Upload
sorcha
View
30
Download
0
Embed Size (px)
DESCRIPTION
Recherche action – sur la perséverance scolaire des élèves inuits Les méthodes des évaluations des besoins dans les situations d’urgence. Projets de recherche:. - PowerPoint PPT Presentation
Citation preview
Projets de recherche:
1
1. Recherche action – sur la perséverance scolaire des élèves inuits
2. Les méthodes des évaluations des besoins dans les situations d’urgence
2
Persévérance et la réussite scolaire des élèves inuits: influence de la perception, de l’attitude, et de l’approche pédagogique des
enseignants inuits et quallunaats (non-inuits)
Equipe de projet: Tatiana Garakani + Emilie Peter, doctoranteMartin Goyette, professeur, ENAP Christine Rosalia, professeure, Hunter College, New YorkElias Moukannas and Luc Paquet Commission scolaire Kativik
Objectives de la recherche Comprendre les pratiques pédagogiques et la perception des
enseignants (inuits et les quallunaats) comprendre l'influence de ces perceptions sur le succès de la
résilience et l'école des étudiants inuit comprendre les facteurs de protection permettant la résilience
des élèves et la réussite en classe. Proposer des méthodes et des outils pédagogiques adaptés
et pertinents pour le contexte et les expériences des étudiants et des enseignants.
Améliorer l’approche réflexive parmi les participants à la recherche, comme un outil de développement professionnel.
Permettre l’appropriation de cette recherche par les participants (et donc leurs communautés), et de développer leurs compétences en recherche participative.
PHASE I
PHASE II ET III
Nos hypothèses Les pratiques pédagogiques peuvent influencer la
persévérance scolaire des élèves. Une meilleure préparation et un meilleur accompagnement des
enseignants quallunaats leur permettra de mieux s’intégrer socialement et aidera à réduire l’écart interculturel
Une approche d’autoréflexion peut aider des enseignants à prendre conscience de leurs propres schèmes de référence culturel, en lien avec les modalités d’apprentissage et à identifier les écarts ou les paradoxes possibles avec les schèmes culturels de leur communauté hôte.
L’incorporation de la langue seconde peut accentuer les difficultés liées à la lecture et à l’écriture, ce qui peut contribuer à des difficultés d’apprentissage.
4
Cadre conceptuel
Résilience et ses facteurs de protection
Cultures et facteurs identitaires
Construction de succès /la valorisation/ la motivation/ la réussite scolaire
Styles d’apprentissage
5
Cadre conceptuel – résilience
6
passé Négociation desrôles/identités
Cadre conceptuel – résilience
7
Cadre conceptuel et méthode de recherche
8
Scolaire Famille Amis Communautaire a. Comportement b. Maximiser
capacité cognitive Si a +b réussite scolaire relative à capacité individuel
Facteurs personnels : Estime de soi / motivation / espoir … les stratégies d’adaptions
Capacité d’adaptation / opérer normalement malgré les facteurs de risques et d’adversité
Perception de différents enseignants
Évaluation des approches pédagogiques
JdB : réflexion sur «Qu’est ce que je peux modifier ou améliorer » - vérification – si oui ou non ça fonctionnait? (pour voir les stratégies d’adaptation)
L'auto-déclaration (JDB) et des histoires numériques Support
additionnel avec mentorat
pression des pairs Tester avec
le concept de mentorat
Les domaines de résilience
Défis de recherche
1. Partenariat – négociations des choix de site. 2. Recherche participative – implication et les
appréhensions3. Recherche action avec jeunes4. enseignants (inuits et non inuits) et communauté5. Distance, contexte culturel et historique6. Langues : inuktitut, anglais, français7. Recherche longitudinale, favorisant l’approche
réflexive.8. Les aspects éthiques
9
Approches proposées1. Favoriser la participation et appropriation2. Prêter une attention particulière au processus3. Rassurer la réciprocité et les gains pour les
participants4. Période d’apprivoisement et gain de confiance
avec chaque participant5. Adapter les méthodes aux besoins de chaque
participant. 6. Multiplier les approches7. Développer des indicateurs spécifiques au
contexte
10
Les approches proposées
11
Groupe de discussion
Enseignants (Inuit and Quallunaat)
Kanjiqsujuaq et Kanjiqsuallujjuaq
Groupe de discussion avec
Étudiants (14+)
Kanjiqsujuaq et Kanjiqsuallujjuaq
platforme web for pour des échanges
quotidiens avec les enseignants
(problème de language? Usabilité?)
platforme web for pour des échanges
quotidiens avec les étudiants (problème de
language? Usabilité?)
Digital stories (ex IPADs
sonic pics et Comic books
apps)
Journal de bord des enseignants
Journal de bord
Entrevue de suivi
Entrevue de suivi
Nov
201
1 et
Mar
s 20
12se
ptem
bre
à dé
cem
bre
2012
Observation de la session par l’équipe de recherche
Rétroaction des étudiants sur des
séances spécifiques en classe
MENTORAT
(Étudiants John Abbott et les étudiants des étudiants secondaire de
Nunauvik)
MENTORAT
ENSEIGNANTS ÉTUDIANTS Étudiants College John Abbott
Groupe de discussion
Étudiants inuit au College
John Abbott
Entrevues
Groupe de discussion
Participation! Vérifier la pertinence et l’acceptabilité
Les visites et groupes de discussions pour vérifier la pertinence et l’acceptabilité de la recherche, ainsi que les approches proposées
12
2. Les méthodes d’évaluation des besoins dans les situation d’urgence
ACAPS (Assessment Capacities Project)www.acaps.org
MIRA (Multisectorial Initial Rapid Assessment) – une initiative de IASC (Inter Agency Standing Committee) – groupe de travail sur l’évaluation des besoins
13
Définition du problème
Notre problème principal dans la réponse à une catastrophe est d'obtenir rapidement suffisamment d'informations pertinentes et fiables.
Pour qui collectons-nous ces informations et pour quel usage?
Quels types d’information avons-nous besoin pour rassurer la prise de décision dans les différentes phases d'une catastrophe?
14
À quoi ressemblent les évaluations rapides?
15
Les forces armées
Les bailleurs de fonds
Les organisations
internationales
Les ONG Internation
ales
Les ONG
Les organisatio
ns religieuses
Les bienfaiteurs spontanés
Société civile
Les équipes de recherches
et de secours
Les autorités locales
Le média
Mission NU/
Police
Les sociétés privées
Multiplicité d’acteurs
Volume de données
Volume de données= # de formulaires collectés x nombre et type de
Questions x fréquence de collecte
Caractéristiques de la phase 1
Temps et ressources limités pour la collecte des données primaires sur le terrain .
Nombre d’informations limité provenant de la région affectée.
Délai très court pour fournir des informations utiles à la prise de décision
Situation évoluant rapidement. Les décisions doivent être prises malgré une incertitude élevée
Trop ou (en réalité) trop peu d’informations Partage de l’information difficile et non systématique
Situation actuelle…✗ Peu d’initiatives menées de manière multisectorielle/clusters
✗ Basée sur des “institutions/mandat” et/ou sur des “rapports d’interventions”
✗ Manque d’analyse trans-sectorielle ✗ Presque aucun renseignement sur la manière dont les informations
ont été recueillies et les conclusions tirées ✗ Pas de projections/scénarios systématiques✗ Manque d’une compréhension commune des processus ……..✗ Il manque les références des données secondaires pré-désastre et
des “enseignements ”✗ Présentés sous forme de résumés d’analyses de situations /sitrep
Nécessité d’avoir, immédiatement après le désastre, une analyse multisectorielle des besoins ainsi qu’un système de notification /rapport mieux coordonné
Quelles décisions devrons nous prendre?
Les priorités Actions de premiers secours à entreprendre et en quel lieu (USAR,
hôpitaux de campagne, relocalisation) Lieu et type d'aide initiale (eau, alimentation, abris, sécurité, article non
alimentaire...) Types de programmes Niveaux de réponse Activation des secteurs ou des clusters Financement et ressources Appel à l’aide régionale ou internationale Message à envoyer – aux hauts responsables, plaidoyers,
messages communs, Définition des besoins en matière d’évaluation et de ressources et
réponses supplémentaires
Informations requises immédiatement
Impact sur la société et
l’infrastructure
IMPACT
IMPACT
IMPACT
capacité d'adaptation
Capacité d’adaptation de
la société
Le segment le plus vulnérable de la société
Niveau de réponse au
niveau national et la capacité
d’adaptation.
Les besoins de secours les plus
urgents
Recommandations pour réponse internationale
Mécanismes de coordination
Importantes contraintes culturelles, logistique, politique et de sécurité
Changement d’objectif au fil du temps
Temps
Les
obje
ctifs
de
l’éva
luat
ions
Phase I Phase II Phase III
La sauvegarde et la préservation des vies
Le rétablissement des services essentiels
La restauration des moyens de
subsistance
Évaluations de terrain
DISSEMINATION
ANALYSE
Informations“en crise” Enseignements
Informationspré-désastre
Réservoir/Pot commun
Nouvelle solution…(évaluation phase 1 )
Des données secondaires aux données primaires
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 150
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
Types de données utilisées pour l’évaluation des besoins dans la phase 1 et 2 (%)
Secondary Pre crisis Information Secondary In crisis Information Primary Community level assessment
Jours après désastre
%
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 150
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
Types de données utilisées pour l’évaluation des besoins dans la phase 1 et 2 (%)Primary Community level assessment
Jours après désastre
% Secondary data (pre and in-crisis)
Des données secondaires aux données primaires
Que cherche-t-on?Qui/Quoi?
• Qui est affecté-quel groupe?• Directement ou indirectement• Déjà vulnérables avant?• Ce qui est affecté: secteurs / problèmes?
Ampleur?• Combien la situation est mauvaise
• Sévérité de l’impact• Qui est modérément/sévèrement affecté
Qui est le plus affecté?
Région la plus affectée?
Quels sont les secteurs les plus touchés?
Dans quelle mesure?
Combien?• Nombre de personnes affectées• Répartis par: régions/groupes/secteurs • désagrégés par
sexe/âge
Où?• Région géographique
affectée
Croissance des objectifs au fil du temps
Temps et coûts
L’im
porta
nce
de l’
info
rmat
ion
Phase I Phase II Phase III
Au niveau communautaire
Au niveau des ménages
Au niveau individuel
Elaboration des futures phases
Disaster
Jour 1 Jours 30
Phase I Phase II Phase III
Jours 3 Jours 15
Eaux et assainissement
La sécurité alimentaire
La santé
Abris
La protection
Axes transversaux
L’Éducation
?
Eaux et assainissement LFS
La santé Éducation
......
?
? ?
?
???
Représentativité croissante
L'échantillonnage représentatif
Temps
“Gén
éral
isab
ilité
”
L'échantillonnage ciblé
Phase I Phase II Phase III
L'échantillonnage commode
Changement de voix…
Entrevues des principaux informateurs
Les entretiens de groupes (focus groupe)
Enquête auprès des ménages
Temps
Les
outil
s pa
rtic
ipat
ifs
…depuis le “jugement des experts” jusqu’au point de vue de la population touchée
Les observations directes
Phase I Phase II Phase III
Les entretiens individuels
Analyse des données secondaires
Le suivi des principaux indicateurs
Temps
Volu
me
de l’
info
rmat
ion
Phase I Phase II Phase III
I call myself a statistician, because, well, I'm a statistics graduate student. However, ask me specific questions about hypothesis tests or required sampling size, and my answer probably won't be very good. The other day I was trying to think of the last time I did an actual hypothesis test or formal analysis. I couldn't remember. I actually had to dig up old course listings to figure out when it was. It was four years ago during my first year of graduate school. I did well in those courses, and I'm confident I could do that stuff with a quick refresher, but it's a no go off the cuff. It's just not something I do regularly.Instead, the most important things I've learned are less formal, but have proven extremely useful when working/playing with data. Here they are in no particular order.Oftentimes it's the little things that end up being the most important. There was this one time in class when my professor put up a graph on the projector. It was a bunch of data points with a smooth fitted line. He asked what we saw. Well, there was an increase in the beginning, a leveling off in the middle, and then another increase. However, what I missed was the little blip in the curve in the first increase. That was what we were after.The point is that trends and patterns are important, but so are outliers, missing data points, and inconsistencies. With that said, it's important not to get too caught up with individual data points or a tiny section in a really big dataset. We saw this in the recent Like some pointed out, if we took a step back and looked at a larger time frame, the Obama/Bush contrast doesn't look so shocking.This should go without saying, but approach data as objectively as possible. I'm not saying you shouldn't have a hunch about what you're looking for, but don't let your preconceived ideas influence the results. Because if you go to length looking for some specific pattern, you're probably going to find it. It'll just be at the sacrifice of accurate results. Because if you go to length looking for some specific. was a bunch of data points with a smooth fitted line. He asked what we saw. Well, there was an increase in the beginning, a leveling off in the middle, and then another increase. However, what I missed was the little blip in the curve in the first increase. That was what we were after.The point is that trends and patterns are important, but so are outliers, missing data points, and inconsistencies. With that said, it's important not to get too caught up with individual data points or a tiny section in a really big dataset. We saw this in the recent Like some pointed out, if we took a step back and looked at a larger time frame, the Obama/Bush contrast doesn't look so shocking.This should go without saying, but approach data as objectively as possible. I'm not saying you shouldn't have a hunch about what you're looking for, but don't let your preconceived ideas influence the results. Because if you go to length looking for some specific pattern, you're probably going to find it. It'll just be at the sacrifice of accurate results. Because if you go to length looking for some specific Like some pointed out, if we took a step back and looked at a larger time frame, the Obama/Bush contrast doesn't look so shocking.This should go without saying, but approach data as objectively as possible. I'm not saying you shouldn't have a hunch about what you're looking for, but don't let your preconceived ideas influence the results. Because if you go to length looking for some specific pattern, you're probably going to find it. It'll just be at the sacrifice of accurate results. Because if you go to length looking for some specific Like some pointed out, if we took a step back and looked at a larger time frame, the Obama/Bush contrast doesn't look so shocking.This should go without saying, but approach data as objectively as possible. I'm not saying you shouldn't have a hunch about what you're looking for, but don't let your preconceived ideas influence the results. Because if you go to length looking for some specific pattern, you're probably going to find it. It'll just be at the sacrifice of accurate results. Because if you go to length looking for some specific specific pattern, you're probably going to find it. It'll just be at the sacrifice of accurate results accurate
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 150
102030405060708090
100L'accès aux services de santé par groupe
de population (%)
IDPs Affected popNon affected pop
%
Phase I Phase II Phase III
Événement
Chronologie de la connaissanceDonnées primaires:Visites de terrain , communiqués Évaluation au niveau des communautés, évaluations sectoriellesDonnées secondaires post
désastre :communiqués de presse, images
satellites, rapports d’ONG, sitreps, réseaux
sociaux
Données secondaires pré-désastre:Recensements, P-codes, Rapports sectoriels, etc..
Évaluation au niveau des communautés
Évaluations sectorielles détaillées (ménages et évaluation au niveau communautaire?)
‘Voir regarder’
Type
s de
don
nées
dis
poni
bles
Questions et commentaires?
33
Nakurmik