Sylvie FréchetteEn conférence à

Rosemère le 26 avril p. 21

Marcia PiloteProfession :

communicatrice p. 18

Louis MorissetteHOMME AUX MULTIPLES TALENTS

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« Je carbure à l'adrénaline et au sport. »

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Les MorissetteAvec Véronique Cloutier

et Louis Morissette

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Je vais vous confier un secret. Il m’arrive parfois de rêver que je gagne un prix de reconnaissance pour mon travail d’éditrice de magazines indépendants. Je me suis toujours dit que j’en profiterais pour

remercier tous ceux qui n’y ont pas cru ou ont voulu me décourager, me disant que le papier, c’est fini, que la compétition est féroce, etc. Ces commentaires ont souvent été un moteur pour continuer, alors que moi, j’y crois tant. Peut‑être aussi que ça cache un besoin de prouver quelque chose... à moi‑même ! J’ai en fait visualisé un tel moment sur une scène de gala quelques minutes avant d’écrire ce texte, durant un de mes trop nombreux moments d’insomnie. Puis, un déclic. C’est devenu très clair pour moi que, quand ce moment sera réel, je serai habitée par ce que je véhicule : du beau, du bon, du mieux. Du positif. Je n’aurai pas à accorder d’importance aux briseurs de rêves, alors que je suis entourée d’amis et de collègues extraordinaires, qui me stimulent, me tendent la main, me font rire, m’évaluer, croire et avancer.

Pourquoi je vous partage cette tranche de vie à apparence banale ? Parce que ce sont de petits moments comme ceux‑là qui me font prendre conscience de ce que je veux choisir dans ma vie et ce à quoi je veux faire de la place. Ces choses, entre autres, sont la constance et la congruence. Les 2 choses les plus difficiles à maintenir pour l'humain, comme me l’a récemment dit une personne que j’estime beaucoup. Walk the talk. Être conséquent avec qui on est, avec nos valeurs, avec ce qui sort de notre bouche, avec ce qu’on suggère aux autres, alors qu’on ne le met souvent pas en pratique pour soi. À partir du moment où on décide d’avancer en ce sens, ça devient de plus en plus clair et fréquent d’avoir des éclairs de prise de conscience quand on fait quelque chose qui va à l’encontre de ce qu’on veut projeter : une image conséquente avec notre être.

Combien de fois n’ose‑t‑on pas DIRE, se cache‑t‑on derrière un petit mensonge blanc, de peur de décevoir, de ne pas être aimé, de faire de la peine, afin de garder au strict minimum une conversation, remettre à plus tard une confrontation ? ?éÉ ? ? Je le sais, je le fais encore parfois. C’est une quête de toute une vie. Mais une chose est certaine :

dans une démarche d’authenticité, alors qu’on s’enfarge, ça devient rapidement clair quand on commet une erreur ou on se triche soi‑même. Et quand on nous le fait remarquer, on ne peut qu’acquiescer et reconnaître la vérité, sans faux semblant, sans voir notre ego heurté. La vérité rend service, fait avancer. Les gens, le monde, mais surtout soi‑même.

Et vous, à quel rythme vos bottines suivent‑elles vos babines ?

Mon éditorial vous fait réagir ? Écrivez‑moi ! info@partoutici.com

Catherine Verdon, rédactrice en chef

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La première fois, je me suis dit que c'était la meilleure sucrerie que j'avais mangée dans ma vie. Puis, tu te dis que ton souvenir doit être exagéré. Tu en remanges. Même saveur, même bonheur, même constance du produit. Après 3  commandes de cakepops à Mélissa Desjardins de Farine & Chocolat, toujours la même impression d'extase. C'est beaucoup plus que du bonbon !

Parce qu'une formation de base en PNL (au minimum !) est un des beaux cadeaux que je me suis fait... Ce livre est un bel outil pour tous ! Richard Bandler est le cocréateur de la PNL, qui enseigne entre autres à changer notre façon de penser et à communiquer plus efficacement.

Le caramel de pomme au Feu Sacré, du Verger Lacroix, fait avec ce cidre qu'ils sont les seuls à offrir. Juste un mot : menoum ! C'est bon, c'est de chez nous !

En lien avec ma réflexion, pour vous inspirer de gens qui se sont surpassés, qui ont arrêté d'attendre « le bon moment » et sont passés à l'action.

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LE SPECTACLE Télévision et spectacle sont deux mondes distincts. À ce sujet, Louis Morissette dit que la télé est beaucoup plus intrusive : on entre dans le salon des gens sans y être invité alors que pour un spectacle, on ne va en théorie pas voir quelqu'un que l'on n'aime pas. Il s'agit d'un choix libre et positif. Le spectacle s'adressera à une clientèle ayant un profil semblable au leur : couple avec une carrière et jeune famille, qui court tout le temps. Nombreux se reconnaîtront dans cette vie où nous essayons tous de conci‑lier le travail, le couple, la famille, les amis personnels et les amis de couple. Que dire des enfants, qu'on adore... « mais pas tout le temps ! », affirme Louis en riant.

Louis veut offrir un spectacle différent, abordé avec le même sérieux qu'à ses débuts, afin de ne rien tenir pour acquis. Pour lui, la scène et le « stand‑up comique », c'est du sérieux. Entouré de François Allard, Benoit Pelletier et Alain Chicoine, le spectacle s'ajustera sur un rodage de 40 représentations. Au moment de lire ces lignes, le travail est à la phase « lecture/mise en bouche des textes » où Véro dira probablement, selon Louis, quelques « Es‑tu malade ? ! » .

CRÉATIONLouis Morissette semble avoir tous les talents. Dans un éclat de rire, il corrigera rapidement : il n'est pas doué pour le marteau. Amorçant la quarantaine, il aime se mettre à risque pour se dépasser. Les défis l'allument. Travailler à la réussite de quelque chose pris à l'état brut lui donne de l'énergie. Son défi est de se renou‑veler assez pour garder la flamme et avoir du plaisir en cours de route. Après la 2e saison de CA et la 3e de Les enfants de la télé, il ne sentait plus le même intérêt. La route, la démarche qu'on appelle « The Journey » qui pompe l'adrénaline pour atteindre le sommet le nourrit. Il affirme : « Je ne prends pas de drogue, très peu d'alcool, mais je carbure à l'adrénaline et au sport ».

UN GARS DE FAMILLEComment Louis et Véro réussissent‑ils à se rejoindre, à reconnecter comme couple et comme parents dans cette vie trépidante ? Avec son sourire magnétique, il répond : « Notre relation se bâtit dans la continuité, que ce soit au repas, la tête sur l'oreiller, nous discutons comme tout autre couple normal. ». Il reconnaît toutefois le privilège que leur procure leur statut de travailleurs autonomes où les horaires sont ajustés en fonction des besoins. Le privilège de ne pas être coincé dans la circulation le matin. Ou

Complémentarité et confiance

pour Les Morissette

Réaliser une entrevue avec Louis Morissette est un moment de bonheur. Cet homme fort sympathique a un grand sens de l'humour et de la dérision, mais aussi un sens de l'humilité qui le rend attachant et accessible. Je l'ai rencontré lors du point de presse annonçant leur fort attendu passage à Sainte‑Thérèse, où nous avons évidemment parlé du spectacle à venir, mais aussi de lui comme homme, père et amoureux. Récit d'un avant‑midi inspirant.

Par Sylvie Côté www.sylviecote.com

Sylvie Côté et Louis Morissette

« On travaille ensemble, mais jamais sur les mêmes choses. Je travaille sur la conception, Véro livre le matériel. Je cours le marathon, elle court le cent mètres et elle est la meilleure pour le faire. »

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RENCONTRE

encore, celui de Véro d'animer son émission d'après‑midi de son studio à la maison. Bien qu'ils aient des gens à la maison pour les aider lors du retour de l'école ou pour différentes tâches, le besoin d'intimité est important. Les périodes du matin et du souper sont réservées à la famille, quitte à travailler en soirée. « La nuit, nous nous levons pour nos enfants. Ils sont une priorité. », me dit‑il. Pour cette raison, le spectacle ne se passera pas très loin de la maison. La tournée doit être pensée différemment. Le "road case" intégré est déjà commandé : il y aura une grosse salle de jeu en coulisse. « Lors des congés scolaires, les enfants pourront nous accompagner pour quelques jours et nous pourrons alors penser aller en région ».

LOUIS, VÉRO ET LE TRAVAIL« On travaille ensemble, mais jamais sur les mêmes choses. Je travaille sur la conception, Véro livre le matériel. Je cours le marathon, elle court le cent mètres et elle est la meilleure pour le faire. » Le couple travaille en complémentarité et chacun se respecte pour ses forces et son expertise. Une grande confiance règne sur ce que chacun peut apporter à l'autre.

Il dit en riant : « On se pogne bien plus pour la décoration que pour le travail. Avant d'entreprendre un spectacle comme Les Morissette, nous nous devons d'être certains de vouloir nous engager dans un tel projet qui durera quelques années, et je n'entrevois pas trop de problèmes. »

Je lui mentionne l'avoir entendu dire en entrevue qu'il devenait un peu « mon oncle ». Je le questionne sur sa vision du futur profes‑sionnel du couple chéri. Il me confie être conscient qu'un jour leur rôle et implication sociale seront différents. Selon Louis, le cycle de Véro devrait s'estomper beaucoup plus lentement que le sien. Elle est de la trempe de ces Janette Bertrand, Dominique Michel et Claire Lamarche, qui travaillera tant qu'elle le désirera. Alors que son cycle à lui peut se terminer plus rapidement et plus abruptement, car il y a plus d'hommes et la relève pousse. Sa façon d'aborder cette étape est sage, considérant sa chance pour les belles années actuelles et la réalité que l'argent ne fait pas le bonheur, mais qu'il procure une belle liberté.

UN PETIT BRIN DE CURIOSITÉSe voit‑il devenir grand‑père et vieillir avec Véro ? Oui, un jour, il espère être grand‑père, mais il laissera ses enfants faire leurs choix. En ce qui concerne Véro : « Ah oui, je me vois avec ma Véro longtemps, longtemps, longtemps... ».

Les Morissette du 3 juillet au 2 août 2014 Théâtre Lionel‑Groulx ‑ Sainte‑Thérèse • www.odyscene.com

CROQUER la vieLe 26 mars prochain, le Carol à Gogo sera l'hôte d'un souper‑spectacle au profit de la prévention du suicide dans les Laurentides. Le Centre de prévention suicide le Faubourg et le populaire resto de St‑Sauveur vous invitent à un souper‑spectacle dont les profits serviront à répondre aux besoins de la population des Laurentides en matière d’intervention et de prévention du suicide.

Menu gastronomique de 7 services spécialement concocté pour l’occasion & performances énergiques de Meredith Marshall et Stephan McNicoll (participants de l’édition 2013 de l'émission La Voix) vous feront passer un moment magique qui sauve des vies.

billets 100 $ chacun (avec reçu d’impôt)

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Un salon de l'autisme TSA à Laval en octobre prochain !Afin de donner un coup de pouce aux organisateurs dédiés, faites connaître la venue de ce salon, qui n'a aucun équivalent présentement au Québec, au Canada, en Europe. Ils sont présentement en recherche de commandites.

Ce salon présentera une multitude de services tous réunis sous un même toit : équithérapie, jouets spécialisés, zoothérapie, maisons de répit, camps de jour, professeurs universitaires, cher‑cheurs, conférenciers, spécialistes, mais surtout, une superbe journée en famille. Une activité très rare lorsqu’on est une famille autiste. Poser des questions aux spécialistes sans devoir attendre pour avoir une réponse.

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Le mois d'Avril est le mois de l'Autisme au Québec et le 2 avril, la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme.

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On se quitte. Vraiment ?Une amie m’annonçait dernièrement que c’en était fini avec son chum. Après à peine un an de fréquentation, le verdict est sans appel. Elle m’a confié être déçue de cette relation, qui était pourtant si intense et passionnée au début. Tranquillement, une distance s’est créée, puis la passion s’est affaiblie, atténuée, tout comme le désir de s’engager.

Je lui ai demandé : « Est‑ce la fin d’une relation ou peut‑être seulement la transformation de celle‑ci ? » Peut‑être était‑elle plutôt épuisée par cette trop grande intensité vécue en début de relation et par survie, elle a décidé que la rupture était la seule option.

La folle passion des débuts de relation a des effets semblables à une drogue et nous permet, par exemple, de passer des nuits blanches ou même, en redemander le lendemain. Si c’était cette folie qui lui avait brisé les ailes ? Ainsi, ce qu’elle interprète comme le désamour est peut‑être, au fond, une transformation de la passion en amour vrai. Peut‑être est‑ce un biais perceptuel ?

L’amour est un cadeau énorme. On doit s’échanger ce cadeau à tour de rôle au sein du couple : parfois c’est nous qui l’offrons, alors qu’à d’autres moments, on le reçoit avec beaucoup de gratitude. C’est là qu’apparaît l’amour vrai. C’est le passage de l’intensité, que le corps ne peut pas supporter éternellement, à l’autonomie dont nous avons tous besoin pour évoluer. Cette autonomie peut très bien se vivre au sein du couple. Être autonome, c’est apprendre à se débrouiller seul, pas nécessairement être seul. C’est une nuance très importante : il est tout à fait possible d’être autonome tout en partageant sa vie avec quelqu’un.

Suite à cette conversation avec mon amie, elle a pris conscience que ce qui lui faisait peur, c’est la fin de la période d’enchantement de cette passion ardente qu’elle interprétait toujours, et ce, à chacune de ses relations, comme la fin de l’amour.

Il faut agir pour que cet amour tant souhaité prenne d’abord place en nous. Croire en soi et avoir de la bonté pour soi peut être un défi quotidien, mais mène assurément à préparer le terrain pour que l’amour puisse faire son nid.

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C'est quoi l'amour ?Par Catherine Verdon

Leo Bormans est l'auteur à succès de Happiness, le grand livre du bonheur. Il était de passage au Québec à la fin de 2013 pour la sortie de Love, le grand livre de l'amour, dans lequel 100 chercheurs du monde parlent d'amour en 1 000 mots, sur les mécanismes et complexités de cet état dont rares sont ceux qui veulent vivre sans lui. Voici le récit de ma rencontre avec Leo Bormans, une lecture pour se laisser parler d’amour.

PEUT‑ON ÊTRE HEUREUX SANS AMOUR, MAIS PAS EN AMOUR SANS D'ABORD ÊTRE HEUREUX ?

Ce sont de bonnes questions parce que ce sont les grandes forces de l'être humain. Je voyage partout dans le monde et les gens me racontent pourquoi ils font ce qu'ils font : je veux être heureux, je veux que ma famille le soit, je veux aimer et être aimé. Ce sont les 2  grandes forces de l'être humain. J'ai demandé à 100  professeurs de 50  pays de me résumer en 1 000  mots ce qu'on sait de l'amour et du bonheur. Il s’agit de sagesse et de connaissances de psychologues, sociologues, économistes, etc. On peut apprendre et améliorer son propre bonheur et sa vie amoureuse en se confrontant soi‑même avec cette sagesse et ces connaissances. Et c'est différent pour chacun. On ne peut pas résumer en 2 mots ce que sont les secrets de l'amour. Ne croyez jamais quelqu'un qui peut vous résumer cela en quelques phrases. Je ne suis pas un gourou, ce sont des résumés d'études de ces spécialistes.

« L'amour est un triangle qui repose sur 3 composantes : l'intimité, la passion et l'engagement, qui sont toujours à peu près en équilibre.

L'amour survient quand on trouve quelqu'un qui donne le même poids

(ou presque) que nous à chacune des composantes. »

EST‑CE QUE L'AMOUR PASSE PAR LA CONNAISSANCE DE SOI ?

Ça commence avec le respect pour soi‑même. Ce n'est pas égoïste ou narcissique. Je dois être capable me regarder dans le miroir et de m'accepter sans me juger. Quand je peux y arriver, je peux aimer. Il ne s’agit pas de Je t'aime pour toujours et de passion qui brûle éternellement, ce sont les mythes dangereux de Hollywood. L'amour n'est pas la même chose qu'une relation ou que le sexe, c'est une force très puissante, mais ce n'est pas la relation.

QUELLE EST LA PLUS GRANDE ERREUR ? EST‑CE D'UTILISER LE MOT « TOUJOURS »?

On ne peut pas dire « toujours », parce que ce qui se passe dans le cerveau quand on tombe en amour est comme une drogue, une addiction, c'est créatif, et dangereux aussi, on prend des risques, on se sent invincible. Et ça ne dure jamais très longtemps parce que ça produit beaucoup de cortisol dans notre corps, ça dure 8 mois, 1 an, et ensuite notre corps y met fin parce qu'on ne peut pas vivre avec. Beaucoup de gens croient que l'amour est parti. Il se peut que oui si on est tombé amoureux d'une projection et non d'une réalité. Mais ensuite, ça se transforme en amour vrai qui stimule des zones du cerveau bien différentes. Et le but est de faire grandir l'autre, l'encourager, le supporter. Le contraire de l'amour n'est pas la haine, c'est la jalousie. C'est l'ombre de l'amour.

« On doit aimer quelqu'un très fort pour le laisser libre. »

EST‑CE QUE ÇA VEUT DIRE QUE DÈS QU'IL Y A JALOUSIE CE N'EST PAS DE L'AMOUR, MAIS CE SERAIT AUTRE CHOSE ? EST‑CE QUE JALOUSIE ET AMOUR PEUVENT COHABITER ?

C'est bien d'être un peu jaloux, mais mettre l'autre dans une cage est dangereux. On ne doit jamais accepter une telle relation. On doit trouver une personne pour qui les mots « je t'aime » veulent dire pas mal la même chose que pour nous. L'amour n'est pas compliqué, c'est simple. Mais c'est unique. Ça veut dire que c'est différent pour toi et pour moi. On a notre formule selon notre éducation, notre jeunesse, la télévision, etc.

« Le cynisme est l'attitude la plus facile à adopter. Le possibilisme est

de toujours voir une possibilité. Et la possibilité est une combinaison

de croire et d'agir. »

EST‑CE QU'AVEC TOUTES LES RECHERCHES QUE VOUS AVEZ FAITES VOUS ARRIVEZ À APPRENDRE ENCORE OU À ÊTRE SURPRIS SUR CES SUJETS ?

Je suis surpris tous les jours parce qu'on n'a pas trouvé UNE réponse. Il y a beaucoup de chemins pour arriver au bonheur et à l'amour. C'est votre chemin. Quand je demande aux gens de me dire quelque chose d'essentiel sur l'amour, un silence mortel survient. Ils n'ont pas de mots pour ça. D'où le livre. L'amour n'est pas comme la communication, c'est un troisième

joueur qui est là, c'est une question de chaleur, de contact, ce sont des micro moments de réponses positives. Le plus dangereux pour l'amour, c'est la routine, de penser que le bonheur et l'amour tombent du ciel. Ce sont des verbes à conjuguer, on doit agir, chercher la surprise. On le sait, mais on oublie et on le cherche quelque part où il n'est pas. Ce n'est pas toujours la fête. J'espère que les gens seront inspirés par ces enseignements et cette sagesse. On peut apprendre beaucoup de la sagesse de partout dans le monde, c'est une force universelle.

Catherine et Leo Bormans auteur des livres Happiness, le grand livre du bonheur et de Love, le grand livre de l'amour

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ÉVASION

Ralentir le rythme de la ViePour son 15ième anniversaire, Le Centre de Santé Le Chantecler organise, en collaboration avec la Fondation L’art de Vivre, un évènement « Retraite de Yoga ». Pour l’occasion, la venue d’un grand Maître de Yoga, Krishan Verma , permettra aux participants de découvrir les vertus et bienfaits du Sri Sri Yoga, véritable célébration de l'instant présent dont il est l’enseignant à travers le monde. Il combine et offre les bienfaits des techniques de respirations traditionnelles (pranayamas), les asanas (postures et étirements), la méditation, la relaxation ainsi que les enseignements de la connaissance Yogique (savoir ancien).

KRISHAN VERMAKrishan Verma étudie le yoga depuis 35 ans et l’enseigne depuis 20 ans. Aujourd’hui, sous sa tutelle, des milliers d’enseignants répandent dans le monde entier la connaissance du yoga. Son message se veut toujours pratique et pertinent pour la vie quotidienne. Directeur du Sri Sri Yoga

fondé récemment, Krishan a commencé en 2001 à enseigner dans le monde cette nouvelle approche du yoga parfaitement équilibrée. Son maître spirituel, Sri Sri Ravi Shankar, lui a décerné le titre de « Yogacharya ». Il est également diplômé du programme de formation des enseignants de yoga avancé Shivananda et porteur des titres de « Yoga Shiromani » et de « Yogacharya ». Il a formé plus de 2 000 enseignants de yoga partout dans le monde et a enseigné dans de nombreux pays.

LA FONDATION L’ART DE VIVREFondée en 1982 par Sri Sri Ravi Shankar, la Fondation L’Art de Vivre est l’une des plus importantes organisations humanitaires dans le monde, qui enseigne différentes méthodes destinées à éliminer les effets du stress.

La suite de ce reportage dans le prochain numéro, le 6 mai !

Il y a des mystères dans la vie qu’on n’arrive pas à cerner. Pour moi, New York est un de ceux‑là. Moi, qui suis un adepte de voyages et de découvertes, je n’arrive toujours pas à comprendre qu’une grande majorité de Québécois n’a pas encore mis les pieds dans cette ville surprenante. Des touristes de partout dans le monde se déplacent à grands frais pour vivre cette ville qui n’a rien d’ordinaire. Pour nous, New York ne se trouve qu’à sept heures de route. On peut facilement la découvrir dans un long weekend de trois jours.

J’ai visité la Grosse Pomme la première fois à l’âge de 10 ans, en compagnie de mon père. Cinquante ans plus tard, je suis toujours aussi fasciné par elle. Times Square, la 5e Avenue, la statue de la Liberté, Central Park ont toujours le même charme. D’autres incontournables sont venus s’ajouter : Chinatown, Harlem, SoHo et une quantité impressionnante de musées. Mais quand on y est allé une bonne centaine de fois, comment ne pas être blasé ? Facile : New York a toujours du nouveau à offrir. Personne ne peut prétendre connaître la ville parfaitement.

Je me suis donc donné comme défi de découvrir quelque chose de nouveau à chaque visite. À chaque voyage de groupe, je m’assure d’ajouter une ou deux de mes trouvailles. Depuis quelques années, j’adore ame‑ner mon groupe faire une balade sur le superbe High Line Park, un parc urbain aménagé sur une ancienne voie ferrée aérienne. Ou encore, visiter un marché local, presque inconnu des hordes de touristes. Saviez‑vous également qu’on peut voir à New York une section

de l’abominable mur de Berlin ? Vous ne devineriez jamais que beaucoup de New Yorkais se rendent au travail, tous les jours, en... téléphérique. Il y autant de façons de voir New  York qu’il y a d’individus. Chacun y va à son rythme. Certains vont se régaler de magasinage, d’autres visiteront des musées ou s’émerveilleront de l’architecture ou des superbes parcs et places publiques. En suivant le guide, ou en solitaire.

Au retour, la tête remplie d’images, de bruits, d’odeurs, vous allez jurer que jamais vous n’accepteriez de vivre dans cette ville de la démesure et des superlatifs. Mais, trois jours de découvertes dans la Grosse Pomme, surtout au printemps, quel dépaysement ! Vous n’aurez que le goût d’y retourner.

Par Normand Verdon, Globe‑trotter et guide de voyage normmtl@hotmail.com

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RÉUSSIR

Par Emilie Paquin, Auteure et conférencière en développement personnel www.emiliepaquin.ca

UN ANCIEN MODÈLEAvant de définir ce qu’est le leadership, voyons un peu son opposé, l’autorité. Un patron qui cherche à avoir de l’autorité sur ses employés est un patron qui veut avoir du contrôle, qui croit que seules ses idées sont bonnes et que celles de ses employés ne valent rien, qui cherche à avoir du pouvoir sur ses employés en cherchant soit à démolir leur estime personnelle, à les manipuler ou encore à les diviser pour mieux régner. Souvent, pour ce genre de patron, la réussite de son équipe est moins importante que sa réussite personnelle et s’il fait une erreur, il blâmera tout le monde autour de lui et ne prendra pas la responsabilité de ses actes.

Malheureusement, il existe encore trop de ce genre de patrons dans nos sociétés, principalement dans la génération des baby‑boomers. Dans les écoles de gestions des années 60, 70 et 80, on enseignait le modèle de gestion hiérarchique pyramidal, où la communication était unidirectionnelle et partait des patrons vers les employés, et où seules les personnes en charge pouvaient avoir des idées et prendre des décisions. Toutefois, les choses ont bien changé depuis, que ce soit les modèles de gestion, les structures organisationnelles et les employés.

LES BESOINS DES EMPLOYÉSLes besoins des employés ont aussi bien changé depuis. Pour les baby‑boomers, qui ont grandi dans une période d’après‑guerre, la chose la plus importante était la sécurité. Tout ce qui leur importait était de pouvoir avoir un toit, de manger trois repas par jour et de donner une bonne éducation à leurs enfants et s’ils avaient un bon travail qui pouvait leur apporter tout ça, ils en étaient grandement reconnaissants. C’est pourquoi cette génération d’employés est extrêmement fidèle et docile envers leur employeur, même s’ils sont malheureux dans leur emploi. C’est aussi pourquoi il est très difficile pour eux de concevoir laisser leur travail ou de changer de domaine.

Pour les générations qui ont suivi, les choses ont bien changé. Les gens des générations X et Y ont grandi dans la sécurité et dans l’abon‑dance matérielle, donc la sécurité d’emploi n’est pas nécessairement leur priorité. Ce qu’ils veulent à prime abord, c’est non seulement faire quelque chose qu’ils aiment, mais aussi de s’accomplir, s’épanouir et se réaliser dans leur travail. Le gain monétaire n’est plus une priorité pour satisfaire un employé. Bien que les gens veuillent avoir une certaine liberté financière, ils ne désirent pas nécessairement être riches, ils veulent d’abord être reconnus pour leurs talents et habiletés, être appréciés à leur juste valeur et avoir de la reconnaissance de leurs supérieurs pour leur investissement professionnel et la qualité de leur travail. Aujourd’hui, les employés ne sont plus fidèles à leur organisation, ils sont fidèles à eux‑mêmes et si leurs talents et investissements ne sont pas reconnus à leur juste valeur, ils sont prêts à changer d’endroit aussi souvent que nécessaire pour trouver enfin ce qui répondra à leurs besoins.

Ce qui arrive malheureusement bien souvent, c’est que le patron autoritaire ne reconnait pas les efforts de ses employés et considère qu’ils ne font que ce pour quoi ils sont payés, ce qui génère des frustrations pour les employés et les démotive. Tout ceci démontre l’incompatibilité entre le mode de gestion d’autrefois et les besoins des employés d’aujourd’hui.

LE LEADERSHIP« Le leadership, c’est d’avoir confiance en soi et de donner confiance autour de soi. » Nicolas de Travernost

En contraste avec un patron autoritaire, un patron qui fait preuve de leadership ne cherche pas nécessairement à avoir du contrôle ou du pouvoir sur ses employés. Un bon leader commence d’abord par avoir une vision en tête. Ensuite, il communiquera cette vision à ses employés et attribuera un rôle à chacun dans le but d’atteindre un objectif commun.

Le leadership

Nous avons tous et toutes connu différents types de patrons : certains nous minent le moral et éteignent la passion en nous alors que d’autres nous inspirent, nous motivent et nous poussent à nous dépasser. Qu’est‑ce qui différencie ces deux types de patrons ? Le leadership.

« Une grande majorité d’employés ont beaucoup plus de capacités, de créativité, de talent, d’initiative et d’ingéniosité que leur poste ne leur en demande. » Stephen Covey

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S'ACCOMPLIR

Emilie Paquin est auteure et conférencière en développement personnel. Au printemps 2014, elle donnera l’atelier de 3 jours « Prenez le pouvoir de votre vie ! » à :

Montréal : les 11,12 et 13 avril 2014Québec : les 9,10 et 11 mai 2014Sherbrooke : les 13,14 et 15 juin 2014

Pour plus d’informations, visitez le www.emiliepaquin.ca

Un bon leader ne cherchera pas à imposer ses idées, car il croit que les bonnes idées peuvent venir de partout. Plutôt, il proposera des pistes de solutions à son équipe pour accomplir la vision et leur demandera leurs points de vue et leurs idées afin de venir bonifier cette proposition. Il fera confiance en chacun des membres de son équipe, selon leur spécialité, pour venir apporter leur contribution au projet en cours de route. Ce type de comportement aura tendance à responsabiliser chaque membre de l’équipe face à leur part de travail.

Le leadership aura pour impact d’apporter à l’employé une certaine liberté de création, du fait qu’il peut apporter ses idées et mettre ses talents et ses forces à contribution ; il lui conférera un certain pouvoir décisionnel sur son travail individuel, ce qui le rendra autonome et responsable ; il amène les employés à sentir que leur présence au sein de leur équipe est importante et valorisée, en plus de leur apporter un sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux, deux choses extrêmement motivantes ; et finalement, le fait d’avoir un objectif commun partagé par tous a pour impact de renforcer la collaboration et la bonne entente entre les membres de l’équipe, de mobiliser tous les membres en vue de l’accomplissement de cet objectif, et de les pousser à donner le meilleur d’eux‑mêmes, se dépasser et devenir meilleurs.

CONCLUSIONAu final, un patron autoritaire, qui cherche à avoir du pouvoir sur ses employés et qui ne pense qu’à sa réussite personnelle, sera suivi par ses employés parce qu’ils n’ont pas d’autre choix s’ils veulent pouvoir conserver leur sécurité matérielle. En revanche, un patron qui fait preuve de leadership saura inspirer, motiver et mobiliser les membres de son équipe et ils le suivront parce qu’ils en auront envie. Voilà l’immense différence entre ces deux types de gestion ! Imaginez si nous pouvions avoir de plus en plus de gestionnaires faisant preuve de leadership, le nombre d’employés qui pourraient être épanouis et heureux dans leur travail !

L'entrepreneur du mois

L'entrepreneur du mois : Mélanie Tremblay, PrévostProfession : Fabricant et distributeur, Ôra Cosmétiques

Secteur d’activité : Cosmétiques, gamme visage et corps

Ta plus grande fierté : La création de la gamme

Ôra Cosmétiques en 3 mots c’est : purification, oxygénation, hydratation

Quel conseil reçu mets‑tu en pratique de façon courante aujourd’hui ? Persévérer, même dans les moments de découragement.

Que referais‑tu autrement ? Je ne changerais pas grand chose, mes erreurs m'ont fait grandir et apprendre énormément.

Une personne déterminante dans ton parcours ? Ma grand‑mère

Quelle profession autre que la tienne aurais‑tu pu exercer ? Naturopathe ou homéopathe

Quelle est ta définition de la réus‑site ? Des gens satisfaits, pour moi, c’est une réussite.

Ton modèle de personne heureuse ? Ma tante Colette, qui a surmonté beaucoup d’épreuves dans sa vie en gardant le sourire et la foi. Sa bonne humeur est contagieuse, elle est inspirante et formidable.

Qu’est‑ce qui te donne envie de te dépasser ? La vie ! et surmonter mes peurs. J'aime les défis.

L’argent fait le bonheur ou non ? Non, mais disons que ça peut aider pour certaines choses.

Une journée de travail parfaite c’est ? me coucher avec le senti‑ment d’avoir accompli quelque chose de bien.

Qu’est‑ce qui est non‑négociable ? Rien n’est non négociable, il est important d’avoir une ouverture d’esprit, surtout en affaires.

Quelque chose sur ta bucket‑list ? Faire le tour du monde

Une entreprise qui t’inspire ? Lise Watier, pour sa persévérance et sa détermination.

Le petit pot indispensable dans toute bonne pharmacie de fille ? Pour les matins fatigués, je dirais le Sérum de Jouvence.

www.oracosmetiques.com

Vous aimeriez être notre

Entrepreneur du mois ?

Dans chaque numéro, un des annonceurs de Partout Ici est

choisi au hasard !

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ArtTribu vous propose un concept d’activité artistique pour animer une réunion entre ami(e)s, une fête ou tout autre rassemble‑ment, permettant à chacun de s’amuser et de se détendre en jouant avec des couleurs et en sirotant un breuvage (thé, café, vin).

AUCUNE EXPÉRIENCE ARTISTIQUE N’EST REQUISEL’activité se déroule au studio de l’artiste, à votre domicile, dans une salle de réunion, de réception ou encore dans la cafétéria de votre entreprise. La durée de l’activité est de 2 à 6 heures. Tout le matériel est fourni. Ce qui est nécessaire pour le bon déroulement de l’activité, c’est un lieu disposant de chaises et de tables, ainsi que des gens désirant expérimenter un loisir créatif sans prétention, juste pour s’amuser en bonne compagnie ! Le coût de l’activité est variable, le nombre minimum de participant(e)s est 6. Les participants repartent avec une œuvre personnelle qu’ils ou elles pourront fièrement exposer par la suite.

ArtTribu vous offre un choix de projets créatifs à élaborer en groupe ; choisissez

parmi notre sélection et/ou demandez conseil à nos animateurs, qui se feront un plaisir de vous guider. Les animations d’ArtTribu ne sont pas des cours artis‑tiques, nul besoin de performer, le but étant de s’amuser.

ArtTribu est également au service des entreprises et du milieu scolaire.

Les activités organisées en dehors du cadre de l’emploi favorisent les échanges et l’esprit d’équipe. De plus, la pratique de l’art visuel apporte un dépassement de soi unique et inestimable. Nous avons plusieurs activités de groupes à vous proposer, inspirées des méthodes de cohésion d’équipe. La réalisation de grandes toiles collectives et/ou des mosaïques de petites toiles mises en commun peuvent créer une atmosphère de rapprochement et de solidarité pour le bien d’un groupe. Le tout est conçu et présenté dans un cadre ludique.

infoarttribu@gmail.com • 450 543‑3094 www.arttribu.com

Créer et peindre tout en socialisant !

L’eau, votre meilleure alliée avec BAIN VIVAL’eau potable est traitée chimiquement avec essentiellement du chlore et du sel d’aluminium. Saviez‑vous que votre corps absorbe plus de 15 % des chimiques qui se retrouvent dans l’eau de votre douche, votre bain, votre spa ou piscine ? L’équipe Safia se spécialise à trouver des procédés innovateurs et écologiques pour les traitements d’eau. Nous avons mis au point un produit qui transforme l’eau du bain en une eau oxygénée et revitalisée : Bain Viva.

BAIN VIVA est la solution idéale pour une peau saine et en santé.

La synergie entre nos deux matières premières utilisées (la poudre de Quartz colloïdale énergisée et une poudre spéciale qui devient du peroxyde en touchant l’eau) se compare aux processus d’épuration que l’on observe dans la nature.

En neutralisant les effets nocifs des produits chimiques, les pores de votre peau, en s’oxygénant, libèrent les toxines et ainsi, hydratent la peau.

Nos clients ont vu une nette amélioration de la peau sèche, les talons fendus, aux raideurs des articulations et tensions nerveuses, l'insomnie et autres infections cutanées.

Offrez‑vous 15 minutes de bien être avec Bain Viva !Philippe au 514‑983‑3643 • Nadine au 514 258‑6561 Pour les points de vente : www.bainviva.com

Pour le traitement de votre spa et piscine, le procédé Safia est l’alternative écologique pour le traitement des eaux récréatives.

Les avantages de la solution Safia : une eau hautement oxygénée pour maintenir votre eau toujours propre, ce que nous appelons scientifiquement un processus d’aérobiose. Même l’eau de votre remous (backwash) est biodégradable et bonne pour la végétation environnante.

Safia est synonyme d'usage facile et simple, est inodore, non toxique, sans irriter la peau et les yeux, ne causant aucun dommage aux maillots et aux pièces d’équipement mécanique, et beaucoup plus.

Ce procédé est très apprécié par les personnes concernées par l’environnement, qui ont des problèmes d’allergies ou de peau et qui cherchent des alternatives aux produits chimiques nocifs.

www.safidistribution.com • 514‑800‑7569

Visitez le magasin PISCINES RIVE‑NORD pour découvrir Safia 1261, Chemin des anglais, Terrebonne 450‑492‑1881

Philippe Jamet, directeur des ventes pour Bain Viva et Tanya St‑Arnaud

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S'ACCOMPLIR

Une loi anti‑pourriel

Par Florence‑Élyse Ouellette www.florence‑elyse.com

La pratique est courante, vous divulguez votre adresse de courrier électronique à une entreprise et par la suite, vous recevez, dans un but commercial, des bulletins et des offres. Et bien souvent, sans même avoir divulgué votre adresse, vous êtes bom‑bardés de messages publicitaires à même votre boite de réception grâce à des inforobots qui balaient des sites internet et qui repèrent les adresses électro‑niques qui y circulent. Ça vous agace ? Sachez que prochainement, recevoir ce type de sollicitation, sans votre consentement, sera illégal partout au Canada. Cette nouvelle norme appelée la Loi canadienne anti‑pourriel, qui entrera en vigueur le 1er juillet prochain, englobe non seulement les messages élec‑troniques, mais les logiciels malveillants et espions, la collecte d’adresses sur le net, les réseaux sociaux, sur les blogues, les messages texto, etc.

Toutefois, une période de transition est prévue jusqu’en 2017, pendant laquelle le consentement des consommateurs pour l’envoi de courriels dans le but de solliciter une activité commerciale et provenant d’entreprises, demeure implicite. Il est donc impératif de manifester votre désintérêt au com‑merçant concerné, généralement à l’aide d’un lien vous permettant de vous désabonner. L’expéditeur aura alors l’obligation légale de cesser ses envois à votre adresse. Après ladite période de transition, tout commerçant qui fait parvenir des pourriels à des consommateurs qui n’y ont pas préalablement consenti, sera illégal et punissable par la loi.

En d’autres termes, ces nouvelles dispositions viennent modifier la Loi sur le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications cana‑diennes, la Loi sur la concurrence, la Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques, ainsi que la Loi sur les télécommunications. Ce sont donc les organismes chargés de l’application de ces lois, tels que le CRTC, le Bureau de la concurrence et le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada qui auront le rôle et responsabilité de veiller à l’application de cette nouvelle loi anti‑pourriel.

Pour les consommateurs, il est donc suggéré, pour le moment, de supprimer tout courriel indésirable. Assurez‑vous d’avoir et de maintenir à jour un logiciel antipourriel, un programme antivirus ainsi qu'un pare‑feu sur votre ordinateur et vos appareils électroniques. En ce qui a trait aux entreprises, il sera obligatoire, après l’entrée en vigueur de la loi, d’obtenir le consentement d’un consommateur afin de lui envoyer vos offres ou promotions. De plus, si ce n’est déjà pratique courante, le commerçant devra clairement s’identifier dans le courriel en plus d’inclure un lien dans son envoi, permettant au des‑tinataire de retirer son consentement. Une révision de vos pratiques actuelles est donc de mise afin de vous conformer à la loi avant son entrée en vigueur.

I l n’est pas toujours évident de choisir où investir son temps et son argent. Je ne

connais pas d’entrepreneurs qui aiment perdre temps ou argent, que ce soit dans le réseautage ou autrement. Pour faire les bons choix, voici les plus importants types de réseaux où investir :

Les réseaux libres ou informelsCertains réseaux proposent des activités de réseautage libre alors que d’autres planifieront de manière à créer une synergie et provoquer des affaires dans le cadre d’une thématique précise. On y trouvera des séances de réseautage express (speed networking), repas‑conférences, galas d’affaires, tournées de commerces, etc.

Les réseaux structurés ou formelsCes groupes comportent une structure opération‑nelle, un ordre du jour, une récurrence et assurent un développement d’affaires plus constant. On y retrouve habituellement des membres réguliers et l’objectif est souvent axé sur les échanges de recommandations d’affaires professionnelles. Les groupes les plus efficaces offrent une exclusivité de siège par catégorie d’affaires, c’est‑à‑dire qu’il n’y a qu’un seul représentant par domaine d’affaires. La périodicité hebdomadaire offre, selon moi, un plus grand rendement de votre investisse‑ment, mais l’engagement est plus exigeant. Vous trouverez aussi des groupes qui proposent des rencontres toutes les deux semaines.

Les organismes à vocation communautaireCe genre d’organisme comprend les Clubs Rotary, Les Optimistes, les Clubs Richelieu et les autres organismes qui visent un impact positif dans notre communauté. S’impliquer dans la communauté est une excellente façon de donner au suivant et d’agrandir son réseau. Il est important de noter que l’aspect « affaires » est habituellement secondaire à la cause. Il est recommandé de s’y investir seule‑ment si vous êtes dédié à cette cause.

Les associations intra professionnellesSouvent sous‑estimés, ces groupes regorgent d’excellentes occasions d’affaires. Réseauter entre spécialistes d’un même domaine, organiser des collaborations stratégiques ou géographiques et trouver d’excellentes ressources d’information sont quelques‑uns des bénéfices potentiels.

Le réseautage virtuelNous ne pourrions passer à côté de la puissance des réseaux sociaux. Un bassin de connexions qui peuvent se multiplier rapidement et stratégique‑ment. Certains réseaux permettent l’utilisation de filtres afin de cerner les personnes recherchées. C’est le cas de LinkedIn qui est sans contredit le réseau le plus important en matière d’affaires pour y trouver des collaborateurs, faire du recrutement et rechercher un emploi.

COMMENT CHOISIR ?Se préparer :

• Quels sont mes objectifs de réseautage ?

• Avec qui ai‑je besoin de créer des liens ?

• Quel est mon marché cible ?

• Quel type de réseau me conviendrait ?

Exemples de questions à poser lorsque vous êtes sur place : • Quelle est la vocation du réseau et quelles valeurs

y sont véhiculées ?

• Questionnez les membres en place afin de connaître les engagements et les bénéfices.

• Renseignez‑vous afin de savoir qui sont les membres et leurs domaines d’affaires, les industries représentées, etc.

Faites votre bilan et évaluez la pertinence avant de vous impliquer et d’y investir votre temps et votre argent. Mieux vous évaluez avec précision votre capacité à contribuer, votre disponibilité et votre engagement, meilleures sont vos chances d’avoir un rendement intéressant de votre investissement.

Par François Garon, Conférencier et formateur, Créateur du Code Donneur www.francoisgaron.com

Où réseauter pour un maximum d’efficacité ?

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Égoïsme SAIN

DES MOMENTS POUR PRENDRE SOIN DE SOI. EST‑CE ÉGOÏSTE ?

Travail, couple, enfants, loisirs, amis, nos journées sont remplies, parfois saturées par des activités de toutes sortes, sans même parler du temps de qualité à investir dans son couple. Tout ça peut se traduire, si on n'y fait pas attention, par une vie proche des autres, mais loin

de soi. La question relative à l'égoïsme serait alors : suis‑je dans un élan destructeur, qui ignore l'autre en faisant du tort, ou suis‑je dans l'optique que chacun est responsable de la part de bonheur qu'il apporte dans le couple ?

L'ESTIME DE SOI

On peut d'abord envisager le concept de l'égoïsme de la façon suivante : qui suis‑je, moi, pour avoir le droit de prendre soin de moi avant tout ? Mais, à l'inverse, qui êtes‑vous pour ne PAS prendre soin de vous, prendre soin de votre vie, de l’amour que vous vous portez, afin de mieux contribuer à l'amour dans le couple, pour votre conjoint ?

LA BIENVEILLANCE

Honnêteté envers soi, douceur et clarté de nos objectifs facilitent un comportement de bienveillance. Bienveillance pour soi‑même et aussi pour l’autre. En prenant soin de moi, je permets aussi à l’autre de prendre soin de lui dans l’objectif de prendre soin du lien.

L’ALTRUISME

Lorsque nos besoins ont été comblés grâce à nos propres efforts, qu'une liberté intérieure s’installe, le sentiment d’importance du soi fait quelques pas en retrait pour accueillir des sentiments tout aussi puissants que l'amour de soi : l’amour de l’autre, accompagné de la compassion. En me réservant des moments à moi, je peux être plus disponible pour l'autre, particulièrement pour le lien amoureux.

ÉGOÏSME SAIN, LE RESPECT DE SOI ?

Un couple est composé de deux êtres qui partagent un objectif commun et une communication établie. Ce couple, formé de deux individus avec des besoins et des enjeux différents, peut‑il fonctionner sans que l'un soit le garant du bonheur de l'autre ? En prenant responsabilité de la relation et de ses besoins, sommes‑nous égoïstes ou plutôt partie prenante du couple ? Bref, l'amour de soi n'est pas incompatible avec l'amour des autres. J'ose même croire qu'il le bonifie.

Par Régis Carlo, Coach de vie www.regiscarlo.com • www.momentpresent.com

Rencontre énergisante au club Les Communicateurs de la Rive‑NordPartout Ici a assisté à une rencontre du club, qui existe depuis 15 ans, et qui a reçu la prestigieuse mention de « Club distingué du président » dix fois.

Ce club se rencontre dans la bonne humeur et les rires afin de permettre à ses membres d'apprendre à s’exprimer en public, à mieux communiquer et acquérir davantage de leadership et de confiance en soi.

Info : 514 862‑9842

Bravoure, persévérance, intégrité, conversations courageuses, carburant, code d'honneur, forces de caractère... et Isabelle Fontaine !

JOURNÉE COMPLÈTE (de 8h30 à la fin de la soirée)

*TARIF RÉDUIT « Early Birds » (avant le 17 mars)

TARIF RÉGULIER (après le 18 mars)

* Pour encourager les cultures de courage entre collègues et entre amis, nous offrons un gros rabais dès qu'un groupe de 7 personnes ou plus se forme et s'organise. Payable en un seul versement. Contactez : stefanie@isabellefontaine.ca

RABAIS au chic hôtel Mortagne pour réservation avant le 23 avril

C’est à l’avance qu’il faut décider du genre d’individu que nous serons fiers d’avoir été à la fin de notre vie...

Isabelle nous a donné une inspirante entrevue que vous pourrez lire dans le prochain numéro du magazine ! Sortie le 6 mai !

BootCampSamedi, 10 maiHôtel Mortagne

www.activetoncourage.com

Partout Ici met en lumière les meilleures adresses de la région et professionnels. Pour savoir comment nous pouvons travailler avec vous dans cette mission du mieux, n'hésitez pas à contacter Nathalie Lesage.

nathalie@partoutici.com • 514‑963‑0024

Placement média

MIEUX‑ÊTRE

15PARTOUTici.COM

L’entretien de votre site Web est la clé de son efficacitéVOTRE SITE EST‑IL EN SANTÉ ?

Tous les jours, des milliers de sites Web sont piratés, qu’ils soient modestes et peu fréquentés ou d’envergure internationale et très achalandés. Si vous en connaissez peu sur les sites Web, il est primordial d’aller chercher l’aide de professionnels pour effectuer les mises à jour de votre site, qu’il soit de programmation standard ou de format WordPress, Joomla, Drupal (CMS). Ceci n'est certes pas garant d'une protection infaillible contre le piratage, mais aide considérablement à protéger votre site internet et le maintenir en bonne santé.

VOTRE SITE EST‑IL EFFICACE SUR GOOGLE ?

Un site Web efficace et performant s’affiche en tête de liste lorsque vos clients potentiels effectuent des recherches sur les moteurs de recherche tels que Google. Élaborer une stratégie pour mieux référencer votre site peut s’avérer beaucoup plus payant que vous ne le pensez. Entourez‑vous de professionnels qui sauront vous proposer des solutions pour optimiser vos activités en ligne. Votre entreprise pourrait prendre un nouvel essor.

Parler de nos FINANCESPar Danièle Soaré, coach financière

Certains trucs pratico‑pratiques ne sont pas toujours discutés de façon ouverte dans le milieu financier. Les meilleurs directeurs de compte et planificateurs financiers sont ceux qui ont des clients intéressés, qui posent des questions et cherchent à comprendre. Plus vous démontrerez que vous n’allez pas tout accepter sans un minimum de compré‑hension, meilleurs seront les conseils que vous recevrez.

Par exemple, lorsqu’on vous suggère d’acheter tel fond mutuel, demandez pourquoi. Quels sont les frais de gestion, quelle est la structure des frais, depuis combien de temps le gestionnaire gère‑t‑il ce fond, dans quel quartile se maintient‑il ? Je peux vous assurer que votre conseiller va faire ses devoirs lors de votre prochaine rencontre !

Demandez s’il y a de la redondance en achetant ce fond, car c’est une des observations que je dénote souvent lors de l’analyse des dossiers de mes clients. Une question intéressante à poser est de quelle façon votre conseiller est rémunéré et quelle accréditation il détient. Cela vous donnera le son de cloche sur ce qu’il peut accomplir pour vous et s’il est la bonne personne ressource, qui saura remplir vos besoins.

Les meilleurs directeurs de compte et planificateurs

financiers sont ceux qui ont des clients intéressés, qui posent des questions et

cherchent à comprendre.

CZ = KZ / ZC = ZM*

Êtes‑vous du genre pantouflard ?

Ou encore, de ces gestionnaires ou individus qui ne veulent rien changer à leurs habitudes, tant sur le plan personnel que professionnel. Saviez‑vous qu'en prenant cette attitude de confort immuable, vous décidez de commen‑cer à mourir ? Le refus de se mettre à risque, de se renouveler, rend stagnant.

Alors que la vie va très vite et que tout est en mouvement, le refus d'avancer et progresser fait en sorte que nous régressons. Si on ne suit pas le courant, on est vite dépassé. Je ne vous ai pas convaincu ? Pensez à un étang où l'eau ne circule pas... est‑ce que la couleur et l'odeur vous inspirent ?

Pour progresser et se dépasser, il n'est nécessaire de monter l'Everest. Il s'agit de petits gestes qui nous permettent d'apprendre quelque chose de nouveau, découvrir une nouvelle force, une nouvelle façon de faire, un nouvel endroit. La philo‑sophie tibétaine nous enseigne de découvrir un nouvel endroit chaque année pour renouveler nos énergies. Se défaire de nos vieilles pantoufles nous ouvre à un nouveau monde et permet à nos neurones de se remettre en marche, de créer.

Osez délaisser votre zone de confort afin de vous ouvrir à votre zone de réussite. Je vous souhaite une belle progression et célébrez vos succès !

*Comfort zone = Killing Zone / Zone de confort = Zone mortelle

Par Sylvie Côté, consultante et gestionnaire SCC communication ‑ vente‑ marketing www.sylviecote.com

MIEUX‑ÊTRE

SERVICE DE COIFFURE Extension de cheveux, mèches,

permanentes, coloration, mise en plis et coupe (hommes, femmes, enfant)

SERVICE DE MAQUILLAGE ET D'ESTHÉTIQUE

» Service de maquillage

» Épilation des sourcils

» Atelier de cours de maquillage en privé et/ou en groupe de 6 filles (durée de 3 h)

» Pose d’ongles, manucure ou "Shellac" (vernis qui résiste 2 semaines)

» Pose de cils et le remplissage

MASSOTHÉRAPIEAu 2e étage, nous avons de magnifiques salles, dont une pour offrir le service de

massothérapie.

ÉCONO‑ÉCOLOSaviez‑vous que nous pouvons effectuer

le remplissage de vos bouteilles de shampooings et de revitalisant ?

Vous obtenez 2$ de rabais à chaque remplissage du litre ou en format revente.

CERTIFICATS CADEAUX Une valeur sûre !

Disponible en tout temps !

LOCATION DE SALLE 12$/HRE

Capacité d'accueil entre 2 et 30 personnes, nous avons des salles ainsi qu’un studio de photo à votre disposition, plusieurs jours par

semaine et tous les weekends.

FORMATIONS » Coiffure » Extensions de cils avec Butterfly

Lash Solutions, LLC » Maquillage » Pose d'ongles » Extension de cheveux » Techniques enseignées par l'équipe

de Kevins‑Kyle : précollé, bandes adhésives, Micro‑Billes et à clips

» Perfectionnement pour diplômés en maquillage

Caroline Laprise a récemment célébré ses 10 ans en affaires avec un événement‑concours de grande envergure, permettant à plusieurs talents d'ici de montrer leur savoir‑faire. Suite à ce concours de maquillage et coiffure, Caroline est fière de vous présenter les 2 gagnantes, l'équipe de Sabrina et Jenny Berardino.

Caroline Laprise est originaire de Québec. En plus d’avoir déjà possédé son propre salon, elle a enseigné son métier au Mexique. Spectacles, démonstrations et congrès font partie de sa feuille de route. Ancienne technicienne en coloration et en coiffure haute, Caroline partage avec vous ses 25 années d’expérience dans ce métier. La passion de l’enseignement et la facilité à communiquer sont deux de ses grandes qualités. Toute l’équipe de l’École de coiffure Caroline Laprise s’engage à offrir une formation professionnelle aux étudiants(es), ainsi qu’un excellent service à notre distinguée clientèle.

Également mentor en démarrage d'entreprise dans la région, Caroline Laprise partage son expérience en affaires et vous donnera même un coup de main pour le démarrage éventuel de votre propre entreprise !

Caroline Laprise, Présidente‑directrice générale

176, boul. Industriel, Saint‑Eustache (Québec) J7R 5C2 • 450 491‑3483 info@ecoledecoiffurecarolinelaprise.com • www.ecoledecoiffurecarolinelaprise.com

Jenny Berardino est une coiffeuse passionnée et extravertie qui compte 7 années d'expérience. Elle rend les gens rapidement à l'aise. Nouvellement maman, elle est en arrêt de travail présentement et sera de retour à sa plus grande passion dans quelques mois.

Sabrina Berardino est une jeune maquilleuse de 24 ans. Malgré sa jeune vingtaine, elle a su acquérir rapidement de l'expérience depuis la fin de ses cours en 2008. Shooting, spectacle ou mariage ? Elle adore participer à ces événements.

Pour la suivre : www.facebook.com/pages/Sabrina‑Berardino‑Maquilleuse

Pour les 2 soeurs artistes, la coiffure et le maquil‑lage sont une façon de s’exprimer, rendre les gens à leur meilleur... c’est un talent qui n’a pas de prix !

Les gagnantes entourent Marie‑Ève Imbeault, leur modèle lors de la compétition.

cole

C aroline Laprise

Caroline Laprise est fière de pouvoir compter sur l'immense talent de la photographe Lina Lemay pour de nombreux projets. www.linalemay.com

10 ans... un concours, un événement ! !

Les gagnantes

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Quoi faire avec un cœur brisé ?

Un cœur brisé, c'est comme une tasse en porcelaine échappée par terre : en petites miettes. On dirait que c'est irréparable. À la différence que le cœur, vous ne pouvez pas aller en acheter un autre, ni le ramasser au porte‑poussière, puis à la poubelle. On fait quoi ?

Vous êtes la personne au cœur brisé

ÉTAPE 1

Tout d'abord, il faut laisser sortir la peine*. Elle finira par sortir éventuellement de toute façon, alors aussi bien le planifier. On met de la musique triste, celle qui vient nous chercher (pour moi, Nothing Compares 2U est parfaite), on s'arme de papiers mouchoirs et d'une poubelle, on s'enveloppe dans une grosse doudou et on s'installe à un endroit où on peut se mettre en petite boule. Quand on est prêt, on pleure sa vie. Ça fait mal, c'est pas l'fun, mais vaut mieux là que dans un autobus ou au souper dominical familial. L'intérêt de la musique est aussi que vous pouvez la mettre juste assez fort pour que les voisins soient plus ennuyés par la basse et la batterie que par vos larmes ou lamentations. Il se peut que ça prenne plus d'un épisode de braillage intensif, mais chaque session vous fera vous sentir plus léger et durera de moins en moins longtemps.

*Notez que cette méthode fonctionne autant quand on laisse que quand on se fait laisser. Une rupture, ça fait mal, peu importe qui la provoque.

ÉTAPE 2Fini les larmes, c'est le temps de se refaire un système immunitaire amoureux avec des activités !

Voir des amis ou des membres de la famille qui ont le don d'être là pour nous, avec amour et sans jugement. Se gâter soi‑même. On s'achète des fleurs, on se concocte un bon petit souper, on fait en sorte de se

rappeler qu'on peut prendre soin de nous, on n'a pas besoin de quelqu'un d'autre, on se « date » soi‑même ! On profite de ce temps en solo pour faire ce qu'on ose moins faire quand on est en couple, c'est le temps ou jamais de lire « Mange prie aime »** en pyjama et en pantoufles ou jouer à des jeux vidéos en pantalon de jogging. On va chercher des belles phrases et citations inspirantes sur le Web et on se tient loin de ce qui incarne la rage, le regret ou le désespoir des livres à la « Comment récupérer son ex ». La vie est faite pour avancer, on regarde droit devant, la tête haute ! Pis anyway, ces livres là, ça fonctionne pas, j'ai essayé.

Et surtout, on se dit tous les jours que ce n'est pas la fin du monde, c'est la fin d'UN monde.

Quelqu'un près de vous a le cœur briséEssayez d'être là sans juger. Parfois, juste dire « N'oublie pas que je suis là pour toi » vaut toutes les cartes Hallmark du monde. Oubliez les phrases toutes faites comme « De toute façon, il n'était pas assez bon pour toi », « Un de perdu, 10 de retrouvés », etc. C'est peut‑être vrai, mais ça ne fait aucun bien.

Changez les idées de la personne au cœur brisé : emmenez‑la au cinéma, prendre une marche, un verre, faites en sorte de lui rappeler qu'il y a encore plein de plaisir dans la vie et qu'il y a vous ! Pas besoin de parler de la rupture, elle a probablement ça à l'esprit tout le temps. Si elle veut en parler, elle le fera, probablement trop d'ailleurs donc pas besoin de l'initier. Ne lui proposez pas un blind date ou un site de rencontre, laissez la peine faire son temps, rien ne sert de se précipiter dans une nouvelle relation, chaque chose en son temps. Un vendredi ou samedi soir, débarquez avec une bonne comédie et un sac de pop‑corn, un jeu de cartes, un coupon fait maison de On fait ce que TU veux pendant 2 heures. Les soirs de weekend sont souvent les plus lourds pour les cœurs brisés, alors soyez présent si vous le pouvez.

Les mautadines de peines d'amour, on vit tous ça un de ces jours et oui, ça fait mal, très mal. On passe carrément par toutes les étapes du deuil, ce n'est pas rien ! La bonne nouvelle là‑dedans ? Parce que oui, il y en a une. Ça veut dire que vous avez aimé et que vous avez été aimé(e). Non seulement c'est merveilleux, mais ce n'est sûrement pas la dernière fois !

**L'usage du féminin pour parler de la personne au cœur brisé est un automatisme/traumatisme de la part de l'auteure.

Par Anne‑Marie Dupras • annemariedupras.com www.mavieamoureusedemarde.com • leszelees.com

En route vers votre chemin de Vie !

À celui qui ne sait pas vers quel port il navigue,

nul vent n’est jamais favorable. ‑ Sénèque

Les nombres reliés à notre date de nais‑sance sont révélateurs du chemin que nous avons à prendre, tôt ou tard. Le saviez‑vous ? Ils nous aident à mieux nous connaître et, conséquemment, à faire de meilleurs choix. Ces chiffres nous ouvrent à qui l’on est vraiment, nous per‑mettent, le plus simplement du monde, de mieux comprendre nos qualités, notre essence et notre façon d’appréhender la vie. Ils nous guident, à l’instar des panneaux indicateurs sur l’autoroute. Ils dissipent le brouillard et deviennent des points de repère utiles lorsque nous avons une décision à prendre. Notre date de naissance a beaucoup à nous apprendre sur nous‑mêmes. Surprenant, n’est‑ce pas ?

À travers la découverte de moi‑même, la vie a mis sur ma route des outils puissants qui ont éclairé mon chemin. Je vous les offre à mon tour afin qu’ils puissent illuminer votre parcours. Pour ce faire, j’offre des consultations de tarot et de numérologie. Praticienne avancée en Tianshi, je donne aussi des soins énergétiques ainsi que des messages angéliques.

J’ose l’aventure au‑delà… Et vous ?

Josée Anne OuelletEnseignante, conférencièrePraticienne avancée en Tianshi

Consultations de tarot et numérologie (Atelier d'initiation à la numérologie ‑ Atelier de tarot avec les Cartes de l'Enfant Intérieur ‑ Thèmes de numérologie ‑ Messages inspirés)

Soirées de filles ou thématiquesÉvénements corporatifsSalons de spiritualité

438 881‑4902 • joseeanne@live.cawww.facebook.com\TarotEtNumerologie

Le Coup de Cœur de Nat !Autopsie d’une peine d’amour est un roman dépouillé, sans artifice. L’auteure ne cherche pas à dédramatiser sa peine d’amour, au contraire, elle la décrit avec toute la délicatesse de quelqu’un qui a aimé et perdu. Un roman accompagnateur pour toutes celles qui ont déjà aimé, tenté de reconquérir l’autre et doivent aujourd’hui vivre avec l’idée qu’elles ne sauront jamais quand celui‑ci a cessé de les aimer. Cette lecture réconfortante nous permet de réaliser qu’au fond, en peine d’amour, nous sommes toutes pareilles ! (Natacha Brisson)

MIEUX‑ÊTRE

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BOUQUINS

LA VIE COMME JE L’AIME, par Marcia Pilote (Éditions de Mortagne)

Au grand plaisir de ses nombreuses lectrices, Marcia Pilote nous offre une cinquième saison remplie de textes tantôt inspirants, tantôt rigolos et toujours authentiques. La vie comme je l’aime, c’est un prétexte pour se retrouver quelques minutes tous les jours.

(Julie Niquette)

Profession : communicatrice3 questions à Marcia Pilote

Par Amélie Boivin Handfield

Depuis quand es‑tu passionnée d’art ?Depuis le primaire. Ma mère essayait d’organiser des choses pour que je puisse canaliser ma créativité. Par jour de pluie, dans les écoles, il y a toujours une annonce à l’intercom. Plus jeune, la voix officielle de

mon école, c’était moi. Ma mère a demandé qu'on me fasse faire des commu‑nications orales, afin que je me lève le matin et que j'aie envie d'aller à l'école. Chaque matin de pluie, je savais que j’irais annoncer qu’on prenait la récréation à l’intérieur. Je me faisais un petit texte. J’étais en première année. À 14 ans, Micheline Lanctôt m’a demandé ce que je ferais plus tard. « Je suis la prochaine Janette Bertrand ». J’aimais son travail, faire parler les gens et leur donner une tribune. Je trouve qu’à la télé, on ne voit que des vedettes. C’est le fun, mais elles vont rarement parler d’elles‑mêmes. Ce qui m’intéresse dans la vie, c’est le parcours humain, l’univers psychologique, dans le but d’avoir une vie qui est conforme à qui l'on est.

Parlons de ta série de livres La vie comme je l’aime. Quatre livres, pour chacune des saisons.Le premier livre est sorti en 2009. Au départ, je voulais n’en faire qu’un seul. Je voulais faire un texte par jour, un peu comme les chroniques que je fais, en plus court. Mon éditrice m'a proposé d'en faire quatre, au lieu d'un seul. Les chroniques ont pu être plus longues, avec des réflexions plus profondes et plus soutenues. Je voyais chaque chronique comme un échange et un partage. J’ai écrit pour parler de ce que je sais de la vie, et aussi de ce que je ne sais pas. De ce que je veux savoir d'elle.

Mes lectrices m’ont signifié qu’elles voulaient une cinquième saison. Je me disais qu’après 280 chroniques en cinq ans, on s'est tout dit. Une lectrice m’a dit un jour : ce sont les mêmes thèmes parce que tu parles de la vie. Mais, ton regard, lui, va changer, parce que tu avances dans la vie, tu n’es plus la même.

Comment écris‑tu ces chroniques ?J’écris tous les jours. Je prends sans cesse des notes. J’ai un cartable où sur chaque feuille, je débute un sujet de chronique, souvent avec une phrase ou un titre. J’aime poser des questions. Comment se fait‑il que...? Poursuivre un sujet à un niveau plus psychologique. Des fois, c’est quelque chose d’humoristique que je vais vivre.

Questions tirées de l'émission Samedi de lire Pour l'intégrale de l'émission : www.samedidelire.com

Mots à mauxEntretien avec l'auteure Lucie MandevillePar Catherine Verdon

DIRIEZ‑VOUS QUE LA MALADIE EST UN CADEAU MAL EMBALLÉ ? QUEL EST LE PLUS BEL ENSEIGNEMENT QU'ON PEUT TIRER DE LA MALADIE ?

C’est une image qui reflète bien ce que l’on éprouve quand on reçoit un diagnostic de maladie grave. Si quelqu’un vous tend un cadeau mal emballé, vous avez envie de le redonner. Parfois, on est « pris » avec l’un de ces cadeaux. Alors, on n’a pas le choix de s’apprivoiser à l’idée, et l'on finit par découvrir un présent insoupçonné, qu’on pourrait vouloir partager. On voudrait dire aux gens que ce qu’ils ont ‑ la santé et la vie ‑ et qu’on n’a plus, est inestimable. La mort nous apprend que la vie est inestimable. La maladie nous apprend à regarder les choses sous un autre angle, à prendre du recul sur ce qu’on croyait acquis, ce qui nous échappe. La limite des soins médicaux face à la maladie nous amène à découvrir des façons de nous prendre en main. En complément aux traitements et médica‑ments, elle nous permet d’utiliser le potentiel de notre propre corps, de notre cerveau et des attitudes qui favorisent le rétablissement et le mieux‑être.

EST‑CE QUE MALADIE EST POUR VOUS SIGNE DE MAL À DIRE ?

Selon l’analogie du signal d’alarme dont je fais mention dans mon livre, on pourrait dire que la maladie est une façon de dire quelque chose que notre esprit n’a pas compris. Une façon pour notre corps de dire maladroitement qu’on ne veut plus courir, qu’on ne veut plus s’oublier, qu’on ne veut plus vivre la vie que l’on vit… Je ne suis pas à penser que la maladie est nécessaire, même si elle est incontournable (un jour ou l’autre, notre corps se détériore), mais elle nous est parfois utile. Elle peut nous servir à apprendre à mieux dire.

POURQUOI PENSEZ‑VOUS QUE L'HUMAIN A PARFOIS BESOIN D'ÉPREUVES POUR MODIFIER SA VIE OU SE CHOISIR ?

Parce qu’il oublie. L’humain est centré sur la tâche qu’il accomplit, sur ce qui le consume, mais qui lui apporte des satisfactions éphé‑mères (réussite professionnelle, petits luxes, etc.). Il oublie que le jour de sa mort, ces choses seront sans importance. Certains ont besoin d’épreuves pour modifier leur vie ou se choisir. D’autres en ont besoin parce qu’ils se sont endurcis, ils ne ressentent plus le poids de leur choix. Ils sont tellement habitués à aller au‑delà leurs limites, qu’ils se croient invincibles.

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Une suite au plus vite ! Samuel Larochelle

Par Julie Niquette

1 EN 140 CARACTÈRES, QUI EST SAMUEL LAROCHELLE ?Amoureux des mots, hyperactif de la curiosité, passionné par l'humain, captivé par l'humeur. S'il n'existait pas, il faudrait l'inventer.

2 QUEL SERAIT LE TITRE DE VOTRE BIOGRAPHIE À CE MOMENT‑CI DE VOTRE VIE ?Le Petit Prince, un tantinet trash.

3 QU'EST‑CE QUI VOUS MOTIVE À EMBARQUER DANS UN PROJET ?La possibilité de livrer une part de qui je suis, d'exprimer le trop‑plein d'idées et d'émotions qui bouillonnent en moi, d'apprendre quelque chose, de sortir de ma zone de confort et de me sentir grandir.

4 QUELLE EST, À CE JOUR, VOTRE PLUS GRANDE RÉALISATION PROFESSIONNELLE ?La publication de mon premier roman à 27 ans, les ambitions que j'ai pour le deuxième en cours d'écriture et la fierté de bien vivre de ma plume de journaliste pigiste en écrivant pour de nombreux journaux et magazines importants au Québec.

5 COMMENT DÉCRIRIEZ‑VOUS VOTRE PREMIER ROMAN À CAUSE DES GARÇONS ?Une comédie dramatique légère, drôle, rythmée, que l'on dit rafraîchis‑sante et avec une profondeur surprenante. L'histoire d'un jeune homme de 20 ans qui réussit à émouvoir, divertir et faire réfléchir autant les jeunes adultes, les futurs retraités que les ados. Un roman débordant de vérité qui rallie autant les amoureux de lecture que ceux qui avaient peur de lire.

6 VOTRE ROMAN A REÇU DE TRÈS BONNES CRITIQUES. QUEL EST LE COMMENTAIRE QUI VOUS A LE PLUS TOUCHÉ ?Plusieurs lecteurs m'ont dit avoir été pris par une série d'émotions : une pluie de sourires, du rire aux éclats, des émotions qu'ils n'avaient pas vues venir et l'envie de vivre leur vie franchement au lieu de la regarder passer sous leurs yeux. Et tout le monde veut une suite au plus vite !

BOUQUINS

CAGOULES ET CIE POUR PETITS MONSTRES, par Nuriya Khegay (Guy Saint‑Jean éditeur) Créer pour ses enfants, quelle belle idée ! Ce livre vous propose vingt créations animalières pour vos tout‑petits. À vos aiguilles, faites comme plusieurs et tricotez !

GANGS DE RUE 3 – ALERTE ROUGE, par Luc Boily et Marc Beaudet (Éditions Un monde différent) Si vous avez aimé les deux premiers tomes de cette trilogie, vous ne serez pas déçu de celui‑ci. Les auteurs ont su réunir humour et actualité. Il s’agit d’une bande dessinée à découvrir, d’autant plus que la rédactrice en chef de ce magazine a inspiré un personnage ! Parviendrez‑vous à identifier lequel ?

S A M U E L L A R O C H E L L E

Roman

Àcausedes

garçonsL’EMPREINTE EN TOUTE CHOSE, de Elizabeth Gilbert (Éditions Calmann‑Lévy) L’auteure du best‑seller Mange, Prie, Aime nous offre, avec son nouveau roman, une histoire dont les personnages nous accrochent rapidement. Sa plume est vive, habile et savante. Elle a su créer un univers intéressant et des personnages qui le sont tout autant.

FAIRE LE CHOIX DU BONHEUR, par Marie Anderson (Ixelles éditions)Je suis de ces gens, à l’instar de cette auteure, qui croient que le bonheur est un choix. Ce livre constitue une invitation à réfléchir sur notre capacité à avoir une vie plus en cohérence avec soi. Devons‑nous tout changer pour y arriver ? Lisez ce livre et vous saurez !

Le bonheur entre deux couvertures

Par Julie Niquette, chroniqueuse littéraire julie_pour_partoutici@hotmail.fr

À mon sens, lire est un cadeau, un voyage à peu de frais et une occasion de se divertir dans le confort de notre salon. Pour vous guider vers une destination ou une autre, voici quelques idées.

Il y a 12 ans, en janvier 2002, Marc Beaudet débarquait dans la salle de rédaction du Journal de Montréal pour le Jour 1 de sa carrière de caricaturiste. Depuis le 21 janvier dernier, sa 3e BD est en librairie. Il a partagé à ses abonnés Facebook avoir des frissons en pensant au chemin parcouru et que ce sentiment de fierté et de faire ce qu'il aime dans la vie est la plus belle paye qui soit...

Rencontre avec l'auteur

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Qu'est‑ce qui fait sourire

Simon Blouin ?Par Catherine Verdon

QUE REMARQUEZ‑VOUS EN PREMIER CHEZ LES GENS ? C'est facile ! S'ils ont l'air bête ou le sourire !

IL SEMBLE Y AVOIR ÉNORMÉMENT DE RECHERCHES ET DE CURIOSITÉ DERRIÈRE CE LIVRE, PARLEZ‑MOI DE SON ÉCRITURE ?

J'ai commencé à ramasser des notes dans les années 1970. Je n'avais jamais écrit de livre durant ma carrière. Ce fut difficile, j'avais tellement de notes, de réflexions, de citations… je suis un bon parleur, mais la plume, c'est différent. Ce fut un défi d'écrire. Un hasard aussi. C'est un peu un résumé de mes notes de conférencier.

DIRIEZ‑VOUS QU'UN BON COMMUNICATEUR EST D'ABORD CURIEUX ?S'il doit avoir quelque chose à dire pour être écouté, certainement que la curiosité l'a amené à apprendre ce qu'il sait, que d'autres vont être heureux d'apprendre.

QU'EST‑CE QUI VOUS FAIT SOURIRE À COUP SÛR ?Heureux aujourd'hui parce qu'enthousiasmé de demain, et pas trop de regards dans le rétroviseur.

QUELLE EST VOTRE DÉFINITION D'UNE BONNE COMMUNICATION ?La communication est un partage d'images, nos mots doivent créer des images chez celui à qui on parle. Créer une image en choisissant les bons mots, en n'étant pas trop compliqué, parce qu'en général, les gens sont simples. C'est probablement cette simplicité chez moi que mes clients apprécient. Il y a 2 volets à la communication, l'émetteur et le receveur. Des études révèlent que 84 % des conflits dans des groupes (un élève avec sa classe, un parent et un enfant, un couple, etc) sont causés pas un manque dans la communication. On ne s'écoute pas, on devine. Pour moi, c'est un partage de données le plus imagé possible pour créer chez l'autre le sentiment qu'on veut rendre.

VOUS PARLEZ DE WALT DISNEY DANS LE LIVRE, QUI CARBURAIT AUX DÉFIS ET AUX REFUS. VOUS DIRIEZ QUOI AUX GENS QUI AGISSENT EN FONCTION DE CE QU'ILS PENSENT QU'ON ATTEND D'EUX, QUI VEULENT ÊTRE GENTILS, QUI NE S'ÉCOUTENT PAS ? Ma pensée à cet égard est un peu méchante. Ça prend des suiveux. Si vous avez un projet et avez besoin de collaboration, vous êtes un leader, vous avez besoin de gens moins forts que vous autour qui vont embarquer dans votre projet, qui vont vous soutenir, et qui vont être heureux dans cela. Pourvu que vous soyez reconnaissant. J'en ai fait le plus gros chapitre dans mon livre. La reconnaissance est un facteur oublié. Ça pourrait être mieux, et pourtant c'est un facteur qui ne coute rien. Apprécier quelqu'un, sourire, donner une tape dans le dos. Les gens meurent de faim d'en recevoir.

EST‑CE CE QUI VOUS ENLÈVE LE SOURIRE ?Ce qui me fait mourir, c'est d'être ignoré. Georges Bernard Shaw dit que le pire péché que l'on puisse commettre envers nos semblables n'est pas de les haïr, mais de les ignorer. Si vous voulez déranger quelqu'un, ignorez‑le. Ça marche beaucoup plus que de lui donner un voyage de vous‑savez quoi ! Le contraire de l'amour n'est pas la haine, c'est l'indifférence.

L'auteur est résident de Sainte‑Anne‑des‑Lacs.

BOUQUINS

Journée de la Santé et du Bien‑ÊtreRosemère sera l'hôte de la 5e édition de La Journée de la Santé et du Bien‑être, samedi le 26 avril prochain !

Sur place, plus de 72 exposants vous feront découvrir et apprécier les meilleurs produits naturels, livres, services professionnels, et beaucoup plus ! Aussi, un volet sportif, et le Club de triathlon Garneau TGV sera sur place.

Sylvie Fréchette offrira 2 conférences et rencontrera les visiteurs pour des dédicaces de livres.

Conférences, 10h et 11h30 (25 $ le billet, places limitées)

Réservez votre kiosque avant le 12 avril 2014 !

26 avril, de 9h à 18hAu Club de Golf de Rosemère, 282 Boul. Labelle, Rosemère, QC J7A 2H6

Admission 2 $ GRATUIT pour les 10 ans et moins

Pour un kiosque comme exposant, des billets de conférence ou information, contactez Les Événements RSVP : 450‑472‑1438 evenementRSVP@outlook.com

www.lesevenementsrsvp.com Suivez‑nous sur Facebook !

514‑222‑7838info@marcmathys.com • www.marcmathys.com

www.facebook.com/deprogrammation

Sabrina Rousseau 438‑837‑9242

Nathalie Damien 450‑472‑1438

Venez rencontrer les exposants, dont ces spécialistes qui se feront un plaisir de parler santé et mieux‑être avec vous !

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www.epanouissement-aec.com

19, rue Blainville Ouest, suite 107 Ste-Thérèse 514 756-4416

Nos soinsMassothérapie • Coaching PNL • Tianshi • Relations humaines

Nos cours

Éveil à l’intuition • Yoga Kripalu • Yin Yoga

Nos servicesLocation de locaux • Support démarrage d’entreprise : comptabilité, a�ches…

Nos ateliers

Rire sans raison • Méditation • Numérologie •Tarot

Le tout pour mettre en lumière ce qu’il y a de meilleur en vous!

Notre équipe

Éric Delisle

Carole Garon

Sylvain Delisle

CNV 24/7 Basses‑Laurentides, une radio pour nous !Rencontre avec Nicolas Deslauriers, Président et Directeur général

Par Catherine Verdon

Pourquoi installer CNV dans les Basses‑Laurentides ?Afin d’offrir aux Basses‑Laurentides sa propre station locale unique, qui s’intéressera aux enjeux de la région des Basses‑Laurentides sous toutes ses formes. Plusieurs des membres de CNV 24/7 habitent et chérissent la région.

CNV Basses‑Laurentides est LA référence parce que :Elle devient l'unique véritable source audio exclusivement pour les Basses‑Laurentides. Notre territoire est riche sur tous les plans et méritait depuis longtemps une station de radio qui allait s'y consacrer. Via les téléphones intelligents, les tablettes et tout le reste, CNV 24/7

B‑L est accessible du bout des doigts. Plusieurs lieux commerciaux diffuseront également la station pour leur clientèle. Quel magnifique addition pour notre économie locale.

Quelques mots sur ma passion pour ma carrière :À mon avis, la radio, c’est sans doute l'un des plus magnifiques médias…la magie de la radio est vraiment particulière. J'ai créé une formule où les gens peuvent venir assister à certaines de nos émissions en direct. Nous faisons de la radio pour les gens, je trouve ça normal qu'ils puissent venir voir sur place ce que nous livrons avec nos collaborateurs et invités.

Mon meilleur coup en carrière :La création de CNV. On a souvent l'impression que toutes les stations de radio se ressemblent. Cette réalité m'a donné la force et la persévérance nécessaire pour cet énorme défi. On ne se considère pas meilleur que les autres, on fait simplement les choses de façon différente. Ça ne se réalise jamais seul, ce genre de défi. C'est essentiel d'avoir l'oreille et d'écouter les impressions des amis et des personnes de confiance dans le milieu.

Quelques mots sur les nouveaux locaux : Ça sent le neuf ! Nous sommes au rez‑de‑chaussée du complexe District 23 de Boisbriand. J'embrasse cette philosophie d'inciter les résidents des Basses‑Laurentides à en faire également leur lieu de travail.

Une cause qui me tient à coeur : La persévérance scolaire. C'est pour moi un honneur d'animer les événements de Persévérons Ensemble. C'est tellement noble, comment faire autrement que d'accepter de collaborer. www.perseveronsensemble.com

www.cnv.ca/bl

PARTOUT ICI

Le 17 avril prochain, dans le cadre des défis du jeudi au Vieux Shack de Saint‑Jérôme, se tiendra une levée de fonds au profit de l'Académie des arts ‑ Trouve ta voie !

Encan et spectacle musical seront au rendez‑vous en plus de quelques invités surprises ! Des jeunes de l'Académie feront une performance musicale accompagnés de chanteurs de l'émission La Voix.

BILLETS : academiedesartsttv@gmail.com

FEMMESSOR Laurentides, nouveau fonds d’inves‑tissement voué à l'entrepreneuriat féminin, lance officiellement ses activités et met en ligne son site Web, devenant ainsi le 17e et dernier des Femmessor au Québec. Quel que soit l'âge de l'entrepreneure, le secteur d'activité de son entreprise, la forme juridique ou le stade de développement de son entreprise, FEMMESSOR Laurentides soutient l'entrepreneure dans son parcours, via des services d'accompagnement, de financement et de formation.

www.femmessorlaurentides.com

Le conseil d’administration de Femmessor Laurentides (de gauche à droite) : Aurore Dumont, Kim Gilbert, Gysel Poitras, Caroline Thibault, Nancie Ferron, Me Marie‑France Bélisle, Lucie Lessard (DG), Josianne Cloutier, Cynthia Kabis et France Sylvain. Absente de la photo Madame Manon Doganieri.

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Être son meilleur ami… ou ennemi ?

Suis‑je engagé et responsable à prendre soin de moi ? À me respecter, à me placer en priorité, à me tenir debout pour qui je suis, à m’exprimer librement face à mes opinions et points de vue, à exprimer ce que je ressens, à ne pas me trahir pour acheter la paix, à être authentique et être mon meilleur ami ? Facile à dire, est‑ce vraiment faisable dans la vie de tous les jours ? Combien de fois n’osons‑nous pas exprimer les choses ou les situations comme nous les ressentons et percevons, de peur de déplaire, de froisser, de ne pas être accepté, de ne pas nous faire aimer, voire même de perdre des alliés ou des contrats ? Mes choix sont‑ils conditionnés par l'amour et le respect de soi, ou par la peur de la réaction d’autrui ?

Divorcé, je me suis retrouvé seul du jour au lendemain, d’une vie de famille à une situation de père monoparental, avec deux enfants en bas âge, une semaine sur deux, et surtout sans référence dans ce département. J’aurais très bien pu devenir mon pire ennemi si je n’avais pas utilisé certains outils efficaces : méditer, apprivoiser ma souffrance et ne pas y résister, lâcher‑prise, me pardonner, etc. La vie envoie régulièrement de beaux cadeaux déguisés. Souvent, sur le coup, on ne les voit pas ainsi, trop aveuglés par la résistance et la souffrance. Avec du recul et en lâchant prise, on constate qu'il ne peut arriver meilleure situation pour nous permettre d’être en relation avec qui nous sommes, grandir, développer des relations et de la proximité, surtout envers soi‑même.

Nous préférons souvent à tort acheter la paix avec les autres afin d’éviter toute confrontation, ayant peur de se retrouver seul avec notre point de vue ou notre opinion différente. On cherche à se protéger, mais de qui ou de quoi ? De soi. Et on finit par s’enliser dans cette fameuse zone de confort, qui au bout du compte nous prive du dépassement de soi et de notre libre expression.

Lorsqu’une situation ne me convient pas… Il est important d’être authentique envers soi‑même et ne pas se comparer aux autres.

Par exemple, un client ou collègue ne respecte pas un rendez‑vous, la modalité d’un paiement. Une personne m’engueule soudainement pour une situation qu’elle juge inadéquate et me fait subir sa tonne de colère et frustration.

Quoi faire ?S’observer comme un témoin extérieur, être à l’écoute de ce que l’on ressent et prendre responsabilité de ce qui se passe à l’intérieur de soi. Respirer profondément et prendre un recul, lâcher‑prise. Ne pas fuir, ne pas résister, simplement être avec l’instant présent et ce que l’on ressent. Le plus important est de ne pas réagir impulsivement et subitement sous le coup de l’émotion. Si l’émotion persiste, le chemin le plus efficace sera alors de s’ouvrir directement à la personne concernée en lui exprimant d’une façon responsable ce que l’on a ressenti, sans en rajouter et sans émettre de reproches. Ex : j’ai vécu de la frustration, je me suis senti… La vie est un excellent terrain de pratique. Comme l’athlète devient meilleur à force d’entrainement, il en va de même pour nous. Être son meilleur ami commence par le respect de soi.

MIEUX‑ÊTRE

Se comparer

ou s’aimer ?

Je suis tellement heureuse de vous retrouver !

Je commencerai par une confidence : il y a des jours où je trouvais qu’il était plus facile de vivre quand j’allais mourir que maintenant, en vie et en rémission... J’étais tellement convaincue que ma victoire contre le cancer allait faire de moi un être au‑dessus de tout. Quelle surprise de me retrouver avec toutes sortes d’angoisses, toutes sortes de folles du logis à gérer… Est‑ce cela, la condition humaine ? Toujours retrouver les mêmes comportements négatifs ? À me comparer aux autres femmes qui, bien entendu, sont beaucoup plus belles, plus intelligentes, réussissent beaucoup mieux que moi, ont la vie plus facile, n’ont pas de problème d’argent, d’estime de soi, sont toujours de bonne humeur, bien habillées, en demande, et quoi encore ? Encore ce discours infernal du manque d’estime de soi, malgré mon immense victoire contre la maladie ?

Accueillez avec moi une de nos folles du logis. Celle qui ne s’aime pas, n'est jamais contente ou satisfaite, est trop grosse, jamais à la hauteur. Elle a ceci de particulier : d’avoir une nette tendance à vouloir se saboter. Elle vient vous visiter parfois, vous aussi, n’est‑ce pas ? Et elle a plutôt tendance à vous laisser avec un ego en mille miettes ? Je suggère que nous prenions le taureau par les cornes. Ici et maintenant, je vous invite à lui faire faire trois tours à cette folle, de changer d’énergie, de pensées, de croyances, d’attitude et de faire un SWITCH !

1. Cessons immédiatement d’alimenter cette démone en nous. Laissons partir cette partie de nous. L’autodestruction est trop grande. Nous avons tant de magiciennes qui ne demandent qu’à vivre en nous.

2. Branchons‑nous sur notre lumière et orientons celle‑ci sur nos capacités, nos ressources, nos apprentissages, notre féminité, notre virilité, sur la quête incessante de notre identité.

3. Habitons sans jugement notre corps pour y trouver l’incarnation de ce que nous sommes, connecter à notre source profonde : notre unicité.

4. Cette folle, donnons‑lui une crinoline aux couleurs de l’arc‑en‑ciel ! Elle est créative, exaltée, enthousiaste, étincelante, passionnée, confiante, dynamique, amoureuse de la vie. Consacrons‑lui toute notre attention.

5. La modélisation. Toutes ces femmes « meilleures » que nous peuvent aussi nous servir de modèles. Elles ont tant de choses à nous apprendre. Elles ont tant de courage, de belles croyances. Elles ont belle allure, un beau sourire, un bon maintien, une bonne hygiène de vie. Leurs valeurs sont les nôtres. Inspirons‑nous de ce qu’elles nous semblent, pour que nos actions et notre différence bâtissent un monde de paix, d’amour et de partage, que nos cœurs s’apaisent pour laisser la place à tout l’amour qu’on a à se donner.

6. On respire profondément, on détend ses épaules, on boit de l’eau, on s’étire, on fait de la méditation ou de la cohérence cardiaque.

Par Johanne Fontaine fontainejo@videotron.ca www.johannefontaine.com Perry Mandanici

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Qu’est‑ce qui fait que certaines personnes ressentent souvent une peur de manquer de quelque chose ? La peur de rater quelque chose d’important

si elles refusent une sortie d'affaires ou d’amis ? Partagées dans le dilemme « pas le goût d'y aller » et « tout à coup que je devrais y être »? Peur de rater le travail de ses rêves, de manquer d’argent, de passer à côté de l’amour de sa vie…

Il est si commun de s’interroger de longues heures sur le bon choix. En fait, tant Osho qu’Eckart Tolle expliquerait qu’on vit dans un futur qui n’existe pas (et n’existera sans doute jamais) bâti sur le passé (qui n’existe plus). Toutefois, on a beau se ramener au présent, on peut toujours tomber dans un autre piège : le caprice, qui nous fait oublier nos engagements ou nos responsabilités.

FILMSQu’est‑ce qui fait le succès des films d’horreur ? Que nous aimions ou détestions ces films, ils fonctionnent, puisqu’ils nous font ressentir toutes formes d’émotions généralement stressantes. Et c’est parce qu’ils fonctionnent que nous les aimons ou les détestons. Tous les films d’horreur sont bâtis sur la même structure : quelques personnages relativement stéréotypés dont, le plus classique, une fille, un fils, une maman et un papa, un voisin qui se fait happer par la gueule d’un animal sauvage… Le pire, un crocodile ou un requin qui happe les gens et les engloutis avant qu’une marée de sang ne permette de confirmer le drame. Ou, alors, un groupe de gens, dont certains sont aussi attendrissants que d’autres sont détestables, mais qui doivent régler ensemble un problème, sans quoi l’avion va chuter. Le scénario est généralement peu crédible, pourtant, cela n’influence pas l’audimat.

Alors, comment cela fonctionne ? Il y a en fait trois moteurs. D’abord, nous nous attachons à certains personnages et nous vivons l'aventure à travers eux. Il faut qu’on se reconnaisse dans le film. Ensuite, le film fait monter une angoisse exis‑tentielle, courante chez l’enfant et inconsciente chez l’adulte : la peur de chuter, de se faire dévorer ou de disparaître. Notre « gros bon sens » décroche, seules les parties du cerveau émotionnel (ressentir) et reptilien (défendre) fonctionnent et déclenchent la boucle de stress. Enfin, et surtout, l’ambiance du film : rythme, lumière et musique permettent de maintenir le suspense, même si l’histoire est peu crédible.

Les enfants sont souvent aux prises avec ces angoisses existentielles et ils vont chercher à développer des stratégies pour réduire l’inquiétude. Pour les aider à affronter leurs peurs, on peut leur lire des contes et légendes dans lesquels les héros surmontent l’improbable. Certains ados vont raffoler de ces films d’horreur, car il y a toujours un peu d’espoir. Et nous, adultes, nous aimons tellement les films qui se terminent bien. D’où le succès des scénarios comme Jaws ou Criminal Mind.

ÊTRE RECONNULa stratégie relationnelle la plus efficace est de voir, entendre et reconnaître les enfants pour ce qu’ils sont, les proches pour leurs belles habiletés et leur amitié, mais aussi les employés et les collègues pour leurs compétences, malgré leurs difficultés. Le fait de se sentir vu et entendu permet de se sentir vivant, au moins dans le regard d’autrui. Somme toute, ces angoisses font partie de la vie et nous les surmontons au mieux, selon notre âge. Cela dit, deux pièges peuvent se présenter. L’orgueil ou le doute, les deux polarités de la vie. Plus encore dans une société où l’image est devenue si importante, tant pour les individus que les institutions, l’angoisse existentielle fait partie de la vie. On a ainsi

besoin d’une belle image, pour se sentir vu, entendu et reconnu. Pour certains, ce sera la recherche du quinze minutes de gloire dans les médias ou les réseaux sociaux. L’orgueil prend parfois de drôles de formes et le caprice est l’une des plus difficiles à déceler.

Quant au doute. Ah, ce doute, qui nous fait nous inquiéter de tout et de rien. Certes, il est bien utile pour éviter le piège de l’orgueil, mais on n’est pas mieux placé. Alors, on doute de l’autre, de soi, de nos choix, de nos compétences. On se veut de bonnes personnes, de bons parents, de bons professionnels. Mais, on doute. Certains nomment cela le syndrome de l’imposteur. Mais on a peur de disparaître, de se faire avaler tout rond par un travail ou une famille. Ce sont les mêmes angoisses.

VIVREPour sortir du piège du doute, essayez donc d’abord de douter du… doute. En effet, il prendra moins d’importance à vos yeux et vous sentirez mieux ce qui est important pour vous.

Un autre outil, c’est la visualisation. Essayez de vous imaginer dans les conditions dans lesquelles vous vous retrouverez : blind date, 5@7, soirée dansante, rencontre professionnelle, cinéma… Imaginez d’y aller. Imaginez rester chez vous. Imaginez toute autre option qui vous passe par la tête. Ressentez ! Identifiez alors les traces d’orgueil et de doute, elles cachent les peurs existentielles. Respirez profondément, sentez‑vous vivant. Et recommencez à visualiser. Intervenez dans la vision et ressentez quelle est la meilleure idée pour résoudre votre dilemme.

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Pour cheminer davantage avec Joël Monzée

MIEUX‑ÊTRE

Caprices ou nécessités ?

Par Joel Monzée Docteur en neurosciences et psychothérapeute. Auteur du livre Oui à la vie ! www.institutdef.ca

« L’orgueil prend parfois de drôles de formes et le caprice est l’une des plus

difficiles à déceler. »

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Vous est‑il arrivé de vous retrouver dans une situation où votre ressenti vous indi‑

quait que la personne en face de vous n’était pas authentique ? Votre dialogue intérieur à ce moment devait ressembler à ceci : « je me trompe, la personne a une excellente réputation, fait partie du cercle d’amis de ma mère, etc. ». Le temps de tasser le ressenti pour poursuivre la rencontre, vous avez choisi d’oublier vos premières impressions. Combien de fois vous en êtes‑vous voulu, sachant qu’une personne n’était pas congruente ?

Apprendre à s’écouter La congruence est une valeur, comme la liberté ou le respect. Chaque individu en a sa propre échelle, qui se consolide et se transforme avec ses expériences de vie. Les valeurs dictent la conduite. Autrement dit, chacun a ses propres raisons, selon ses valeurs, d’agir comme il agit. Peut‑on dire que les personnes qui manquent de congruence sont automatiquement des manipulateurs ?

Il y a certainement de fortes chances que derrière un comportement incongruent se trouve une personne qui arbore plusieurs masques pour se cacher de ce qu’elle est, ou de situations qu’elle n’a pas envie de vivre. Il est aussi difficile de démasquer un comportement incongruent qu’il est difficile de démasquer les manipulateurs, car ils utilisent des informations à leur avantage pour inciter leur entourage à faire ce qu’ils veulent.

Par Louise Brière, coach certifiée PNL www.coupdecoeurpoursoi.com

Démasquer l’incongruence par l’intuition

L’intuition est comme un éclair de savoir qui nous guide entre les pensées et les émotions.

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MIEUX‑ÊTRE

C’est en réaction à ce phénomène que s’allume en nous une jauge d’alarme appelée intuition, qu’on aurait tous intérêt à apprivoiser. Certains sont incapables de faire la différence entre leur ressenti et leurs pensées, qui se traduisent souvent par un dialogue. Dans une situation dangereuse, une personne aura peut‑être le réflexe de se dire « Je vais mourir ». Donc, le dialogue est la pensée, tandis que le sentiment de panique est le ressenti. Nous ressentons en premier et, si nous décidons d’ignorer le sentiment, en nous convainquant, par exemple, que nous avons tort, toutes sortes d’émotions s’ajoutent à la situation pour mélanger la donne. L’intuition est comme un éclair de savoir qui nous guide entre les pensées et les émotions. C’est une certitude absolue qui ne laisse pas de place au doute.

Il se pourrait fort bien qu’un malaise ressenti soit justement une incongruence de la part de votre interlocuteur, des études ayant démontré que l’on communique 93 % du temps de manière non verbale. Si vous prenez la peine d’observer, vous verrez éventuelle‑ment des signes physiques de manque de cohérence entre les paroles, les idées et les actions. Vous pourrez ainsi valider que votre ressenti est adéquat.

Première impression et bonne décisionSi mettre de l’ordre dans vos sentiments, vos pensées et votre intuition est pour vous un défi, le simple exercice qui suit peut vous aider à vous connecter à votre intuition. Remémorez le souvenir d’une personne significative de votre passé. Rappelez‑vous du moment où vous avez réalisé que vous pouviez avoir confiance. Qu’avez‑vous ressenti ? Avez‑vous eu une sensation de légèreté au niveau des épaules ? Avez‑vous senti une chaleur au niveau du plexus solaire ? Peut‑être était‑ce une envie de sourire ? Notez ces sensations.

Maintenant, une personne d’influence négative, causée par une incongruence. Souvenez‑vous du moment exact où vous vous en êtes aperçu. Où est la sensation maintenant ? Est‑ce que vos mâchoires se sont serrées, votre sourire a disparu ? Votre estomac s’est‑il soudain contracté ? Notez ces sensations.

Pour savoir si une situation est bonne pour vous, notez simplement où se trouvent les sensations. Sont‑elles similaires à l’expérience négative ou positive ? La congruence n’est pas une valeur présente en chacun. Si elle l’est pour vous, votre intuition peut s’avérer un atout dans vos communications.

NOUVEAUTÉ

INVITE « Rose et ses amis » à ton écoleClaude Lacasse, auteure et coach de motivation, a mis sur pied deux ateliers destinés aux 5 à 9 ans qui traitent de l’estime de soi. Les ateliers mettent en vedette les personnages du livre « Rose et le petit gnome ‑ le courage de se tenir debout ».

Atelier‑spectacle (5‑6 ans). Mettre en lumière les valeurs et comportements des personnages qui favorisent ou nuisent à l’estime de soi. Accompagnée de ses marionnettes, l'auteure présente l'histoire sous forme de dialogue à la manière d'un spectacle. La présentation est suivie d'une causerie entre élèves, marionnettes et auteure.

Atelier interactif (7‑9 ans). Favoriser la discussion et la réflexion sur le thème de l’estime de soi. Prendre conscience du regard que l’on porte sur soi et sur l’autre. Accompagnée de ses marionnettes, l’auteure questionnera les élèves sur les valeurs que les personnages véhiculent, leurs ressources et le pouvoir du regard de l’autre. Les élèves seront amenés à participer en réfléchissant et en s'exprimant sur l'estime de soi.

Enseignants et professionnels de l’éducation, pour plus d’informations, communiquez avec Claude Lacasse.

514‑998‑6601 //cllacasse@hotmail.com //www.claudelacasseinternational.com

Conférences publiquesprésentées par :

Au Centre Culturel et Communautaire de Thérèse de Blainville120, boul. du Séminaire, Ste‑Thérèse

Billets en vente au www.epanouissement‑aec.com Information : 514 756‑4416

26 mars 19h30Dieu s’en moque, osez une vie spirituelle excitante, Avec Marie‑Josée Arel

23 avril 19h30Sexy, Zen et HappyAvec Christine Michaud

11 juin 19h30Le meilleur de soi et l’AmourAvec Guy Corneau

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Le nouveau magazine régional gratuit qui rejoindra tous les épicuriens.

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AVRIL2014

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Salon virtuel Mon bébé De retour pour une 2e année, le Salon virtuel Mon bébé, véritable bible en ligne d'infos pour la famille et les futurs parents, a (très bien) choisi comme porte‑parole la pétillante nouvelle maman Marie‑Christine Proulx. Elle a découvert ce salon lors de sa première édition l'an dernier, alors qu'elle attendait la naissance de sa fille. Celle qui a l'habitude de poser les questions a gentiment accepté de partager avec nous ses impressions sur le rôle le plus important de sa vie.

« La plus grande chose que la maternité m'a apportée est surement le BONHEUR, dans tous les aspects de ma vie. Vivre au quotidien avec son enfant est quelque chose de magnifique, qui est difficile à décrire. Jamais je n'aurais pensé avoir autant d'amour à donner. Un enfant, ça unit aussi une famille. La dynamique est différente avec mon conjoint. Nous sommes un trio, une équipe. Je peux certifier que la maternité apporte le BONHEUR quotidien. Les nuits sont parfois plus courtes, mais il n'y a rien comme se réveiller le matin et voir son enfant te sourire et te serrer dans tes bras. C'est magique... » www.salonvirtuelmonbebe.com

Capitaine ou pirate ?

Avez‑vous tendance à attribuer vos succès à des choses extérieures à vous comme la chance, les circonstances de la vie ou d’autres personnes ? Si tel est le cas, vous souffrez peut‑être de ce qu’on appelle le syndrome de l’imposteur. Il s’agit d’un océan agité d’anxiété, de honte, de manque d’estime de soi, dont les vagues peuvent nous mener jusqu’à la dépression.

Les gens qui souffrent de ce syndrome (aussi appelé syndrome de l’autodidacte) n’attendent qu’une chose : se faire démasquer pour leur manque de compétences, de diplômes, etc. Il mène souvent au perfectionnisme à outrance ou encore, à la procrastination. On parle ici de la stratégie « overdoing » ou encore de la stratégie « underdoing », nullement gagnantes et qui vous placent dans le cercle vicieux de la fausse imposture et hypothétiquement, des échecs répétitifs puisque vous sabotez votre propre navire, c’est‑à‑dire : vous !

Vous possédez des qualités et des aptitudes indéniablement merveilleuses. Pour toute situation où vous vous sentez « imposteur » (parce que ce n’est pas qu’au travail que l’imposture nous ronge), établissez la liste de tout ce qui fait votre « soi » gagnant. Interdisez‑vous de penser à vos supposés échecs. Au travail, établissez un horaire que vous vous appliquerez à respecter. Évitez d’accepter des charges de travail trop lourdes ou encore des défis qui semblent trop grands pour vous en ce moment et soyez fier.

Soyez fier de vous parce que, si on vous propose un nouveau contrat, une promo ou nouvel emploi, c’est qu’on voit en vous ce que vous ne voyez peut‑être pas encore. Voguez vers vos trésors intérieurs plutôt que de pirater vos richesses évidentes ! La carte pour cette chasse aux trésors extraordinaires est marquée du X de tous vos accomplissements passés.

Par Josée Durocher, thérapeute en relations humaines La voix du Web / info.la.voix.du.web@gmail.com

Du nouveau du côté de la gestion du poidsmp3‑auto‑hypnose.com est une cyberboutique de chez nous. Elle nous propose un tout nouveau coffret de six MP3 visant la gestion du poids au quotidien sur une période de six semaines, incluant un septième MP3 traitant de faim et de satiété. La cyberboutique offre présentement un rabais sur l’acquisition de ce coffret. Ginette Plante et Sylvie Moisan en sont les auteures et font partie des professionnels les plus qualifiés dans le domaine ; elles sont co‑fondatrices et formatrices de nouveaux thérapeutes en hypnose pour l’AHTQ (Académie d'hypnose thérapeutique du Québec). En faisant de bon choix alimentaires, en adoptant une saine hygiène de vie, le coffret intitulé « Je gère mon poids grâce à l’autohypnose » vous aidera dans la poursuite de votre objectif et vous motivera. (Josée Durocher)

Hypnothérapie et affaires de cœurRares sont ceux qui n’ont jamais eu le cœur brisé. D’autres vivent avec des liens toxiques entretenus avec leur ex ! Certaines ruptures tournent au vinaigre, ça essouffle et fait souffrir. L’hypnothérapie peut nous venir en aide durant de tels bouleversements. Les thérapies de toutes sortes ont désormais cette alliée de taille qui fait un travail non‑invasif et tout en douceur. Au moment d’une séparation ou d’un divorce, l’hypnose est de plus en plus utilisée comme support aux thérapies traditionnelles. Cet outil extraordinaire est à la portée de tous. Ceci dit, une mise en garde est importante : tous ceux qui se disent hypnothé‑rapeutes ne sont pas nécessairement des thérapeutes, des psycho‑thérapeutes ou des psychologues. Prendre soin de soi débute par choisir le meilleur aidant possible. On prend une grande inspiration, on s’installe confortablement, on ferme les yeux et on fait confiance ! (Josée Durocher)

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Une citation qu’on aime !

« Oeil pour oeil finit pas rendre le monde aveugle » ‑ Gandhi

Le calepin picoté avec un canard dessusAuteurs : Pierre Chartray et Sylvie Rancourt

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De plus, il est inodore... un VRAI inodore. Dans les petits pots les meilleurs onguents ? Dans ce cas‑ci, on confirme ! C'est fait au Québec, et on aime ça !

Saviez‑vous que le gouvernement a des objectifs d’augmentation de la canopée (reboisement) de l’ordre de 25 % d’ici 2025 en milieu urbain ?

CO2 Environnement offre un service de reboisement gratuit. En chiffres, l'entreprise plante 2 000 arbres par hectare. Ces entrepreneurs de notre région finalisent actuellement leur planification pour leurs activités de reboisement du printemps 2014.

Si vous avez des suggestions d’endroits à reboiser, ou êtes propriétaire de terrains qui pourraient l'être, n’hésitez pas à communiquer avec eux.

CO2 Environnement cible principalement des terres en friches ou marginales, lots intra‑municipaux, anciennes carrières, sablières ou gravières, etc.

INFORMATION : info@co2environnement.com

Un grand talent !

C'est quoi ? 16 contes verts/16 petits gestes qui les suivent, sur les 4 éléments (eau, air, terre et feu).

L'objectif ? Des histoires personnalisées par des espèces menacées qui permettront aux enfants de réfléchir un moment et de favoriser de nouveaux comportements vis‑à‑vis de l’environnement.

Andrée Champagne Auteure jeunesse

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Isabelle Racicot et Éric Salvail

Éric Salvail : En mode Télédon

Le Télédon de la Fondation Hôpital Saint‑Eustache est de retour pour une troisième édition cette année. Cette activité majeure de financement, encore une fois animée par les complices Isabelle Racicot et Éric Salvail, se tiendra le 25 avril prochain du côté de Sainte‑Thérèse. Les billets sont au coût de seulement 10$.

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C’est fait ici !Faire un monde meilleur, un couple à la fois !

Joli coffret de cartes qui propose 52 actions (une par semaine) pour cultiver l’amour au sein du couple. Issues d’une pratique thérapeutique et développées par 2 thérapeutes en relation d’aide des Laurentides, les cartes jetaime sont basées sur les besoins relationnels fondamentaux (amour, sécurité, écoute, reconnaissance, affirmation, liberté et créativité). Cadeau idéal pour le coeur à tout moment de l’année !

Vente en ligne et livraison : www.cartesjetaime.com

MARS, c'est le mois de la nutrition !Encore une fois cette année, l’Ordre professionnel des diététistes du Québec (OPDQ) accompagne les Québécois et les Québécoises tout au long du Mois de la

nutrition MD.

L’OBJECTIF ? Encourager les gens à cuisiner davantage. Le point culminant est la Journée des diététistes qui a lieu le 19 mars,

alors que des diététistes/nutritionnistes sont disponibles pour répondre GRATUI-TEMENT aux questions du public par téléphone et en personne, à Montréal et à Québec.

Rejoignez‑les sur la page Facebook « Journée des diététistes/nutritionnistes »

Pour un toutou tiré à 4 épingles !

Rares sont ceux dans l'entourage de notre rédactrice en chef qui ne connaissent pas l'amour immense qu'elle porte à son chien Basilic. Et ce n'est pas un secret, Partout Ici ADORE les animaux. Rita Youwakim aussi ! Elle a bien compris qu'en raison de l'âge ou du tempérament de votre chien, les séances de toilettage et le déplacement peuvent être cauchemardesques pour lui. Elle offre donc un service professionnel de tonte et toilettage complet, dans le confort de votre foyer. Seule installation requise : un endroit pour laver le chien (évier, baignoire, douche‑téléphone, etc.), une prise électrique pour instruments de travail et une luminosité adéquate dans la pièce. La bonne nou‑velle ? Elle développe sa clientèle dans notre région ! Et comme notre mission est basée sur la solidarité et la coopération, on est bien fiers de vous en parler !

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Toute reproduction des textes, illustrations et photographies contenus dans ce document est interdite sans le consentement écrit de l’éditeur. Bien que toutes précautions aient été prises pour assurer la rigueur des renseignements contenus dans ce document, il est entendu que l’éditeur ne peut se tenir responsable des erreurs et des négligences commises dans l’emploi de ces renseignements, non plus que leur réalisation.

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