72
L’outil PATHOS Formation 2014 Capacité de Gériatrie Dr S. Hermabessière

Pathos Capacite 2014.pdf

  • Upload
    halien

  • View
    229

  • Download
    2

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Pathos Capacite 2014.pdf

L’outil PATHOS

Formation 2014

Capacité de Gériatrie

Dr S. Hermabessière

Page 2: Pathos Capacite 2014.pdf

Guide de formation PATHOS - Formation nationale 2014

Pourquoi un codage ?

Inégalités de pratiques et de lourdeur en

soins des structures : adaptation des

moyens aux besoins

Valorisation des soins au sein de la

structure

Données épidémiologiques

2

Page 3: Pathos Capacite 2014.pdf

Guide de formation PATHOS - Formation nationale 2014

Personnes concernées ?

Patients :

- vivant en structure EHPAD – USLD

- âgés de plus de 60 ans

- bénéficiant de soins sur place y

compris par HAD

3

Page 4: Pathos Capacite 2014.pdf

4

Guide de formation élaboré par les auteurs

du « MODÈLE PATHOS »

M. J.M. DUCOUDRAY

Dr Y. EON

Dr R. LEROUX

Dr E.ODINET-RAULIN

Dr P. PRÉVOST

Dr C. REA

Dr J-M. VETEL

~

Mise à jour 2014

Illustrations M. V. DUMARD

Page 5: Pathos Capacite 2014.pdf

5

Principes

du modèle PATHOS

Page 6: Pathos Capacite 2014.pdf

6

PATHOS

Outil de coupe transversale

PATHOS fait la photographie des pathologies

d’un patient et des soins requis un jour donné

PATHOS évalue les soins requis pour tous les

« États pathologiques » présentés par un patient

un jour donné.

Page 7: Pathos Capacite 2014.pdf

7

« Soins requis »

• UTILE : fait référence aux recommandations professionnelles (HAS, sociétés savantes, littérature, …).

• FAISABLE et ACCEPTÉ : fait référence à l’état de santé du patient, l ’antériorité du soin, la polypathologie, la qualité de vie, l’avis du patient, l’éthique, le service rendu à la personne, la persévérance raisonnable,

VOULU aussi par le médecin traitant du résident, prescripteur des bilans et des soins pour son patient.

Pas forcément ce qui est fait aujourd’hui

Page 8: Pathos Capacite 2014.pdf

8

Un thésaurus de 50 états

pathologiques

Page 9: Pathos Capacite 2014.pdf

9

Qu’est-ce qu’un état pathologique ?

Toute expression d’un dysfonctionnement :

symptôme,

diagnostic précis,

syndrome général.

Classés en 10 grands domaines

Page 10: Pathos Capacite 2014.pdf

10

États pathologiques

• Certains très généraux

ex. : syndromes digestifs hauts, syndromes

infectieux.

• D’autres beaucoup plus précis

ex. : escarre, embolie pulmonaire.

Page 11: Pathos Capacite 2014.pdf

11

Pas d’utilisation de la classification CIM 10 :

l’objectif de PATHOS n’est pas

épidémiologique

Objectif : contribuer à la description de la population et de ses besoins en soins

Un thésaurus simple est suffisant compte tenu de l’objectif fixé

Page 12: Pathos Capacite 2014.pdf

12

Les 50 états pathologiques

recouvrent la totalité des situations

rencontrées en limitant à 1,5 % les états

pathologiques codifiés :

« autres états pathologiques »

Page 13: Pathos Capacite 2014.pdf

13

Chaque état pathologique

recouvre parfois plusieurs maladies différentes

mais dont la prise en charge requise va utiliser

les mêmes types de moyens,

exemple : les divers troubles du rythme quels

qu’ils soient vont mobiliser les mêmes

investigations

(ECG, échocardio, etc.).

Page 14: Pathos Capacite 2014.pdf

14

8 postes

de consommation

de ressources

Page 15: Pathos Capacite 2014.pdf

15

8 postes de consommation

de ressources en soins identifiés

Pour dispenser les soins médicaux, para-

médicaux et techniques nécessaires pour la

prise en charge d’un état pathologique, diverses

« ressources » vont être consommées à des

degrés divers.

Page 16: Pathos Capacite 2014.pdf

16

8 postes de ressources

1) Gériatre

2) Psychiatre

3) Infirmière

4) Rééducateurs Kiné/ergo/orthophoniste

/psychomotricien

5) Psychologue

6) Biologie

7) Imagerie

8) Médicament

Page 17: Pathos Capacite 2014.pdf

17

12 « profils » de soins

Page 18: Pathos Capacite 2014.pdf

18

La notion de profil

L’état pathologique « seul » ne suffit pas à

indiquer les moyens à mobiliser pour sa prise en

charge, il faut le caractériser par son

« ambiance » de soins techniques nécessaires :

son PROFIL

Page 19: Pathos Capacite 2014.pdf

19

Un profil de soins est à choisir pour

qualifier chaque état pathologique

identifié chez un patient.

C’est le couple état pathologique /

profil de soin qui détermine la quantité

de mobilisation nécessaire des 8

postes de ressources.

Page 20: Pathos Capacite 2014.pdf

20

Page 21: Pathos Capacite 2014.pdf

21

Page 22: Pathos Capacite 2014.pdf

22

Les 8 acteurs mobilisés

Gériatre Psychiatre Infirmières Kiné / Ergo

Psychologue Biologie Imagerie Médicaments

Page 23: Pathos Capacite 2014.pdf

23

Profil T1 = pronostic vital en jeu au quotidien

Page 24: Pathos Capacite 2014.pdf

24

Profil T1 = pronostic vital en jeu au quotidien

Quasiment jamais rencontré en EHPAD et USLD

surveillance médicale constante, prise en charge en réanimation

cas exceptionnel du transfert d ’un résident en choc septique le jour de la coupe, détresse cardi-respiratoire, coma hyperosmolaire…transféré le jour même

Page 25: Pathos Capacite 2014.pdf

25

Profil T2 = équilibration des TT, surveillance rapprochée. Haut risque de rechutes

Page 26: Pathos Capacite 2014.pdf

26

Profil T2 = équilibration thérapeutique et surveillance

rapprochée

Surveillance médicale pluri-hebdomadaire et permanence infirmière 24/24, soins techniques infirmiers quotidiens

pathologie aigüe, état précaire avec décompensations itératives connues

exemple : bronchopneumopathie aigüe sous perfusion, oxygénothérapie, surveillance quotidienne des constantes; insuffisance cardiaque stade III ou IV équilibrée grâce à la surveillance quotidienne, aux ajustements thérapeutiques fréquents, à la surveillance biologique, décompensations itératives dans l’année

Page 27: Pathos Capacite 2014.pdf

27

Profil P1 = prise en charge psychiatrique de crise

ou à rechute

Page 28: Pathos Capacite 2014.pdf

28

Profil P1 = prise en charge psychiatrique de crise

ou à rechute

Niveau de soins psychiatriques et psychothérapiques individuels importants

pathologies aigües ou en équilibration thérapeutique, surveillance rapprochée, risque de rechutes très fréquentes

forte mobilisation du psychiatre et de l’équipe soignante, comprend la prise en charge médicamenteuse

Page 29: Pathos Capacite 2014.pdf

29

Profil P2 = prise en charge psychothérapique

de soutien

Page 30: Pathos Capacite 2014.pdf

30

Profil P2 = prise en charge psychothérapique

de soutien

niveau de soins psychiatriques et psychothérapiques pour prendre en charge, surveiller et traiter des troubles neuropsychiatriques diagnostiqués, mobilisant surtout les paramédicaux

s’applique aux états pathologiques caractérisés et non aux symptômes

psychothérapie ordonnancée pas exclusive des psychologues, concerne l’ensemble de l’équipe soignante (formée)

Page 31: Pathos Capacite 2014.pdf

31

Profil R1 = RRF intensive (individuelle)

Page 32: Pathos Capacite 2014.pdf

32

Profil R1 = RRF intensive (individuelle)

niveau de soins et environnement technique de rééducation réadaptation fonctionnelle quotidienne et individuelle (2 fois 25 minutes par jour au minimum), pour une personne coopérative et en capacité d’en tirer un bénéfice

implique (requis) le médecin MPR pour l’analyse de la situation (objectifs, évaluation), kinésithérapeute, ergothérapeute...

Exception : lymphoedème, kinésithérapie respiratoire et incontinence urinaire* sont R1

* si les conditions sont remplies

Page 33: Pathos Capacite 2014.pdf

33

Profil R2 = RRF de soutien ou allégée

Page 34: Pathos Capacite 2014.pdf

34

Profil R2 = RRF de soutien ou allégée

niveau de soins rééducation et de réadaptation fonctionnelle quotidienne de 20 à 30 minutes par jour, par un kinésithérapeute et/ou un autre rééducateur pour une personne coopérative et en capacité d’en tirer un bénéfice (compréhension)

évaluation inscrite au dossier, objectifs de rééducation

la mobilisation passive des patients alités pour des affections aigües ou subaigües, ou porteurs d’escarres, ou en état terminal est comprise dans les profils de ces EP

Page 35: Pathos Capacite 2014.pdf

35

Profil CH = plaies, soins locaux complexes et longs

Page 36: Pathos Capacite 2014.pdf

36

Profil CH = plaies, soins locaux complexes et longs

niveau de soins médicaux et techniques pour

effectuer et surveiller des pansements lourds

au moins 20 minutes tous les jours ou tous les

deux jours, temps de préparation du chariot

exclu

état clinique grave sous-jacent le plus souvent

Page 37: Pathos Capacite 2014.pdf

37

Profil DG = investigations pour un état non

diagnostiqué (hors T1 ou T2)

Page 38: Pathos Capacite 2014.pdf

38

Profil DG = investigations pour un état non

diagnostiqué (hors T1 ou T2)

Ambiance « froide » : pathologie effective, non diagnostiquée, démarche diagnostique souhaitable, utile et acceptée (bénéfice pour le patient), voulue par le médecin traitant

exclusion des troubles anciens : démence évoluée, jamais étiquetée, question posée au moment de la coupe

travail généré : démarche diagnostique, examen, prise de contact, ampleur des explorations complémentaires prévisibles (ECBU pour infection urinaire ne justifie pas un DG)

Page 39: Pathos Capacite 2014.pdf

39

Profil M1 = soins palliatifs psychothérapiques et/ou techniques lourds

Page 40: Pathos Capacite 2014.pdf

40

Profil M1 = soins palliatifs psychothérapiques et/ou

techniques lourds

Situation de fin de vie, nécessitant une mobilisation importante de moyens d ’ordre psychothérapeutiques et de moyens techniques, symptômes pénibles permanents ou instables

information de la famille et formalisation dans le dossier médical d ’un projet de soins centré sur le confort et l’accompagnement de fin de vie

arrêt des thérapeutiques actives, sauf celles assurant le confort

Page 41: Pathos Capacite 2014.pdf

41

Profil M2 = « état crépusculaire »

soins palliatifs d’accompagnement

Page 42: Pathos Capacite 2014.pdf

42

Profil M2 = « état crépusculaire »

soins palliatifs d’accompagnement

État de fin de vie formulé clairement, conséquences de l ’évolution de maladies, symptômes d’inconfort physique et psychique contrôlés sans soins techniques lourds

comprend l’accompagnement psychologique de l’entourage de caractère courant

arrêt des thérapeutiques actives, kinésithérapie de confort incluse dans le profil.

Page 43: Pathos Capacite 2014.pdf

43

Profil S1 = prévention, surveillance,

dispensation médicamenteuse

Page 44: Pathos Capacite 2014.pdf

44

Profil S1 = prévention, surveillance,

dispensation médicamenteuse

Surveillance au long cours des pathologies chroniques stabilisées et de leur traitement, pansements simples, préparation et dispensation médicamenteuse

surveillance épisodique de situations particulières, bilans programmés (hebdomadaires, mensuels)

comprend les protocoles thérapeutiques d’adaptation des doses d’insuline, perfusions sous cutanées en prévention de la déshydratation, prise en charge de la dénutrition avec surveillance de l’alimentation...

Page 45: Pathos Capacite 2014.pdf

45

Profil S0 = absence significative de prévention, de surveillance ou de soins

Page 46: Pathos Capacite 2014.pdf

46

Profil S0 = absence significative de prévention, de

surveillance ou de soins

États pathologiques stabilisés et séquellaires

signalés car pouvant générer et expliquer une

perte d’autonomie

ne requérant aucun soin technique, aucune

surveillance particulière

cas particuliers : démence non traitée et

évoluée - S0, incontinence - S0

Page 47: Pathos Capacite 2014.pdf

47

240 couples plausibles

état pathologique / profil

Page 48: Pathos Capacite 2014.pdf

48

Le modèle pathOs

Comment ça marche ?

Page 49: Pathos Capacite 2014.pdf

49

La valorisation

240 « ordonnances de moyens » ont été

élaborées en aveugle par les experts

Objectif : prescrire a priori les moyens

hebdomadaires nécessaires dans chacun

des 8 postes de consommation de ressources

pour chaque couple EP/profil : en temps

estimé, en actes ou en francs à l’époque

Page 50: Pathos Capacite 2014.pdf

50

Pour chaque poste de ressource

On a le choix entre 4 niveaux possibles : • 0 (pas besoin de cette ressource)

• A (un peu)

• B (beaucoup)

• C (passionnément) Point essentiel : le maximum C (passionnément est variable selon la ressource)

Le maximum de gériatre C : 20 minutes par jour

Le maximum d’infirmière C : 2 heures/jour

Page 51: Pathos Capacite 2014.pdf

51

Exemple de couple EP/profil :

insuffisance cardiaque / T2

Page 52: Pathos Capacite 2014.pdf

52

Niveau de soins par poste Insuffisance cardiaque - T2

50%

40%

30%

20%

10%

0

13 min 36min

20 min

Géri Psy Inf Rééd Psycho Bio Image Pharma

B B B B B 0 0 A

Page 53: Pathos Capacite 2014.pdf

53

Exceptions à cette règle des 4 niveaux

par poste de consommation de

ressources

Elles concernent : l’imagerie,

la biologie et la pharmacie.

Des « C+ » portent sur des prescriptions

rares et coûteuses qui s’appliquent

à certains couples EP/Profil.

Page 54: Pathos Capacite 2014.pdf

54

Prise en compte de la

polypathologie pour un patient

Notion de « sommation pondérée »

Page 55: Pathos Capacite 2014.pdf

55

Lorsqu’une personne âgée

présente plusieurs pathologies

la simple addition

des moyens mobilisés dans chacun

des 8 postes de consommation de ressources

pour chacune des pathologies

n’est pas pertinente.

Ont donc été élaborés

différents algorithmes de

sommation pondérée.

Page 56: Pathos Capacite 2014.pdf

56

Objectifs de la sommation pondérée

Coller à la réalité : le bon sens, en se

donnant des maxima plausibles de plafond de

ressources.

Tenir compte de la simultanéité de

certaines tâches.

Prendre en compte les exceptions.

Page 57: Pathos Capacite 2014.pdf

57

Qu’est-ce qu’une sommation pondérée ?

Ce n’est pas une simple addition.

Ce sont des « prix de gros » selon des règles

préétablies dans chaque poste de ressources.

Dans l’exemple suivant : la démence P2 ajoutée à

l’insuffisance cardiaque T2 n’augmente ni le temps

médecin, ni le temps infirmier, mais rajoute 1

ct/15 jours de psychiatre et 1 h/semaine de

psychologue

Page 58: Pathos Capacite 2014.pdf

58

Niveau de soins par poste

Insuf. Card. T2 et démence P2

50%

40%

30%

20%

10%

0

13mn 36min

20 min 1Ct/15J

1H/sem

Géri Psy Inf Rééd Psycho Bio Image Pharma

B B B B B A A A

Page 59: Pathos Capacite 2014.pdf

59

En résumé

L’indicateur individuel de niveaux

de soins requis pour un patient

s’élabore en trois étapes :

Page 60: Pathos Capacite 2014.pdf

60

1/ Identification des états pathologiques

et de leurs profils de soins,

seule tâche à laquelle

est astreint le corps médical.

Page 61: Pathos Capacite 2014.pdf

61

2/ Détermination, grâce au logiciel,

par couple état pathologique/profil de soins

des niveaux 0 A B C nécessaires

dans chacun des 8 types de ressources

pour chaque maladie avec son profil

(avec d’éventuels suppléments).

Page 62: Pathos Capacite 2014.pdf

62

3/ Pour l’ensemble des maladies

(couples EP/profil) du malade, la sommation

pondérée des niveaux de soins dans chacun

des 8 postes de ressources aboutit à

déterminer :

le nombre de points pathOs total de

gériatre, d’IDE, de psychiatre, etc. pour la

prise

en charge des x maladies de ce malade.

Page 63: Pathos Capacite 2014.pdf

63

Pour un groupe de malades,

le bilan résulte ensuite de

la simple addition

des indicateurs individuels

dans chacun des 8 postes.

Page 64: Pathos Capacite 2014.pdf

64

Au total, sont constitués

pour un groupe de patients :

8 indicateurs globaux de niveau de soins

à mobiliser (pour chacun des 8 postes de

ressources).

1’indicateur moyen dans chaque poste

calculé de la façon suivante :

Indicateur global

Nombre de patients

Page 65: Pathos Capacite 2014.pdf

65

ATTENTION

Pas de barème permettant de passer des

indicateurs de points à des ressources

normatives.

L’outil n’a pas été conçu pour calculer

les points PATHOS d’un malade donné.

PATHOS ne sert qu’à évaluer des groupes de

patients.

Page 66: Pathos Capacite 2014.pdf

66

LE PMP (PATHOS Moyen Pondéré)

Indicateur global de charge en soins pour la prise en charge

des poly-pathologies d’une population donnée.

Le PMP exprime la « lourdeur en soins médicaux d’un

malade moyen » comme le GIR moyen pondéré

exprime la « lourdeur en soins de base d’un malade

moyen ».

Il correspond à la somme des points valorisés des niveaux de

soins nécessaires dans les huit postes de ressources d’un

groupe de malades.

Page 67: Pathos Capacite 2014.pdf

67

Les soins médicaux et techniques importants :

« SMTI »

Correspondent à la nécessité d'une prise en charge par une structure

disposant de ressources humaines et matérielles suffisantes pour

assumer correctement et en toute sécurité des pathologies « lourdes »

évolutives et/ou instables, sans préjuger de la nature de cette structure.

Un patient est SMTI quand il présente un ou plusieurs couples état

pathologique - profil imposant le plus souvent une permanence

infirmière 24 heures sur 24 et une surveillance médicale rapprochée

pluri-hebdomadaire.

Profils : T1, P1, M1, T2 et certains profils R1

Critère d’entrée en USLD ++

Page 68: Pathos Capacite 2014.pdf

68

Complémentarité AGGIR/PATHOS

Le degré d’autonomie est évalué avec le modèle AGGIR et fait intervenir les aides soignants

Les soins requis relatifs aux pathologies sont évalués avec le modèle PATHOS et font intervenir les médecins, pharmaciens, infirmiers, kinés, …

Depuis peu, codage simultané pour croisement des données

Ces 2 variables sont indépendantes mais

certains codages sont peu compatibles

Page 69: Pathos Capacite 2014.pdf

Formation nationale validation coupes PATHOS 2014 69

Cas cliniques

Page 70: Pathos Capacite 2014.pdf

70

Page 71: Pathos Capacite 2014.pdf

71

Page 72: Pathos Capacite 2014.pdf

72