Comité Régional du Tourisme

Dossier de presse

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Charente - Charente-Maritime - Deux-Sèvres - Vienne

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Cognac etla Vallée de la Charente

La Rochelle

Le littoral

Poitiers etle Futuroscope

Niort etle Marais poitevin

Sommaire

● Nouveautés 2009 : du musée de la bande dessinée au Futuroscope, en passant par le patrimoine...

● Eco-labellisation : une signature régionale marquée du sceau environnemental

● La Rochelle, belle et rebelle

● Le littoral : une côte sécurisée et fortifiée entourée d’îles De La Rochelle à l’estuaire de la Gironde : une côte fortifiée Une côte, quatre îles L’estuaire de la Gironde Des plages sécurisées

● Poitiers et le Futuroscope : entre histoire et sensations

● Niort et le Marais poitevin

● Cognac et la Vallée de la Charente Cognac, une ville et un produit Un cognac ou des cognacs ? La Vallée de la Charente... des villes, un fleuve La vallée de la Charente, en vélo et gabarre

● Gastronomie

● Carte d’identité... en chiffres

● Accès

● Contact presse

CRTPC•GD / © P. Baudry - J.P. Boulesteix - M. Garnier - S. Laval - J.M. Nossant - M. Pidérit

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• Angoulême : nouveau musée de la bande dessinée.En juin 2009, Angoulême accueillera le nouveau musée de la bande des-sinée dans des chais, sur les rives de la Charente.En déménageant dans de nouveaux espaces, le musée va repenser complè-tement sa muséographie et redéployer l’ensemble de ses collections perma-nentes sur environ 1300 m². Une passerelle le reliera à la Cité Internationale de la Bande Dessinée (CIBDI).Le parcours muséographique s’organisera en 4 sections : - L’histoire de la bande dessinée, de 1833 à aujourd’hui ;- L’Atelier du dessinateur, consacré aux différentes techniques de création de bande dessinée et aux interviews d’auteurs et de dessinateurs ;- Les Maîtres du Trait, qui présentera l’esthétique de la bande dessinée (dé-couverte de planches originales, des spécificités du langage « bande dessi-née ») ;- Une galerie où seront présentées des expo-dossiers ou des expositions thématiques en lien avec l’actualité. En savoir + : www.cnbdi.fr

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Nouveautés : du musée de la BD au Futuroscope, en passant par le patrimoine...

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Expositions temporaires déjà programmées :

Eté 2009 : Saint Exupéry et la BDCette exposition sera consacrée aux traces, influences, citations de Saint-Exupéry dans la bande dessinée. Elle se composera d’originaux, de fac-similés de planches et d’extraits vidéo d’interviews d’auteurs tirés de Saint-Exupéry, d’une enquête dans l’univers de la bande dessinée...

Automne 2009 : Toy Comics Présentée au Musée des Arts décoratifs (novembre 2007-avril 2008) à Paris, cette exposition réunit trente-quatre dessinateurs internationaux et plus de deux cents jouets de la collection du musée des Arts décoratifs, du XIXè siècle à nos jours.

• Abbaye de Saint Savin : des fresques dans toute leur splendeur.Après trois ans de restauration, les peintures murales de l’abbatiale de Saint-Savin-sur-Gartempe (Vienne), inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, sont de nouveau entièrement visibles par le public.L’intégralité du décor peint de la nef a subi un « toilettage », de même que les chapiteaux et les colonnes, ce qui redonne à l’ensemble un nouvel éclat et une plus grande cohérence architecturale.Le visiteur qui pénètre dans l’abbatiale est encore plus frappé par les dimen-sions surprenantes de cette église-halle dont la voûte culmine à 17 m.L’installation d’un éclairage par fibre optique permet d’éclairer spécifiquement l’ensemble des peintures murales de la voûte ; lors des visites, chaque peinture pourra ainsi être éclairée.En savoir + : www.abbaye-saint-savin.fr

Juin 2009

• Un nouvel espace d’architecture romane en Cha-renteEn Poitou-Charentes, plus de 800 monuments romans sont recensés sur l’ensemble du territoire. Afin de mieux en cerner l’histoire et l’architecture, l’abbaye de St Amant de Boixe, à 20 km au nord d’Angoulême, accueille, depuis septembre 2008, un espace d’architecture romane au sein des bâ-timents conventuels. Bornes, maquettes, plans reliefs, projections, diffu-sions audio, jeux... ont été mis en place afin que chaque visiteur puisse mieux appréhender le site.En savoir + : http://abbaye.saintamantdeboixe.fr

• Futuroscope : de nouvelles sensationsLes nouvelles expériences de la saison 2009 invitent les visiteurs, dès fé-vrier, à voyager sur l’axe du temps, entre imaginaire et monde réel. Ils peu-vent ainsi explorer le passé, décrypter le présent et imaginer le futur.A découvrir, entre autres expériences : • Chocs cosmiques : Propulsés dans la Voie lactée, les visiteurs sont interpellés par les phénomènes naturels qui se déroulent sur le dôme au-dessus de leurs têtes ; • « le mystère de la note bleue », le nouveau spectacle nocturne signé Yves Pépin ; • « Les Astromouches » : cette attraction revisite avec humour l’his-toire de la célèbre mission Apollo 11, le premier vol qui a conduit l’Homme à marcher sur la Lune ; • EcoDingo : cette aventure en cinéma dynamique plonge les visi-teurs dans un rallye trépidant parmi des véhicules volants écologiques. • Les animaux du futur, l’attarction qui fait entrer le visiteur au coeur de la « réalité augmentée ».En savoir + : www.futuroscope.com

• De nouveaux itinéraires cyclables au coeur du Ma-rais poitevin et de la vallée du Thouet.Après celui du Marais poitevin (800 km de pistes), c’est au tour du circuit de la Vallée du Thouet de voir le jour, en suivant les courbes du Thouet, un affluent de la Loire. Les 120 km d’itinéraires cyclables, du Saumurois aux portes du Marais poitevin, traversent 24 communes et comportent 450 bornes de balisage.Les circuits sont rassemblés dans un guide gratuit « La Vallée du Thouet de Rives en Rêves ».En savoir + : www.tourisme-deux-sevres.com

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Nouveautés (suite)

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L’éco-label européen : un gage de reconnaissance... pour la planète.

Etabli en 1992 par l’Union Européenne, l’éco-label européen est un système d’homologation destiné à aider les consommateurs à distinguer des produits plus respectueux de l’environnement.

En Poitou-Charentes, sept établissements possèdent cet éco-label.Niché au coeur du Poitou, à Lussac-les-Châteaux, dans la Vienne, l’hôtel « Les Orangeries*** » est le 1er établissement en France à l’avoir reçu en 2006. Depuis, 2 autres hôtels de la région ont été remarqués : « La Maison flore** » à Arçais dans les Deux-Sèvres et « Les Vignes de la Chapelle*** » à Sainte-Marie-de-Ré en Charente-Maritime en décembre 2008.

En plus de ces 3 établissements, 4 autres possèdent cet éco-label :- Camping « La Venise Verte**** » à Coulon dans les Deux-Sèvres (2è cam-ping de France à l’avoir obtenu),- Camping « La Brande**** » au Château d’Oléron en Charente-Maritime,- Résidence hôtelière « Le Domaine du Château**** » à Lagord en Cha-rente-Maritime,- Centre de Plein air de Lathus dans la Vienne.

A compter d’avril 2009, 15 nouveaux établissements devraient se voir attribuer cet éco-label en région.

En savoir + : www.lesorangeries.com ; www.maisonflore.com ; www.camping-laveni-severte.fr ; www.lesvignesdelachapelle.com ; www.revalisever.com ; www.camping-labrande.com ; www.cpa-lathus.asso.fr

« Les Vignes de la Chapelle*** », 1er hôtel éco labellisé de Charente-Maritime.Depuis décembre 2008, l’Hôtel*** ‘Lodges & Spa’ « Les Vignes de la Chapelle » (Relais du Silence) à Sainte-Marie-de-Ré possède l’éco-label européen.Cet engagement se traduit par la mise en place d’un chauffe-eau solaire, d’une pompe à chaleur, d’un brise-soleil et sur-tout d’une architecture bioclimatique per-mettant d’assurer un confort thermique toute l’année sans besoin excessif de chauffage en hiver et sans nécessité de climatisation en été. Situé face au vigno-ble et à la mer, l’établissement propose des prestations haut de gamme : 19 Lodges plain pied sous forme de petites mai-sons de 17 à 45 m² pouvant accueillir de 1 à 5 personnes, piscine chauffée, jacuzzi, sauna, massages, yoga, location de vélos...

Ouverture du 1er avril au 11 novembre 2009 – A partir de 85 €Hôtel « Les Vignes de la Chapelle *** » - 5 rue de la Manne - 17740 Sainte Marie de Ré - Tél. +33 (0)5 46 30 20 30www.lesvignesdelachapelle.com

Ecolabel, les 5 critères principaux :- Limiter la consommation d’énergie,- Limiter la consommation d’eau,- Réduire la production de déchets,- Favoriser l’utilisation de ressources renouvelables et de substances moins dangereuses pour l’environnement,- Encourager l’éducation et la communi-cation en matière d’environnement.

Eco-labellisation : une signature régionale marquée du sceau environnemental

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Eco-labellisation (suite)

Toujours plus loin en matière d’écologie urbaine...

Par les besoins importants qu’il génère en terme de consommation de res-sources et de production de déchets, le développement touristique peut s’avérer dommageable pour l’environnement qu’il est censé valoriser.C’est pourquoi, la Région a choisi d’inscrire son développement touristique dans la durée à travers une démarche écotouristique partagée.

En 2006, elle a édité un livret de sensibilisation « Tourisme et Environne-ment : les professionnels cultivent l’excellence environnementale ». Il guide les professionnels du tourisme dans la gestion écologique de leur établis-sement ; une affiche est également disposée dans chaque chambre afin d’inciter les touristes à avoir un comportement éco-responsable.

En 2007, elle a organisé un forum d’échanges d’expériences « l’Ecotou-risme, c’est l’avenir » avec les professionnels du tourisme.

En 2008, elle a assuré la promotion et l’accompagnement des démarches qualité labellisées « Ecolabel ».

En 2009, 22 établissements devraient bénéficier de cet éco-label.

L’exemple de La Rochelle...

Poitou-Charentes fut précurseur en matière d’écologie urbaine, notamment La Rochelle, 1ère ville en 1970 à avoir impulsé la lutte contre la pollution et le bruit en créant :- le 1er secteur piétonnier de France- puis, en 1976, en mettant gratuitement à disposition les « vélos jaunes ». Dix ans plus tard, ce sont les voitures propres électriques qui apparaissent au sein de la cité huguenote.A noter également que La Rochelle fut la 1ère ville à lancer la journée sans voiture en 1997.Aujourd’hui, 140 km de pistes cyclables existent à La Rochelle et 350 « vélos jaunes » sont disponibles à la location.

Des sites de visites éco-responsables...

Accueillir les visiteurs et les sensibiliser à une démarche sur l’environne-ment, tel est l’objectif des sites de visites qui ont choisi de modifier leur mode de gestion des énergies, des consommables, de leur communica-tion...Depuis longtemps, l’aquarium de La Rochelle s’est inscrit dans cette dé-marche. Au delà du respect des milieux relaté dans le cadre de son école de la mer, c’est aussi l’autonomie énergétique qui est recherché sur un site qui accueille plus de 800.000 touristes par an. Nouveaux espaces marins et transformation du café de l’aquarium en restaurant bio, la démarche se développe encore et toujours en 2009.

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Des festivals éco-responsables...

De plus en plus nombreux et de plus en plus fréquentés, les festivals ne sont pas sans impact sur l’environnement.

La nécessité de développer les éco-manifestations s’inscrit dans une po-litique de promotion d’un tourisme éco-citoyen. Ils sont ainsi de plus en plus nombreux à signer la charte d’engagement sur les éco-festivals qui intègre:- la communication et la sensibilisation à l’environnement des bénévoles et festivaliers,- le transport des festivaliers, des artistes et des bénévoles,- les achats et le choix des équipements et des prestations,- la maîtrise des consommations d’eau et d’électricité,- la réduction et le tri sélectif des déchets.

De grands rassemblements comme le festival du Nombril du monde à Pou-gne-Hérisson, le festival de la Bande Dessinée, la Garden Nef Party et musiques métisses à Angoulême en font partie.

Vers la protection des paysages...

Que ce soit sur le littoral ou dans les zones intérieures, la nécessité de sensibiliser les habitants et les visiteurs au respect et à la préservation des paysages se fait de plus en plus pressente (dunes et falaises fragili-sées...).Des zones naturelles, lieux de protection et de ressourcement de certaines espèces, se sont développées à l’image des Pôles-Nature que le dépar-tement de la Charente-Maritime a développés : Pôle-Nature de Vitrezay (estuaire de la Gironde), Pôle-Nature du Marais Poitevin (Venise Verte) ou encore Maison de la Forêt de Montlieu la Garde (forêts de Haute Sainton-ge), tous ces sites sensibilisent les touristes à la protection des milieux.

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Eco-labellisation (suite)

Pôle-Nature à Taugon

Pôles-Nature et réserves naturelles :

Dans l’île de Ré : - la réserve naturelle de Lilleau des Niges aux Portes-en-Ré, - l’écomusée du marais salant à Loix-en-Ré (production de sel).Dans l’île d’Oléron : - le marais aux oiseaux à Dolus (sauvegarde de la faune), - le port des salines à Grand-Village (port oléronnais reconstitué).Près de Rochefort : - la réserve naturelle de Moëze, - la réserve naturelle des marais d’Yves, ancienne lagune côtière, - la station de lagunage de Rochefort, - la cabane de Moins à Breuil-Magné.Près de Saintes : - les carrières de Crazannes dont la pierre a servi à la construction de monuments de Saintes, du Fort-Boyard et des chapiteaux de la cathédrale de Cologne, - l’asinerie nationale à Dampierre (sauvegarde de la race du baudet du Poitou), - la ferme aux oiseaux à Geay, relais d’information sur les pôles nature.En Haute-Saintonge : - la maison de la forêt à Montieu-la-Garde (exposition sur la forêt), - le pôle nature de Vitrezay.Près de Royan : - le parc de l’estuaire à St Georges de Didonne (estuaire de la Gironde).Dans le marais poitevin : - le pôle-nature du marais poitevin à Taugon (évolution du marais et de ses paysages).

La Rochelle, belle et rebelle

Belle...Grâce à la mise en place d’un périmètre sauvegardé dès les années 1970, la ville a su protéger son coeur de ville historique et en particulier son ar-chitecture à la fois moyenâgeuse et Renaissance.De nouveaux quartiers se sont dressés à proximité, notamment dans le quartier du Gabut avec des maisons en bois colorées, mais aussi près du port des Minimes.

Rebelle...Fondée au Xè siècle, La Rochelle était alors un bourg de pêcheurs et de sauniers. Constamment tournée vers la mer, cette ville portuaire assoit son essor sur le commerce du sel et du vin. De nombreux hôtels particuliers ou édifices voient alors le jour (Hôtel de la Bourse, cathédrale...). Rasée par Richelieu, la ville montre aujourd’hui encore des vestiges de l’enceinte médiévale. Son centre ville se caractérise par ses maisons mé-diévales, les façades de pierre sculptées des XVIè et XVIIè siècles, les rues à arcades et les hôtels particuliers d’armateurs.Sa qualification de rebelle, elle la doit au fait que cette cité huguenote, pro-testante a toujours défiée le Roi. Les guerres de religion ne l’ont d’ailleurs pas épargnée.La Rochelle dispose également de 4 ports : le Vieux Port avec ses célè-bres Tours, le port de commerce de La Pallice, le port de pêche de Chef de Baie et le port des Minimes. Ce dernier, 1er port de plaisance européen de la côte atlantique avec 3 500 anneaux, accueille chaque année, en sep-tembre, le Grand Pavois, 1er salon nautique à flot d’Europe.Aujourd’hui, c’est plus pour flâner sur ses quais ou dans ses ruelles que les visiteurs s’y rendent. Elle accueille ainsi 3 millions de touristes dont 25% d’étrangers, ce qui en fait la troisième ville la plus visitée de France.

Tous les ans, la ville vit au rythme des Francofolies et de ses festivals : film, fictions télévisées, escales documentaires...

Un aquarium « pour rêver et comprendre la mer »...Situé au pied du bassin des Grands Yachts, l’Aquarium de La Rochelle abrite 10 000 animaux marins de tous les continents dans 3 000 m3 d’eau de mer et 65 bassins. Celui des requins compte à lui seul plus d’un million et demi de litres d’eau. www.aquarium-larochelle.com

Des musées pour tous...Musée maritime au sein d’une frégate amarrée dans l’ancien bassin des chalutiers, musée du nouveau monde qui relate les relations entre la France et les Amériques, musée d’Ornigny-Bernon sur l’histoire de la ville, musée d’histoire protestante, musée d’histoire naturelle inauguré en 2007, musée des automates avec 300 personnages en mouvement, musée des beaux-arts, musée du flacon de parfum regroupant plus de 1 000 flacons... autant d’étapes culturelles à marier avec une halte au coeur des 350 hectares d’espaces verts et jardins répartis dans toute la ville.

En savoir + :www.larochelle-tourisme.com

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Quelques bonnes tables :- Les Flots- Le Bistrot de Rémy Massé- Le Bar André- Le Boute en train- La nouvelle maison des mouettes à Aytré

Le littoral : une côte sécurisée et fortifiée entourée d’îles

Le littoral charentais s’étend de l’Anse de l’Aiguillon (au nord de La Rochel-le) à l’estuaire de la Gironde, soit plus de 400 km de côtes et plus de 100 km de plages de sable fin. Bain, pêche, char à voile, surf, kayak de mer ou tout simplement farniente, voici quelques uns des loisirs qu’offre le littoral à Châtelaillon, Fouras, Royan ou encore Saint-Palais, stations balnéaires par excellence.Au sud de la côte charentaise, de la presqu’île d’Arvert à l’estuaire de la Gi-ronde, les plages alternent avec de grandes forêts de pins ou des falaises abritant des habitations troglodytes.

De La Rochelle à l’estuaire de la Gironde : une côte fortifiée

De nombreux phares et fortifications protègent la côte depuis le XVIIè siè-cle. Parmi les plus célèbres : Fort Boyard, Fort Enet, les citadelles de St Martin de Ré ou du Château d’Oléron, Brouage, le phare de « Chassiron » au nord de l’île d’Oléron, le phare des « Baleines » sur l’île de Ré ou encore le phare de la « Coubre » sur la côte sauvage près de Royan.

Un exemple majeur : Rochefort et le Grand Arsenal MaritimeC’est au cours du XVIIè siècle que la France se dote d’une véritable marine de guerre. En 1666, Louis XIV, sur l’idée de Colbert, choisit Rochefort pour y installer un élément central de sa force navale : le grand Arsenal de l’At-lantique. Pour le Roi, il s’agit d’affirmer sa puissance et tenir son rang sur la mer comme sur la terre ; pour le Ministre, il s’agit surtout de protéger le commerce atlantique.

L’Arsenal est un espace destiné à construire, réparer et armer des navi-res de guerre. Il se double d’une rade où les flottes se tiennent prêtes à combattre. Pendant près de trois siècles, 550 navires sortent des cales de l’Arsenal, jusqu’à sa fermeture en 1927.

Pour protéger cet ensemble stratégique, un puissant réseau de fortifica-tions s’établit peu à peu le long de la Charente, des îles d’Aix, d’Oléron et Madame, jusqu’au Fort Boyard. Pour servir cette grande industrie navale, une ville aux rues rectilignes se construit et s’embellit au gré du passage d’officiers et de voyageurs. Aujourd’hui, la richesse patrimoniale de Rochefort témoigne de cette vo-cation maritime.

La corderie royaleSituée au cœur de l’Arsenal de Colbert, la Corderie Royale a fabriqué pendant deux siècles les cordages des grands voiliers de la Marine Royale. Aujourd’hui, elle abrite le Centre International de la Mer qui propose : - une exposition permanente sur les cordages- des expositions temporaires sur l’aventure humaine de la mer- une librairie spécialisée dans le domaine maritime

En savoir + : www.en-charente-maritime.com

Châtelaillon-Plage

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La corderie royale

Une côte, quatre îles

Quatre îles protègent la côte, chacune avec un charme spécifique :

L’île de Ré, l’île « blanche »La plus au nord des quatre îles de la région s’appréhende aisément à vélo le long de ses 100 kilomètres de pistes cyclables.Maisons blanches aux volets colorés décorent ses villages dont certains sont même répertoriés parmi les plus beaux villages de France : Ars-en-Ré avec son clocher bicolore servant de repère à la navigation et La Flotte avec les halles médiévales du vieux marché. Longue de 30 kilomètres et large de 5 kilomètres, elle est reliée au conti-nent par un pont de 3 kilomètres. Au sud, de grandes plages accueillent les amoureux de farniente alors qu’au nord les ports contribuent à l’activité économique de l’île.En savoir + : www.iledere.com

L’île d’Aix, l’île « authentique »Au sud de l’île de Ré et de La Rochelle, c’est une traversée de 20 minutes en bateau au départ de la pointe de la fumée à Fouras qui permet d’accé-der à l’île d’Aix.Classée site naturel remarquable, elle se découvre uniquement à pied en 3 h ou à bicyclette.Longue de 3 kilomètres et large de 700 mètres, elle possède de nombreuses fortifications telles que le fort de La Rade ou le fort Liédot. L’île était en effet un point stratégique pour la protection de l’arsenal maritime de Rochefort.En savoir + : www.iledaix.fr

L’île Madame, l’île préservéeSituée sur l’estuaire de la Charente, l’île Madame est, avec ses 75 hecta-res, la plus petite des îles du Pertuis Charentais. Elle est accessible uni-quement à marée basse par la « Passe aux Bœufs », passage naturel submersible. A découvrir sur l’île : la ferme aquacole et le marais salant.En savoir + : www.ilemadame.com

L’île d’Oléron, l’île « colorée » Ile la plus au sud de la région, l’île d’Oléron est la plus grande des îles de la côte atlantique (175 km²) et la 2è de France après la Corse. Reliée au conti-nent par un pont de près de 3 kilomètres, elle reste plus sauvage que Ré.Son économie est très liée à l’ostréiculture et les alignements de cabanes ostréicoles ajoutent au charme de l’île. Le phare de Chassiron, au nord-ouest, offre une vue imprenable du haut de ses 46 mètres et de ses 224 marches.Chaque village possède ses caractéristiques : St Trojan et sa forêt doma-niale, Le Grand Village Plage et son port des salines, Le Château et sa citadelle fortifiée, Dolus et le marais aux oiseaux, St Pierre et son port de pêche de la Cotinière...En savoir + : www.ile-oleron-marennes.com

Quelques bonnes adresses sur Ré et Oléron :

Ile de Ré - Ruelle et port de La Flotte

Ile d’Aix - Bac et canon

Port des Barques - Anse de la Passe aux Boeufs

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- L’Ecailler à St Pierre d’Oléron- Les Jardins d’Aliénor à Le Châ-teau d’Oléron- le Homard Bleu à St Trojan-les-Bains

- Le Bô à St Martin de Ré- Le Richelieu à La Flotte- L’Océan à le Bois Plage en Ré- le Chat Botté à St Clément des Baleines- La Baleine bleue à St Martin de Ré

L’estuaire de la Gironde

Depuis l’estuaire, de Royan au Pôle-Nature de Vitrezay, un point de vue insoupçonné s’offre au visiteur. Tout au long de la côte, des carrelets, ces cabanes en bois juchées sur pilotis et servant à la pêche au « filet », ani-ment l’estuaire.

A leurs côtés, les grottes de Régulus et de Matata à Meschers-sur-Gironde, creusées dans la roche, retracent l’histoire de l’habitat troglodytique ainsi que les aventures des corsaires et contrebandiers. Elles sont visitables depuis les rives mais sont incontournables depuis l’estuaire.

Vigie de l’estuaire, le village de Talmont-sur-Gironde doit notamment sa renommée à son église romane bâtie sur un promontoire rocheux. Classé parmi « les plus beaux villages de France », Talmont est également une étape sur l’un des chemins de Compostelle. Aujourd’hui, au détour de mi-nuscules ruelles aux maisons blanches et basses bordées de roses trémiè-res, le promeneur découvre de nombreux artisans qui travaillent la nacre, la soie, le cuir….

Si la vie de l’estuaire est rythmée par les marées, ses rives s’animent éga-lement au fil des saisons. En automne, les vignes du Château de Beaulon à Saint-Dizant-du-Gua s’apprêtent à être vendangées pour donner Cognac et Pineau des Charen-tes. A proximité de Royan, la station familiale de St Georges de Didonne propose un panel d’activités nautiques traditionnelles qui côtoient les croi-sières au départ de Royan, Meschers et Vitrezay.

Pour explorer plus encore l’estuaire le plus sauvage d’Europe, deux sites ouvrent leurs portes : - le « Parc de l’estuaire » à St Georges de Didonne (découverte de l’éco-système de l’estuaire, principale voie de passage des oiseaux migrateurs de l’Europe du Nord vers l’Afrique) ;- et le « Pôle-Nature » de Vitrezay (découverte de la faune et de la flore dans un site naturel protégé).

Des plages sécurisées

Châteaux de sable, pêche à pied, jeux de billes sur le sable humide, clubs de plages... toutes ces activités sont possibles sur les plages de sable fin de Charente-Maritime. Nombreuses sont celles qui sont labellisées« handiplage », permettant ainsi leur accès aux personnes à mobilité ré-duite (équipement « tiralo », fauteuil amphibie...). La plupart d’entre elles disposent également de postes de surveillance.

Royan : une ville, cinq plagesCapitale de la « Côte de Beauté », Royan lança la mode des bains de mer dès le XIXè siècle. Station balnéaire, elle abrite 5 plages de sable fin dont la plus célèbre : la Grande Conche, longue de 2 kilomètres.

Les amateurs de belles plages de sable fin ne manqueront pas de s’instal-ler sur les plages de St Georges-de-Didonne, Saint-Palais, Vaux-sur-Mer, La Palmyre ou encore Ronce-Les-Bains.

La côte vers Meschers

Talmont-sur-Gironde - église

Royan

Ronce-Les-Bains

La côte vers Meschers

Littoral (suite)

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Les nouvelles expériences de la saison 2009 invitent les visiteurs à voyager sur l’axe du temps, entre imaginaire et monde réel.► Du passé au futur, les images de « Chocs Cosmiques » condui-sent au coeur des impacts cosmiques pour découvrir comment de tels phénomènes modèlent l’univers (23 min).► La fiction en IMAX 3D, « Les Astromouches », revisite avec humour l’histoire de la célèbre mission Apollo 11, le premier vol qui a conduit l’Homme à marcher sur la Lune en 1969 (35 min).► Départ en 2052 de la course EcoDingo : exclusivement produite pour le Futu-roscope, cette aventure en cinéma dynamique plonge les visiteurs dans un rallye trépidant parmi des véhicules volants écologiques (5 min).► Le parcours dans le noir, « Les Yeux Grands Fermés », propose un nouveau voyage dans l’obscurité : les visiteurs, guidés par un animateur aveugle, parti-cipent à une aventure sensorielle (glisser sur les canaux de Venise en gondole, explorer l’Himalaya et la forêt amazonienne) pour « voir » le monde autrement.► La cuisine moléculaire s’invite désormais toute l’année dans les assiettes du restaurant Le Cristal pour permettre de découvrir les saveurs du futur.► Imaginé par Yves Pépin, conseiller artistique lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Pékin, le nouveau spectacle nocturne « Le Mystère de la note Bleue » conclut la journée de visite. A la tombée de la nuit, la scène aquatique s’anime pour conter l’histoire de Mike, DJ populaire et branché, qui affronte MP5, son homologue virtuel dans un duel musical à la recherche d’un son spécial : la note bleue (30 min).

4 avril 2009

► Les Animaux du Futur, attraction-événement en 2008, pousse le curseur technologique encore plus loin. Elle propose une immersion plus spectaculaire dans le futur avec de nouvel-les interactions en réalité augmentée.A bord de véhicules d’expédition, les visiteurs-explorateurs sillonnent des décors réels reconstituant les habitats de notre planète tels qu’ils pourraient évo-luer dans le futur. Equipés de jumelles et d’un bracelet-capteur, ils voient surgir virtuellement et en 3D les animaux qui pourraient peupler notre planète dans 200 millions d’années (15 min).

Contact Presse : Jérôme Neveux05 49 49 20 4206 82 83 63 20jneveux@futuroscope.frhttp://presse.futuroscope.comwww.futuroscope.com

Février 2009

Pavillon Animaux du Futur

Poitiers et le Futuroscope...entre histoire et sensations

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Poitiers... ville romaneAppelée « la ville aux cent clochers » pour avoir compté 24 paroisses et 30 monastères, Poitiers est une référence de l’art roman en France. Au IVè siècle, le christianisme se répand dans le Poitou : le baptistère Saint-Jean, témoin de cette période, est considéré comme la plus ancienne trace en Europe des débuts du monde chrétien. Quelques siècles plus tard, deux batailles célèbres la font entrer dans les livres d’histoire : celles contre les Wisigoths (507) et les arabes (732) auxquelles sont associés deux noms illustres, Clovis et Charles Martel. Plusieurs autres person-nages ont marqué l’histoire de Poitiers : Sainte-Radegonde (fondatrice de l’abbaye Ste Croix,1er monastère féminin), Saint-Hilaire, les Comtes du Poitou et Ducs d’Aquitaine, Aliénor d’Aquitaine...Ce sont les travaux d’urbanisme des XVIIIè s. et XIXè s. (grands boulevards, parc de Blossac, voies haussmanniennes notamment entre l’Hôtel de Ville et la préfecture) qui donneront à Poitiers sa configuration actuelle. Pour l’embrasser d’un seul coup d’œil, il faut aller se percher sur la terrasse des Dunes.Poitiers compte 80 édifices classés et inscrits au titre des Monuments Historiques, dont les plus célèbres sont le Baptistère Saint-Jean, l’église Notre-Dame-la-Grande ou encore l’église Saint-Hilaire (étape des pèlerins de St Jacques de Compostelle, classée au pa-trimoine mondial de l’Unesco). Dotée du label Ville et Pays d’Art et d’Histoire, elle détient un des plus vastes secteurs sauvegardés de France.En savoir + : www.ot-poitiers.fr

Quelques bonnes tables :- Le Poitevin- La Table du jardin- Le Vingélique

Niort et le Marais poitevinLe Marais poitevin constitue la deuxième zone humide de France, après la Camargue. Il s’agit d’un espace que l’homme a su dompter au fil des siècles. Surnommé « Venise verte », la partie la plus originelle se situe en Deux-Sèvres. La barque à fond plat et à bords peu élevés, appelée plus communément « plate », y a longtemps été le seul moyen de transport des hommes et des marchandises. Les habitants l’utilisaient pour toutes leurs activités quoti-diennes : déplacements, transports des vaches ou de l’herbe, pêche...Dans le Marais mouillé, on compte environ 4 000 kilomètres de voies d’eau. Aujourd’hui, de nombreux embarcadères longent la Sèvre Niortaise et per-mettent la location de ces barques. Les balades sont libres ou accompa-gnées d’un batelier qui saura en conter l’histoire et les coutumes.

La Maison flore : un hôtel environnemental.A la Maison Flore à Arçais, l’intérêt pour la nature et l’environnement n’est pas seulement dans la décoration des 10 chambres sur le thème des fleurs du Marais. Fraîcheur l’été et chaleur l’hiver circulent grâce à une installa-tion aérothermique alimentée par une pompe à chaleur air/eau, elle-même alimentée par le solaire : 40 m² de tuiles photovoltaïques fournissent à l’établissement une autonomie énergétique complète.Poubelles doubles, matelas bio, pas de changement systématique des draps chaque jour, chasses d’eau alimentées par les eaux pluviales, petit déjeuner bio issu du commerce équitable ou des producteurs locaux, pro-duits d’entretien 100% écologiques : un hôtel bon pour la planète !En savoir + : www.maisonflore.com

Camping de la Venise Verte : 2è camping éco-labellisé en France.Ce camping situé à Coulon, « capitale » du Marais, conjugue calme, na-ture, activités sportives et découverte en toute sérénité. Chalets en bois, mobil-homes et emplacements pour tentes accueillent les touristes.Ce camping est le 2è en France à avoir obtenu l’éco-label européen grâce à la pose d’économiseurs d’eau, de panneaux solaires, de balises photo-voltaïques ou encore d’ampoules basse consommation.En savoir + : www.camping-laveniseverte.com

« Marais en Marche » : la fête de la randonnée.Pour sa 10è édition, le « Marais en marche » proposera :- une randonnée nocturne le samedi 30 mai 2009 à St Hilaire La Palud- et 8 randonnées à thème, de 5 à 15 km, le dimanche 31 mai 2009.Selon la tradition, ces circuits permettent de découvrir des endroits habi-tuellement inaccessibles dans le marais. Ce jour-là, les propriétés privées le sont un peu moins et, surtout, les maraîchins deviennent des guides proches et prolixes, initiant les visiteurs à « leur » marais.En savoir + : www.maraisenmarche.com

Un marché sur l’eau à Le Vanneau le samedi 25 juillet.Ce marché permet de retrouver les traditions du marais de façon festive. Le temps d’une balade en barque, un batelier emmène les visiteurs d’étal en étal à la rencontre de 50 producteurs et artisans.

Arçais - maison et embarcadère sur le port

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Arçais - Façade et jardin de Maison flore

Le Vanneau - Marché sur l’eau © Y. Guilbard

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Quelques chiffres clés pour mieux comprendre le Marais Poitevin :- près de 100 000 ha de surface- 35 000 ha de Marais mouillés- 56 000 ha en marais desséchés

Le marais poitevin à véloSouvent surnommé « cathédrale de verdure », le Marais poitevin est pro-pice à la balade. 800 km de sentiers sécurisés et balisés dont 300 km dans le marais mouillé deux-sévrien sont ainsi accessibles pour des circuits en boucle ou en itinérance. L’occasion de découvrir paysages, faune, flore, patrimoine, villages-rues...Une charte de « qualité accueil » a été signée par une cinquantaine de prestataires (chambres d’hôtes, loueurs de vélos, campings, restaurants...). Elle permet de mettre à disposition des vacanciers des trousses de secours, cartes, espaces de stationnement des vélos...

En savoir + : www.parc-marais-poitevin.fr www.marais-poitevin.frwww.tourisme-deux-sevres.com

Le vélo en Poitou-Charentes, c’est aussi :

- le long de la vallée du Thouet dans les Deux-Sèvres ;- sur l’île de Ré en Charente-Maritime avec 100 km de pistes cyclables à travers vignes et marais salants, forêts et réserve naturelle ;- sur l’île d’Oléron en Charente-Maritime ;- autour de La Rochelle avec 150 km de pistes ou bandes cyclables ;- à travers la Charente avec près de 500 km de « véloroutes » et « voies vertes » balisées dont les 2 nouvelles boucles locales « véloroutes » au départ de Massignac et Chassenon.

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Coulon - La Garette, piste cyclable

Le Vanneau, passerelle

Oléron, boutique au port des salines

Marais poitevin (suite)

Niort, une ville aux portes du Marais poitevin

Dès le XIVè siècle, Niort développe des industries de ganteries et de cha-moiseries. Les guerres de religion éprouvent la ville et marquent le début du déclin de l’activité économique. Au XIXè, la ville se dote de nombreux bâtiments comme la halle de verre et de métal de style Baltard ou le nouvel hôtel de ville.Aujourd’hui, tout en conservant un rôle de capitale agricole, Niort s’enor-gueillit d’abriter les grandes compagnies d’assurances.Reliée au Marais poitevin par la Sèvre, la ville en a aménagé les rives : berges, quais et chemins de halages plantés d’arbres forment ainsi une agréable « Coulée Verte ».Les foires et marchés sont un excellent terrain pour exercer les papilles aux saveurs du fromage de chèvre (premier département producteur), du tourteau fromager et de l’angélique.

Les dragons envahissent la ville...Dans la principale rue commerçante de la ville se dressent quatre dragons en bronze, tout droit sortis de la Sèvre niortaise. Leur origine est tirée d’une légende qui raconte la victoire d’un chevalier ayant vaincu une de ces bê-tes qui hantait le Marais Poitevin à la fin du XIIè siècle.Ces quatre figures, élevées au rang d’œuvre d’art, continuent, comme dans la légende, de hanter la ville, mais, cette fois, avec une fonction plus pratique : celle de séparer l’espace piéton de celui réservé aux voitures.

En savoir + : www.niortourisme.com

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Quelques bonnes tables :- La table des saveurs- L’auberge de la Roussille- Plaisir des sens

Cognac, une ville et un produit.A Cognac, ville et eau-de-vie ne font qu’un. Ainsi, un séjour à Cognac pas-se forcément par la visite d’une grande maison de négoce pour s’initier aux secrets de la distillation ou découvrir les chais de vieillissement et le « Paradis », ce chai où sont jalousement gardées les eaux-de-vie les plus anciennes. La visite se poursuit dans la ville et ses musées : - A « l’Espace Découverte en Pays du Cognac », véritable parcours-décou-verte, interactif et poétique, du pays cognaçais.- Au « Musée des Arts du Cognac » où l’histoire du cognac, des hommes et de leurs savoir-faire est contée au travers d’ambiances sonores, olfactives et audiovisuelles. En savoir + : www.ville-cognac.fr ; www.espace-decouverte.fr ; www.musees-cognac.fr

Cognac et la vallée de la Charente

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Un cognac ou des cognacs ?Attiédi au creux de la main dans un verre « ballon » ou « tulipe », le cognac s’apprécie généralement en fin de repas. Cependant, il apparaît de plus en plus servi à l’apéritif, mélangé à une boisson gazeuse.Aujourd’hui, le vignoble de cognac s’étend sur 80 000 hectares, ce qui en fait le deuxième vignoble français après celui de Bordeaux.Les crus de production se répartissent autour de Cognac en cercles concentriques : grande champagne, petite champagne, borderies, fin bois, bons bois, bois ordinaires. La distillation se fait en deux chauffes dans les alambics en cuivre. La pre-mière chauffe aboutit au « brouillis ». La deuxième chauffe permet d’obtenir le « cœur » qui deviendra cognac. Ces toutes jeunes eaux-de-vie à peine sorties de l’alambic vont se transformer en or au fil des alchimies entre le bois et l’alcool. Chaque année, 3% de ces eaux-de-vie s’évaporent : c’est la part des anges. Réalisés par le maître de chai, les assemblages d’eaux de vie, de crus et d’âges différents, sont ensuite réunis en barriques afin de les laisser se marier entre eux. De fait, il n’y a pas un cognac mais plusieurs.

En savoir + : www.tourism-cognac.com

Musée des arts du cognac

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Quelques bonnes tables :- L’Yeuse à Cognac-Châteaubernard- L’Echassier à Cognac-Châteaubernard- La Courtine à Cognac- Le Domaine du Breuil à Cognac

- La Ribaudière à Bourg-Charente (étoilé Michelin)- Le restaurant du Château à Jarnac- Le moulin du Val de Seugne à Mosnac

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La vallée de la Charente... des villes, un fleuve.

Des villes...

Angoulême, de l’imagerie romane au 9è art.La ville est partagée entre le rocher, cerné de remparts et dominant les val-lées de la Charente et de l’Anguienne, et la ville basse où s’épanouissent les industries.Angoulême est à découvrir pour son architecture et son patrimoine : ca-thédrale St-Pierre, joyau de l’art roman en Charente, hôtel de ville, ancien château comtal où naquit Marguerite de Valois, place des halles, marché couvert du XIXe...Le coeur de la vieille ville permet de profiter des ruelles bordées de restau-rants et de boutiques de créateurs ou de flâner le long des remparts de la cité.

Capitale française de la fabrication du papier jusque dans les années 1970, le chef-lieu de la Charente construit désormais son identité autour de l’ima-ge et de la Bande Dessinée. En témoigne le festival de la BD, fin janvier, qui attire de nombreux passionnés et professionnels du monde entier mais aussi la Cité Internationale de la Bande Dessinée et de l’Image (CIBDI) qui anime et conserve les richesses de la production française

En savoir + : www.angouleme-tourisme.com et www.cnbdi.fr

La Cité Internationale de la Bande Dessinée et de l’Image (CIBDI) a été créée en janvier 2008.Référence française en matière de bande dessinée, elle accueille toute l’année des auteurs, des chercheurs, des amateurs du monde entier et se consacre à la création, à la conservation du patrimoine et à sa diffusion.Elle est répartie sur trois sites : la Maison des Auteurs sur les remparts de la ville, le Centre National de la Bande Dessinée et de l’Image (CNBDI) au bord de la Charente, et le Musée de la bande dessinée, qui ouvrira ses portes en 2009.La CIBDI comprend également une librairie, une bibliothèque, le Café de l’image...

En savoir + : www.cnbdi.fr

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Vallée de la Charente (suite)

Quelques bonnes tables :- La Ruelle- Les Gourmandines- L’Agape- Chez Paul

Saintes, ville d’art et d’histoire.Saintes fut fondée au premier siècle avant JC par les romains et dotée de monuments publics toujours visibles aujourd’hui : l’arc de Germanicus, l’amphithéâtre, les thermes... Grâce au fleuve Charente qui traverse la vil-le, les échanges commerciaux furent nombreux : transport du vin, du sel et des pierres.

Au Moyen-Age, Saintes voit s’édifier l’Abbaye aux Dames, la cathédrale St Pierre et le prieuré St Eutrope avec sa crypte.Aux XVIIè et XVIIIè siècles, la ville connaît une période prospère. De beaux hôtels particuliers sont alors construits au cœur de la ville.

Aujourd’hui Ville d’Art et d’Histoire, ville de culture et de tourisme, Saintes a le souci de valoriser le riche patrimoine dont elle a hérité et de l’offrir aux visiteurs qui viennent y goûter l’atmosphère du « midi atlantique », au cœur de la région du cognac.

Depuis 1972, le Festival de Saintes rassemble, en juillet, les amoureux de la musique avec des concerts de répertoire baroque, romantique et contem-porain. Cet évènement accueille chaque année près de 13 000 spectateurs durant les 10 jours du festival.

En savoir + : www.ot-saintes.fr

Rochefort : un arsenal sur l’estuaire de la Charente.Située à 25 km au sud de La Rochelle, Rochefort est particulièrement connue pour sa Corderie Royale, bâtiment de 373 m construit en 1666 par Colbert le long de la Charente.

A quelques pas de là, une frégate est actuellement en cours de recons-truction : en 1780, La Fayette embarque à bord de l’Hermione, une fré-gate construite dans l’arsenal de Rochefort. Il part au secours des insurgés américains combattant pour leur indépendance. En 1997, l’Hermione est remise en chantier au coeur de l’ancien Arsenal maritime sur le site même où elle est née. Le chantier, visitable tous les jours, permet de découvrir le travail des charpentiers, menuisiers et forgerons. Sa mise à l’eau est prévue vers 2011-2012.En savoir + : www.paysrochefortais-tourisme.com

A découvrir également à Rochefort :- la maison de Pierre Loti, écrivain et grand voyageur, natif de Rochefort,- l’Hôtel Hèbre de Saint-Clément, rénové, qui accueille deux structures municipa-les : le musée d’Art et d’Histoire et le service du patrimoine, offrant des regards complémentaires sur l’histoire de la ville,- Le pont transbordeur, construit en 1900, chef-d’oeuvre d’architecture métallique, et dernier ouvrage de ce type en France. Dominant la Charente de 50 m, il a faci-lité le franchissement du fleuve, sans gêner la navigation fluviale entre l’arsenal, le port et l’estuaire.

Saintes - La Charente et l’église St Eutrope

Saintes - Arènes

Saintes - Arc de Germanicus

Rochefort - Centre Ville

Rochefort - Frégate Hermione en reconstruction

Rochefort - Terrasses Place Colbert

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Vallée de la Charente (suite)

Quelques bonnes tables :- Le Cap Nell à Rochefort- Les quatre saisons à Rochefort- La Corderie Royale à Rochefort- La table de Marion à Saintes- Les saveurs de l’abbaye à Saintes

Un fleuve...

Promenades sur la Charente► La Charente est navigable d’Angoulême à la mer (Rochefort) et de nom-breux bateaux habitables (« house boat ») peuvent être loués pour une journée ou une semaine au départ de Fléac, Jarnac, Sireuil…. 21 écluses manuelles se succèdent dont 2 en Charente-Maritime. A ne pas manquer : les croisières fluviales au départ de Rochefort et, no-tamment, « Un jour à l’île d’Aix », une croisière de Rochefort à l’Ile d’Aix pour descendre la Charente au départ de la corderie royale.

► Des croisières-promenades sont également proposées au départ d’An-goulême, de St Simon, de Jarnac, de Cognac, de Saintes, de Saint Savi-nien (halte fluviale) ou de Port d’Envaux.

► Les gabarres, ces bateaux à fond plat qui sillonnaient le fleuve Charente et rythmaient la vie économique locale, font aujourd’hui partie du patrimoi-ne touristique. Construites au village de St Simon, elles embarquent les touristes pour une calme découverte du fleuve Charente.« La Renaissance », cette réplique d’une gabare du XIXe siècle, sillonne chaque été le fleuve à la découverte de Saint-Simon, Graves et son égli-se romane, le petit village de Saintonge ou encore l’ancien port dédié au transport des pierres de Saint-Même-les-Carrières.

En savoir + : www.lacharente.com

Promenades en mer► Découverte de l’estuaire de la Gironde, plus grand estuaire d’Europe.Il se découvre en croisière au départ de Royan ou bien encore de St Geor-ges-de-Didonne, sa porte d’entrée. Cette promenade permet une esca-pade vers le Verdon, Talmont et son église surplombant la mer, les falaises de Meschers et ses habitations troglodytes…

► Découverte du milieu ostréicole.Embarquement au départ du port de la Cayenne (Marennes) pour une vi-site des parcs ostréicoles ainsi qu’une découverte de la vie des ostréicul-teurs au départ de Fouras avec dégustations.

► Excursions en mer vers les îles et les forts.Au départ de La Rochelle, de l’île d’Oléron ou de l’île de Ré, des promena-des en mer sont commentées vers les îles de la région avec approche du Fort Boyard.

En savoir + : www.en-charente-maritime.com

Cognac - Les quais et les Tours St Jacques

Cognac - Balade en gabarre sur La Charente

Meschers - les falaises

Fort Boyard

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La vallée de la Charente, en vélo et gabarre...Le long du fleuve Charente, les chemins de halage et les petites routes verdoyantes sont un régal pour les cyclistes. Le temps d’un week-end, la vallée de la Charente invite à la balade à vélo ou en gabarre, soit le long du fleuve, soit au travers des paysages de vignes.En savoir + : www.lacharente.com

Saintes - Gabarre

Vallée de la Charente (suite)

Gastronomie

En apéritif : un Pineau des Charentes.Le pineau des Charentes est issu du mélange de trois-quarts de moût de jus de raisin frais et d’un quart d’eau-de-vie de cognac titrant au minimum 60°. L’alcool empêchant la fermentation du moût, l’ensemble garde sa ri-chesse en sucre. Après un énergique brassage, il est ensuite stocké dans des barriques de chêne pour le vieillissement. Le pineau se déguste très frais, en apéritif, comme vin de dessert ou avec melons et fruits. Le pineau blanc, plus sec, est issu d’un cépage surnommé « Saint-Emilion des Cha-rentes » ou « folle blanche ». Le pineau rosé, plus fruité, est issu des cépa-ges rouges, cabernet et merlot. Leur qualité varie selon le cognac utilisé.

En entrée : des huîtres de Marennes-Oléron.Marennes-Oléron est le premier bassin ostréicole européen. Ses huîtres doivent leur saveur aux « claires », petits bassins dans lesquels les mol-lusques affinent leur chair et acquièrent cette couleur verte caractéristique grâce à une algue microscopique, la navicule bleue. Les labels rouges ré-compensent une production de qualité qui se partage en plusieurs « crus » se différenciant par la durée de leur affinage en « claires ». Les « fines » y passent un mois, les « spéciales » y passent deux mois (moins nombreu-ses dans les bassins elles y deviennent plus charnues) et les « pousses » 4 à 8 mois. Traditionnellement, elles sont consommées crues avec de petites saucis-ses au vin blanc à Oléron ou accompagnées de grillons en Charente.

En plat : des moules de bouchots.Les moules sont surtout produites au nord de La Rochelle, dans la baie de l’Aiguillon, qui avec ses 10 000 tonnes de production annuelle est le pre-mier bassin national mytilicole. Les charentais les apprécient en « éclade » : les moules sont disposées en rond sur une planche épaisse, bloquées les unes par les autres, pointe contre pointe, et sont ensuite recouvertes d’aiguilles de pin que l’on enflam-me. Les moules s’ouvrent alors sous l’effet de la chaleur. On les déguste nature ou avec du pain aillé et du beurre. La « mouclade » est une recette du littoral charentais qui peut marier crème fraîche, curry, safran, ail et oignon émincés, laurier, thym, persil, poivre de Cayenne, vin blanc ou pineau des Charentes.

Les pommes de terre de RéAlcmaria, Starlette, Roseval, Charlotte et Amandine sont les cinq « filles » appétissantes de l’île de Ré dans la catégorie pommes de terre primeurs. La pomme de terre de Ré est la première pomme de terre primeur à avoir reçu la distinction AOC. Son secret : un climat doux et ensoleillé associé à un terroir privilégié.

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En plateau de fromages : un camaïeu de fromages de chèvre.Une légende raconte que le chabichou du Poitou fut fabriqué pour la pre-mière fois au VIIe siècle par les Sarrasins restés sur place après la bataille de Poitiers (le mot « chabi » serait une déformation du mot arabe «chebli» signifiant chèvre). Sa fine croûte blanche teintée de gris bleu, sa pâte blan-che, ferme et crémeuse à la fois, retiennent les faveurs des consomma-teurs. C’est le tour de main du fromager, lors du salage, qui conditionne la saveur du fromage. L’affinage dure de 10 jours à plusieurs mois afin d’obte-nir une pâte plus ou moins moelleuse et une saveur de plus en plus corsée avec le temps. Ce fromage de chèvre est le seul à bénéficier d’une AOC.

La Route du Chabichou et des fromages de chèvreCette route touristique balisée dans le sud des Deux-Sèvres permet aux visiteurs de rencontrer les éleveurs et les producteurs et, ainsi, comprendre les différentes étapes de fabrication, de la traite à l’affinage.

Délices sucrés : tourteau fromager et broyé du Poi-tou.

Le tourteau fromagerCette recette paysanne remonte au temps où le sel, denrée rare et coûteu-se, n’était utilisée qu’avec parcimonie : plutôt que de saler le fromage, on l’utilisait frais en cuisine, en caillé ou en tourte moelleuse pour des desserts de fête. Souple dans sa croûte fraîche et croustillante, il se confectionne à partir de fromage frais de chèvre, ou à défaut de vache, d’œufs, de farine et de sucre et est surtout étonnant par sa voûte qu’on laisse calciner.

Le broyé du PoitouDécorée d’amandes effilées, sèche et très croustillante, cette galette sa-blée n’épargne pas le beurre et c’est incontestablement cet arôme que l’on retrouve mêlé à celui du sucre cuit, de l’amande et parfois aussi de l’angé-lique confite. La coutume exige de ne pas le couper mais de le briser d’un coup de poing sec.

En digestif : un cognac.Attiédi au creux de la main dans un verre « ballon » ou « tulipe », le cognac s’apprécie généralement en fin de repas. Cependant il apparaît de plus en plus servi à l’apéritif, mélangé à une boisson gazeuse. Aujourd’hui, le vignoble de cognac s’étend sur 80 000 hectares, ce qui en fait le deuxième vignoble français après celui de Bordeaux.Les crus de production se répartissent autour de Cognac en cercles concentriques : grande champagne, petite champagne, borderies, fin bois, bons bois, bois ordinaires. La distillation se fait en deux chauffes dans les alambics en cuivre. La pre-mière chauffe aboutit au « brouillis ». La deuxième chauffe permet d’obtenir le « cœur » qui deviendra cognac. Ces toutes jeunes eaux-de-vie à peine sorties de l’alambic vont se transformer en or au fil des alchimies entre le bois et l’alcool. Chaque année, 3% de ces eaux-de-vie s’évaporent : c’est la part des anges. Réalisés par le maître de chai, les assemblages d’eaux de vie, de crus et d’âges différents, sont ensuite réunis en barriques afin de les laisser se marier entre eux. De fait, il n’y a pas un cognac mais plusieurs.

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Chemins de St-Jacques

Aéroports

Patrimoine Mondial de l’UNESCO

Plus beaux villages de France

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Routes à chaussées séparées, axe principal

Routes secondaires

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TOURS/PARIS

NANTES

BORDEAUX

LIMOGES

Carte d’identité... en chiffres

- 1 700 000 habitants- 4 départements : Charente (16), Charente-Maritime (17), Deux-Sèvres (79), et Vienne (86).

Littoral- 460 km de côtes- 110 km de plages de sable- 4 îles : Oléron (la plus grande après la

Corse), Ré, Aix, Madame

Nature- 5 GR (sentiers de Grande Randonnée)- 826 km de chemins de St Jacques de Compostelle- 2 950 km d’itinéraires cyclables balisés et 2 195 km de sentiers VTT- 220 km de voies d’eau navigables- 20 parcours de golf

Patrimoine- 800 églises romanes- 8 sites classés au Patrimoine Mondial de l’UNESCO dont 6 dans le cadre du chemin de St Jacques : les églises St Hilaire de Poitiers et de Melle, l’église St Pierre d’Aulnay-de-Sain-tonge, l’abbaye royale de St Jean-d’Angély, l’église St Eutrope de Saintes et l’hôpital des pèlerins de Pons. Les 2 autres sites classés sont l’abbaye de St Savin avec ses fresques nouvellement restaurées et St Martin de Ré dans le cadre du Réseau des sites Vauban (classement 2008).

Villes et Villages- 3 Villes et 6 Pays d’Art et d’Histoire : Poitiers, Rochefort, Saintes, Pays de l’Angoumois, Pays Thouarsais, Pays de Parthenay, Pays Montmorillonnais, Pays Mellois, Pays Confolen-tais.- 6 plus beaux villages de France : Angles-sur-l’Anglin, Ars-en-Ré, La Flotte, Aubeterre-sur-Dronne, Mornac-sur-Seudre et Talmont-sur-Gironde

Bien-être- 6 centres de thalassothérapie- 4 stations thermales

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Accès

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• En voitureL’autoroute A10 et la route nationale 10 sont les deux grands axes rou-tiers qui relient du nord au sud la région à Paris et Bordeaux (3h30).

• En train- au départ de la gare Montparnasse, le TGV Atlantique relie - Paris à la station TGV du Futuroscope (1h20) et les gares de Poi-tiers (1h30), Angoulême (2h15), Niort (2h12), La Rochelle (2h51) - et Bordeaux à Angoulême (52 mn) et à Poitiers (1h34).

- au départ de Paris Austerlitz, des trains corails desservent également ces destinations ainsi que Cognac, Saintes, Rochefort et Royan.

- au départ de Lille-Europe, liaisons directes vers Poitiers (3h30) et An-goulême (4h15).Correspondance avec Bruxelles et Londres.

• En avionLiaisons régulières vers la France :- Poitiers-Lyon avec Airlinair (2 vols quotidiens du lundi au vendredi et 1 vol le dimanche) puis correspondance depuis Lyon pour Metz-Nancy, Mulhouse, Strasbourg, Marseille.- Poitiers-Nice avec Airlinair du 16/05 au 25/07 puis du 29/08 au 12/09/2009 (1 vol hebdomadaire)- La Rochelle-Nice avec Airlinair du 16/05 au 25/07 puis du 29/08 au 12/09/2009 (1 vol hebdomadaire)- La Rochelle-Lyon avec Airlinair (avec arrêt à Poitiers - 2 vols quotidiens du lundi au vendredi et 1 vol le dimanche) puis correspondance depuis Lyon pour Metz-Nancy, Mulhouse, Strasbourg, Marseille.- Angoulême-LyonLiaisons vers l’Europe :- Aéroport de Poitiers : - Londres Stansted avec Ryanair - Birmingham avec Flybe - Edimbourg avec Ryanair (du 01/04 au 21/10/09) ;- Aéroport de La Rochelle : - Londres Stansted avec Ryanair et Londres Gatwick avec Easy-

jet ; - Lyon avec Airlinair puis liaisons vers Amsterdam, Francfort, Mu-

nich, Milan, Barcelone, Madrid ; - Bristol avec Easyjet - Birmingham et Southampton avec Flybe ; - Dublin avec Ryanair - Manchester et Glasgow avec Flybe - Edimbourg et Leeds avec Jet2 - Cork avec Aer Arann - Bruxelles avec Ryanair du 5 juin à octobre 2009- Aéroport d’Angoulême : - Lyon puis liaisons vers Amsterdam, Francfort, Munich, Milan,

Barcelone, Madrid. - Londres Stansted à partir du 31 mars 2009

Contact presse

Comité Régional du Tourisme Poitou-Charentes8 rue Riffault - BP 56 - 86002 POITIERS Cedex

Tél. : 05.49.50.10.50 – Fax : 05.49.41.37.28 www.poitou-charentes-vacances.com

Contact presse : Ghislaine DESEVEDAVYLigne directe : 05.49.50.10.58

ghd@crtpch.com

Ile de Ré - Phare des Baleines

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