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Pourquoi le cerveau a besoin du corps et de l’environnement pour penser 2- Cerveau et corps ne font qu’un (la cognition incarnée) 26 avril 2017

Pourquoi le cerveau a besoin du corps et de l ...lecerveau.mcgill.ca/flash/pop/pop_pres/Cognition%20incarn%E9e%20... · 5 niveaux d’organisation Pourquoi le cerveau a besoin du

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  • 5 niveaux dorganisation

    Pourquoi le cerveau a besoin du corps et de lenvironnement pour penser

    2- Cerveau et corps ne font quun (la cognition incarne)

    26 avril 2017

  • 5 niveaux dorganisation

    Pourquoi le cerveau a besoin du corps et de lenvironnement pour penser

    avril 19 Cerveau : lhistoire dun organe pas comme les autres

  • 5 niveaux dorganisation

    Pourquoi le cerveau a besoin du corps et de lenvironnement pour penser

    avril 19 Cerveau : lhistoire dun organe pas comme les autres

    avril 26 Cerveau et corps ne font quun (la cognition incarne)

  • 5 niveaux dorganisation

    Pourquoi le cerveau a besoin du corps et de lenvironnement pour penser

    avril 19 Cerveau : lhistoire dun organe pas comme les autres

    avril 26 Cerveau et corps ne font quun (la cognition incarne)

    mai 3 Cerveau-corps-environnement (les sciences cognitives nactives)

  • Pourquoi le cerveau a besoin du corps et de lenvironnement pour penser

    Chaque sance commence au niveau dbutant, puis intermdiaire et comprend un petit 15 minutes avanc aprs la pause ! ;-)

  • 5 niveaux dorganisation

    Pourquoi le cerveau a besoin du corps et de lenvironnement pour penser

    Plan Introduction : Rsum de la sance #1 en 5 diapos Diffrence entre neurotransmission, neuromodulation et neurohormones Petite parenthse sur la signification des choses Diffrentes voies de communication entre le cerveau et le corps Le stress et sa gestion Une (trs) brve histoire de ltude neurobiologique des motions Aprs la pause : Attentes et effet placebo

    2- Cerveau et corps ne font quun (la cognition incarne)

  • Rsum de la sance #1 en 5 diapos

  • http://www.sciencemag.org/content/314/5805/1554/F1.expansion.html

  • de lchelle micro

    lchelle macro

  • https://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwj2-qKdxKjPAhWq44MKHXv_B0gQFggeMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.fil.ion.ucl.ac.uk%2F~karl%2FEmbodied%2520Inference.pdf&usg=AFQjCNE0xlOn0Ij9QqqCZxGBL-

    volution biologique qui faonne les plans gnraux du systme nerveux

    Dveloppement du systme nerveux par des mcanismes pigntiques

    Lapprentissage durant toute la vie par la plasticit des rseaux de neurones

    Perception et action devant des situations en temps rel grce des coalitions neuronales synchronises temporairement

    chelle de temps : Processus dynamiques :

    http://www.sciencemag.org/content/314/5805/1554/F1.expansion.htmlhttp://www.sciencemag.org/content/314/5805/1554/F1.expansion.html

  • le cerveau doit trouver une faon de mettre en relation (de synchroniser ?) tout moment les meilleures assembles de neurones pour faire face une situation.

    Hypothse du Connective core (M. Shanahan)

  • Multi-task connectivity reveals flexible hubs

    for adaptive task control (2013)

    The evolution of distributed association networks in the human brain (2013)

  • having the structural layout the wiring diagram of the circuitalone, may not be the whole story.

    De laveu mme dOlaf Sporns, un spcialiste des rseaux crbraux qui a crit plusieurs livres

    2010

    2012

    Donc cette sance #2 souvre sur ce constat :

  • Car on a beaucoup parl de circuits et de cbles propos du cerveau jusquici

  • et il est temps de parler un peu de soupe !

  • Et dhor- mones !

  • Mais pour comprendre ce quest cette soupe,

    et surtout comment et o elle circule,

    il faut remonter un peu dans le temps

  • http://www.slideshare.net/itutor/evolution-and-changes

    https://en.wikipedia.org/wiki/Abiogenesis 600 mya

    Aprs des essais infructueux il y a environ 2 milliards d'annes, l'mergence de la vie multicellulaire apparat vritablement il y a un peu plus de 600 millions dannes.

    http://www.slideshare.net/itutor/evolution-and-changeshttp://www.slideshare.net/itutor/evolution-and-changeshttp://www.slideshare.net/itutor/evolution-and-changeshttp://www.slideshare.net/itutor/evolution-and-changeshttp://www.slideshare.net/itutor/evolution-and-changeshttps://en.wikipedia.org/wiki/Abiogenesis

  • Hormones ! (systme endocrinien)

  • Hormones ! (systme endocrinien)

    mais aussi neurotransmetteurs et rcepteur des neurones du systme nerveux !

  • Nerveux Endocrinien

    En fait, selon la distance de diffusion de ces molcules et lampleur des populations cellulaires quelles affectent, on peut distinguer 3 grandes modalits de diffusion :

  • Neurohormones

  • Neurohormones

  • Neuromodulation

    Les neuromodulateurs peuvent changer : - lefficacit dune synapse; - lexcitabilit dune cellule; - le gain sensoriel - lactivit oscillatoire dune population de neurones - Etc.

    Agit une chelle de temps plus lente que la neurotransmission et une chelle spatiale plus vaste.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Neural_oscillationhttps://en.wikipedia.org/wiki/Neural_oscillationhttps://en.wikipedia.org/wiki/Neural_oscillationhttps://en.wikipedia.org/wiki/Neural_oscillationhttps://en.wikipedia.org/wiki/Neural_oscillationhttps://en.wikipedia.org/wiki/Neuromodulation_(biology)https://en.wikipedia.org/wiki/Neuromodulation_(biology)https://en.wikipedia.org/wiki/Neuromodulation_(biology)https://en.wikipedia.org/wiki/Synapsehttps://en.wikipedia.org/wiki/Synapsehttps://en.wikipedia.org/wiki/Neurotransmittershttps://en.wikipedia.org/wiki/GABAhttps://en.wikipedia.org/wiki/Neural_oscillationhttps://en.wikipedia.org/wiki/Nucleus_(neuroanatomy)https://en.wikipedia.org/wiki/Brainstemhttps://en.wikipedia.org/wiki/Norepinephrinehttps://en.wikipedia.org/wiki/Acetylcholinehttps://en.wikipedia.org/wiki/Serotoninhttps://en.wikipedia.org/wiki/Wakefulnesshttps://en.wikipedia.org/wiki/Arousalhttps://en.wikipedia.org/wiki/Neural_oscillation

  • VEIL I II III IV REM

    SOMMEIL PROFOND

    RVE

  • Quand on a commenc tudier les neuromodulateurs sur les ganglions somatogastriques du homard, on a ralis que le mme circuit pouvait avoir plusieurs types doutputs diffrents dpendamment des neuromodulateurs quon lui appliquait.

    Le mme circuit peut tre en quelque sorte reconfigur par son environnement neuromodulateur.

    Brain Science Podcast 56 :

    Eve Marder http://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.html

    http://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.htmlhttp://brainsciencepodcast.com/bsp/interview-with-neuroscience-pioneer-eve-marder-phd-bsp-56.html

  • Il semble mme quun neurone donn puisse participer des comportements opposs suite linfluence de diffrentes neuromodulation. Par exemple, le neurone olfactif AWCON du vers C. elegans peut contribuer tant un comportement dattraction que de rpulsion par rapport la mme odeur, dpendamment des neuromodulateurs qui laffectent un moment donn. (Tsunozaki, Chalasani & Bargmann 2008) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3882658/

    http://www.wormatlas.org/neurons/Individual%20Neurons/AWCframeset.html

    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3882658/http://www.wormatlas.org/neurons/Individual Neurons/AWCframeset.htmlhttp://www.wormatlas.org/neurons/Individual Neurons/AWCframeset.htmlhttp://www.wormatlas.org/neurons/Individual Neurons/AWCframeset.htmlhttp://www.wormatlas.org/neurons/Individual Neurons/AWCframeset.htmlhttp://www.wormatlas.org/neurons/Individual Neurons/AWCframeset.html

  • tant donn lomniprsence de la neuromodulation, on peut en dduire que la grande majorit des circuits nerveux sont structurellement surconnects. Autrement dit, le moindre circuit nerveux semble avoir un certain nombre dusages possibles, dont seulement certains sont disponibles un moment donn en fonction de la neuromodulation effective cet instant.

    Les neuromodulateurs auraient donc la capacit de remodeler les circuits neuronaux. Beyond the connectome: how neuromodulators shape neural circuits. Bargmann CI (2012) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22396302

    Comme lcrit Bargmann, chaque carte du connectome lchelle micro encode de multiples circuits dont certains seront un moment donn actifs ou latent.

    http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22396302http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22396302http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22396302

  • Linteraction entre des neuromodulateurs et nos circuits de neurones est aussi prsent dans la moelle pinire. Des phnomnes de neuromodulation peuvent induire une analgsie dans un contexte de stress. Cest le cas dune blessure quon sent peine sur le champ de bataille la guerre ou sur un terraine de foot durant le match

    La libration denkphalines qui se fixent sur des rcepteurs opiodes diminuent alors la libration de neurotransmetteurs de neurones nociceptifs, rduisant ainsi la sensation de douleur.

    (On va y revenir avec leffet placebo)

  • Neurohormones

  • Cerveau

    neurotransmetteurs

    Corps

    hormones

    Pendant longtemps :

    -------- SPARATION -------- X La neuroendocrino-logie, qui sest dveloppe durant les annes 1970 lintersection de la neurobiologie et lendocrinologie, a montr que lon ne pouvait plus faire une distinction nette entre le cerveau et le corps, notamment avec le concept de neurohormone .

  • FAIM SOIF TEMPRATURE REPRODUCTION

    Nos besoins fondamentaux subissent des fluctuations qui sloignent parfois de la valeur optimale.

  • Musculo-squelettique Nerveux Endocrinien Circulatoire Immunitaire

    Et parmi tous les grands systmes du corps humain,

  • Nerveux Endocrinien

    Et parmi tous les grands systmes du corps humain, il y en a deux en particulier vont constamment collaborer

    pour maintenir lorganisme autour de ces valeurs optimales

    et donc globalement maintenir sa structure , comme disait Henri Laborit.

  • Systme nerveux =

    autonomie motrice pour trouver leurs ressources

    dans lenvironnement

    Donc boucles sensori-motrices

    Donc comportements

    Systme endocrinien =

    quilibre mtabolique de lenvironnement

    interne

    Donc boucles de rtroaction biochimiques

    Donc rgulations hormonales

    ventuellement, va devoir tre aid par :

  • Systme nerveux =

    autonomie motrice pour trouver leurs ressources

    dans lenvironnement

    Donc boucles sensori-motrices

    Donc comportements

    Systme endocrinien =

    quilibre mtabolique de lenvironnement

    interne

    Donc boucles de rtroaction biochimiques

    Donc rgulations hormonales

    ventuellement, va devoir tre aid par :

    Et si les comportement chouent, le systme endocrinien devra dclencher dautres remaniements mtaboliques plus radicaux

  • FAIM SOIF TEMPRATURE REPRODUCTION SOINS ENFANTS

    Par une rponse comportementale (systme nerveux)

    Par une rponse mtabolique

    (systme endocrinien)

    Manger Mobiliser ses rserves (lipides, etc)

    Boire Diminuer llimination deau (rabsorption par les reins, etc.)

    Se met labri Hrisse ses poils

    Augmente la production de chaleur par ses cellules

    Comportements de sduction Accouplement

    Maturation des cellules sexuelles

    Comportements maternels Production de lait

  • Par une rponse comportementale (systme nerveux)

    Par une rponse mtabolique

    (systme endocrinien)

    Les 2 systmes travaillent donc toujours ensemble et en parallle pour assurer lhomostasie .

  • Par une rponse comportementale (systme nerveux)

    Par une rponse mtabolique

    (systme endocrinien)

    sucrose

    lhomostasie

    = quilibre du milieu intrieur

    = la phsysiologie

  • Par une rponse comportementale (systme nerveux)

    Par une rponse mtabolique

    (systme endocrinien)

    sucrose

    Mais le comportement aussi participe lhomostasie

  • Par une rponse comportementale (systme nerveux)

    Par une rponse mtabolique

    (systme endocrinien)

    Un comportement peut tre redfini comme lextension de mcanismes physiologiques de contrle au-del du milieu intrieur dun organisme.

    sucrose

    Donc pas tonnant quil y ait complmentarit entre les deux.

  • Signification positive Signification ngative

    [ Signification neutre ] (indiffrence)

    Petite parenthse sur la signification des choses pour un organisme vivant

  • Tant avec le cognitivisme, partir des annes 1960, et son analogie principale avec lordinateur

    quavec les rseaux de neurones connexionnistes partir des annes 1980 et leurs tats cognitifs mergeant dentranement plutt que de programmation

    on ne tenait pas compte du corps particulier dun organisme et de lenvironnement dans lequel il volue en temps rel.

  • 1991

    Les thories de la cognition incarne qui vont apparatre au dbut des annes 1990 vont : - mettre au cur de leur approche le corps et lenvironnement;

    - remettre en question lide que toute la cognition se fait exclusivement dans le cerveau en manipulant des reprsentations

    et que le corps ne sert qu percevoir les inputs et excuter les rponses motrices.

  • Car cette sparation entre le corps et le cerveau amenait plusieurs problmes dont celui de la provenance de la signification. Autrement dit, do nous vient le sens (positif ou ngatif) que nous accordons aux choses (ou aux noncs langagiers) ? La fameuse exprience de pense de la chambre chinoise de Searle :

    Du point de vue de la cognition incarne, cette signification ne peut provenir que de lenvironnement au sens large, incluant le corps.

  • Prenons lexemple dune bactrie mobile qui nage dans un milieu aqueux en remontant un gradient de sucrose. La bactrie nage au hasard jusqu ce quelle sente le gradient de molcules de sucre, grce des rcepteurs sur sa membrane. Puis elle va se mettre naturellement nager pour remonter ce gradient, donc aller vers la source du sucre, pour en avoir plus. Cette interaction sensorimotrice envers une caractristique discernable de lenvironnement rflte (ou nacte ) la perspective de la bactrie.

  • Le point important ici : bien que le sucrose est un rel lment de cet environnement physicochimique, son statut comme aliment, lui, ne lest pas. Le sucrose en tant qualiment nest pas intrinsque au statut de sucrose en tant que molcule. Cest plutt une caractristique relationnelle , lie au mtabolisme de la bactrie (qui peut lassimiler et en soutirer de lnergie). Le sucrose na donc pas de signification ou de valeur comme nourriture en soi, mais seulement dans ce milieu particulier que le corps (et le mtabolisme) de la bactrie amne exister.

  • Francisco Varela rsume ceci en disant que grce lautonomie de lorganisme (ici la bactrie), son environnement a un surplus de signification compar au monde physicochimique. Les significations particulires (valeurs positives ou ngatives) que lon retrouve dans ce monde sont donc le rsultat des actions dun lorganisme particulier. La signification et la valeur des choses ne prexiste donc pas dans le monde physique, mais est mise de lavant ( nacts ) par les organismes. Par consquent, vivre est un processus crateur de sens.

  • Alors que dans le cas des architectures fonctionnalistes cognitivistes, on est toujours oblig de leur adjoindre une petite bote tiquete motivation pour dclencher leur action

    Et cela rejoint certaines caractristiques de la cognition, comme celle dtre intrinsquement concern par la monde, dy chercher et dy trouver de la signification. En effet, les tres vivants ont ce dsir, cette curiosit, dexplorer leur espace vital parce quils ont besoin de trouver des lments pour renouveler leur structure.

  • Les comportements incarns amnent ainsi la constitution dun monde . En tudiant diffrents systmes visuels de vertbrs, Varela montre que la sensation de couleur nest pas entirement donne par le monde physique. Elle nat de la rencontre entre ce monde et les mcanismes de perception dun organisme. chaque type de systme visuel correspond donc un type de monde nact. Donc leur monde perceptif est trs diffrent du ntre, parce quils nont pas le mme corps et le mme appareil sensoriel.

  • https://www.google.ca/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwj2-qKdxKjPAhWq44MKHXv_B0gQFggeMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.fil.ion.ucl.ac.uk%2F~karl%2FEmbodied%2520Inference.pdf&usg=AFQjCNE0xlOn0Ij9QqqCZxGBL-

    volution biologique qui faonne les plans gnraux du systme nerveux

    Dveloppement du systme nerveux par des mcanismes pigntiques

    Lapprentissage durant toute la vie par la plasticit des rseaux de neurones

    Perception et action devant des situations en temps rel grce des coalitions neuronales synchronises temporairement

    Processus dynamiques :

    Le corps entier de chaque organisme est un modle de son environnement faonn par celui-ci diffrentes chelles de temps.

    Ce qui dcoule de cette conception dynamique :

    Fin de la parenthse sur la signification des choses pour un organisme vivant

  • Signification positive Signification ngative

    [ Signification neutre ] (indiffrence)

  • manger, boire, se reproduire

    se protger,

    fuir ou combattre les dangers

    - automatisme acquis [classe sociale, mdias, publicit, etc.]

    - besoins fondamentaux [biologique]

  • Cerveau

    neurotransmetteurs

    Corps

    hormones

    -------- SPARATION -------- X

    La neuroendocrinologie a donc montr que

    et que les boucles de rtroaction foisonnaient aussi entre le systme hormonal et le cerveau.

  • Mais pour comprendre ces boucles de rtroaction, il faut considrer les diffrentes voies de communication entre le cerveau et le corps. ?

  • (ou autonome)

  • Affrences

  • Effrences En relation avec lenvironnement (sance #3)

    Affrences

  • Effrences En relation avec lenvironnement (sance #3)

    Affrences

    Effrences

    http://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.html

    Affrences

    inconscient

    http://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.html

  • Effrences En relation avec lenvironnement (sance #3)

    Affrences

    Effrences

    http://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.html

    LE SYSTME NERVEUX

    SYMPATHIQUE

    LE SYSTME NERVEUX

    PARASYMPATHIQUE

    Affrences

    http://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.html

  • LE SYSTME NERVEUX

    SYMPATHIQUE

    LE SYSTME NERVEUX

    PARASYMPATHIQUE

  • Affrences

    Effrences

    http://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.html

    http://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.htmlhttp://www.physiologie2.uni-kiel.de/homepages_mitarbeiter/jaenig/neu/hompage.html

  • Projections du noyau mdian antrieur de lamygdale (vert) et du noyau mdian postrieur de lamygdale (rouge) traversant la stria terminalis postrolatrale en direction de leur cible : lhypothalamus et le striatum ventral.

  • Antrieur (vert) Postrieur (rouge)

  • Lhypophyse : la glande matresse

    de lorganisme

  • Lhypophyse et ses 2 lobes

    a) Le lobe postrieur

    par o diffusent la vasopressine et ocytocine

  • Locytocine, parfois appele lhormone du lien , est dcrite au : http://lecerveau.mcgill.ca/flash/d/d_04/d_04_m /d_04_m_des/d_04_m_des.html

    Ocytocine et autres engouements : rien nest simple http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/

    http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/02/11/ocytocine-et-autres-engouements-rien-nest-simple/

  • Lhypophyse et ses 2 lobes

    b) Le lobe antrieur

  • qui scrte de nombreuses hormones :

  • qui scrte de nombreuses hormones :

  • On savait grce aux travaux de Hans Selye dans les annes 1940 et 1950, que la raction de l'organisme l'agression tait non spcifique. C'est--dire que lorganisme ragissait globalement de la mme manire face aux brlures, au froid, aux exercices musculaires intenses, aux infections et au traumatisme de l'acte chirurgical.

    Selye avait galement ouvert la porte une autre forme d'agression, dont l'agent principal se cache dans la vie de tous les jours: l'agression psychosociale. Henri Laborit, qui connaissait bien Selye, va dvelopper cette ide avec son concept dinhibition de laction.

  • Dans plusieurs de ses ouvrages, dont Linhibition de laction (1979) http://www.elogedelasuite.net/?p=580

    Henri Laborit

    Laborit explique que la perception par le cerveau dun danger menaant la survie de lorganisme met en branle dans tout le corps plusieurs mcanismes favorisant la fuite ou la lutte.

    http://www.elogedelasuite.net/?p=580

  • Nos ractions physiologiques une menace viennent de la ncessit de sauver sa peau ! Que ce soit pour fuir ou, sil ne peut pas, pour se battre, il y aura de vastes remaniements nerveux et hormonaux chez lindividu menac pour allouer le plus de ressources possible aux muscles et au systme cardiorespiratoire.

  • Mais qui dit plus de ressources certains systmes dit forcment moins de ressources dans dautres : les systmes digestif, reproducteur ou immunitaire ptiront ainsi pendant un court instant de cette rallocation ncessaire pour assurer la survie de lorganisme. Cela aura peu deffet si la fuite ou la lutte limine la prsence du prdateur et que tout revient la normale aprs ce stress de courte dure (ou stress aigu ).

    Immunitaire

    Digestif

    Reproducteur

  • Mme chose dans une troisime situation o un rongeur traversant un champ ouvert, par exemple, aperoit un oiseau de proie au-dessus de lui.

    Ne pouvant ni fuir ni lutter, il fige sur place, en esprant que loiseau ne le verra pas. Si cest le cas, encore une fois le stress aigu ne dure pas et le rongeur en est quitte pour une bonne frousse. Mais quen est-il sil dure, cest--dire si le stress devient chronique ? Cest l que les choses se compliquent

  • Pour illustrer ceci, une exprience de Laborit quil dcrit dans le film Mon oncle dAmrique.

  • Certaines hormones, comme les glucocorticodes, qui demeurent alors un taux lev dans le sang durant une longue priode, vont affaiblir le systme immunitaire et mme affecter le cerveau.

  • Des molcules ubiquitaires comme l'insuline, la vasopressine, l'oxytocine, ou les cytokines interviennent plusieurs niveaux de ces rseaux, confirmant l'approche propose par Laborit dans les annes 60.

    Dans un hommage posthume Henri Laborit publi peu aprs sa mort en 1995, Jol de Rosnay crit : [Laborit] ouvre la voie de la neuro-psycho-immunologie [et montre que] l'inhibition de l'action peut tre le facteur dclenchant de dsordres neuro-psycho-immulogiques.

    http://www.elogedelasuite.net/?p=1582

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  • La psycho-neuro-immunologie, sest dveloppe partir des travaux de Robert Ader partir du milieu des annes 1970.

    Et lon a, depuis, commenc lucider les mcanismes de communication entre systme nerveux et immunitaire ainsi quavec le systme hormonal, pour donner le tableau complexe suivant :

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    Complmentarit du systme nerveux, hormonal et immunitaire

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    Complmentarit du systme nerveux, hormonal et immunitaire

    (par le nerf vague qui a des rcepteurs aux cytokines)

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    Complmentarit du systme nerveux, hormonal et immunitaire

    (par le nerf vague qui a des rcepteurs aux cytokines)

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    Complmentarit du systme nerveux, hormonal et immunitaire

    (par le nerf vague qui a des rcepteurs aux cytokines)

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    Complmentarit du systme nerveux, hormonal et immunitaire

    (par le nerf vague qui a des rcepteurs aux cytokines)

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    Complmentarit du systme nerveux, hormonal et immunitaire

    (par le nerf vague qui a des rcepteurs aux cytokines)

    Brainstem neurons release acetylcholine, which inhibits cytokine release from immune cells.

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    Complmentarit du systme nerveux, hormonal et immunitaire

    (par le nerf vague qui a des rcepteurs aux cytokines)

    Brainstem neurons release acetylcholine, which inhibits cytokine release from immune cells.

    Hypothalamic neurons and neurons located in the walls of cerebral ventricles also monitor cytokines in circulation.

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  • Update on Interface of Immunity and Brain August 28, 2016 Jon Lieff http://jonlieffmd.com/blog/update-on-interface-of-immunity-and-brain?utm_source=General+Interest&utm_campaign=8af7db59e4-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_471703a831-8af7db59e4-94278693

    The Powerful Immune Synapse July 31, 2016 http://jonlieffmd.com/blog/the-powerful-immune-synapse?utm_source=General+Interest&utm_campaign=c05e17dcc3-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_471703a831-c05e17dcc3-94278693

    The Many Ways Neurons Regulate Immune Function February 12, 2017 http://jonlieffmd.com/blog/the-many-ways-neurons-regulate-immune-function?utm_source=General+Interest&utm_campaign=b3ee9c9fb4-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_471703a831-b3ee9c9fb4-94278693

    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  • Une tude qui vient dtre publie dans Science montre que la position relative dun singue rhsus dans la hirarchie de dominance de son groupe influence le fonctionnement de son systme immunitaire : plus le rang dun singe est bas dans la hirarchie, moins il produit de cellules immunitaires dun certain type. Ce chagement est produit par lactivation ou non de gnes : quand un animal change de position dans la hirarchie (suite une manipulation des groupes par les exprimentateurs), le taux dexpression de ces gnes change aussi . Par exemple, un animal bas dans la hirarchie active plus de gnes relis linflammation.

    For Monkeys, Lower Status Affects Immune System By ERICA GOODE, NOV. 25, 2016 http://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=article

    Exemple rcent particulirement intressant :

    http://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=articlehttp://www.nytimes.com/2016/11/25/science/social-status-immune-system-health.html?ribbon-ad-idx=3&rref=science&module=Ribbon&version=context&region=Header&action=click&contentCollection=Science&pgtype=article

  • Liens intimes entre systme nerveux et immunitaire http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/09/09/2929/

    Une tude publie en octobre 2009, montrait comment une situation sociale perue comme menaante par notre cerveau pouvait mettre en branle des processus inflammatoires passablement nfastes pour lorganisme.

    Dtail intressant dans ltude prcdente avec les singes rhsus :

    les individus subordonns qui se faisaient le plus toiletter (grooming) taient ceux qui avaient les processus inflammatoires les moins levs.

    Linflammation est normale et utile pour combattre les infections. Mais linflammation chronique en labsence de microbe et cause par le stress peut tre trs nfastes pour la sant.

    http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/09/09/2929/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/09/09/2929/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2013/09/09/2929/

  • Ce qui nous ramne linhibition de laction, car cest exactement ce que les individus subordonns subissent chroniquement.

    Et deux consquences importantes de ces tudes :

    Le soutien social semble avoir un effet bnfique important sur les phnomnes inflammatoires nfastes induits par linhibition de laction.

    Ces derniers semblent tre rapidement rversible avec des changements

    environnementaux bnfiques (changement de groupe de lanimal)

  • Quand notre posture influence notre cerveau http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/

    Trs rapidement, en fait : le fait de prendre une position de dominance ou de soumission peut induire les remaniements hormonaux correspondants dans le corps.

    http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2014/04/28/quand-notre-posture-influence-notre-cerveau/

  • Plus de 3 millions de Franais au bord du burn-out (puisement professionnel) 22.01.2014 Plus de 3 millions d'actifs courraient un risque lev d'puisement professionnel. Faut-il mieux reconnatre cette dpression lie au travail ? http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.html#jlUQUbRjux6jGaI1.99

    Y a-t-il un lien entre puisement professionnel et dpression? www.douglas.qc.ca/info/depression-ou-burn-out

    Dans les faits, l'puisement professionnel et la dpression sont relis de trs prs.

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.lemonde.fr/economie/article/2014/01/22/plus-de-3-millions-de-francais-au-bord-du-burn-out_4352438_3234.htmlhttp://www.douglas.qc.ca/info/depression-ou-burn-outhttp://www.douglas.qc.ca/info/depression-ou-burn-outhttp://www.douglas.qc.ca/info/depression-ou-burn-outhttp://www.douglas.qc.ca/info/depression-ou-burn-outhttp://www.douglas.qc.ca/info/depression-ou-burn-outhttp://www.douglas.qc.ca/info/depression-ou-burn-outhttp://www.douglas.qc.ca/info/depression-ou-burn-out

  • Effets du stress sur le cerveau et la sant mentale Chronic stress and anxiety can damage the brain, increase the risk of major psychiatric disorders January 21, 2016 http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/ Curr Opin Psychiatry. 2016 Jan;29(1):56-63. Can anxiety damage the brain? Mah L1, Szabuniewicz C, Fiocco AJ. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26651008

    (dpression, Alzheimer)

    http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/http://www.baycrest.org/news/chronic-stress-and-anxiety-can-damage-the-brain-increase-the-risk-of-major-psychiatric-disorders/https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Mah L[Author]&cauthor=true&cauthor_uid=26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Szabuniewicz C[Author]&cauthor=true&cauthor_uid=26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Szabuniewicz C[Author]&cauthor=true&cauthor_uid=26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Szabuniewicz C[Author]&cauthor=true&cauthor_uid=26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Fiocco AJ[Author]&cauthor=true&cauthor_uid=26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Fiocco AJ[Author]&cauthor=true&cauthor_uid=26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=Fiocco AJ[Author]&cauthor=true&cauthor_uid=26651008https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26651008

  • La menace :

    CONTRLE FAIBLE

    IMPRVISIBILIT

    NOUVEAUT

    GO MENAC

    (lacronyme CIN )

    http://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.html

    Pris dans embouteillage Votre poste pourrait tre coup Vous attendez votre premier enfant On remet en question vos comptences professionnelles

    Prvention du stress

    Exemple :

    http://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/comprendre-son-stress/source-du-stress.html

  • Cela dit, il ny a pas de faon universelle de grer son stress.

    Bien que le yoga et la mditation puissent fonctionner pour certaines personnes, ces techniques, pour dautres personnes, peuvent tre une vritable torture! Chacun de nous doit trouver sa propre faon de grer son stress. Limportant tant dutiliser lnergie mobilise par les hormones de stress (mme si a na pas rapport pensez aux rats qui se battent) et dtre le moins possible dans un tat dinhibition de laction.

    Certains favoriseront la lutte. Dautres la fuite, comme Laborit qui favorisait essentiellement une fuite dans limaginaire

    http://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.html

    http://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.htmlhttp://www.stresshumain.ca/le-stress/dejouer-le-stress/principes-de-la-gestion-du-stress.html

  • Dans plusieurs de ses ouvrages, Laborit rappelle que ltre humain dispose, grce son vaste cortex associatif, de capacits dimagination qui lui offrent dautres options que la seule fuite physique.

    Cette fuite dans limaginaire peut ltre au niveau :

    - artistique - scientifique - de notre vie personnelle - des structures sociales

    Bien sr, idalement, il faut chercher les causes ultimes de linhibition de laction. Et bien souvent, elles se retrouvent dans les ingalits sociales quil faut donc combattre (une bonne faon dailleurs de ne pas tre en inhibition de laction !).

  • Il y a beaucoup de scientifiques qui travaillent sur le stress aujourdhui. Mais il y en a assez peu qui ont une vision densemble de ltre humain dans son environnement et qui sont capables de montrer les causes systmiques, justement, de ce stress chronique. Et de voir que celui-ci a beaucoup voir avec notre systme capitaliste, productiviste et marchand !

    Tant quon naura pas vu et conu, plantairement, que cette production effrne, cette prdominance conomique est en train de bousiller la plante, on naura rien compris et on ne changera rien. [] Et je prtends que lHomme nest pas sur la plante pour faire des marchandises. [Il est l] pour se comprendre et connatre.

    http://www.elogedelasuite.net/?p=1283

    (1974)

    Cest ce que Laborit a fait et qui rend la nouvelle grille quil propose si juste encore aujourdhui.

    http://www.elogedelasuite.net/?p=1283http://www.elogedelasuite.net/?p=1283

  • www.elogedelasuite.net

  • Une (trs) brve histoire de ltude neurobiologique des motions

    (o lon va aller naturellement du simple au complexe)

  • Capsule histoire : la recherche d'une thorie des motions. http://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu02.html

    William James et son article " Qu'est-ce qu'une motion ? " (1884) : Est-ce que lon senfuit d'un ours parce que l'on a peur, ou bien si on a peur parce quon senfuit dun ours ? s'appuyait sur l'observation que les motions s'accompagnent de phnomnes viscraux divers (acclration de la frquence cardiaque, mains moites, muscles tendus, etc.).

    Pour lui, ces processus viscraux survenaient en premier, et c'est seulement lorsque le cerveau en prenait conscience que naissait l'motion correspondante aux modifications corporelles propre telle ou telle situation.

    http://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu02.htmlhttp://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu02.html

  • Walter Cannon (1920) Observe que les rponses corporelles devant une situation importante pour la survie tait trs similaires et toutes sous contrle du systme nerveux autonome. Comme toutes les motions, selon Cannon, avait cette mme signature du systme nerveux autonome, elles ne ncessitaient donc pas que le cerveau " lise " quoi que ce soit travers le corps. Bref, les motions taient pour Cannon produite entirement dans le cerveau.

    Behaviorisme (milieu XXe sicle) : motion des concepts non ncessaires, voire radiquer dans l'tude scientifique des comportements (comme le reste des processus mentaux)

  • Stanley Schachter et Jerome Singer (dbut annes 1960) : Pour eux, la cognition (cest le dbut du cognitivisme) peut combler le foss entre la non-spcificit de la rponse viscrale et la spcificit des motions ressenties. Sur la base d'informations relatives au contexte dans lequel nous nous trouvons, notre pense attribuerait l'tat viscral modifi une tiquette de peur, d'amour, de colre, de joie, etc. Bref, une motion surgit lorsque nous attribuons, grce nos capacits cognitives, une explication des signaux corporels ambigus.

  • Mme poque : Magda Arnold Le cerveau doit d'abord 1) valuer la situation et dcider si elle est potentiellement bnfique ou nfaste pour l'organisme. Puis il 2) opte pour une action consquente avec son valuation.

    Et c'est alors seulement que 3) l'motion mergerait, de cette prise de conscience de l'action d'approche ou de retrait.

    On revient vers James ?

    On a peur parce quon senfuit dun ours ?

    L'valuation devient la pierre angulaire de l'approche cognitive des motions qui prvalut jusqu'aux annes 1980 (tend diminuer la distinction entre les motions et la cognition).

  • Mais plusieurs travaux, dont ceux de Robert Zajonc allaient remettre en question l'ide que nous devons valuer consciemment la signification dune chose avant de pouvoir dterminer si nous l'aimons ou pas. Ils ouvraient ainsi la voie la recherche contemporaine sur les motions qui considre que nos ractions motives peuvent survenir en l'absence de la conscience explicite d'un stimulus.

  • Une femme qui avait eu de tels dommages aux hippocampes qu'elle ne pouvait reconnatre son mdecin qu'elle voyait pourtant quotidiennement. (comme le patient H.M) Ils se serraient donc la main et se prsentaient chaque jour. Une fois cependant, la dame retira vivement la main. Le mdecin avait mis une punaise dans la sienne ! Pourquoi ? Il avait eu une intuition qui se confirma le lendemain : la femme vint pour lui serrer la main, mais au dernier moment la retira. Questionne par le mdecin sur son geste, elle ne put donner d'autre explication que la peur qui l'avait soudainement envahie

    Exemple :

  • Capsule histoire : La localisation du "cerveau des motions" http://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu01.html

    Walter Canon (qui croyait que les motions taient gnres dans le cerveau contrairement William James) fit plusieurs expriences de lsions crbrales stratgiques.

    https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/ CannonBard Theory of Emotion

    Et que lexprience motionnelle subjective tait due la stimulation du thalamus qui excitait son tour directement le cortex.

    Il en conclut que l'hypothalamus tait la pice centrale de lexpression des motion (on connaissait dj son rle dans la rgulation du systme nerveux autonome).

    http://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu01.htmlhttp://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu01.htmlhttps://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/https://www.psychologynoteshq.com/cannon-bard-theory-of-emotion/

  • James Papez (1937) :

    Anatomiste et homme de synthse, il mit ensemble les travaux sur l'hypothalamus et sur les tudes de lsions et aboutit une thorie qui expliquait le sentiment subjectif des motions par la circulation d'information travers un circuit interconnectant l'hypothalamus au cortex mdian (le fameux circuit de Papez ).

  • Papez suggra que les motions pouvaient tre gnres de deux faons grce ce circuit. D'une part, par des stimuli sensoriels entrant par le thalamus et traversant successivement les diffrentes structures du circuit que l'on vient de dcrire.

    The emotional brain Tim Dalgleish Nature Reviews Neuroscience 5, 583-589 (July 2004)

    Et d'autre part, par des penses en provenance du cortex qui s'intgrent au circuit par le cortex cingulaire.

    http://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/full/nrn1432.html

  • Paul MacLean (1949) Va complexifier le circuit de Papez. Pour lui le rhinencphale, cette vieille partie du cortex impliqu dans l'olfaction, devait jouer un rle central dans les motions. D'autant plus qu'il faisait d'importantes connexions avec l'hypothalamus et qu'il demeurait relativement important chez l'humain o l'olfaction est un sens passablement atrophi par rapport aux autres espces. Il accorde aussi une grande importance l'hippocampe recevant ses informations autant du monde extrieur que du monde intrieur. L'intgration de ces deux types de sensation tant la base de l'exprience motionnelle pour MacLean.

    http://waitbutwhy.com/2017/04/neuralink.html

    Voie olfactive

    Hypothalamus

    Hippocampe

    http://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/full/nrn1432.htmlhttp://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/full/nrn1432.htmlhttp://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/fig_tab/nrn1432_F2.htmlhttp://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/fig_tab/nrn1432_F2.htmlhttp://waitbutwhy.com/2017/04/neuralink.htmlhttp://waitbutwhy.com/2017/04/neuralink.htmlhttp://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_04/i_04_cr/i_04_cr_peu/i_04_cr_peu.htmlhttp://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_07/i_07_cr/i_07_cr_tra/i_07_cr_tra.html

  • Paul MacLean

    En 1952, MacLean introduit le terme de "systme limbique" pour dsigner le cerveau viscral du rhinencphale.

    Pour MacLean, le systme limbique inclut non seulement le circuit de Papez, mais des rgions comme l'amygdale, le septum et le cortex prfrontal.

    http://waitbutwhy.com/2017/04/neuralink.html

    Toutes ces structures formeraient un systme intgr, phylogntiquement ancien, assurant la survie de l'individu par l'entremise de rponses viscrales et affectives adaptes.

    http://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/full/nrn1432.htmlhttp://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/full/nrn1432.htmlhttp://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/fig_tab/nrn1432_F2.htmlhttp://www.nature.com/nrn/journal/v5/n7/fig_tab/nrn1432_F2.htmlhttp://waitbutwhy.com/2017/04/neuralink.htmlhttp://waitbutwhy.com/2017/04/neuralink.html

  • Durant les annes suivantes, MacLean va toffer sa thorie du " cerveau triunique " selon laquelle le cerveau est pass, au fil du temps, travers trois stades volutifs : le reptilien, le palomammalien et le nomammalien. Trs peu de thories dans l'histoire des neurosciences ont eu une importance et une porte aussi large que celle de MacLean. Mais malgr cela, on s'entend aujourd'hui pour rejeter l'ide que le systme limbique tel que dcrit par MacLean soit quelque chose comme un "cerveau motionnel".

    En effet, de nombreuses expriences ont montr que le systme limbique pris comme un tout tait somme toute relativement peu impliqu dans les rponses motionnelles,

    alors que d'autres rgions qui n'en font pas partie (comme des rgions du tronc crbral) sont trs impliques dans les rgulations viscrales.

  • Capsule histoire : Cerveau triunique et systme limbique : ce qu'il faut jeter, ce qu'on peut garder http://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu09.html

    Pour en savoir plus

    http://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu09.htmlhttp://lecerveau.mcgill.ca/flash/capsules/histoire_bleu09.html

  • Pour finir avec MacLean, cette ddicace Henri Laborit

    http://www.elogedelasuite.net/?p=1983

    http://www.elogedelasuite.net/?p=1983http://www.elogedelasuite.net/?p=1983

  • Et l je vais sauter des acteurs importants de cette histoire (Damasio, Panksepp), pour aller tout de suite une tude des plus rcentes

  • A Network Model of the Emotional Brain http://www.cell.com/action/showImagesData?pii=S1364-6613%2817%2930036-0

    Luiz Pessoa Trends in Cognitive Sciences

    May 2017

    On en arrive aujourdhui, et cest ce que propose Pessoa, une conception intgre large chelle

    de circuits corticaux et sous-corticaux

    permettant des rgulations corporelles complexes.

    http://www.cell.com/action/showImagesData?pii=S1364-6613(17)30036-0http://www.cell.com/action/showImagesData?pii=S1364-6613(17)30036-0http://www.cell.com/action/showImagesData?pii=S1364-6613(17)30036-0http://www.cell.com/action/showImagesData?pii=S1364-6613(17)30036-0http://www.cell.com/action/showImagesData?pii=S1364-6613(17)30036-0

  • C A S r s ( g p b c p c l a t C b w l f ( m s h

    On doit essayer de comprendre les bases neuronales des motions avec ce quon sait aujourdhui des grands principes organisationnels des rseaux crbraux,

    cest--dire en les replaant dans une architecture crbrale non modulaire, avec une forte superposition de rseaux (la rutilisation neuronale de M. Anderson) qui sont trs dynamiques et sensibles aux contextes.

  • Dans son livre After Phrenology : Neural Reuse and the Interactive Brain, Michael Anderson propose daller au-del de la phrnologie avec une approche fonde sur ce quil appelle la rutilisation neuronale ( neural reuse , en anglais).

  • Le systme de grid cells serait impliqu dans la navigation mentale (dans lespace).

    Hippocampe du rat : fortement impliqu dans la navigation sptatiale.

  • Memory, navigation and theta rhythm in the hippocampal-entorhinal system Gyrgy Buzski & Edvard I Moser January 2013 http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302

    Grid cells : navigation mentale mais dans le temps !

    Place cells : position mais dans une carte conceptuelle !

    http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302

  • Navigation spatiale

    Navigation spatiale +

    Recyclage des mmes circuits pour la mmoire dclarative

    Memory, navigation and theta rhythm in the hippocampal-entorhinal system Gyrgy Buzski & Edvard I Moser January 2013 http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302

    Une hypothse de continuit phylogntique de la navigation spatiale et de la mmoire humaine : we propose that mechanisms of memory and planning have evolved from mechanisms of navigation in the physical world

    http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302http://www.nature.com/neuro/journal/v16/n2/full/nn.3304.html?WT.ec_id=NEURO-201302

  • C A S r s ( g p b c p c l a t C b w l f ( m s h

    On doit essayer de comprendre les bases neuronales des motions avec ce quon sait aujourdhui des grands principes organisationnels des rseaux crbraux,

    cest--dire en les replaant dans une architecture crbrale non modulaire, avec une forte superposition de rseaux (la rutilisation neuronale de M. Anderson) qui sont trs dynamiques et sensibles aux contextes.

  • Rgion cible (orange) sous-corticale; thalamus (gris)

    Projections descendantes dans le tronc crbral

    Connexions dans le tronc crbral et systme de projection diffus

    Systmes de connexions unissant plusieurs niveaux verticaux

    Systmes de connexions unissant plusieurs niveaux sous-corticaux

    Plusieurs systmes convergent dans des hubs sous-corticaux

  • Seules certaines connexions sont montres.

    En orange : sites de convergences (hubs).

    proccupations

    contrle SNA & endocrine

    rcompense

  • Seules certaines connexions sont montres.

    En orange : sites de convergences (hubs). Lapproche des systmes fonctionnels intgrs se dmarque des conceptions o cetaines structures crbrales constituaient le cerveau motionnel. Ou encore celles mettant laccent sur certains niveaux spcifique de lorganisation crbrale (cortical chez lhumain, sous-cortical chez lanimal). Lmotion est vue ici comme une proprit dun rseau beaucoup plus large chelle.

  • Les tats motionnels sont trs distribus au lieu de correspondre aux traditionnelles rgions relies aux motions (comme lamygdale ou le rseau par dfaut). Les signatures dactivit crbrales lies aux motions semblent hautement dpendantes du contexte (sont peu gnralisables dune tche lautre) Donc pour Pessoa, il ny a pas, dans un sens gnral, de circuits spcialiss pour les motions. La coordination dactivits dynamiques capture davantage les interactions en jeu, dont leffet est plus que juste biaiser les comportements.

  • Bref, le problme nest plus de comprendre quelle rgions contrle telle autre, mais de comprendre la dynamique entre les rgions, cest--dire comment les signaux de multiples rgions voluent collectivement. Ce qui est sensiblement plus difficile que de simplement identifier des rgions qui en excitent ou en inhibent dautres

  • Antonio Damasio, dans LErreur de Descartes publi en 1994, affirme que la pense consciente dpend substantiellement de la perception viscrale que nous avons de notre corps. Nos dcisions conscientes dcoulent de raisonnements abstraits mais Damasio montre que ceux-ci senracinent dans notre perception corporelle et que cest ce constant monitoring des changes entre corps et cerveau qui permet la prise de dcision claire.

  • Cest ce que signifie le concept de marqueur somatique de Damasio tout en clarifiant le rle et la nature des motions dun point de vue volutif. Les manifestations somatiques de ces motions, en tant prises en compte dans la mmoire de travail, permettent de marquer dune valeur affective linformation perceptuelle en provenance de lenvironnement extrieur, et donc den valuer limportance pour lorganisme. Ce qui savre essentiel pour toute prise de dcision impliquant la survie de lorganisme en question. En 1999, dans Le sentiment mme de soi, Damasio va dvelopper son modle pour rendre compte des diffrents niveaux possibles de la conscience de soi (proto-soi, conscience noyau, conscience tendue).

    Mais a, la conscience, cest une autre histoire

    ;-)

  • Le 13 septembre 1848, un ouvrier amricain des chemins de fer, Phineas Gage, eut le crne travers par une barre de fer suite une explosion. Contre toute attente, Gage se remit de son accident, mais son comportement changet radicalement. Source: Joan M.K. Tycko

    Jaimerais plutt revenir un aspect fondateur du travail dAntonio Damasio et de sa femme Hanna : le cas de Phineas Gage.

  • L'tude de ses lsions par Hanna et Antonio Damasio et leur collgues permit de mieux comprendre les fonctions du lobe frontal. The return of Phineas Gage: clues about the brain from the skull of a famous patient. Science, 1994 Damasio H1, Grabowski T, Frank R, Galaburda AM, Damasio AR.

    His personality and his ability to function in society were severely compromised. Gage provided the first clues that there are "systems in the human brain dedicated to the personal and social dimensions of reasoning. Review of Antonio Damasio's "Descartes Error" http://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-error

    http://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-error

  • Cela enrichit les thses de Damasio propos dune conception incarne de la cognition : L'motion joue un rle fondamental dans la raison . L'esprit humain et le reste du corps constituent un tout indissociable, intgr mutuellement par des rgulations biochimiques et de circuits de neurones. Les phnomnes mentaux ne peuvent tre pleinement compris que dans le contexte d'un organisme en interaction avec son environnement. (sance #3)

    Review of Antonio Damasio's "Descartes Error" http://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-error

    http://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-errorhttp://www.metanexus.net/book-review/review-antonio-damasios-descartes-error

  • Exclus dun groupe Accept socialement (plus froid) (plus chaud)

    Diffrence de 5 degrs Celsius

  • Exclus dun groupe Accept socialement (plus froid) (plus chaud)

    Diffrence de 5 degrs Celsius

    Dautres expriences semblables dcrites

    dans ce vido :

    Tom Ziemke - "Human Embodied Cognition : Scientific evidence &

    technological implications" http://www.youtube.com/watch?v

    =cjDgbgxzoMI

    http://www.youtube.com/watch?v=cjDgbgxzoMIhttp://www.youtube.com/watch?v=cjDgbgxzoMI

  • Mme si ces mtaphores seraient largement inconscientes et difficiles dceler parce que souvent trop loignes de leur origine pour tre remarques. Exemple : la mtaphore la plus souvent utilise pour un dbat intellectuel est, quand on y pense bien, celle du combat : il a gagn le dbat, cette affirmation est indfendable, il a mis en pice tous mes arguments, cette remarque va droit au but, etc.

    Pour Lakoff, notre cerveau est si intimement li au corps, que les mtaphores qui en manent sont ncessairement puises dans ce corps et son rapport au monde.

    1980

  • Mark Johnson a de son ct identifi des schmes ou des images qui nous viennent directement de lexprience corporelle (celle de la source, de la voie et du but, du rcipient, etc). Et ces schmes peuvent tre projets mtaphoriquement pour structurer des domaines cognitifs entiers. Exemple: limage de lintrieur et de lextrieur du corps, dont la logique lmentaire est dedans ou dehors , a des projections mtaphoriques dans plusieurs aspects de nos vies : - le champ visuel (o les choses entrent et sortent),

    - nos relations personnelles (entrer ou sortir en relation),

    - la logique des ensembles (qui contiennent des lments), etc.

  • Lundi, 8 aot 2011 Quand la peur nous fait ragir en conservateur http://www.blog-lecerveau.org/blog/2011/08/08/quand-la-peur-nous-fait-reagir-en-conservateur/

    Des tudiants avaient t pralablement classs en conservateurs ou libraux selon leurs convictions politiques gnrales. Les tudiants des deux catgories taient soit exposs un contexte neutre ou un contexte menaant (injustice, mort, etc.) avant de donner leur opinion sur un enjeu controvers. Dans trois situations diffrentes, lvocation dune menace juste avant de se prononcer sur lenjeu controvers pousse temporairement les tudiants autrement libraux vers une posture plus conservatrice. Une raction psychologique inconsciente un sentiment de vulnrabilit gnral.

    Lquipe de Paul Nail lUniversit de Central Arkansas a ralis une srie dexpriences qui montre comment un contexte psychologiquement menaant peut influencer notre pense.

    http://www.blog-lecerveau.org/blog/2011/08/08/quand-la-peur-nous-fait-reagir-en-conservateur/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2011/08/08/quand-la-peur-nous-fait-reagir-en-conservateur/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2011/08/08/quand-la-peur-nous-fait-reagir-en-conservateur/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2011/08/08/quand-la-peur-nous-fait-reagir-en-conservateur/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2011/08/08/quand-la-peur-nous-fait-reagir-en-conservateur/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2011/08/08/quand-la-peur-nous-fait-reagir-en-conservateur/http://www.blog-lecerveau.org/blog/2011/08/08/quand-la-peur-nous-fait-reag