51
I I I I I I I I I I I PLANCHES

PLANCHES - Temis

  • Upload
    others

  • View
    13

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: PLANCHES - Temis

IIIIIIIIIII

PLANCHES

Page 2: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 3: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 4: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 5: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 6: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 7: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 8: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 9: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 10: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 11: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 12: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 13: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 14: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 15: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 16: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 17: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 18: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 19: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 20: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 21: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 22: PLANCHES - Temis

4557*6443 5430jpg 478 à 480NG

Page 23: PLANCHES - Temis
Page 24: PLANCHES - Temis

_ JE-

DES MATIERES

1, HISTORIQUE ET BUT à

2. COURBES D'AFFECTATION (COURBES DE DETOURNEMENTOU COURBES DE CHOIX) t±l

201 Notion empirique de courte d© choix

entre deux possibilités

202 Deux modèles simples

2a3 Présentation adoptée pour la courba de choix

204 Explication de la oourbe de choix par les

"valeurs subjeotives"

205 Deux modèles très voisins

206 Courbe de ohoix et courbe d'affcotation entre

deux possibilités

3o roLOIM DE TRAFIC xi

3o1 Le trafic fonction de la distance virtuelle

entre deux zones

3*2 Etudes précédentes

3o3 Signification des fonctions "puissance58 et

"exponentielle'"

3»4 Structure du trafic entre deux groupes de sones

3o5 Principe de calcul du trafic engendré par 1®

Tmmel à partir d© la structure du trafic actuel

entre la Grande-Bretagne et le Continent

3o50 Méthode suivie

3»51 Etade de la répartition des départs de

la s on e (i) entre les zsones (j) de

destination

3«52 Distribution statistique des voyages

en fonction de la distance

Page 25: PLANCHES - Temis

APPENDICE s Liste des Graphiques

n A(C2-Ci)!» Allure de la Courbe d'Affectation, Modèle M. : 1_ K

2o Loi des coûts subjectifs

3. Nombre de véhicules quittant une zone anglaise donnée (exprimé

en pourcentage du nombre de véhicules quittant Londres) en

' fonction de la zone continentale de destination

4« Détermination de la loi exponentielle

5« Loi de distribution des voyages en fonction de la distance -

Total Grande-Bretagne (Loi Exponentielle)

60 Loi de distribution des voyages en fonction de la distance -

Total Grande-Bretagne (Loi Puissance)

7. Loi de distribution des voyages en fonction de la distance -

Total Londres (Loi Exponentielle) - distance virtuelle par

ligne réellement empruntée

8. Loi de distribution des voyages en fonction de la distance -

Total Londres (Loi Puissance) - Distance virtuelle par ligne

réellement empruntée

9. Loi de distribution des voyages en fonction de la distance -

Total Londres (Loi Exponentielle) - Distance virtuelle par

Douvres-Boulogne

10. Loi de distribution des voyages en fonction de la distance -

Total Londres (Loi Puissance) - Distance virtuelle par

Douvres-Boulogne.

Page 26: PLANCHES - Temis

«OTEXE

VSS APPROCHE THBQRIffΠPOOR LE TRAFIC DETOPRIE

1» HISTORIQUE ET BOT

Le problème difficile de l'estimation da trafic potentiel a,

dans les années récentes, étudié d© manière approfondi© aux Etats-Unis où,

les principales agates à péage ont été construites depuis 1& fia d© !«.

deuxième gu©3?jP8 mondial®.!.

L'estimation du trafic détourné est basée généralement sua? d@s

"courbes d'aff© station00 déduites de données d'enquêtes d'origine et d®

destination avec l'hypothèse de base que 1© temps de trajet p©ut Sers»

mesuré en termes de monnaie comme le coût d'exploitation du véhicule» Las

courbes d'affectation utilisées sont déterminées expérimentalement par com-

paraison des bénéfices pour les usagers et du péage payé et sont générale-

ment des courbes en forme de S»

L@ phénomène le plus difficile à apprécier est 1 °engendreraient

d'un trafic nouveau^ ncexistant pas auparavant9 et qui dans le ©as de

moyens fixes de franchissement .remplaçant les baes peirfe atteindre nn

niveau supérieur à 1©0$o En traitant du trafic induit dans le numéro de

Janvier 1953 du roTraffio Qasterly00 publié par l'mE!î0 Foundation83 9

Mr« Burpe© disait s mla roêthod© habitusll© pour estimer 1© ts?afia ^àtrV^

consist© à raisonner par anal©gie e'est-=4-dire à étudier l'histoire d°au»

très ouvrages analogues au projet considéré08o

On. doit ^connaître q,ue le problème du trafic détourné et du

tr,afio engendré posé par le Tsinnel soug la Manoh© projeté est d'une ampli-

tude et d'une complexité rarement rencontrées jî3squ°alors.

Les données obtenues par l'enquête ont été utilisées pour cons-

truire les courbes d'affectation point par point© Mais dans certains eas

les courbes ainsi obtenues ont du être extrapolées dans des zones où?

étant donné la structure existante des tarifs9 aucun point ne pouvait

être obtenu» Par s&lte, la connaissance de la forme et des propriété® de

la courbe dtaffeotatit>n était l'outil le meilleur et le plus

Page 27: PLANCHES - Temis

- ii -

L'engendrement de trafic est d'une importance capitale» Les

voyages effectués à travers la Manche atteignent en moyenne une dis-

tance virtuelle de 2oOOO kilomètres, distance tout à fait inhabituelle»

La méthode suivie par les ingénieurs-conseils pour estimer le trafic

engendré consiste à trouver la relation entre le trafic et la distance

virtuelle de façon à pouvoir calculer la variation du trafic entraînée

par une variation donnée de la distance virtuelle des voyages»

Page 28: PLANCHES - Temis

iii

2o COURBES D'AFFECTATION (COUHBES DE DETOURNEMENTOU COURBES DE CHOIXj~

2o1 Notion empirique"de courbe de choix entredeux possibilités

Supposons que pour deux coûts donnés G. et G. (ces coûts

tenant compte de tous les éléments auxquels l^usager attache une

| valeur monétaire)? pour deux routes données L.'et Lp? n. individus

_ choisissent la route L. et n. choisissent la route L_o

Supposons que nous modifiions C_, par exemple que nous

III

I

l'augmentions. Une partie des individus qui avaient décidé dcutilîser

L 9 vont utiliser L. o Le nombre total des individus n. + n étant

donné, n_|_ est une fonction de G. et G .

n2

-1n2

Si les divers groupes d'individus qui ont à effectuer le

choix entre deux possibilités ont un comportement analogue, cettem

fonction sera applicable quels que soient ces groupes et quelle que

I soit leur taille n

• 2°2 Deux modèles simples

™ 2o20 Deux approximations différentes, toutes deux très

simples, sont les suivantes?

a) G. et C o agissent sur le choix seulement par

I leur différence (G -C )

n.

jl „ f (o2 - c1 )

b) C. et Cp agissent sur le choix seulement par

leur rapport C_/C.

2o21 Choix de la fonction'- .

Des fonctions.simples.sont.les.suivantes

2o220 Modèle de la différence des coûts

n v ni_2 - X do ( C o ^ ) (IL )« -1 o Ken . ' « i l i n -

Page 29: PLANCHES - Temis

- iv -

2o221 Modèle du rapport dffl coûts

"2

Ces deux modèles sont valables (en tant qu'approximation du

1er ordre) pour des variations limitées de (CD-C.) ou _2 . Ces deux mode-1 C -

les diffèrent seulement par l ' ac t ion de C. et C.» I l s correspondent as

nLog _ L

n2

X (Ç2~C., ) (Modèle M )

C2Log ^ (Modèle M )

01 2

Dans ce qui s u i t , le modèle(M.)sera étudié plus particulièrement

parce que. nos courbes d 'affectat ion ont été tracées en u t i l i s a n t des dif-

férences de coûts (Toutes les conclusions t i r ée s peuvent ê tre appliquées

Cfacilement au modèle(M'U II suffi t de remplacer C.-C. par Log _2 \C ;

2"3 Présentation adoptée pour la courbe de choix s 1

' . Vn2n-i " ' • "• n ,

2<>3O Au lieu de considérer ---•' considérons , - X „ qui repré-a2 n!+n

2 .

sente la proportion du trafic utilisant la route L.o

Si pour C_ï=C. le trafic se répartit en parties égales entre les

deux routes nous avons K=1 et le modèle devient s 1 ^ 2™ 1n. 2 n

La courbe n j. est symétrique autour du point (C«-C ), ̂ QT 1- - • — • • \ c. i • 2

comme le montre le graphique n° 10

- i r 2 "

Le tableau joint au graphique n° 1 donne quelques valeurs de

—-— pour une valeur par t icul ière de A o En f a i t nous avons u t i l i s é1 2

Lo*io 4> V VLa courbe correspondante représentée sur le graphique n° 1 a

une forni9 en "S"o

Page 30: PLANCHES - Temis

2o31 Lajgijgnification de la constante K

Une erreur dans la mesure dcun coût ou, par exemple? un

élément non pris en considération dans le calcul de ce coût explique

la nécessité d'introduire la constante Ko En fait s

2V 2 iKe s ©

L'introduction de la constante K a e entraine pour la courbe

1 , comme pour la courbe _JL , une translation d»amplitude^d parai-n +n2 n 2

lèlement à l'axe des abscisses<>

2«4 Explication de la courbe de choix par les "valeurs subjectif

Tes" (1)

2o40 La base de la courbe de choix

Pour un individu (i) qui doit choisir entre L. et L« la

possibilité L. est préférée,â la possibilité L 2 si la différence dea

valeurs subjectives (V^Vr.). est supérieure à la différence des

coûts réels (C -C.)..

G. et C- représentent des coûts calculés de la manière

suivante 8

coût moyen de traversée

+ •'..'•coût moyen d'exploitation d^une voiture pour unedistance donnée

+ 'Coût moyen du temps pour une longueur donnée duvoyage o

Ces coûts sont des moyennes pour des groupes d'indivi-

dus» De plus il faut noter que des erreurs ont pu s'introduire dans

la mesure de C. et G-, par exemple éléments du coût moyen non mesurés

exactement ou autres éléments non pris en compte tels que sécurité?

confort, etc»o (2)

(1) L'idée de cette explication a été introduite par Mro Malcor

(2) Voir paragraphe 2o31 ci-dessus»

Page 31: PLANCHES - Temis

- v i -

Le coût ainsi mesuré, pour l'individu (i) et pour la possibi-

lité (L) intervient seulement par sa différence avec la valeur subjec-

tive de, cette possibilité (L) pour cet individu (i)o II est plus com-

mode pour le développement du raisonnement de rapporter toutes les pos

sibilités à une même valeur subjective de référence et de considérer

pour chaque, individu des coûts subjectifs des différentes possibilitési

pour une même valeur subjective.

Ainsi pour, l'individu (i) les possibilités L. et L ? ont des

coûts subjectifs égaux à :

C1i alil± + C1 + "*1 + H1i aVe° E (E1i^ = °

°2i ""̂ i + C2 + ^2 + £2i a ™ C E ^2i^ = °

TC- étant une constante arbitraire.

TX n'est pas restrictif de prendre la même valeur TC. de Tl.

pour tous les individus et de faire rentrer cette valeur de TL dans )Ç

et y_ « Ainsi pour chaque individu (i), chaque possibilité a un coût

subjectif défini comme suit:

C. = C +tf+ £ avec E (£i) = 0

où C = coût moyen pris en considération . . .

tf «s coût subjectif moyen plus moyenne des coûts objectifsnon pris en considération

££.= somme de deux catégories d'éléments Î

- Variations des coûts objectifs autour de lamoyenne pour les différents individus

- Variations des coûts subjectifs autour de lamoyenne pour les différents individu^

La possibilité L est préférée à la possibilité L par l ' indi-

vidu (i) si C1:L<C

Considérée par rapport à l'ensemble des individus les C défi-

nissent une loi de probabilité de moyenne C + $ et de variance 0" *\

Si nous considérons la distribution des différences de coûts subjec-

tifs Cpi-C.i entre les 2 possibilités L. et Lg.différence qui a pour

moyenne m̂ -m.. = G2~C1 + ^2~ ̂ 1 9 la Proi3abili"té P pour que c2'~

G1i

(2) Le symbole E (£i) signifie espérance mathématique de £i.

Page 32: PLANCHES - Temis

I - vii

I représentée par l ' a i re hachurée sur le graphique n° 2 est l'espérance

mathématique de la proportion des individus choisissant la route L.«

| Si n est grand nous avons •— s po

1 2.42 La courbe de choix entre Lo et "L. en fonction de (C_-C. )— 2 - - 1 - — — 2 1

Si (C--C ) augmente de ACy " | - • ;•• pour des valeurs élevées

I * ' n1*n2

de n » n.+n_ varie de P (0) à P (AC) (voir graphique n° 2) , l a courbeêm de choix ^4w" (̂ o"̂ -i ) es'fc ^-a cour*>e représentant P en fonction de

C2i~C1i

• Les conclusions suivantes peuvent donc être tirées s

— 2«420 Le point "50J& - 50^" correspond à la "médiane" de la

distribution des différences de coûts subjectifs.

I 2o421 Si la courbe (c) est symétrique 1 «abscisse-î" du point

est égale â m2-m1=(C2-C,|

| 2o422 Si (c) est symétrique la courbe de choix est symétri-

que autour du point

2°43 Un modèle simple basé sur la loi des "coûts subjectifs88»

• 2o430 Conditions d'un modèle "normal".

Il est assez naturel de faire l'hypothèse que la distribu-

I tion de (C_~C.). est, en première approximation, une distribution de

• Laplace-Gauss (c'est-à-dire une distribution normnle)o On peut, en

fai t , penser que les causes déterminant les (C -C ). pour les diffé-

• rents individus sont suffisamment nombreuses, suffisamment indépen-

dantes en probabilités suffisamment comparables dans l'ordre de gran-

B deur de leurs effets, pour considérer que les conditions de Borel sont

• satipfaites en première approximation (i)»

I2<>431 Pente de la courbe n | au point

I (1) Théorème "Central limita

II

Page 33: PLANCHES - Temis

viii

Si tr est l'écart type de la distribution normale suivie par

(C -C.). il est facile de montrer que la pente de la courbe de choix

*_I 1_ au point (50^-50^) est égale à 1 À2)

, , , /

Par suite»^0 la pente de la courbe de choix sera d'autant plus

faible que la variation de la différence des coûts subjectifs d'un

individu à l'autre sera plus grande.

On peut donc pense,r "a priori" que la pente de la courbe de

choix entre une ligne maritime et une ligne aérienne est moins forte

qu'entre deux lignes maritimes.

2o5 Deux modèles très voisins ; le modèle "normal", et le modèle (M.)

Si l'on trace la courbe cumulative de HENRI correspondant aux

' • • ' ' • n

1

valeurs -" • du modèle (M.) on constate (voir graphique n°2) qu'elle,

est pratiquement identique à une ligne droite pour les valeurs comprises

entre 2$ et 98$» Par suite les deux modèles (M.) et"normal" sont prati-

quement équivalents »

La pente au point (50^-50^) pour le modèle (M.) est égale à

X (i)o Par suite X é

4 4 (T

Cette propriété a été très utile. Elle a permis d'ajuster

des familles de courbes de choix sur du papier "normal"o

206 Courbe de choix et courbe d'affectation entre deux possibilités

Si l'on considère la répartition (n., n ) entre deux lignes,

par mer ou air, L. et L^f pour diverses relations,(mouvements entre

deux zones données d'origine et de destination) et si nous connaissons

' • ' • . • • • • • * ' ' < ' , • • . • " • . - • : • • „ ' • . - •

n1'-— sa1 2 * ' «.QO

(2) d e. ">X/ n\ A

Page 34: PLANCHES - Temis

IIIIIIIII

n.la courbe de régression de ~™T~ e n fonction de (C.-C.) cette

courbe d'affectation est identique à la courbe de choix en^fonction

La seule hypothèse nécessaire est la suivante § même loi des

| coûts subjectifs pour les individus des différentes relations (cr0st~

m à-dire des différentes "origine-destination") ce qui suppose essen-

tiellement? '

I 2o60 que #„•= )(. a la même valeur pour toutes les rela-

tions (distributions avec la même valeur moyenne)o

I 2O61 que la varianoe est la mêmeo

• La deuxième hypothèse qui signifie que les populations

des diverses relations (deux zones d'origine et de destination données)

I ont un comportement analogue est très vraisemblable<>

La première hypothèse suppose essentiellement que les

• erreurs systématiques sur (C--C.) sont les mêmes quelle que soit la

• relation considérée ce qui est une restriction peu importante (i)o

On doit noter que les erreurs d'échantillonnage sur les estimations

I de • — — à Ieaide de 1"enquête"Origine—Destinâtionwn°introduisent" Vn2 — — — " — —

pas d'erreur systématiquec

(i) L'existence d'erreurs systématiques différentes introduiraitune variabilité horizontale et conduirait à une légère sous-estimation de la pente de la courbe de choix et par conséquentà sous-estimer légèrement le trafic détourné ce qui est defaible importance.

Page 35: PLANCHES - Temis

.%&

3» "LOI DE TBAFIC"

3d Le trafic fonction de la distance virtuelle entre deux zones

Etant donné deux zones, par •exemple deux villes, le trafic

entre ces deux zones a une certaine valeur T par unité de temps dans

les circonstances actuelles où la distance virtuelle (coût total du

voyage) entre les deux villes a une valeur "bien déterminée d « Si

l'on modifie seulement ,1a variable d le trafic T varie et l'on peuti o o

concevoir le trafic T comme une fonction de d s

T » T (d)

La connaissance de la variation de T en fonction de d est

fondamentale pour pouvoir calculer le trafic engendré par le passage

d'une valeur d de d à une valeur plus faible d. .o ^ 1

Parmi lés fonctions simples que nous pouvons envisager à la

lumière des études effectuées antérieurement, nous avons :

" T1 do °*• -, -~~ ?.. - la fonction "puissance" : T p " =( T"" )

o d1

- la fonction exponentielle s - ~ - =eA 'do~d1 'o

3<>2 Etudes précédentes

3.20 Au cours des études effectuées pour la traversée du

Sound le Dr. Astrom a utilisé la fonction T j2£T qui a été

déduite d'enquêtes "origine-destination" sur les principales routes

suédoiseso II a été le premier, à notre connaissance, à introduire

la notion de distance virtuelle.

3»21 En Hollande, Mr. Van Veen à partir d'une relation

statistique donnant la distribution des voyages en fonction de la

distance est arrivé à une courbe exponentielle.

3° 3 Signification des "lois" "puissance" et "exponentielle"

La relation la plus simple entre d et T semble être

T - T = K (d -d..), mais Z dépend manifestement de T . C'est la

raison pour laquelle les relations les plus simples sont celles

de la forme s

Page 36: PLANCHES - Temis

xi -

T dQ dm <= f('••.• ••) où f dépend uniquement de (~°r̂ -)o a1 ai

L'un des modèles les plus simples de ce type est f (aOj)m( & ^

V VUn tel modèle signifie que l'élasticité du trafic en fonction de la

distance est constanteo

Mais ce modèle suppose que la motivation du trafic dépend

de la 'variation relative de la distance virtuelle. Si cette motiva-

tion ne dépend pas du niveau de la distance virtuelle, il vaut mieux

utiliser.la différence de distance et par conséquent considérer le

raodèle J L . . e A (d.-d, )o

3<>4 Structure du trafic entre deux groupes de zones

3«40 Si nous considérons un premier groupe de zones

(i B 1, 2, o.or) et un deuxième groupe de zones (j = 1? 2$ ooos)

il existe rs relations caractérisées dans les circonstances

actuelles par les distances virtuelles d. . et des volumes de trafic

par unité de temps T. . o

3°41 Qu'arrive-t-il si l'on modifie les d...

Si pour une re la t ion donnée (i? j ) d. . varie de (d.,,)

à (d, . ) . i l n"est pas évident que la variat ion du t ra f i c pour l a

re la t ion ( i 9 j ) ne dépend pas des variat ions pour les autres r e l a -

tions» Si une t e l l e hypothèse d"indépendance des re la t ions peut

ê t re acceptable pour les voyages d 'affaires e l le peut ê t re considé-

rée "a p r io r i " comme suspecte pour les tour is tes venant de l a zohe . ( i ) ,

ceux-ci ayant l a poss ib i l i t é de modifier leur choix de la zone (j)o

3«42 Si l'on accepte l'hypothèse d'indépendance la même

diminution de la distance virtuelle sur toutes les relations (i, j)

entraine s .

3o420 Avec une loi "puissance" un accroissement

relatif du trafic plus faible pour les relations les plus éloignéeso

3«421 Avec une loi exponentielle le même accroisse-

ment relatif du trafic pour toutes les relations.

Page 37: PLANCHES - Temis

- xli -

3o5 Principe de calcul du trafic engendré par le Tunnel à

partir de la structure du trafic actuel entre la Grande-

Bretagne et le Continent.

3»5O Méthode suivie

Le problème a pour but de déterminer le o< ou le A

de la "loi" de trafic. La méthode suivie par les ingénieurs-conseils

a consisté à tester divers modèles avec la structure actuelle du trafic

de manière à pouvoir isoler la seule influence du paramétré o( ou \ .

Dans les paragraphes suivants sont décrits les essais effectués par les

ingénieurs-conseils dans diverses directions avant de pouvoir adopter

une solution.

Une méthode classique est basée sur le modèle suivant :

(i) T. . = K. K. f(d. . ) . ou sur le modèle plus élaboréxj i J xj

où K , K. (ou K.n-, K K , K"--, K1!^) sont connus et peuvent être multi-1 j x j 1 j

plies par un facteur constant. Les paramètres suivants ont été utilisés:

(1) K.f K. : nombre de voitures

(2) Kf .-'•• K!'- : nombre de voitures

K'.'v, K'!:-: s population

3o51 Etude de la répartition des départs de la zone (; i :) entre

les Zones ( ,j ) de destination1 '

Si l'on admet un trafic de la forme T. . = K. K. f(d. .)- - • - , - ij i j . xj -

(i) l'hypothèse d'une forme particulière entraine certaines propriétés

de la répartition des voyages partant de la zone (i) entre les diverses

zones (j)«

(i) qui suppose l'indépendance des relations définies ci-dessus.K.

peut être le nombre de véhicules de la zone (i), Ej le coeffi-

cient d'attraction touristique de la zone (j).

Page 38: PLANCHES - Temis

xiii

3o510 Fonction exponentielle

Si d.. = d. + d. j ce qui est le cas pour de nombreuses rela-x j • ». J. j

tîons pour lesquelles la ligne la plus favorable (distance virtuelle

la plus courte) est Douvres-Boulogne » nous avons :

(1)12 j 12

et

i 12 ,i2

305100 L'équation (i) ci-dessus signifie que le rapport du

nombre de véhicules quittant une zone (i.) pour une zone (j) au nombre

de véhicules quittant une zone (i_) pour la même zone (j) est le même

quelle que soit la zone j considéréeo

En conséquence, nous avons essayé de voir si nos voyages

répondaient à cette propriété. Nous avons dessiné le graphique 3 qui

indique en abscisse le logarithme de la distance virtuelle entre

Douvres et des groupes de zones du Continent choisies d'après la

valeur de leur distance virtuelle à Douvres et en ordonnée la nombre

de véhicules en provenance d"un groupe de zones donné en Grande-

Bretagne exprimé en proportion du nombre en provenance de la zone

de Londreso

Si la loi exponentielle doit être vérifiée la ligne tra-

cée pour un groupe de zones anglaises donné doit être une ligne hori-

zontale. Le graphique est très satisfaisant si l'on considère que

les points représentant les mouvements entre les zones A et P et les

zones extrêmes du Continent correspondent aux plus petits nombres de

voyages et sont les moins significatifso

305101 L'équation (2) ci-dessus signifie que le rapport des

arrivées entre,, par exemple, Paris et Milan est le même pour les

départs de l'Ecosse que pour les départs de Londres.

Page 39: PLANCHES - Temis

- xiv —

3.5102

Peur une zone (i) donnée et les-diverses zones (3) :

" ~~"~ T. . ta K K. e ^ i y. IL étant une constante.. j . x j . , • - ' - _ . .

nous avons ^.. T s nombre de véhicules quittant la zone (i) =

Mais ^.. K. e j est une constante) par suite nous avons :J j

nombre de véhicules quittant la zone (i) = A K, e" i

Si nous considérons maintenant le nombre de véhicules

V. de la zone (i) nous pouvons écrire §

T -Si

"Vf "Be

L'étude de la dépendance statistique entre _J et dVi

permet de déterminer A o Ceci a été très important car nous n'avons

pas trouvé de moyen pour isoler de manière précise le seul effet de o< .

C'est donc sur la base de cette détermination de ̂ que le trafic engen-

dré a été calculé.

Afin d'éliminer les interférences géographiques éven-

tuelles nous avons considéré au graphique n° 4 la zone de destination

la plus importante sur le Continent. La proportion des automobilistes

quittant les zones urbaines est notablement supérieure à celle des

automobilistes quittant les zones rurales. La valeur de X ainsi dé-

terminée est de 0,0166O

Dans les paragraphes suivants, nous indiquons d'autres

travaux de recherche effectués par les ingénieurs-conseils afin de

déterminer de manière valable c< ou X par d'autres méthodes, méthodes

qui se sont révélées impraticables. j

3°511 Fonction "puissance"

3<>511O Si nous avons toujours d. . <= d. + d. nousT - - . ...... 13 x 3

n'avons plus •'^ indépendant de 3. En réalité i

Page 40: PLANCHES - Temis

Les départs des différentes zones (i) ̂ ng.s.ont^pas distri-

bués de la même manière entre les zones (j) plus la zone (i) est éloi-

gnée > plus importante est la part des zones (tj) les plus lointaines

dans la distribution des arrivées en provenance de la zone (i)o

La distribution de nos voyages ne suit pas cette propriétéo

3o5111 S'il existait un «< ̂ b l e graphique n° 3

devrait montrer des pentes de signe négatif pour la courbe de la zone A

et des pentes positives pour celles des autres zones, les pentes crois^

sant de manière continue avec C, D, E» F, et Go Le graphique ne met pas en

évidence une telle propriétéo

3° 52 Distribution statistique des voyages en fonction de la

Distance

Toujours avec 1 "hypothèse que Tt'T• = Kv Kv f (d. .) on

peut essayer de déterminer la relation entre la distance virtuelle d

et le nombre de départs d'une zone donnée (i) pour une destination

plus lointaine que do

Cette relation est influencée par la structure géographie

que des K.° En fait, en appelant K ds l'attraction d'une zone ds0

à une distance x de (i)

T „ / T (x) dx = K| //Kds f (d)a J JJ

à Ï.B 00 à Ï = 00

Si l'on admet que K s constante9 que les zones (j) font

un angle et que f(d) est une loi "puissance"

x s 00 x

x . d ^ d +± i

— X xSi1 la loi de trafic était une exponentielle e la

loi cumulative serait une exponentiellex œ ©<

x ="dLi' J

X s OO »

T, = YT.% I xn " x dx

Page 41: PLANCHES - Temis

Les deux remarques ci-dessus sur les conséquences de la

structure géographique d'une part et la forme des intégrales

d'autreèjpart montrent'pourquoi nous n'avons pu isoler le ©<. ou le X

de la "loi" de trafic par cette méthode.

Les courtes pour Londres et pour tous les voyages de

Grande-Bretagne sont indiquées avec échelle logarithmique et semi-

logarithmique sur les graphiques 5? 6, 7> 8> 9» et 10. Nous avons

utilisé la distance virtuelle réelle d'une part et la distance vir-

tuelle par la meilleure route Douvres-Boulogne d'autre part. Comme

il a été dit ci-dessus cette courbe ne permet pas de déterminer o(

ou A o La partie de la courbe où la pente change correspond à 'la

zone du Continent ayant la plus forte attraction géographique.

Page 42: PLANCHES - Temis

ttuett* vmctuuonVCUICOLO

err r ALLQRC DC LA (OURi ï Dnowic m- TT =

0

°,1

0 , 3

0 , 4

0 , 5

0 ,6

o , a1,0

1 ,5

2

na

1,0 0 0

1,2 5 6

1,5 8 4

1,9 9 5

2,5 1 2

3,1 6 2

3,9 6 1

6,3 1 0

1 0,0 0 0

3 1,6 2 0

1 0 0

V"H

0,5 0 0

0,5 5 7

0,6 1 3

0,6 6 6

0,7 1 5

0,7 5 9

0,7 9 9

0,6 6 3

0,9 0 9

0,9 7 0

0,9 9 0

100

LA PRESENTATION DE LA COURBE DE CHOIX

1 0 0 *

90

6 0

70

6 0

50

40

30

20

10

_ 2 - 1 0 1 2

ALLURE EN * S " DE LA COURBE D'AFFECTATION _

— — — *

/

//

//

5

/

/

/

I*\

t/

/

ni

tf

///

A P P C U D K E : U U R I H U f H 0 1

Page 43: PLANCHES - Temis

E a T NVCUlCULES/UCOMrAGtJCS

ETL O I t > C 5 COUTS S U R J C C l i r s

p - K S P C H A H C C HAUEMATIIlUt OC Lt H 0 » 0 B T I 0 NU S I A U V U U 5 C H O i m J k l U lt• H U T t L,

MIDUKC t l I I LOI >E HfFEUElUE6 î i COUTS 5 U » J t C I I F S .

99

90

6070605 040302010

V,

1 •/•_̂,

- 2 _1 0 1 2

ALLURE DU MODELE Ri ( log,,, H i . . C t _ «« ) EN CAUSSO NORMALES

A P P C H D 1 C C .' 0 R A-Pfl I QU l ir

Page 44: PLANCHES - Temis

LOI DE TRAFICVEHICULES

ACCOMPAGNESDE VÉHICULES QUITTANT une zone AÎICLAISE DOIMEC ( exp&int en POUSCCÎIÏACC DU

DE VEHICULES QUÏTTAÎ1Î L0BD8ES) EB rOHCTlOU DE LA ZOtlE COBTIBLÏ1TALE DE DESTItlATIOtt

< o

oseo

O •"_ UJo aUl«Ul

> oa.iII

ila a

a00

o

0 0 V.9080706050

40

30

20

10 %987

65

4

3

2

1 •/•

-fi

i.!

I

^™ T

c.

-e r

>s

/

y

v yy

/

—7*"°*

HQUft IL fl}

A

CDEFG

• * w * •

1/

m.m» • • • • •

L ^B

- -

• •

• » ,

• m v

^ ^ I

Fi

——A

Tt.incm je nsnnct VIITUELLE JUSQU'ÀPOCTOdo"* locficf^. EST COMMISE loSECIOH

de 0 à 110 kmde 110 à 210 kmde 210 h 310 kmde 31 0 à 410 kmde 41OT à 550 kmde 550 à 750 kmde 750 à 1000 km

0 4̂ QU?E î t 10NES tQNTlritMUVti

~ — - i

• a

J

r

N >\ >

*•

>/

I h—

t rS

m*

r

y*—

mm amm

1—

•ââïâ

5*—-*

T II

! r» t

# i ï

* ' 1 '• 1

! t

— i "

1

\

«

-€—

-A—»

te

1.100 1.200 1-300 1.400 1.500 1.600 1800 2.000 2.200 2.500 2.900

DISTANCE VIRTUELLE ENTRE 00UVRES ET LA DESTINATION CONTINENTALE EN KILOMETRES.

Page 45: PLANCHES - Temis

i o

ll

3 n

0 I

H

ÏH

!

3)

1

RA

PPO

RT

EN

J&D

U N

OM

BR

E D

E V

EH

ICU

LES

V

EN

AN

T

D'U

NE

ZO

NE

D

ON

NEE

DE

C.B

. ET

D

U P

AR

C D

EV

OIT

UR

ES

P

AR

TIC

ULI

ER

ES

DE

LA

ZO

NE

ZON

ES

eon

Tin

tiu

Ai.e

s

5M

, 5

tt,

île

,n

ow

Page 46: PLANCHES - Temis

LOI IC MSIIINTIOI >B VOYACTS N rORCTIOl K LA IUTABCC1ÛUL C M K I M I t T K I E

£ 200

3 '-4

âc ' •z 100

~ 00t

£ «0z

o 40

LLE

•MZ»

~ 20I U

STAN

o

o»a 0z3 6s'

z 4DI31

E 2

« 1

^ o.»^ O.fl

o5 0.4sQ

5 0i2

)t

VE

HIC

U

p

LOI ttroHEir/ A a 1,00

" • ' • t a. n•eut124

V

\

«A\ ;

\

LOI ttrotwnA r 1,001

ON

\A

ItLLC

w

\ o

\\

\«s

\\\

o \

OC

z

1P00 V500 2J500 3.000 3?00 4000 4 500

DISTANCC VIRTUELLE ENTRE L A Z O N E D'ORIOINE ET DE DESTINATION

A P P E N D I C E ! <i R A P tl I Q U t 0 ! 5

Page 47: PLANCHES - Temis

NO

MB

RE

D

E V

EH

ICU

LES

D

E N

ATI

ON

ALI

TE

BR

ITA

NN

IQU

E

AT

TE

IGN

AN

T

UN

E D

IST

AN

CE

VIR

TUE

LLE

D

ON

NE

E-

(EN

M

ILL

IER

S)

MM O

V» -4 > X O m C ni r r- n m x

O o s §

• O

N O X PI

O o 3D Q Z PI m O m o PI

Z Ô

o s 5.5 o o 4k 4k la S

e o

0o

6

0

0

0

• 2

o

»

s'

1

)

1

1—T

n i 1 f •1

1

Page 48: PLANCHES - Temis

NO

MB

RL

DE

V

EH

ICU

LES

DE

NA

TIO

NA

LIT

E

BR

ITA

NN

IQU

E

AT

TE

IGN

AN

T U

NE

DIS

TAN

CE

V

IRT

UE

LL

E D

ON

NE

E

(EN

M

ILL

IER

S

)

op

p

p

p p

p o

ot

in

« N

Q

O

o

s

o o o s35 c c» c

o o C/l o o ot o 8 Ol tn o o o o o

s'O -e—

1

s

! 1 |

y

O

1 1 —

j

LOI

• Ï;

•° or»

O3 dF ^^

•S

o

y

às'

'0

1

>•

-

LOI 5V

3 13/

•/ oi

>

P o »

53

Page 49: PLANCHES - Temis

NO

MB

RE

0g

V

EH

ICU

LES

D

E N

AT

ION

AL

ITE

B

RIT

AN

NIQ

UE

A

TTE

IGN

AN

T

UN

E

DIS

TAN

CE

V

IRTU

ELL

E

DO

NN

EE

(E

N

MIL

LIE

RS

)

o

p

a ô

p

p

p••

U

<O

OM O

w

* «

o

o

os £

o

o z o m 5 H C PI 7) o z m m r m X m n c -• PI

o o M O O o M (M O O w b o o w m o o o o

o—

jjFT^

1

•y

o

s*

r.

• o

.

—"•

S -

-?5

n.

F

n_.

/o'

•rf"

0

(

O

^

•^

r

* •

—i t

• o »^

r •

i i »

Page 50: PLANCHES - Temis

LOI etUUICUU» ACtQttmtiEI L O U C DisîRiBUTion DCS VOYACCS tu roitcuon te u

TOTAL LO n OR C S

8

CI

Ia

jeo

zo

•1Ul

D

X

ocm

3 U

40

20

109

76

5

4

9

2

10,9o,e0,70,60,5

0,3

0,2

H,

»(

HTS

/

M)X

oiTtnï itouiMi

' yr

irrmnn

suHt.

Ht H

r il

1

UàM.81

60U1CI

« * Jroi2S

Ut'0^1

ICI05

/ *«OM

\ e\

U l

LO

ACC

O\

\

uA

H'

roi

Mi

» S *

L».

.M l

. L

MADRID, • muoATN

\

oo:

e noi

X\

0

l-Jkt

EST*rt

os\

e

0.1

er

V.

. i

JE

\

)LT

)NK

kH»

Vs

in

V*.

\

t a

\

HT

.\

Util

\

i

k l . osLO

\

\ \

« \

put

t;

s.\

rF

1000 1500 2000 2500 5000 3500

DISTANCE VIRTUELLE PAR DOUVRES . BOULOGNE

4000

A P P E N D I C E : 0 R A p n i q u c n:

Page 51: PLANCHES - Temis

«A

a

LOI DEUUIC.UU1

50

40

30

20

S

otuZ3

ocâëx.

zo

«nHJ

xUJ

OCSIX

LOI K DISTRIBUTION DCS V0YACC5 t l l rOIKTIOH Dt LÀ DISTAIKCTOTAL innn

109

76

5

4

3

10,90,60,70,6

0,5

0,4

0,3

0,2

0,1

r-

TOU \i. IMS

MkHIBM)

VniinA

,6-BUXELLCS

TEl.tl

« . KMSt^LHI

RITTC

lïX -

« I M

LOI P

//<

r "• • .c

ICC

- * - 7

m*- M 8 HT*

^> 1

\

. 1 1kU»

« k q

• \

K O I

set

\\

t . l 44»HAt

1 l"1

kO

V,

IRT

.F

|

k .

FIVtMIJ

US

KOI

C*.

. M

.

MkTWDLe muDki\

\

L .

O

\

(0

10

ILkN

UkVh

L0D1

asu

\

• \

«JO

t.*

\

su

» • • •

HK

Ll

\

( k

M

ai

*

\N

k

LTI

<>

r i

\

ST

i.H

0

IS

SI

T

O

:n

net

' k i

\

t

c

-M

\

II

t :i i

1000 1500 2000 2300 3000 3500 4000

D I S T A N C E V I R T U E L L E P A R D O U V R E S _ B O U L O G N E

A p P c n D i c A p n i q y t ti: 10