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Le magazine des fêtes juives Hag Saméah Retrouver des recettes iné- dites de gâteaux pour Pessah. Conformes à toutes les exi- gences de la Hala’ha, sans farine de Matsa. Pour des gâteaux encore meilleurs que pendant le reste de l’année. Sans oublier les traditions et… la déco ! Pessah 5773-2013 Numéro spécial gâteaux de Pessah

Pessah 5773-2013

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Retrouver des recettes inédites de gâteaux pour Pessah. Conformes à toutes les exigences de la Hala’ha, sans farine de Matsa. Pour des gâteaux encore meilleurs que pendant le reste de l’année. Sans oublier les traditions et…la déco !

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Le magazine des fêtes juives

Hag SaméahRetrouver des recettes iné-dites de gâteaux pour Pessah.Conformes à toutes les exi-gences de la Hala’ha, sans farine de Matsa.Pour des gâteaux encore meilleurs que pendant le reste de l’année.Sans oublier les traditions et… la déco !

Pessah 5773-2013

Numéro spécial gâteaux de Pessah

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www.hagsameah.org

Retrouver le magasine Hagsameah en ligne.

www.hagsameah.org

Chères lectrices,

Nous nous retrouvons avec le magazine de Pessa'h pour la …quatrième année déjà!Conservez bien les numéros précédents (ou retrouvez-les sur le site Hag Sameah), ils se complètent et tous réunis, ils vous donneront plein d'idées pour réussir vos nombreux menus de Pessa'h.Il y a eu des salades, des plats de fête, des desserts, de la tradition…Ce numéro, nous l'avons consacré aux gâteaux!De vrais gâteaux, aussi bon que pendant toute l'année. Et ce, sans farine de matza, uniquement de la fécule de pomme de terre.

Les préparatifs de la fête de Pessah sont innombrables: le nettoyage intensif, la cachérisation, les courses qui n'en finissent pas…L'étape ultime, c'est la cuisine.Mais pour la femme juive, c'est un nouveau commencement; juste le temps de s'habituer à sa "nouvelle" cuisine, ses nouveaux appareils et c'est reparti… Cette année vous allez ajouter à cela la pâtisserie et la décoration de la table.Essayez au moins ces délicieux gâteaux et vous n'y renoncerez plus jamais.Quant à la décoration de la table, déléguez cette agréable tache aux autres membres de la famille, tout le monde sera ravi.Avec tout cela vous serez de vrais fils et filles de rois!

Hag Saméah !

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Le cake aux pommes

Réalisation:Eplucher les pommes et les couper en petits morceaux, les mélanger avec le sucre et la cannelle. Tapisser le moule de cette préparation et réserver. Dans un saladier, battre les œufs entiers avec le sucre à vitesse maximale jusqu'à obtenir une crème claire. Puis baisser la vitesse, ajouter le sucre vanillé, la poudre d’amandes et la fécule de pommes de terre.Verser la préparation dans le moule, sur les pommes.Enfourner à 180 degrés et laisser environ 45 minutes .

Ingrédients: (pour 2 english cake)

Si simple et si délicieux…C’est un gâteau que ferez et referez. A servir avec un verre de thé !

8 œufs2V de sucre4 sachets de sucre vanillé1v de poudre d’amandes2v de fécule de pommes de terre7 pommes jaunes ou vertesUne cuillère de sucre et une demi-cuillère de cannelle pour les pommesDeux moules à cake ou un moule 23/33cm.

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Le fraisier

Réalisation :Séparer les blancs des jaunes d’œuf. Faire monter les blancs d’œuf sans le sucre. Réserver.Dans un autre saladier, Battre les jaunes puis rajouter les autres ingré-dients en terminant par la fécule.Incorporer délicatement les blancs battus à cette préparation.Verser dans deux moules iden-tiques de 23cm de diamètre ou 20/20cm.Enfourner à 175 degrés et laisser 20 minutes.Une fois les gâteaux refroidis, étaler

sur un premier une couche de crème, Couper les fraises en tranches dans la longueur, et les poser sur la crème. Dessus, poser délicatement le deuxième gâteau, recouvrir de crème et à nouveau garnir de fraises coupées en tranches.Pour faire briller les fraises, réchauf-fer un peu de confiture de fraise et étaler dessus avec un pinceau.Remarque : Pour le fourrage, vous pouvez remplacer la crème fraiche par une crème pâtissière avec de la fécule de pommes de terre au lieu de la farine.

10 œufs 1.5V de sucre1/4V de jus d’orange1/4V d’huileLe jus d’un demi-citron8 c à soupe de fécule de pomme de terre.Un pot de crème fraiche montée.Une barquette de fraises lavées et vérifiées.Deux moules ronds de 23cm de diamètre ou 20/20cm

Ingrédients :

A toutes! Cela vaut la peine de l’essayer au moins une fois, tout le monde se rappellera de votre fraisier. Sa recette par-ticulière lui donne une légèreté exceptionnelle. Et cela, avec de la fécule de pomme de terre !

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Les meringues

Ingrédients: (Pour environ 50 meringues)

Réalisation :

Ravissez vos enfants avec des meringues multicolores, ces friandises de Pessa’h présentées comme des sucettes, pour une ambiance de fête!

Faire monter les blancs avec le sucre et la fécule jusqu'à ce qu’ils soient très fermes.Séparer en trois et incorporer l’arome de votre choix, à la cuillère.Introduire la préparation dans une poche munie d’une douille.Sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé, former les meringues.Enfourner à 50 degrés et laisser au moins 6 heures (!) sinon une nuit.Pour vérifier si les meringues sont prêtes, les soulever, elles doivent se détacher facilement du papier sulfurisé.

6 blancs d’œuf350g de sucre1C à soupe de fécule pomme de terre Pour la couleur :Concentré de betterave /concentre de café.

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Pour le gateau:

Pour la garniture :

Réalisation :Préparer le gâteau :Battre les blancs d’œuf. Réserver.Battre les jaunes d’œuf et verser les autres ingrédients successivement en mélangeant.Incorporer très délicatement les blancs d’œuf à cette préparation.Verser dans 2 moules de 28cm de dia-mètre et enfourner à 175 degrés. Lais-ser cuire environ 15 minutes.Une fois les gâteaux refroidis, étaler la crème fraiche sur le premier et poser dessus le deuxième.Préparer la garniture : Mettre dans une casserole le sucre, la margarine, le lait de soja et le café. Laisser cuire jusqu'à ce que tous les ingrédients fondent et que le mélange soit homogène. Verser les amandes et bien mélanger pour qu’elles soient im-mergées dans le liquide.Quand c’est encore chaud, verser sur le gâteau et le recouvrir entièrement de façon homogène.

9 œufs séparés½ verre de jus d’orange1 verre de sucre1 verre de fécule de pomme de terre3 c à soupe de poudre d’amandes blanches2 moules de 28cm de diamètre.250 g de crème fraiche montée pour le fourrage entre les deux couches de gâteau.

6 c à soupe de sucre100g de margarine 2 c à soupe de café150g d’amandes coupées en bâtonnets3 c à soupe d’eau ou de lait de soja

Gateau moelleux aux amandes caraméliséesIngrédients :

Remarque : Vous pouvez aussi fourrer le gâteau avec une crème pâtis-sière en remplaçant la farine par de la fécule de pomme de terre.

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Le pliagedes serviettes.

De tous temps, les tables que dressaient les juifs le soir du Seder étaient une légende. Elles ont toujours fait briller les yeux des pilleurs du moyen âge en raison de l’étalage de richesse en vaisselle précieuse, et argenterie.En effet, cette nuit nous nous comportons comme des princes et des princesses, nous glorifions D. pour ses miracles extraordinaires et Lui, nous offre sa protection personnelle.Aujourd’hui aussi, nous cherchons chaque année à faire de notre table du Seder, une table digne de monarques.Pour cela, nous vous avons préparé trois arrangements de serviettes. Ils sont particulièrement simples à réaliser. Le secret de leur magie réside dans le choix des couleurs, des matières et des accessoires…Utiliser des carrés de 40cm/40cm. Les matières brillantes comme le satin donnent un effet sophistiqué et parfait.

Le pliagedes serviettes.

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Matériel nécessaire (pour chaque convive):

• Une serviette de 40cm/40cm

• Un ruban d’organza de la même couleur

• Une boucle façon bijoux

• Deux assiettes plates : une grande et une plus petite. (Si elles sont rondes, on choisira une boucle ronde ou ovale, si elles sont plutôt carrées comme dans notre exemple, on choisira une boucle de cette forme.

• Des ciseaux.

plier le carré de serviette en deux.

le plier à nouveau sur lui-même.

Poser le ruban bien au milieu de la serviette, la boucle aux 2/3 de la largeur de l’assiette, ce qui donne du ‘’chic’’.Faire entrer les pans de la serviette et du ruban sous la petite assiette et sur la grande.(C’est la raison pour laquelle pour cet arrangement, il faut obligatoirement deux assiettes).

Prendre le ruban d’organza et l’enfiler dans la boucle.

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Envelopper la petite assiette du rectangle obtenu bien au centre de l’assiette (l’espace restant doit être égal des deux cotés.)

Réalisation :

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A noter : Découper les bandes d’organza avant Yom Tov, et dresser la table pendant Yom Tov sans aucun problème de Hala’ha et sans problème de… Timing. 06 64 36 53 45

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Le ״Bandeau״

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Cet arrangement est particulièrement adapté à la table du seder parce qu’il n’encombre pas l’assiette que l’on va

remplir tout au long du Seder, et parce qu’il rappelle dans sa forme le baluchon

que nos ancêtres ont emporté avec eux lors de la sortie d’Egypte.

Matériel nécessaire • Deux serviettes de couleurs différentes qui se marient bien (généralement une claire et une plus foncée en restant dans le même ton)• Des fleurs de décoration munies d’une tige en fil de fer. • Des couverts : une fourchette, un couteau, une cuillère et une cuillère à dessert.

Réalisation : 1.

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Le “Baluchon”

Préparer la base sur laquelle reposera le ‘’baluchon’’. Il faut que la serviette soit d’une couleur qui mette le ‘’baluchon‘’en valeur ; en général, plus claire :

plier le carré de base en deux.

le plier une deuxième fois sur lui-même.

Preparer le ‘’baluchon’’:

Plier le carré de serviette en deux puis encore une fois.

plier la serviette dans l’autre sens en reliant les deux extrémités du rectangle.

froncer et attacher avec les fleurs de décoration (ou avec un ruban tout simplement).Ne pas serrer trop fort de manière à pouvoir glisser les deux cuillères.

Poser le ‘’baluchon’’ sur la base et glisser les couverts à leur place comme sur la photo.

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La ״bougie״Arrangement élégant, il

a un très bel effet sur une table dressée en raison de sa hauteur, on le pose au

milieu de l’assiette.

Matériel nécessaire :• Un carré de serviette.• Un accessoire pour la décoration.

Réalisationplier le carré en diagonale: on obtient un triangle.

Faire un pli d’un cm à la base.

Retourner la serviette.

Enrouler la serviette.

Fermer en glissant l’extrémité de la serviette à l’intérieur du pli.

Ajouter l’accessoire de votre choix.

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Comme promis, nous commençons la série des confitures qui accompagnent les fêtes juives et les marquent de leur douceur infinie…Pour les originaires d’Afrique du nord, le parfum de cette confiture ne fait qu’un avec la fête de Pessa’h.C’est un retour en enfance, plein de bons souvenirs familiaux et chaleureux.Comme toutes les traditions, c’est une occasion de se retrouver avec la génération passée et en même temps de transmettre à la génération suivante une richesse particulière, unique.La préparation même, longue et un peu compliquée berce le souvenir avec le bruit des oranges que l’on râpe et l’odeur d’oranges encore et encore bouillies…Et l’on passe des heures à préparer cette confiture pour retrouver tout ça.Mais nous allons vous aider pour qu’elle vous réussisse à coup sur. Suivez bien les étapes accompagnées de photos.et c’est gagné!

La confiture d’oranges

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Ingrédients:

1 Kg d’orangesEntre 500g et 1kg de sucre (suivant si on aime très sucré ou pas) 3/4V-1V d’eau½ bâton de cannelle ou une petite Des noix poignée de clous de girofle (selon le gout)grillées pour la déco.

Réalisation :

Râper les oranges : retirer uniquement la couche superficielle brillante en gardant la couleur orange. (photos 1 et 2)

1. Les rincer et les faire bouillir. Puis verser l’eau et rincer. (photo 3)Répéter cette opération encore trois fois. (Les oranges sont bouillies quatre fois en tout.)Cette étape a pour but de retirer l’amertume propre aux agrumes.Laisser tiédir et pendant ce temps, préparer le sirop.

2. Préparation du sirop : (photo4)Dans une marmite, verser le sucre et l’eau, la cannelle (ou les clous de girofle) et chauffer à feu doux. Remuer avec une cuillère jusqu'à dissolution du sucre et obtention du sirop : il est translucide mais pas complètement liquide. Le test, c’est la cuillère (photo 5): lorsque l’on soulève la cuillère, il y a un filet, cela veut dire que le sirop est prêt (au bout de 10 minutes environ).

La confiture d’oranges

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3. Couper les oranges en quartiers et les plonger dans le sirop (photo 6).Surveiller constamment et remuer. Re-tourner de temps en temps les quartiers d’orange, faire attention à ce qu’ils baignent tout le temps dans le sirop et ce, pendant environ une heure.Les oranges deviennent confites et prennent une jolie couleur claire (pho-to 7). Ne pas laisser brunir complète-ment le sirop deviendrait trop dur.

4. Faire griller quelques noix.Verser la préparation dans un joli plat de présentation et décorer de noix gril-lées.

5. Servez en dessert, pour le gouter, en petits morceaux dans vos gâteaux et bien sûr… Pour la Mimouna

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Cet envoi de colis or-ganisé par Koupat Ha’ir constitue le plus grand Kim’ha DePiss’ha au monde. Les colis sont dis-tribués dans tout Israël, de Safed et Tibériade au nord jusqu’à Beer Chéva et Nétivot au sud. Ils par-viennent aux familles qui n’ont pas de quoi acheter à manger pour Pessa’h.

36,000 colis, chacun com-posé de quatre caisses, sont acheminés depuis le hangar jusqu’aux foyers déshérités. Chaque colis vaut environ 1300 shek-els (260 euros). Il s’agit d’un Kim’ha DePiss’ha authentique car ce sont des produits nécessaires pour Pessa’h, pour vivre la fête dans l’abondance et dans la joie.

Il faut le voir…Quiconque n’a pas vu ces foyers qui connais-sent le manque tout au long de l’année ne peut pas savoir. Ceux qui ne sont pas entrés chez ces familles ne peuvent pas comprendre le bonheur d’un enfant à la vue d’armoires remplies, la joie d’une jeune fille face à des colis emplis de tout le nécessaire. Le manque est une souffrance déprimante, une torture permanente. Les enfants comprennent bien davantage que ne le croient leurs parents. Ils souffrent ! Parfois, les parents jugent impor-tant de savoir vivre selon ses moyens, aussi faibles soient-ils. Mais leurs enfants le vivent souvent comme une détresse réelle qui leur enlève leur joie de vivre, leur assurance, leur estime de soi.

Des tonnes de joie sont expédiées dans ces co-lis. Les enfants, fous de joie, s’en délectent. Sou-dain, la maison est emplie… Soudain, pour une semaine vivifiante, eux aussi sont des fils de rois ! La splendeur des supermarchés est négligeable face aux quatre caisses emplies de bonnes choses qui leur appartiennent, à eux ! Ce n’est pas dans les vitrines, c’est pour de vrai. C’est à eux !

Koupat Ha’ir le sait. Elle sait que ces caisses va-lent plusieurs fois leur valeur pécuniaire. Elles représentent des forces, un générateur de joie, une source de vitalité ! Koupat Ha’ir fait des ef-forts immenses pour que ces colis parviennent aux mains de ceux qui en ont tant besoin, aux familles qui manquent de tout, aux enfants aux-quels ils font l’effet d’une injection d’adrénaline..

Dans tout IsraëlL’équipe des envois tient en mains des listes ordonnées préparées des semaines à l’avance. Koupat Ha’ir assume le coût de cette œuvre im-mense tandis que les listes des familles néces-siteuses sont fournies par les responsables de tsédaka de chaque ville.

Dans chaque ville, le responsable de tsédaka est au courant de la situation des familles pauvres et présente à Koupat Ha’ir une liste des néces-siteux. Ce projet de Koupat Ha’ir est réalisé en coopération avec les responsables de tsédaka de chaque ville afin qu’ils décident à qui ces colis se-ront envoyés, présentent les listes à Koupat Ha’ir, et en soient les garants. Les livreurs chargent ces caisses sur leurs épaules et les déposent sur le pas de la porte de la famille dont le nom figure sur leur liste.

Quelles exclamations de joie ! Tout cela, c’est grâce à vous, cher donateur. Quel don extraordi-naire vous leur faites ! Quel mérite !

Ces colis de Koupat Ha’ir sont expédiés grâce à vous. Le sucre, l’huile et les amandes, la poudre de lessive, le shampoing et les bougies sont dé-posés dans les maisons pauvres parce que vous les avez achetés. Votre don fait démarrer tous les camions chargés de marchandise, chargés d’abondance, chargés d’énergie.

Du sucre, par exemple. Un produit dont les pal-

Le plus grand

du mondeKim’ha DePiss’ha

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« J’ai entendu dire qu’ils donnent chaque fois à d’autres familles, s’écrie Hanna. Comme nous avons reçu un colis l’année dernière, nous pouvons leur dire au-re-voir. Il n’y a aucune chance, Maman ! »

Leur mère continue à cuisiner les derni-ers restes de ‘hamets. La nourriture pour Pessa’h coûte tant ! Les matsot à elles seules sont très chères, sans parler de la viande. Elle a acheté deux kilos de viande en promotion, et essaiera d’étaler leur consommation sur toute la semaine de Pessa’h.

Et les chaussures… Ses filles sont cer-taines de recevoir de nouvelles chaussures pour Pessa’h. Mais c’est impossible, vrai-ment hors de portée.

On frappe à la porte et son fils va ouvrir. Le silence se fait dans l’appartement. Est-ce le colis de Koupat Ha’ir ?

Oui ! Elles sont là ! Quatre caisses fermées. Quatre caisses qui peuvent les faire pass-er de la triste réalité quotidienne à la joie de la fête.

Les enfants se précipitent pour ouvrir

les caisses et se laissent envahir par

l’abondance qui se dévoile devant eux.

Chacun tire de la caisse ce qu’il aime le

plus ; leur mère reste avec l’huile, le su-

cre, la noix de coco et les épices. Avec cela,

elle pourra préparer de bons repas pour

la fête, des repas tels que personne ne

sentira que peu de temps auparavant, ils

n’avaient rien.

La mère de famille tire les caisses vers la

cuisine et emplit les étagères. Quelle sen-

sation… enivrante, oui, enivrante. Elle

voit ses enfants serrer dans leurs bras les

biscuits à la noix de coco, les bonbons, les

chips et le chocolat. Ces emballages col-

orés dont ils ont tant rêvé ! Les armoires

se remplissent dans l’enthousiasme gé-

néral. Du papier d’aluminium, du sucre, du

vin, du jus de raisin, de l’huile, du miel…

Les armoires qui étaient si vides et dé-

solantes prennent un air de fête. Main-

tenant, elle sent que la fête approche. A

présent, elle est prête à l’accueillir…

« Maman, j’ai vu que les colis sont arrivés dans l’immeuble d’à côté ! s’exclame Sarah. Tu crois qu’ils nous ont oubliés ?

– Tu penses qu’ils peuvent donner des colis à tout le monde ? répond son frère. Il y a des gens qui en ont plus besoin que nous, sûrement. »

Sarah lance un regard de côté à son frère. Il n’a qu’à se priver lui, s’il le veut. Elle, elle a besoin de voir la mai-son pleine. Si les colis n’arrivent pas, ce sera pour elle un drame.

« Maman, tu ne peux pas te renseign-er pour savoir si nous recevrons les colis cette année ? demande Sarah. Si on ne nous les envoie pas, il faudra que nous allions nous-mêmes au su-permarché acheter ce qu’il faut ».

Comme sa mère craint ce moment-là ! Ses enfants ne savent pas que son porte-monnaie est totalement vide. Si les colis n’arrivent pas, ils se retrouveront sans rien. Sans rien du tout.

Recevrons nous les colis cette année ?

ettes disparaissent presque dans le han-gar gigantesque. Une palette habituelle contient une tonne de sucre, mille kilos. Un camion peut transporter douze pal-ettes. Six véhicules emplis de sucre ont été envoyés au hangar pendant la péri-ode d’emballage des colis. Six fois douze fois mille : oui, soixante-douze mille ki-los de sucre ont été déposés dans les colis. Des manutentionnaires ont livré une tonne, puis une autre, et le hangar a tout avalé. Ensuite, tout ce sucre, jusqu’au dernier kilo, a été emballé dans les caiss-es. Cher donateur, vous êtes associé à chaque grain de sucre, vous êtes partie prenante de ce mérite immense.

Comme il est émouvant de voir la joie et le bonheur qui règne dans ces foyers dé-munis lorsque ces colis leur sont livrés !

C’est vous qui êtes à la source de tout cela. Koupat Ha’ir est un simple intermédiaire pour unir les bonnes volontés et leur per-mettre de faire un don à ceux qui en ont vraiment besoin.

Vous avez le mérite de participer à une œuvre gigantesque, de vous associer à la force de la communauté, à la force de Koupat Ha’ir, pour que « quiconque en a besoin vienne faire Pessa’h » honorable-ment.

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A.Le Siyoum HaChassEcoutez donc une histoire impressionnante : un homme qui n’avait pas d’enfants s’est mis à pleurer devant le Rav de Brisk et lui a deman-dé : « Comment pourrais-je avoir des enfants ? Comment D. écoutera-t-Il ma prière ? Rabbi ! Nous avons tout essayé ! Nous avons jeûné, prié, pleuré et fait des ségoulot. Est-il possible que les Portes du Ciel soient ouvertes pour tous mais fermées pour nous ?

– Attends qu’un de tes proches fasse le Siyoum d’une massékhet [une fête pour avoir terminé l’étude d’un traité du Talmud], lui a répondu le Rav. Un Siyoum est un moment d’agrément cé-leste très particulier. Au moment du Siyoum, demande au Créateur de t’accorder ta requête. »

Cet homme a attendu un Siyoum du Rav de Brisk lui-même. Si le Rav a dit qu’un Siyoum était un moment d’agrément, il l’est à plus forte raison lorsque le Rav lui-même termine une massékhet. L’homme est arrivé au Siyoum et a demandé qu’on le laisse parler au Rav. Il s’est ap-proché de lui et lui a demandé de prier pour lui en mentionnant son nom et le nom de sa mère. A ce moment-là, lorsque le Rav de Brisk a pro-noncé les mots qui terminaient la massékhet, les Portes de la délivrance se sont ouvertes. Moins d’un an plus tard, cet homme est devenu père après des années d’attente.

Rav ‘Haïm Kaniewsky va bientôt faire un Siyoum, non pas le Siyoum d’une ou deux

Au moment de la lecture de la lettre du

Rabbi d’Ostropola

B.A.

Rav Haim Kanievsky prie pour les donateurs de

Koupat Ha’ir lors du Syoum Hachass l’année dernière.

Lors de la lecture de la lettre du Rabbi d’Ostropola.

Le 14 Nissan, veille de Pessa’h, un jour connu comme un jour de miracles, le Grand Maître de notre génération Rav ‘Haïm Kaniewsky priera pour nous.

A. Au moment du Siyoum du ChassAu petit matin, notre Maître termine le Chass. Alors que nous sommes tous occupés à brûler notre ‘hamets, il fait ce Siyoum extraordinaire sur tout le Chass Bavli et Yérouchalmi, des mil-liers de pages de Guemara. Pendant ce moment exceptionnel, il prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir, pour eux uniquement.

En ce jour spécial, vous pouvez bénéfi-cier de sa prière.

Ce n’est pas tout le monde qui est ainsi privilégié. Les gens ne lui transmettent pas leur nom en cette occasion. Cet instant exceptionnel de prière, notre Maître le consacre uniquement à ceux qui auront fait un don à Koupat Ha’ir.

B.Au moment de la lecture de la lettreLa deuxième fois où le Rav prie, c’est

l’après midi, au moment où il lit la

lettre du Rabbi d’Ostropola. Dans

cette lettre, il est écrit que quiconque

la lit la veille de Pessa’h est assuré

d’être sauvé de toute embûche cette

année-là et de réussir dans toutes ses

entreprises.

Comptant sur la promesse extraordi-

naire du Rabbi d’Ostropola, Rav ‘Haïm

Kaniewsky priera pour les donateurs

de Koupat Ha’ir afin qu’ils soient sau-

vés de toute embûche et réussissent

dans toutes leurs entreprises.

en ce jour propice

Deux fois

Au moment du Siyoum du Chass Bavli et

Yérouchalmi

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massekhtot du Chass, mais du Chass entier, Bavli et Yérouchalmi. Le Grand Maître de notre génération s’apprête à terminer son étude annuelle de toute la Torah Orale.

Malgré les nombreux préparatifs à faire en cette veille de Pessa’h, des centaines d’hommes se pressent pour assister à ce Siyoum et voir le visage de notre Maître lorsqu’il termine toute la Torah. Ils amè-nent leurs enfants avec eux pour que ceux-ci voient et s’imprègnent de l’amour de la Torah et de la crainte du Ciel.

Nous voudrions vous faire connaître les secrets de la chambre d’étude de Rav ‘Haïm Kaniewsky. Chaque jour, été comme hiver, chabbat ou jour ordinaire, le Rav étudie sept feuilles recto-verso (dapim) du Talmud Bavli, plus les pages correspondantes dans le Talmud Yé-rouchalmi. Cela fait de longues années qu’il étudie quotidiennement cet impres-sionnant nombre de pages. Il termine le Séder Moed vers la fin du mois de Ta-mouz, le Séder Nachim à Sim’hat Torah, etc. jusqu’au 14 Nissan où il termine tout le Talmud.

Etant premier-né, Rav Kaniewsky devrait jeûner ce jour-là. Mais il fait un Siyoum et en est dispensé. Cet homme qui est entièrement Torah termine le Chass et profite de ce moment particulier pour prier. Pour qui ? Vous avez la possibilité qu’il prie pour vous.

Faites savoir à Koupat Ha’ir que vous le désirez. Appelez-nous dès à présent et vous aurez le privilège d’être enveloppés de la prière du Grand Maître de notre gé-nération. Seuls les noms des donateurs de Koupat Ha’ir seront dans ses mains.

Si un Siyoum d’une seule massékhet est

un moment d’agrément très particulier au Ciel, comme le dit le Rav de Brisk, à plus forte raison le Siyoum de tout le Talmud, et encore plus quand celui qui le fait est un dirigeant de notre génération, et encore davantage en ce jour propice aux miracles, le 14 Nissan.

B. Au moment de la lecture de la lettreDe plus, dans l’après-midi, après s’être préparé pour la fête, Rav Kaniewsky lit la lettre du Rabbi d’Ostropola.

Le cabaliste Rabbi Chimchon d’Ostropola, assassiné par des non-Juifs voici 350 ans, écrit : « Quiconque lira cette lettre, en particulier la veille de Pessa’h, est assuré d’être sauvé de toute embûche et de réus-sir dans toutes ses entreprises ».

Après la lecture, au moment où il est assuré d’être sauvé de toute embûche, notre Maître prendra en main les listes de Koupat Ha’ir et priera pour les dona-teurs.

Chers parents ! Comment vous assurer qu’aucun décret néfaste ne touche vos proches ? Vous permettrez-vous de man-quer deux prières de Rav ‘Haïm Kaniews-ky pour vos enfants ? Renonceriez-vous à la supplication du Grand Maître de notre génération en leur faveur à un mo-ment si propice ? Que ne feriez-vous pas pour vos enfants, pour leur avenir, pour qu’ils étudient bien, pour qu’ils trouvent un bon parti, pour qu’ils aient de bonnes aspirations, pour qu’ils avancent dans le droit chemin… Vous avez une oppor-tunité proche de vous. Demandez qu’on prie pour les choses qui vous causent des soucis.

Pour recevoir une telle tefila de Rav ‘Haïm Kaniewsky, vous auriez été prêt à venir de loin et à rester longtemps dans la file d’attente. S’il vous avait dit « je prierai pour vous à mon Siyoum Ha-Chass et lors de la lecture de la lettre du Rabbi d’Ostropola », vous vous seriez senti millionnaire !

C. Un don à la tsédakaC’est ce que vous dit notre Maître. Les yeux des né-cessiteux sont tournés vers vous en ce jour. Si vous les aidez, vous aurez le privilège que Rav Kaniews-ky prie pour vous, car il se soucie du sort des pau-vres. Avant Pessa’h, les dépenses pour la fête sont très importantes. Que feront ceux qui n’ont rien ? Comment achèteront-ils le nécessaire ? Des mil-liers de familles sont démunies et impuissantes. Ces familles-là vivent littéralement grâce aux do-nateurs de Koupat Ha’ir.

Koupat Ha’ir est très chère aux yeux de Rav ‘Haïm Kaniewsky. Qui connaît mieux que lui la façon dont elle assiste les familles déshéritées ? Et c’est pourquoi vous, cher donateur, êtes précieux pour lui, car vous aidez les familles démunies à fêter Pessa’h sans sentir le manque.

Quand les échos de ce Siyoum et de la lecture de cette lettre s’affaibliront, vous ne les oublierez pas. Vous verrez de vos yeux la force de la prière du tsaddik et la façon dont ses supplications sont exaucées.

Demandons à Rav ‘Haïm Kaniewsky de prier pour nous. Il ne faut pas laisser passer ce jour sans la te-fila de notre Grand Maître. Nous faisons de grands efforts pour préparer la fête. Faisons des efforts pour que les familles démunies puissent elles aussi préparer la fête. Ne laissons pas passer cette journée importante, prenons ce que nous pou-vons y puiser. N’oublions pas de passer dès mainte-nant un coup de fil à Koupat Ha’ir, car notre avenir et l’avenir de notre famille en dépendent.

En ce jour propice à écarter les mauvais décrets, Rav ‘Haïm Kaniewsky priera

Deux Foispour les donateurs

de Koupat Ha’ir1. au moment du Siyoum

HaChass, comme l’avait conseillé le Rav de Brisk

2. au moment de la lecture de la lettre qui assure qu’on sera sauvé de toute embûche et réussira dans toutes ses entreprises

Vous pouvez transmettre les noms pour le

Siyoum HaChass jusqu’au 13 Nissan (24 Mars) à 22 heures et les noms pour la lecture de la lettre jusqu’au

14 Nissan (25 Mars) à 12 heures

en ce jourpropice

Deux fois

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pour leur coopération enthousiaste à l’œuvre de Koupat Ha’ir, notre Maître l’exprime par ce geste.

La reconnaissance de nos Grands Maîtres

Cette matsa arrivera en France comme un geste de reconnaissance, comme un signe d’encouragement, comme une requête renou-velée. Vos dons généreux sauvent des vies ! Sau-vez d’autres personnes encore ! Continuez à nous donner la main !

Rav ‘Haïm Kaniewsky mettra de côté une matsa pour un donateur inconnu, celui qui sera tiré au sort, mais tous les donateurs reçoivent le mes-sage qu’il adresse à la communauté de France par ce geste.

Ce n’est pas sans raison qu’il transmet son ca-deau par l’intermédiaire de Koupat Ha’ir. Il existe un grand nombre d’organisations, de caisses de charité qui recueillent des dons. Beaucoup de gens centralisent les dons et les transmettent

à des causes de valeur, dans de bonnes intentions. Le Créateur ne retiendra sûrement la récompense d’aucun d’entre eux.

Koupat Ha’ir, il n’y en a qu’une

Mais il existe une grande différence entre eux et Koupat Ha’ir. Rav ‘Haïm Kaniewsky lui-même té-moigne qu’une caisse de charité exemplaire, c’est Koupat Ha’ir. Ses responsables ne touchent pas le moindre sou, ils se donnent corps et âme dans un but désintéressé. A la Koupa, on ne fait au-cune différence d’origine, d’appartenance, de cer-cle. Les dons sont transmis à 100% aux familles nécessiteuses, sans que personne ne prenne le moindre pourcentage. Il n’y a pas de salaire pour les dirigeants et aucun avantage ni prof-

ne matsa rareVous êtes assis à la table du Sédère dressée dans toute sa splendeur. Aut-our de vous sont présents les membres de votre famille et quelques invités, les yeux tournés vers vous. Voilà enfin arrivé le soir du Sédère, cette nuit mémorable ! Sous le napperon de velours se cache votre trésor : une matsa.

Une matsa ?

Oui. Une matsa. Un trésor comme vous n’en avez jamais eu. Une matsa qui se vendrait pour une fortune si on la met-tait en vente aux enchères. Mais vous, vous avez choisi de la garder pour vous, de la couper en petits morceaux et d’en donner à chacun de ceux qui font le Sédère avec vous cette année. De quelle matsa s’agit-il? Quelle est son histoire?

Comment vous est-elle parvenue?Il est des choses dont on ne bénéficie qu’une fois dans la vie. Il est des choses qu’on n’a pas la chance d’avoir même une seule fois. Cette matsa-là en fait partie.

Un vrai trésor

Chaque année, Rav ‘Haïm Kaniewsky surveille et participe à la fabrication d’une petite quantité de matsot pour lui-même, des matsot particulières, faites avec tous les hidourim possibles. Combien

de préparations à la fabrique avant son arrivée ! Quelle surveillance sur les grains de blé, la farine qu’il moud lui-même à la main, l’eau qu’il va lui-même puiser ! Il s’agit des matsot du Grand Maître de notre génération, sur lesquelles il dira les bénédictions et grâce auxquelles il ac-complira la mitsva de manger un kazayit le soir du Sédère…

Que d’efforts on a investi avant de voir ces matsot faites à la main sortir l’une après l’autre du four !

Le tirage au sort

Rav Kaniewsky garde précieusement ces matsot qu’il consommera pendant Pessa’h. Il ne goûte que celles-ci, qui ont été préparées en sa présence et selon ses directives.

Parmi ces matsot spéciales que seuls les membres de sa famille ont le mérite de consommer, Rabbi ‘Haïm Kaniewsky en mettra une de côté pour Koupat Ha’ir-France. Elle sera offerte à celui dont le nom sera tiré au sort parmi les dona-teurs de France de Pourim jusqu’à deux jours avant Pessa’h.

Quiconque fera un don à nos frères dé-munis participera à ce tirage au sort dont le prix exceptionnel sera : une mat-sa offerte par Rabbi ‘Haïm Kaniewsky. Son estime pour les Juifs de France,

Rav Kaniewsky garde précieusement ces matsot qu’il consommera pendant Pessa’h. Il ne goûte que celles-ci, qui ont été préparées en sa présence et selon ses directives.

Parmi ces matsot spéciales que seuls les membres de sa famille ont le mérite de consommer, Rabbi ‘Haïm Kaniewsky en mettra une de côté pour Koupat Ha’ir.

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…et aussitôt fait, transmettant son

don à Koupat Ha’ir !Rav Kanievsky versant l’eau…

‘Mayim chelanou’ : l’eau protégée des rayons du soleil a reposé une nuit entière, c’est le moment

de la puiser…

Rav Kanievsky donne encore pour les pauvres après avoir participé à

la mouture du blé

it personnel. La comptabilité est tout à fait transparente, irréprochable. Koupat Ha’ir ne se contente pas de donner de l’argent : elle fait tout le nécessaire pour réhabiliter des familles qui ont chuté.

Rabbi Kaniewsky connaît à fond Koupat Hai’r : il est membre de l’Association et les clés sont dans ses mains. Il témoigne de son honnêteté absolue et de sa soumis-sion aux directives des Rabbanim.

Ce n’est pas pour rien que Rav Kaniewsky donne un tel cadeau par Koupat Ha’ir. La matsa de Rav ‘Haïm Kaniewsky, il n’y au-cun autre moyen de l’obtenir que de faire un don à Koupat Ha’ir, un don qui ira di-rectement aider une famille pauvre. Au-cun autre moyen.

L’heureux gagnant

Celui qui la gagnera aura le privilège, le soir du Sédère, de sentir le goût par-

ticulier de la matsa d’un Grand Maître. Il sentira aussi les bénédictions du Rav, son dévouement pour les donateurs, son estime, sa reconnaissance. Car le cœur de Rav Kaniewsky est avec vous, avec nos frères de France qui s’associent à son œuvre, à l’œuvre de Koupat Ha’ir.

Heureux celui qui recevra cette matsa, et heureux tous les donateurs qui sont l’objet de l’estime du Grand Maître de notre génération.

Quiconque fera un don à nos frères démunis participera à ce tirage

au sort dont le prix exceptionnel sera : une matsa offerte par Rabbi

‘Haïm Kaniewsky.

Si vous décidez de soutenir Koupat Ha’ir mensuellement, veuillez remplir ce formulaire:

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Si vous signez sur un prélèvement automatique d’un an, vous pouvez demander que les envoyés de Koupat Ha’ir prient pour vous au Kotel, sur la tombe de Rabbi

Chimon bar Yo’haï ou sur la tombe de Rachel tous les jours de l'année. Transmettez les noms par téléphone au 0-800-525-523

Les vêtements peuvent être déposés

Du Dimanche au Jeudi de 10h00 à 20h00 à

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à la mémoire de Méir ben Avraham Allouche ז״ל

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La principale caisse de Tsédaka d’IsraëlKoupat Ha’ir

Les vêtements peuvent être déposés Du Dimanche au Jeudi de 10h00 à 20h00 à l’adresse

suivante :

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C’est une police libre de droit.

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