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Courir. Petit verbe de 6 lettres qui est sur toutes les lèvres et qui change des vies. Pour moi, la course à pied a fait partie de ma vie et s’est imprimée dans ma mémoire sensitive au fil des 15 dernières années comme une trace de pied dans un béton encore humide.

En 2e secondaire, l’école tenait une course du midi 1 fois l’an. La Course des Marmottes. Cinq kilomètres, si me souviens bien. Je regardais les gazelles réaliser des temps sous les 30 minutes en me disant que ce n’était pas pour moi. Pas capable. De 13 à 15 ans, c’était le club d’athlétisme ESPOIR de L’Externat Sacré-Coeur dont je faisais partie. Comme sprinteuse. Avec comme héros Bruni Surin. Je regardais les demi-fondeurs se faire aller dans le training voisin, pensant que jamais je ne pourrais durer plus de quelques minutes. Des entraînements après les classes. Le weekend, des amis, sourire en coin, me mettant au défi, des soirs d’ados, de les semer, gougounes de plastique aux pieds. Faire des boucles en training des soirs d’hi-ver, déchirer mes leggings brodés aux couleurs du club à cause d’une chute. Penser que mes parents vont être fachés devant cette centaine de dollars troués.

J’ai déjà été parmi le top 4 avant la finale du 100m aux Jeux du Québec. J’ai réalisé ce jour-là, avec les explications de mon entraîneur, que l’alimentation y était pour beaucoup. Davantage préoccupée par mon poids que ma performance à l’âge ingrat de 14 ans, je n’avais pas donné assez d’énergie à mon corps pour réaliser la même performance en semi-finale qu’en finale, 1 ou 2 heures plus tard. Mais j’avais des spikes autographiés par Donovan Bailey. Courir, c’est la première vraie source de sueur que j’ai connue en découvrant les centres sportifs, à 19 ans. Y aller trop souvent, à coups de 1 heure de jogging intense, plus de 5 fois semaine. Avec comme seul objectif non pas la santé, mais la perte de poids. Je me souviendrai toujours d’un entraîneur-employé qui m’a demandé si je m’entraînais pour une discipline précise. Encore aujourd’hui, je me

demande de quoi j'avais l’air, à courir comme si ma vie en dépendait.J’aurais pu lui répondre : « Non, je suis juste une fille de 19 ans mal dans sa peau qui veut autant disparaître que trouver qui elle est ».

Courir, ce sont mes magnifiques espadrilles colorées si confor-tables que je ne veux pas remplacer. Mon treadmill acheté à un

moment de vie où il valait plus pour moi qu’une voiture ou un bijou précieux. C’est me sentir imposteur au premier

5km organisé auquel je me suis inscrite, regardant tous ces gens sauter sur place à la ligne de départ.

C’est mon chien Basilic qui me donne une splen-dide raison d’y aller au quotidien, toutou étant souvent plus en forme que moi. C’est faire le vide, prendre l’air, parfois tourner en rond en sachant que je vais quelque part avec ces pas. Toujours plus proche de moi, plus loin des tracas. C’est me faire la morale parce que

je veux sauter une journée, parce que j’ai man-qué un mois, que je me suis manquée, moi. C’est

faire mon 5 km en mode 3 minutes de course/2 minutes de marche et raconter à mon chum que je

l’ai fait sans marcher, pour avoir l’impression que j’y arriverai demain.

On court après le temps, au quotidien, pour tout faire entrer dans un 24 heures bien compté. Alors qu’on souhaiterait tous arrêter de courir au sens figuré, un plus grand nombre de gens chaque jour veulent vivre ce verbe et le font, un pas à la fois. La seule chose dont je suis certaine, c’est que courir donne du temps, fait du bien, rapproche de soi et souvent des autres et peut changer la vie, au complet ou en partie.

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ENTREVUEPar Catherine Verdon

La course à pied, c’est synonyme de quoi pour vous ?

P : Liberté. C’est le premier mot qui me vient.J : Moi aussi. Principalement par mes déplacements. Pour l’instant, je n’ai pas trouvé de situation où on ne peut pas passer à pied. Que le métro soit fermé, que le train soit passé… À pied, on passe partout. P : Je suis jaloux; pas parce qu’il court plus vite que moi, mais parce qu’il va travailler en courant. J’aimerais pouvoir le faire. Je l’ai fait quand je travaillais à TVA. De Boucherville, c’est 16 km le matin et 16 km le soir, mais je n’ai pas des horaires fixes. Cette distance fait un bon entraînement.

Ultra-marathon, pour plusieurs gens, ça peut sonner comme « trop ». On devine la question : quand est-ce assez ? Que répondez-vous à cela ?

P : Ce n’est jamais assez. J : Les gens regardent seulement le résultat et ont l’impression qu’on a commencé ça du jour au lendemain. Pour y arriver, c’est une très longue progression, qui, graduelle-ment, nous fait découvrir nos limites, tester jusqu’où on peut aller. Au début, je n’avais pas le goût de courir des ultra-marathons. Je me disais, comme tout le monde, que c’était trop long. Sur 10 ans, avec mes progressions, ce n’est pas si difficile. Il faut seulement courir et aller plus loin. On court 160 km : le lendemain, nous avons des courbatures, mais 3 jours après, c’est fini. C’est un travail de plusieurs années. La préparation est extrêmement minutieuse.

Un peu comme un baccalauréat qui préparerait au doctorat de la course ?

P : Le corps s’habitue à tout. Les gens voient le 160 km de façon cérébrale. La tête te fait un doigt d’honneur quand tu dis que tu vas aller courir un 160 km. Il faut se préparer mentalement, habituer sa tête à ça. Il y a un gros travail mental dans ces courses. Si tu te dis que tu fais 80 km et que rendu à 80 km, quelqu’un te dit de continuer, mentalement, tu vas te dire non, non, j’ai dit 80, je suis à 80. Mais, pour 160 km, à 80, c’est la moitié; ensuite, tu commences à gruger dans la moitié de la fin.

J : De mon premier 160 km, je ne me souviens pas vraiment du premier 40 km; c’est le quart de la course. Pour moi, il ne s’est rien passé; il en reste encore 120. Mais si j’avais fait un 40 km, je m’en rappellerais. Le cerveau s’adapte. On arrive au bout, pas sans s’en rendre compte, mais ce n’est pas si difficile que l’on pense. La limite n’est pas à 160 km. La limite est bien plus loin.

Comme quoi ?

J : Je n’ai aucune idée !P : En Californie, il y a des 200 milles. Donc, 2 fois 160 km.

Donc là, ça te tente ?

P : Oh oui, vraiment !

Il y a toute la partie « corps » : l’alimentation, le sommeil, l’entraînement, qui est sûrement très importante pour vous, mais y a t-il d’autres choses qui sont primordiales pour vous, comme la méditation peut-être, qui ferait partie de votre rythme de vie de coureur ?

P : Je trouve que je ne médite pas assez. À un moment, je me disais que courir, c’est comme méditer. Oui et non, ce sont deux choses distinctes. Une aide l’autre.

Est-ce que la course peut remplacer la méditation pour certaines personnes ?

P : J’ai lu le livre d’un moine bouddhiste qui disait : Tu cours, tu cours ; tu médites, tu médites. Tu ne peux pas faire les deux en même temps. J’y crois. Mentalement, la méditation, c’est une force, pour aider le corps avec la douleur, etc.J : Pour l’instant, pour moi, la course se suffit à elle-même. Ça peut paraître extrêmement répétitif, surtout dans mon cas, parce que ce sont des allers-retours. La course, peu importe la distance, ne se passe jamais comme on pense. Tu ne sais jamais, le matin d’une course, comment ça va aller. Un matin moche où tu penses que tu vas en baver peut se transformer en la meilleure course que tu as eue depuis 6 mois, tout comme un 10 km que tu prévois être facile peut être une horreur. Pour un 160 km, tu n’as aucune idée de ce qui va t’arriver pendant les 24 heures qui suivent. Il faut continuer. Je n’ai jamais été déçu, seulement surpris. Par la suite, il faut partager. C’est le plaisir. Il y a toujours de belles histoires à raconter. Il faut le faire pour encourager les autres à se lancer dans l’aventure, les motiver à aller vivre les leurs. P : Il faut accepter, dans ces courses-là, que quand ça va mal, inévita-blement, ça va finir par bien aller et vice versa. Quand tu acceptes cela et que tu es d’accord avec ce principe, tu passes à travers de manière plus sereine et agréable.

C’est une leçon pour tout ! La vie, c’est ça : des bonnes et moins bonnes semaines…

P : La course, c’est comme la vie, en condensé.

ALLER PLUS LOINRencontre avec deux ultra-marathoniens

qui courent en solo

Joan Roch et Patrice Godin

Ultra-marathon : N’importe quelle épreuve de course à pied plus longue que 42,2 km.

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ENTREVUEQu’est-ce que vous avez appris sur vous à travers votre parcours de coureur , qui dure depuis combien de temps d’ailleurs ?

P : Je cours depuis 7 ans. Je ne croyais pas que j’avais cette endurance. La discipline, je l’avais avant de commencer. Je peux être entêté. Je n’ai pas besoin de groupe pour en avoir. Ça ne m’appelle pas, parce que je n’ai pas besoin du groupe pour la discipline ou la motivation. J’ai découvert aussi ma capacité de résilience face aux choses plus difficiles. Heureusement, dans ma vie, je n’ai pas eu à le vivre de façon trop sévère. En course, je sais que j’ai cela en moi. Je suis capable de plier sans casser.J : Moi, ça fait 10 ans. Après mon premier 100 milles, il y a un an et demi, les jours suivants, je me sentais invincible. Je venais de passer à travers quelque chose de tellement gros ! Cela nous semble tou-jours plus gros après l’avoir fait, lorsque nous regardons la distance parcourue et le temps passé à courir sur une carte. Avant, tu as peur et après, tu n’en reviens pas. Depuis un an et demi, à répéter l’expé-rience, j’ai un peu oublié la notion de limite absolue. Il y a une limite, mais pour l’instant, j’ai accepté que je ne la connaissais absolument pas. Je me suis poussé pour connaître ma limite, voir où je casserais, mais là, je n’ai plus peur. Plutôt que d’avoir peur de la rencontrer, je la cherche pour voir où elle est. Je veux essayer de l’atteindre pour voir ce que cela fait. La conséquence est une beaucoup plus grande confiance en soi, qui aide à te surpasser. Et si je ne finis pas une ou deux courses cette année, ce n’est pas grave. P : J’ai abandonné 3 fois des ultra-marathons. Je sais pourquoi et je dois travailler sur ça. C’étaient des ultras qui répétaient le même parcours et je sais que pour moi, c’est difficile. Je vais donc faire un parcours de 5 km pendant 24 heures, voir combien je peux faire. Je sais que je suis capable de courir 24 heures, je l’ai fait. J’ai couru 39 heures. Mais en rond ? Je vais le faire pour voir pourquoi j’ai cassé durant des ultra-marathons en forêt où je n’aurais pas dû. Quand on abandonne, on se tape dessus, on se trouve lâche. Non. Si on n’a pas de fun, si ça ne marche pas, ce n’est pas grave. J’ai abandonné un marathon à Ottawa sans raison, j’ai trouvé cela bien pire, parce que je n’avais AUCUNE raison. J’allais faire 10 minutes de plus que l’objectif que je m’étais fixé et c’est pour cela que j’ai abandonné. Je me suis vraiment mis à pleurer.

C’était l’égo ça ?

P : Je pense que oui. Maintenant, quand je fais un marathon, si ça ne va pas bien, je m’accroche et je le termine. Au pire, ça va prendre 4 heures. Quand tu fais un ultra, si tu abandonnes, il y a plein de facteurs qui entrent en ligne de compte. Un des facteurs majeurs est si l’ennui s’installe de façon permanente. Va prendre un bière, chill out, ce n’est pas grave.

Avez-vous dû faire un ménage dans votre vie, vous éloigner de certaines personnes qui remettaient en cause la place de la course dans votre vie ?

P : J’ai fumé pendant 26 ans. J’ai arrêté grâce à la course et à mes enfants aussi. J’ai promis à ma blonde de tout faire pour ne pas que la course nuise à la famille. Je crois que j’y arrive bien. Je les fais participer, ils viennent avec moi. J’ai l’impression d’avoir inspiré autour de moi plus que repoussé.J : En courant, même de plus en plus, j’ai tout fait pour garder les gens qui étaient proches, m’arranger pour que la course ne prenne pas toute la place. Maintenant, je suis marié avec 3 enfants. Je réussis à garder la course au milieu de tout cela. Les allers-retours sont la solution que j’ai trouvée pour que la course devienne quasi-ment invisible. Je cours beaucoup, mais cela ne se voit pas sur la vie familiale. Ce n’est pas une passion qui prend toute la place, mais beaucoup. Cela change un peu ma vie, avec tout ce qui déboule comme projets, mais c’est un outil. Je ne veux pas courir à tout prix, je ne vais pas tout foutre en l’air.

P : Nous en connaissons des gens pour qui la course prend toute la place, qui ont perdu leur famille pour ça. Étrangement, je pense que dans le milieu des ultra-marathoniens, oui il y a un côté performance, mais nous sommes très attachés à la terre et aux vraies valeurs.J : Dans mes amis marathoniens, il n'y a personne de névrosé. Ce sont des gens équilibrés dans leur vie professionnelle et personnelle, qui savent s’amuser. Peut-être que ma vision est déformée parce que j’en fais partie, mais il me semble que ce sont des gens extrêmement stables, rigoureux. Pour arriver à intégrer des ultra-marathons dans sa vie, il faut avoir une personnalité quand même assez stable. P : Il faut être bien installé, être solide. Il faut se connaître.J : Même si on atteint des distances incroyables, il faut être raisonnable dans notre approche et notre progression.

Après quoi ne courez-vous plus dans la vie ?

P : Je ne cours plus après la reconnaissance. Comme acteur, on a parfois du mal à se l’avouer, mais on veut être reconnu. J’aime davantage que les gens me reconnaissent parce que je cours, m’arrêter et en parler avec eux.J : Je ne cours plus pour finir les courses. Au début, j’ai abandonné environ une course sur deux dans des ultras, parce que je voulais les terminer à tout prix. Depuis que je pars en me disant On verra ce qui va se passer, je les termine et j’ai toujours du plaisir. J’ai arrêté de faire une obsession avec la ligne d’arrivée. C’est toujours super enrichissant, même si je ne termine pas. P : Quand je fais ça, partir avec l’idée de grande performance, ce sont les courses où je me plante immanquablement. Quand je me dis On verra, je fais mieux que si j’étais parti avec un objectif rigide.

BIOS DE DEUX HOMMES INSPIRANTS, TELLES QU’ILS LA SIGNENT SUR LEUR SITE RESPECTIF :

JOAN ROCHwww.joanroch.comCoureur, blogger, photographe,conférencier & coach

Je cours à l’année pour l’aller-retour au travail, 5 jours par semaine. Dans le climat canadien. Parfois, je fais des courses, allant de 5 km sur route jusqu’à 161 km sur sentiers, avec des chaussures minimalistes, ne transportant ni nourriture, eau ou gel de performance. Je signe un blog sur la course, fais des photos et vidéos

durant ma course au quotidien et partage mes expériences d’ultra-marathons en conférence. Quand je ne cours pas, je prends soin de ma famille. Photo : Fabrice Gaëtan

PATRICE GODINwww.patgodin.com

Père de famille et acteur, il se trouve que je cours. Beaucoup. Longtemps. Ce qui est une bonne façon de renforcer mon corps. Et aussi, un tant soit peu, d’améliorer mon âme. Je cours surtout des ultra-marathons. J’aimerais bien en courir partout dans le monde. Et méditer sur le sujet. Courir. Méditer. Voilà. Photo : Julie Perreault

www.ultramarathonquebec.ca

Patrice Godin est le Président d’honneur du Festival Ultimate XC qui aura lieu à St-Donat pour une quatrième année consécutive. Une fête pour les mordus de courses en forêt, mais aussi une fête pour toute la famille.

Festival Ultimate XC Kmag – 27 juin 2015www.ultimatexc.com/cross-country

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4. Dans le chien à tête baissée, les mains sont largeur des épaules et pressent dans le sol. Les pieds sont largeur des hanches, les talons descendent vers le sol. Les os des fessiers se soulèvent vers le ciel. Prenez 5 respirations.

5. Prenez la position debout, mains sur les hanches. À l’expire, allez dans la flexion avant à partir du bassin. Avec les mains, venez chercher les coudes opposés. Gardez le poids des pieds jusqu’à la base des orteils. Vous pouvez plier légèrement les genoux. Gardez la colonne vertébrale allongée et amenez la couronne de la tête en direction du sol. Prenez 5 respirations.

A) Fente genou au sol. À partir du chien tête baissée, amenez la jambe droite à l’avant du tapis et déposez le genou gauche au sol. Assurez-vous que votre genou droit est alligné au dessus de votre cheville droite. Allongez les bras vers le ciel. Pre-nez 5 respirations. Retournez dans le chien tête baissée et faites la même chose de l’autre côté.B) Fente avec ouverture du quadricep. De la posture A, avec la main gauche, venez chercher le pied gauche et ramenez-le vers le fessier gauche. Allongez le coccyx vers le sol. Gardez les deux épaules dirigées vers l’avant du tapis. Prenez 5 respirations. Retournez dans le chien tête baissé et faites la même chose de l’autre côté.

Pour la course, les muscles les plus souvent sollicités ont besoin d’être étirés afin de retrouver leur souplesse et leur mobilité. Cette séquence de yoga permet de réduire l'acide lactique ainsi que les tensions accumulées dans vos muscles. Résultat ? Une récupération améliorée et des risques réduits de blessures durant la course. Après cette pratique, le coureur aura une sensation de légèreté dans les jambes, ainsi qu’un regain d’énergie.

Par Alexandra OtisEnseignante passionnée & Ambassadrice Lululemonwww.alexandrayoga.ca

1. Amenez vos genoux largeur de votre tapis, collez les gros orteils ensemble. Dépo-sez le front au sol, gardez les coudes décollés du sol et les bras allongés vers l’avant de votre tapis. Ensuite, soulevez le front du sol, dirigez les mains vers la gauche de votre tapis pour une flexion latérale. Prenez 5 respirations de chaque côté.

2. Commencez en posture à genoux. Posez les paumes devant vous et en vous pen-chant, levez légèrement les hanches pour plier les orteils. Ramenez le poids sur les pieds et détendez vos paumes de mains contre vos cuisses. Étirez votre colonne à partir du coccyx. Prenez 10 respirations.

3. Commencez en posture à genoux. Déposez les mains à l’arrière des fessiers, doigts vers les fessiers. Basculez vers l’arrière et soulevez les genoux quelques pouces du sol. Prenez 10 respirations.

LE YOGA :complément idÉal

à la course à pied !

1. Balasana avec flexion latérale

2. À genoux, orteils roulés

5. Uttanasana (flexion avant)

3. Étirements de chevilles

6. Anjaneyasana A

7. Plié du coureur

6. Anjaneyasana B

4. Adho Mukha Svanasana (Chien à tête baissée)

11. Allongé sur le ventre, jambes serrées. Le front repose sur la main droite, la main gauche tire la cheville gauche vers le fessier. Garder l’os pubien au sol et dirigez le genou gauche vers l’arrière pour mieux sentir l’étirement. Prenez 5 respirations et faites la même chose de l’autre côté.

12. Couché sur le ventre. Allongez les bras de chaque côté du corps. Inspirez en soulevant le front, les bras et les jambes du sol. Le bassin ne doit pas décoller du sol. Maintenez la position pendant quelques respirations

13. Du chien tête baissé, levez la jambe gauche au ciel. Faites glisser le genou gauche devant le poignet gauche en inclinant le tibia gauche à 45 degrés. Allongez la jambe droite vers l’arrière du tapis. Abaissez le tronc vers le sol en appuyant les coudes au sol. Ou déposez le front au sol en allongeant les bras à l’avant du tapis. Prenez 5 respirations et faites de même de l’autre côté.

14. Assoyez-vous face à un mur, les fesses près du mur. Couchez-vous tranquillement sur le dos en allongeant vos jambes sur le mur. Laissez vos bras se déposer de chaque côté de votre corps avec les paumes des mains tournées vers le plafond et respirez longuement en sentant l’étirement des jambes. Vous pouvez placer le coccyx sur une couverture roulée ou sur un cousin, afin de bénéficier d’une plus grande ouverture du coeur.

7. Du chien tête baissée, amenez la jambe droite à l’avant du tapis dans une fente (lunge), gardez le genou droit alligné au dessus du talon droit. Gardez la jambe gauche allongée et forte. Soulevez les bras de chaque côté du corps, paume des mains dirigées vers le sol. Assurez-vous de décoller l’abdomen de la cuisse droite. Faites une ligne droite du sommet de la tête jusqu’au talon gauche à l’arrière. Prenez 5 respira-tions. Retournez dans le chien tête baissée et faites la même chose de l’autre côté.

8. Debout les pieds largeur des hanches, faites un grand pas de côté avec la jambe gauche. Fléchissez le genou gauche, dirigez les hanches vers l’arrière et fléchir la jambe jusqu’à ce que le genou gauche soit à 90 degré. Prenez 5 respirations et faites la même chose de l’autre côté.

9. Du lunge latéral, abaissez votre coccyx vers le sol et soulevez les orteils du pied droit vers le haut, la talon gauche peut rester soulevé quelques pouces du sol ou se déposer directement au sol. Si accessible, mettre vos mains ensemble dans Anjali Mudra ou gardez les paumes des mains au sol. Maintenez la position pendant quelques respirations et faites la même chose de l’autre côté.

10. Commencez debout jambes en écart et les talons alignés. Placez vos mains sur les hanches. Descendez dans la flexion avant pour que votre torse soit parallèle au sol. Placez vos mains au sol sous les épaules, si possible, marchez les mains entre les pieds. Gardez les épaules éloignées des oreilles. Prenez entre 5 et 10 respirations.

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10. Prasaritta Padottadasana (Flexion avant jambes en écart)

12. Salabhasana (sauterelle)

13. Eka Pada Rajakapotsana(Posture du pigeon)

14. Viparita Karani (posture inversée)

8. Lunge Latéral

11. Étirement allongé des quadriceps

9. Variation du lunge latéral

Les magnifiques photos sont signées Alexcdphotography.Découvrez davantage son travail au www.alexcdphotography.com.

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Karine Champagne concentre maintenant toutes ses énergies et sa joie de vivre au mou-vement MV, qu’elle a lancé en 2013. Elle a fait le saut vers l’entrepreneuriat l’hiver dernier, en quittant son poste d’animatrice à TVA Sport, réseau au sein duquel elle a consacré plus de 20 ans de sa carrière. On pourrait lui donner de nombreux qualificatifs : généreuse, enthou-siaste, saine, vraie, drôle, impliquée, sportive, articulée… On a choisi le mot rassembleuse pour cette Saint -Eustachoise qui n’a pas fini de changer des vies.

Karine, tu as fait notre couverture il y a un an pile. Tu parlais de 3000 MV. Vous venez de dépasser les 20 000 et ce sera probablement 50 000 dans quelques jours.

Je suis pleine de gratitude envers ce qui se passe actuellement. J’ai travaillé beaucoup dans la dernière année et demie aux MV, tout en gardant mon emploi à TVA. Je me suis retrouvée séparée en deux et j’ai décidé de me lancer et de partir en affaires, de deve-nir entrepreneure, ce qui était un rêve pour moi. Ça marche merveilleusement bien. Il faut parfois juste faire confiance à la vie. Oui, c’est insécurisant parfois. J’étais dans l’habi-tude du salaire aux deux semaines depuis les dernières 21 années. Là, c’est différent. Ça marche. Tant mieux.

Tu dois calculer l’abondance de manière différente que financièrement depuis les derniers mois ?

C’est une idée de sous-sol, tu le sais, tu as fait la même chose. Il faut juste que tu arrêtes d’écouter ce que les autres pensent. Il faut aussi arrêter d’écouter les histoires d’horreurs que d’autres ont vécu dans n’im-porte quoi.

C’est quoi le pire, de toute façon ?

Il n’y a en pas de pire. Je travaillerai ailleurs. Vendre des espadrilles dans un magasin de sport, pour moi, ça serait aussi parfait. Je ne me définis pas par mon titre ou mon salaire. Clairement !

L’année dernière, quand je t’ai rencontrée, tu t’enlignais pour le Ironman et tu t’es blessée. Ça fait partie de la vie, mais est-ce quand même une forme de deuil ?

Oui et non. Sur le coup, j’étais déçue. J’avais mal, j’ai pleuré. Il y avait de la tristesse reliée à ça. Mais sur une échelle de 1 à 10 de gravité, 10 étant la mort soudaine d’un enfant disons, c’est 0. Des Ironman, il y en a toutes les années et partout sur la planète. Ce n’était pas mon année. Au lieu d’avoir pris 32 ans, cela en prendra 33 pour réaliser ce rêve-là, ou 34. Ce fut pire pour mon entourage, je pense, tous les gens qui disaient  : « Je ne sais pas comment tu fais, moi je capoterais ». Je vais savourer davantage cette année !

Un gadget ou vêtement dont tu ne peux pas te passer ?

Mon soutien-gorge Moving Comfort. Je me couche avec et je me réveille avec ! Et je ne suis pas très gadgets. Je peux courir avec n’importe quelle sorte de vêtement. Je peux être tout croche, dépareillée, ça ne me dérange pas. Mais, jamais sans ma brassière !

Ses coups de cœur !

Lecture : Le why Café, Le retour du Why Café, Le tableau de vie

Films : Wild, My way

Trucs : Bien que je sois dépourvue de talent artistique, je dessine ce que je veux dans ma

vie. Je m’arrête, je visualise, je dessine.

« La poussière peut attendre, la santé mentale, non. »

- Karine

ENTREVUE

LA POUSSIÈRE PEUT ATTENDRE Comment débuterla Course à piedsans se blesser?

Karine Champagne et son conjoint Frédéric Forgues

Il est toutefois important de consulter un spécialiste pour un bon diagnostic, car une douleur sous le pied n’est pas synonyme de fasciite plantaire. Plusieurs symptômes sont à valider avant de poser un diagnostic.

Syndrome de la bandelette ilio-tibiale « Syndrome de l'essuie-glace » • Qu'est-ce que c'est ? Frottement répété de la bandelette qui

s'étend sur le côté extérieur de la cuisse et du genou causant une irritation et une inflammation.

• Localisation de la douleur : Côté externe du genou et/ou de la cuisse.

Il existe un rouleau en « foam » qui est grandement utile pour la prévention et la guérison de cette blessure. Vous pouvez également faire profiter votre rouleau à pâte ! Toutefois, une faiblesse sur le côté de la jambe n’indique pas toujours forcément un trouble de bandelette. Si les méthodes appliquées de base ne fonctionnent pas, il faut rapidement passer à un plan B et regarder autour de la source pour une solution durable.

Syndrome fémoro-patellaire « genou du coureur » • Qu'est-ce que c'est ? Irritation au niveau de l'articulation

fémoro-patellaire (fémoro = fémur; patellaire = rotule) • Localisation de la douleur : Autour du genou et dans

certains cas, derrière le genou.Cette douleur courante peut résulter d'un trouble biomécanique ou d’un déséquilibre musculaire. Si la technique « RICE » ne fonctionne pas, prenez une pause de course et consultez un professionnel.

Tendinite du talon d’Achille • Qu'est-ce que c'est ? Inflammation et irritation du tendon

d'Achille (tendon qui relie les muscles du mollet au talon) • Localisation de la douleur : Derrière la cheville, au-dessus

du talon. Si la douleur augmente à l'exercice et persiste au repos, il est mieux de consulter, car ce type de blessure peut engendrer des complications.

Comment prévenir les blessures ? • Avoir des chaussures adaptées à la course. Mieux vaut investir

dans une bonne paire de souliers en boutique spécialisée que payer plusieurs spécialistes pour guérir et se retrouver le moral à plat dû à un arrêt de course.

• Éviter le surentraînement; augmentation de max 10 % par semaine SEULEMENT.

• Éviter l'attaque du talon. Surtout lors de la descente, l'impact est trop élevé.

• Travailler votre équilibre et votre souplesse sans négliger la musculation.

• Éviter les surfaces dures telles que le béton. • Une perte de poids diminuera considérablement l'impact. • Investir dans une évaluation biomécanique. Rien de mieux

que des spécialistes pour vous évaluer et vous donner un programme personnalisé.

Que faire en cas de douleur ? • La technique « RICE » (R = Repos / I = Ice (Glace) /

C = Compression / E = Élévation) • Distinguer le type de douleur : est-ce que je suis blessé ou

simplement courbaturé ? • Mesurer l'intensité de la douleur de 0 à 10 (0= absence de

douleur, 10= douleur insupportable).0 à 3 : Utiliser la technique « RICE ».4 à 6 : Être davantage alerte aux signes de son corps. Consulter si la technique RICE et la prise d'anti-inflammatoires ne fonctionnent pas et que la douleur ne diminue pas.7 à 10 : Ne pas courir; consulter !Dans tous les cas de blessures entourant la course, l’autodiagnostic est votre pire ennemi, mais voici quelques détails pour vous aider à reconnaître les signes d’une blessure :

Périostite tibiale • Qu'est-ce que c'est ? Inflammation du périoste

(membrane qui recouvre l'os du tibia). • Localisation de la douleur : Au niveau du tibia. L'os est douloureux au toucher. De manière générale, la périostite est augmentée avec l'entrainement. Vous devez donc réduire votre en-traînement, éviter les escaliers, les côtes et les accélérations rapides. Si votre douleur persiste, le repos et la glace peuvent soulager. Il est important de consulter un entraîneur et physiothérapeute qualifié en course pour trouver la source d’une telle blessure. Plusieurs raisons peuvent la déclencher telles que : mauvaise technique, mauvaises chaussures, progression trop rapide, etc.

Fasciite plantaire • Qu'est-ce que c'est ? Inflammation du fascia plantaire

(ligament fibreux qui s'attache du talon aux orteils, en dessous du pied).

• Localisation de la douleur : Sous le talon et la plante du pied (souvent décrite comme une sensation de chaleur).

Rouler son pied sur une balle de tennis, prendre une serviette avec ses orteils ou masser légèrement son fascia en tirant ses orteils vers soi peut soulager les symptômes et améliorer la guérison.

LES BLESSURES COURANTES EN COURSE À PIED

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Mélina Lucchesi B.Sc. Kinésiologue et Entraîneure Privée Allez Hop

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À cette période de l’année, tous souhaitent perdre ces 10 livres en trop ! Le poids… ce chiffre que

plusieurs craignent.

Votre corps a changé !

• Ménopause • Grossesse• Médicaments• Sédentarité• Âge… dû au

ralentissement du métabolisme.

LA PERCEPTION QUE NOUS AVONS DE NOUS EST SOUVENT DÉMESURÉE !Il est fondamental de se demander si l’on pose sur son corps un regard objectif ou subjectif. Le changement de notre corps témoigne du temps qui passe et du style de vie que nous avons vécu. Soyons réaliste avec le chiffre qui apparaît sur la balance !!!

VOTRE STYLE , VOTRE IMAGE, QU'EN EST-IL ?Que nous le souhaitions ou non, l’image est une carte de visite, elle nous suit partout comme notre ombre... Est-ce que l’image projetée est bien celle que vous désirez ? Et personne ne voudrait manquer la chance de faire bonne impression.

Je peux vous aider à définir votre TYPE DE SILHOUETTE afin de mettre l’accent sur le rapport « Proportion et équilibre » qui mettra en valeur vos atouts naturels.

Le vêtement est l’enveloppe de votre corps et sans vous, il est uniquement une pièce de tissu. Vous donnez « vie » à votre vêtement. Un conseil... apprenez à aimer votre nouveau corps et ses formes.

LE BONHEUR N’A PAS DE POIDS…Osez être vous-même ! Laissez-moi vous aider à créer

votre Signature vestimentaire !

par Sylvie Côté - www.sylviecote.com

Du haut de votre jeunesse, vous vous sentez plein d’enthousiasme et infaillible. Vous êtes de la génération née avec un ordinateur et celui-ci n’a pas de secret pour vous. Sachez toutefois que l’expérience s’acquiert avec le temps, comme l’exercice de gravir une montagne. En bas de celle-ci, le sommet peut sembler découra-geant. Alors, posons le premier pas, sécurisons-le afin de ne pas glisser, puis posons le second, et ainsi de suite. En cours de montée, se retourner permet de constater tout le chemin parcouru. Cette expérience « sécurisée » permet d’atteindre le sommet plus facilement.

Idem au travail. Un employeur ne s’attend pas à ce que vous ayez la même expérience au premier jour qu’un employé expérimenté. Si votre patron vous offre son mentorat, dit qu’il est là pour répondre à vos questions et de ne pas hésiter si vous avez besoin d’aide, de grâce, faîtes-le. Il n’y a aucun mal à reconnaître son igno-rance, ça démontre entre autres un désir d’apprendre et de se dépasser.

Votre travail sera alors bien fait et votre patron, satisfait. Un pas de plus vers le sommet. Si, au contraire, vous n’osez pas demander et continuez à vous enfoncer dans une problématique, votre travail devra probable-ment être repris et laissera une empreinte assez amère. Le lien de confiance avec votre employeur, qui a offert sa main que vous n’avez pas saisie, sera brisé. Enfin, il y a de fortes chances que votre estime de soi en prenne un coup… à moins que vous soyez du genre à blâmer les autres pour vos erreurs. Si c’est le cas, les pas posés ne sont pas solides et vous glisserez la pente, bêtement.

Ayez de la gratitude, de l’initiative, soyez dynamique et validez avec la personne qui vous a demandé le travail, pour vous assurer de répondre aux attentes. Ne restez pas dans le doute. Rassemblez vos questions et appro-chez la conversation d’une façon professionnelle. Vous n’en serez que plus respecté. Enfin, ne travaillez pas que pour l’argent, une mauvaise motivation. Les journées vous sembleront très longues.

Le sommet est pour vous si vous savez gravir

la montagne...

Bravo !Ton premier emploi…

Miroir, miroir… Est-ce que je fais

mon poids ?

SPORT en vedetteEst-­‐ce  que  les  vêtements  de  sport  fashion  vont  remplacer  nos  little  black  dress  ou  tailleurs  au  travail?  Il  semble  que  de  plus  en  plus  de  gens  

(selon  leur  domaine  d’affaires,  bien  sûr!)  portent  le  legging  imprimé,  les  baskets  colorés  et  et  la  

veste  zippée  pour  les  amener  de  l’entraînement  au  boulot.  Certaines  de  ces  pieces  semblent  

même  trop  belles  pour  suer  dedans!

De   plus   en   plus  d’entreprises  ont  à  coeur     la   santé  physique   de   leurs  employés.  L’effet  de  l ’ exe rc i ce   sur  l’efLicacité   au   travail  est   prouvée   depuis  des   lustres.   Notre  petite  enquête  nous  a  permis   de   découvrir  plusieurs   initiatives   en   ce   sens   dans   des  entreprises   d’ici,   dont   une   salle   d’exercice  complète   disponible   en   tout   temps,   des  douches  et  supports  à  vélos  et  des  cours  variés  dispensés   sur   l’heure   du   midi   ou   en   Lin   de  journée.  Chapeau  à  ces  entrepreneurs  qui  ont  compris   que   l’activité   physique   constitue   un  remède   à   bien   des   maux   et   une   source   de  motivation   incommensurable,   comme   Bio   K  Laval,  Bain  Magique  St-­‐Eustache,  DLGL  Blainville,  Nelmar  et  Toitures  Hogues,  bravo!    Grâce  à  vous,  le  manque  de  temps  n’est  plus  une  excuse!

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travailler, c'est du sport !

Et   vous,   êtes-­vous   de   ceux   qui   béné4icient   de   ce  genre  d’initiatives  sur  votre  lieu  de  travail  ?  Écrivez-­nous    pour  nous  en  informer!    info@partoutici.com

11PARTOUTICI.COM

Bien choisir son véloBien choisir son véloNous sommes fiers de vous présenter SPART CREATION, fondé par Jean-Patrice Tremblay, un homme dévoué, pom-pier de métier, instructeur de vélo intérieur chez Vélo Espace Boisbriand, peintre et passionné de sport (vélo, course à pied, ski de fond, triathlon, etc.).

Jean-Patrice (surnommé J-Pat) a eu l’idée de créer des œuvres en jumelant ses 2 passions, le sport et les arts. Ayant participé à de nombreux événements sportifs et courses, il a accumulé plusieurs médailles et dossards (race bibs). Si vous avez déjà participé à des courses, vous savez comme nous que ces dos-sards ont une signification très importante. Ils nous rappellent tous les efforts, la souffrance, la force, la fierté et le sentiment d’accomplissement qu’on a ressenti lors de ces épreuves. Nous les rangeons précieusement dans un tiroir ou encore, on se bricole un livre de souvenirs… Jean-Patrice a eu une idée géniale ! Il crée des œuvres à partir de peinture recyclée en y intégrant des dossards, médailles et en y ajoutant des mots inspirants ! Le résultat est extraordinaire ! C’est ainsi que SPART CREATION a vu le jour ! Vous désirez immortaliser vos souvenirs de courses ?

www.spartcreation.com

Quelques-unes de ses toiles sont exposées dans notre boutique. Venez faire un tour, vous serez ravis !

Il existe plusieurs types de vélos sur le marché. Notre équipe s’est penchée sur le sujet afin de démystifier simplement le monde du vélo et surtout, vous aider à choisir la bonne monture pour vous ! La première chose est de savoir quel type de randonnée vous ferez. Une information cruciale pour faire votre choix parmi les 3 principaux types de vélos.

Hybride ConfortLe vélo hybride confort est conçu pour rouler tout en douceur. Il est parfait pour les cyclistes qui recherchent un vélo confortable, dont le but premier est l’agrément et non la performance. Idéal pour des randonnées de plaisir sur pistes cyclables asphaltées, en poussière de roche ou sur sentiers peu accidentés. Certains de ces vélos ont des caractéristiques bien intéressantes, telles que la suspension à la selle, la potence de guidon ajustable et poignées ergonomiques, ce qui rend la position plus droite et augmente le confort.

Hybride performanceL’hybride performance vise le cycliste qui recherche un peu plus de performance et de vitesse pour faire de bonnes randonnées de façon régulière. Avec ses pneus plus étroits et son cadre plus léger que l’hybride confort, il sera plus performant et vous pourrez rouler sur les mêmes types de surfaces. C’est ce qui en fait le vélo le plus polyvalent de la gamme.

Vélo de routeLe vélo de route a comme but principal la performance. C’est un vélo plus léger et son cadre est plus aérodynamique. Il fera en sorte que le cycliste atteindra de plus grandes vitesses. Ce vélo est conçu pour rouler sur les surfaces asphaltées, dû à ses pneus beaucoup plus étroits.

Peu importe le type de vélo que vous regardez et qui vous intéresse, il est important d’être bien conseillé par un spécialiste vélo. Celui-ci doit être en mesure de répondre à toutes vos questions. Vous devriez même être en mesure d’essayer votre futur vélo avant de l’acheter, comme on le ferait avec une voiture. Autre point important, si vous achetez un vélo dans le but de rouler avec d’autres cyclistes, il est recommandé d’acheter le même type de vélo, pour que la randonnée soit intéressante pour tout le monde. Tenez-vous loin des vendeurs à commission, ils n’ont pas toujours votre intérêt comme priorité.

BonneRoute !

A n n i e   L a l a n d e   e s t  massothérapeute.   Elle   est  aussi   non-­‐voyante.   Alors  que  j’aurais  eu  le  ré;lexe  de  ne   pas   en   parler,   c’est  t o u t e f o i s   u n e   f o r c e  incroyable   chez   e l le ,  littéralement   un   6e   sens.  De   par   son   écoute,   sa  présence,   son   toucher,  Annie  sent,  ressent,  devine,  sait.   C’est   non   seulement  relaxant,   mais   très   thérapeutique,   puisqu’elle  partage   son   message   à   travers   l’empreinte   qu’elle  laisse  sur  nous  avec  le  massage.  

Le combiné parfait :

notre rédactrice a essa

yé pour vous…

Connaissez-­vous                      Carole    &  Annie  ?

Quand  deux  excellentes  thérapeuthes  s’unissent,  on  ne  peut  que  passer  un  moment  réénergisant,  

tant  au  niveau  physique  que  mental.  

Carole   Bergeron   est  Maître   Tzifa   et   pratique  depuis   de   nombreuses  années   le   Reiki   et   le  Quantum   Touch.   Il   est  dif;icile   de   décrire   un   tel  soin  sans  le  recevoir  et  le  vivre.  Dans  mon  cas,  c’est  comme   retrouver   un  mélange   d’énergie   et   de  calme,   comme   le   résultat  d ’une   bonne   nuit   de  sommeil.  Sans  être  certaine  

Profitez de ce combiné ! 1 h de massothérapie

et 1 h de soins énergétiques !Saint-­‐Eustache  

450-­‐463-­‐6417            438-­‐931-­‐9848info@annielalande.com

Vous  lisez  le  compte  rendu  de  mon  expérience  avec  un  brin  d’envie  ?                        

Ça  tombe  bien!                                                                                  Nous  avons  un  combiné  à  faire  tirer  !                                                          

Écrivez-­‐nous  avant  le  19  mai  !                Tirage  le  5  juin.                                                                                    

Nom  de  la  personne  gaganante  sur    la  page  Facebook  du  magazine.info@partoutici.com

de  m’être   endormie,   c’est   ce  que  j’ai  trouvé  de  mieux  pour  mettre  la  paix   intérieure  à  mon  horaire  et   de   faire   de   la   place.   Ralentir.  En;in.

L’arme de la bienveillance par Ani Lodro Palmo

Dès que j’ai lu le titre de ce livre, j’ai eu envie d’en savoir plus sur cette femme qui s’est autorisée, à un mo-ment de sa vie, un changement de cap majeur. Serez-vous porté, vous aussi, par cette histoire, ce désir de

trouver un sens à votre vie ? Cette nonne bouddhiste partage ses prises de conscience à travers trente lettres adressées à son fils Xavier. Ce livre est rempli de bijoux de phrases et d’idées inspirantes pour retrouver l’essen-tiel… en soi.

La santé repensée par Dr Gaétan Brouillard

J’ai apprécié ce livre pour plusieurs raisons. J’ai été surprise, intéressée et impressionnée par le fait qu’un médecin renseigne sur la méde-cine en tenant compte de tous les

aspects de l’humain, dont les émotions, le mode de vie, l’environnement, la spiritualité. Le regard de l’auteur sur la santé est différent et rafraîchissant. Vous ferez assuré-ment de superbes découvertes !

#bébéatrice par Béatrice Lepage et Éric Godin

Si vous suivez Guy A. Lepage sur Twitter, vous connaissez déjà

#Bébéatrice. Sinon, ce livre sera l’occasion de découvrir cette petite fille et ses délicieux mots d’enfant. Les illus-trations réussies de l’excellent Éric Godin sauront judi-cieusement accompagner votre lecture.

Jardin de méditation – 100 dessins à colorier par Éric Marson

Méditer et demeurer en position assise de longues minutes, tout en essayant de faire taire le mental, ce n’est pas donné à tout le monde. Qu’à cela ne tienne, voici un outil

pour se détendre. Ce sont, en quelque sorte, des des-sins à colorier pour les grands ! Grâce à eux, ça devient possible de créer un espace de calme en soi. Il existe plusieurs autres modèles. Il y en a pour tous les goûts.

Le pouvoir étonnant du rangement, par Marie Kondo

Pour moi comme pour plusieurs personnes (je l’espère !), avec le printemps vient le désir de faire du ménage. Mais, invariablement, ce

travail est à recommencer à un moment ou un autre. Pourquoi et surtout comment mettre de l’ordre dans notre intérieur de façon durable ? C’est ce que l’auteure nous propose avec sa méthode KonMari. Elle s’attaque à tous les aspects de la maison et, du même souffle, nous aide à alléger notre vie…

Les meilleures méditations de la planète par Dr Martin Hart et Skye Alexander

Ce livre, c’est de l’espoir en 220 pages. Pourquoi ? Tout simplement

parce qu’il est possible d’y trouver la pratique de médita-tion qui nous convient réellement. Grâce aux recherches effectuées, on découvre 100 techniques pour améliorer notre quotidien. Plus question de dire que cet outil n’est pas pour nous ! On en a tant à essayer avant de faire ce constat… Aussi, peut-être apprécierez-vous, comme moi, le tableau de renvoi à la fin. En effet, selon votre besoin du moment, on vous suggérera un exercice et la page où il se trouve. Intéressant et pratique !

Les missions de Julia Léveillée par Julie Vincelette

Julie Vincelette s’est donnée pour mission d’inciter les jeunes et moins jeunes à explorer leur intériorité. Elle souhaite incidemment qu’ils y trouvent leur potentiel. Dans ce quatrième tome, à l’instar des trois autres, elle y arrive. Julia est une fois

de plus plongée au cœur d’une aventure rocambolesque qui plaira à ses nombreux lecteurs. Pour ce quatrième livre de la série, l’auteure pose un regard sur le trouble du spectre de l’autisme. Vos ados adoreront découvrir Les missions de Julia Léveillée !

Une deuxième vie par Mylène Gilbert-Dumas

Élisabeth et son conjoint sont endettés jusqu’au cou. « Travailler, acheter, travailler pour payer les achats puis acheter autre chose encore, et travailler davantage pour

acheter toujours plus. » Ils décident, afin de se refaire une santé financière, de tout quitter pour le Yukon. Mais, rapidement, Élisabeth se retrouve seule et sans emploi. Elle ne se laisse pas intimider par ces défis, mais s’ouvre plutôt aux opportunités que la vie lui présente et à ses élans du cœur. Traîneaux à chiens, nature, amour et passions sont au cœur de cette nou-velle série. À découvrir pour voyager et réfléchir.

Par Julie NiquetteLes livres du moi

Vous tenez entre vos mains le dernier numéro, avant septembre prochain, de ce magnifique magazine. Pour vous accompagner pendant les semaines à venir et les

journées d’été, voici quelques suggestions de lecture pour tous les goûts ou presque.

Julie Niquette est chroniqueuse littéraire, rédactrice et auteure du livre Juliette & Marguerite. www.julieniquette.com

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Pourquoi?  L’encyclopédie  des  grandes  questionsPourquoi  y  a  t’il  des  guerres?  Est-­ce  que  c’est  grave  de  mentir?  C’est  quoi  le  racisme?Pour   toutes   ces   questions   que   posent   les   enfants,   ce   livre  présente   l’historique   du   sujet,   une   BD   à   saveur  humoristique,   le  vocabulaire  du  thème,  des  sous-­‐questions,  de   nombreuses   illustrations.   Informatif,   ce   livre   permet  d’accompagner   son   enfant   dans   les   grandes   questions  existentielles   qui   font   partie   de   son   développement   et  devient  un   allié   pour   transmetre  de   l’information  de   façon  peu   conventionnelle.  Du   temps  de  qualité   avec   vos   trésors  vous  attend!

300  Jeux  d’extérieur  et  d’intérieurPour   s’occuper   et   chasser   l’ennui   par   jour   de   pluie   ou  s’amuser  au  grand  air,  à  chaque  saison.  Les   jeux  sont  classés  par   catégorie   :   à   la   récré   scolaire,   à   la   campagne,   par   temps  froid,  jeux  actifs,  etc.  Les  réponses  aux  énigmes  et  questions  se  trouvent   à   la   Gin   du   livre.   MagniGiquement   illustré.   Panne  d’inspiration  impossible.  

Deux livres qui ont capté notre attention aux Éditions FLEURUS

Mon amie Julie est une fille pleine de ressources. Elle est d'une patience réconfortante et a toujours le bon mot à dire pour nous faire sentir gagnant et humain, alors qu'on a l'auto-critique facile. Elle a toujours des trucs à partager et l'envie de transmettre ses connaissances, prises dans les formations qu’elle suit où elle perfectionne sa personne déjà si riche. Récemment, elle m'a fait faire l'exercice Les bouts de papier, moi qui suit quasi constamment en mode éparpillage, remise à plus tard, bordélique et mal organisée. Sérieusement, une tâche nécessitant 2 ou 3 heures de temps, que je remettais depuis des lunes, est maintenant un CHECK sur ma to-do-list. après son passage dans ma tête par le biais de cet exercice. Génial!

Mon amie les outils par Catherine Verdon

Dans la vie, mon amie Julie est aussi consultante Profil NOVA. Elle me connait. Bien, et beaucoup. Et j'en ai eu la preuve après qu'elle m'ait partagé les résultats du profil qu'elle a réalisé pour moi, afin de me donner des outils pour mieux gérer mon temps et donc, mon entreprise. Voici ce que j'ai appris (ou compris) sur moi!

Ce ne sont que quelques points de ce 90 minutes qu’a duré ma consultation. À priori, ce sont des choses de moi qui peuvent me sembler évidente. Par contre, je n’aurais pas si bien su les nommer et surtout, comprendre comment mes forces/faiblesses fonctionnent et s’influencent entre elles. J’ai définitivement appris à mieux me connaître, mais surtout, me comprendre.

J'étais déjà familière avec le principe du Profil NOVA. Je suis maintenant non seulement mieux outillée, mais, sur une notre plus personnelle, émue de voir à quel point mon amie maîtrise son domaine et sa passion, avec quel respect et discrétion elle nous ouvre les yeux sur notre essence profonde. Et comme les bonnes références sont faites pour être partagées, voici :

Julie NiquetteConsultante Profil NOVAjul_niquette@hotmail.com514-655-6818

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Je suis en quête d’harmonie et de cohérence. Les conflits et devoir dire non représentent des défis. La façon dont j’ai appris (inconsciemment) à répondre aux facteurs stressants me bouffe 76% de qui je suis vraiment. La recherche objective de faits est très importante pour moi. Mon jaune fait que j’ai du guts, j’essaie de nouvelles choses et mon vert, si je le respecte en prenant des pauses à ne rien faire, par exemple, me permettra de mieux me connecter à mon intuition. Si je ne dégage pas mon mental, les nouvelles idées passent par où? Mon besoin d’être aimée me fait me questionner sur ce que les autres vont penser et fait en sorte que je fuis le conflit. Je suis très spontanée et je risque parfois de paraître irréaliste. J’ai une tendance à m’inquiéter plus que le nécessaire.

EN FAMILLE !Les mercredis noctambules au musée d'Arts Contemporain des Laurentides : 3 juin, 8 juilletwww.museelaurentides.ca

Ouverture des jardins La Route des Gerbes d'Angelica :mai à octobrewww.gerbesdangelica.com

Location d'embarquations au Parc de la Rivière-des-Mille-ÎlesTout l'été !www.parc-mille-iles.qc.ca

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BÉBÉ BONHEUR Josée Lavigueur vient de lancer son DVD Maternité Santé. En conférence au Salon Maternité Paternité Enfants d’avril dernier pour celui-ci, elle a parlé d’activité physique, de motivation, de l’impact de l’activité physique sur le bébé qui grandit dans le ventre de la maman et de l’enfant qui grandit dans la vie. Elle a aussi encouragé la pratique de l’aqua-forme, extraordinaire et adapté pour les femmes enceintes, puisque sans impact sur les articulations.

« Ce que nous savons maintenant, c’est que l’activité physique est très importante pour la femme enceinte, elle est même vitale. Il y a une époque où on empêchait les femmes enceintes de faire de l’exercice, on les mettait dans la ouate, il ne fallait pas bouger. Alors qu’au contraire, une femme enceinte est plus vivante que jamais. Faire de l’exercice physique va augmenter systématiquement la circulation sanguine. Pour les fœtus, c’est aussi important et cela a un impact sérieux. Une recherche a démontré que les bébés de mamans actives pendant une grossesse ont une tendance à avoir un quotient intellectuel plus élevé. Cette recherche a été un peu étouffée, car ça a choqué beaucoup de monde, certains parlaient de discrimination et on peut comprendre. Mais quand on s’arrête, on comprend que ça fait beaucoup de sens, ce sont des bébés dont les cerveaux ont été irrigués plus souvent et plus fort. »

BÉBÉ QUI BOUGELe post-accouchement est synonyme de se promener beaucoup avec le bébé, se promener partout. Certaines femmes font du jog-ging avec la poussette. Quand on bouge avec le bébé, que ça bouge autour de nous, il s’endort souvent. Il est heureux. « Une maman qui bouge beaucoup avec le bébé fera en sorte qu’il aura une bonne relation avec l’activité physique. Il va créer des liens de bonheur avec l’activité physique. Il faut absolument retenir ceci, c’est vrai-ment précieux. Il y a des moments dans la vie qui nous marquent, qui nous donnent du bonheur. Des odeurs qui nous rappellent des choses heureuses : l’odeur du sucre à la crème, le parfum de tante Monique. Il y a des moments comme cela que nous associons au bonheur. Le bébé qui se fait bouger dans la poussette parce que le parent fait du jogging est un bébé heureux, qui va faire le lien entre l’activité physique et le bonheur. C’est inconscient, bien sûr, mais lorsqu’il sera plus vieux, l’activité physique sera plus évidente pour lui. Ceci est très logique et fait beaucoup de sens. »

Avec le soleil qui se couche de plus en plus tard, bien des bambins ont du mal à comprendre qu’ils doivent tout de même aller dormir. « Mais maman, ce n’est PAS la nuit ! » Les plus vieux ont aussi de la difficulté à s’endormir lorsque les beaux jours arrivent. En effet, la lumière du soleil agit sur la sécrétion de la méla-tonine, l’hormone favorisant le sommeil. S’endormir devient donc plus difficile pour certains enfants en période estivale alors qu’ils se couchent généralement lorsqu’il fait encore clair à l’extérieur.

Toutefois, les enfants ont les mêmes besoins de sommeil pendant l’été que du-rant les mois d’hiver. Il faut donc veiller à ne pas trop empiéter sur leurs nuits en leur permettant de se coucher tard.

• Sortir et dépenser de l’énergie dehors après le repas est excellent afin de favoriser l’endormissement.

• Quand les enfants jouent dehors, les faire rentrer au moins 45 minutes avant l’heure du coucher afin de limiter les stimulations et faire baisser le niveau d’activité.

• Lui faire prendre un bon bain tiède, mettre son pyjama et jouer à un jeu instaure une routine qui favorisera le retour au calme. Attention : la télé-vision et les ordinateurs sont des stimulants : ils sont donc à proscrire au moins une heure avant le coucher.

• Installer des rideaux opaques dans la chambre de l’enfant afin de bloquer la lumière peut être un bon moyen à utiliser à cette période de l’année.

• Observer son enfant afin de déceler les signes de fatigue (baisse de l’acti-vité physique, ou encore, agitation, irritabilité, pleurs, yeux rouges ou qui piquent, etc.) On pourra alors tenter de le mettre au lit dans les dix à quinze minutes suivant l’apparition des premiers signes de fatigue afin de favoriser son endormissement.

• S’armer de patience car plusieurs enfants mettront tout de même plusieurs minutes avant de s’endormir. Il ne faut absolument pas céder et leur per-mettre de se relever. Si le sommeil ne vient pas, on pourra permettre de faire un peu de lecture ou aider l’enfant à faire des visualisations et à se raconter lui-même des histoires dans sa tête.

Nancy Doyon,Coach familial, auteure, conférencière et formatriceFondatrice de SOS Nancy www.sosnancy.comMembre du Réseau Nanny secours

Dur dur de mettre vos tout-petits au lit avec l’arrivée du

printemps ?

BOUGER EN S’AMUSANTSéance d’aérobie avec Josée Lavigueur

à Boisbriand le mercredi 18 juin de 19h à 20h pour lancer les mercredis actifs !

infos : 450-437-2727

Comment l’aider à s’endormir ?

Par Catherine Verdon

Mme Huile et M. Vinaigre se sont rencontrés dans le rayon d’une épicerie fine, tout au fond d’un panier où se trouvaient une foule de personnages intrigants. Tout de suite, ils s’étaient sentis attirés l’un vers l’autre, partageant des points communs indéniables : de forme liquide, ils vivaient dans des bouteilles dont les couleurs s’harmonisaient parfaitement. Rien à voir avec toutes ces boîtes et ces contenants hétéroclites qui les entouraient ! Tout de suite, ils eurent envie de tout savoir l’un de l’autre et, signe du destin peut-être, une fois rendus à destination, ils avaient atterri sur la même tablette. Durant les jours qui suivirent, on aurait presque pu les entendre roucouler alors que M. Vinaigre faisait la cour à Mme Huile. Amoureux l’un de l’autre du goulot jusqu’au fond de la bouteille, le jour où ils mélangèrent leurs parfums, tous se réjouirent de la saveur unique de leur mariage.

« Et si on faisait quelques bébés tomates ? ». Dans leur élan d’amour, trois petites tomates virent le jour rapidement, l’une après l’autre, réjouissant les nouveaux parents plus que tout ce qu’ils avaient connu jusqu’à maintenant !

Ces trois jolies tomates qui les regardaient, les grands yeux remplis d’amour, avaient chacune leur personnalité. La première était fière de son rôle de grande. On pouvait lui demander n’importe quoi, elle s’empressait de le faire avec plaisir. La seconde, quant à elle, avait tout un caractère : déterminée, enjouée et pleine de vie, mais quand elle était en colère, quelle explosion ! Quant à la petite dernière, elle passait son temps à pleurnicher, refusant de manger et se plaignant constam-ment de sa sœur qui prenait plaisir à la faire pleurer. Vous vous doutez bien que Mme Huile et M. Vinaigre tentaient de faire de leur mieux pour le bonheur de leurs enfants, chacun à sa manière. Mais puisque leurs petites tomates n’étaient pas toujours heureuses, ils se mirent à s’accuser l’un l’autre de tous les maux :

« Si tu ne leur mettais pas tant de vinaigre, ce serait bien mieux ! Le vinaigre, c’est amer et d’un goût prononcé : il faut en mettre peu ! »

« Et tu crois que les noyer d’huile est mieux ? Le gras, c’est mauvais pour les artères. Tu vas les rendre malades, tu ne vois donc pas ? »

Cette habitude de critiquer l’autre s’installa comme ça, tranquillement, sans même qu’ils s’en rendent compte. Chaque fois que M. Vinaigre ajoutait quelques gouttes, Mme Huile s’empressait de verser le double d’huile… La situation de-vint infernale, et avec le temps, l’huile et le vinaigre commencèrent à se séparer tranquillement, convaincus que les malheurs et les frustrations de leurs enfants venaient de la part de l’autre. Alors peu à peu, même s’ils vivaient toujours dans la même bouteille, on pouvait bien voir la séparation entre eux, l’huile flottant au-dessus du vinaigre. Ils en vinrent même à penser que leurs malheurs personnels

étaient causés par l’autre. Ils se mirent alors à s’accuser de tout et de rien. Puis, ce qui devait arriver arriva : n’en pouvant plus, ils décidèrent de retourner vivre chacun dans leur bouteille respective. Pauvres petites tomates ! Quelques gouttes d’huile par-ci, quelques gouttes de vinaigre par-là, elles avaient bien du mal à patauger dans toute cette vinaigrette ! Si bien qu’un jour, Mme Huile et M Vinaigre se rendirent à l’évidence : s’ils n’arrêtaient pas, leurs bébés adorés allaient se noyer ! C’est alors que dans un élan de désespoir, et pour sauver leurs bébés tomates, ils entreprirent de reprendre toute l’huile et le vinaigre dans lesquels ils les avaient englouties et ils entreprirent de trouver une recette qui serait parfaite pour leurs petites tomates chéries.

En cherchant un peu, ils découvrirent que puisque chaque tomate avait son propre caractère, ils devraient adapter la recette pour chacune. Mettant alors de côté leurs récriminations respectives, ils se mirent à tester différentes recettes, jusqu’à ce qu’ils trouvent la meilleure pour chacune. Ainsi, chaque petite tomate reçut sa juste part d’huile et de vinaigre !

En cours de route, ils découvrirent aussi d’autres ingrédients qui leur permirent d’agrémenter chacune de leurs recettes. Ces ingrédients incomparables furent parfois bien difficiles à trouver, mais l’effort déployé pour les acquérir en valut vraiment la peine. Prenez-les bien en note, puisqu’ils agrémentent la saveur de toute bonne recette de vinaigrette pour jeunes tomates. Premièrement, le basilic communication, une forme hybride de basilic composée de messages clairs et d’une grande écoute. Ensuite, l’origan pardon, qui pousse bien mieux dans un sol composé de maturité. Le sel d’amour permet à chacun mettre de côté ses diffé-rents et ses rancunes. Et, enfin, le poivre humilité, apporte une saveur unique, nécessaire au bonheur de chaque petite tomate !

Depuis ce temps, bien qu’ils préfèrent toujours demeurer dans des bouteilles séparées, Mme Huile et M. Vinaigre font tout leur possible pour bien mélanger tous les ingrédients nécessaires à la recette idéale pour chacune de leurs petites tomates. Et quand l’un des deux s’emballe et ajoute une trop grande dose de lui-même, ce n’est pas si grave. Parce que maintenant, Mme Huile et M. Vinaigre savent bien que la recette parfaite peut toujours être un peu modifiée, sans pour autant que ce soit dramatique. Ainsi, leurs petites tomates nagent maintenant dans le bonheur, même si parfois il leur arrive d’être tristes ou en colère. Et c’est très bien ainsi, parce qu’après tout, être vivant c’est ressentir toute une gamme d’émotions, parfois contradictoires !

La RECETTE des enfants heureux !Ou comment composer avec l’autre parent malgré les désaccords.

Par Manon Vicky Gauthier www.coupdepouce-education.com

L’auteure, technicienne en éducation spécialisée cumulant une vingtaine d’années d’expérience

dans le domaine, est aujourd’hui coach familial, éducatrice spécialisée et praticienne en

Programmation Neuro-Linguistique (PNL)

Membre du Réseau Nanny secours.

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Stratégie : On fait les tâches plus difficiles ou ennuyantes en début de journée. Ainsi :

1- On ne passera pas toute la journée à fuir et à se dire qu’il faut qu’on fasse ceci, fasse cela. C’est tellement épuisant !

2- On campe notre vie où ça nous tente vraiment avant de faire gril-ler les marshmallows (TV, Facebook, longue pause café, magasinage).

3- Et si on ne finit jamais pas installer notre tente, faut peut-être ad-mettre que finalement, ce projet ne nous tente plus ou pas assez. On passe à un autre appel ?

7. Le perfectionnisme… c’est de ne jamais être content de soi.

Stratégie : Acceptez que ce soit moins bien fait (à vos yeux) plutôt que de souffrir que ce ne le soit jamais. Vous avez le droit d’exister incondi-tionnellement. J’ai bien dit inconditionnellement… Personne ne vous a dit que votre présence sur terre était un cadeau ? Moi je vous le dis ! Ne conditionnez pas votre droit de vivre aux résultats que vous obtiendrez (ou pas). Je me déclare ouvertement comme étant une perfectionniste en rémission. Pour m’aider, il fut un temps où, lorsque j’écrivais mon journal de croissance, je signais Lise Fortin cadeau. Car avoir été vic-time d’inceste m’avait appris très tôt dans l’enfance que je ne méritais pas l’amour gratuit. L’enfant victime des adultes pense que s’il avait été autrement, ça ne lui serait pas arrivé. Heureusement, on guérit du per-fectionnisme, dans la mesure où on reconnaît que ce qui nous est arrivé autrefois vient du choix des adultes qui nous entouraient, pas de nous. Du moment qu’on reconnaît le mal qu’on se fait en entretenant cette croyance, que : Si c’était parfait, on aurait enfin le droit d’exister, d’appa-raître en société.

8. Votre objectif est-il divisé en petits pas ? Est-il atteignable, réali-sable, mesurable ? L’avez-vous divisé en petits pas reconnaissables ? On surestime ce qu’on peut faire en un an, on sous-estime ce qu’on peut faire en cinq ans.

9. Quand avez-vous pris le temps de revoir vos objectifs (votre vie) à 360 degrés ? Au lieu de vous accuser de procrastination, accordez-vous du temps pour revoir votre situation (vos zones de satisfaction et d’insa-tisfaction). Votre vie vous aimera.

La stratégie la plus efficace : Faites-le en compagnie d’autres per-sonnes, ce sera plus encourageant, et on vous aidera à voir plus large que vous le faites lorsque vous êtes seul.

Lise Fortin – Coaching créatifConférencière, artiste & auteure - www.creatiVIEte.com

Si vous souhaitez recevoir de l’aide en ce sens, la session Mieux vivre ma créativité au quotidien vous permettra de revoir tout cela dans la bienveillance et l’amour de soi.

L’énoncé « je procrastine » est un jugement, souvent dénigrant, en lien avec ce que je voudrais faire (ou ce que je pense que je voudrais faire). Mais, cette volonté de ce que je veux être ou faire est-elle en accord avec mes élans ? Dans ma tête, il y a des idées de projets, mes idées sur moi-même et d’autres sur ce que je devrais être ou faire à ce moment-ci de ma vie. Mais voilà, je ne passe pas à l’action. Je me juge, je m’en veux, je me blâme et j’entretiens ma démotivation. Avant de se juger, regardons ce qui se passe peut-être en soi.

1. Mon corps est fatigué, il n’est pas capable, pour l’instant, de ré-pondre à la demande.

Stratégie : repos, remise en forme, voir à son état de santé.

2. Les élans de mon cœur voudraient me diriger ailleurs, mais je ne les entends pas, ou je ne veux pas les entendre, car ils ne correspondent pas à l’image que je me fais de ce que je dois être à mes yeux ou aux yeux des personnes importantes pour moi.

Stratégie : Réviser mes valeurs, au minimum leur ordre de priorité. Ce projet peut être bon pour moi, mais après m’être occupé de tel autre… On pense au QUOI, mais on oublie souvent le QUAND : Est-ce le bon moment pour moi de mettre mes énergies à cet endroit ? Ma soi-disant procrastination ne serait-elle pas un appel de ma vie à réviser mes objectifs ?

3. Finis ce que tu commences… Il arrive que l’élan ne soit plus au ren-dez-vous dans un projet qui, autrefois, comptait pour moi. La passion, ça déménage ! Notre vie nous transforme.

Stratégie : Accompagnez votre passion à sa nouvelle adresse plutôt que d’insister pour vivre à l’ancienne. Ou encore, réajustez votre manière de la percevoir selon ce que vous êtes devenu. Faites une mise à jour de vos centres d’intérêts et repartez d’où vous êtes aujourd’hui.

4. Ces tâches que je n’arrive pas à faire sont inconsciemment associées à des malaises d’autrefois. Il faut que je fasse un appel important : J’ai peur de déranger, de me faire dire non, je ne vaux pas la peine, mon projet ne sera pas accepté… ces pensées-croyances vous ramènent à des événements familiaux ou scolaires douloureux d’autrefois. Vous savez bien, objectivement, que la charge émotive que vous vivez est démesurée par rapport à la longueur de l’effort demandé (en temps et en énergie).

Stratégie : Guérir de mon histoire, vivre l’émotion refoulée avec l’aide d’un thérapeute pour séparer mes capacités d’aujourd’hui (objectives) de mes incapacités d’autrefois (subjectives).

5. La peur du jugement de l’autre est à l’image de mon propre juge-ment sur moi. On se dit : Ben voyons, tu t’es tellement investi là-dedans et tu n’aboutiras pas ? Cela n’a pas de sens ! Tu manques de volonté… Tu refuses la réussite ? T’as dit à tout le monde que tu le ferais ! Si votre seule motivation, pour agir, est de ne pas entendre ces commentaires (en vous et autour de vous), il est heureux, vraiment, que vous procrastiniez : votre motivation n’est pas installée sur votre vie, elle se base sur le sable mouvant des peurs.

Stratégie : Relisez plus haut. Les élans de mon cœur.

6. Installe ta tente avant de faire cuire les marshmallows. On a pris l’habitude de consacrer beaucoup de temps à des activités récom-penses (TV, Facebook, longue pause café, magasinage, etc.). On les a mises en priorité au lieu de s’en servir comme zones de repos.

Pour en rire !Fourre-tout écolo Je le ferai demain par LE FABULEUX SHAMAN pour

Rad.www.rad.com

À lire :Conjuguer au passé

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Je procrastine :

17PARTOUTICI.COM

Il arrive qu’on ne sache pas exactement ce que l’on cherche. C’est que l’on est coupé de ses besoins. Un temps d’arrêt est donc nécessaire pour les cerner.

Marshall Rosenberg, psychologue américain, a fait valoir qu’un besoin n’est jamais une action. C’est un état à atteindre. Par exemple, si nous croyons que notre besoin est de vendre plus de notre pro-duit, nous mettons en évidence une stratégie. Le vrai besoin n’est pas dans l’action de vendre. Il faut donc aller plus loin et se demander quel est le besoin : la rentabilité, la richesse, l’abondance, la visibilité ?

Un bon moyen de cerner ses besoins est de pousser notre réflexion jusqu’au bout avec la question : et si j’ai ça, qu’est-ce que j’aurai alors ? En voici un exemple.

Je veux vendre plus de mon produit. – Et qu’est-ce que j’aurai alors ? – De l’argent – Et qu’est-ce que j’aurai alors ? – Je pourrai payer mes dettes – Et qu’est-ce que j’aurai alors ? – De la rentabilité. – Et alors ? – C’est tout. Mon besoin est donc la ren-tabilité. Maintenant que je sais ce que je veux, je pourrai développer des stratégies pour l’obtenir.

Ce que l’on cherche, c’est toujours de répondre à nos besoins. Si l’on reste en contact avec eux, tout deviendra beaucoup plus facile.

ET QUAND ON NE SAIT PAS CE QUE L'ON CHERCHE

On voit ce que l'on veut voir

C'est une expression, mais aussi la réalité, et une condition médicale bien réelle. En effet, la maladie nommée « scotomie » est un éblouissement subit ou une offuscation (ombre) de la vue. Ce que l'on cherche, on le regarde, mais on ne le voit pas.

Qui n'a pas cherché ce foutu marteau dans l'atelier, alors qu'il était là, droit devant nous ?

Le marteau, quelqu'un finira bien par le trouver, mais qu'en est-il de ces trésors, à peine cachés, sur notre territoire ? Du conjoint de nos rêves ? De toutes ces opportunités d'affaires ou de carrière ? Notre réussite personnelle ou professionnelle ne tient qu'à 20 % d'aspects techniques ou mécaniques, mais à 80 % de psychologie. Mon grand père Paul, véritable héros de son époque et champion vendeur, me le répétait constamment : « Marco, la vente, c'est comme la vie, c'est de la psychologie ». Et il appliquait sa règle chaque jour : il se faisait des amis partout où il passait. Et, sans diplôme, il côtoyait les plus grands du sport et des arts, sans jamais avoir manqué de quoique ce soit.

Il est renversant de constater les pièges que notre cerveau peut nous tendre, nous « blo-quer la vue », lorsque nous sommes concentrés sur un sujet plutôt qu'un autre, ou que nous refusons tout simplement de voir, inconsciemment.

Un ami d'enfance à moi a perdu son père dans un accident d'auto et failli y laisser sa peau alors qu'il n'avait que 14 ans. Il a perdu une année scolaire et surtout, son père. Pourquoi ? Parce que ce dernier a préféré « avoir raison » : passer à gauche sur l'accotement pour dépasser la voiture devant lui qui venait de le couper. « Avoir raison », « gagner », plutôt que d'assurer sa

sécurité et celle des siens. C'est très fort l'ego ! Et, si je veux voir tout noir (une écono-mie affaiblie, une récession, des clients difficiles, un patron qui ne me comprend

pas), eh bien, c'est ce que je vais trouver.Je termine avec une histoire. Un vieil homme passe ses journées au port

de l'île où il habite depuis sa naissance. Un couple débarque de bateau au port où le vieil homme se tient, avant de découvrir leur nouveau village de résidence. Le couple demande au vieux sage : « Monsieur, dites-moi, êtes-vous de ce village ? Oui jeunes gens, j'y ai vécu toute ma vie ». Comment sont les gens ici ? Comment sont les gens du village d'où vous venez ? Ah, ils sont merveilleux...

courtois, respectueux, généreux, pleins de compassion... Eh bien, c'est exactement les gens que vous allez retrouver ici...

Le lendemain, un autre couple venu s'établir sur l'île passe devant l'aîné du village. Ils lui demandent : « Monsieur, dites-moi, êtes-vous de ce village ? Oui mes

chers, j'y ai vécu toute ma vie. Dites-nous, comment sont les gens ici ? Comment sont les gens du village d'où vous venez ? Excécrables... malhonnêtes, têtus, impolis, irrespectueux... Eh bien, c'est exactement les gens que vous allez retrouver ici... »

On voit ce que l'on veut voir. Si vous souhaitez voir plus beau, plus riche, plus payant, il importe de changer votre façon de voir les choses et les choses que vous verrez changeront. Et comme disait le célèbre écrivain américain Henry David Thoreau, « Ce n'est pas ce que vous regardez qui importe, mais ce que vous voyez. »

Marc André MorelConférencier en entreprise & Motivateurwww.marcandremorel.com Jean Rochette

coach personnel, psychologue et psychothérapeute.www.jeanrochette.com

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10 finalistes : Laurence Doire, Sandrine Hamelin, Sarah Lévesque, William Monette, Alyssa Hajj Assaf, Ariane Baribeau, Jeanne Routhier, Rose Provost, Justine Le Blanc Brillon et Mélody Constantin (dans un ordre purement aléatoire)

Cette année, le premier jury sera composé de Joanie Roussel (chanteuse, professeure de chant et deux fois participante à La Voix), d’Etienne Cousineau (chanteur et demi-finaliste à La Voix 2013 et de Élie Dupuis (chanteur et participant à la Voix 2014). Un second jury sera créé pour la finale.

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Les 10 clefs des familles séparées et heureuses

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ATELIER DÉCOUVRIR SES PASSIONS Pour aller à la découverte de soi! Le 14 mai - 450-661-24206455 Doris-Lussier, Boisbriand, J7H 0E8Info et inscription :www.nathaliegeoffroy.com/formation

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être leader de sa vie ! info@nathaliegeoffroy.com

GRANDE FINALE dimanche 21 juin 2015Théâtre Lionel-Groulx 19 hBillets gratuits : 450-434-5275

Jason Guérette, formateur

Andréanne A. Malette,

marraine

Transport original et écolo

Pierre-Luc Lamontagne CO2 Environnement

Bonne nouvelle !Enfin,   plusieurs   municipalités   de   la   couronne   nord   de          Montréal  ont  décidé  de  distribuer  des  bacs  bruns  à  leurs  citoyens,   afin   de   collecter   les   ma8ères   organiques  

Résidus de cuisine - Fruits/légumes- Oeufs et leurs coquilles- Viandes et volailles (incluant os)Résidus de jardin- Plantes, gazon, brindillesAutres- Papiers/cartons d'aliments

souillés- Essuie-tout- Plumes, poils et cheveux

Matières recyclables- Papiers et cartons propres- Métaux, verre, plastiqueOrdures- Couches- Lithière- StyromousseAutres- Jouets, vêtements- vaisselle

Conçue  lors  du  concours  Design  Alcoa  Innovation  au  début  2015,  on  n’a  pas  de  dif?iculté  à  concevoir  que  la  trottinette  KOMBi  ait   remporté   le  Prix  du   jury.  Modulaire,   ses  modes  SOLO,   KARGO,   POUSSETTE   et   REMORQUE   se   changent   au  besoin,   grâce   à   un   principe   d'attache.   On   aime  particulièrement   le  module  poussette,   qui,   décapotable,   se  transforme  pour  aller  faire  ses  courses  au  marché  du  coin.

On  donne10  morceaux  de  robot  aux  créateurs,  les  designers  Charles  Godbout  (  topodesign.ca)  et  Luc  Plante  (lucplantearchitecte.com)  !

kombitrottinette.wordpress.com

Changer le monde…une fleur à la fois!On  achète  des  ,leurs  sans  trop  ré,léchir…Après  tout,  un  bouquet  est  un  bouquet,  non?  Peu  importe  d’où  il  vient…Erreur!  Sierra  Eco  est  un  organisme   qui,   de   par   son   sceau,   assure   une   production   ,lorale  responsable,   tant   pour   la   planète   que   pour   l’humain   qui   travaille  dans  cette  industrie  qui  enjolive  nos  vases.  

Les   éco-­‐,leurs   sont   cultivées   chez  des  producteurs   ayant   fait   l’objet  d’une   véri,ication   indépendante,   con,irmant   qu’ils   satisfont   aux  normes   spéciales   et   environnementales   établies   par   le   programme  d’étiquetage.

Gestion  des  pesticides,  services  de  garde  et  soins  médicaux  pour  les  employés   de   ferme,   standards   de   sécurité,   rémunération   pour   un  niveau  de  vie  acceptable,  encadrement,  sols  propres  et  protection  de  l’eau   potable,   recyclage,   compostage   et  mesures   de   disposition   des  déchets,  etc.  Tout  cela  pour  de  meilleures  conditions  de  travail  et  des  ,leurs  fraîches  et  à  grande  longévité…Si  un  bouquet  de  ,leurs  portant  le  symbole  Sierra  Eco  doit  être  livré  quelque  part  pour  souligner  les  bons  coups,  c’est  bien  chez  eux!

www.sierraeco.com

Merci...Aux  docteures  en  médecine  vétérinaire  

Isabelle  For6er  et  Chris6ne  Parayre  pour  l’aide  apportée  à  Bass,  le  chien  Mira  d’une  résidente  de  Rosemère.  Des  valeurs  que  Partout  Ici  partage  et  véhicule  !  

Pour  supporter  la  mission                    de  MIRA  qui  fait  un  travail                                                                                                          excep6onnel  :  mira.ca

Non !

Oui !résiden8elles.   Les   villes   de   Saint-­‐Joseph-­‐du-­‐Lac,   Sainte-­‐Adèle,  Mirabel  et  plusieurs  autres  vont  de   l’avant  avec  ceEe   ini8a8ve.  Ces   mesures   font   suite   à   une   nouvelle   poli8que   québécoise  visant  à   réduire  de  60%   la  quan8té  de  ma8ères  organiques   se  trouvant   dans   les   bacs   à   ordures   tradi8onnels   (ma8ères  organiques   es8mées   à   44%   des   résidus   générés   par   les  Québécois).   Rappelons   que   ce   qui   est   dommageable   pour  l’environnement,  c’est  l’enfouissement  des  ma8ères  organiques  en  absence  d’air,  qui  ne  génère  pas  uniquement  du  CO2  par  sa  décomposi8on,   mais   aussi   du   méthane,   un   gaz   explosif  contribuant  à  plus  de  23  fois  à  l’effet  de  serre  que  le  dioxyde  de  carbone  (CO2)  provoque.

Pour faire simple, on peut se rappeler que bac brun = compost, donc pas d’enfouissement!

Quand   le   printemps   arrive,   que   la   chaleur  s’installe  doucement,  qu’on  se  «  dépelure  »  au  9il  des  heures,   toute   la  complexité  et   la   force  de   la   nature   humaine   se   déploient.   En  l’espace   de   24   heures,   parfois   moins,   on  change   de   v ibra t ion ,   d ’humeur   e t  étonnamment,  chez  certains,  de  personnalité  !  Le  grognon  fait  place  au  galopin,   la  taciturne  revêt  des  couleurs  pastelles,   les  pantou9lards  ressentent   l’appel   du   dehors…  Le   printemps  éveille   le   besoin   de   bouger,   de   se  mettre   en  mouvement,   de   faire   certains   changements  réfrénés  par  le  froid  et  les  jours  écourtés.    

Le  printemps  appelle  l’implication  dans  la  vie,  dans   SA   vie.   C’est   dans   ce   fond   d’air   pur   et  renouvelé   que   l’on   puise   l’énergie   d’aller   de  l’avant,  de   trouver  des   solutions,  de   combler  les  nids  de  poule  de  notre  chemin  habituel  ou  bien  de  carrément  changer  d’itinéraire!  Cette  saison  d'émergence  est  un  bon  moment  pour  s'interroger   sur   ce   qui   nous   allume.   Quels  sont  nos  rêves,  nos  aspirations,  nos  désirs  et  nos  besoins?  Sur  quoi  repose  notre  bonheur?  Après   des  mois   à   s’être   gelé   le   bout   du   nez,  voilà  le  temps  de  le  mettre  partout,  de  reni9ler  les   ef9luves   qui   nous   offriront   une   foule  d’occasions   de   répondre   à   ces   questions.  Alors,   à   vos   cahiers   d’écriture   et   vos  tablettes   !   Dessinez-­‐vous   une   nouvelle   carte  au   Trésor,   celle   qui   vous   mènera   au   plus  précieux  de  tous…    VOUS  !

Sortir du cadre et toucher les éto i lesAvec  l’âge,  je  suis  devenue  allergique.  À  la  rou7ne  et  au  train-­‐train  

quo7dien.  Ma  zone  de  confort  est  devenue  étroite,  inconfortable  et  asphyxiante.  C’est  pourquoi  j’ai  choisi  de  tourner  à  droite.

J’adore   ceFe   image,   parce  qu’elle   représente   bien   le  chemin  que  nous  empruntons  tous.   Légèrement   à   gauche,  encore   un   peu,   pas   trop   vite.  Pout  !  Pout  !  Pout  !  La  vie...  En  donnant   un   coup   de   roue,   je  me  suis   retrouvée   les  cheveux  au   vent,   les   sourcils   en   accent  circonflexe  et  la  bouche  grande  ouverte,  sur  un  chemin  excitant.  

L'autre  dessin  représente  aussi  très  bien  la  façon  de  voir  la  vie.  Dans  le  cadre,  personne  ne  gagne  au  7c-­‐tac-­‐toe.  Mais,  si   j’ose  meFre  mon  étoile  ailleurs,   je  m’ouvre  à  une  tonne  de  possibilités.  Et  je  vibre  intensément.  Et  je  rajeunis.  Parce  que  je  vis.  Et  si  je  meurs  aujourd’hui  ?  Je  ne  suis  pas  sombre,  bien  au  contraire,  mais  depuis  que  j’ai  changé  ma  ligne  de  vie,  je  peux  mourir  heureuse.  Si  l’Univers  me  réclamait  (trop)  rapidement,  je  pourrais  quiFer  sans  aucun  regret.  Parce  que  j’ai  suivi  ma  pe7te  voix  intérieure,  ma  passion  et  mes  valeurs.  À  lire  des  livres  inspirants,  à  regarder  des  films  qui  me  font  réfléchir,  j’ai  compris  que  je   jouais  à   la  vie  beaucoup  trop  sérieusement.   Donner   un   grand  coup  de  balai  printanier  est  devenu  une   urgence   na7onale   pour  dépoussiérer  le  MOI  tout  joufflu  et  joyeux   qui   aFendait   candidement  que  je  me  reconnecte  à  lui.  En  même  temps,  je  me  suis  branchée  sur  le  220  !

J’aime  m’imaginer  à  90  ans   sur  ma  chaise  berçante,  après  avoir  couru  21  km…  à  me  dire  que  ma  vie  a  été  merveilleuse  et  qu’il  me  reste  sûrement  le  temps  de  2-­‐3  marathons  et  un  tour  du  monde…Parce  que  je  sais  que  je  vais  mourir  à  120  ans....Comment  entrevoir  l’avenir  et  ses  bonheurs  si  on  ne  prend  pas  30  minutes  pour  réfléchir  à  ce  que  nous  voulons  vraiment  ?  Il  n’y  a  pas  d’âge,  de  grandeur,  de  grosseur   ou   de   couleur   pour   réaliser   ses   rêves.   Mais   rien   ne   se   produit   en  claquant  des  doigts...  

Il  faut  parfois  tourner  à  droite.  Ou  a3acher  son  étoile  bien  solidement  sur  son  cœur.

Thérapeute en approche corporelle & Coordonatrice de L'Émergente (sous groupe MV)

Printemps & renouveau

Sonia Tremblay Karine  ChampagneFondatrice  des  MV  et  allumeuse  d'étincelles

Si  le  sport  nous  ramène  à  nous-­‐même  physiquement,  nous  recentre  et  nous  ancre,  l’art,  lui,  nous  permet  de  nous  déposer  en  nous  et  de  prendre  conscience  de  ce  qui  est  là,  dans  l’instant  présent.  Et,  tout  comme  la  médita=on  bouddhiste,  nous  ramène  à  prendre  responsabilité  de  nos  actes,  de  nos  choix,  de  notre  vie.    

C’est  dans  cet  esprit  que  je  vous  propose  un  pe3t  exercice  de  journal  créa3f  avec  ce  désir  de  printemps  qui  nous  habite  tous…Le  printemps  est  le  symbole  du  renouveau.  N’avons-­‐nous   pas   tous   l’envie   de   faire   un   grand   ménage,   autant   intérieur  qu’extérieur   ?   D’aller   de   l’avant   vers   nos   rêves,   nos   objec3fs   ?   Être   soi   plus   que  jamais   ?   Je   vous   invite   donc   à   semer   symboliquement   votre   renouveau   et   que  poussent  vos  rêves  les  plus  fous  !      

Petit atelier de Journal Créatif Dans  des  vieux  magazines,  trouvez  une  image  qui  représente  pour  vous  le  renouveau,  la   renaissance,  un  nouveau  départ,   l’espoir…  Laissez-­‐vous  guider  par  votre  élan  sans  réfléchir   au   pourquoi   ni   au   comment…Vous   aimez   l’image   ?   Elle   est   pour   vous.   La  créa3on   vient   du   chakra   sacré   situé   sous   le   nombril.   Une   fois   votre   image   trouvée,  découpez-­‐la   dans   une   forme   symbolique,   appropriez-­‐vous   la.   Puis,   placez-­‐la   sur   une  feuille  de  papier,  votre  cahier  ou  un  carton.  Tracez  le  contour,  puis  gardez  votre  image  de   côté.   Vous   pouvez   préparer   votre   fond   de   couleur   (prenez   ce   que   vous   avez  :  crayons,   pastels,   etc.).   Dans   votre   forme   tracée,   écrivez  une   mauvaise   habitude   que   vous   voulez   cesser,   un   état  d’être   que   vous   voulez   quiVer   ou   encore,   une   situa3on  

que   vous   souhaitez   transformer.   Bref,   quelque   chose   qui   est   présent   dans   votre   vie   et   dont  vous  voulez  vous  dépar3r,   ici,  maintenant…  Une  fois  cela   fait,  collez  votre   image  choisie  par-­‐dessus  avec  conscience  et  laisser-­‐aller.  Je  vous  invite  à  prendre  le  temps  d’écrire  vos  réflexions,  votre   désir,   vos   rêves     en   lien   avec   ce   nouveau   vous,   plus   vrai   que   jamais,   autour   de   ceVe  image  …  

Amusez-­‐vous  !    Osez  être  soi...N’est-­‐ce  pas  une  belle  façon  de  célébrer  le  printemps  et  la  vie  ?  

jesuismv.com

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Sandra  Michaud  «  Mysho  »,  ar2ste  en  arts  visuels  et  animatrice  du  Journal  Créa2f  cer2fiée.  Ateliers  en  ligne  :  Journal  Créa2f/Peinture  intui2ve/Techniques  mixtes.                                                

Directrice  ar2s2que  des  MV.  

Événements MV à venir !Course  des  femmes  Pharmaprix,  Qc,  23  mai    

Plaines  d'Abraham,  QuébecCourse  des  femmes  Pharmaprix,  Mtl,  14  juin    

Parc  Maisonneuve,  MontréalCourse  MV  La  Galopade30  aout    2015,  St-­‐Esprit

Premier  MV  Bouette  et  Méchoui  !  La  grande  fête  des  MV  :  course  à  obstacles  

13  septembre  2015,  St-­‐Calixte

Les Courses Gourmandes :partenariat pour 4 belles courses !

 P'tit  train  du  nord,  3  juillet  2015    Piedmont- Mont Rolland

 Le  5  et  10km  des  PlagesVenise en Québec 4 sept. 2015

 Demi  Marathon  Bois  de  Belle-­Rivière12 octobre 2015 - Mirabel 

 Demi  Marathon  des  Brasseries8 novembre 2015, Bromont

Inscrivez-­‐vous  avec  nous  !  10%  de  rabais  avec  code  promo  :  10MV2015

Co-fondatrice de la magnifique ligne de vêtements de sport FABLETICS, Kate Hudson est l’actrice toute designée quand on pense santé, mieux-être, forme et vitalité. Avec cette compagnie de sportswear, elle souhaite créer une communauté et un mouvement facilitant une vie active, dans laquelle on accompli ses passions.

www.fabletics.ca

C’est Myriam Côté qui est derrière l’entreprise Myriade Fitness, qui offre différents cours de mise en forme dans la métropole, développés par la comédienne, qui compte parmis les nombreux titres de son CV ceux d’artiste de cirque et de la danse. Multitalentueuse, vous dîtes ?

www.myriam-cote.com/myriade-fitness.html

ROULERENLIGNE.COM est un blogue de sport, de technique et de nutrition consacré au patin à roues

alignées, signé Nathalie Lambert. Quadruple médaillée olympique, chef de mission du Canada pour les Jeux Olympiques de 2010, elle a l’honneur d’être l’éditrice en chef de ce programme.

SPORTS DE STARS

Clara Hughes devient une nouvelle ambassadrice MEC (Mountain Equipment CO-OP) pour le Canada. Ancienne athlète olympique, active en plein air et impliquée dans plusieurs causes, elle souhaite motiver les Québécois à mener une vie active en plein air.

« Les aventures se vivent partout : en grande nature, en milieu urbain ou dans votre voisinage, le week-end, comme en semaine » - Clara Hughes. Pendant plus de 23 ans, Clara Hughes, six fois médaillée olympique aux Jeux d’été en cyclisme et aux Jeux d’hiver en patinage de vitesse, a représenté le Canada autour du monde pendant les JO. À travers les années, elle a fait de la santé mentale son cheval de bataille, et aujourd’hui, elle s’implique également pour encourager les jeunes à profiter des bienfaits de l’activité en grande nature.

Carrie Underwood a lancé Calia, sa ligne de vêtements de fitness en collaboration avec Sporting Goods. Les vêtements d'entraînement sont conçus pour le sport comme l’usage quotidien, que ce soit au travail ou pour la vie de tous les jours ! Carrie, début trentaine, se pas-sionne pour la santé et la forme physique et souhaite encourager les femmes à mener une vie active.

Le yoga a conquis le coeur et le corps de Geneviève Guérard. Première danseuse aux Grands Ballets Canadiens jusqu’en 2006 et bien connue comme animatrice, elle a fondé, avec son associé Erik Giasson, le studio de yoga Wanderlust à Montréal où elle pratique et enseigne. Mention importante pour Érik, co-fondateur, qui a

un parcours de vie ultra inspirant. On souhaite le voir en conférence !

http://montreal.wanderlustyoga.com

Festival Wanderlust à Tremblant cet été : http://wanderlust.com/festivals/tremblant/

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François  Garon  est  formateur,  conférencier,  auteur  et  créateur  du  Code  Donneur

Pensez-­‐y!   C’est   à   peu   près   impossible   de   faire   sa   vie   sans   avoir   à   négocier   avec   d’autres  gens.   Je   vous   dis   ça,   mais   en   réalité,   tout   est   une   quesCon   de   définiCon.   Une   de   mes  définiCons   du   réseautage   est   celle-­‐ci  :   chaque   interacCon   avec   un   autre   individu   est   une  acCon  de  réseautage.  En  ce  sens,  nous  effectuons  du  réseautage   jour  après   jour,  que   l’on  s’en  occupe  ou  non.  Pour  plusieurs,  le  réseautage  se  résume  à  échanger  des  cartes  de  visite  lors   d’un   événement  ou  parCciper   à   un   groupe  de   gens  d’affaires.   Les   événements   et   les  groupes  sont  des  ouCls  de  réseautage  qui  conviennent  à  certains,  mais  pas  nécessairement  à  tout  le  monde.  Ne  pas  parCciper  à  ces  genres  de  rencontres  n’empêche  tout  de  même  pas  à  une  personne  d’affaires  de  se  développer  un  réseau  fort  et  influent.  Le  point  à  retenir  est  l’importance  de  s’occuper  de  son  réseau.  La  vie  d’aujourd’hui  va  très  vite  et  souvent,  mes  clients   admeOent   humblement   ne   pas   réaliser   à   quel   point   ils   négligent   leur   réseau   de  contacts.   Comment   y   remédier?,   me   demandent-­‐ils.   Regardons   quelques   acCons   ou  habitudes   à   prendre   pour   favoriser   votre   réseautage   au   sein   même   en   dehors   des  événements  et  des  groupes.  

                                                                             Soyez  présent  :   nous   sommes   tous  propriétaires  d’appareils   intelligents  et  parfois   j’ai   l’impression  qu’ils  ont  pris   l’intelligence  de   l’uClisateur  pour   le   fabriquer.  Un  courriel  c’est  bien,  un   texto  aussi,  mais  il  n’y  a  encore  rien  de  ces  ouCls  qui  puisse  remplacer  la  chaleur  de  la  voix  d’une  personne  ou  une  rencontre  face  à  face.  J’ai  l’impression  que  certaines  personnes  ne  savent  plus  comment  uCliser  le  téléphone  ou  comment  planifier  une  rencontre.  Ayez  une  a1tude  posi4ve  :  une  aRtude  négaCve  fait   en   sorte   que   les   gens   ne   sont   pas   très   moCvés   à   rester   autour   de   vous.   La   vie   nous   offre  suffisamment   de   défis   qu’il   est   plus   intéressant   de   s’entourer   de   gens   posiCfs.   L’aRtude   c’est  contagieux  et   ça  permet  d’aRrer  des  gens  qui   sont   sur   la  même   longueurd’ondes.  Augmentez   le  niveau  de  confiance  :  à  parCr  du  moment  où   l’on  s’entend  bien  avec  quelqu’un,pour  obtenir   son  aide  ou   sa   collaboraCon,   il   est   important  de   se  démontrer  fiable  et  de   confiance.  Peu   importe   le  niveau  d’experCse  d’un  individu,  si  la  personne  n’est  pas  fiable,  les  gens  ne  feront  pas  confiance.  La  confiance  est  essenCelle  dans  les  relaCons  d’affaires  et  cruciale  si  nous  cherchons  à  développer  un  bon  réseau  de  référencement.  Soyez  généreux  avec  les  gens  autour  de  vous  :  ce  n’est  pas  le  temps  de  faire  preuve  de  parcimonie,  il  y  a  plusieurs  choses  que  l’on  peut  donner  au  sein  de  notre  réseau  :  démontrer   sa   reconnaissance   et   sa   graCtude,   apprendre   à   complimenter,   offrir   du   temps   ou   des  conseils.

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CONNAISSEZ-VOUS TVBL ?La Télévision des Basses-Laurentides (TVBL) est votre télévision régionale. Chaque semaine, plus de 4 heures de programmation originale est créée par les gens d’ici pour les gens d’ici. Un groupe allumé, dynamique, impliqué dans la région et juste assez déjanté pour faire une programmation unique. Venez-nous voir au 09 pour les abonnés Vidéotron !

Pour rester connecté avec votre télé régionale :

FACEBOOK : Vous y découvrirez notre merveilleuse équipe, animateurs, bénévoles. En plus de toutes nos nouveautés, vous pourrez y voir les projets de la télé, les émissions, certains repor-tages et vox-pop. De plus, il s’agit d’un plateau intéressant pour les discussions. Bref, une page Facebook mettant en vedette les gens et organisations des Basses-Laurentides, c’est-à-dire vous.www.facebook.com/TVBL09

LINKEDIN : Réseau professionnel de la Télévision des Basses-Laurentides. Nous sommes suivis par nos partenaires, invités, spé-cialistes, ainsi que par les représentants issus de plusieurs orga-nismes et entreprises de la région.www.linkedin.com/company/tvbl

VIMEO : Vous pourrez visionner nos émissions, certains repor-tages, des vox-pop et toutes nos émissions des saisons antérieures sur Vimeo. Suivez-nous et n’hésitez pas à soumettre vos commentaires sur le contenu de nos émissions.www.vimeo.com/tvbl

La Télévision des Basses-Laurentides

c’est vous !c’est vous !3 500 $ EN PRIX À GAGNER CHAQUE SEMAINE !Le Télé-Bingo des Basses-Laurentides est une activité de financement pour les projets de votre télévision régionale. Procurez-vous un livret dans l’un des 40 points de vente dans les Basses-Laurentides (www.tvbl.ca) et jouez en direct avec nous tous les dimanches matins à 9 h 30. Pour les clients Vidéotron seulement.

Pour tout savoir du Télé-Bingo, aimez notre page Facebook : www.facebook.com/TeleBingoBassesLaurentides

ANNONCEZ CHEZ NOUS !Saviez-vous qu’une publicité télé est beaucoup moins chère que vous ne pouviez le penser ? Pour obtenir nos grilles de tarifs et trouver publicité à votre pied, n’hésitez pas à nous contacter. Notre équipe se fera un plaisir de vous conseiller et de trouver une offre de visibilité adaptée à votre budget !

Pour information contactez : Natacha Brisson au 450.434.5021 ou mediapublicite@tvbl.ca

La Télévision des Basses-Laurentides, le partenaire publicitaire de VOTRE entreprise

Parce que nos vedettes à nous…

LA BONNE NOUVELLE DE LA DIRECTRICE NATACHA BRISSON !

Bonne nouvelle pour les participants de la 4e saison de Carrefour-Capital - Quand l'argent parle ! Dès le 29 avril, l'émission sera diffusée en HD au 609 sur les ondes de MAtv Montréal. Les abonnés Vidéotron de Montréal, Lanaudière, Rive-Sud et Rive-Nord (Laval, Basses-Laurentides) auront donc la chance de découvrir NOS entrepreneurs ! Voici quelques plages de diffusion: Mercredi 10 heures, jeudi 14 heures, vendredi 19 h 30 et dimanche 9 heures. D'ailleurs, plusieurs participants des éditions passées y seront également dans le segment « Que sont-ils devenus ? ». Une belle visibilité pour tous nos participants !

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Essayé pour vous, par Catherine Verdon

Je n’ai pas peur des hauteurs. Au contraire, j’adore. Je pensais que l’expérience Ziptrek à Mont Tremblant n’était rien de si spécial. J’ai été séduite. Vécue l’automne dernier, cette expérience d’environ 4 heures promet de vous faire sortir de votre zone de confort.

À mi-chemin entre un sport et une activité de sensation de liberté, Ziptrek fera monter votre pulsation cardiaque, autant pour l’excitation que la descente procure que pour l’anticipation du premier moment à vous lancer dans le vide vers la 2e plate-forme. Des plate-formes, il y en a 4. Chacune d’elle est accessible par la marche dans des sentiers aménagés en conséquence. Mention spéciale à l’équipe d’instructeurs ultra dynamiques, passionnés, qui sont au moins 50 % de l’excellent moment qu’on a passé. Gros coup de coeur aussi pour le volet éducatif qui entoure l’aventure et l’importance qui a été accordée à l’environnement lors de l’amé-nagement du parcours. Chaque saison doit évidemment proposer une expérience différente pour les couleurs et la température.

En chiffres : 5 tyroliennes, dont 2 mesurent plus d'un km. La distance « ciel-terre » de la descente est de 4 km. Au plus haut point du parcours, on est suspendu à 76 mètres au-dessus du sol (bâtiment de 25 étages !).

www.ziptrek.com/mont-tremblant-canada www.tremblant.ca/fr/activites-et-evenements

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transporteur de

pour nos nombreux reportages cet été !

PRESCRIPTION SPORTIVE ET SANTÉOn le sait, les médecins ont un rôle central dans notre vie et notre santé. Doré-navant, les 8000 médecins omnipraticiens, associés au Grand défi Pierre Lavoie, pourront prescrire l'activité physique à leurs patients. Plusieurs qualifient ce par-tenariat d'historique et nous aussi! Le futur nous renseignera sur les impacts positifs d'une telle décision...

À suivre.

Soins  énergé+ques  individuels:  Reiki,  Tzifa,  Quantum-­‐touch.                                                                                                                                                                                                          Cours  de  Technique  Nadeau  actualisés  avec  mouvements  de  Qi  Gong,  médita+on  et  relaxa+on  en  août  2015.                                                                                                                                                                Forma+on  Reiki  Usui  et  introduc+on  à  d'autres  techniques  énergé+ques  en  octobre  2015.

'' Vous ne pouvez développer un véritable talent que pour ce que vous aimez. Ne faites pas de l'argent votre objectif. Abonnez-vous plutôt à ce que vous

aimez faire et faites-le, si bien que les gens ne

pourront vous quitter des yeux. '' Maya Angelou

Informa+ons438-­‐931-­‐9848  450-­‐420-­‐1203

Studio La ReconnaissanceL'Art-Tisane de lumière

Carole Bergeronwww.tzifa-carolebergeron.com

www.facebook.com/MaitreTzifaCaroleBergeron

''Vous   ne   vous   postez   pas   devant   vore   miroir   avant  d’aller  courir  à  vous  demander  ce  que  la  route  pensera  de   votre   survêtement.   Vous   n’avez   pas   à   écouter   ses  blagues  et  faire  semblant  de  rire  pour  courir  dessus.  Ce  ne  serait  pas  plus  facile  de  courir  si  vous  étiez  habillée  plus   sexy.  La   route  ne   le   remarque  pas   si   vous  n’avez  pas  mis  de  rouge  à  lèvres.  Elle  se  moque  de  votre  âge.  Vous   ne   vous   sentez   pas   du   tout   embarrassée   parce  que  vous  faites  plus  d’argent  que  la  route  et  vous  pouvez  lui  rendre  visite  chaque   fois  que  vous  en  avez  envie   ;  que  ça   fasse  une   journée,  ou  même  simplement  quelques  heures  que  vous  l’avez  vue.  La  seule  et  unique  chose  qui  importe,  c’est  que  vous  lui  rendiez  visite  de  temps  en  temps.  Nike,  on  ne  joue  pas  de  jeux,  que  des  sports.''

No  game,  just  sports

C’est   certainement   un   de  mes   extraits  de   0ilm   favoris!   Et   je   ne   parle   pas  d’avoir   envie   de   courir   après   Mel  Gibson.   Non.   Je   parle   de   ce   pitch   de  vente   que   son   personnage   fait   pour  NIKE,  alors  qu’il  est  doté  de  la  capacité  à  entrer  dans  la  tête  des  femmes.  Si  ce  concept   ne   vous   donne   pas   envie   de  s a u t e r   d a n s   v o s   g o d a s s e s… .                      (Catherine  Verdon)

Aller  courir  demande  parfois  un  minimum  de  trucs  à  transporter  :  clés  de  la  maison  et  IPOD  ou  machin  du  genre.  J’ai  beaucoup  aimé  le  FlipBelt  pour  

mettre  tous  mes  items,  qui  n’encombre  pas  mes  poignets  ou  les  poches  de  mon  

survêtement.  Ami  de  la  laveuse/sécheuse,  son  look  rappelle  les  bandes  de  taille  de  certains  pantalons.  Pour  le  sport,  le  voyage,  la  marche  ou  les  journées  au  

marché  pour  avoir  les  mains  libres  et  nos  cartes  et  clés  en  sécurité.  

Ulipbelt.comUn livre pour celles qui aiment refaire le monde entre copines, avec comme trame de fond un

thème qui vous rejoindra : se trouver un défi.

Ce livre-tableau-de-buts fait entre autres place à la course, mais pas besoin d'aimer les foulées pour apprécier ce roman léger qui vous fera décrocher un moment. Et malgré son titre, essayez-donc de le lire en profitant du moment présent!

On la veut !Une pièce de la nouvelle

collection LOLË. JUN amie LOLË

Faubourg Boisbriand

lire s!s un arbr"..

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Grâce à l'implication de l'ensemble de ses membres, présidé par Christine Marcotte, la fondatrice et instigatrice de ce regroupement, le Réseau des Mères en Affaires est un véritable succès !

Grand Montréal, Mauricie, Laurentides, Montérégie, Québec et Outaouais. Très bientôt, d'autres clans s'ajouteront.

Cette organisation décentralisée permet à chaque adhérente d'identifier et de rencontrer d'autres femmes près de chez elle, partageant une réalité commune associant les mêmes problématiques : « être des mamans entrepreneures et s'épa-nouir ». Du côté des Laurentides, Cyndie Drolet, la vice-présidente du clan, est toujours disponible pour vos questions, suggestions et commentaires !

POURQUOI CHOISIR LE RMA ? • Affinités, compréhension, entraide et soutient;

• L'abonnement non-obligatoire pour assister aux activités mensuelles et annuelles;

• Horaires flexibles pour la réalité de la mère en affaires : 7 @ 9 et brunchs, pour briser l'isolement;

• Visibilité pour vos entreprises dans différents médias;

• Tarif spécial pour nos activités annuelles (Colloque annuel, Gala reconnaissance, Pique-nique familial, etc.) et nos formations et conférences mensuelles;

• Être partenaire, commanditaire, intervenante, formatrice ou conférencière du RMA;

• Le côté humain, mis à l'avant-plan;

• Une direction à l'écoute de sa communauté pour leurs idées de formations, conférences et rencontres;

• Le plaisir de se retrouver et de prendre une pause de notre role de maman.

Cyndie Drolet, VP Laurentideswww.signecyndie.comChristine Marcotte, Présidente et fondatricemademoiselleenboite.cawww.reseaumeresaffaires.com

Symposium de peinture de Sainte-Rose, 23 au 26 juillet 2015

Symposium de peinture à la gare de Prévost, 29 juillet au 2 août 2015

Festival de peinture à Mascouche, 5 au 7 septembre 2015

La route des arts – Basses-Laurentides & Argenteuil, 11 juillet au 19 juillet

L’été des métiers d’art à Sainte-Agathe-des-Monts, 4 septembre au 6 septembre

UNE ORGANISATION SOUPLEQUI DONNE LA PLACEAUX INITIATIVES DE CHACUNE !

RENDEZ-VOUS avec les arts !

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Claude SurprenantDéputé de Groulx

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C o n f e c t i o n

s u r m e s u r e

B a l

É v è n e m e n t

M a r i a g e

Parler, c'est communiquer. Nous sommes dans un monde tourné vers la communication, mais il est difficile de se faire entendre et comprendre. Pour différentes raisons, les mots nous échappent et peuvent être destructeurs de liens sociaux.La « pollution sonore » désigne les effets de bruits qui ont des conséquences sur la santé des gens, tant une nuisance momentanée que des troubles plus graves.À environ 1 mètre de distance, le bruit de réfrigéateur ou climatiseur peut être qualifié de confortable. L’aspirateur, le traffic urbain et le séchoir à cheveux sont incommodants. La tondeuse serait quant à elle stressante. Les discothèques et sirènes d’ambulances se res-sentent dans le corps. À proximité d’un avion à réaction, on ressent une douleur à l'oreille et le traumatisme serait irreversible.

1 bruit, 2 bruitsBruits de voisinage (disputes, travaux de bricolage, animaux, etc.), d’activités sportives ou culturelles (terrains de sport, circuits de course, etc.), livraisons, restaurants, etc. Grosso modo, on peut dire que le son commence à être pénible à partir de 75 dB et qu'il est dangereux à partir de 85 dB.

Effets du bruit sur la santé- Surdité ou perte importante d'acuité auditive - Fatigue, irritabilité - Problèmes de sommeil- Augmentation de la tension artérielle - Modifications du comportement, telle l’agressivité

*source : Ministère de la Santé

Être présent à ce que l’autre a à nous raconter, c’est être animé du désir d’échanger des mots et entretenir une conversation. L’écoute est souvent synonyme d’apprendre, nous motive à aller de l’avant, à vouloir profiter de ce que la vie peut nous offrir.Écouter peut aussi référer à nos propres pensées, ces idées qui nous font découvrir qui nous sommes. L’écoute nous donne l’occasion de comprendre la vie des gens ainsi que la nôtre. Dans cet état d’esprit, prendre le temps d’être à l’écoute de l’autre est précieux. Le senti-ment d’être écouté, aimé, apprécié, respecté que l’on offre nous est retourné au centuple. L’écoute est un art, mais sans y mettre un peu de nous, rien n’a de sens. La prochaine fois que vous serez à l’écoute, demandez-vous si vous écoutez pour entendre ou si vous êtes habité du désir de l’écoute !

LOUISE PHILIBERT, Thérapeute en ré-éducation auditive comportementaleMaison Audi-Son 514.213.8071www.maisonaudison.com (en construction)

Mots et maux

LE DÉSIR DE L’ÉCOUTE

Au plaisir de faire équipe avec vous dans votre bien-

être intérieur !

Christelle Geneau

Vous voulez : Améliorer votre estime personnelle ? Cesser des habitudes néfastes ? Reconnecter avec votre sagesse intérieure ?

Augmenter votre confiance en vous ? Avoir une vision plus positive sur la vie ?

En pratique privée depuis plus de 20 ans, j’offre des séances individuelles et personnalisées afin de vous guider vers une vie plus équilibrée et épanouie.

www.christellegeneau.com (450) 437-8112

Hypnothérapeute, Coach de vie, Maître praticienne en Programmation Neuro-Linguistique, Enseignante certifiée de l’Institut d’Ennéagramme de New York.

29PARTOUTICI.COM

Jacques Aubin est un conférencier et coureur dont la réputation n’est plus à faire. Pour moi, il est aussi synonyme de wake-up call. Rencontre avec cet inspirant sportif dont je cite très souvent la phrase fétiche : « Demain, c’était hier. »

« DEMAIN, C’ÉTAIT HIER » EST UNE PHRASE QUI PARLE BEAUCOUP. D’OÙ VIENT CE DÉCLIC POUR TOI ? Ce message a toujours été là, mais avant, je ne l’écoutais pas. En affaires, il était là. Vas plus loin et tu vas réussir. Dans le cas de ma perte de poids, il fallait que j’aille jusqu’au bout.

C’EST UNE FAÇON DE SE REMETTRE SOI-MÊME À DEMAIN, DONC DE FAIRE L’AUTRUCHE AU MOMENT PRÉSENT ?Oui, en général, les gens reportent à demain ce qu’ils ne veulent pas faire au-jourd’hui, par incapacité d’engagements. Nous ne sommes pas dans une période d’engagement. Les gens prennent des rendez-vous et ne se pointent pas. Si tu prends un rendez-vous avec moi demain, vas-tu être là ? Alors, pourquoi ne prends tu pas un rendez-vous avec toi ? Ton nom n’est pas dans ton agenda, par contre, ton chien l’est. Ta maison, ton char, tout est là. Prends donc un rendez-vous avec toi. Accorde-toi une demi-heure.

CROIS-TU QU’ON A DE LA DIFFICULTÉ AVEC NOS VALEURS ?Il y a plein de valeurs que les gens négligent. Ils ont la perception qu’ils vont avoir le temps de corriger les choses. Je vais faire cela quand je serai à la retraite. Rendu à la retraite, ils sont en marchette. Ils ont beaucoup d’argent dans leurs comptes de banque, mais pas de loisir dans leur vie.

CROIS-TU QU’ON DOIVE FRAPPER UN MUR POUR AGIR ?On pense qu’on pourra corriger plus tard. Nous mettons 30 ans dans notre vie à bâtir des mauvaises habitudes, mais en deux semaines, nous aimerions qu’elles disparaissent. Il faut investir du temps.

C’EST UNE QUESTION DE MOTIVATION ? On perd la motivation parce qu’on ne fait pas d’activité physique. Il ne faut pas se concentrer seulement sur ce que nous mangeons, qui est 80 % de la recette gagnante. Qu’avons-nous besoin dans l’assiette pour se rendre au prochain re-pas ? Avons-nous besoins de manger comme un Dinosaure, sachant qu’il y aura une autre assiette dans quatre heures ?

LE MANQUE DE TEMPS EST UN GROS PROBLÈME POUR TOUS. CROIS-TU QUE L’HEURE DU LUNCH EST UN BON MOMENT POUR L’ACTIVITÉ ? C’est sans doute une solution gagnante, qui divise la journée en deux. En général, cela devrait te réénergiser, il te sera plus facile de finir la journée et tu vas être fière de toi. L’estime de soi dans cette démarche est importante. Quand les gens commencent à le faire, ils se demandent pourquoi ils se sont privés de cela si longtemps. Encore une fois, les gens qui débarquent du processus, c’est parce qu’ils pensent que tout va changer en une semaine.

« Le temps arrive où des compagnies vont se faire voler des employés parce qu’ils auront des installations sportives à offrir. Un gym, des douches, un rack à vélo. Ces compagnies vont avoir des employés de meilleure qualité. Un employé en forme est un employé avec une tête saine, il est dynamique et sera plus productif qu’un autre. »

QUEL LIEN FAIS-TU AVEC LA DISCIPLINE QUE DEMANDE UNE ROUTINE D’ACTIVITÉ ET LA QUALITÉ D’UN EMPLOYÉ ? Le discipliné qui s’entraîne a déjà ça dans ses valeurs, reçues de deux parents qui viennent de milieux différents. Parfois, on met cela de coté : on étudie, on tra-vaille, on tombe en amour, on découvre les plaisirs de la vie, l’alcool, la cigarette. On commence à mal manger, on cesse de s’occuper de soi. À un moment donné dans ta vie, tu retrouves la discipline que tu avais mise de coté. C’est là que ca commence, avec 5 minutes, puis 10, et ça devient un mode de vie, une discipline. Encore un fois : Engagement. J’ai longtemps fait des promesses à mes enfants que je prendrais soin de moi. Un jour, je l’ai tenu. La fierté qui s’en découle est là pour toujours après. J’ai fait copier-coller. Tout le monde a au moins une réussite dans sa vie. Regarde comment tu as fait, puis fais du copier-coller. Pour l’amour, les amis, le business, l’entraînement.

TU DIRAIS QUOI SUR SE LAISSER ALLER ? CROIS-TU QUE LE MANQUE DE DISCIPLINE EST INDICATEUR DE QUELQUE CHOSE D’AUTRE ?Dans tout être humain, il y a des choses cachées, qui font qu’on s’auto-sabote. Si j’ai mangé du bacon ce matin et que je prends un beigne ce soir, ce n’est pas grave, car ma journée était scrapée de toute manière. Dans ce protocole mental, il y a de l’auto-sabotage. Quelque chose fait mal à l’intérieur et ils font semblant de s’en foutre. Moi, quand je prenais du poids, quelque chose à l’intérieur de moi faisait mal et je le cachais. J’étais le gros gars fort, pas d’émotions, qui cache tout. Parce que j’avais été blessé. Il y a plein de gens comme cela, affectés par des petites choses qui ont pris tellement de place et ne s’en rendent même plus compte. Mais c’est là en permanence et ils s’auto-sabotent.

QUELLE EST LA MEILLEURE FAÇON DE DÉCOUVRIR CE QUI EST CACHÉ EN SOI ?Premièrement, il faut admettre qu’il y a peut-être quelque chose et deuxième-ment, l’analyser, si nous sommes capable de le faire. Sinon, il y a des spécialistes.

PARLE-MOI DU DÉFI ENTREPRISE ? TU TE VOIS OÙ DANS QUELQUES ANNÉES ? C’est le meilleur outil qui m’a été donné pour accomplir ma mission : mettre les gens dans l’activité physique. Embarquez, vivez le. C’est 100,000 personnes que je veux amener dans la rue dans 5 ans, qui vont rayonner sur 500,000 personnes, indirectement touchées familialement par l’action de gens qui se mettre à l’acti-vité physique. On crée des formateurs en course à pied, car nous ne voulons pas que ce soit juste une vague, mais une habitude dans la vie des gens.

QUEL EST LE PLUS GROS DÉFI QUE TU AS EU À RELEVER ?M’aimer. M’aimer assez pour reprendre le contrôle de ma vie. Je viens de passer 5 ans difficiles. Cela a crée beaucoup d’insécurité, mais pour les autres, car j’ai tou-jours eu confiance que le tout se replacerait. Quand j’ai commencé à raconter ma vie en conférence, c’était comme une thérapie, pendant cinq ans. Je suis content, car aujourd’hui, je suis un meilleur être humain. Et je serai meilleur dans 5 ans.

ENTREVUEJACQUES AUBIN :EXCELLENCE HUMAINE EN COURS...

Par Catherine Verdon

30 PARTOUTICI.COM

Une quinzaine d'années les séparent, mais l'amitié, l'admiration mutuelle et une passion commune les garde liées. Sophie Pelletier-Roy a rencontré Jacqueline Gareau, son modèle d'inspiration, suite à une référence de son chiro pour apprendre à courir. « Et c’est quand même intimidant la première fois qu’elle ouvre la porte. Jacqueline est une icône de la course à pied ». Nous sommes allées fouiller dans les secrets de deux marathoniennes de chez nous pour propager l'inspiration.

Jacqueline GareauAthlète de niveau international (1978 à 1990) en marathon. Seule Québécoise à avoir gagné le prestigieux Marathon de Boston. A reçu en 2000 le titre de la « Marathonienne du XXe siècle au Canada ». Massothérapeute et conférencière.

Sophie Pelletier RoyMarathonienne, maman de 4 enfants, entrepreneure.Fondatrice de Croque ta vie www.croquetavie.com

Qu'est-ce que ça représente, dans ce domaine, de gagner un marathon ?

J : C’est spécial, surtout pour Boston, qui a plus de 100 ans, car c’est prestigieux. C’est comme Wimbledon au tennis.

Qu'est-ce qui fait un bon marathonien ? La technique ? L’endurance ?

J : L’entraînement fait qu’une personne peut arriver à faire 42 km. Il y a beaucoup d’entraînement en distance et en endurance; la vitesse ne compte pas beaucoup. La discipline, la persévérance, et aussi être intelligent dans la manière dont tu t’en-traînes, pour arriver au jour J sans être blessé. La discipline aussi veut dire faire les choses quand c’est le temps.

Est-on plus fort mentalement que ceux qui abandonnent ? Est-ce qu’un marathon, c’est plus mental que physique ?

J : Pas nécessairement plus fort mentalement, mais mieux préparé. Et ce qui fait qu’on ne frappe pas un mur, aussi, c’est de ne pas partir trop vite, comme le lièvre et la tortue. Tu ne cours pas comme si tu faisais un 5 km.

Sophie, tu as 4 enfants, comment fais-tu pour concilier tout ça ?

S : C'est un besoin pour être heureuse, ce qui me permet de tout faire, alors je peux dire que c’est un bon investissement. J : Tu dois mettre la course dans ton horaire, et c’est possible, mais pas toujours évident. Il faut faire des concessions et Sophie en fait. Elle gère très bien cela. Bravo !

Comment vivez-vous, Jacqueline, le fait d’être un modèle pour plusieurs personnes, comme Sophie ?

J : Quand je reçois des compliments après un massage que je donne, c’est agréable. Les gens sont contents de ne plus avoir de bobos. J’ai toujours été dans la modestie. J’ai réussi à cause de mon talent que Dieu a bien voulu me donner. J’ai aussi eu la discipline et la persévérance. À 21 ans, je fumais et je voulais arrêter. Je pensais à ma santé. J’ai commencé à marcher, puis courir, tous les jours, de bonnes distances. J’ai connu le kick de l’endorphine lorsque je partais du bas et j’arrivais en haut du Mont Royal. J’avais un sentiment euphorique, de plaisir. Par la suite, je n’ai pas voulu arrêter. Plus tard, j’ai ajouté du vélo et aussi du ski de fond. C’est là que j’ai compris que j’avais de l’endurance.

Votre corps vous a donné des leçons ?

J : D’être à l’écoute. D’Ailleurs, c’est le titre de mes conférences : L’Équilibre pour une Santé Globale. Chaque fois que j’ai eu des pépins ou que j’ai manqué mon coup, c’est parce que je n’étais pas à l’écoute. S’entraîner avec des gros rhumes, à tous-ser ses poumons, penser qu’on doit s’entraîner quand même parce qu’on n’a pas le temps. On a toujours du temps si on s’en donne pour se reposer. Il faut écouter son corps. On ne peut pas courir tout le temps, en étant blessé, en compensant. On va se faire d’autres problèmes. J’ai fait toutes ces erreurs. C’est ce que j’aime dire aux gens. Comme massothérapeute, c’est probablement ma force. J’ai moi-même vécu ces expériences, mes doigts savent. Je suis un peu psychologue, je travaille au niveau de l’énergie, car le corps, le cœur émotionnel et le mental vont tous ensemble. S : Tu ne peux rien cacher à Jacqueline… Je pense que la course m’a amenée où je suis présentement, qu’elle y est pour beaucoup et me permet de tout concilier ce que je fais. Quand je vais courir, cela replace mes idées. Tout devient clair. Je me dis parfois : pourquoi je n’y suis pas allée avant ?

Pouvons-nous bien performer dans la course à pied sans une hygiène de vie ? Mangez-vous de la poutine ? Buvez-vous de l’alcool ?

S : Pas moi.J : Il faut bien manger. J’aime beaucoup les légumes. Mais j’aime aussi parfois une bière avec mon pop-corn. Rien en excès. L’excès nous rattrape. Les organes, les ten-sions… le corps nous parle, nous dit. Notre corps va bloquer, comme des barrages de castors. Nous sommes faits de rivières (méridiens d’énergie) : s’il y a barrage, il y a un problème, malaise, ou même maladie. Qui peut aussi être dû au stress ou à la colère. Tout va ensemble, alors il faut être à l’écoute. Il faut être en équilibre pour courir sans avoir de problème.

On crée ce que l’on veut. Quand on veut un bel environnement, on se le crée par notre manière d’être. Nous devons guider nos enfants. Pas seulement leur dire quoi faire. Il faut le faire avec eux et être des modèles. Tout cela fait boule de neige et ça fait une meilleure société. - Jacqueline

Est-ce qu’il y a des choses que vous aimeriez que les gens sachent sur vous ?

S : Nous sommes des personnes normales. On a aussi des journées poches !J : Moi, j’adorerais chanter. Je le fais chez moi ! J’ai aussi toujours voulu faire de la musique. J’ai juste 61 ans. Encore plein de temps. Les gens savent qu’avec l’âge, j’aime parler et dire ce que je ressens. Ça déplaît à certains. Mon intuition dit la bonne chose. Je trouve des tensions, qui sont des accumulations. Le stress… en avoir plein le dos, etc.S : Mes nouvelles rencontres me font penser à garder mon équilibre et m’apportent plein de nouvelles connaissances. Les moments où je vais voir mes amies qui ont des expertises, comme Jacqueline, sont les moments où je m’arrête. J : J’ai fait le choix d’arrêter mon emploi pour prendre plus de temps pour courir. J’ai laissé mon travail d’inhalothérapeute. C’est pas évident, tu perds une sécurité d’emploi. Aujourd’hui, je sens que je suis utile. C’était ma mission de vie.

EFFICACITÉ DE LA FOULÉE« J'ai complété mon premier marathon en 3 h 44. Mon meilleur temps est 2 h 29. En 1984, le marathon est entré aux Olympiques, l’année où j’y suis allée. J’ai manqué mon coup. J’ai dû arrêter pendant la course pour un trouble musculaire. J’ai eu une petite déprime, mais je me suis reprise 6 mois plus tard avec un temps en bas de 2 h 30 ».

C’est peut-être possible, mais c’est trop difficile.

C’est peut-être difficile, mais c’est possible.

Propos recueillis par Catherine Verdon et Julie Niquette

signé Le Blanc Home Staging / vol 1 Mai 2015

vivre | vendre | vendre | vivre

Organisatrice d’intérieur

Curb Appeal

DIY: le plastique devient béton!

+

+

Le tout premier et le seul magazine dédié à la mise en valeur de propriété !

Oh my God! Je n’ai pas d’autres mots…

Qu’est-ce que je fais ici, pour l’Amour de Dieu, comme dirait ma grand-mère Berthe, à signer un éditorial ?

Je me sens envahie d’une sorte de sentiment d’imposteur. Mais, en même temps, mon désir de partager ma passion et ma folie l’emporte haut la main sur mes doutes ! Alors, comme je l’ai toujours fait, je fonce droit devant avec humilité et ouverture, en écoutant ma petite voix intérieure qui dit toujours : fais confiance!

Home Magazine représente pour moi la suite logique de ma pratique en Home Staging. Et, pour crystaliser le projet, je l’ai inscrit sur mon « tableau de réalisations 2015 ». J’étais très intéressée par le modèle d’affaires du magazine Partout Ici et je devais, voulais, souhaitais rencontrer la femme derrière, l’éditrice et rédactrice passionnée, Catherine Verdon. Je remercie d’ailleurs au passage mon ami Jacques Hébert de nous avoir mises en contact.

J’ai donc rencontré Catherine début 2015 et j’ai tout de suite été enchantée par son énergie, son ouverture et son tout ! Le truc, c’est qu’il me fallait trouver du temps pour intégrer ce

projet à mon horaire qui, disons-le, est un feu roulant ! Échanges de courriels, proposition, et me voilà ici. Je n’ai pas de mots… Merci la vie, merci Catherine Verdon!

Je pratique la mise en valeur de propriété depuis 2006. J’ai formé, tant au Québec qu’en France, des centaines de personnes aspirantes Stager. J’ai stagé, aménagé, relooké, bricolé… À Montréal, sur la rive-sud, la rive-nord, en France aussi, et maintenant, j’ai envie de partager avec qui le veut bien le fruit de l’expérience acquise. J’ai à cœur de faire valoir cette profession de Stager qui est la mienne. D’échanger trucs et astuces, codes de couleurs, petites boutiques « made in » ici, de discuter de flip immobilier, de rénos pour petit budget, bref, tout ce qui touche nos lieux de vie, et ce, autant pour vendre que pour vivre. Je rêve maintenant secrètement que vous m’écrirez, me partagerez votre passion pour l’immobilier et la déco. L’appel est lancé. Quant à moi, prête, pas prête, j’y vais!

mon premier

Marie-Josée LeblancStyliste sénior

Présidente fondatrice deLe Blanc Home Staging

édito...

Bonne lecture !

MjDirectrice du Home Magazine

Vous avez des commentaires, des idées, des questions ? Écrivez-moi ! Ce sera un grand plaisir de vous lire et

de partager nos passions.

homemagazine@leblanchomestaging.com

La Maison Conteneur

nombre!EN GENRE ET EN

HOME STAGING | RELOOKING | COACHING | HOME ORGANIZING

N’en déplaise à l’Office québécois de la langue française, tous ces « ing » font partie du jargon des initiés et amateurs de tout ce qui touche de près ou de loin au Home. Il y a, pour chacun de ces « ing », une équivalence en français, ainsi qu’une spécialisation propre à chacun des métiers.

La Maison Conteneur, vous connaissez ? Ce projet, né en novembre 2013, est plus qu’un travail d’entrepreneur. Ça relève d’une vision audacieuse, inspirante et innovatrice.

Mise en valeur de propriété HOME STAGING

Ensemble de techniques et d’applications qui visent à mettre de l’avant le plein potentiel de revente de tout type de propriété, avec un minimum d’investissement. L’objectif? En faire un produit destiné à une clientèle ciblée, pour une mise en marché efficace de laquelle résultera une vente accélérée et au meilleur prix du marché, malgré ses fluctuations. La mission? Récupérer la pleine valeur du patrimoine immobilier pour le propriétaire/vendeur.

RelookéRELOOKING / MAKE OVER

Le relooking évite, à priori, d’avoir recours à des élaborations, des confections ou des fabrications « sur mesure ». Le relooking favorise le recyclage, l’adaptation et la modernisation des meubles et d’objets qui occupent nos lieux de vie. Pas étonnant de voir apparaître des émissions, blogues et sites internet entièrement dédiés au DIY ( Do It Yourself ) ou en français, « bricolage à faire soi-même ». Le but est de renouveler, rafraîchir, retaper, bref, relooker !

Coach COACHING

Le coach déco travai l le à développer des concepts de décoration avec son client, qui lui, cherche essentiellement à se faire encadrer et à valider ses choix. Le client souhaite être guidé et rassuré. Le coach déco donne les indications, alors que le client applique et met la main à la pâte.

EST-CE QUE LA VIE DANS UNE MAISON CONTENEUR DEMANDE UNE ADAPTATION ?Non, du tout, c'est une maison comme une autre pour y vivre.

BEAUCOUP DE CURIEUX S’ARRÊTENT DEVANT CHEZ TOI ?Oui, encore aujourd’hui. Beaucoup de curiosité, autant de gens qui

passent devant qu’aux appels provenant de partout dans le monde pour des questions sur l e s p r o j e t s d e m a i s o n s conteneurs. Ça m'a d'ailleurs beaucoup surprise.

ENTREPRENEURE , VISIONNAIRE ET SURTOUT PIONNIÈRE, QUELLE ÉTAIT TA MOTIVATION EN FAISANT CE PROJET ?

Un défi personnel, un désir de création, une carte blanche ! Un désir d'innover, car cela fait partie de ma vision d'affaires en entreprise.

SI TU DEVAIS RECOMMENCER ?

Je changerais quelques principes de construction. D'ailleurs, nous avons élaboré un plus petit modèle, moins dispendieux, sous d'autres principes.

Rencontre avec Claudie DubreuilPrésidente, Collectiondubreuil.com

Consultez le h�p://passerelle.centris.ca pour la fiche d’inscription complète. MLS : 23609392

DE NOUVEAUX PROJETS POUR 2015 ?

Une nouvelle maison modèle, LE LITCHI, à MIRABEL, avec une salle de bain digne d'un grand hôtel, l’utilisation de métaux cuivrés et un immense salon au look masculin style ''man cave’’.

Organisateur d’intérieur HOME ORGANIZING

L'organisateur d'intérieur, son nom l’indique, est le spécialiste du rangement, de l’ordre et surtout, de l'organisation! Son rôle est d’accompagner  le client à développer ses propres capacités à garder organisé son lieu de vie ou de travail .

ÇA PROMET !

La Maison Conteneur

nombre!EN GENRE ET EN

HOME STAGING | RELOOKING | COACHING | HOME ORGANIZING

N’en déplaise à l’Office québécois de la langue française, tous ces « ing » font partie du jargon des initiés et amateurs de tout ce qui touche de près ou de loin au Home. Il y a, pour chacun de ces « ing », une équivalence en français, ainsi qu’une spécialisation propre à chacun des métiers.

La Maison Conteneur, vous connaissez ? Ce projet, né en novembre 2013, est plus qu’un travail d’entrepreneur. Ça relève d’une vision audacieuse, inspirante et innovatrice.

Mise en valeur de propriété HOME STAGING

Ensemble de techniques et d’applications qui visent à mettre de l’avant le plein potentiel de revente de tout type de propriété, avec un minimum d’investissement. L’objectif? En faire un produit destiné à une clientèle ciblée, pour une mise en marché efficace de laquelle résultera une vente accélérée et au meilleur prix du marché, malgré ses fluctuations. La mission? Récupérer la pleine valeur du patrimoine immobilier pour le propriétaire/vendeur.

RelookéRELOOKING / MAKE OVER

Le relooking évite, à priori, d’avoir recours à des élaborations, des confections ou des fabrications « sur mesure ». Le relooking favorise le recyclage, l’adaptation et la modernisation des meubles et d’objets qui occupent nos lieux de vie. Pas étonnant de voir apparaître des émissions, blogues et sites internet entièrement dédiés au DIY ( Do It Yourself ) ou en français, « bricolage à faire soi-même ». Le but est de renouveler, rafraîchir, retaper, bref, relooker !

Coach COACHING

Le coach déco travai l le à développer des concepts de décoration avec son client, qui lui, cherche essentiellement à se faire encadrer et à valider ses choix. Le client souhaite être guidé et rassuré. Le coach déco donne les indications, alors que le client applique et met la main à la pâte.

EST-CE QUE LA VIE DANS UNE MAISON CONTENEUR DEMANDE UNE ADAPTATION ?Non, du tout, c'est une maison comme une autre pour y vivre.

BEAUCOUP DE CURIEUX S’ARRÊTENT DEVANT CHEZ TOI ?Oui, encore aujourd’hui. Beaucoup de curiosité, autant de gens qui

passent devant qu’aux appels provenant de partout dans le monde pour des questions sur l e s p r o j e t s d e m a i s o n s conteneurs. Ça m'a d'ailleurs beaucoup surprise.

ENTREPRENEURE , VISIONNAIRE ET SURTOUT PIONNIÈRE, QUELLE ÉTAIT TA MOTIVATION EN FAISANT CE PROJET ?

Un défi personnel, un désir de création, une carte blanche ! Un désir d'innover, car cela fait partie de ma vision d'affaires en entreprise.

SI TU DEVAIS RECOMMENCER ?

Je changerais quelques principes de construction. D'ailleurs, nous avons élaboré un plus petit modèle, moins dispendieux, sous d'autres principes.

Rencontre avec Claudie DubreuilPrésidente, Collectiondubreuil.com

Consultez le h�p://passerelle.centris.ca pour la fiche d’inscription complète. MLS : 23609392

DE NOUVEAUX PROJETS POUR 2015 ?

Une nouvelle maison modèle, LE LITCHI, à MIRABEL, avec une salle de bain digne d'un grand hôtel, l’utilisation de métaux cuivrés et un immense salon au look masculin style ''man cave’’.

Organisateur d’intérieur HOME ORGANIZING

L'organisateur d'intérieur, son nom l’indique, est le spécialiste du rangement, de l’ordre et surtout, de l'organisation! Son rôle est d’accompagner  le client à développer ses propres capacités à garder organisé son lieu de vie ou de travail .

ÇA PROMET !

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Votre propriété affiche à vendre. Mais depuis l’installation de la pancarte qui l’indique, ah comme la neige a neigé ! Après une hibernation qui n’en finit plus, dès les premiers signes de printemps, on se précipite dehors. Savez-vous que l’extérieur, le balcon du condo ou la terrasse du bungalow représentent une valeur ajoutée pour la revente ? Nos petits ou grands espaces extérieurs deviennent le prolongement de nos habitations. On y prend notre café, y jardine, s’y installe avec un bon livre, on reçoit pour un repas à la bonne franquette ou on s’y installe pour entendre la pluie tomber. Dès le retour d’avril, on cherche à s’y installer le plus confortablement possible. Ça, c’est le Outdooring !Le Curb Appeal, quant à lui, vise à accentuer l’apparence extérieure, plus particulièrement la façade de la maison ou de l’immeuble. Du coin de la rue, elle doit donner envie aux visiteurs d’en voir davantage. C’est ici que l’aspect d’attraction fera toute la différence. Après avoir bien nettoyé le terrain, les plates bandes, éliminé les mauvaises herbes entre les pierres du pavé uni, vidé les gouttières au besoin et décroché les lumières de Noël dans certain cas, voici 5 améliorations esthétiques réalisables en un week-end !

L’expression Curb Appeal s’est popularisée aux Etats-Unis durant la période noire du crash immobilier de 2008. Depuis, l’expression perdure .

Le Curb Appeal suggère plusieurs améliorations, allant de l’installation de boîtes à fleurs au pavage de l’allée de voiture.

Par Marie-Josée Leblanc

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3. La symétrie séduit!En plus d’être esthétiquement joli, l’effet de symétrie est on ne peut plus facile à créer. La symétrie offre un aspect harmonieux résultant de la disposition régulière et équilibrée des éléments qui entourent la porte d’entrée et accentuent le sentiment de bienvenue. Le porche éclairé par des luminaires installés de part et d’autre de la porte est un bon exemple de symétrie. Je vous suggère, en période de revente, de toujours allumer l’éclairage extérieur afin de diriger rapidement le regard et d’accentuer le fait de se sentir chez-soi. Finalement, un paillasson et deux potées de végétaux qui cintrent la porte feront grand effet.

2

11. Une entrée bien en vueC’est ici que tout se décide. En plus d’être bien visible de la rue, l’entrée, comme la porte, doit refléter votre intérieur. N’hésitez pas à tailler arbres et arbustes qui pourraient obstruer la vue pour la mettre bien en évidence. Propre, avec une poignée et des pentures parfaitement fonctionnelles, votre porte d’entrée doit être exempte de poussière, de fils d’araignées, de tâches ou d’écaillage de peinture. Inutile de souligner qu’une mine tristounette fera mauvaise impression auprès des éventuels acheteurs. Le passage du temps témoigne du manque d’entretien de l’ensemble de la propriété et inspire au visiteur un sentiment de méfiance.

Home Dépôt - Boîte aux lettres murale Castleton, noire.

Environ 40$.

Boîte aux lettres de style urbain. UMBRA 100$.

OUTDOORING CURB appeal

2. Remplacer les vieilles quincailleriesExposés aux intempéries et aux caprices de dame nature, les accessoires extérieurs (numéro civique, poignée de porte, boîte aux lettres, lanternes et/ou luminaires muraux) accusent parfois un état défraîchi, décoloré ou même abimé. Leur remplacement, en plus d’être abordable, revitalise, en quelques tours de tournevis, l’aspect propre, invitant et esthétique de votre propriété.

http://sherrywallace.com/spring-curb-appeal/

RONA

Bon nombre de chaînes spécialisées diffusent des séries d’émissions sur le sujet. Une recherche sur le net vous donnera une idée de son ampleur : des sites et des sites y sont entièrement dédiés, aux résultats époustouflants, proposant un tas de DIY pour réaliser, à petit budget, des transformations efficaces et surtout, rentables.

Optez pour des accessoires de quincaillerie aux lignes simples et classiques. Misez sur des finis unis ou complémentaires, mais pas plus de deux. Souvenez-vous que la sobriété à bien meilleur goût !

Vérifier et rectifier les positions des installations, le soir venu,

Porte d’entrée = personnalité des lieux. N’hésitez pas à la repeindre, même d’une couleur plus vive et tranchante, comme un rouge ou plus classique, un gris profond. Le but ? En faire un centre d’attention immédiat, qui nous souhaite la bienvenue.

5. Fleurir quelques boîtes à fleurL’ajout de boîtes a fleurs et de quelques jardinières ajoute de la couleur et de la vie en donnant envie de poursuivre la visite! Ici encore, lors de la composition ou encore, de l’achat de contenants prêts à installer, gardez en tête la symétrie et privilégiez des contenants de pareilles dimensions, avec la même variété de fleurs et/ou végétaux dans les arrangements.

complète l’ensemble.

4. Éclairage extérieurL’éclairage extérieur est un gros must pour créer un impact hors du commun. Les éclairages à énergie solaire demeurent une option abordable et accessible, en plus de s’installer facilement. Ces éclairages peuvent être utilisés au pied d’un arbre ou en bordure d’allée menant à l’entrée.

Par Mireille ValoisAssistante de projetmissvalois.com

ORGANISATRICE

LISTEDébutez par mettre sur papier ce que vous souhaitez accomplir. Faire une liste par ordre de priorités vous aidera à atteindre vos objectifs. La première tâche à accomplir devra être celle au bas de la liste. Tout à fait! On débute par la moins importante. En accomplissant cette tâche, vous augmenterez votre sentiment de fierté qui vous mènera vers votre priorité. Propulsé par ce moteur de l’accomplissement, vous voudrez atteindre votre élément prioritaire à tout prix.

Le fameux 2e tiroir de cuisineIl nous déprime parfois, mais si en faire le ménage était un excellent antidépresseur?

Trier | épurer | structurer | organiser | optimiser | magasiner | rénover | aider

Trier et épurer sont des actions qui apportent un sentiment de bien-être et de légèreté. Je le constate auprès de chacun de mes clients. En tant qu’assistante de projet, je souhaite vous seconder dans plusieurs actions favorisant le bien-être.

Je vous accompagnerai, via cette chronique de coaching de rangement, à développer votre propre capacité à garder vos lieux de vie et de

travail organisés, en vous transmettant les trucs et les astuces que j’applique auprès de ma clientèle. Multipliez vos moments de bien-être en

bénéficiant des nombreux avantages de vivre quotidiennement dans des lieux structurés: plus de temps, plus d’argent et plus de calme.

CENTRALISERÉpurer permet d’agrandir les lieux de vie sans frais. Débutez par centraliser les items de même famille dans un bac en éliminant les boîtes d’emballage: ampoules, batteries, collations, produits emballés sous vide… Vous gagnerez déjà beaucoup d’espace. Ensuite, éliminez les objets pour lesquels vous n’avez pas d’attachement. Dès que vos yeux ou vos mains se portent sur un item que vous n’utilisez plus depuis longtemps, disposez-en.

CATÉGORISERLors de votre triage, il est important de vous installer pour être confortable: ayez une poubelle, un bac de recyclage et une boîte identifiée « à donner » à proximité.

Choisir ses vêtements rapidement et facilement le matin apporte de la légèreté. Tout en étant ordonnées, certaines personnes classent leur garde-robe par couleur, ce qui est très beau, mais non-fonctionnel. C’est plutôt par catégorie de vêtements que vous devriez ordonner le tout : chandails chauds, blouses, camisoles, robes, en les ayant regroupés préalablement par saison.

PARESSEUX ET AVEUGLEPour être efficace et ordonné, vous devez penser en paresseux. Vous voulez limiter vos pas le plus possible. Positionnez les items le plus près possible d’où vous les utilisez. De plus, rangez comme si vous accueilliez une personne non voyante dans votre demeure. Celle-ci a besoin que chaque item soit facilement accessible et remis au même endroit après chaque utilisation.

Appliquez la règle selon laquelle chaque pièce a son utilité précise et chaque chose possède sa place dans la pièce où vous l’utilisez. Toujours remettre les choses à leur place vous permettra de maintenir l’ordre dans vos lieux.

Je vous souhaite de la légèreté et de la simplicité dans vos vies actives et j'espère que ces quelques trucs sauront vous y conduire. Parfois, l’accompagnement d’une assistante de projets sera le coup de pouce nécessaire afin d’accomplir votre liste de tâches qui s’allonge quotidiennement.

missvalois.com

Bien que la mise en valeur de propriété cible une forme de minimalisme et de neutralité dans l'optique de permettre au visiteur de se sentir chez lui lors de la visite de votre chez-vous, la mise en scène et la création d'ambiance donnent caractère et personnalité au lieu, un petit je-ne-sais-quoi qui va droit au cœur! L'aménagement de lieu de vie est un savoir-faire comparable au travail d'un metteur en scène ou chef d'orchestre. L'un et l'autre ont l'objectif d'harmoniser et de tirer le meilleur, voir le maximum, de tous les éléments présents. Acteurs, décor, éclairage et ambiance en un tout cohérent. 

1- Solliciter les sens pour une expérience sensorielle qui s’inscrit positivement! Mise en scène autour d’un repas entre amis ou en famille. Les fleurs fraîches de saison accentuent l’esprit de luminosité et de fraîcheur, voire de renouveau, dans le cas de tulipes printanières. L’éclairage ajoute une note d’ambiance, mais davantage encore, l’impression de « bienvenue » pour le visiteur. Faites comme chez vous!

2- Une empreinte de vie tout en sobriété ! Une touche de verdure, un livre, un magazine stimulent l’imagination du visiteur et accentuant son sentiment de bien–être. Ajoutons une ambiance musicale en sourdine et la propriété prend vie et donne envie!

3- Évitez l’encombrement visuel causé par les petits objets (bibelots) et privilégiez les objets/accessoires plus imposants et en hauteur, pour habiter la pièce et lui donner du prestige et du « wow » ! Amusez-vous !

Photo par Marie-Hélène Goyette pour immophoto.caAménagement : LeblancHomeStaging.com

règles pour une ambiance allègée3

D’INTÉRIEUR

FAITES-LE Par Stéphane Iacomacci et Audrey Chandonnay

sicastuc.comdiy

Merci à Stéphane Iacomacci et Audrey Chandonnay, propriétaire de la boutique SICA Créateur d’ambiance et distributeur exclusif des produits RIVES, Erasme Designer | 2552, chemin Jean Adam | Saint-Sauveur | 450-530-0466 | SICASTUC.COM

Les produits sont disponibles à la boutique-atelier SICA Créateur d’Ambiance Distributeur exclusif des produits RIVES, Erasme Designer2552, chemin Jean Adam | Saint-Sauveur | 450-530-0466

HYDROGRIPApplication sur le pot (aucune préparation requise) de l’apprêt HYDROGRIP. Hydrofuge, élastique, à base d’eau et faible en COV.Temps de séchage : 1 heure

BÉTON NANO ÉTANCHEApplication d’un béton d’étanchéité à la spatule, qui permet de solidifier et imperméabiliser l’ensemble.Temps de séchage : 2 heures

BÉTON DE FINITIONApplication du béton de finition à la spatule, que vous aurez au préalable teinté du pigment de votre choix.Temps de séchage : 2 heures

CIRE DE PROTECTIONPour un pot à fleurs complètement étanche et hydrofuge, appliquez la cire de protection de résine sanitaire Protec+.

Coût : 8$ / le pot

Temps de réalisation:5 heures ( temps de séchage inclus )

12

lampe=looks

Avant d’investir dans un nouvel article déco, faisons preuve de créativité et d’un peu d’audace. Le pire qui pourrait arriver? Que ce soit une super bonne idée!

Investissement :Ampoule Vintage Edison 8,95$.Lampe : HOME SENSE

Rendez-vous sur www.sicastuc.com pour en apprendre davantage sur la technique dʼapplication du fini béton.

VOUS-MÊME

Visitez notre salle de montre195, Pointe Langlois, Laval, Qc H7L 3J4

Sortie 16 de l’autoroute 15, coin Pointe Langloischez Émard Couvre Plancher

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Par Marie-Josée Leblanc

Retour sur investissement = 100%

Retrouvez-moi dans Qu4tre mag en juin !

EN SEPTEMBRE…

Étape par étape, je vous accompagne pour l’analyse

de votre propriété

Photo immobilière

Transformer l’existant à petit prix!

BON été!

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Je ferai l’essai des peintures extérieures

pour les meubles de jardin !

On dira bien ce que l’on voudra. Que nous aimions ou non peindre nos intérieurs, surtout pour vendre, la peinture est au nombre des améliorations indiquant 100% de récupération sur notre investissement. Le fait de repeindre un mur, une pièce ou même un meuble vous fera bénéficier du meilleur retour sur investissement. C’est quand même pas rien!

HOME

Le processus de vente et de revente d'un bien de consommation, qu'il s'agisse d'un melon d'eau, d'une voiture ou d'une paire de chaussures, s'apparente en tout à l'impression de fraîcheur, de confort, de bien-être, voire de réussite.

Au marché, achèteriez-vous une caisse de pommes abîmées, noircies, meurtries? Bien sûr, certains diront que oui!  Mais, ils diront aussi : « J’ai tellement eu un bon prix ! ».

De toute évidence, pour en faire une compote, il vous faudra y mettre efforts et temps ! Trier, nettoyer, émonder, pour finalement ne conserver que les meilleures parties. C'est exactement ce qui se passera avec une propriété qui affiche une allure défraîchie et terne. Bien sûr, il y aura un acheteur qui, avec le temps, y verra un potentiel... Mais ne soyez pas surpris de vous faire présenter une promesse d’achat bien en deçà de ce que vous aviez évalué pour votre Home.

Gardez en tête que plus de 8 acheteurs sur 10 sont rebutés par toute forme de travaux lors de l’acquisition de leur nouvelle propriété… Ils sont comme vous et moi, ils en veulent pour leur argent. Et qui pourrait le leur reprocher ?

2.0 STAGING Le Home Staging, ou mise en valeur de propriété, a fait son apparition en 2006. Un phénomène qui déclencha un engouement extraordinaire. Un vent de folie s’est emparé de l’industrie immobilière et plusieurs y ont vu la ruée vers l’or comme au temps du Klondike…On a alors vu le nombre de « spécialistes en Home Staging » se multiplier par 100, tentant de se tailler une place en sollicitant les courtiers immobiliers pour créer des alliances. Disons-le, la lune de miel a été de bien courte durée et le désenchantement a pris les devants. Nous avons fait face, moi incluse, à un mur de scepticisme, d’incompréhension et de doute à chaque prononciation du terme Home Staging.

POURQUOI DONC ?J’ai bien ma petite idée… De mon point de vue, il y avait bien sûr une question d’éducation, mais encore davantage de confusion quant aux objectifs qui, disait-on, allaient accélérer tant le temps de vente que le prix de la propriété. Mais, pire encore, aucune statistique, aucun vrai sondage quant au retour sur investissement. Car, c’est bien de gain dont il est question… Gain de temps et gain d’argent. Puis, on a vu apparaître des faits: des articles, des tableaux et des expériences, témoignant des bénéfices de la mise en valeur de propriété. Enfin !

La route et l’ascension ont été longues ! Depuis, le Home Staging en territoire québécois gagne du terrain et des adeptes. On est loin de l’époque du jeté de divan, du coussin, de la petite bougie ou de la tarte pommes cannelle. Les faits sont là ! La mise en valeur de propriété est une stratégie de marketing de revente, basée sur la valeur ajoutée du contenant : fenêtres, revêtement de plancher, rangement, cuisine, etc. Quant à l’aspect esthétique, la « décoration », elle ne sert qu’à mettre en valeur le produit en valorisant les espaces, le volume des pièces et bien sûr, le sentiment de bien-être que sentiront les visiteurs. Alors, si déco il y a, parlons dorénavant de décoration stratégique.

Voici quelques liens fort utiles pour bien évaluer si l’investissement sera rentable:www.aicanada.ca

www.decormag.com/Chroniques/abcreno/les-meilleures-renos-pour-augmenter-la-valeur-de-revente-de-votre-maison-n38327888p1.html

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38 PARTOUTICI.COM38 PARTOUTICI.COM

Toute l’équipe de Partout Ici est très fière de souligner la sortie du premier livre de l’auteure et blogueuse Julie Philippon, une fille franchement très chouette et talentueuse de notre région. Dans ces pages, l’auteure et maman partage son amour du blogue et des réseaux sociaux et comment ceux-ci, devenus une carrière aujourd’hui, l’ont sauvée, tant pour lui avoir fourni une tribune où elle a reçu (et reçoit toujours) une grande reconnaissance que pour briser l’isolement dans sa réalité de maman avec 2 enfants différents (épilepsie, dyspraxie, TDAH). On peut entre autres la suivre sur yoopa.ca et au juliephilippon.com Bon succès Julie!

Ton direct, provocateur, assumé. Jean Nadeau propose, dans ces pages, de vous brasser et être dans l’action, pour changer votre vie pour le mieux. Exit le confort routinier !

Imane Lahlou est docteure en sciences et technologie des aliments et naturopathe. En plus de sa pratique, de ses conférence et ateliers, elle écrit, à notre plus grand bonheur! S o n 2 e l i v r e e s t u n p a r t a g e d e s apprentissages qui l’ont aidée à choisir la voie de l’équilibre.

Le stress, mal du siècle. Quels sont les agents stressants, les trois paliers du stress, ses mécanismes, conséquences sur la santé et sa gestion ? Quand est-il bon ou mauvais ? Ce livre vous donne les réponses, en plus de proposer une trentaine de méthodes naturelles pour relaxer.

Avec tant de bouquins qui circulent sur le yoga, nous sommes heureux d’avoir ce livre entre nos mains. Son format, idéal pour le sac de sport, en fait l’outil parfait pour améliorer sa concentration, respiration et sentir les bienfaits du Pilates au quotidien. On y retrouve aussi des exercices simples, conçus spécialement pour le bureau.

Gros coup de coeur pour ce petit livre carré qui suit ceux de Austin Kleon parus récemment. À la fois un guide à emporter partout avec soi, ces pages sont autant des citations à lire pour un boost quotidien que de pistes de reflexion sur la vie. La preuve ? « Laissez tomber les titres. Aucun rapport entre la valeur de l’individu et l’importance du titre. Rois et reines. Médecins et avocats. Prostituées et bibliothécaires. Ce n’est pas le titre qui compte, mais la personne qui le porte. »

Pour ranger tous ces bouquins, on est tombés sous le charme du look urbain et original de cette étagère murale!

www.dotandbo.com

OBJET DE CONVOITISE !

La bibli de la rédac !

J’ai  récemment  commencé  à  voler  la  chaise  de  mon  chum  à  la  table  de  SAM  pour  y  mettre  mes  pieds  quand  je  travaille  de  la  maison  sur  mon  portable.  La   position   est   beaucoup   plus   confo   pour   passer   des   heures   à   créer   et  écrire.   Quel   plaisir   donc   de   découvrir   ce   hamac   de   pieds  !   En   ligne,   sur  Amazon.  Si  un  artisan  d’ici  veut  en  faire,  je  serai  cliente  !  (  hamac  FUUT )

On y sera !

40 PARTOUTICI.COM

Laurence Jalbert : en livre et en musiqueLaurence Jalbert est dans le paysage québécois depuis plus de quarante ans. Sa réputation et son talent ne sont plus à prouver... Pour la première fois, elle nous offre un livre qui met en lumière sa vie et son inspiration à travers douze chansons, douze succès, où elle invite les lecteurs au centre de sa créativité. Parlant succès, ce bouquin a déjà, au moment d'écrire ces lignes, trouvé preneur chez plus de 6 000 personnes, et ce, en moins de 6 semaines. Elle propose ce livre, co-écrit avec son ami et collaborateur Claude André, afin de remercier son fidèle public. Cette amoureuse des mots y aborde plusieurs thèmes, dont l'amitié, l'amour, la dépen-dance, la maternité, chacun associé à une chanson. Généreuse et authentique, elle se livre, par le biais de cette œuvre, d’une façon différente et touchante.Tout comme ses chansons, ses mots sauront vous faire sourire, vous toucher et vous inspirer à travers l’accompagnement que le livre et les chansons vous offrent dans votre quotidien.À la vie, à la mer nous permet d'accéder à cette icône musicale de façon plus intime, elle qui habite déjà tant de foyers via sa musique.Le bonheur est à la portée de tous, si on ose focaliser nos énergies et nos pensées sur la résilience et le courage, voilà en gros le message d'espoir de cette auteure et interprète authentique.En entrevue, elle a indiqué qu'elle est la somme de tous ses choix. Elle ajoute aussi que ce bouquin ne se veut pas une thérapie, mais plutôt le fruit d'une artiste qui prend à coeur les choses.

UN EXTRAIT QUI NOUS PLAÎT« Le propriétaire du bar nous avait prévenus : Je ne veux pas engager de chanteuse en balloune, ça ne fait pas sonner le cash. J’étais enceinte de Jessie, mon ainée, et nous avions absolument besoin de

ce contrat pour essayer d’améliorer l’ordinaire. (…) C’est en pensant à ma mère, mon modèle féminin, et aussi à cette époque où le simple fait d’être enceinte, de porter la vie pouvait devenir quelque chose de honteux, que j’ai décidé d’écrire cette chanson, en 1995. En plus d’un hommage, il m’importait de dénoncer certains stéréo-types selon lesquels une femme n’a de valeur qu’en fonction de sa disponibilité sexuelle. »

En bref : • Le livre est dédié au défunt compositeur et musicien Guy Rajotte qui était

aux côtés de l'artiste depuis ses débuts; • La préface est signée par la grande Monique Giroux, amie de la chanteuse; • Retombez en amour avec douze des chansons marquantes de la carrière

de Laurence, reprises dans une version acoustique. Un code intelligent QR au début de chaque chapitre vous guidera pour le téléchargement.

En librairie maintenantCatalogue gratuit sur simple demande : www.unmondedifferent.com

Des best-sellers de tous les styles et pour tous

À la vie, à la mer Laurence Jalbert propose un survol de sa vie par 12 chansons qui fouillent autant

de thèmes phares et qui, par leur universalité, sont aussi les vôtres. 978-289225-868-4 • 232 pages incluant 24 pages photos • 24,95 $

Le Miracle Christine Michaud vous offre en cadeau une manière d’être,

un art de vivre vous permettant de faire de votre existence un chef-d’œuvre d’amour.

978-289225-873-8 • 160 pages, reliure caisse • 18,95 $

Le Prophète et la femme seule Marc Fisher propose une suite riche d’enseignements spirituels

au célèbre classique Le Prophète de Khalil Gibran. 978-289225-856-1 • 192 pages • 19,95 $

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ENVIE DE PRENDRE PART À UNE COURSE CET ÉTÉ?

Courir pour un don, Terrebonne – 7 juin 2015

Ironman 70.3 Mont-Tremblant – 21 juin 2015

Ultranza Trail de Ste-Adèle – 8 août 2015

1/2 marathon Mont-Tremblant – 9 août 2015

Course de la Fondation Drapeau et Deschambault Blainville – 30 août 2015

Tour du Massif des Falaises – Prévost 3 septembre 2015

Course au Parc National d’Oka 1er novembre 2015

La course un second souffle – St-Eustache 18 octobre 2015

Défi automnal des fondeurs Laurentides Mirabel 25 octobre 2015

Course Les Aspirants – Repentigny 11 octobre 2015

Qu’est-­‐ce  que  tu  aimes  le  plus  de  ce1e  discipline?J’aime  beaucoup  l’entrainement  et  l’énergie  de  groupe  que          le  triathlon  me  donne.  Par  contre,  au  moment  d’une  compé99on,  j’aime  que  ça  se  passe  avec  moi-­‐même.  Je  me  suis  fait  des  amis,   j’ai  appris  à  me  dépasser,  à  me  faire  confiance,  car   je  réalise  que  je  suis  capable  de  beaucoup  plus  que  ce  que  je  croyais,   comme   être   organisée   avec   mes   devoirs   et   mon  horaire.  Tout   ça  me  garde  mo9vée  pour   l’école,   car   je  dois  maintenir  une  moyenne  générale  de  75%.  J’ai  aussi  vu  à  quel  point  l’encouragement  de  mes  parents  comptait  pour  moi.

BIO  :  Bianca  Bou,n,  10  ans.  Étudiante  de  5e  année  à  L’Académie  Ste-­‐Thérèse.  S’entraîne  environ  4  heures  

par  semaine.  Pra,que  aussi  la  gym  et  le  violon.Depuis  combien  de  temps  pra8ques-­‐tu  ce  sport?J’ai  fait  mon  premier  Triathlon  en  2e  année,  c’est  ma  mère  qui  m’y  a  inscrite.  Je  fais  par9e  de  l’équipe  de  mon  école  depuis  que  je  suis  3e  année.  Une  amie  m’a  encouragée  à  faire  les  qualifica9ons.  J’ai  été  choisie  et  je  n’ai  jamais  voulu  arrêter!  

Triathlon et Ironman : partout et dans de nombreux agendas !

Sylvie-Anne Gauthier, d’Oka.Mariée, maman et Ironman.

Triathlon Ironman : Discipline qui réunit 3 sports : 3.8 km de nage, 180 km de vélo et finalement, 42.195 km de course. Le premier Triathlon Ironman fut disputé à Honolulu en février 1978. Le nom vient de M. John et Judy Collinsont, qui ont eu cette idée folle : Celui qui finit le premier, nous l’appellerons l’homme de fer.

Chaque année, plus de 80 000 triathlètes tentent de se qualifier pour le Championnat du monde Ironman. Seulement 1850 sont admis à sa ligne de départ (2000 participants, dont 150 invités spéciaux). Rencontre avec une de ces 1850 athlètes.

Pourquoi un Ironman ? Je venais de consacrer les dernières années à ma famille. Je me suis impliquée, dans la vie de mes enfants et au plan familial, pour que mon mari puisse performer dans son travail. J’avais le goût d’un défi, UN GROS, mais je n’étais pas prête à un retour au travail (Sylvie-Anne est enseignante au primaire). Après une discussion en famille, ils ont tous accepté d’embarquer avec moi! Mon mari a dit : « Dans une famille, on a tous droit à notre heure de gloire et là, c’est le tour de votre maman. » Quel était ton objectif ? Je ne voulais pas simplement faire un Ironman, je voulais performer, terminer parmi les 10 premières de ma catégorie. Mais Hawaii ? Je n’y croyais pas. Je ne savais pas encore tout ce que cela impliquerait, comme les heures d’entraînement, l’alimentation, des sacrifices de toutes sortes, dont les plus difficiles, les sacrifices familiaux. Comment s’est passé ton premier Ironman ? Ce fut au Lac Placide et j’ai terminé au 4e rang. Je me suis qualifiée pour Hawaii. Comme je n’avais pas cru possible m'y rendre, je n’étais pas du tout prête. On doit se préparer (avion, hôtel, équipement, etc.), il faut le planifier dans l’horaire, avec la famille, etc. Ça me restait en tête, alors j’ai demandé à ma famille s’ils m’épauleraient pour une autre année. Je souhaitais enseigner à mes enfants la persévérance et la discipline, de ne jamais abandonner face à une épreuve. À quoi ressemblait une journée au quotidien ? Je m’entrainais dès que tout le monde était à l'école. Je suivais mon plan à la lettre. C’est pour cette raison que je ne me suis jamais blessée, que j’ai performé et que j’ai pu atteindre mes buts chaque fois. Comment s'est passé Hawaii ? On dit qu’une telle discipline est 70% d’entraînement et 30% de force mentale. À 1 km de la fin, je voyais mon aîné, Philippe, sauter dans la foule. À 500 mètres de la fin, il est venu courir avec moi. Quelle énergie il m’a donnée! J’ai terminé 1ère CANADIENNE toutes catégories confondues et 12e AU RANG MONDIAL dans ma catégorie (femme 40-44 ans). J’ai fais un temps de 10:51:23 (nage 1 :03 :15, vélo 5 :43 :17 et course 3 :57 :08). Que pouvons-nous te souhaiter pour la prochaine année ? Je m’étais dit que lorsque ma plus jeune entrerait en secondaire 1, je retournerais sur le marché du travail. Ce sera en septembre. J’ai donc le goût d’un nouveau défi, mais intellectuel cette fois. Alors je travaille pour y arriver.

Sylvie-­‐Anne  fut  ini9ée  au  sport  au  primaire  avec  la  nata9on.  Alors  qu’elle  était  âgée  de  11  ans,  une  tragédie  s’abat  sur  elle  et  ses  2  soeurs,  le  décès  leur  mère.  Sylvie-­‐Anne  me  confie  que  le  sport  l'a  beaucoup  aidée  à  

passer  à  travers  ceRe  dure  épreuve.

Partage entraînant

ÉCHANGE DE VALEURSDANIEL GENEST RENCONTRE BRUNY SURIN

Bruny  Surin   est   un  grand   sportif,   connu   surtout   comme   sprinteur   et  médaillé   d’or  aux   Jeux  Olympiques.  C'est  un  homme  charismatique,  facile  d’approche,  déterminé  et  conséquent  pour  qui   la   famille,   le   respect,   le   travail   acharné   et   la  préparation   sont  à   l’avant-­plan  de   sa   vie  !  Multi-­disciplinaire,   ce   champion   olympique   et   homme   d’affaires   possède   sa   propre   ligne   de  vêtements.  Également  conférencier,  il  a  aussi  créé  une  fondation  qui  porte  son  nom.  Rencontre  avec  un  homme  qui,  comme  on  le  dit  au  Québec,    «  mérite  vraiment  d’être  connu  ».  

Par  Daniel  Genest  www.detoxtavie.com

Quelle  est   la  place  de  la  course  à  pied  dans  ta  vie  ?  La  course  a  occupé  la  majeure  partie  de  ma  vie  durant  ma  carrière  d’athlète,   j’en  ai  fait  beaucoup.  Maintenant,   je  cours  plutôt  sur  un  tapis  roulant.  Je  fais  aussi  du  vélo  et  de  l’elliptique.Es-­‐tu   exigeant   envers   toi-­‐même  ?  Beaucoup  !   C’est   un  objectif   constant  pour  moi!  Depuis   toujours,   j’ai   la   philosophie   que   ça   peut   toujours   aller   mieux.   Le  dépassement  fait  partie  de  moi.«  Dépassement  de  soi  »  veut  dire  quoi  pour  toi  ?  C’est  la  ligne  directrice  de  ma  vie,  dans  tout.  Je  me  pose  toujours  ces  questions  :  Où  est-­on  rendus  aujourd’hui  ?  Est-­ce  que   je   suis   satisfait  ?   Qu’est-­ce   que   je   peux   faire   pour   aller   encore   plus   loin  ?   Il   y   a  toujours  place  à   l’amélioration,  une  chose  qu’on  peut   faire  qui  va  nous  propulser,  permettre  de  se  renouveler.Comment   se   Qixe-­‐t-­‐on   de   nouveaux   objectifs   après   avoir   gagné   une  médaille   d’or  aux  olympiques  ?   Je  me  suis  posé  ces  questions  :  Est-­ce  qu’il  va  y  avoir  d’autres   JO  pour  moi  ?  Est-­ce  que   je  peux  améliorer  mes  performances,   courir  plus  vite  ?  Quand  j’ai  vu  mon  entraîneur  après  ma  meilleure  course  à  vie  (9.84  sec  au  100  m),  il  m’a  félicité,   puis   m’a   dit   que   j’aurais   dû   courir     en   9.76   sec.   Quelques   petits   détails  auraient   pu   me   faire   courir   encore   plus   vite.   Comme   dans   la   vie,   nos   succès  proviennent  souvent  d’une  série  de  petits  détails  qui  font  toute  la  différence…

Tu  as  aussi  cette  mentalité  dans  ton  après-­‐carrière  sportive  ?  Oui.  Avec  ma  ligne  de  vêtements,   je   regarde   ce   qu’on   a   accompli   l’an   passé,   ce   qu’on   veut   faire   cette  année,  ce  qu’on  peut  faire  pour  s’améliorer.  C’est  en  moi  !  Si  il  n’y  a  pas  d’objectifs,  de  dépassement  de  soi,  aussi  bien  rester  chez  moi  et  regarder  la  TV.

Si   tu  n’avais  pas  eu  cette   carrière,  qu’aurais-­‐tu   fait  d’autre  ?Franchement,   je  ne   le  sais  pas!   Je  me   suis  posé   cette  question   souvent.  Mon  parcours   a   été  atypique.   Je  n’avais  pas  vraiment  d’intérêt  pour   l’athlétisme,   j’ai   commencé  à  17  ans.  C’est  un  coach   qui   m’a   approché,   qui   a   insisté   pendant   5   ans.   Sans   lui,   je   n’aurais  probablement  jamais  fait  ce  sport.  Je  fais  la  même  chose  maintenant  :  quand  je  vois  des  jeunes  remplis  de  talent,  je  les  encourage  à  essayer  et  à  se  dépasser.À  quoi   ressemble  une   transition  d’athlète  olympique   à   son  après-­‐carrière  ?   Je   l’ai  préparée   au  moins   2   ans   avant   la   Qin.   J’ai   discuté   avec   plusieurs   athlètes   de   haut  niveau  sur  la  difQiculté  à  faire  la  transition,  la  dépression,  ne  pas  savoir  quoi  faire  ni  où  aller.  Je  me  suis  dit  :  «  tu  es  mieux  de  savoir  où  tu  veux  aller  pour  ne  pas  vivre  la  même  chose  ».  

Quand  les  gens  me  disent  ou  m’écrivent  que  ma  conférence  leur  a  donné  envie  de  travailler  fort  pour  accomplir  des  rêves  

qu'ils  avaient  mis  de  côté,  ça,  c’est  ma  paye  !  

La  motivation  a  une  grande  place  dans  ta  vie?  Oui,  combinée  à  la  préparation,  c’est  la  base.  Dans  la  vie,  il  est  facile  de  voir  seulement  le  «  produit  Qini  »,  oublier  toute  la  préparation  et  le  travail  acharné  qui  sont  investis  pour  arriver  à  un  résultat.  

Quel  est  l’exemple  que  tu  partages  le  plus  souvent  en   conférence  ?   Quand   j’ai   commencé,   je   n’avais  pas   de   nom,   pas   de   médaille   et   ce   n’était   pas  évident   de   pouvoir   participer   aux   compétitions  ;  les  portes  se  fermaient  souvent  !  J’ai  commencé  au  bas  de  l’échelle.  Je  n’ai  jamais  eu  peur  de  partager  mes  objectifs  et  mes  rêves  avec  les  gens.  On  a  ri  de  moi,  on  m’a  trouvé  «  fou  ».  C’est  très  dur  sur  l’égo  et  l’estime  de  soi.  Dans  le  sport  comme  dans  la  vie,  tu  dois  être  «  tough  »  psychologiquement…tu  dois  te  le  prouver  à  toi  en  premier  !Quand  tu  dis  que  tu  veux  être  le  meilleur,  que  tu  veux  accomplir  un  objectif,  les  gens  peuvent  rire  

de  toi,  mais  c’est  aussi  un  engagement  ofCiciel.  Quand  tu  l’as  dit  publiquement,  tu  n’as  plus  le  choix,  tu  dois  livrer  !  Pour  moi,  c’est  une  façon  

d’accomplir  ce  que  tu  veux.

À  qui  vient  en  aide  ta  Fondation  ?  Il  y  a  2  objectifs  principaux  :  donner   le  goût  aux   jeunes  de  bouger,  de   faire   de   l’exercice   et   de   les   inspirer,   via   des  conférences   dans   les   écoles.   Puis,   trouver   du  Qinancement  pour  les  jeunes  sportifs  par  le  biais  de  bourses   Sport-­‐Études.   La   fondation   est   active  depuis  12  ans  et  j’en  suis  très  Qier.Tes  2  Qilles  font  du  sport  de  haut  niveau  (tennis  et  athlétisme).  Comment  est-­‐ce  pour  un  père  d’avoir  2  enfants  dans  le  sport  ?  Je  suis  très  heureux  :  elles  sont   épanouies,   elles   font   ce   qu’elles   aiment   et  obtiennent   de   très   beaux   résultats.   Elles   savent  toutes  les  deux  que  je  serai  toujours  là  pour  elles,  mais   je   ne   veux   pas   être   leur   entraîneur,   je   veux  être  leur  père.  Ton  plus  grand  succès  professionnel  ?  Il  y  en  a  2  :  ma  médaille  d’or  olympique  et  courir  plus  vite  que  mon  idole,  Carl  Lewis.Ta   plus   grande   déception   sportive  ?   En   1996,  j’étais   2e   au   monde   et   aux   JO,   je   n’ai   même   pas  réussi  à  faire  la  Qinale  du  100m.  Tout  un  échec  !  J’ai  réalisé   que   j’étais   comme   un   robot  :   je   courrais  pour  tout  le  monde,  sauf  pour  moi.  Comment   as-­‐tu   surmonté   cette   épreuve  ?   J’ai  changé   ma   façon   de   voir   les   choses.   Je   devais  courir   pour   moi,   oublier   tout   le   reste   et  recommencer   à   avoir   du   plaisir   à   courir.   Tout   a  changé   à   ce   moment,   et   deux   jours   plus   tard,   je  gagnais  la  médaille  d’or  au  relais.

La  course  du  Fontainebleau  pour  la  Fondation  Bruny  Surin.  

Levée  de  fonds  pour  la  fondation.  www.fondationbrunysurin.ca  

Daniel GenestConsultant - Conférencier - FormateurExpert en Santé Optimale

27  sept.  2015  

Photo  :  École  entrepren

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 Beauce  

43PARTOUTICI.COM

ÉCHANGE DE VALEURSDANIEL GENEST RENCONTRE BRUNY SURIN

Bruny  Surin   est   un  grand   sportif,   connu   surtout   comme   sprinteur   et  médaillé   d’or  aux   Jeux  Olympiques.  C'est  un  homme  charismatique,  facile  d’approche,  déterminé  et  conséquent  pour  qui   la   famille,   le   respect,   le   travail   acharné   et   la  préparation   sont  à   l’avant-­plan  de   sa   vie  !  Multi-­disciplinaire,   ce   champion   olympique   et   homme   d’affaires   possède   sa   propre   ligne   de  vêtements.  Également  conférencier,  il  a  aussi  créé  une  fondation  qui  porte  son  nom.  Rencontre  avec  un  homme  qui,  comme  on  le  dit  au  Québec,    «  mérite  vraiment  d’être  connu  ».  

Par  Daniel  Genest  www.detoxtavie.com

Quelle  est   la  place  de  la  course  à  pied  dans  ta  vie  ?  La  course  a  occupé  la  majeure  partie  de  ma  vie  durant  ma  carrière  d’athlète,   j’en  ai  fait  beaucoup.  Maintenant,   je  cours  plutôt  sur  un  tapis  roulant.  Je  fais  aussi  du  vélo  et  de  l’elliptique.Es-­‐tu   exigeant   envers   toi-­‐même  ?  Beaucoup  !   C’est   un  objectif   constant  pour  moi!  Depuis   toujours,   j’ai   la   philosophie   que   ça   peut   toujours   aller   mieux.   Le  dépassement  fait  partie  de  moi.«  Dépassement  de  soi  »  veut  dire  quoi  pour  toi  ?  C’est  la  ligne  directrice  de  ma  vie,  dans  tout.  Je  me  pose  toujours  ces  questions  :  Où  est-­on  rendus  aujourd’hui  ?  Est-­ce  que   je   suis   satisfait  ?   Qu’est-­ce   que   je   peux   faire   pour   aller   encore   plus   loin  ?   Il   y   a  toujours  place  à   l’amélioration,  une  chose  qu’on  peut   faire  qui  va  nous  propulser,  permettre  de  se  renouveler.Comment   se   Qixe-­‐t-­‐on   de   nouveaux   objectifs   après   avoir   gagné   une  médaille   d’or  aux  olympiques  ?   Je  me  suis  posé  ces  questions  :  Est-­ce  qu’il  va  y  avoir  d’autres   JO  pour  moi  ?  Est-­ce  que   je  peux  améliorer  mes  performances,   courir  plus  vite  ?  Quand  j’ai  vu  mon  entraîneur  après  ma  meilleure  course  à  vie  (9.84  sec  au  100  m),  il  m’a  félicité,   puis   m’a   dit   que   j’aurais   dû   courir     en   9.76   sec.   Quelques   petits   détails  auraient   pu   me   faire   courir   encore   plus   vite.   Comme   dans   la   vie,   nos   succès  proviennent  souvent  d’une  série  de  petits  détails  qui  font  toute  la  différence…

Tu  as  aussi  cette  mentalité  dans  ton  après-­‐carrière  sportive  ?  Oui.  Avec  ma  ligne  de  vêtements,   je   regarde   ce   qu’on   a   accompli   l’an   passé,   ce   qu’on   veut   faire   cette  année,  ce  qu’on  peut  faire  pour  s’améliorer.  C’est  en  moi  !  Si  il  n’y  a  pas  d’objectifs,  de  dépassement  de  soi,  aussi  bien  rester  chez  moi  et  regarder  la  TV.

Si   tu  n’avais  pas  eu  cette   carrière,  qu’aurais-­‐tu   fait  d’autre  ?Franchement,   je  ne   le  sais  pas!   Je  me   suis  posé   cette  question   souvent.  Mon  parcours   a   été  atypique.   Je  n’avais  pas  vraiment  d’intérêt  pour   l’athlétisme,   j’ai   commencé  à  17  ans.  C’est  un  coach   qui   m’a   approché,   qui   a   insisté   pendant   5   ans.   Sans   lui,   je   n’aurais  probablement  jamais  fait  ce  sport.  Je  fais  la  même  chose  maintenant  :  quand  je  vois  des  jeunes  remplis  de  talent,  je  les  encourage  à  essayer  et  à  se  dépasser.À  quoi   ressemble  une   transition  d’athlète  olympique   à   son  après-­‐carrière  ?   Je   l’ai  préparée   au  moins   2   ans   avant   la   Qin.   J’ai   discuté   avec   plusieurs   athlètes   de   haut  niveau  sur  la  difQiculté  à  faire  la  transition,  la  dépression,  ne  pas  savoir  quoi  faire  ni  où  aller.  Je  me  suis  dit  :  «  tu  es  mieux  de  savoir  où  tu  veux  aller  pour  ne  pas  vivre  la  même  chose  ».  

Quand  les  gens  me  disent  ou  m’écrivent  que  ma  conférence  leur  a  donné  envie  de  travailler  fort  pour  accomplir  des  rêves  

qu'ils  avaient  mis  de  côté,  ça,  c’est  ma  paye  !  

La  motivation  a  une  grande  place  dans  ta  vie?  Oui,  combinée  à  la  préparation,  c’est  la  base.  Dans  la  vie,  il  est  facile  de  voir  seulement  le  «  produit  Qini  »,  oublier  toute  la  préparation  et  le  travail  acharné  qui  sont  investis  pour  arriver  à  un  résultat.  

Quel  est  l’exemple  que  tu  partages  le  plus  souvent  en   conférence  ?   Quand   j’ai   commencé,   je   n’avais  pas   de   nom,   pas   de   médaille   et   ce   n’était   pas  évident   de   pouvoir   participer   aux   compétitions  ;  les  portes  se  fermaient  souvent  !  J’ai  commencé  au  bas  de  l’échelle.  Je  n’ai  jamais  eu  peur  de  partager  mes  objectifs  et  mes  rêves  avec  les  gens.  On  a  ri  de  moi,  on  m’a  trouvé  «  fou  ».  C’est  très  dur  sur  l’égo  et  l’estime  de  soi.  Dans  le  sport  comme  dans  la  vie,  tu  dois  être  «  tough  »  psychologiquement…tu  dois  te  le  prouver  à  toi  en  premier  !Quand  tu  dis  que  tu  veux  être  le  meilleur,  que  tu  veux  accomplir  un  objectif,  les  gens  peuvent  rire  

de  toi,  mais  c’est  aussi  un  engagement  ofCiciel.  Quand  tu  l’as  dit  publiquement,  tu  n’as  plus  le  choix,  tu  dois  livrer  !  Pour  moi,  c’est  une  façon  

d’accomplir  ce  que  tu  veux.

À  qui  vient  en  aide  ta  Fondation  ?  Il  y  a  2  objectifs  principaux  :  donner   le  goût  aux   jeunes  de  bouger,  de   faire   de   l’exercice   et   de   les   inspirer,   via   des  conférences   dans   les   écoles.   Puis,   trouver   du  Qinancement  pour  les  jeunes  sportifs  par  le  biais  de  bourses   Sport-­‐Études.   La   fondation   est   active  depuis  12  ans  et  j’en  suis  très  Qier.Tes  2  Qilles  font  du  sport  de  haut  niveau  (tennis  et  athlétisme).  Comment  est-­‐ce  pour  un  père  d’avoir  2  enfants  dans  le  sport  ?  Je  suis  très  heureux  :  elles  sont   épanouies,   elles   font   ce   qu’elles   aiment   et  obtiennent   de   très   beaux   résultats.   Elles   savent  toutes  les  deux  que  je  serai  toujours  là  pour  elles,  mais   je   ne   veux   pas   être   leur   entraîneur,   je   veux  être  leur  père.  Ton  plus  grand  succès  professionnel  ?  Il  y  en  a  2  :  ma  médaille  d’or  olympique  et  courir  plus  vite  que  mon  idole,  Carl  Lewis.Ta   plus   grande   déception   sportive  ?   En   1996,  j’étais   2e   au   monde   et   aux   JO,   je   n’ai   même   pas  réussi  à  faire  la  Qinale  du  100m.  Tout  un  échec  !  J’ai  réalisé   que   j’étais   comme   un   robot  :   je   courrais  pour  tout  le  monde,  sauf  pour  moi.  Comment   as-­‐tu   surmonté   cette   épreuve  ?   J’ai  changé   ma   façon   de   voir   les   choses.   Je   devais  courir   pour   moi,   oublier   tout   le   reste   et  recommencer   à   avoir   du   plaisir   à   courir.   Tout   a  changé   à   ce   moment,   et   deux   jours   plus   tard,   je  gagnais  la  médaille  d’or  au  relais.

La  course  du  Fontainebleau  pour  la  Fondation  Bruny  Surin.  

Levée  de  fonds  pour  la  fondation.  www.fondationbrunysurin.ca  

Daniel GenestConsultant - Conférencier - FormateurExpert en Santé Optimale

27  sept.  2015  

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 Beauce  

dans mon jardin !de la lavande

Oui, vous aussi pouvez faire pousser de la lavande dans votre jardin. Dès la mi-mai, la Maison Lavande propose des petits plants qui n’attendent que d’être plantés, une fois le dernier risque de gel passé. La lavande est une plante vivace qui ne demande que très peu de soins, si on choisit la bonne variété selon la zone de rusticité. Le plant doit être planté en pleine terre, dans un sol sec et bien drainé, d’où l’eau s’égoutte facilement. Les terres sablonneuses et rocailleuses sont des endroits parfaits pour la lavande. Elle ne requiert pas d’eau, on ne l’arrose qu’au moment de la plantation, puis plus jamais, sauf en période de très grande sécheresse. Un des critères les plus importants est l’emplacement que vous choisirez pour votre plant : la lavande aime le soleil et en veut le plus possible pour faire ses belles fleurs mauves qui parfumeront votre mois de juillet. La première année, soyez patient, vous n’aurez pas de fleurs, mais dès la deuxième, votre plant fleurira vers la fin du mois de juin et ce, pour 3 à 4 semaines. En plus d’être jolie et de parfumer, la lavande peut être récoltée et séchée. Vous aurez ainsi de la lavande pour cuisiner (attention aux variétés choisies), pour décorer ou parfumer votre intérieur. Votre plant de lavande peut vivre longtemps, facilement une bonne dizaine d’années. Avez-vous le pouce mauve ?

Été, alcool et grossesseQui n’a pas envie d’un petit « drink » estival? Vous savez, ce subtil mélange de jus de fruits, d’alcool, de glaçons et de couleurs vives, servi dans un grand verre avec une paille et un petit parasol en papier? Les doux rayons du soleil, de plus en plus présents, nous font rêver à ces après-midis de farniente avec un bon cocktail. C’est tout à fait légitime.Mais pas pour moi. Ou en fait oui, je boirais volontier la description plus haut mais en omettant l’alcool. Pas parce que je n’aime pas ça. C’est plutôt un choix. Je suis une grande migraineuse qui ne supporte pas l’alcool. Il y a plusieurs années, j’ai donc fait le choix entre un bon verre et une bonne migraine… vous devinez le reste! Cet été, je ne serai pas seule dans mon clan familial à ne pas boire. Notre fille aînée a un polichinelle dans le tiroir (je cherchais désespérément une occasion de ressortir cette vieille expression qui m’a toujours fait rire !). De passage au Salon Maternité Paternité Enfants à la Place Bonaventure en avril dernier, nous avons appris une foule de données sur l’alcool et la grossesse, de quoi faire peur, mais surtout, faire réfléchir ! En en bonne ancienne journaliste que je suis, j’avais vraiment envie de partager ces informations avec vous.Il n’y a pas de quantité d’alcool acceptable ni de bon moment de consommer lorsque vous êtes enceinte

ou souhaitez le devenir, dixit Santé Canada. C’est radical, je l’avoue, mais ça découle du fait qu’on n’a aucune idée de la quantité d’alcool qui peut nuire au développement du bébé. En plus, personne n’a pu démontrer qu’il y avait des périodes durant la grossesse où l’on pouvait boire de l’alcool sans risque. Et le risque, il est grand ! On parle ici de l’ensemble des troubles causés par l’alcoolisation fœtale (ETCAF). Aucun parent n’a envie d’être responsable des problèmes d’apprentissage ou de comportement de son enfant. Aucun parent ne veut que son rejeton ait des difficultés sur le plan social et dans ses relations avec les autres à cause d’un verre de vin pendant la grossesse. Je me dis qu’une future maman prévenue

saura faire les choix qui s’imposent. Si vous voulez plus d’information sur ce sujet, je vous invite à visiter le site de Santé Canada en cherchant le Guide pratique d’une grossesse en santé. Oh, et si vous me croisez cet été avec un verre de limonade à la lavande en guise d’apéro, dites-vous bien que ce n’est pas parce que je suis « plate » dans la vie !

Je   suis   Nancie   Ferron,            c o -­‐ f o n d a t r i c e   e t   c o -­‐propriétaire   de   la   Maison  Lavande   à   Saint-­‐Eustache.  Il   me   fait   plaisir   de   me  jo indre   à   l ’équ ipe   de  Catherine   Verdon   dans  chaque  paruEon  de  Partout  Ici   et   vous   retrouver   dans  cet   espace   que   je   signe.   Je  partagerai   avec   vous   des  idées,   des   trouvailles,   des  infos  et  des   conseils  …   tout  ce  qui   fait  que   j’ai   envie  de  

garder   ce   contact   avec   vous.   Pendant   plus   de   20   ans,   comme  journaliste   à   la   télé,   j’avais   le   privilège   d’entrer   dans   vos   foyers  chaque   soir.   La   télé   ne   me   manque   pas,   mais   le   contact   avec  vous,  oui.  CeMe  page  se  veut  donc  un  véhicule  afin  que  je  puisse  rester  en  lien  avec  vous.  J’espère  que  vous  aurez  autant  de  plaisir  à  me  lire  que  moi  j’en  ai  à  l’idée  d’écrire  pour  vous.

44 PARTOUTICI.COM

Dans le cadre de ce numéro portant sur la santé physique, j’ai choi-si de vous entretenir sur la santé de nos pensées et sur quelques éléments à considérer. À un moment ou un autre de notre vie, il vient un temps où un ménage de nos croyances s’impose afin de laisser, incidemment, plus de place à du nouveau dans notre vie. Est-ce que ce moment est venu pour vous ?

La programmation neurolinguistique (communément appelée la PNL) met de l’avant l’idée que nos pensées précèdent nos gestes et nos actions. Alors, raison de plus pour y voir, et ce, avec conscience, patience et amour envers soi. Rappelons-nous tout de même que plusieurs de ces pensées et croyances nous ont été utiles un certain temps !

Ce moment d’introspection, qui peut être effectué avec l’aide d’un coach PNL ou dans le cadre des formations offertes à l’Institut de coaching international, tient compte notamment du fait que nos peurs, qui font bien sûr partie de nos pensées, ont une intention positive. Sinon, pourquoi seraient-elles si présentes en nous ? S’ar-rêter pour percevoir la peur comme une alliée plutôt que comme un frein est puissant et libérateur pour plusieurs. Tentons donc de découvrir comment nous a servi cette peur jusqu’à présent. Cela nous permettra de la comprendre mieux et de l’accueillir pour ainsi peut-être nous en défaire.

Aussi, il peut être intéressant de jeter un regard sur les mots utili-sés dans notre langage. Par exemple, lorsque je me dis que je ne prends jamais soin de ma santé, est-ce réellement le cas ? Jamais, jamais ? Les mots ont un poids et une vibration. Surtout, ne né-gligeons pas leur impact dans notre vie. Parfois, certains d’entre nous avons tendance à déformer et même à dramatiser notre vie. Ce faisant, nous oublions la réalité…

En terminant, sachez qu’un autre des postulats de la PNL est que l’on fait toujours les bons choix. Poser un regard sur nos pensées négatives en ayant cette idée en tête jette un éclairage nouveau sur le passé…

Au-delà de tous ces concepts, n’oubliez pas de cheminer dans le plaisir !

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DES PENSÉES EN SANTÉ

GRÂCE À LA PNL, par NATHALIE HAMELIN, INSTITUT COACHING INTERNATIONAL

Le nouveau mouvement de conscience sociale Inspire-toi est un véritable tsunami d i̓nspiration qui prend forme au Québec, grâce à l̓ implication de plusieurs joueurs de différents domaines dʼactivité désirant faire un changement et améliorer notre monde. Rassembler, mobiliser et inspirer la possibilité sont la mission profonde derrière le mouvement de conscience sociale Inspire-toi, créé par François Lemay, conférencier dʼinspiration et expert en enseignement de pleine conscience. « R e n d r e a c c e s s i b l e à t o u s l e s connaissances pertinentes, afin de permettre à chacun de mieux se comprendre, se réaliser pleinement et savourer en pleine conscience ce grand privilège quʼest la vie.

Cʼest suite à une forte intuition que François sʼest lancé dans ce grand rêve, qui vivrait en lui depuis plusieurs mois déjà. « Créer, initier un mouvement de conscience sociale qui inspirera le monde à un désir profond dʼêtre une meilleure version de soi-même, un pas à la fois. » Ce coach de vie et entrepreneur a décidé, même si cela nʼavait aucun sens, de faire le saut et de rajouter ce projet à son horaire déjà très chargé. « Quand une intuition comme celle-là ne nous lâche pas, cʼest parce que nous devons absolument la suivre, même si ça fait peur ». François a donc réservé les salles pour 10 mois par année à Québec et Laval, avant même dʼavoir le premier partenaire et conférencier qui v o u d r a i t p a r t a g e r gratuitement son expertise. En plus dʼune différence positive dans la vie des gens, voici la vision qui venait avec ce mouvement : Être gratuit pour tout le monde . Souvent, une transformation de vie affecte aussi le côté fi n a n c i e r . C e g e n r e dʼinformations devrait être partagé dans les écoles dès notre tout jeune âge. Apprendre à se connaître nʼest-il pas autant sinon plus important que le français, l̓ histoire ou les maths ? « Jʼy crois et je me fais un devoir de contribuer à ma façon afin quʼun jour, cela puisse être partagé à nos enfants…et ce le sera ! »

Chaque mois, à Laval et Québec, retrouvez ces soirées-conférences d i̓nspiration touchant la conscience et la spiritualité. Plusieurs collaborateurs se sont joints au projet, comme le magazine Partout Ici, et plusieurs autres, afin dʼassurer la viabilité dʼun tel projet. Chaque mois, des conférenciers experts en croissance personnelle viennent partager avec coeur et authenticité leur expérience et connaissances, avec l̓ intention première de contribuer et aider. François anime et guide ce grand mouvement, réunissant déjà plus de 1500 personnes par mois. Lʼhumour, l̓ authenticité, la vulnérabilité, l̓ humilité, la bienveillance et le profond désir de contribuer et faire une différence dans le monde sont les caractéristiques que partagent François et tous les intervenants qui se collent au projet.

Soyons le changement que lʼon veut voir dans le monde. - Ghandi

12-13 maiFrance Gauthier

Anik Lapratte Jean-Charles Chabot Sébastien Louis 16

9-10 juinJohanne Fontaine

Daniel Blouin Annie Létourneau

François Lemaywww.francoislemay.caINSPIRE-TOI.CA

45PARTOUTICI.COM

Peur de l’Inde ?L’Inde fait peur. Très peur. En même temps, beaucoup y pensent, l’espèrent et rêvent de partir là-bas…

Après plus de quarante séjours là-bas, je peux affirmer que ce pays peut faire peur que par son immense diversité de lumières, de paysages, de cultures.

Il y a tout pour faire peur. L’Inde du Nord, l’Inde du Sud, l’Inde des Maharajahs, l’Inde de l’Himalaya, l’Inde du désert, des riches, des villes, des gitans, des mendiants, l’Inde Sacrée, l’Inde des animaux, l’Inde des Tibétains déracinés, l’Inde des épices, des bijoux, des plages, des saveurs, des bruits, des odeurs, des silences, et il y a « son » Inde… car à chacun son Inde.

Il y a aussi l’existence si frappante des adeptes de la religion : C’est le

pays de l’hindouisme, des yogis, des gourous, de la méditation, du yoga, des ashrams, des pèlerins solitaires, du bouddhisme tolérant et du bain purificateur dans le Gange Sacré.

Je n’ai pas mentionné les paysages fantastiques de l’Himalaya, les châteaux et forts du Rajasthan, la campagne douce et colorée par ses champs de moutarde, cette chaleur sèche et torride du désert, les cours d’eau desséchés, les troupeaux de chèvres, moutons, chameaux, éléphants, les backwa-ters du Kerala et ces villes festives. L’Inde, un pays de contrastes, de mystères, de découvertes que nous ne pouvons qu’entrevoir en un seul voyage. Un pays immense, tolérant, un pays en évolution, un pays de traditions.

Un incomparable projet de voyage. En groupe ou à l’individuel. Les Routes du Monde offre une équipe de chauffeurs et de guides qui travaillent en exclusivité pour nous, sur l’ensemble du pays.

Si vous pensez partir en Inde, s’il vous plaît, contactez-nous, nous la connaissons. Jamais vous n’oublierez, et jamais vous n’aurez encore peur, sans la connaître…

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RÉDACTRICE EN CHEF Catherine Verdoninfo@partoutici.com514-585-9536 DESIGN GRAPHIQUE CRÉATIFHypnose communications inc.514 225-4103hypnosecommunications.com

IMPRESSION Le Groupe Communimédia inc. DISTRIBUTION Diffumag inc.

TIRAGE 15 000 copies

EN COUVERTURE depositphoto.comBruny Surin © École entrepreneurship de Beauce Karine Champagne © Caroline Durocher Patrice Godin © Julie Perreault HOME MAGAZINE : Marie-Josée Leblanc

Dépôt légal – Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2012 ISSN 1927 9027 (édition IMPRIMÉE) ISSN 1927 9035 (édition INTERNET)

ÉDITIONCatherine Verdon Communications inc.MERCI SPÉCIAL : Joyce Desmarais, Julie Niquette, Marie-Josée Leblanc, France Dubé, Normand Verdon, Jeremy Quintal

Toute reproduction des textes, illustrations et photographies contenus dans ce document est interdite sans le consentement écrit de l’éditeur. Bien que toutes précautions aient été prises pour assurer la rigueur des renseignements contenus dans ce document, il est entendu que l’éditeur ne peut se tenir responsable des erreurs et des négligences commises dans l’emploi de ces renseignements, non plus que leur réalisation.

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