Portfolio_2013

Portfolio I Alex Perret 2013

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Portfolio I Alex Perret

ALEX PERRET

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28 rue de l’Abondance 69003 Lyon+33 [email protected]

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SOMMAIRE

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Sommaire

CV

PFERECHERCHES ET ANALYSE

HABITER CAROUGE LA PRAILLE Planches PFE

PROJET ET EXPERIMENTATIONETRM Projet & Dispositif ScénographiqueXS ASSISE VERTEBRALE Projet & Fabrication NumériqueSWITCH Projet & PrototypeCENTRE D’ART Projet d’edifice culturel

MEMOIRESINFLUX RADICAL

IMAGES RADICALES

EXPERIENCES PERSONNELLESMOOOZ COLLECTIF Experimentations & Scénographie EUROPAN 11 - LANDSCARE


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Alex Perret28 rue de l’Abondance 69003 Lyon+33 [email protected]

C.V.

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Curriculum Vitae

Expériences Professionnelles.Notus ArchitectesLyon; stagiaire de juillet 2012 à septembre 1012Étude paysagère sur l’itinéraire de la RN102 entre Montélimar et Aubenas.

Studio 99Lyon ; collaborateur en novembre 2011Mission d’OPR dans un EHPAD à Vesseaux, en Ardèche

Sidonie Joly Architecture et UrbanismeLyon ; Collaborateur, juin 2011Participation à EUROPAN en 2011 sur le site de Grønmo près d’Oslo en Norvège.

[ SIZ’IX ]Lyon ; Collaborateur de janvier à septembre 2011Préparation de plusieurs concours pour des équipements publics (gymnase médiathèque restaurant universitaire...)

Agence Architectures BarillotLyon ; Collaborateur août à décembre 2010Concours pour une école élémentaire. Esquisses pour un projet de Remise aux Normes et extension d’une salle de sport.

Agence Architectures BarillotLyon ; Collaborateur décembre 2009 Esquisses pour un projet de 24 logements étudiants dans le cadre de la rénovation d’une ancienne caserne+ Relevés.

Agence Architectures BarillotLyon ; Stage, août 2009

Compétences.VectorWorks, Suite Adobe (Illustrator, Photoshop, InDesign, After Effect) ; Sketch’up Pro ; Rhinoceros 3D ; Grasshopper ; Suite Office et iWorks.MadMapper (mapping video) ; Permis de conduire B. Langues : FRANCAIS : langue maternelle

Expériences Complémentaires.Co-fondateur du collectif MOOOZ (wearemoooz.com).Voyage en Chine; Aout 2010 Shanghai (expo) et Beijing.Plusieurs séjours en Allemagne (Berlin, Stuttgart, Karlsruhe...) et en Espagne (Barcelone, Olot...)

Fête des Lumières 2008, Expérimentations étudiantes, Lyon: Projet des LAMPADOUCH‘ retenu et réalisé sur la Place du Griffon 69001 Lyon.

Scolarité.Juin 2013, Projet de Fin d’Etudes. ( Obtenu avec Mention du Jury )

Département Stratégie et Pratiques Architecturales Avancées.

2007-2013 Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon:

2006-2007 Université Claude Bernard Lyon 1,

Licence 1 de Physique Chimie.

2003-2006 Lycée Joseph-Marie Carriat, Bourg en Bresse:

Baccalauréat série S, obtenu avec la Mention Bien.

COMPRÉHENSION

B1

A2

ANGLAIS

ALLEMAND

PARLER

B1

B1

ECRIRE

B1

A2


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PFE

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Projet de Fin d’études

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ANALYSE /RECHERCHES /

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Genève Eurométropole constitue le territoire de projet du Studio SPAA (Stratégie de Projet Ar-chitectural Avancé). Les images correspondent à une étape de l’analyse territoriale menée en groupe. Elles s’articulent autour d’une maquette territoriale situant nos trois aires d’études: Col-longes sous Salève, Carouge, et Genève Jonc-tion, et de trois collages. Nous avons tenté, pour cette prise en main du contexte, d’avoir dans un premier temps une approche protoco-laire, permettant de mettre en rapport ces dif-férents lieux. Ensuite, sur chacun d’entre eux, nous avons cherché à dégager les évidences, en nous appuyant sur nos ressentis personnels et sur le travail de différents artistes qui, dans leur pratique, ont traité des problématiques sou-levées par ces différentes situations, comme la question du paysage, de la monumentalité, de la banalité, la mémoire...

Le dispositif se compose de deux éléments : une maquette topographique du bassin sud de Ge-nève, et de trois collages.

La maquette de site cadre sur le sud de Genève, de la zone de la Jonction jusqu’au Salève. Elle exprime la richesse topographie de la zone et représente le lien qui unit les différents récits métropolitains. Elle sert également à les situer.

Chaque collage, chacun issus d’une méthodo-logie commune, représente un récit métropoli-tain. Leur constitution provient, au départ, d’un amoncellement d’éléments qui témoigne de leur identité. Dans un second temps, c’est leur com-position qui révèle leurs potentiels et évidences.

Enfin, loin d’être anecdotique, la question de l’encadrement de ces récits a son importance. En sapin brut, il témoigne de l’intérêt à porter à ces récits métropolitains, aux potentiels qu’ils possèdent. Cependant, jamais le cadre ne touche le collage. S’il met en valeur, il ne confine pas. Ces récits métropolitains sont l’expression d’une situation dans un contexte, jamais une tentative d’uniformisation.

GENÈVEEUROMÉTROPOLEPROJET DE FIN D’ÉTUDESOCTOBRE 2012 - JUIN 2013

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Que signifie aujourd’hui «habiter», et qu’est-ce qu’un «grand territoire» ? Quels territoires pour quels mo-des de vie ?Devant l’accroissement des mobilités, comment aborder la planification urbaine inscrite né-cessairement dans la démarche du développement durable ? Comment ne pas oublier celles et ceux qui désirent résister au mouvement de globalisation ? Quelles formes d’ha-biter(s) peuvent coexister dans un respect mutuel ? Ces questionne-ments nourriront des propositions architecturales allant de l’échelle du grand paysage à celle de l’archi-tecture, ancrées sur le territoire de Genève Eurométropole, en tentant d’en définir les échelles et les li-mites. Elles seront été enrichies des échanges préalables avec l’Agence d’Urbanisme de Genève et la SIA (Société Suisse des Ingénieurs et des Architectes).

Habiter Genève Eurométropole

HABITER GENÈVE EUROMÉTROPOLEENSAL_SPAA

ALEX PERRET2012_13

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Que signifie aujourd’hui «habiter», et qu’est-ce qu’un «grand territoire» ? Quels territoires pour quels mo-des de vie ?Devant l’accroissement des mobilités, comment aborder la planification urbaine inscrite né-cessairement dans la démarche du développement durable ? Comment ne pas oublier celles et ceux qui désirent résister au mouvement de globalisation ? Quelles formes d’ha-biter(s) peuvent coexister dans un respect mutuel ? Ces questionne-ments nourriront des propositions architecturales allant de l’échelle du grand paysage à celle de l’archi-tecture, ancrées sur le territoire de Genève Eurométropole, en tentant d’en définir les échelles et les li-mites. Elles seront été enrichies des échanges préalables avec l’Agence d’Urbanisme de Genève et la SIA (Société Suisse des Ingénieurs et des Architectes).

Habiter Genève Eurométropole

HABITER GENÈVE EUROMÉTROPOLEENSAL_SPAA

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HABITER CAROUGE /LA PRAILLE /

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Quels sont les enjeux de la transformation de la zone industrielle de la Praille dans le cadre du projet PAV? Il s’agit d’entamer le déplacement de l’activité sur un autre site et son remplace-ment progressif, sur une échelle de 50 ans, par un quartier mixant activités et logements.

Face à l’urgence que crée la pénurie de loge-ments, nous nous sommes interrogés sur le temps que nécessite une telle démarche? Com-ment construire dans une échelle de temps plus courte?

Le danger de notre démarche serait de se limiter à cultiver une esthétique de la zone industrielle. Ainsi notre travail aboutirait à la construction d’une image. Notre responsabilité, en tant qu’ar-chitecte, plus que construire des logements est de bâtir un cadre de vie. Il ne s’agit pas de pen-ser notre intervention comme la simple mise en place de contenants. Qu’est ce qui dans l’état du site tel qu’il se présente constitue ou pour-rait constituer ce cadre de vie? Qu’est ce qui au contraire représente un obstacle à cet l’installa-tion sur le site?

Intervenir dans une zone industrielle pose né-cessairement la question du modèle et plus encore la question du langage. Comme nous l’avons vu précédemment, les zone industrielle on été construites pour répondre à des besoins et des critères qui ne sont pas ceux qu’on attri-bue à la construction de logements. La question de l’enveloppe, de la peau, constitue un aspect intéressant. Les façades ne sont pas composées elle sont une résultante de la surface de pro-gramme contenu, de la parcelle, des accès, du mode de construction...

L’échelle du bâti existant est très monumentale. Le site est dimensionné pour recevoir des en-gins, des camions. Piéton, on se trouve submer-gé, mal à l’aise, forcé de traverser des grandes étendues de parking.

Il ne s’agit pas de concevoir notre intervention comme un objet monumental de plus. Notre intervention se doit de prendre en compte les différentes échelles. C’est cette articulation qui doit porter la richesse du projet.

Il en ressort que le conflit majeur est lié à la grande échelle et réside dans le statut accor-dé au bâtiment : soit il s’agit d’une figure soit il s’agit d’une texture.

L’objectif des 300 logement soulève cette ques-tion de la grande échelle et nous mets face à ce choix.

HABITERCAROUGE LA PRAILLEPROJET DE FIN D’ÉTUDESJANVIER 2013- JUIN 2013

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PROJET ET EXPÉRIMENTATIONS

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Projets & Expérimentations

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PROJETS / EXPERIMENTATIONS /

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Espace de Travail et de Ressources Mutualisées Réalisé avec Laura Vidal Alvarez, Bastien Moulin et Ugo Ribeiro. Ce projet, développé en équipe, s’est construit autour de plusieurs axes. Il s’agissait de projeter notre travail dans un futur proche et d’intuiter les conséquences des crises actuelles, de la pé-nurie de pétrole, ou encore la tendance de nos sociétés à s’organiser en réseaux complexes, matériels ou immatériels... La posture adop-tée pour ce projet consiste à re-situer Bour-goin-Jallieu, petite ville du Nord Isère, dans la mondialisation. Située entre Lyon, Grenoble et Chambéry, cette ville doit s’affirmer comme une charnière entre ruralité et métropoles. De ce fait, un équipement mixte axé sur la mutualisation d’espaces de travail, sur l’hyper-utilisation des reseaux de transport et des flux immatériels, est une des réponses qu’il est possible d’apporter.

Le projet reposant sur des medias différent nous avont chercher a utiliser une mise en scene permettant l’expression la plus juste de chacun d’eux.

Le dispositif se composait donc d’une maquette au 100 eme du batiment, de deux ecrans per-mettant de recevoir des informations, des videos, des schemas. Nous disposions également de deux projetcteurs, l’un en position horizontale, couvrant les deux ecran et les facades de la ma-quette, et le second disposé à la verticale de la maquette, prmettant de projeter sur les sol ou les toitures.

La maquette permet donc au spectateur de se sentir inclus dans un dispositif a son echelle au-tour duquel il peut tourner, s’approcher, et même toucher...

ETRMPROJET & DISPOSITIFJANVIER 2012

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6h

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8h

10h

12h 14h

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20h

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Crèche

Hôtel

Cafetaria

Plug & Work

Bureaux

Locaux spor-

Voitures électriques

6h

4h

8h

10h

12h 14h

16h

18h

20h

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00h

Crèche

Hôtel

Cafetaria

Plug & Work

Bureaux

Locaux spor-

Voitures électriques

Locaux sportifs

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Réalisé avec Laura Vidal Alvarez, Bastien Moulin et Ugo Ribeiro. Ce projet, développé en équipe, s’est construit autour de plusieurs axes. Il s’agissait de projeter notre travail dans un futur proche et d’intuiter les conséquences des crises ac-tuelles, de la penurie de pétrole, ou encore la tendance de nos sociétés à s’organiser en reseaux complexes, materiels ou immateriels... La posture adoptée pour ce projet consiste à re-situer Bourgoin-Jallieu, petite ville du Nord Isere, dans la mondialisation. Située entre Lyon, Grenoble et Chambery, cette ville doit s’affirmer comme une charnière entre ruralité et métropoles. De ce fait, un equipement mixte axé sur la mutualisation d’espaces de travail, sur l’hyper-utilisation des reseaux de transport et des flux immateriels, est une des reponses qu’il est possible d’apporter.

Faire le choix de l’ETRM c’est être conscient du potentiel dormant, quasi inexploité de Bourgoin-Jallieu. C’est être capable de se projeter plus loin dans le temps et d’intuiter les conséquences des crises actuelles, de la pénurie de pétrole ou encore

de la tendance du monde à s’organiser en réseaux complexes, matériels ou immatériels... La posture adoptée consiste à re-situer Bourgoin-Jallieu dans la mondialisation : cette ville doit s’affirmer comme une charnière entre la ruralité et les métropoles qui

l’entourent. De fait, un équipement mixte axé sur la mutualisation des espaces de travail, sur l’hyper-utilisation des réseaux de transport et des flux immatériels (échanges de données informatiques) est d’une des réponses qu’il est possible d’apporter.

ETRM.

VIDAL-ALVAREZ Laura_MOULIN Bastien_PERRET Alex_RIBEIRO Ugo

Espaces de Travail et de Ressources Mutualisés

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XS architecture / ASSISE VERTÉBRALE /

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ASSISE VERTÉBRALEXS ARCHITECTURE

OCTOBRE 2011

Notre réflexion portait sur les différentes po-sitions que prend le corps au repos. Le dispo-sitif d’assise que nous proposons fonctionne comme une anamorphose de postures carac-téristiques : assis, debout, allongé, accoudé, appuyé. Le banc devient un condensé, une fusion confusion des postures typiques, il en ressort une surface molle, prête à accueillir de nouveaux modes de présence, il révèle une multitude de possibles et évoque les trans-formations continues du mouvement dans une logique de flux dynamiques, eux-mêmes caractéristiques de la société contemporaine. Les profils générant la forme sont séparés en deux catégories (A-profils dossiers; B-profils assises) qui s’intercalent : A-B-A-B. Ceci nous permet d’évider la matière, rendant le banc plus léger. Cela crée également une zone d’as-semblage qui rigidifie et stabilise le banc. Enfin le banc se décompose en six groupes afin de faciliter son transport. Découpe avec une frai-seuse numérique.

Banc ParamétriqueRéalisé avec Laura Vidal Alvarez, Bastien Moulin et Ugo Ribeiro.

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SWITCH /UN PAVILLON POUR L’ESS /

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Amarré à Thessalonique sur le quai Leoforos Nikis très fréquenté, le pavillon offre une om-brière réactive. Il s’inscrit au croisement avec l’avenue Aristote, axe fort de la ville pour les évé-nements festifs et les manifestations. Installé de manière temporaire, et dans le contexte actuel de contestation, il cherche à promouvoir l’entre-aide et l’acte de l’individu vers la communauté. Outre la communication des valeurs du CRESS, l’usager peut consulter et réagir à des problé-matiques ou enjeux qui touchent sa ville. Il peut de même contribuer à l’évolution-résolution de ceux-ci en déposant sur place des informations dans un corpus, grâce à tout appareil personnel de communication (smartphone, portable, etc.) ou en réagissant face-caméra. L’enveloppe du pavillon, composée d’un assemblage de voiles mobiles, sert alors d’interface interactive et ré-active illustrant l’activité interne du pavillon et la construction numérique du corpus d’informa-tions. L’animation constante des voiles crée un environnement visuel et sonore changeant (vent à travers les voiles, bruits métalliques, ressac de la mer, …) qui donne au visiteur la sensation de faire partie d’un mécanisme entier.

SWITCH

MAI 2012PROJET & PROTOTYPE

Réalisé avec Vincent Schmitt et Viliam Zajícek

Un Pavillon Réactif

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CENTRE D’ART /PROJET D’ÉDIFICE CULTUREL /

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La DOUA VILLEURBANNE

CENTRE D’ART

JUIN 2010

Il s’agissait pour ce projet de proposer un équi-pement accueillant un espace d’exposition, une salle de conférence et une médiathèque.Le bâtiment s’élève autour d’un espace inté-rieur. Les éléments de programmes s’organisent autour de ce vide qui les met face à face. Une membrane de polycarbonate vient lier tous ces éléments, se dilatant pour envelopper les ou-vrages techniques et s’amincissant pour former des cloisons. Cette membrane parcourant le pro-gramme joue avec la façade formant un second plan lorsqu’elle est en retrait et accueillant les ouvertures lorsqu’elles passent au premier plan.

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MÉMOIRES

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Mémoires

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LICENCE /INFLUX RADICAL /

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Influx RadicalMÉMOIRE

MAI 2011

Le sujet de mes recherches portait initialement sur l’architecture radicale et plus précisément, les images produites par le groupe Superstudio. Ces images me fascinaient autant qu’elles m’in-terrogeaient. J’avais eu envie dans ce rapport d’étude d’approfondir cette période. Cette étude m’a permis dans un premier temps de découvrir la base théorique et projectuelle sur laquelle re-posaient ces images qui m’attiraient tant. Ces recherches m’ont également permis de soule-ver la question de l’héritage légué par ces ar-chitectes. Plusieurs ouvrages consacrés à des rétrospectives sur ce mouvement évoquaient un lien avec le travail de Rem Koolhaas.

L’architecture radicale s’est inscrite dans un cy-cle de contestation entamé par les membres du Team X et pousuivi par les mégastructuralistes comme les membres du groupe Archigram. La Génération d’Archizoom et de Superstudio est une génération qui n’a pas construit mais qui en revanche a permis l’ouverture du champ des possibles. Si Rem Koolhaas n’évoque que rare-ment son lien avec l’architecture Radicale, on peut néanmoins trouver, dans son rapport à la ville et sa manière d’aborder le projet, de nom-breux points communs. Son rapport à ses ré-férences est réellement l’élément clé. Koolhaas, c’est indéniable, réutilise des idées générées par l’architecture radicale, mais, comme il le fait avec toutes ses références, il les manipule, il les adapte.

«INFLUX RADICAL»Le terme «influx» est généralement employé pour parler d’influx nerveux. Il s’agit en physio-logie de la «transmission de l’excitation». L’ar-chitecture Radicale a selon moi transmis cette excitation, cette envie d’aborder le projet d’ar-chitecture différemment.

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Mémoires

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Mémoires

MASTER /IMAGES RADICALES /

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Les architectes Radicaux et particulièrement les deux groupes florentins d’Archizoom et de Superstudio ont animé la fin des années 60 et le début des années 70. En proposant des pro-jets décrivant une réalité dystopique, leur travail à fortement participé à la remise en cause du mouvement moderne.

Ce mouvement a influencé de nombreux ar-chitectes aujourd’hui majeurs comme Rem Koolhaas, étudiant durant ces années d’intense créativité. Rem Koolhaas s’est servi des explo-rations des radicaux pour bâtir sa théorie de la “Bigness“. Elle est le prolongement des études menées par les groupes florentins sur la grande échelle.

Ensuite, la génération suivante, comme Bjark Ingels avec l’agence BIG, formé à l’OMA, puise également dans l’héritage des Radicaux, mais, nous le verrons, de manière différente.

L’intérêt que présente cette étude repose sur une idée précise : nous sommes aujourd’hui confrontés à un monde d’images, et il est par-fois compliqué (pour un étudiant par exemple) d’avoir une lecture plus cultivée de ces images. Je n’entends pas, bien évidemment, proposer une théorie de l’image en architecture, mais cette étude me semble en mesure de fournir quelques clefs de lecture, permettant de regar-der la production architecturale et sa représen-tation avec un regard plus critique.

Images RadicalesMÉMOIRE

MAI 2013

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Mémoires

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EXPÉRIENCES PERSONNELLES

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Expériences Personnelles

MOOOZ /

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Collectif Expérimentationet Scénographie

MOOOZ

depuis MAI 2011

MOOOZ est un collectif constitué en 2011 à l’école d’architecture de Lyon. Notre production se situe à plusieurs échelles allant de la fabri-cation de structures géométriques à la concep-tion scénographique. Notre travail repose sur l’expérimentation avec comme ligne de fuite la maitrise du processus de la conception jusqu’à la réalisation. Jamais considéré comme une fin en soi, le numérique est vu comme un outil per-mettant la réalisation de géométries avancées, mais surtout comme une possibilité de prendre en compte des paramètres complexes comme la lumière, le son, l’interaction avec un utilisateur, un artiste, un spectateur. Intervenant dans des contextes et des formats hétérogènes, Le Map-ping est pour nous plus qu’un simple outil de mise en valeur, il donne une lecture nouvelle aux supports. Il ne s’agit pas d’imposer une identi-té mais de proposer une lecture, une traduction singulière de ces formes et contextes.

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MOOOZ+NUITS SONORES

MAI 2013

FESTIVAL_LYON

Le projet a été réalisé en collaboration avec LFA, agence d’architecture historique du festival Nuits Sonores.

Il s’agit d’un dispositif extensif d’occupation de l’espace où l’enchevêtrement de cordes vient remplir le volume qui lui est donné. L’installation tisse une toile de fils, qui se croisent, se densi-fient, se recoupent au dessus du public. Au plus fort de cet entrelacement, la vidéo vient redes-siner l’espace.

L’objectif de ce dispositif est d’articuler des lieux hétérogènes en créant un espace interactif. L’utilisateur se trouve immergé dans l’installa-tion et en devient acteur. Il intervient sur l’évolu-tion de la projection dans le réseau de fils. L’inte-raction se fait par un contact corporel avec une surface de commande en influant sur plusieurs paramètres de la projection comme le rythme, la couleur, la nature des projections etc...

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NUITS SONORES

IN PROGRESS

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NUITS SONORES

IN PROGRESS

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FESTIVAL_GENÈVE

MOOOZ+ELECTROCIRCUS

DÉCEMBRE 2011

Organisé par CENC (cenc.ch) à Genève, Electro-Circus est un festival pluridisciplinaire mixant musique live, danse, et mapping video pour créer une «freaky funky party». Partant d’une illustration de Thomas Perodin, la réalisation de la scénographie en forme de visage nous a été confiée par notre ami Francois Tarrabass. Après en avoir réalisé le modèle 3d, la maquette, puis les plans, nous avons confié la construction de ce masque de près de 5m de haut à l’équipe ex-perte du CENC. Réalisé avec beaucoup de soins et une grande précision, il ne restait plus qu’à faire le Mapping and let there be light!

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EUROPAN11 /OSLO /

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Réalisé avec Sidonie Joly et Florent Delbreil. La demande sur le site de Grønmo correspondait à la re-qualification d’une ancienne décharge. Notre intervention s’est donc organisée autour de l’idée de cicatrice. L’enjeu était, selon nous, de garder une trace, une mémoire de la décharge en proposant une revitalisation des sols par phase et par zone. Notre intervention reposait sur la mise en place d’un atlas de végétaux permettant de manière précise de traiter les différents types de pollutions du sol. Ensuite il s’agissait de donner à ce site une nouvelle pra-tique, en proposant d’habiter les lisières et de laisser à l’air libre la cicatrice, seule trace de l’ancienne décharge.

GRØNMO_OSLOLANDSCARE

EUROPAN11

JANVIER 2012

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GrønmoCATEGORY Landscape/architecturalLOCATION Oslo, Søondre NordstrandPOPULATION 600 000STRATEGIC SITE-PROJECT SITE 52 haSITE PROPOSED BY Municipality of OsloOWNER OF THE SITE Municipality of Oslo

INVENTORY

GronmolandfillsiteislocatedinthedistrictofSondreNords-trand outside the city center of Oslo. It is surrounded by forest area, ridges and valley draws.Over40years of accumulatedwastehasfilledup the landscape, it istoday covered by a thin green dressed top cover preventing surface water from reaching in and smell from letting out.The site has a particular strong history and has been submitted to impor-tant change in half century only.Having been Oslo’smain garbage dump since 1969more than eightmillion cubic meters of trash have been accumulated till it was closed in2009.Thelandscapehasbeencompletelyreshapedwiththeformervalleyfilledup with a huge amount of waste giving the impression of desolation. The site leaves a strong apocalyptic and unfriendly feeling. Like a breach in Marka forest it opens views of devastation.The usage of this land as a garbage dump has a strong impact on the sitewithsignificanttopologychange,unstablegroundandemissionoftoxic gases.This territory has a strong identity evoking a hostile to nature waiting for a better future.How to rehabilitate this territory?How to reconcile this desert area with nature taking into account some new urbanity?

Our goal here is not to create an autonomous zone like for instance the nearby golf course. The purpose is not to design a new “palm spring”, small oasis paradise in the middle of the desert but to keep present the memory of this site by preserving traces of the past. We would like to avoid creating a space of pure positive modernity by stimulating ecologi-cal awareness and accountability.The environment near the site consists mainly in residential area to the west and a golf course north. The Marka forest is surrounding the site crossed by footpath, cross country skiing and high voltage lines sup-plying the city of Oslo.

THE CONCEPT: THE SCARS OF LANDSCAPELand scar was borne of this trauma. Land scar is the trace, the memory of this garbage dump which appears like an injury and a traumatic memory to the natural landscape.A pragmatic analysis leads to the conclusion that the soil cannot be used in totality for urban planning purpose, the damage caused by the man is too severe.We propose a surgery operation the site must be cured, it has to heal. The scar symbolizes the capacity which we have to be able to regenerate but traces stay forever. When it is well accepted it can become an identity sign.

Definition:A scar is the visible part of a hurt of the dermis after healing following an injury. The healing is part of curing process. The scar skin is not identical to the skin it is replacing.

Synonyms: marks, stigma, trace.

The main remedies are:-bandages (protections geotextile in our case)-Injections(fill,plantation,urbanization)-Surgical section (gas extraction wells diggings)

Our treatment will adapted to history of the place by considering that theareausedbefore1947cannotberecoveredbecauseofitscomplexityof ground and its identity so particular It will establish a new landscape which will be the symbol of the history of the site treated as one zone ofmemory.Theprocessofhealingwillconsistindefiningwellzoneofintervention based upon current site borders. We propose an urbanistic and landscaped phasing which goes little by little close the wound and jointhelimitsofittrackof1947,whichwillneverbeexceeded.

Phasing of cure: memory of a break by demarcation of a zone clearlyidentified,thatofthe1947.

OO769 - europan11 - GRØNMO - OSLO - NORWAYLand. Scar 1

GrønmoCATEGORY Landscape/architecturalLOCATION Oslo, Søondre NordstrandPOPULATION 600 000STRATEGIC SITE-PROJECT SITE 52 haSITE PROPOSED BY Municipality of OsloOWNER OF THE SITE Municipality of Oslo

INVENTORY

GronmolandfillsiteislocatedinthedistrictofSondreNords-trand outside the city center of Oslo. It is surrounded by forest area, ridges and valley draws.Over40years of accumulatedwastehasfilledup the landscape, it istoday covered by a thin green dressed top cover preventing surface water from reaching in and smell from letting out.The site has a particular strong history and has been submitted to impor-tant change in half century only.Having been Oslo’smain garbage dump since 1969more than eightmillion cubic meters of trash have been accumulated till it was closed in2009.Thelandscapehasbeencompletelyreshapedwiththeformervalleyfilledup with a huge amount of waste giving the impression of desolation. The site leaves a strong apocalyptic and unfriendly feeling. Like a breach in Marka forest it opens views of devastation.The usage of this land as a garbage dump has a strong impact on the sitewithsignificanttopologychange,unstablegroundandemissionoftoxic gases.This territory has a strong identity evoking a hostile to nature waiting for a better future.How to rehabilitate this territory?How to reconcile this desert area with nature taking into account some new urbanity?

Our goal here is not to create an autonomous zone like for instance the nearby golf course. The purpose is not to design a new “palm spring”, small oasis paradise in the middle of the desert but to keep present the memory of this site by preserving traces of the past. We would like to avoid creating a space of pure positive modernity by stimulating ecologi-cal awareness and accountability.The environment near the site consists mainly in residential area to the west and a golf course north. The Marka forest is surrounding the site crossed by footpath, cross country skiing and high voltage lines sup-plying the city of Oslo.

THE CONCEPT: THE SCARS OF LANDSCAPELand scar was borne of this trauma. Land scar is the trace, the memory of this garbage dump which appears like an injury and a traumatic memory to the natural landscape.A pragmatic analysis leads to the conclusion that the soil cannot be used in totality for urban planning purpose, the damage caused by the man is too severe.We propose a surgery operation the site must be cured, it has to heal. The scar symbolizes the capacity which we have to be able to regenerate but traces stay forever. When it is well accepted it can become an identity sign.

Definition:A scar is the visible part of a hurt of the dermis after healing following an injury. The healing is part of curing process. The scar skin is not identical to the skin it is replacing.

Synonyms: marks, stigma, trace.

The main remedies are:-bandages (protections geotextile in our case)-Injections(fill,plantation,urbanization)-Surgical section (gas extraction wells diggings)

Our treatment will adapted to history of the place by considering that theareausedbefore1947cannotberecoveredbecauseofitscomplexityof ground and its identity so particular It will establish a new landscape which will be the symbol of the history of the site treated as one zone ofmemory.Theprocessofhealingwillconsistindefiningwellzoneofintervention based upon current site borders. We propose an urbanistic and landscaped phasing which goes little by little close the wound and jointhelimitsofittrackof1947,whichwillneverbeexceeded.

Phasing of cure: memory of a break by demarcation of a zone clearlyidentified,thatofthe1947.


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PICTURE & PERSPECTIVE

1/SEETHESCAR:Belvedere,aglobalviewonOslo’senvironnementandmostspecificallyon Grønmo and its history.

2/UNDERSTAND THE SCAR:Winter use of the scar and Land Art demonstration made of waste.

3/LIVE THE SCAR:Living in the urban area and in the edge of the woods, the relation between vegetal/building.


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PICTURE & PERSPECTIVE

1/SEETHESCAR:Belvedere,aglobalviewonOslo’senvironnementandmostspecificallyon Grønmo and its history.

2/UNDERSTAND THE SCAR:Winter use of the scar and Land Art demonstration made of waste.

3/LIVE THE SCAR:Living in the urban area and in the edge of the woods, the relation between vegetal/building.


Alex Perret28 rue de l’Abondance 69003 Lyon+33 [email protected]

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Portfolio_2013