ’estomac, insom nies, fluxion d e p o itr in e , éloufTemcnt, toux , oppression , asthm e, b ronch ite , phlhis ie (consom ption, d a rtre s , é ru p tio n , ahccs, u lcérations, m élancolie, p e rv o sité , dé périssem ent, rhum atisnq, goutte , lièvre, g rippe, rhum e, c n ta n h e , cchaulTcmcnt, hystérie, névralgie, cpilep-ie , paralysie, les accidents du re to u r d 'àge , chlorose, vice e t pauvre té du sang, faiblesse, su e u rs d iu rn es e t nocturnes, hydropisic, diabète, g ravc lle , les déso rd res d r la gorge, de l'h ale ine e t d e la voi]t, Içs maladies des enfan ts e t des fem m es, ch lorose, les (lueurs’b lanches, les suppressions, le m anque d ’embonpoint, d e fra îcheur e t d 'énerg ie nerveuse. C et a lim en t e st égalem ent p référab le au la it e t à la paqadenour é lever les en fan ts e l p o u r fortifier les laihlcs, d e to u t âge. Il rafferm it les chairs en absorbant l'excès de graisse des personnes affaiblies ou Imursouffiées.
/ t i t r a i t d e 70,000 C ures d e A la tad ies rebelles h to u t a u tre T ra ite m e n t.CURE-DU PAPE : • Rom e, 21 ju il le t 1866.
• La san té d u Sain t-P ère e st excellente, su r to u t depuis que , s 'ab stenan t de to u t a u tre reraèJe, il fait scs repas de la Revalcscière D u Barry, q u i n opéré des efiets su rp re n a n ts s u r lu i. Sa Sainteté n e peu t assez louer les av an tages quV lle ressen t d e cette excellente farine , d o n t e lle prend une H C e rtifica t n “ 58,CTÂ, d e À /m lam e la A lan /u ise nx Uhkhah guérie d 'u n e hépatite , u n é ta t d e mar rasm e qu i a d u ré sept an s avec des h a ttem eu ts nerveux p a r to u t le corps, la d igestion fo rt difficile, des insom nies pe rsistan tes, e t une ag itation nerveuse in supportab le, une tr is te sse m ortelle.
N° 52,081 : M le duc d e Pluskosv, m aréchal d e cou r, d 'u n e gastrite . — N® 62,476 : Sainto- Rom ainc-dcs-Isles (Sniiuc-ct-Loire). Dieu soit bén i I La Rovalcscièrc n m is fin A m es 18souffrances ho rrib les d e l'ts to m a c , d e sueu rs noc tu rnes e t m auvaise d igestion . J . Com pare!, curé. — N° 49,422 : M. Daldsvin, d u dé lab rem en t le plus com plet, paralysie des m em bres, p a r suite
p h th is ic pu lm onaire, ap rès avo ir é té déclarée A ujourd’h u i, 1869, e lle jo u it toujours
. d e jru n cscc .— N* 53,860 s Mu« G allard , incurab le en 1855 e t de n ’avo ir que quelques n d ’une bonne san té .
Plus nou rrissan te que la v iande, e lle économ ise 50 fois son p rix e n d ’a u tre s rem èdes. En boîies t 1/4 Lil . 2 f r . 2 5 ; 1/2 Ail.. 4 f r . ; 1 A il., 7 f r ; 2 1/2 Ail., l l i f r . ; 6 Ail., 32 f r ; 12 Ail., 60 f r . Envoi c on tre bon d e poste.
M AISON DU B A n n ï et Cm , 26, place V endôm e, Pa ris .
S A N T f i A T O U S P A R
L A R E V A L E S C I È R E C H O C O L A T É E D U B A R R YM POUDRE ET EN TABLETTES,
Dix fois p lus nou rrissan t q u e le chocola t o rd in a ire , cet a lim en t exquis pu rif ie le sang , fortifie (t tranqu illise les nerfs e t l« cerveau , e t ren d les chairs ferm es. Purifié p a r des m achines spécial» d e tou t ce qu i échauffe dans lu cacao, cc chocolat conv ien t aux personnes le s p lu s d é lirâte s e l aux e n fan ts de faible com plcxion ; il ren d l'ap p é tit , bonne d igestion e l som m eil rafra îch issan t aux plxs affaiblis, m êm e a ceux qu i n e peuven t pas d ig é re r le chocolat- o rd in a ire ,
F.n boîtes en poudre e t en tab le ttes p o u r faire 12 tasses, 2 fr. 25 c . ; de 24 lasses, 4 f r . ; de 44 lasses, 7 f r .; poudre en bo îtes d e 120 lasses, 16 f r . ; dô 288 tasses, 32 f r . ; d e 570 tasses, 60 f r . ; soit
10 centim es la tasse dans ces g randes Imites.
A in s i le p lu s •l d é lica t C hocolat e st la
P E R F E C T I O N D E C H O C O L A T D U B A R R Y ,préparé sans aucun m élange de fécules ou au tre s m atières indigestes ou pâteuses, e t p a r dei
spéciales qu i cu lèvcu t au cacao tou t principe échauffan t e t nuisible, ce,C hocolat est par- om acs |es p lu s d é lica ts ou irr itab les , e t ju stifie p leinem entfaitcincnt soluble, <
n d e •
DU IIARRY c l C ie , 26, Place V endôm e, Paris, c l p a rto u t ch ci le u rs déposita ires.D épôt â Sen lis , chez MM. Msixcicr e t Donon, ép ic ie rs ; à C re il, chez MM. P odlain e t MaeÉcbal-
F zeezt, p lia rm acicns; à Pont-S•inte-M .ixeiiec, chez 411. T uibebt-Baebibb e t P ellibe, p lia rm .
Marché» du Départem ent.
B e a a v a t » , 26 ju in .F rom ent l’hcct. 19 46. — M uison 18 12. —
Métcil 18 00. — Seigle 13 • • . — O rge 13 20. ■ Avoine 10 85.Piiin (taxe officielle) le l i l . t " q u a lité 32 c . ,
2 ' qua lité 27 c .U l c r m o n l , 19 ju inlllé l ’Iieet. I ” q u a i. 2 0 » » , 2 ' q u a i. 19 »»,
3- qua i. 17 7 8 .— Métcil 16 I L — Seigle 13 33. —O rge 13 61.— Avoine l r* q . I l 6 6 ,2 * q . 10 •».
Pain lu Lil. 1 " qua lité 33 c . ; 2* q té 28 c .C o m p lè g n c , 26 ju in .F rom en t l’hcct. 1 " q u a lité 20 »», 2* qua lité
16 •» , 3 ' qua lité 18 •» . — Métcil 16 25Seigle 12 50. — O rge 12 »». — Avoine 10 »»
Pain le Lil. I " qua lité 32 c . , 2* qua lité 27 c. C r é p y , 26 ju in .Dlé les 100 Lil. I " qua lité 27 25 , 2* qualité
j . . . 3* qua lité 25 »». — Métcil » . . . . — Seigle 1 8 » » .— O rge 1 8 . . . — A voine 1” qualité 20 50, 2* q u a i. 19 50.
Pain (taxe officieuse) le L il. 1” q u a lité 31 c . , 2* qua lité 26 c . — Taxe des boulangers 1 c. en p lus pa r Lil.
N a n te a lM e -M U ta d a ia lK , 25 ju in .Rlé les 100 Lil. !*• q u a lité 26 85, 2* qualité
26 »», 3* qua lité 25 . . . — Méteil 20 » •. —Seigle 17 75. — O rge 20 25 Avoine 20 25.
Pain b lan c (taxeofficieuse} le Lil. I " q . ■» e., 2» q . » . c .; (taxe des boulangers) 1- quat 32 c . 2 * 2 6 . 6 '
P o u t 4 i a i n t c . ! l l a x e u e e , 25Dlé l’hect. 1'* qua i 21 05 , 2* quai. 19 75,
5* q ua i. 18 50. — Méteil 16 50. — Seigle I I 86,q u a i. 18 50. — Méteil 16 50. — Seigle I — O rge 11 90. — A voine qua lité 9 9 2* qua lité 8 60.
Pain b lan c le L il. 35 e . ; d* bis 30 C.
N e n ll» , 29 ju in .Marché bien garn i t ven te active aVaa une • - * - » ■ • • • , le seigl*baisse de 50 c . su r les b lé s; p a r a o n lrr ,
a lianssé d e I f r . p a r J00 Lit. Avoiuc station-
From ent les 100 Lil. I** q u a lité 26 50, 2*qualité 25 59 . 3* q u a lité 24 5 0 ; — Seigle 17 50. - Avôlne I » q u a lité 20 50, 2* q u a lité 19 50.
Fro n c n t l ’hect. I " qu a lité 20 65, 2* qualité 19 40, 3* qua lité 18 Ï S . — Seigle 12Û0. -Avoine 1** qua lité 9 45, 2* qua lité 8 20.
Pain le Lil. 1 " q u a i. 35 c .; 2* qua^, 2"
2 * 1 0 p a r a u
BUREAUX 7 , p la c e d e In
B o u rse , P o lis L’EPARGNEP 81, 8,1
BUREAUX 7 , P laco d e la B o u rse , P aris.
l.c p lu s c o m p le t d e s jo u rn a u x f in a n c ie rs , le g u id e in d is p e n s a b le d e s a c t io n n a ir e s e l d e s o b l ig a ta ire s , p u b lic , clmcjn© ‘ ’ " r s e , le C ours d e to n te s les v a le u rs f ra n ç a ise s e t é t r a n g è re s c l d u c h a n g e , In liste
o . . .... c e c i le s d e s c h e m in s de fe r , les d iv id e n d e s e t in té rê ts â re c e v o ir , le s a p p e ls de fonds,les co n v o ca tio n s a u x a sse m b lé e s g é n é ra le s e t les c o m p te s -re n d u s d e ces a sse m b lé e s , le b ila n h e b d o m a d a ir e e l m ensuelo fficielle d e to u s les t ira g e s , les re c e t te s d e s c h e m in s de fe r , les d iv id e n d e s les co n v o ca tio n s a u x a sse m b lé e s g én é ra le s e t les c o m p te s -re n d u s d e ces assf d e to u te s les c o m p a g n ie s fin a n c iè re s c l in d u s tr ie l le s , d e s a r t ic le s ra iso n n é » c l d e s r e n se ig n e m e n ts p u isé s a u x sources les p lu s a u th e n t i i |i ie s s u r le u r s i tu a t io n , u n a r l ic te ri« j u r i s p ru d e n c e sp é c ia le p a r u n d e n o s p r e m ie r s a v o ca ts , des co n se ils s u r les m e ille u rs p la c e m e n ts â o p é re r , d e s c o r re sp o n d a n c e s d o to u te s les p laces d e l 'E u ro p e , e tc ., e tc . Il est r é p o n d u g ra tu i te m e n t aux d e m a n d e s d e re n se ig n e m e n ts d é s a b o n n é s , a c c o m p a g u é e .d 'u n tiin b rc -p o s tc . — O n s 'ab o n H f e n en v o y an t 2 t r . 4 0 c n tim b re s-p o s te o u en u n m a n d a t â l ’o r d r e do M. d e F o n lb o u illa n l, c h e v a lie r d e la L égion d ’IiOfl , n c u r , D’-g é ra iil d u jo u r n a l , 7 , p la c e d e In B o u rse , P a r is . . _________________________
T u p a r nous, M aire de la v ille de S e n lis , pour légalisation de la signature de AI. E . P a yen , a p c jsée à l'a r tic le . L e 1869 Reçu
E nreg istré à Senlis, le 1 8 6 9 . / ' Im p rim erie e t L ithograph ie E rnest PA Y E N , sure, de M ”' R E G N IE R , Place do l'UiHel-ilc-Ville à Senlis.
;„0 01133 T») !Q-r ! JilOal
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J W ' - Mffisammenl jjre>.:Unedif1 confondre ' les i nppoHs q u i ! (tlles q ni ^ e m lescofiteslatioi
raWej raàisiioi du Corps législ
Une demam réunit d é jà '1 3 «3 Éççrétoires;
Nous demi de donner manière plU s e]
> :L acons4 it orpa législatif id e se sco m ir
^eu des m esüt
ïx. P euple et rinterpellatibn ni de cotit raifo
e C e . 'q i r - I.Q ém èut Dû
(tÉot p af la Ch ÜtiatiVof^'edF ta qu’il s’effac tsliomnleë qu
trône so it u n fi d’un .pouyoir il dri!ehangeméii uacteinent que
On écrit d e lLe remplitcèii
Gollz, rt>t u n e :ç
pande importaLe choix d e
d e P r u s s c . â ^ a j«rétairo â P i i
«ordinaire,
Pendant sondefnnpcrairictiBèftioii, La jtcba»dc.iic d e Plufrintwacs lef
tri's proltablem ôliltque. Cièsl •ffisse à Vienne w fsb o jjre .-e t
biron de Magt
Vous n iguoi ‘.iîongtem ité donné
enfin donné n t Wéfthem serait chanta sou venir deX. M agm ül ‘ la sympathie i
Si la nominal ine prèüvc d u . ' ü iâL .'Ù d i
- e d u désli Autriche. Voul ^ u r e ê tre pi
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