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Rapport d’activité 2013

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Rapport d’activité 2013

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présentation 4

politique qualité 5 CA, adhérents et équipe 6-7 zonages 8 surveillance régionale permanente 9 polluants 10 seuils réglementaires 11 typologie des stations et lexique 12 programmes d’études 13

bilan général de la qualité de l’air 2013 par polluant 14-39 zoom études 40-47 air intérieur 48-49 odeurs 50 laboratoire de métrologie 51 bilan des indices 52-53 bilan des procédures 54 bilan des actions 55-57

Sommaire

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Édito

Yves PiétrasantaPrésident

Depuis sa création en 1973, les missions d’AIR LR ont évolué au fil des attentes et des enjeux de la société : de la mise en place du suivi des appareils de mesure placés à proximité des industries et des grands axes routiers dans les années 1970-80, à l’utilisation croissante des outils de simulation et d’analyse depuis quelques années, AIR LR a toujours su s’adapter aux évolutions requises par ses différents partenaires, qu’ils soient services de l’État, collectivités, industriels ou associations. Cette année encore, AIR LR a su mettre son expertise au service de ses 130 adhérents.

Bien que l’année 2013 ait été caractérisée par une augmentation des épisodes de pollution due aux particules en suspension d’origine variée (transports, chauffage, épandages agricoles, sables sahariens…), le Languedoc-Roussillon continue à être relativement épargné par ce type de pollution par rapport à d’autres régions françaises.

Au-delà de ces « pics » de pollution qui retiennent l’attention des médias, AIR LR continue à travailler au quotidien pour améliorer la connaissance de la qualité de l’air, diffuser plus largement l’information auprès des citoyens, et favoriser une meilleure prise en compte des aspects « qualité de l’air » dans les prises de décisions, que ce soit dans le secteur public ou privé (élus, urbanistes, aménageurs, industriels…).

Dans une période charnière en termes de transition énergétique et de modifications des compétences de certaines collectivités, AIR LR s’emploie à apporter sa contribution dans les domaines « air / climat / énergie / santé ». Le projet Parten’air, initié en 2013, va permettre de sensibiliser davantage les collectivités sur ces différents aspects : le facteur « qualité de l’air » contribue à caractériser l’attractivité d’un territoire.

Je vous souhaite une bonne lecture de ce rapport annuel.

40 ANS

D’EXPERTISE

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AIRAQ

ATMOMIDI-PYRÉNÉES

AIR NORMAND

AIRLORRAINE

ASPA

ATMOFRANCHE-COMTÉ

AIRPACA

AIRLANGUEDOC-ROUSSILLON

AIRPARIF

LIMAIR

LIG'AIR

AIRBREIZH

MADININAIR

GWAD'AIR

ATMO NORDPAS-DE-CALAIS

ATMO RÉUNION

ORA DE GUYANE

ATMOPOITOU

CHARENTES

QUALITAIRCORSE

ATMOAUVERGNE

ATMOCHAMPAGNE-

ARDENNE

ATMOPICARDIE

AIR C.O.M.

AIRPAYS DE LA LOIRE

Guadeloupe

Martinique

Réunion

ATMOSF'AIRBOURGOGNE

Nouvelle-Calédonie

SCAL’AIR

AIRRHÔNE-ALPES

35%

18%

11%

36%

Etat

Industriels

Collectivités

Autres

Qui sommes-nous ? En France, l’État a confié la surveillance de la qualité de l’air à des associations loi 1901, agréées par le Ministère en charge de l’Écologie. Le dispositif repose sur l’adhésion et la contribution volontaire des acteurs concernés, répartis en 4 collèges : Services de l’État, Collectivités locales et territoriales, Entreprises (industriels, transporteurs…), Associations et Personnalités.

Créé en 1973, AIR Languedoc-Roussillon est l’organisme agréé par l’État pour la mise en œuvre de la surveillance de la qualité de l’air et la diffusion de l’information sur les cinq départements de la région Languedoc-Roussillon. Cette mission d’intérêt général s’inscrit dans le cadre de la loi sur l’air et l’utilisation rationnelle de l’énergie du 30 décembre 1996, intégrée depuis au Code de l’environnement, qui fixe comme objectif « le droit à chacun de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé » et fonde les conditions de la surveillance de la qualité de l’air et de l’information du public en France.

En 2013, le budget de fonctionnement d’AIR LR s’élevait à 1 846 748 €.

www.air-lr.org

www.atmo-france.org

Répartition du financement d'AIR LR en 2013

(budget de fonctionnement)

ATMO FranceAIR LR est membre de la fédération ATMO France, réseau national regroupant les associations françaises agréées pour la surveillance de la qualité de l’air sur tout le territoire. Elle assure leur représentation dans les instances nationales et européennes, organise la solidarité, coordonne, mutualise et valorise leur travail tout en participant aux débats stratégiques, nationaux et internationaux, pour l’amélioration de la qualité de l’air et de l’atmosphère.

4 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

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(1) Représentants de l’Etat et de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, des collectivités territoriales, des représentants des diverses activités contribuant à l’émission des substances surveillées, des associations agréées de protection de l’environnement, des associations agréées de consommateurs et, le cas échéant, faisant partie du même collège que les associations, des personnalités qualifiées.

(2) Constitue une pollution atmosphérique l’introduction par l’homme, directement ou indirectement, dans l’atmosphère et les espaces clos, de substances ayant des conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé humaine, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à influer sur les changements climatiques, à détériorer les biens matériels, à provoquer des nuisances olfactives excessives.

Politique qualité Pour garantir à nos concitoyens une amélioration constante du service apporté dans le domaine de la mise en œuvre de la surveillance de la qualité de l’air et de l’information qui s’y rapporte, l’association a placé les trois composantes de son activité sous assurance qualité :

s’exprime essentiellement au sein du Conseil d’Administration et dans les Comités Locaux de Concertation créés et animés par AIR LR. La concertation permet aux représentants des quatre Collèges(1) de recenser leurs besoins de surveillance et d’information, et de convenir ensemble des moyens qu’ils se donnent pour les satisfaire. Elle assure une écoute permanente, au plus près des principaux intéressés et permet de répondre aux besoins des collectivités locales inscrits dans les thématiques du Programme de Surveillance de la Qualité de l’Air (PSQA). La concertation garantit l’indépendance de la structure et conduit au partage équitable du financement. Le taux de participation et de représentativité des quatre collèges aux différentes réunions traduit la qualité de la concertation.

LA CONCERTATION1

l’animation et l’évolution du système qualité sont confiées au Responsable Assurance Qualité, Corinne Cabero. Elle bénéficie pour cette tâche, non seulement d’un soutien sans réserve de la direction, mais aussi du professionnalisme de l’ensemble du personnel.

L’ensemble de cette politique qualité est mis en œuvre dans le cadre du Programme de Surveillance de la Qualité de l’Air (PSQA) d’AIR LR, adopté en décembre 2010. Le renouvellement de la certification en décembre 2012 et le respect des différents objectifs mis en place témoignent de la bonne organisation de l’association au service de tous.

Y. PIETRASANTA PrésidentA. FROMAGE-MARIETTE Directrice

L’ORGANISATION,

consiste à mettre en œuvre les techniques et protocoles imposés par les autorités, à défaut ceux reconnus par la profession ou validés par l’association. Elle vise à mesurer, estimer, comparer et prévoir les niveaux de pollution (2) en tout point du territoire. La qualité de la surveillance s’exprime par le juste dimensionnement des outils mis en œuvre pour satisfaire les besoins exprimés lors de la concertation, dans le respect des moyens accordés. Elle s’exprime également par la confiance qui peut être accordée aux informations produites et la fiabilité des équipements de mesure et des données.

LA SURVEILLANCE2

est égale pour tous et assure la transparence dans le fonctionnement de l’association et les résultats produits. L’information offre à chaque citoyen des éléments de connaissance nécessaires, notamment sur les effets sur la santé et l’environnement, pour conduire l’effort collectif d’amélioration et de préservation de la qualité de l’air de la région. La qualité de l’information repose sur sa disponibilité, sa fiabilité, sa facilité d’accès et de compréhension. Elle se traduit par un temps de mise en œuvre des procédures de recommandation et d’alerte inférieur à une heure, par l’extension progressive de la surveillance à tout le territoire régional et par le suivi permanent d’indicateurs de satisfaction.

L’INFORMATION3

5AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

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AIR LRConseil d’administration et adhérents

1er COLLÈGE - ÉTAT

• Le Directeur Régional de l’ADEME

• Le Directeur de l’Agence Régionale de la Santé – ARS

• Le Directeur Régional de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt - DRAAF

• Le Directeur Régional de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement – DREAL

• Le Secrétaire Général aux Affaires Régionales - SGAR

2e COLLÈGE : COLLECTIVITÉS LOCALES

• Pour le CG DE L’HÉRAULT (34) PETARD Monique

• Pour MONTPELLIER AGGLO. (34) JANNIN Stéphanie

• Pour NÎMES MÉTROPOLE (30) ALLIER Vincent

• Pour PERPIGNAN MÉDITERRANÉE (66) IRLES Jacqueline

• Pour la CCNBT (34) PIETRASANTA Yves

3e COLLÈGE : Représentants des activités contribuant à l'émission de substances surveillées

• Pour AREVA Malvési (11) DELAUNAY Eric

• Pour AXENS (30) PLANQUART Pierre

• Pour l’UIC (Union des Ind. Chimiques L.R.) (34) COLLET Michel

• Pour l’UNICEM (Union des Carriers) (34) MAESTRI Bruno

• Pour l’UNOSTRA (Union des Transporteurs) (34) KARAM Francis

4e COLLÈGE : Représentants des Asso. et Personnalités

• Pour l’ECOLE DES MINES D’ALÈS (30) FANLO Jean-Louis

• Pour MÉTÉO FRANCE (34) MAZURIE Roland

• Pour le SPN LR (34) Prof. RIOUX Jean-Antoine

• Pour le CHU de MPL (34) Prof. DEMOLY Pascal

• Pour le CPIE APIEU Montpellier (34) FRANC Bruno

Ont participé également aux travaux de ce rapport d’activité : Sébastien CAIX : Assistant d’études, Romain DERAIN : Chargé d’études, Annabelle COMTE : Chargée de communication, Inadone FALL : Stagiaire, Carlos RUBIO : Stagiaire

Président : Yves PIÉTRASANTA (2e collège) Vice Présidente : Stéphanie JANNIN (2e collège) Vice Président : Jean-Louis FANLO (4e collège) Trésorier : Bruno MAESTRI (3e collège) Secrétaire Général : Didier KRUGER (1er collège)

Président d’Honneur : M. Louis BLANCHIN

L’équipe au 1er juin 2014

le CA

DIRECTRICE

Anne FROMAGE-MARIETTE

SERVICE ÉTUDES

Anne FROMAGE-MARIETTE

SERVICE DONNÉES

Fabien BOUTONNET

PÔLE QUALITÉ-SÉCURITÉ

Corinne CABEROAssistante : Corinne MARZOLF

TECHNICIEN DE MAINTENANCE

« Mesures indicatives »

Lucas ALLEGRUCCI

CHARGÉ D’ÉTUDES

Julien MOUNICOU

INGÉNIEUR D’ÉTUDES

Antoine THIBERVILLE

TECHNICIENS DE MAINTENANCE

Fabrice MOUTTETFabrice PERRARD

Lucas ALLEGRUCCI

SECRÉTAIRE DE DIRECTION/ACCUEIL

Béatrice MARTIN

SECRÉTAIRE - COMPTABLE

Patricia PROTTI

SECRÉTAIRE

Marylène GILLET

PÔLE « Mesures

automatiques »

Patrick VIALA

TECHNICIENS D’EXPLOITATION

Corinne MARZOLFKamel MOUELLEF

OUTILS DE COMMUNICATION

Julien MOUNICOU

LABORANTINE

Lise CIAN

ASSISTANT D’ÉTUDES

Joël BRAUCOURT

MÉTROLOGUE

Corinne MARZOLF

assistée de K. MOUELLEF

CHARGÉ D’ÉTUDES Inventaire

Bertrand MATHIEU-DAUDE

PÔLE « Bilans, études, air intérieur, odeurs »

Fabien BOUTONNET

PÔLE «Informatique »

Julien MOUNICOUassisté

de K. MOUELLEF

ASSISTANT Modélisation

Joël BRAUCOURT

PÔLE « Outils numériques »

Corinne CABERO

PÔLE ADMINISTRATIF

6 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

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au 1er juin 2014Conseil d’administration et adhérents1er COLLÈGE - ÉTAT- ADEME- ARS- CHSCT des Douanes du Port de Sète- DRAAF- DREAL- PREFECTURE 11- PREFECTURE 30- PREFECTURE 34 / SGAR- PREFECTURE 48- PREFECTURE 66

2e COLLÈGE - COLLECTIVITÉS LOCALESAUDE- COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION LE GRAND

NARBONNE- COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION CARCASSONNE

AGGLOMERATION- SYNDICAT LAURAGAIS AUDOIS- VENTENAC EN MINERVOISGARD- CONSEIL GÉNÉRAL DU GARD- COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION ALÈS

AGGLOMERATION- COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION NÎMES

MÉTROPOLE- SOMMIÈRESHÉRAULT- CONSEIL GÉNÉRAL DE L’HÉRAULT - COMMUNAUTÉS D’AGGLOMÉRATIONS

OU DE COMMUNES : • THAU AGGLOMERATION • BÉZIERS MÉDITERRANÉE • HERAULT MÉDITERRANÉE • MONTAGNE DU HAUT-LANGUEDOC • MONTPELLIER AGGLOMÉRATION • NORD BASSIN DE THAU • PAYS DE L’OR

- CAZOULS LES BÉZIERS- LAMALOU-LES-BAINS- LESPIGNAN- MONTBLANC- TOURBES- VENDRESPYRÉNÉES-ORIENTALES- COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION PERPIGNAN

MEDITERRANÉE- ARGELÈS S/MER- ELNE- OSSEJA- ST-CYPRIEN

3e COLLÈGE - CARRIERSAUDE- AUDE AGREGATS - Carrières de la Caunette et Moussoulens

- CARRIÈRES CALCAIRES CORBIÈRES - Carrière de Roquefort des Corbières

- CAZAL - Carrière de Labécède Lauragais- DOMITIA GRANULATS - Carrières de Montredon,

Campagne sur Aude et Quillan

- IMERYS CERAMICS France - Carrières de Salvezines et Treilles, (St-Arnac et Lansac, usines de St-Paul de Fenouillet et de Caudiès de Fenouillèdes - 66)

- LAVOYE - Carrière de La Palme- PATEBEX - Carrière Dominique (Alzonne)- SC 113 - Carrière de Narbonne- TERREAL - Carrières de St-Papoul, Bordeneuve- VALORIDEC BTP - Dépôt de Castelnau d’AudeGARD- CARMEUSE FRANCE - Carrière de Verfeuil- JOFFRE DE TRAVAUX PUBLICS - Carrière de

Vallérargues- LAFARGE GRANULATS SUD - Carrière de Bieudon- HENRI LEYGUE - Carrière de Thoiras (et sablière de

Pouzols (34))- ROBERT CARRIERES ET MATERIAUX - Carrières de

Connaux et Pouzilhac- TERRISSE - Carrière de LioucHÉRAULT- BIOCAMA INDUSTRIES - Carrières d’Aniane et du Mas

de Cournon- CARAYON - Carrière de Saint-Pons- CARRIERE CALCAIRE DU BITERROIS – Carrière de

Bayssan Vendres - CARRIÈRE DU PIC ST LOUP - Carrière de Viols le Fort- CARRIÈRE DES ROCHES BLEUES - Carrière de

St-Thibéry- CASTILLE S.A. - Carrière de la Galiberte et sablière de

Thézan-les-Béziers- CEMEX BÉTON DE FRANCE - Centrale à béton de

Montpellier (et Elne - 66)- GSM - Carrières de Poussan et Castries- LAFARGE GRANULATS – Carrières de Combaillaux et

La Madeleine (carrières de La Calmette (30), Baïxas et l’Agly (66))

- LANGUEDOC GRANULATS - Carrière de Murles- LRM - Carrière des Garrigues à Lunel- SERVANT ET FILS - Carrière de Lamalou- SOLAG - Sablières de Gignac et Saint André de

Sangonis- STPC - Carrière de Brissac- UNICEM (Syndicat Carriers) - MontpellierPYRÉNÉES-ORIENTALES- CAMINAL - Dépôt de Perpignan- COLAS/ROUSSILLON AGRÉGATS - Carrières de Thuir

et Latour de Carol- LA SALANQUE - Carrière de Salses-le-Château et

Sablière de Bompas- OMYA S.A. - Carrière de Vingrau et Usine de Salses-le-

Château- PROVENÇALE S.A. - Usine de Cases de Pène, Carrières

de Montpins, La Narède, La Feyche (et Pouzilhac - 30)

3e COLLÈGE - AUTRES QUE CARRIERSAUDE- AREVA MALVESI - Narbonne- LAFARGE CIMENTS - Port-la-NouvelleGARD- AXENS - Salindres- CALCIA ITALCEMENTI GROUP - Beaucaire- CEA VALRHO - Bagnols-sur-Cèze- CTI - Salindres- DALKIA - Nîmes

- EDF - Centre de Production Thermique - Aramon- FERROPEM - Laudun, St-Hippolyte de Montaigu- OWENS CORNING - l’Ardoise- OWENS ILLINOIS - Vergèze- SANOFI AVENTIS - Aramon- SITA Sud/NEOVAL- RODHIA Opérations - Salindres - UNION GRAP’SUD - Cruviers Lascours - VEOLIA EAU - CGE - Salindres (anc. SOUREIL)HÉRAULT- AÉROPORT MONTPELLIER MÉDITERRANÉE - Mauguio

- AUTOROUTES DU SUD DE LA FRANCE- PORT SUD DE FRANCE - Sète- OCREAL - Lunel-Viel- OC’VIA Construction – Montpellier- OWENS ILLINOIS MANUFACTURING - Béziers- SAIPOL - Sète- SCORI - Frontignan- SERM - Montpellier- SETOM - Sète- SOCIETE D’EXPLOITATION GENERALE (SEG) - Poussan- SYNDICAT ENTRE PIC ET ETANG - Lunel-Viel- TAM - Montpellier- TIMAC AGRO - Séte - UNION DES INDUSTRIES CHIMIQUES L.R.- UNOSTRA (Syndicat Transporteurs) - FrontignanPYRÉNÉES-ORIENTALES- CYDEL - Calce- SYDETOM - Saint-Feliu-d’Avall- SVLR-ISDND - Espira de l’Agly

4e COLLÈGE - ASSOCIATIONS ET PERSONNALITÉSRÉGION- AUTOMOBILE CLUB 30 / 48 / 07- CREAI - ORS LR - Montpellier- E.I.D. MÉDITERRANÉE - Montpellier- ONF - Montpellier- SPN LR - Montpellier- UFC QUE CHOISIR - MontpellierAUDE- FRAPNE LR (Fédération Régionale Associative de

Protection de la Nature et de l’Environnement) - Narbonne GARD- Comité de Quartier des Marronniers - Nîmes- MNLE 30 - Nîmes- SOREVE (Environnement et Patrimoine en Uzège) - Uzès- M. FANLO Jean-Louis - EMA - AlèsHÉRAULT- AGENCE LOCALE DE L’ENERGIE - Montpellier- BIVAP - Puisserguier- CPIE APIEU - Montpellier- FACULTÉ DE PHARMACIE - Montpellier- Prof. BAYLET - Faculté de Médecine - Montpellier- Prof. DEMOLY Pascal - Pneumologue - CHU de MPL- M. MAZURIE Roland - Météo France Montpellier- M. MOREAU Joël - ENSCM Montpellier - Dr TERRAL Claude LOZÈRE- PARC NATIONAL DES CÉVENNES - Florac

les adhérents

7AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

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(1) Art. L220-1. - L'État et ses établissements publics, les collectivités territoriales et leurs établissements publics ainsi que les personnes privées concourent, chacun dans le domaine de sa compétence et dans les limites de sa responsabilité, à une politique dont l'objectif est la mise en œuvre du droit reconnu à chacun à respirer un air qui ne nuise pas à sa santé…Art. L220-2. - Constitue une pollution atmosphérique au sens du présent titre l’introduction par l’homme, directement ou indirectement ou la présence, dans

l’atmosphère et les espaces clos, d’agents chimiques, biologiques ou physiques ayant des conséquences préjudiciables de nature à mettre en danger la santé humaine, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à influer sur les changements climatiques, à détériorer les biens matériels, à provoquer des nuisances olfactives excessives.

Extraits du code de l’environnement

Pour orienter ses actions et établir les bilans de qualité de l’air, AIR LR s’appuie sur différents découpages géographiques :

Les « Zones Administratives de Surveillance » (ZAS), utilisées essentiellement pour les besoins du « reporting » européen par le niveau national et dont le découpage a été révisé en 2010. La région se trouve actuellement divisée en 3 ZAS :

• une zone agglomération (ZAG) correspondant au périmètre du 1er plan de protection de l’atmosphère de Montpellier,

• une zone urbaine régionale (ZUR) prenant en compte les unités urbaines entre 50 000 et 250 000 habitants (Alès, Béziers, Narbonne, Nîmes, Perpignan, et Sète) étendues aux périmètres des communautés d’agglomération de 2009,

• une zone régionale (ZR) couvrant le reste du territoire.

Les Unités Territoriales d’Évaluation (UTE), au nombre de 33, et dont les contours apparaissent en filigrane sur les cartes de ce rapport. Le nombre et le périmètre de ces aires élémentaires ont été modifiés en 2010 dans le 2nd Programme de Surveillance de la Qualité de l’Air (PSQA) d’AIR LR, en lien avec le bilan du 1er PSQA portant sur la période 2005-2009, d’une part, et l’évolution du zonage en ZAS, d’autre part.

Les départements. Le découpage « départemental » reste, pour les Préfets, la base territoriale des procédures d’information et d’alerte, et de gestion des mesures d’urgence en cas d’épisodes de pollution importants.

Limites des informations produitesLes informations et bilans sur l’air produits ici répondent aux demandes qui ont été exprimées et financées par les partenaires d’AIR LR lors des phases de concertation. De ce fait, certaines problématiques – non sollicitées à ce jour – en sont absentes, d’autres ne sont encore que partiellement abordées.

Ces informations représentent néanmoins une partie des données nécessaires pour établir le droit reconnu à chacun de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé, au sens très général où l’entend le code de l’Environnement (1).

Albères et Vallespir

Biterrois

Centre Lozère

Cerdagne

Corbières

Côte rocheuse

Côte sablonneuse

nord

Côte sablonneuse sud

Haute valléede l'Aude

Lauragais

Minervois et Piémont Biterrois

Montagne noire

Nord Hérault

Nord Ouest Bassin de Thau

Petite Camargue

Régionde Carcassonne

Région de Montpellier

Région de Perpignan

Région de Sète

Région de Nîmes

Sommièreset

Lunellois

Uzégeois

Vallée du Rhône

Zone d'Alès

AspresCapcir

Cévennes

Conflent

Fenouillèdes

Haut-Languedoc Espinouse

Narbonnais

Nord Lozère

Piémont Cévenol

Zonage en ZAS et UTE

Zone Régionale (ZR)

Unités Territoriales d’Évaluation (UTE)

Zone Urbaine Régionale (ZUR)

Zone Agglomération (ZAG)

Les différents zonages de la région

8 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

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PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

dispositif de mesure(hors mesure des PSED)

NO2

SO2

O3

PM10PM 2,5BenzèneMétauxDioxines

* Géré par AIR PACA** Géré par ORAMIP*** Géré par la Generalitat de Catalogne

L'Ardoise

*

Surveillance permanente

**

***

Aspres

Minervoiset Piémont Biterrois

Zone d'Alès

Régionde Montpellier

Biterrois

Lauragais

Montagne Noire

Régionde Nîmes

Nord OuestBassin de Thau

Fenouillèdes

Narbonnais

Côte

Sommières

Valléedu Rhône

et Lunellois

sablonneuse nord

Région

Haut-Languedoc Espinouse

de Perpignan

Région de Sète

PetiteCamargue

Cerdagne

Régionde Carcassonne

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

LOZÈRE

modélisation

Région de Montpellier

Région de Nîmes

Vallée du Rhône

Région de Perpignan

GARD

modélisation locale : panaches industriels ou modélisation urbaine haute résolution

modélisation régionale : plateforme AIRES Méditerranée

PYRÉNÉES-ORIENTALES

GARD

HÉRAULT

LOZÈRE

AUDE

inventaired’émissions

inventaire spatialisé (année de référence 2007) : 35 polluants

inventaire spatialisé- année de référence 2004 : 35 polluants- année de référence 2007 : 35 polluants

actualisation en cours pour l'année de référence 2010

Le dispositifrégionalpermanentde surveillance

au 1er juin 2014

9AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

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Le benzène (C6H6), composé de la famille des COV, est principalement émis par les véhicules essence (gaz d’échappement et évaporation).

Le dioxyde d’azote (NO2) est émis par les véhicules (surtout diesel) et les installations de combustion (centrales thermiques, chauffage…). Il constitue le principal traceur de la pollution urbaine, en particulier automobile.

Le dioxyde de soufre (SO2) est émis principalement lors de la combustion de charbon et de fioul (centrales thermiques, installations de combustion industrielles et chauffage).

Les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) regroupent plusieurs centaines de composés et sont générés par la combustion des matières fossiles, notamment par le chauffage au bois et les moteurs diesels, sous forme gazeuse ou particulaire. Seul le benzo(a)pyrène en phase particulaire est réglementé.

Les métaux toxiques proviennent de la combustion des charbons, pétroles, ordures ménagères… et de certains procédés industriels et se retrouvent généralement au niveau des particules. Le plomb, l’arsenic, le cadmium et le nickel sont réglementés.

Le monoxyde de carbone (CO), gaz inodore, incolore et inflammable, se forme lors de la combustion incomplète (gaz, charbon, fioul, bois, carburants). La source principale dans l’air ambiant est le trafic automobile.

L’ozone (O3) résulte de la transformation de polluants émis par les activités humaines (industries, trafic routier…) sous l’effet d’un fort ensoleillement. L’ozone peut être transporté sur de grandes distances.

Les particules en suspension (Ps) ont de nombreuses origines, tant naturelles qu’humaines (trafic routier, industries…) et ont une grande variété de tailles, de formes et de compositions (elles peuvent véhiculer de nombreuses substances comme les métaux). Les particules mesurées ont un diamètre inférieur à 10 µm (PM10) ou à 2,5 µm (PM2,5).

Les aldéhydes, composés pour la plupart odorants, de la famille des COV. Ils sont présents principalement dans les logements, avec des concentrations parfois importantes car ils sont utilisés dans un certain nombre de matériaux (panneaux de particules agglomérées, colles, mousses…) et contenus dans la fumée de tabac. Dans l’air ambiant, ils sont aussi émis par le trafic routier. Aucun aldéhyde n’est réglementé dans l’air ambiant mais il existe des valeurs guides pour le formaldéhyde en air intérieur.

L’ammoniac (NH3) est un polluant essentiellement d’origine agricole émis lors de l’épandage de lisier et lors de la fabrication des engrais ammoniaqués. Il est également émis par certains procédés industriels.

Le sulfure d’hydrogène (H2S) est facilement reconnaissable, à très faible concentration, à son odeur « d’œuf pourri », qui disparaît à plus forte teneur. Il se forme par fermentation anaérobie des substances organiques.

Les Composés Organiques Volatils (COV) entrent dans la composition des carburants et de nombreux produits courants : peintures, encres, colles, détachants, cosmétiques, solvants… Des COV sont émis également par le milieu naturel et les surfaces agricoles.

Les dioxines forment une famille de 210 composés. Elles sont issues de combustions en présence de chlore (incinération de déchets, brûlage des gaz de décharge, blanchiment chloré du papier, feux de bois, incendies, fabrication d’herbicides…).

Les fluorures sont émis par l’activité volcanique ou proviennent des fumées rejetées par les industries d’engrais phosphatés, d’aluminium et de produits chimiques.

Les pesticides regroupent l’ensemble des herbicides, fongicides, insecticides, etc. La France occupe la 2ème place mondiale dans le volume de pesticides utilisés. Les mesures de pesticides dans l’air ambiant se multiplient depuis quelques années et concernent plusieurs dizaines de composés.

Les poussières sédimentables (PSED) se différencient des particules en suspension par leur taille, de l’ordre de la centaine de microns contre quelques microns pour les particules en suspension. D’origine naturelle (volcans…) ou humaine (carrières, cimenteries…), les poussières sédimentables sont émises essentiellement par des actions mécaniques et tombent sous l’effet de leur poids.

POLLUANTS RÉGLEMENTÉSDANS L’AIR AMBIANT

POLLUANTS NON RÉGLEMENTÉS DANS L’AIR AMBIANT

Les polluants

10 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

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RÉSUMÉ DES SEUILS RÉGLEMENTAIRES FIXÉS DANS LE CODE DE L’ENVIRONNEMENT (ARTICLE R 221-1)

* Valeurs spécifiques à l’année 2013 issues des dispositions transitoires ** Pendant 2 jours consécutifs et prévision de dépassement pour le lendemain

Polluants Expressions seuilsObjectif

dequalité

Niveau critique

protection végétation

Valeur cibleValeur limiteprotection

santé

Seuil d’information

et de recomman-

dation

Seuil d’alerte

SO2

Moyenne annuelle 50 µg/m3 20 µg/m3

Moyenne1/10 au 31/03

20 µg/m3

Moyenne journalière125 µg/m3

à ne pas dépasser plus de 3 fois par an

Moyenne horaire350 µg/m3

à ne pas dépasser plus de 24 fois par an

300 µg/m3 500 µg/m3 pendant 3 heures consécutives

PM10

Moyenne annuelle 30 µg/m3 40 µg/m3

Moyenne journalière50 µg/m3

à ne pas dépasser plus de 35 fois par an

PM 2,5 Moyenne annuelle 10 µg/m3 20 µg/m3 26* µg/m3

NOx Moyenne annuelle 30 µg/m3

NO2

Moyenne annuelle 40 µg/m3 40 µg/m3

Moyenne horaire200 µg/m3

à ne pas dépasser plus de 18 fois par an

200 µg/m3

400 µg/m3 pendant 3 heures

consécutives

200** µg/m3

CO Moyenne sur 8 heures 10 000 µg/m3

O3

AOT 40

6000 µg/m3.h (protection

végétation)

18 000 µg/m3.h en moyenne sur 5 ans (protection végétation)

Moyenne sur 8 heures120 µg/m3 (protection

santé)

120 µg/m3 à ne pas dépasser plus de 25 jours par an en moyenne sur 3 ans

(protection santé)

Moyenne horaire 180 µg/m3

Protection sanitaire population : 240 µg/m3

Mise en œuvre progressive des

mesures d’urgence :

- 1er seuil : 240 µg/m3 pendant

3 heures consécutives

- 2e seuil : 300 µg/m3 pendant

3 heures consécutives

- 3e seuil : 360 µg/m3

Pb Moyenne annuelle 0,25 µg/m3 0,5 µg/m3

MétauxMoyenne annuelle dans la fraction PM 10

Arsenic : 6 ng/m3

Cadmium : 5 ng/m3

Nickel : 20 ng/m3

Benzo(a)pyrène

Moyenne annuelle dans la fraction PM 10

1 ng/m3

Benzène Moyenne annuelle 2 µg/m3 5 µg/m3

Seuils réglementaires

11AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 12: Ra 2013 ok hd

Typologiedes stations et terminologie

Placée en proximité immédiate d’une voie de circulation importante, la station trafic est représentative du niveau maximum d’exposition à la pollution automobile et urbaine.

Située dans un pôle urbain, la station urbaine est représentative de la pollution de fond et donc d’une exposition moyenne de la population à la pollution urbaine. Les résultats de ces stations sont utilisés pour calculer l’indice ATMO dans les villes de plus de 100 000 habitants.

Placée à la périphérie des centres urbains, la station périurbaine est représentative des niveaux maxima de pollution photochimique. Les résultats de ces stations sont utilisés pour calculer l’indice ATMO dans les villes de plus de 100 000 habitants.

Placée soit dans l’environnement immédiat, soit sous le panache d’une source industrielle, la station industrielle est représentative du niveau maximum de polluants induit par cette source.

Placée en milieu rural, elle est représentative de la pollution de fond et de l’exposition des écosystèmes et de la population à cette pollution.

Placée en milieu rural, elle est représentative de la pollution de fond et des transferts de masses d’air sur de longues distances.

Les stations sont qualifiées selon l’environnement dans lequel elles sont implantées. Conformément aux recommandations nationales, les principaux types de stations sont les suivants :

Trafic

Urbaine

Périurbaine

Industrielle

Rurale régionale

Rurale nationale

LEXIQUE DES PRINCIPAUX TERMES UTILISÉS DANS LE RAPPORT :

Air ambiant : air extérieur de la troposphère, à l’exclusion des lieux de travail et auxquels le public n’a normalement pas accès.

AOT 40 : somme des différences entre les concentrations horaires supérieures à 80 µg/m3 et 80 µg/m3 mesurées quotidiennement de 8 heures à 20 heures (heures locales) sur la période allant du 1er mai au 31 juillet.

Dépassement de norme de qualité de l’air : niveau supérieur à une norme de qualité de l’air.

Mesures fixes : mesures effectuées, afin de déterminer les niveaux de concentration des polluants, en des endroits fixes, soit en continu, soit par échantillonnage aléatoire et respectant des objectifs de qualité des données élevés (annexe 1 de la directive 2008/50/CE). Ces mesures sont réalisées à l’aide d’appareils conformes aux méthodes de référence ou aux méthodes équivalentes.

Mesures indicatives : mesures respectant des objectifs de qualité des données moins stricts que ceux requis pour les mesures fixes (voir annexe 1 de la directive 2008/50/CE). Par opposition aux mesures fixes, on peut considérer qu’il s’agit de mesures moins contraignantes, soit au niveau de la méthode, soit au niveau du temps de mesures.

Modélisation : technique de représentation mathématique des phénomènes de nature physique, chimique ou biologique, qui permet d’obtenir une information sur la qualité de l’air en dehors des points et des périodes où sont réalisées les mesures et qui respecte les objectifs de qualité des données fixés à l’annexe 1 de la directive 2008/50/CE.

Niveau critique : niveau fixé sur la base des connaissances scientifiques, au-delà duquel des effets nocifs directs peuvent se produire sur certains récepteurs, tels que les arbres, les autres plantes ou écosystèmes naturels, à l’exclusion des êtres humains.

Niveau de polluant atmosphérique : concentration d’un polluant dans l’air ambiant ou la masse de son dépôt sur les surfaces en un temps donné.

Objectif de qualité : niveau à atteindre à long terme et à maintenir, sauf lorsque cela n’est pas réalisable par des mesures proportionnées, afin d’assurer une protection efficace de la santé humaine et de l’environnement dans son ensemble.

Polluant : toute substance présente dans l’air ambiant et pouvant avoir des effets nocifs sur la santé humaine ou sur l’environnement dans son ensemble.

Seuil d’alerte : niveau au-delà duquel une exposition de courte durée présente un risque pour la santé de l’ensemble de la population ou de dégradation de l’environnement, justifiant l’intervention de mesures d’urgence.

Seuil d’information et de recommandation : niveau au-delà duquel une exposition de courte durée présente un risque pour la santé humaine de groupes particulièrement sensibles au sein de la population et qui rend nécessaires l’émission d’informations immédiates et adéquates à destination de ces groupes et des recommandations pour réduire certaines émissions.

Valeur cible : niveau à atteindre, dans la mesure du possible, dans un délai donné, et fixé afin d’éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine ou l’environnement dans son ensemble.

Valeur limite : niveau à atteindre dans un délai donné et à ne pas dépasser, et fixé sur la base des connaissances scientifiques afin d’éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine ou sur l’environnement dans son ensemble.

12 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 13: Ra 2013 ok hd

Zone d'Alès

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

Régionde Montpellier

Régionde Nîmes

Biterrois

Région de Sète

• Campagnes de mesures du dioxyde d’azote

• PPA - Unité Urbaine de Montpellier - Evaluation d’actions à l’horizon 2015

• Délimitation des zones sensibles PRSE 2 - action 1

• Crèche de Parignargues

• RD 68 LIEN - Aménagement du tronçon entre l’A750 et la RD986 au Nord de Saint-Gély-du-Fesc - Etat initial de la qualité de l’air - Emissions (20 polluants) et consommations énergétiques - Simulations et exposition de la population aux polluants réglementés

• Aéroport de Montpellier-Méditerranée Bilan 2013 et évolution depuis 2008

• Groupe scolaire des Arceaux (Montpellier) Etude de la qualité de l’air intérieur

• Qualité de l’air autour du poste de douane de Sète Bilan 2013 et évolution depuis 2007

• Etude de Modélisation Zone industrielle de Salindres

• Projet TRAM’BUS d’extension Nord de la ligne 1 - Nîmes Etude de la qualité de l’air et simulations

• SCORI - Centre de Frontignan Surveillance de la qualité de l’air

• Mèze - Mesures à proximité du trafic routier

• Bâtiments performants en énergie : qualité de l’air intérieur et confort (9 logements étudiés dans la région)

Aldéhydes

HAP

Aldéhydes

Métaux

NH3Particules

COV

SO2

Perchloroéthylène

2

COV

H2S

C6H6 PM10 PM2,5 CONO2

C6H6 PM10 PM2,5NO2

C6H6 PM10 PM2,5NO2

C6H6 PM10 PM2,5NO2

C6H6

C6H6

C6H6

NO2

NO2

PM10 PM2,5NO2

NO2

CO2

CO2

CO2

Métaux

Station mobile

Tube passif

Modélisation

Canister

Enquête Odeurs

Inventaire d’émissions

Préleveur

Moyens mis en œuvre :

Les programmesd’études AIR ambiantdans la région

études 2013

13AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 14: Ra 2013 ok hd

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

Minervoiset Piémont Biterrois

Régionde Perpignan

Valléedu Rhône

Sommièreset Lunellois

Zone d'Alès

Régionde Montpellier

Biterrois

Région de Sète

Régionde Nîmes

Nord OuestBassin de Thau

Narbonnais

Surveillance permanente

2009 - 2013

Surveillance ponctuelle

Surveillance permanente et ponctuelle

Régionde Carcassonne

7% 3% 4% 4%

66%

17%

Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)

Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers

Origine des émissions de dioxyde d'azote en Languedoc-Roussillon

14 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

NO2

Dispositif de surveillance pour le dioxyde d’azote (2009-2013)

dioxyde d’azote

Page 15: Ra 2013 ok hd

Comparaison aux normes en 2013

ZONE MOYENSMIS EN ŒUVRE

TYPEDE SITE

OBJECTIF DE QUALITÉ NO2

VALEURS LIMITESNO2

Région de MontpellierMesures fixes,

mesures indicativeset modélisations

Urbain Respecté Respectées

Proximité trafic routier Non respecté Valeurs limite annuelle et horaire (1) non respectées

Sommières et Lunellois (Environnement de l’incinérateur de Lunel-Viel)

Mesures fixes Périurbain Respecté Respectées

Région de Nîmes Mesures fixes et modélisations

Urbain Respecté Respectées

Proximité trafic routier Non respecté Valeurs limite annuelle et horaire(1) non respectées

Région de PerpignanMesures fixes,

mesures indicativeset modélisations

Urbain Respecté Respectées

Proximité trafic routier Non respecté (1) Valeurs limite annuelle et horaire non respectées (1)

Biterrois Mesures indicativesUrbain Respecté Respectées

Proximité trafic routier Respecté Respectées

Narbonnais Mesures indicativesUrbain Respecté Respectées

Proximité trafic routier Respecté Respectées

Nord-Ouest bassin de Thau Mesures fixes et mesures indicatives

Périurbain Respecté Respectées

Proximité trafic routier Respecté Respectées

Vallée du Rhône Mesures fixes et modélisations Industriel Respecté Respectées

Région d’Alès Mesures indicativesUrbain Respecté Respectées

Proximité trafic routier Non respecté(1) Valeur limite annuelle non respectée(1)

(1) dépassement constaté par le dispositif de mesures indicatives ou la modélisation haute résolution

Historique depuis 2009En milieu urbain et périurbain, chaque année, les seuils réglementaires sont respectés.A proximité du trafic routier, l’objectif de qualité et les valeurs limites annuelle et horaire peuvent ne pas être respectés.Dans l’environnement du Centre de Production Thermique EDF d’Aramon, les concentrations sont nettement inférieures aux seuils réglementaires.

NO2 - Région de Montpellier NO2 - Région de Nîmes

Montpellier Nîmes

Perpignan

Sommières

Vallée du Rhône

Alès

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

0

20

40

60

80

2009 2010 20110

20

40

60

80

2009 2010 2011

0

20

40

60

80

2009 2010 20110

20

40

60

80

2009 2010 2011

0

20

40

60

80

2009 2010 20110

20

40

60

80

2009 2010 2011

2012 2012

(*)

2012 2012

2012 2013 2012

2013 2013

2013 2013

2013

Montpellier Nîmes

Perpignan

Sommières

Vallée du Rhône

Alès

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

0

20

40

60

80

2009 2010 20110

20

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80

2009 2010 2011

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60

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2009 2010 20110

20

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60

80

2009 2010 2011

0

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60

80

2009 2010 20110

20

40

60

80

2009 2010 2011

2012 2012

(*)

2012 2012

2012 2013 2012

2013 2013

2013 2013

2013

NO2 - Région de Perpignan NO2 - Vallée du Rhône (environnement d’EDF Aramon)

Montpellier Nîmes

Perpignan

Sommières

Vallée du Rhône

Alès

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

0

20

40

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80

2009 2010 20110

20

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2009 2010 2011

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20

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2009 2010 20110

20

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2009 2010 2011

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2009 2010 20110

20

40

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80

2009 2010 2011

2012 2012

(*)

2012 2012

2012 2013 2012

2013 2013

2013 2013

2013

Montpellier Nîmes

Perpignan

Sommières

Vallée du Rhône

Alès

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

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µg/

m3

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40

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2009 2010 20110

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2009 2010 2011

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2009 2010 20110

20

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80

2009 2010 20110

20

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2009 2010 2011

2012 2012

(*)

2012 2012

2012 2013 2012

2013 2013

2013 2013

2013

NO2 - Sommières et Lunellois (environnement de Lunel-Viel) NO2 - Région d’Alès

Montpellier Nîmes

Perpignan

Sommières

Vallée du Rhône

Alès

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

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µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

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20

40

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2009 2010 20110

20

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2009 2010 2011

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2009 2010 20110

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2009 2010 2011

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80

2009 2010 20110

20

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2009 2010 2011

2012 2012

(*)

2012 2012

2012 2013 2012

2013 2013

2013 2013

2013

Montpellier Nîmes

Perpignan

Sommières

Vallée du Rhône

Alès

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

NO

2 en

µg/

m3

0

20

40

60

80

2009 2010 20110

20

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80

2009 2010 2011

0

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40

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80

2009 2010 20110

20

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60

80

2009 2010 2011

0

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40

60

80

2009 2010 20110

20

40

60

80

2009 2010 2011

2012 2012

(*)

2012 2012

2012 2013 2012

2013 2013

2013 2013

2013

(*) problème technique

légendemoyenne annuelle NO2 MAX Objectif de qualitéValeur limite

Proximitésite industriel

Milieu urbainou périurbain

Proximitétrafic routier

15AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance permanente - résultats 2013

Page 16: Ra 2013 ok hd

ZONECADRE DE LA

SURVEILLANCE PONCTUELLE

MOYENS MIS EN ŒUVRECOMMENTAIRES

N02

Région de

Montpellier

RD 68 LIEN - Aménagement

du tronçon entre l’A750 à Bel Air et la RD 986 au

Nord de Saint-Gély-

du-Fesc

Etat initial de la qualité de l’air et

simulations

- Mesures : tubes passifs sur 18 sites pendant 2 mois en hiver 2013

- Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les

conditions météorologiques les plus défavorables pour 4 scénarii

Etat initial 2013

Sur le domaine d’étude, respect de la valeur limite sauf localement dans des zones non habitées à proximité des

axes routiers les plus empruntés (A750, RD 986 et LIEN au Sud-Est de Saint-Gély-du-Fesc)

Etat futur 2020 et 2040

Emissions de NOx : Diminution de 18% en 2020 compte tenu du renouvellement du parc automobile et malgré la hausse attendue du

trafic routier

Concentrations de NO2 :- augmentation logique des concentrations le long des

aménagements et sur le LIEN déjà existant

- diminution des concentrations sur la route de Bel Air (RD 102), dans les traversées de Grabels et de Saint-Gély-du-Fesc du fait de la

baisse attendue du trafic routier

Aéroport de Montpellier-

Méditerranée

Etude de la qualité de l’air

Mesures : tubes passifs sur 15 sites (5 sites en air intérieur,

8 sites en air ambiant et 2 sites références) pendant 2 mois en hiver

2013 puis 2 mois en été 2013

Valeurs réglementaires respectées

Les niveaux de NO2 ont globalement légèrement diminué entre 2008 et 2013

Région de

Nîmes

Projet d’extension

Nord de la ligne 1 du TRAM’BUS

Etude de la qualité de l’air et

simulations

- Mesures : tubes passifs sur 72 sites pendant 2 mois en hiver 2013

puis 2 mois en été 2013

- Station mobile pendant 4 mois Bd Victor-Hugo et 2 mois rue Faïta

- Modélisation annuelle et heure de pointe du soir pour les

conditions météorologiques les plus défavorables pour 5 scénarii

Etat initial 2012-2013

Objectif de qualité et valeur limite non respectés aux abords des axes routiers les plus empruntés et/ou de type canyon

Les concentrations de NO2 diminuent rapidement dans les 50 premiers mètres avec la distance à la chaussée

Etat futur 2025

Conséquence de la baisse des émissions entre 2012 et 2025 (tous scénarii confondus), une diminution des concentrations

est attendue en 2025 dans le domaine d’étude

BiterroisCampagne de mesures du

dioxyde d’azote

Mesures : tubes passifs sur 54 sites pendant 2 mois en hiver 2013

puis 2 mois en été 2013

Constat 2013

Valeurs réglementaires respectées à l’exception de quelques axes (A9, boulevard Maréchal de Lattres de Tassigny à

Béziers et le long des axes routiers reliant le centre-ville aux échangeurs autoroutiers)

Dès que l’on s’éloigne des axes routiers principaux, les concentrations diminuent fortement, et respectent nettement la

valeur limite annuelle

Evolution 1999-2013

Diminution des concentrations principalement en raison de la baisse des émissions d’oxyde d’azote en lien avec l’amélioration

technique des véhicules

Région de

Sète

Qualité de l’air autour du poste de douane de

Sète

Bilan 2013 et évolution depuis

2007

- Mesures : tubes passifs sur 13 sites pendant 2 mois en été 2013 puis 2

mois en hiver 2013-2014

- Station mobile pendant 1 mois en été 2013 puis 2 mois en hiver

2013-2014 entre le poste de douane et le poste de police de l’air et des

frontières

Valeurs réglementaires respectées

Les débarquements de ferries et le passage des véhicules au poste de douanes n’ont pas d’impact sur les concentrations

moyennes de NO2, mais peuvent générer des pics de NO2 de courte durée relativement importants

Mèze

Mesures à proximité du trafic

routier

- Mesures : tubes passifs sur 20 sites pendant 2 mois en été 2013 puis 2

mois en hiver 2013-2014

- Station mobile durant toute l’année 2013

Valeurs réglementaires respectées sauf au plus près de la route de Montpellier, dans des zones confinées et/ou à

proximité de feux tricolores

Zone d’Alès

Etude de modélisation

Zone industrielle de Salindres

Modélisations des émissions industrielles et du trafic routier

Valeurs réglementaires respectées sur l’ensemble du domaine modélisé

Le trafic routier est à l’origine des plus fortes concentrations de NO2

Dans la zone industrielle, dès que l’on s’éloigne des sources émettrices, la contribution des industries sur les concentrations devient très faible

16 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance ponctuelle - résultats 2013

dioxyde d’azoteNO2

Page 17: Ra 2013 ok hd

Aspres

Minervoiset Piémont Biterrois

Nord Hérault

Région

Vallée

Zone d'Alès

Régionde Montpellier

Biterrois

Lauragais

Cerdagne

Régionde Nîmes

Nord OuestBassin de Thau

Capcir

Fenouillèdes

Narbonnais

Conflent

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

Ozone2009-2013

Région de Sète

Montagne Noire

de Perpignan

Sommièreset Lunellois

Haut-Languedoc Espinouse

du Rhône

Haute vallée de l’Audesablonneuse nord

Côte

PetiteCamargue

Mesure permanente

2009 - 2013

Mesure ponctuelle

Mesure permanente et ponctuelle

Plate forme de modélisation AIRES Méditerranée

Prévision des maxima d’ozone en µg/m3 le 13/07/13 pour le jour J

Quotidiennement, prévisions sur les régions LR et PACA des concentrations d’ozone pour le

jour même, le lendemain et le surlendemain

Dispositif de surveillance pour l’ozone (2009-2013)

17AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

ozoneO3

Page 18: Ra 2013 ok hd

Comparaison aux normes en 2013En 2013, comme les années précédentes et comme sur la majorité du territoire français, plusieurs seuils réglementaires concernant l’ozone n’ont pas été respectés, principalement lors la période estivale pendant laquelle les conditions météorologiques (fort ensoleillement, température élevée, vent faible) sont favorables à la formation et à l’accumulation d’ozone.

L’objectif de qualité pour la protection de la végétation n’était pas respecté (AOT 40 supérieur à 6000 µg/m3.h).

L’objectif de qualité pour la protection de la santé humaine (fixé à 120 µg/m3 en moyenne sur 8 heures) n’était respecté ni en milieu urbain, ni en milieu périurbain. La fréquence de non-respect est généralement plus importante en milieu rural ou périurbain qu’en milieu urbain.

Le seuil d’information et de recommandation (180 µg/m3 en moyenne horaire) a été dépassé entre 1 et 2 heures en fonction des zones. Ces dépassements ont eu pour conséquence le déclenchement de procédures d’information et de recommandations.

Aucune concentration horaire supérieure au seuil d’alerte (240 µg/m3) n’a été observée sur la région.

ZONEMOYENS

MIS EN ŒUVRE

SITE

AOT 40 en µg/m3.h

(objectif de qualité :

6000 µg/m3.h)

NOMBRE DE JOURS DE NON

RESPECT DE L’OBJECTIF DE QUALITÉ POUR

LA PROTECTION DE LA SANTÉ

HUMAINE

(120 µg/m3 en moyenne sur 8 heures)

NOMBRE DE DÉPASSEMENTS

DU SEUIL D’INFORMATION

(seuil horaire de 180 µg/m3)

NOMBRE DE DÉPASSEMENTS

DU SEUIL D’ALERTE POUR UNE

PROTECTION SANITAIRE

DE LA POPULATION

(seuil horaire de 240 µg/m3)

Région de Nîmes Station fixe

Urbain (b) 35 0 0

Périurbain 19 439 37 0 0

Vallée du Rhône Station fixe Périurbain 24 097 42 2 0

Petite Camargue Station fixe Rural régional 17 244 22 1 0

Région de Montpellier Sète

Station fixe

Urbain (b) 17 0 0

Périurbain 22 946 34 2 0

Nord Ouest Bassin de Thau

Station fixe Périurbain 20 190 21 1 0

Biterrois et Narbonnais

Station fixe Rural régional 19 540 23 1 0

Haut-LanguedocMontagne Noire

Station fixe (a) Rural régional 17 524 22 0 0

Lauragais Station fixe Rural régional 12 259 16 0 0

Région de Perpignan et littoral Sud

de l’AudeStation fixe

Urbain (b) 22 0 0

Périurbain 20 207 26 0 0

Alésien Station fixe Périurbain 20 563 31 0 0

Ouest Pyrénées-Orientales

Station fixe Rural régional 26 688 37 2 0

Lorsqu’il y a plusieurs stations sur la zone (par exemple, la zone « Vallée du Rhône »), la station présentant le nombre de jours maximum de dépassements est prise en compte.(a) fonctionnement uniquement pendant la période estivale (1er avril au 30 septembre). (b) l’AOT 40 n’est pas calculé en milieu urbain.

18 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

O3ozone

Page 19: Ra 2013 ok hd

Historique des dépassements des seuils réglementaires pour l’ozone

Pyrénées-Orientales

Aude

Lozère

Hérault

Gard

Pyrénées-Orientales

Aude

Lozère

Hérault

Gard

Montpellier-Sète

0 10 20 30

Région de Nîmes

0 10 20 30

Vallée du Rhône

0 10 20 30

Région de PerpignanSud de l'Aude

0 10 20 30

Petite Camargue

0 10 20 30

Lauragais

0 10 20 30

Nord OuestBassin de Thau

0 10 20 30

Biterrois-Narbonnais

0 10 20 30

Haut-LanguedocMontagne Noire

0 10 20 30

Alésien-Uzégeois

0 10 20 30

0

0

1

0

2

3

0

3

4

21

0

0

0

2

0

1

4

2

5

15

3

1

0

0

0

8

0

0

0

0

0

1

0

4

2

0

00

0

2

1

0

0

0

0

0

0

0

0

0

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

0 20 40 60 80 100120

14

14

Montpellier-Sète

Région de Nîmes

Vallée du Rhône

Région de PerpignanSud de l'Aude

Petite Camargue

Lauragais

Nord OuestBassin de Thau

Biterrois-Narbonnais

Haut-Languedoc

Alésien-Uzégeois

47

21

34

68

43

45

49

48

32

37

45

51

61

21

26

55

54

43

66

42

67

65

39

16

22

4312

16

12

20

33 52

21

21

27

36

39

19

23

35

43

22

32

40

32

28

53

31

20092010201120122013

Légende

Commentaires :

Episodes de pollution : peu fréquents. Le nombre total de dépassements du seuil horaire de 180 µg/m3 enregistré en 2013 est en légère diminution par rapport à celui de 2012. Avec 2011, il est le plus faible depuis le début des mesures.

Commentaires :

Pollution de fond : en légère augmentation sur l’ensemble de la région mais parmi les plus faibles observées. Par rapport à 2012, le nombre de jours de non-respect de l’objectif de qualité pour la protection de la santé humaine a légèrement augmenté sur la majorité des zones surveillées. Il reste néanmoins parmi les plus faibles depuis le début des mesures.

POLLUTION DE FONDNombre de jours de non-respect de l’objectif de qualité pour la protection de la santé humaine

POLLUTION DE POINTENombre d’heures avec des teneurs en ozone supérieures à 180 µg/m3

19AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance permanente - résultats 2013

Page 20: Ra 2013 ok hd

* Valeur cible pour la protection de la santé humaine: 120 µg/m3 sur 8h, moins de 25 jours par an, en moyenne sur trois ans

Source : AIR LR, 2014 - Modélisation interrégionale, AIRES Méditerranée

Nombre de jours de dépassement de la valeur cible*

20 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

ozoneO3

Dépassement pour l’ozone (2011-2013) en Languedoc-Roussillon de la valeur cible* pour la protection de la santé humaine en moyenne sur 3 ans

Page 21: Ra 2013 ok hd

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

Minervoiset Piémont Biterrois

Régionde Perpignan

Valléedu Rhône

Sommièreset Lunellois

Zone d'Alès

Régionde Montpellier

Haute vallée de l’Aude

Région de Sète

Régionde Nîmes

Nord OuestBassin de Thau

Narbonnais

Conflent

PM10 / PM2,52008-2012

Régionde Carcassonne

2009-2013

Surveillance ponctuelle

Surveillance permanente et ponctuelle

28% 26%

1%

19% 1%

25%

Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)

19%

23% 1%

28%

1% 28%

Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)

Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers

Origine des émissions de PM10 en Languedoc-Roussillon

Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers

Origine des émissions de PM 2,5 en Languedoc-Roussillon

21AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

particules en suspension

PM10

Dispositif de surveillance des particules en suspension PM10 (2009-2013)

Page 22: Ra 2013 ok hd

Comparaison aux normes en 2013

ZONE MOYENSMIS EN ŒUVRE

TYPEDE SITE

OBJECTIF DE QUALITÉPM10

VALEURS LIMITESPM10

Région de MontpellierMesures fixes et

modélisations

Urbain et périurbain

Respecté Respectées

Trafic Non respecté (1) Non respectées (1)

Sommières et Lunellois Mesures fixes Périurbain Respecté Respectées

Région de NîmesMesures fixes et

modélisations

Urbain Respecté Respectées

Trafic Non respecté (1) Non respectées (1)

Région de PerpignanMesures fixes et

modélisations

Urbain Respecté Respectées

Trafic Non respecté (1) Non respectées (1)

Vallée du Rhône Mesures fixes Industriel Respecté Respectées

(1) dépassement constaté par modélisation

Historique des mesures depuis 2009En milieu urbain, les seuils réglementaires sont respectés chaque année. En 2013, les concentrations moyennes sont légèrement inférieures à celles de 2012.A proximité du trafic routier, les concentrations sont plus élevées mais les seuils réglementaires sont respectés sur les sites fixes de mesures (les modélisations ont toutefois montré que les seuils réglementaires pouvaient ne pas être respectés à proximité de certains axes routiers importants).

PM10 - Région de Montpellier PM10 - Sommières et Lunellois (environnement de l’incinérateur de Lunel-Viel)

Montpellier

Vallée du Rhône

Perpignan

Nîmes

Lunel

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 2012

2012 2012

2012

2012 2013

2013 2013

2013

2013

Montpellier

Vallée du Rhône

Perpignan

Nîmes

Lunel

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 2012

2012 2012

2012

2012 2013

2013 2013

2013

2013

PM10 - Région de Nîmes PM10 - Région de PerpignanMontpellier

Vallée du Rhône

Perpignan

Nîmes

Lunel

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 2012

2012 2012

2012

2012 2013

2013 2013

2013

2013

Montpellier

Vallée du Rhône

Perpignan

Nîmes

Lunel

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 2012

2012 2012

2012

2012 2013

2013 2013

2013

2013

PM10 - Vallée du Rhône (environnement de l’Ardoise)

Montpellier

Vallée du Rhône

Perpignan

Nîmes

Lunel

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3P

M10

en

µg/

m3

PM

10 e

n µ

g/m

3

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011

0

10

20

30

40

50

2009 2010 2011 2012

2012 2012

2012

2012 2013

2013 2013

2013

2013

légendemoyenne annuelle PM10 MAX

Milieu urbain ou périurbain

Proximité trafic routier

Objectif de qualité

Proximité site industriel

Valeur limite

22 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

NO2dioxyde d’azote

surveillance permanente - résultats 2013

particules en suspension

PM10

Page 23: Ra 2013 ok hd

ZONECADRE

DE LA SURVEILLANCE PONCTUELLE

MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRESPM10

Région de Montpellier

RD 68 LIEN Aménagement du tronçon

entre l’A750 à Bel Air et la RD 986 au Nord

de Saint-Gély-du-Fesc

Etat initial de la qualité de l’air

et simulations

Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les

conditions météorologiques les plus défavorables pour 4 scénarii

Etat initial 2012

Sur le domaine d’étude, les valeurs réglementaires sont respectées

Simulations 2020 et 2040

Pas de dépassement des seuils réglementaires

- augmentation logique des concentrations le long des aménagements et sur le LIEN déjà existant

- diminution des concentrations sur la route de Bel Air (RD 102) et, moins significativement, dans les traversées de Grabels et de Saint-Gély-du-Fesc du fait de la baisse

attendue du trafic routier

Région de Nîmes

Projet d’extension Nord de la ligne 1

du TRAM’BUS

Etat initial de la qualité de l’air

et simulations

- Station mobile pendant 4 mois Boulevard Victor-Hugo

et 2 mois rue Faïta

- Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les

conditions météorologiques les plus défavorables pour 5 scénarii

Etat initial 2012-2013

Valeur limite non respectée avenue de la Liberté au niveau du rond-point au-dessus de l’autoroute A9

Simulations 2025

Conséquence de la baisse des émissions entre 2012 et 2025 (tous scénarii confondus), une diminution des concentrations est attendue en 2025 dans le domaine

d’étude

La valeur limite devrait être respectée sur tout le domaine d’étude

Région de Sète

Qualité de l’air autour du poste de douane de Sète

Bilan 2013 et évolution depuis 2007

- Station mobile pendant 1 mois en été 2013 puis 2 mois en hiver

2013-2014 entre le poste de douane et le poste de police de l’air et des

frontières

- Mesure complémentaire de l’exposition des agents pendant un

débarquement de ferry

Valeurs réglementaires respectées

Hausse ponctuelle des concentrations de PM 10 liées aux émissions des véhicules lors des embarquements

et débarquements de ferries

Mèze

Mesures à proximité du trafic routier

Station mobile durant toute l’année 2013

Valeurs réglementaires respectées

Zone d’AlèsEtude de modélisation

Zone industrielle de Salindres

Modélisations des émissions industrielles et du trafic routier

Valeurs réglementaires respectées sur l’ensemble du domaine modélisé

Le trafic routier est à l’origine des plus fortes concentrations de PM 10

Au niveau de la zone industrielle, dès que l’on s’éloigne des sources émettrices, la contribution des industries

sur les concentrations devient très faible

23AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance ponctuelle - résultats 2013

Page 24: Ra 2013 ok hd

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

Régionde Perpignan

Valléedu Rhône

Sommièreset Lunellois

Zone d'Alès

Régionde Montpellier

Régionde Nîmes

Narbonnais

PM2,52008-2012

Régionde Carcassonne

Régionde Sète

Surveillance ponctuelle

Surveillance permanente et ponctuelle

2009-2013

Surveillance permanente

28% 26%

1%

19% 1%

25%

Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)

19%

23% 1%

28%

1% 28%

Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)

Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers

Origine des émissions de PM10 en Languedoc-Roussillon

Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers

Origine des émissions de PM 2,5 en Languedoc-Roussillon

24 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Dispositif de surveillance des particules en suspension PM2,5 (2009-2013)

PM2,5particules en suspension

Page 25: Ra 2013 ok hd

Comparaison aux normes en 2013

ZONE MOYENSMIS EN ŒUVRE

TYPEDE SITE

OBJECTIF DE QUALITÉ PM2,5

VALEUR CIBLE PM2,5

VALEUR LIMITE PM2,5

Région de MontpellierMesures fixes et

modélisations

Urbain Non respecté Respectée Respectée

Proximité trafic routier Non respecté (1) Non respectée (1) Non respectée (1)

Région de NîmesMesures fixes et

modélisations

Urbain Non respecté Respectée Respectée

Proximité trafic routier Non respecté (1) Non respectée (1) Non respectée (1)

Région de PerpignanMesures fixes et

modélisations

Urbain Non respecté Respectée Respectée

Proximité trafic routier Non respecté (1) Non respectée (1) Respectée

(1) dépassement constaté par modélisation

Historique des mesures depuis 2009En milieu urbain, comme à proximité du trafic routier, l’objectif de qualité n’est pas respecté. En revanche, sur les sites de mesures, la valeur cible et la valeur limite ne sont pas dépassées (les modélisations ont toutefois montré que la valeur cible et la valeur limite pouvaient ne pas être respectées à proximité de certains axes routiers importants).

PM 2,5 - Région de Montpellier PM 2,5 - Région de NîmesMontpellier

Vallée du Rhône

Perpignan

Nîmes

Lunel

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

Montpellier

Vallée du Rhône

Perpignan

Nîmes

Lunel

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

PM 2,5 - Région de Perpignan

Montpellier

Vallée du Rhône

Perpignan

Nîmes

Lunel

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

PM

2,5

en

µg/

m3

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

0

10

20

30

40

2009 2010 2011 2012 2013

Milieu urbain ou périurbain

Proximité trafic routier

Objectif de qualité

Valeur cible

Proximité site industriel

Valeur limite

légendemoyenne annuelle PM2,5

25AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance permanente - résultats 2013

Page 26: Ra 2013 ok hd

ZONECADRE

DE LA SURVEILLANCE PONCTUELLE

MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRES PM 2,5

Région de Montpellier

RD 68 LIEN - Aménagement du tronçon entre l’A750 à

Bel Air et la RD 986 au Nord de Saint-Gély-du-Fesc

Etat initial de la qualité de l’air et simulations

Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions météorologiques

les plus défavorables pour 4 scénarii

Etat initial 2012

Sur le domaine d’étude, les valeurs réglementaires sont respectées

Simulations 2020 et 2040

- augmentation logique des concentrations le long des aménagements et sur le LIEN déjà existant

- diminution des concentrations sur la route de Bel Air (RD 102) et, moins significativement, dans les traversées de

Grabels et de Saint-Gély-du-Fesc du fait de la baisse attendue du trafic routier

Région de Nîmes

Projet d’extension Nord de la ligne 1 du TRAM’BUS

Etude de la qualité de l’air et simulations

- Station mobile pendant 4 mois le long du

Boulevard Victor-Hugo et 2 mois rue Faïta

- Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions météorologiques les plus

défavorables pour 5 scénarii

Etat initial 2012-2013

Valeur limite non respectée avenue de la Liberté à hauteur du rond-point au-dessus de l’autoroute A9

Simulations 2025

Conséquence de la baisse des émissions entre 2012 et 2025 (tous scénarii confondus),

une diminution des concentrations est attendue en 2025 dans le domaine d’étude

Région de Sète

Qualité de l’air autour du poste de douane de Sète

Bilan 2013 et évolution depuis 2007

- Station mobile pendant 1 mois en été 2013 puis 2 mois en hiver

2013-2014 entre le poste de douane et le poste de police de

l’air et des frontières

- Mesures complémentaires lors du temps de présence

des agents sur 2 sites pendant 2 semaines

Objectif de qualité probablement non respecté, comme sur l’ensemble des sites de mesures pérennes

de la région

Pas de risque de dépassement de la valeur cible ni de la valeur limite

Lors du temps de présence des agents des douanes, les concentrations de PM2,5 à l’extérieur peuvent être

influencées par une ou des sources d’émissions proches, très probablement les véhicules circulant lors des rotations

des ferries

Mèze

Mesures à proximité du trafic routier

Station mobile durant toute l’année 2013

Objectif de qualité non respecté

Valeur cible et valeur limite respectées

26 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

PM2,5particules en suspension

Page 27: Ra 2013 ok hd

Minervoiset Piémont Biterrois

Régionde Perpignan

Zone d'Alès

Régionde Montpellier

Biterrois

Région de Sète

Régionde Nîmes

Nord OuestBassin de Thau

Narbonnais

Benzène2009-2013

Régionde Carcassonne

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

Surveillance permanente

2009-2013

Surveillance ponctuelle

Surveillance permanente et ponctuelle

21%

4% 2% 2% 4%

67%

Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)

Origine des émissions de benzène en Languedoc-Roussillon

Agriculture, sylviculture et nature Industrie et traitement des déchets Production et distribution d'énergie Résidentiel et tertiaire Transports non routiers Transports routiers

27AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Dispositif de surveillance pour le benzène (2009-2013)

C6 H6benzène

Page 28: Ra 2013 ok hd

Comparaison aux normes en 2013

ZONE MOYENSMIS EN ŒUVRE

TYPEDE SITE

OBJECTIF DE QUALITÉ C6H6

VALEUR LIMITE C6H6

Région de MontpellierMesures fixes

et mesures indicativesUrbain Respecté Respectée

Trafic Non respecté Respectée

Région de Perpignan Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée

Trafic Respecté Respectée

Nord-Ouest Bassin de Thau

Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée

Trafic Respecté Respectée

Biterrois Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée

Trafic Respecté Respectée

Narbonnais Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée

Trafic Respecté Respectée

Zone d’Alès Mesures indicatives Urbain Respecté Respectée

Trafic Non respecté Respectée

Historique depuis 2009Les concentrations de benzène les plus élevées sont enregistrées à proximité du trafic routier avec, parfois, pour conséquence le non-respect de l’objectif de qualité. Néanmoins, la valeur limite n’est dépassée nulle part. Tant en milieu urbain qu’à proximité du trafic routier, entre 2009 et 2013, on observe globalement une diminution des concentrations de benzène sur la majeure partie des sites de mesures.

Benzène - Région de Montpellier Benzène - Région de PerpignanMontpellier Perpignan

Nord-Ouest du Bassin de Thau

Biterrois

Narbonnais

Alésien

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/

m3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011

2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011 2012 2012

2009 2010 2011 2012

2013 2013

2013

2013 2013

2013

Montpellier Perpignan

Nord-Ouest du Bassin de Thau

Biterrois

Narbonnais

Alésien

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/

m3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011

2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011 2012 2012

2009 2010 2011 2012

2013 2013

2013

2013 2013

2013

Benzène - Narbonnais Benzène - Nord-Ouest du Bassin de Thau

Montpellier Perpignan

Nord-Ouest du Bassin de Thau

Biterrois

Narbonnais

Alésien

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/

m3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011

2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011 2012 2012

2009 2010 2011 2012

2013 2013

2013

2013 2013

2013

Montpellier Perpignan

Nord-Ouest du Bassin de Thau

Biterrois

Narbonnais

Alésien

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/

m3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011

2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011 2012 2012

2009 2010 2011 2012

2013 2013

2013

2013 2013

2013

Benzène - Biterrois Benzène - Région d’Alès

Montpellier Perpignan

Nord-Ouest du Bassin de Thau

Biterrois

Narbonnais

Alésien

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/

m3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011

2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011 2012 2012

2009 2010 2011 2012

2013 2013

2013

2013 2013

2013

Montpellier Perpignan

Nord-Ouest du Bassin de Thau

Biterrois

Narbonnais

Alésien

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/

m3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

0

2

4

6

8

Ben

zène

en

g/m

3

2009 2010 2011 2012 2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011

2009 2010 2011 2012

2009 2010 2011 2012 2012

2009 2010 2011 2012

2013 2013

2013

2013 2013

2013

légendemoyenne annuelle C6H6 MAX

Objectif de qualitéMilieu urbainou périurbain

Proximitétrafic routier

Valeur limite

28 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

dioxyde d’azote

surveillance permanente - résultats 2013

benzèneC6 H6

Page 29: Ra 2013 ok hd

ZONECADRE

DE LA SURVEILLANCE PONCTUELLE

MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRESC6H6

Région de

Montpellier

RD 68 LIEN - Aménagement du tronçon entre l’A750 à

Bel Air et la RD 986 au Nord de Saint-Gély-du-Fesc

Etat initial de la qualité de l’air et simulations

Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions

météorologiques les plus défavorables pour 4 scénarii

Etat initial 2012 et futur

Quels que soient le scénario et l’année considérés, les valeurs réglementaires sont

respectées sur l’ensemble de la bande d’étude

Aéroport de Montpellier-Méditerranée

Etude de la qualité de l’air

Mesures : tubes passifs sur 9 sites (5 sites en air intérieur, 2 sites en air ambiant

et 2 sites référence) pendant 2 mois en hiver 2013

puis 2 mois en été 2013

Objectif de qualité et valeur limite respectés

Région de Nîmes

Projet d’extension Nord de la ligne 1 du TRAM’BUS

Etude de la qualité de l’air et simulations

- Mesures : tubes passifs sur 33 sites pendant 1 mois en hiver 2013 puis 1 mois en été 2013

- Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions

météorologiques les plus défavorables pour 5 scénarii

Etat initial 2012-2013

L’objectif de qualité pourrait ne pas être respecté rue Dhuoda, rond-point du Colisée et

avenue du Président S.Allende

Valeur limite annuelle respectée

Simulations 2025

Quel que soit le scénario considéré, les concentrations de benzène sont similaires et

respectent les valeurs réglementaires

Région de

Sète

Qualité de l’air autour du poste de douane de Sète

Bilan 2013 et évolution depuis 2007

Mesures : tubes passifs sur 13 sites pendant 1 mois en été 2013

puis 1 mois en hiver 2013-2014

Objectif de qualité et valeur limite respectés

Entre 2007 et 2013, diminution des concentrations de benzène en lien avec la diminution des émissions

des véhicules

Usine Scori

Etat des lieux de la qualité de l’air

Mesures : tubes passifs sur 11 sites pendant 1 mois en été 2013

puis 1 mois en hiver 2013-2014

A l’intérieur du site

Mise en évidence d’une ou plusieurs sources de benzène liées à l’activité de SCORI

A l’extérieur du site

Objectif de qualité et valeur limite respectés

Il n’a pas été mis en évidence d’impact significatif de l’activité de SCORI sur les concentrations de

benzène dans son environnement

Mèze

Mesures à proximité du trafic routier

Station mobile durant toute l’année 2013 Objectif de qualité et valeur limite respectés

29AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance ponctuelle - résultats 2013

Page 30: Ra 2013 ok hd

SO22008-2012

Zone d'Alès

Régionde Montpellier

Région de Sète

Régionde Nîmes

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

Valléedu Rhône

Surveillance ponctuelle

Surveillance permanente et ponctuelle

2009-2013

Surveillance permanente

22%

4%

17%

19%

16% 22%

Source : AIR LR, inventaire des émissions pour l'année 2007 (V3)

Agriculture, sylviculture et nature

Industrie et traitement des déchets

Production et distribution d'énergie

Résidentiel et tertiaire

Transports non routiers

Transports routiers

Origine des émissions de dioxyde de soufreen Languedoc-Roussillon

30 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

dioxyde de soufre

Dispositif de surveillance pour le dioxyde de soufre (2009-2013)

SO2

Page 31: Ra 2013 ok hd

Comparaison aux normes en 2013

ZONE MOYENS MIS EN ŒUVRE TYPE DE SITE OBJECTIF DE QUALITÉ

SO2

VALEURS LIMITES SO2

Vallée du Rhône

- Mesures fixes - Simulation de la dispersion

atmosphérique- Inventaire des émissions

Industriel Respecté Respectées

Historique depuis 2009Autour du centre de production thermique EDF d’Aramon, les concentrations de SO2 sont, chaque année, faibles et nettement inférieures aux seuils réglementaires.

SO2 - Vallée du Rhône (Environnement d’Aramon)Surveillance imposée par arrêté préfectoral

0

10

20

30

40

50

60

2009 2010 2011 2012 2013

Objectif de qualité

SO

2 en

µg/

m3

ZONECADRE DE LA

SURVEILLANCE PONCTUELLE

MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRES

Région de Sète

Qualité de l’air autour du poste de douane

de Sète

Bilan 2013 et évolution depuis 2007

- Station mobile pendant 1 mois en été 2013 puis

2 mois en hiver 2013-2014 entre le poste de douane et le poste de police de l’air et

des frontières

Constat 2013

Valeurs réglementaires très largement respectées

Evolution 2007-2013

Diminution des concentrations de SO2 en lien avec la baisse de l’activité du poste de douane (moins de rotation de ferries) et la diminution de la teneur en

soufre dans le carburant

Max site industriel

Objectif de qualitélégende

moyenne annuelle SO2

31AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance permanente - résultats 2013

surveillance ponctuelle - résultats 2013

Page 32: Ra 2013 ok hd

Surveillance permanente

2009-2013

Surveillance ponctuelle

Surveillance permanente et ponctuelle

Régionde Perpignan

Valléedu Rhône

Zone d'Alès

Région de Sète

Fenouillèdes

Métaux2009-2013

Sommièreset Lunellois

Régionde Montpellier

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

0 %

20 %

40 %

60 %

80 %

100 %

As Cd Ni Pb

Agriculture, sylviculture et nature

Industrie et traitement des déchets

Production et distribution d'énergie

Résidentiel et tertiaire

Transports non routiers

Transports routiers

Origine des émissions d’arsenic, cadmium, nickel et plomb

en Languedoc-Roussillon

32 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Dispositif de surveillance pour les métaux (2009-2013)

métaux

Page 33: Ra 2013 ok hd

33AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance permanente - résultats 2013

Sommières et Lunellois environnement de l’UVED (incinérateur) de Lunel-VielSurveillance des métaux : Arsenic (As), Cadmium (Cd), Chrome (Cr), Mercure (Hg), Nickel (Ni), Thallium (Tl), Zinc (Zn)

Air ambiant (site de Lunel-Viel)Sols

Autoroute

SAINT-JUST

LANSARGUES

VALERGUES

UVED

1 km

LUNEL-VIEL

lichens

retombées atmosphériques

Compartiment de mesures des métaux

air ambiant

sols

Station fixe de mesures implantée au stade de Lunel-Viel

CONCENTRATION DE MÉTAUX DANS LES SOLS en mg par kg de matière sèche

Environnement de l’UVED de Lunel-Viel

Concentration moyenne*Seuils de référence

2012 2013 1er seuil 2e seuil

Arsenic 13 9 19 37

Cadmium 0,28 0,22 10 20

Chrome 28 26 65 130

Mercure 0,07 0,07 3,5 7

Nickel 20 18 70 140

Thallium <LQ** <LQ** 5 10

Zinc 70 56 4500 9000

* moyenne déterminée à partir de 7 points de mesures** limite de quantification

CONCENTRATION MOYENNE ANNUELLE DANS L’AIR AMBIANT en ng/m3

Lunel-VielValeurs de référence

2011 2012 2013

Arsenic 0,5 0,4 0,7 6

Cadmium 0,2 0,2 0,6 5

Chrome 0,9 0,2 1,2 -

Mercure 0,2 0,2 0,6 -

Nickel 0,9 0,6 0,8 20

Thallium 0,2 0,2 0,6 -

Zinc 13,6 3,6 8,7 -

Retombées atmosphériques totales

Présentation du dispositif permanent de surveillance des métaux autour de l’Unité de Valorisation Énergétique des Déchets (UVED) de Lunel-Viel

Moyens mis en œuvreDébut

du suiviFréquence

de la mesure

Air ambiant 1 station fixe à Lunel-Viel 2000 Continu

Sols 7 sites autour de l'UVED 1998 1 prélèvement annuel

Retombées atmosphériques totales

Collecteurs de précipitations sur 6 sites au Sud de l’UVED

20051 campagne annuelle

de 2 mois

Lichens* 7 sites autour de l’UVED 2007 1 prélèvement annuel

*prélèvement réalisé par la société AAIR Lichens

CONCENTRATIONS DE MÉTAUX DANS LES RETOMBÉES ATMOSPHÉRIQUES TOTALES EN en µg/m2/jour

Sud de l’UVED de Lunel-Viel - Année 2013

Référence INERIS

Valeurs limites

suisses ou allemandes

Proximité UVED

2200 m au Sud

de l’UVED

Arsenic 1,9 1,2 Milieu urbain : 6,7Bruit de fond rural : 0,4 à 6 4

Cadmium <0,3 <0,25 Milieu urbain : 4Bruit de fond rural : < 0,06 à 0,3 2

Chrome 10,0 7,4 Milieu urbain : 3,6Bruit de fond rural : 1,6 à 5,4 -

Mercure <1,1 <0,27 Milieu urbain : 0,01Bruit de fond rural : 0,01 à 0,03 1

Nickel 5,0 6,2 Milieu urbain : 5Bruit de fond rural : 1,8 à 5 15

Thallium <0,3 <0,25 Pas de données 2

Zinc 22 319* Pas de données 400

* valeur sans lien avec le fonctionnement de l’UVED

Commentaires 2013 : autour de l’UVED de Lunel-Viel, les concentrations de métaux dans l’air ambiant, les sols, les retombées atmosphériques et les lichens sont inférieures aux valeurs de référence existantes. Comme pour les années précédentes, le fonctionnement de l’UVED n’a pas eu d’influence significative sur ces éléments.

Page 34: Ra 2013 ok hd

Périphérie de Perpignan environnement de l’UTVE (incinérateur) de CalceDepuis janvier 2005, un dispositif permanent de surveillance des métaux dans l’air ambiant est en place dans l’environnement de l’incinérateur de Calce.

Sommières et Lunellois environnement de la Verrerie de Vergèze

Montpellier mesures en milieu urbain

CONCENTRATION MOYENNE ANNUELLE en ng/m3

ENVIRONNEMENT DE LA VERRERIE DE VERGÈZEValeurs de référence (moyenne annuelle)

11 semaines en 2009

44 semaines en 2010

51 semaines en 2011

51 semaines en 2012

52 semaines en 2013

Arsenic 4,9 3,1 2,5 1,1 3,3 6

Nickel 1,9 1,9 1,5 1,4 1,2 20

Plomb 30 24 17 non mesurée 33* 250

* moyenne du 2 septembre au 31 décembre 2013 (11 semaines)

CONCENTRATION MOYENNE ANNUELLE DE MÉTAUX DANS L’AIR AMBIANT

en ng/m3

MILIEU URBAIN – RÉGION DE MONTPELLIER

Valeurs de référence (moyenne annuelle)

Arsenic 0,33 6

Cadmium < 0,2 5

Nickel 1,25 20

Plomb 4,12 250

CONCENTRATION MOYENNE ANNUELLE DE MÉTAUX DANS L’AIR AMBIANT en ng/m3

SUR LE SITE DE SAINT-ESTÈVE

2011 2012 2013 Valeurs de référence

Arsenic 0,3 0,2 0,2 6

Cadmium 0,2 0,2 0,2 5

Chrome 1,5 2,2 1,4 -

Manganèse 3,7 3,7 2,9 150

Nickel 2,2 2,0 1,1 20

Plomb 3,2 3,0 2,3 250

Thallium 0,8 0,8 0,8 -

Zinc 10,2 9,1 8,3 -

Chaque année, concentrations moyennes annuelles de métaux nettement inférieures aux valeurs de référence.

Des mesures d’arsenic et de nickel sont réalisées depuis 2009 dans l’environnement de la verrerie de Vergèze.

Arsenic, nickel et plomb : valeurs réglementaires respectées

Eléments « émis par la verrerie » :

Arsenic : les concentrations ont été multipliées par 3 entre 2012 et 2013, après une baisse régulière entre 2010 et 2012. Le fonctionnement de la verrerie en conditions dégradées (filtre à fumée de la verrerie arrêté) pendant plus de la moitié de l’année est la principale cause de cette nette augmentation.

Conformément aux recommandations nationales, une surveillance urbaine régionale a été mise en place à Montpellier en janvier 2013.

Commentaires 2013 : Les concentrations moyennes de métaux en milieu urbain montpelliérain sont largement inférieures aux valeurs de référence existantes.

Baho

Peyrestortes

Saint-Estève

Le Soler

PerpignanPerpignan

Valergues

Lansargues

Lunel-Viel

Saint-Just

Lunel

Station de mesure

Sols

Station de mesure(air ambiant)

Eléments surveillés : As, Cd, Cr, Mn, Ni, Pb, Tl, Zn

Retombées atmosphériques

Dispositif de surveillance dans l'environnement de l'incinérateur de Calce (Périphérie de Perpignan)

Dispositif de surveillance dans l'environnement de l'UIOM de Lunel-Viel

2ème partie/bilan Polluants/Métaux/Reseaux Calce et LunelViel v2008.ai

Routes

Compartiment de mesures des métaux

1 km

2 km

Lichens

Incinérateur

Incinérateur

Plomb : la concentration moyenne en 2013 est en augmentation par rapport à 2010 et 2011 (non mesurée en 2012). Elle est en revanche de l’ordre de grandeur de la moyenne sur 11 semaines enregistrée en 2009, qui correspond également à une période pendant laquelle le filtre était majoritairement à l’arrêt.

Elément « témoin » :

Nickel : les teneurs dans l’air ambiant ne sont pas impactées par le fonctionnement de la verrerie en mode dégradé ; elles ont légèrement diminué (-18%) entre 2012 et 2013. La moyenne 2013 est la plus faible depuis le début des mesures.

34 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance permanente - résultats 2013

métaux

Page 35: Ra 2013 ok hd

PYRÉNÉES-ORIENTALES

AUDE

HÉRAULT

GARD

LOZÈRE

HAP

HAP

HAP

HAP

HAP

Dioxines

COV

COV

COV

NH3

NH3

NH3

NH3

H2S

H2S

H2S

Minervoiset Piémont Biterrois

Sommièreset Lunellois

Zone d'Alès

Régionde Montpellier

Biterrois

Région de Sète

Narbonnais

HAP, COV,NH3, H2S2008-2012

Régionde Perpignan

Régionde Nîmes

Surveillance permanente

2009-2013

Surveillance ponctuelle

Surveillance permanente et ponctuelle

35AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Dispositif de surveillance pour les dioxines, NH3, COV, HAP, H2S (2009-2013)

autrespolluants

Page 36: Ra 2013 ok hd

Narbonnais

250 5000

M ètres

Mo u s s a n

250 5000

M ètres

Tube passif NH3

LégendeSite industriel d’Aréva Malvési

Implantation des échantillonneurs passifs ammoniacEnvironnement de la zone industrielle de Malvézy (Narbonne)

NH3 dans l’air ambiant

Concentration moyenne annuelle d’ammoniac en µg/m3

45

66

Année 2012

Année 2013

Référence

Livière HauteFlorès

Audecoop

SLMC

50

9

14

66

1

22

4467

1

12

Moussan

Environnement de la zone industrielle de Malvézy (Narbonne)

Résultats

Les concentrations annuelles de NH3 dans l’air ambiant :

- sont inférieures à la valeur recommandée par l’agence de protection de l’environnement des Etats-Unis (100 µg/m3 pendant une vie entière),

- diminuent rapidement lorsqu’on s’éloigne de l’usine d’AREVA Malvési,

- ont peu évolué entre 2012 et 2013.

NH3ammoniac

dioxines Sommières et LunelloisValeurs de référence (Source : INERIS)

SOLSen ng I-TEQ par kg de matière sèche

Zones rurales : 0,02 à 1Zones urbaines : 0,2 à 17

Zones industrielles : 20 à 60

RETOMBÉES ATMOSPHÉRIQUES TOTALESen pg I-TEQ/m²/jour

Zone rurale : 5 à 20Zone urbaine : 10 à 85

Proche d’une source : jusqu’à 1000

AIR AMBIANTen pg I-TEQ/m3

Rurale éloignée : <0,01Rurale : 0,02 à 0,05

Urbain ou industriel : 0,1 à 0,4

Remarque sur la présentation des résultats de mesure des dioxines et furanes :Les résultats des analyses d’un mélange de dioxines et furannes sont exprimés en utilisant le calcul d’une quantité toxique équivalente (I-TEQ pour International-Toxic Equivalent Quantity) dont le mode de calcul est défini par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Dispositif de surveillance(environnement de l’incinérateur de Lunel-Viel)

Résultats mesures dioxines

1 km

Autoroute

SAINT-JUST

LANSARGUES

LUNEL-VIELLUNEL-VIELUVED

2012 - prélèvement le 28 mars 2013 - prélèvement le 30 avril

0,74 ng I-TEQ par kg de matière sèche 0,40 ng I-TEQ par kg de matière sèche

SOLS

2012 - du 6 juillet au 17 septembre 2013 - du 12 au 20 septembre

0,018 pg I-TEQ par m3 0,024 pg I-TEQ par m3

AIR AMBIANT

2012 - du 25 juillet au 28 septembre 2013 - du 21 octobre au 18 décembre

0,038 à 2,4 pg I-TEQ par m²/jour 0,12 à 2,2 pg I-TEQ par m2/jour

RETOMBÉES ATMOSPHÉRIQUES TOTALES

2012 - prélèvement le 28 mars 2013 - prélèvement le 30 avril

0,60 ng I-TEQ par kg de matière sèche 0,53 ng I-TEQ par kg de matière sèche

SOLS

2012 - du 25 juillet au 28 septembre 2013 - du 21 octobre au 18 décembre

0,03 à 2 pg I-TEQ par m²/jour 5,8 à 7,3 pg I-TEQ par m2/jour

RETOMBÉES ATMOSPHÉRIQUES TOTALES

Commentaires : d’après les références fournies par l’INERIS, les niveaux de dioxines dans les sols, les retombées atmosphériques et l’air ambiant sont représentatifs d’une zone rurale.

36 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance permanente - résultats 2013

autrespolluants

Page 37: Ra 2013 ok hd

ZONECADRE DE LA

SURVEILLANCE PONCTUELLE

MOYENS MIS EN ŒUVRE COMMENTAIRES

Région de

Montpellier

Aéroport de Montpellier-

Méditerranée

Etude de la qualité de l’air

COV

Canisters : prélèvement d’air pendant 3 heures en été et en

hiver sur 3 sites (2 en air intérieur et 1 en air ambiant)

Globalement, on trouve davantage de COV à l’intérieur des bâtiments qu’à l’extérieur, ce qui confirme la prédominance

des « sources » de COV en air intérieur

RD 68 LIEN - Aménagement du

tronçon entre l'A750 à Bel Air et la RD 986 au Nord de

Saint-Gély-du-Fesc

Etat initial de la qualité de l’air et

simulations

HAP - benzo(a)pyrène

Modélisation moyenne annuelle et heure de pointe du soir pour les conditions météorologiques

les plus défavorables pour 4 scénarii

Valeur cible largement respectée sur l’ensemble de la bande d’étude quel que soit le scénario considéré

Région de

Nîmes

Mesures temporaires du benzo(a)pyrène

à Nîmes

(Gard)

HAP - benzo(a)pyrène

64 prélèvements de 24 heures répartis sur l’ensemble de l’année

2013

Valeur cible largement respectée

Vis-à-vis des exigences des directives européennes et compte tenu des concentrations enregistrées, la mesure

permanente du benzo(a)pyrène dans l’air ambiant à Nîmes n’apparaît pas obligatoire

Zone d’Alès

Etude de modélisation

Zone industrielle de Salindres

NH3

Modélisations des émissions industrielles et du trafic routier

Les concentrations relativement les plus élevées se trouvent à proximité immédiate des sources émettrices de la zone

industrielle. Dès que l’on s’éloigne de ces sources, la contribution des industries sur les concentrations devient

très faible.

L’influence du trafic routier est négligeable

Région de

Sète

Usine Scori

Etat des lieux de la qualité de l’air

H2S

Mesures : tubes passifs sur 11 sites pendant 1 mois

en été 2013

A l’intérieur du site

Concentrations de H2S faibles et à peine supérieures aux valeurs mesurées en milieu rural

A l’extérieur du site

Aucun impact significatif de l’activité de SCORI sur les concentrations d’H2S dans son environnement.

Mise en évidence, dans la zone industrielle de Sète, de sources significatives de H2S sans lien avec l’activité de SCORI

37AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance ponctuelle - résultats 2013

Page 38: Ra 2013 ok hd

Théorie sur la mesureLe protocole de mesure des poussières sédimentables mis en œuvre par AIR LR se réfère à la norme AFNOR NF X 43-007 de décembre 2009 qui remplace celle de 1973 :

- Les poussières sédimentables se déposent sur une plaquette métallique de surface connue, enduite d’un fixateur.

- Pour les réseaux gérés par AIR LR, la durée d’exposition des plaquettes a été fixée à un mois.

- Les plaquettes sont ensuite analysées en laboratoire.

- Les résultats sont exprimés en milligrammes de poussières déposées par mètre carré et par jour (mg/m²/jour).

Remarque : Cette méthode de mesure concerne uniquement les poussières sédimentables. Elle ne rend pas compte des éventuels problèmes liés aux particules en suspension, beaucoup plus fines (diamètre moyen inférieur à 10 microns), dont la mesure et les effets sont complètement différents.

En l’absence de seuil réglementaire, AIR Languedoc-Roussillon, s’appuyant sur son expérience, a établi des ordres de grandeur qualifiant l’empoussièrement de la région.

Moyenne annuelle Qualificatif du réseau

< 150 mg/m2/jour Empoussièrement faible

150 à 250 mg/m2/jour Empoussièrement moyen

> 250 mg/m2/jour Empoussièrement fort

Empoussièrement annuel

Carrière de Bieudon (30)

Empoussièrement Qualificatif ponctuel

> 350 mg/m2/jour Gêne potentielle importante

> 1 000 mg/m2/jour Exceptionnels, ils se rencontrent dans l’environnement immédiat de certaines carrières ou de certains centres industriels particulièrement empoussiérés, généralement au cours de mois secs et/ou ventés.

Empoussièrement mensuel

38 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

surveillance permanente - résultats 2013

poussières sédimentables

PSED

Page 39: Ra 2013 ok hd

Fin 2013, les retombées de poussières sédimentables étaient surveillées par AIR LR autour de 69 exploitations, principalement des carrières.

NîMES

MENDE

CARCASSONNE

MONTPELLIER

Beaucairecarrières

Beaucairecimenterie

LunelCombaillaux

Labécèdedu Lauragais

Port-la-Nouvelle carrières

Port-la-Nouvelle cimenterie

121

50

St-Thibery92

105

Vingrau 48

Baixas 159 116

Latour-de-Carol

76Thuir 90

Salses-le-Château128La Narède62

Espira-de-l'Agly112

Usine d’Espira-de-l'Agly83

Elne92

Salvezines 49

Moussoulens 49

Alzonne 41

*La Caunette

35

66

Treilles 45

St-Pons-de-Thomières67

Verfeuil64

l'Ardoise73

Connaux*

Pouzilhac96

La Calmette128

Vallérargues 78

113

144

Castries54

Poussan118

Port vraquier de Sète121

Lamalou137

Bordeneuve*

St Papoul *

VendresNarbonne

68

Vic la Gardiole126

121

Brissac41

Viols-le-Fort40

157Murles

64Aniane

Roquefort-les-Corbières 40

La Palme 39

moyenne annuelle en mg/m2/j en 2012

moyenne annuelle en mg/m2/j en 2013

31

LansacSt-Arnac

St-Paul-de-Fenouillet 34

Caudiès-de-Fenouillèdes 34

Montpins 107

67Montredon

des Corbières

128

BeaucaireBieudon

93

105 Gignac

111Thézan les Béziers

Béziers

Argelliers

Centrale à béton*

Espira-de-l'Agly ISDND113

Thoiras 71

* *

93

74

25

82

8353

54

35

56

36

82 44

61

Caminal* 204

79

30

3336

52

5534

51

39

7829

32

29

41

34Campagne-sur-Aude 45

Quillan 37

60

44

39 47

87

33

5429

82

63

79

47

123

9770

151

53

91

388869

46

59

69

65

6048

43

42

St-Hyppolytede-Montaigu72130

La Galiberte5454

Castelnau d'Aude

*

La Garostière87 97

La Feyche53 46

184

Liouc115 60

* pas assez de mesures pour avoir une moyenne représentative de l'année

54 46Saint-André-de-Sangonis

Pouzols 68 55

Usine de Salses-le-Château68 53

Empoussièrement de fond moyen régional

0

25

50

75

100

20002001

20022003

20042005

20062007

20082009

20102011

2012

6560

39 3843

61

95

67

54 52 54

42

43

52

mg/

m2 /

jour

moyenne 2000 - 2011 : 56 mg/m2/jour

2013

Commentaires :En 2013, l’empoussièrement de fond moyen sur la région est en diminution par rapport à 2012.La moyenne 2013 est ainsi la plus faible depuis 2000.

Empoussièrement de fond

Commentaires :En 2013, comme les années précédentes, l’empoussièrement est FAIBLE autour de la majorité des sites surveillés par AIR LR.

Part (en %) des réseaux présentant

un empoussièrement2010 2011 2012 2013

Faible 97% 97% 97% 96%

Moyen 3% 3% 3% 4%

Fort 0% 0% 0% 0%

Résultats des mesures autour des sites surveillés

39AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 40: Ra 2013 ok hd

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1999

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40 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 41: Ra 2013 ok hd

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) lé

gèr

emen

t p

lus

élev

ée e

n c

entr

e-vi

lle d

e B

ézie

rs q

ue

dan

s le

s co

mm

un

es p

érip

hér

iqu

es, p

rinci

pale

men

t en

rais

on

d’un

rés

eau

rout

ier

plus

den

se e

t d’u

n m

ilieu

moi

ns o

uver

t

la p

ollu

tio

n e

st-e

lle la

plu

s im

po

rtan

te ?

Le

lon

g d

es p

rin

cip

aux

axes

à l’

Est

/Sud

-Est

de

la v

ille

Qu

and

la p

ollu

tio

n e

st-e

lle la

plu

s im

po

rtan

te ?

C

once

ntra

tions

de

NO

2 p

lus

élev

ées

en h

iver

(ém

issi

ons

dues

au

chau

ffage

s’a

jout

ant à

cel

les

liées

au

traf

ic r

outie

r, co

nditi

ons

mét

éoro

logi

ques

moi

ns fa

vora

bles

à u

ne

bonn

e di

sper

sion

des

pol

luan

ts)

sau

f à

pro

xim

ité

des

lie

ux

tou

rist

iqu

es (

litto

ral)

où la

pol

lutio

n au

NO

2 es

t plu

s im

port

ante

l’ét

é en

rai

son

de l’

augm

enta

tion

du tr

afic

rou

tier

Qu

elle

s év

olu

tio

ns

dep

uis

199

9 ?

D

imin

utio

n d’

envi

ron

40%

des

ém

issi

ons

d’ox

yde

d’az

ote

(NO

x) e

n F

ranc

e m

étro

polit

aine

dep

uis

2009

(am

élio

ratio

n te

chni

que

des

véhi

cule

s) D

imin

uti

on

des

co

nce

ntr

atio

ns

de

NO

2 d

e 24

% e

n m

oyen

ne s

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com

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Béz

iers

Ret

rou

vez

l’en

sem

ble

des

rés

ult

ats

sur

ww

w.a

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r.o

rg

RA

ULT

C

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PA

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ME

SU

RE

S

DU

DIO

XY

DE

D’A

ZO

TE

EN

BIT

ER

RO

ISÉ

tat

des

lieu

x 20

13 e

t év

olu

tio

n d

epu

is 1

999

ZIE

RS

41AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 42: Ra 2013 ok hd

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ten

aria

t R

égio

n L

ang

ued

oc-

Ro

uss

illo

n e

t A

IR L

R

0 5

10

15

20

25

30

35

40

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ng d

e l'O

r

Ext

rém

ité d

e la

pi

ste

prin

cipa

le

Côt

é de

la

pist

e pr

inci

pale

Par

king

aér

ien

Rou

te d

'acc

ès à

la

zone

aér

opor

tuai

re

Prè

s d'

Arè

nes

Pré

-pas

sere

lle N

ord

Dép

ose

min

ute

Zon

e de

par

king

Par

king

sou

terr

ain

P2

Val

eur

limit

e an

nu

elle

(4

0 µ

g/m

3 )

Ince

rtit

ud

esu

r la

mes

ure

(20%

)

park

ing

pist

e ou

site

urb

ain

site

traf

ic

site

rur

al

0,8

1,3

0,6

1,0

0,7

1,5

0,7

0,9

0 1 2 3 4 5

Rou

te d

'acc

ès

Par

king

sou

terr

ain

P2

Réf

éren

ce

rura

leR

éfér

ence

ur

bain

e

2008

20

13

Obj

ectif

de

qual

ité a

nnue

l : 2

µg/

m3

Val

eur

limite

ann

uelle

: 5

µg/

m3

0 5

10

15

20

25

Pos

te d

e C

ontr

ôle

Exp

loita

tion

Sal

le d

'em

barq

uem

ent

Pas

sere

lle in

térie

ure

Zon

e d'

enre

gist

rem

ent

Hal

l d'a

rriv

ée

VGAI long-terme

Mo

yen

nes

an

nu

elle

s d

e N

O2 (µ

g/m

3 ) en

air

am

bia

nt

Aér

op

ort

Mo

ntp

ellie

r M

édit

erra

née

- A

nn

ée 2

013

Mo

yen

nes

an

nu

elle

s d

e N

O2 (µ

g/m

3 ) en

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am

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Mo

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nes

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nu

elle

s d

e N

O2 (µ

g/m

3 ) en

air

inté

rieu

rA

éro

po

rt M

on

tpel

lier

Méd

iter

ran

ée -

An

née

201

3

0 5

10

15

20

25

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35

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r

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rém

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pi

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cipa

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par

king

Par

king

sou

terr

ain

P2

Val

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limit

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nu

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(4

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3 )

Ince

rtit

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r la

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ellie

r M

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erra

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nes

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rieu

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éro

po

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on

tpel

lier

Méd

iter

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ée -

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née

201

3

Pe

rsp

ec

tive

s : U

ne n

ouve

lle é

tude

pou

rrai

t avo

ir lie

u en

201

8, e

n lie

n av

ec le

pro

chai

n P

rogr

amm

e de

Sur

veill

ance

de

la Q

ualit

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r (P

SQ

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d’A

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R e

t la

dém

arch

e en

viro

nnem

enta

le d

e l’a

érop

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e M

ontp

ellie

r.

Ret

rou

vez

l’en

sem

ble

des

rés

ult

ats

sur

ww

w.a

ir-l

r.o

rg

étu

des

résu

télé

char

geab

le

sur

ww

w.a

ir-l

r.o

rg

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de

2013

Un

Par

ten

aria

t S

oci

été

Aér

op

ort

de

Mo

ntp

ellie

r-M

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et

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Pri

nci

pau

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bje

ctif

s

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de d

e la

qua

lité

de l’

air

exté

rieu

r et

de

l’air

inté

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er le

s te

neur

s da

ns l’

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ambi

ant d

e p

ollu

ants

ém

is p

ar le

s aé

ron

efs

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s au

tres

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ivit

és li

ées

à la

p

rése

nce

de

l’aér

op

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Com

pare

r le

s ré

sulta

ts a

vec

les

vale

urs

régl

emen

taire

s et

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tene

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habi

tuel

lem

ent r

enco

ntré

es, n

otam

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t en

vue

d’un

e év

alua

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ulté

rieur

e de

s ef

fets

sur

la s

anté

C

ompa

rer

les

résu

ltats

ave

c ce

ux o

bten

us e

n 20

03 e

t 200

8 U

tilis

er c

es r

ésul

tats

pou

r am

élio

rer

la c

onna

issa

nce

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qua

lité

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dans

la r

égio

n de

Mon

tpel

lier

et

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tifie

r l’e

xpos

ition

de

la p

opul

atio

n à

la p

ollu

tion

atm

osph

ériq

ue*

*

Dan

s le

cad

re d

u P

rogr

amm

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Sur

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de

la Q

ualit

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SQ

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Mo

yen

s m

is e

n œ

uvr

e P

ollu

ants

mes

uré

s :

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d’az

ote

(NO

2), b

enzè

ne,

tolu

ène,

éth

ylbe

nzèn

e, x

ylèn

es (

BT

EX

), c

ompo

sés

orga

niqu

es v

olat

ils (

CO

V),

dio

xyde

de

carb

one

(CO

2) e

n ta

nt q

u’in

dica

teur

du

conf

inem

ent e

n ai

r in

térie

ur 1

5 si

tes

de m

esur

e (1

0 en

ext

érie

ur e

t 5 e

n in

térie

ur)

Mes

ures

effe

ctué

es p

enda

nt 2

pér

iod

es c

on

tras

tées

té e

t hiv

er 2

013)

Rés

ult

ats

: V

aleu

rs r

égle

men

tair

es r

esp

ecté

es a

ussi

bie

n à

l’ext

érie

ur d

e l’a

érop

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u’à

l’int

érie

ur, à

l’ex

cept

ion

d’un

site

(ha

ll d’

arriv

ée)

en c

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i con

cern

e la

co

ncen

trat

ion

en N

O2

(non

res

pect

de

la v

aleu

r gu

ide

à lo

ng te

rme

en a

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Imp

act

min

eur

sur

la q

ual

ité

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l’air

loca

l L

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ux

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NO

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Ben

zèn

e o

nt

glo

bal

emen

t lé

gèr

emen

t d

imin

à l’e

xtér

ieur

de

l’aér

ogar

e en

tre

2008

et 2

013

Au

plus

prè

s de

s av

ions

, les

co

nce

ntr

atio

ns

en p

ollu

ants

(N

O2

et C

OV

) n

e so

nt

pas

plu

s él

evée

s q

u’e

n m

ilieu

urb

ain

, du

fait

nota

mm

ent d

u m

ilieu

très

« o

uver

t », f

avor

able

à la

dis

pers

ion

des

pollu

ants

Les

con

cent

ratio

ns le

s p

lus

élev

ées

(qui

res

tent

cep

enda

nt

faib

les

et la

rgem

ent e

n de

ssou

s de

s va

leur

s ré

glem

enta

ires)

ont

ét

é m

esur

ées

à l’i

nté

rieu

r d

e l’u

n d

es p

arki

ng

s so

ute

rrai

ns

(P2)

, mili

eu c

onfin

é fa

voris

ant l

’acc

umul

atio

n de

s po

lluan

tsC

on

cen

trat

ion

s en

CO

V p

lus

élev

ées

en a

ir in

téri

eur

Indi

ce d

e co

nfin

emen

t de

0* (

calc

ulé

à pa

rtir

des

conc

entr

atio

ns

en C

O2)

, ce

qui m

ontr

e un

e tr

ès b

on

ne

aéra

tio

n d

es b

âtim

ents

C

on

cen

trat

ion

s en

CO

V p

lus

élev

ées

à l’i

nté

rieu

r d

es

bât

imen

ts q

u’à

l’ex

téri

eur,

du

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des

trav

aux

de r

énov

atio

n ay

ant e

u lie

u pe

ndan

t les

cam

pagn

es d

e m

esur

e C

once

ntra

tions

de

cert

ains

CO

V p

lus

élev

ées

qu’e

n 20

03 e

t 200

8 m

ais

infé

rieu

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aux

vale

urs

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lem

enta

ires

* S

ur u

ne é

chel

le a

llant

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as d

e co

nfi n

emen

t) à

5 (

confi

nem

ent i

mpo

rtan

t)

Éch

antil

lonn

eurs

pas

sifs

dan

s

le P

arki

ng s

oute

rrai

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chan

tillo

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ssif

près

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asse

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érie

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Sud

MO

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LL

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RA

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PO

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DE

M

ON

TP

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R-M

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ITE

RR

AN

ÉE

Éta

t d

es li

eux

2013

et

évo

luti

on

dep

uis

200

3 et

200

8

42 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 43: Ra 2013 ok hd

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r M

édit

erra

née

- A

nn

ée 2

013

Mo

yen

nes

an

nu

elle

s d

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g/m

3 ) en

air

am

bia

nt

Aér

op

ort

Mo

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ellie

r M

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Mo

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nes

an

nu

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s d

e N

O2 (µ

g/m

3 ) en

air

inté

rieu

rA

éro

po

rt M

on

tpel

lier

Méd

iter

ran

ée -

An

née

201

3

Pe

rsp

ec

tive

s : U

ne n

ouve

lle é

tude

pou

rrai

t avo

ir lie

u en

201

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n lie

n av

ec le

pro

chai

n P

rogr

amm

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Sur

veill

ance

de

la Q

ualit

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l’ai

r (P

SQ

A)

d’A

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t la

dém

arch

e en

viro

nnem

enta

le d

e l’a

érop

ort d

e M

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ellie

r.

Ret

rou

vez

l’en

sem

ble

des

rés

ult

ats

sur

ww

w.a

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r.o

rg

étu

des

résu

télé

char

geab

le

sur

ww

w.a

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r.o

rg

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de

2013

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ten

aria

t S

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ort

de

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née

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nci

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x o

bje

ctif

s

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r et

de

l’air

inté

rieu

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s te

neur

s da

ns l’

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ants

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is p

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s aé

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et le

s au

tres

act

ivit

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nce

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l’aér

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r le

s ré

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ts a

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vale

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régl

emen

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s et

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men

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anté

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rer

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résu

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ave

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bten

us e

n 20

03 e

t 200

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es r

ésul

tats

pou

r am

élio

rer

la c

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nce

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qua

lité

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égio

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tpel

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et

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tifie

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de

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n à

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tion

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s le

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e, x

ylèn

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CO

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n ta

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dica

teur

du

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inem

ent e

n ai

r in

térie

ur 1

5 si

tes

de m

esur

e (1

0 en

ext

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ur e

t 5 e

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térie

ur)

Mes

ures

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ctué

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enda

nt 2

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tées

té e

t hiv

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013)

Rés

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ats

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tair

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ecté

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ussi

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n à

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ur d

e l’a

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l’int

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l’ex

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ion

d’un

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cern

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co

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trat

ion

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ide

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térie

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loca

l L

es n

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bal

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t lé

gèr

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t d

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ieur

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et 2

013

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plus

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s av

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nce

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nt

pas

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s q

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n m

ilieu

urb

ain

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mm

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u m

ilieu

très

« o

uver

t », f

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dis

pers

ion

des

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cent

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s p

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(qui

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tent

cep

enda

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faib

les

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n de

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s ré

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ont

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r d

e l’u

n d

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arki

ng

s so

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ns

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lluan

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cen

trat

ion

s en

CO

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lus

élev

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en a

ir in

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eur

Indi

ce d

e co

nfin

emen

t de

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ulé

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conc

entr

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ns

en C

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e un

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on

ne

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tio

n d

es b

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ents

C

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cen

trat

ion

s en

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V p

lus

élev

ées

à l’i

nté

rieu

r d

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bât

imen

ts q

u’à

l’ex

téri

eur,

du

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des

trav

aux

de r

énov

atio

n ay

ant e

u lie

u pe

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t les

cam

pagn

es d

e m

esur

e C

once

ntra

tions

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cert

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CO

V p

lus

élev

ées

qu’e

n 20

03 e

t 200

8 m

ais

infé

rieu

res

aux

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rég

lem

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ires

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ur u

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t) à

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nem

ent i

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lonn

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pas

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dan

s

le P

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n P

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près

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M

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2013

et

évo

luti

on

dep

uis

200

3 et

200

8

43AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 44: Ra 2013 ok hd

Co

nce

ntr

atio

ns

mo

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nes

an

nu

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s d

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2025

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se d

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LR

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it êt

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près

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ise

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serv

ice

inté

gral

e de

la li

gne

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e N

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afi n

de

vérifi

er

que

les

conc

entr

atio

ns e

n po

lluan

ts d

’orig

ine

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mob

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espe

cten

t les

val

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rég

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ires

en v

igue

ur.

Sta

tion

mob

ile le

long

du

boul

evar

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icto

r H

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0 00

0 vé

hicu

les/

jour

Éch

antil

lonn

eur

pass

if

rue

Vin

cent

Faï

ta

~16

000

véh

icul

es/jo

ur

Ret

rou

vez

l’en

sem

ble

des

rés

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ww

w.a

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r.o

rg

NO2 en µg/m3

NO2 en µg/m3

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- 100

- 75

- 50

- 25

025

5075

100

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ce e

n m

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s au

pro

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xten

sio

n d

e lig

ne

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Val

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limit

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40

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del'E

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O2

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201

3E

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ple

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'axe

s p

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lair

es a

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raje

t d

u T

ram

'bu

s

Pro

fils

jou

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mo

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O2

- N

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201

3B

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leva

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icto

r H

ug

o

Aut

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bd G

ambe

tta

Aut

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du

bd V

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0 20

40

60

80 1h

3h

5h

7h

9h

11

h 13

h 15

h 17

h 19

h 21

h 23

h N

îmes

traf

ic

Bou

leva

rd V

icto

r H

ugo

Nîm

es S

ud

Cam

pagn

e hi

vern

ale

Cam

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l’im

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lign

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on

s et

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201

2, 2

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rég

lem

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no

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ecté

es a

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abo

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plu

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nté

s et

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les

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s pa

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pe «

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plu

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202

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tio

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t et

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s d

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mot

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44 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 45: Ra 2013 ok hd

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r H

ug

o

Aut

our

du

bd G

ambe

tta

Aut

our

du

bd V

icto

r H

ugo

0 20

40

60

80 1h

3h

5h

7h

9h

11

h 13

h 15

h 17

h 19

h 21

h 23

h N

îmes

traf

ic

Bou

leva

rd V

icto

r H

ugo

Nîm

es S

ud

Cam

pagn

e hi

vern

ale

Cam

pagn

e es

tival

e

étu

des

résu

télé

char

geab

le

sur

ww

w.a

ir-l

r.o

rg

Etu

de

2013

Un

Par

ten

aria

t N

îmes

Mét

rop

ole

et

AIR

LR

Pri

nci

pau

x o

bje

ctif

s É

tabl

ir un

éta

t in

itia

l de

la p

ollu

tion

de l’

air

auto

ur d

e l’e

xten

sion

N

ord

de la

lign

e T

1 po

ur le

s pr

inci

paux

pol

luan

ts d

’orig

ine

auto

mob

ile :

diox

yde

d’az

ote

(NO

2) e

t ben

zène

Q

uant

ifier

l’im

pac

t d

e ce

tte

exte

nsi

on

su

r la

qu

alit

é d

e l’a

ir

en fo

nctio

n de

s m

odifi

catio

ns d

e ci

rcul

atio

n au

tom

obile

atte

ndue

s C

ompa

rer

les

résu

ltats

aux

val

eurs

rég

lem

enta

ires

Car

acté

riser

les

effe

ts d

e ce

tte e

xten

sion

sur

la

qual

ité d

e l’a

ir (p

ics

de p

ollu

tion

éven

tuel

set

pol

lutio

n ch

roni

que)

Mo

yen

s m

is e

n œ

uvr

e 7

2 si

tes

de m

esur

e pa

r éc

hant

illon

neur

pas

sif

Sta

tio

n m

ob

ile le

long

de

deux

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s em

prun

tés

par

la fu

ture

lign

e S

imu

lati

on

s et

mo

dél

isat

ion

s (2

011,

201

2, 2

025)

Rés

ult

ats

: L

a q

ual

ité

de

l’air

act

uel

le

Dim

inu

tio

n d

es c

on

cen

trat

ion

s de

NO

2 et

de

benz

ène

depu

is 2

009

Val

eurs

rég

lem

enta

ires

no

n r

esp

ecté

es a

ux

abo

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des

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s ro

uti

ers

les

plu

s em

pru

nté

s et

/ou

dans

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rues

étr

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s bo

rdée

s pa

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s bâ

timen

ts r

elat

ivem

ent

haut

s (d

e ty

pe «

can

yon

») C

once

ntra

tions

plu

s él

evée

s l’h

iver

et a

ux

heu

res

de

po

inte

Qu

el im

pac

t en

202

5 ?

Dim

inu

tio

n d

e la

co

nso

mm

atio

n d

e ca

rbu

ran

t et

des

ém

issi

on

s d

e to

us

les

po

lluan

ts p

ar r

appo

rt à

201

2 (a

mél

iora

tion

des

mot

eurs

, car

bura

nts

moi

ns p

ollu

ants

…)

Pas

d’im

pac

t du

pro

jet d

’ext

ensi

on s

ur la

pol

lutio

n de

l’ai

r

GA

RD

PR

OJE

T D

’EX

TE

NS

ION

NO

RD

DE

LA

LIG

NE

1

DU

TR

AM

’BU

S D

E N

ÎME

tat

init

ial d

e la

qu

alit

é d

e l’a

ir e

t si

mu

lati

on

s

NÎM

ES

45AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 46: Ra 2013 ok hd

Rem

orqu

e la

bora

toire

à pr

oxim

ité

du

post

e de

dou

ane

Sac

à d

os c

onte

nant

le

com

pteu

r de

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ticul

es P

M10

po

ur m

esur

er

l’exp

ositi

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divi

duel

le

Ret

rou

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l’en

sem

ble

des

rés

ult

ats

sur

ww

w.a

ir-l

r.o

rg

étu

des

résu

télé

char

geab

le

sur

ww

w.a

ir-l

r.o

rg

Etu

de

2013

Un

Par

ten

aria

t C

om

ité

Hyg

ièn

e S

écu

rité

et

Co

nd

itio

ns

de

Trav

ail (

CH

SC

T)

des

do

uan

es d

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lt e

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IR L

R

Pri

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pau

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ctif

s E

stim

er la

po

lluti

on

mo

yen

ne

ann

uel

le a

utou

r du

po

ste

de d

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e et

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pare

r le

s ré

sulta

ts a

ux v

aleu

rs

régl

emen

taire

s É

valu

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s va

riat

ion

s d

e p

ollu

tio

n a

u co

urs

de la

jo

urné

e po

ur le

dio

xyde

d’a

zote

(N

O2)

, les

par

ticul

es e

n su

spen

sion

(PM

10 e

t PM

2,5)

et l

e di

oxyd

e de

sou

fre (S

O2)

Étu

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l’év

olut

ion

des

nive

aux

de p

ollu

ants

dep

uis

la

préc

éden

te é

tude

réa

lisée

en

2007

Com

pare

r le

s ré

sulta

ts a

ux te

neur

s en

pol

luan

ts

renc

ontr

ées

sim

ulta

ném

ent d

ans

des

envi

ronn

emen

ts

urba

ins

de S

ète

et d

e la

rég

ion

Dis

pose

r de

pre

miè

res

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rmat

ions

sur

l’ex

po

siti

on

in

div

idu

elle

des

dou

anie

rs a

ux p

artic

ules

en

susp

ensi

on

Mo

yen

s m

is e

n œ

uvr

e P

ollu

ants

mes

uré

s :

diox

yde

d’az

ote

(NO

2), b

enzè

ne,

part

icul

es e

n su

spen

sion

(P

M 1

0, P

M 2

,5),

mét

aux

toxi

ques

(a

rsen

ic, c

adm

ium

, nic

kel,

plom

b), p

ouss

ière

s sé

dim

enta

bles

, di

oxyd

e de

sou

fre (S

O2)

23

site

s de

mes

ures

Mes

ures

réa

lisée

s en

tre

juill

et 2

013

et a

vril

2014

, ave

c un

e re

mor

que

labo

rato

ire, d

es é

chan

tillo

nneu

rs p

assi

fs, d

es c

apte

urs

de p

ouss

ière

s sé

dim

enta

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et d

es m

esur

es c

ompl

émen

taire

s po

ur l’

expo

sitio

n in

divi

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le

Rés

ult

ats

: A

ucu

n im

pac

t d

e l’a

ctiv

ité*

du

po

ste

de

do

uan

e su

r le

s co

nce

ntr

atio

ns

mo

yen

nes

de

po

lluan

ts

Tem

ps d

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ésen

ce d

es s

ourc

es d

’ém

issi

ons

(véh

icul

es e

t fe

rrie

s) fa

ible

s à

prox

imité

du

post

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dou

ane

(que

lque

s he

ures

par

sem

aine

) N

ivea

ux

mo

yen

s m

esu

rés

infé

rieu

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ceu

x en

reg

istr

és

dan

s le

s ce

ntr

es u

rbai

ns

des

gra

nd

es a

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lom

érat

ion

s.

Con

cent

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ns a

nnue

lles

de N

O2

et d

e be

nzèn

e ne

ttem

ent

infé

rieur

es à

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les

enre

gist

rées

au

cent

re-v

ille

de S

ète

Seu

ils r

égle

men

tair

es r

esp

ecté

s à

l’exc

eptio

n de

l’o

bjec

tif d

e qu

alité

ann

uel d

es P

M2,

5, c

omm

e su

r la

qua

si-

tota

lité

des

site

s de

mes

ure

en F

ranc

e *

déba

rque

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ferr

ies,

pas

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des

véh

icul

es a

u po

ste

de d

ouan

e

Po

lluti

on

de

po

inte

gén

érée

par

les

acti

vité

s d

u p

ost

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xpos

ition

des

age

nts

de d

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fluen

cée

par l

es é

mis

sion

s de

s vé

hicu

les

lors

des

em

bar

qu

emen

ts o

u d

ébar

qu

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ts

de

ferr

ies

qu

i s’a

jou

ten

t à

la p

ollu

tio

n d

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nd

Con

cent

ratio

ns d

e N

O2

et d

e pa

rtic

ules

en

susp

ensi

on le

s pl

us é

levé

es r

elev

ées

les

jou

rs d

e p

rése

nce

d’u

n f

erry

A

ugm

enta

tion

des

conc

entr

atio

ns d

e co

urt

e d

uré

e

27

24

36

26

31

25

71

42

18

16

19

17

18

14

40

28

0 20

40

60

80

100

1: Aire

contrô

le des

douanes côté port

2: Aire

contrô

le des

douanes côté vi

lle

3: Statio

nnement douaniers

4: Amont A

val z

one

douanière - Départ 5: A

mont Ava

l zone

douanière -

debarquement 6: P

asserelle

piétons

7: Bd Verdun

8: Place

Leon Blum

2007

20

13

Au

tou

r d

u p

ost

e d

e d

ou

ane

Réf

éren

ces

séto

ises

Val

eur

limit

e an

nu

elle

: 4

0 g

/m3

µg/m3

0 10

20

30

40 12

:57

13:1

2 13

:26

13:4

0 13

:55

14:0

9 14

:24

14:3

8 14

:52

15:0

7 15

:21

Concentration (en µg/m3)

µg/m3

Tem

ps

Déb

ut d

udé

barq

uem

ent

Fin

du

déba

rque

men

t

0 40

80

120

160 27

-jui

3-ao

ût

10-a

oût

17-a

oût

24-a

oût

31-a

oût

Fer

ries

Dou

anes

de

Sèt

e

Co

nce

ntr

atio

ns

en P

M10

le 1

9 m

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du

ran

t u

n d

ébar

qu

emen

t d

e fe

rry

Max

ima

jou

rnal

iers

NO

2 D

ou

anes

de

Sèt

e -

Eté

201

3

Co

mp

arai

son

s d

es c

on

cen

trat

ion

s m

oye

nn

es a

nn

uel

les

de

NO

2

Po

ste

de

do

uan

e d

e S

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- 20

07/2

013

27

24

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18

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1: Aire

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1: Aire

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douanes côté port

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Concentration (en µg/m3)

µg/m3

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07/2

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ition

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ité

du p

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sio

ns

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ts m

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luti

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200

7

TE

46 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 47: Ra 2013 ok hd

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régl

emen

taire

s É

valu

er le

s va

riat

ion

s d

e p

ollu

tio

n a

u co

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47AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

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Salle de classe del'école maternelle E2

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Appartement audessus du commerce

Air ambiantdevant l'école

Valeur guide long terme : 250 µg/m3

Concentrations en perchloroéthylène en µg/m3

Qualité de l'air intérieur - Quartier des Arceaux - Avril 2013

Du 10/04 au 17/04/13

Du 17/04 au 24/04/13

Groupe scolaire des Arceaux (Hérault): Étude de la qualité de l’air intérieur

Moyens mis en œuvre : Les mesures ont été réalisées :

• dans 3 salles de classes du groupe scolaire des Arceaux,

• dans l’ancien pressing (transformé en commerce),

• dans un appartement au-dessus de l’ancien pressing,

• en extérieur, devant l’école.

Le 2ème Plan National Santé Environnement 2009-2013 a prévu la réduction des expositions aux substances préoccupantes dans les bâtiments accueillant les enfants.

Le groupe scolaire situé Boulevard des Arceaux à Montpellier fait partie de la liste (publiée en 2010) d’établissements visés par une démarche de diagnostic de sols en raison de la présence à moins de 100 mètres d’un pressing aujourd’hui fermé.

Ce pressing a émis du perchloroéthylène dans les sols en quantité inconnue, mais vraisemblablement importante. Ce composé peut migrer dans le sol via les eaux souterraines et éventuellement se retrouver dans l’air intérieur des bâtiments du groupe scolaire des Arceaux.

• Réaliser des mesures ponctuelles de composés organiques volatils (COV), dont le perchloroéthylène et le benzène ainsi que de renouvellement d’air à l’intérieur du groupe scolaire des Arceaux et dans son environnement proche.

• Comparer les résultats obtenus aux valeurs réglementaires en vigueur et aux teneurs habituellement rencontrées.

Objectifs mesures

• Sur tous les sites étudiés, les concentrations de composés organiques volatils mesurées sont inférieures aux différentes valeurs de référence. En particulier, les teneurs en perchloroéthylène - composé présent dans le sol et à l’origine de cette étude - respectent les valeurs de référence existantes.

Résultats

• Groupe scolaire des Arceaux : les concentrations mesurées sont très faibles et inférieures ou équivalentes à celles rencontrées habituellement en air intérieur. La pollution au perchloroéthylène sous l’école n’a pas d’influence sur les concentrations de cet élément dans les salles de classe.

• Ancien pressing : Les concentrations sont plus élevées que celles rencontrées habituellement en air intérieur. La pollution au perchloroéthylène liée à l’ancien pressing et présente dans le sol semble influencer les concentrations de cet élément dans l’air du commerce occupant les locaux de l’ancien pressing.

Zoom sur le perchloroéthylène

Polluants mesurésDispositif de

mesureDurée du

prélèvement

5 COV Tubes passifs 14 jours

41 COV Canisters 3 heures

48 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

NO2dioxyde d’azote

Études régionales

l’air intérieur

Page 49: Ra 2013 ok hd

Crèche de Parignargues (Gard) : Poursuite des mesures d’aldéhydesA l’automne 2007, la CIRE (Cellule Interrégionale d’Epidémiologie) du Languedoc-Roussillon et la DDASS du Gard avaient sollicité AIR LR pour intervenir d’urgence à l’intérieur de la crèche des Bambins à Parignargues où les personnes fréquentant l’établissement (personnels et enfants) se plaignaient de symptômes irritatifs (gênes oculaires et respiratoires).

Les résultats de l’étude menée par AIR LR en 2007 avaient mis en évidence des teneurs très élevées(1) en formaldéhyde dans toute la crèche. De fin 2007 à début 2009, des travaux ont été réalisés dans la crèche afin de résorber les concentrations de formaldéhyde.

Des campagnes de mesures ont été régulièrement effectuées par AIR LR depuis la fin des travaux (2009) et la réouverture de la crèche (2010). De nouvelles mesures ont été réalisées en 2013, en présence d’enfants et du personnel.

• Évaluer la qualité de l’air à l’intérieur de la crèche (mesures des concentrations de formaldéhyde) suite aux mesures déjà réalisées par AIR LR entre 2007 et 2012,

• Comparer les résultats aux résultats des études précédentes, aux concentrations généralement rencontrées en air intérieur et aux valeurs réglementaires.

Objectifs mesures 2013

• Les concentrations de formaldéhyde sont typiques des environnements intérieurs français.

• Comme depuis 2010, la valeur guide 2 heures de l’ANSES (50 µg/m3) est respectée dans toute la crèche.

• La valeur guide, applicable à partir de 2015 (30 µg/m3 pour une exposition de longue durée), est respectée dans l’ensemble de la crèche, à l’exception du vestiaire des enfants.

• Les concentrations de formaldéhyde relevées en juin 2013 sont globalement du même ordre de grandeur que celles relevées depuis la réouverture de la crèche en 2010.

Résultats 2013 formaldéhyde

Des mesures de formaldéhyde pourraient être de nouveau réalisées en 2014 afin de suivre l’évolution des concentrations de formaldéhyde dans la crèche. En parallèle, le CO2, traceur du confinement, pourrait être mesuré dans plusieurs pièces (il l’a été seulement dans une pièce lors des campagnes 2012 et 2013).

Perspectives

29-oct-10 28-oct-11 19-juin-12 12-juin-13

Vestiaireenfants

Vestiairepersonnel

Dortoir bébés Salle de viebébés

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Cuisine Salle de reposdes grands

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FORMALDEHYDE à Parignargues (mesures sur 2 h) Evolution des mesures depuis la réouverture de la crèche en 2010

(1) Plus de 15 fois supérieures à la valeur guide de l’ANSES de 50 µg/m3 pour une exposition de 2 heures. Voir le résumé sur www.air-lr.org.

49AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 50: Ra 2013 ok hd

Une odeur est toujours un signal et la loi reconnaît comme une pollution

à part entière « toute substance susceptible de provoquer des

nuisances olfactives excessives » .

Un panel de riverains, choisi dans une zone géographique donnée, fournit des observations sur la gêne olfactive ressentie à partir des fiches standard mises en place par AIR LR. Ces riverains volontaires disposent de grilles quotidiennes (et d’un site Extranet) pour mentionner – aux plages horaires de leur convenance – les odeurs senties – ou pas – avec un certain nombre de caractéristiques (intensité, ressemblance).Les fiches remplies sont ensuite exploitées par AIR LR, notamment au regard des conditions de vent, des informations sur le fonctionnement des sources potentielles d’odeurs, ainsi que des mesures physico-chimiques (s’il en existe).

En 2013, AIR LR gérait 2 Observatoires Odeurs :

• Salindres et environs (Gard), autour d’une zone industrielle comportant une plate-forme chimique et un certain nombre de PMI ; mis en place en 2007 ; 10 participants en 2013

• Montpellier Garosud (Hérault), autour de l’unité de méthanisation des déchets de Montpellier (Amétyst) ; mis en place en 2008 ; 6 participants en 2013.

Amélioration de la situation olfactive depuis 2007 :

• Après une augmentation en 2012, le nombre d’heures odorantes rapporté par Nez est resté stable pour les odeurs ressenties comme « gênantes » ou « très gênantes », et a légèrement augmenté pour les odeurs « peu » ou « pas gênantes ». Les trois dernières années restent globalement meilleures qu’entre 2007 et 2010.

• D’autre part, en 2013, la proportion des seules odeurs « très gênantes » est globalement stable par rapport à 2012 et 2011.

Si les odeurs de produits chimiques étaient fortement représentées dans les premières années de l’observatoire, elles ont diminué depuis 2010 au profit d’odeurs non reconnues.

En 2013, le registre des « déchets ménagers fermentés » est apparu, et la part des odeurs de compost et des autres ressemblances a augmenté par rapport à 2012, alors que les odeurs non identifiées régressaient.

Salindres

Résultats

Après une très forte augmentation entre 2008 et 2009, la plupart des indicateurs retenus sont en baisse régulière depuis 2010. En moyenne, en 2013, une heure sur 71 est perçue comme odorante par le réseau de « Nez » bénévoles.

Comme depuis 2009, les quartiers les plus affectés par les odeurs d’AMETYST se trouvent dans un périmètre de 300 mètres autour de l’usine : il s’agit des lotissements de part et d’autre de l’avenue Etienne Mehul, du Mas Tandon et du Clos de la Massane.

Unité de méthanisation AMETYST

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60

70

80

90

100

%

Observatoire odeurs autour d'Amétyst Taux de perception des odeurs par semaine - 2008 à 2013

2008 2009 2010 2011 20132012

Vous êtes témoins d’une odeur gênante en Languedoc-Roussillon !

Signalez-la sur le site

www.air-lr.org

Observatoires olfactifs Les observatoires spécifiques à une zone géographique

Principe

50 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

les odeurs

Page 51: Ra 2013 ok hd

AIR LR effectue, depuis 2003, la vérification des analyseurs neufs des Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air (AASQA) du Languedoc-Roussillon (AIR LR), de la région PACA (AIR PACA) et, depuis 2007, de la Corse (QUALITAIR CORSE).La vérification des analyseurs déjà en fonctionnement sur le terrain a été intégrée en 2007 pour AIR LR et, exceptionnellement, pour les autres régions partenaires.

L’objectif est d’assurer la fiabilité des équipements, en procédant à une série de tests techniques et métrologiques (vérification des paramètres électroniques et de la transmission des informations, linéarité, répétabilité, dérive,…) avant leur installation en station, conformément aux normes européennes.

La réception se déroule en 3 étapes et concerne les analyseurs automatiques de NO/NO2, SO2, O3 et CO :

• Vérification visuelle

• Vérification administrative

• Vérification technique et métrologique : - vérification du bon fonctionnement de l’analyseur ; - évaluation des caractéristiques métrologiques et vérification du respect

des critères de conformité.

Méthode utilisée :

• La méthode utilisée pour la vérification des analyseurs est conforme aux normes européennes, mais seuls les essais décrits dans le guide INERIS sont réalisés par AIR LR.

• Les critères de performance associés sont ceux imposés par les normes européennes.

Documents de référence :

• GUIDE INERIS - Novembre 2005 - Version finale Contrôles métrologiques périodiques et à réception des analyseurs par les AASQA, conformément aux exigences normatives européennes - révision 2005.

• Normes NF EN 14211 pour le NO2 et le NO, NF EN 14212 pour le SO2, NF EN 14625 pour l’O3 et NF EN 14626 pour le CO.

En 2013, 13 analyseurs neufs (contre 30 en 2012 et 14 en 2011) et 17 analyseurs en fonctionnement (contre 8 en 2012 et 14 en 2011) ont été vérifiés. Un seul analyseur non approuvé par type s’est révélé non conforme aux critères des normes CEN et d’AIR LR : il a été mis au rebut.

Quelques dysfonctionnements mineurs ont été observés lors de la vérification technique. Ils ont pu être corrigés par les opérateurs avant de réaliser les essais métrologiques.

Laboratoire métrologique de vérification des analyseurs

AIRPACA

QUALITAIR CORSE

AIR LR

73%

0%

27%

Répartition des analyseurs vérifiés par AASQA en 2013

O3

SO2

NO/NOX

CO

37%

56%7%

0%

Répartition des analyseurs vérifiés par type de polluant en 2013

BILAN 2013

Commande analyseur

Envoi analyseur

Renvoi Information

Non conforme

Renvoi après accord

du propriétaire

Mode d'envoi des analyseurs neufs de NO/NO2,SO2, O3 et CO pour vérification par AIR LR

Conforme

Non conforme

Conforme

Réseaux de Mesure de la Qualité de l'Air(AIR PACA, QUALITAIR CORSE, AIR L.R.)

Constructeurs

AIR LRVérification Visuelle

et Administrative

AIR LRVérification Technique

et Métrologique

Laboratoire de réception d’AIR LR

51AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 52: Ra 2013 ok hd

Mauvais à très mauvais(indices 8 à 10)

Moyens à médiocres(indices 5 à 7)

Bons à très bons(indices 1 à 4)

0 %

10 %

20 %

30 %

40 %

50 %

60 %

70 %

80 %

90 %

100 %

20092010

20112012

20132009

20102011

20122013

20092010

20112012

20132009

20102011

20122013

Montpellier Nîmes Gard RhodanienPerpignan

Indices ATMO IQA

Fréquence d’apparition des indices Atmo et IQA

Commentaires 2013 :

• Indices « TRES BONS A BONS » majoritaires et plus fréquents que les années précédentes : 62% à 71% des jours selon les zones contre 53 à 63% en 2012.

• Indices « MOYENS A MEDIOCRES » constatés 29 à 37% des jours. Ils ont pour origine l’O3 ou les PM 10.

• Indices « MAUVAIS A TRES MAUVAIS » - Montpellier, Nîmes et Vallée du Rhône : plus nombreux qu’en 2012(1) sur Montpellier et Nîmes, ils ont principalement pour origine les PM 10. - Perpignan : ces indices n’ont pas été détectés en 2013 (ils l’avaient été une fois en 2012).

En 2013, comme les années précédentes, la part de l’ozone (seul ou associé à d’autres polluants) dans la détermination des indices ATMO et IQA est majoritaire (72 à 84%).

Les indices les plus élevés ont principalement pour origine les PM 10 en raison du changement dans le calcul de l’indice qui accorde plus d’importance à ce polluant.

1 2

3 4

56

7 8

9 10 mauvais à

très mauvais(Indices 8 à 10)

moyens à médiocres(Indices 5 à 7)

très bons à bons(Indices 1 à 4)

êIndice de la qualité de l'air :www.air-lr.org

Pour en savoir plus…Les données détaillées par zone sont disponibles sur

www.air-lr.org

L’indice Atmo fournit une information journalière globale sur la qualité de l’air des agglomérations de plus de 100 000 habitants.Il est calculé sur la base des résultats de mesure des stations urbaines et périurbaines pour quatre polluants : particules en suspension PM 10, dioxyde de soufre (SO2), dioxyde d’azote (NO2) et ozone (O3). Les concentrations maximales observées pour chacun de ces polluants sont classées sur une échelle de 1 à 10. L’indice Atmo publié correspond à l’indice le plus élevé pour ces 4 polluants.

L’indice Qualité de l’Air (IQA) est calculé sur la même échelle que l’indice ATMO ; il concerne les agglomérations de moins de 100 000 habitants ou les zones non urbaines.

Modification dans le calcul de l’indice ATMO et IQA à partir du 1er janvier 2012 (Arrêté ministériel du 21/12/11) : • les seuils de l’échelle PM 10 ont été abaissés, ce qui accorde plus d’importance à ce polluant dans le calcul

de l’indice, • en revanche, les grilles de calcul pour les autres polluants participant à l’indice (SO2, NO2 et O3) n’ont pas

été modifiées.

(1) En 2013, les indices « MAUVAIS A TRES MAUVAIS » ont été détectés :- 10 jours à Montpellier et Nîmes contre 1 jour en 2012- 5 jours dans le Gard Rhodanien comme en 2012.

52 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Bilan 2013

indice Atmoet IQA

Page 53: Ra 2013 ok hd

0 %

10 %

20 %

30 %

40 %

50 %

60 %

70 %

80 %

90 %

100 %

20092010

20112012

20132009

20102011

20122013

20092010

20112012

20132009

20102011

20122013

20112012

20132009

20102011

20122013

* début du calcul de l'indice en 2011

Mauvais à très mauvais(indices 8 à 10)

Moyens à médiocres(indices 5 à 7)

Bons à très bons(indices 1 à 4)

Agathois et Piscénois

Biterrois et Narbonnais Haut-Languedoc Alès

CévennesOuest Aude*

Ouest PO

Fréquence d’apparition de l’indice Ozone (1/04 au 30/09)

Commentaires période estivale 2013 :

• Indices « TRES BONS A BONS » : 33 à 72 % des jours. La fréquence d’apparition de ces indices est, à l’exception de la zone « Haut-Languedoc », en augmentation par rapport aux années précédentes.

* sur la zone « Ouest des Pyrénées-Orientales », les concentrations élevées d’ozone sont à mettre en relation avec l’arrivée de masses d’air provenant de l’Espagne (vent du Sud), et probablement de la métropole barcelonaise, lieu de fortes émissions de précurseurs d’ozone.

• Indices « MOYENS A MEDIOCRES » : 28 à 67% des jours,

• Indices « MAUVAIS A TRES MAUVAIS » : une seule journée en 2013 dans le Biterrois-Narbonnais (13 juillet) et dans l’Ouest des PO* (26 juillet).

Calculé sur le même principe que l’indice ATMO, l’indice OZONE fournit une information journalière sur les teneurs en ozone (O3) dans l’air ambiant.

L’ozone se forme par transformation, sous l’action du soleil et de la chaleur, de certains polluants émis essentiellement par le transport routier et les industries. Les concentrations d’ozone les plus élevées sont donc observées lors de la période estivale (1er avril au 30 septembre).

Hors période estivale (c’est-à-dire du 1er janvier au 31 mars puis du 1er octobre au 31 décembre), les conditions météorologiques sont peu favorables à la formation de l’ozone. L’indice OZONE est donc très majoritairement « TRÈS BON à BON ».

Rappel :

53AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Bilan de la période estivale 2013(1er avril au 30 septembre)

indice ozone

Page 54: Ra 2013 ok hd

ZONEOZONE - Nombre de déclenchements de la procédure d’information

1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013

GARD 11 10 12 8 39 6 6 5 7 3 2 7 0 0 1

HÉRAULT 3 1 7 4 21 2 1 2 0 1 0 1 0 0 1

PYRÉNÉES-ORIENTALESZone plaine

0 0 0 0 2 1 0 1 0 2 1 0 0 0 0

PYRÉNÉES-ORIENTALESZone Ouest montagne

Pas de mesure sur cette zone 0 4 4 2 1 0 * * * *

AUDE Pas de procédure 0 1 0 2 0 0 0

LOZÈRE Pas de procédure

* pas de mesures pérennes sur la zone Ouest Montagne des Pyrénées Orientales

PM 10 dans l’Hérault nombre de déclenchements de la procédure d’information

2008 2009 2010 2011 2012 2013

0 0 0 0 1 10

Seul le département de l’Hérault est concerné depuis 2008 par des procédures préfectorales d’information et d’alerte en cas de pics de pollution PM 10.En application de la réglementation nationale, l’arrêté préfectoral du 13 février 2012 a abaissé les seuils de concentration de PM10 pour les déclenchements des procédures d’information (50 µg/m3 contre 80 µg/m3 précédemment) et d’alerte (80 µg/m3 contre 125 µg/m3 précédemment).En 2013, 10 procédures d’information ont été déclenchées, contre une seule en 2012.En revanche, comme les années précédentes, aucune procédure d’alerte n’a été déclenchée.

En 2013, comme les années précédentes, le dioxyde d’azote et le dioxyde de soufre n’ont donné lieu à aucun déclenchement de procédure.

Particules en suspension PM 10

Dioxyde d’azote (NO2) et dioxyde de soufre (SO2)

Procédures d’informationLa procédure d’information est déclenchée lors du dépassement du seuil horaire de 180 µg/m3 sur un ou deux capteurs selon le département. Ce seuil est fixé réglementairement et correspond à un niveau de concentration au-delà duquel une exposition, même de courte durée, a des effets limités et transitoires sur la santé des personnes particulièrement sensibles (personnes âgées, enfants en bas âge, patients souffrant d’une pathologie cardiaque ou respiratoire, etc.). Le déclenchement de la procédure d’information implique la mise en œuvre d’actions d’information de l’ensemble de la population et de préconisations sanitaires pour les personnes particulièrement sensibles. Des recommandations sont également diffusées à l’attention des personnes ou organismes susceptibles de contribuer à la réduction des émissions de polluants (automobilistes, industriels, etc).

• Hérault et Gard : 1er déclenchement depuis 2010 En 2013, la procédure d’information « ozone » a été déclenchée une fois (13 juillet dans l’Hérault et 25 juillet dans le Gard). Dans ces 2 départements, le précédent déclenchement avait eu lieu en 2010.

• Aude et Pyrénées-Orientales (zone Plaine) : pas de déclenchement en 2013. Les derniers déclenchements ont eu lieu respectivement les 20 juillet 2010 et 8 septembre 2009.

Dépassement des niveaux d’alerteEn 2013, comme les années précédentes, les niveaux d’alerte n’ont jamais été dépassés en Languedoc-Roussillon.

Mises en place de mesures d’urgence • Aude, Hérault et Pyrénées-Orientales : en 2013, comme les années précédentes, les

conditions de mises en œuvre des mesures d’urgence n’ont pas été atteintes.

• Gard : en 2013 les mesures d’urgence de niveau 1 ont été mises en place 4 jours contre 1 jour en 2012, 3 jours en 2011 et 10 jours en 2010.

Remarque : en Lozère, pas de procédure pour la mise en œuvre de mesures d’urgence.

Ozone

1 Le livre II titre II du Code de l’Environnement impose la mise en place de procédures d’information et d’alerte des populations lors d’un épisode de pollution. Ces procédures sont établies par les préfets de département. Elles existent depuis 1999 dans le Gard, l’Hérault et les Pyrénées Orientales pour l’ozone, le dioxyde d’azote et le dioxyde de soufre, depuis 2007 dans l’Aude pour l’ozone et depuis 2008 pour les PM10 dans l’Hérault. Ces procédures seront revues en 2014.

Procédures d’information1 et d’alerte bilan de l’année 2013

54 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 55: Ra 2013 ok hd

Zones Thèmes du PSQA 2Code enjeux PSQA 2 Polluants Description

RÉGION - - -

HÉRAULT

Transports

TR8 ECRP2

NO2, COV, aldéhydes, CO2

Aéroport de Montpellier : suivi tous les 5 ans (extérieur et intérieur)

TR2TR5

NO2, benzène, PM10, PM 2,5

St Gély du Fesc, aménagement de la D986 (LIEN) : état des lieux et modélisation

TR6TR8IND3

NO2, benzène, PM10, PM 2,5, SO2, PSED

Douanes de Sète : état des lieux, évolution depuis 2007

Transversalité avec le changement climatique

TCC1 6 gaz à effet de serreAgglomération de Montpellier : participation au PCET de Montpellier Agglomération

Espace clos recevant du public

ECRP1 Formaldéhyde, COV…Groupe scolaire des Arceaux : état des lieux (proximité ancien pressing)

GARD

Milieu urbain et périurbain

MUP1 HAPNîmes : Evaluation préliminaire dans la Zone Urbaine Régionale

Espaces clos recevant du public

ECRP2 Aldéhydes Crèche de Parignargues : évolution des teneurs en aldéhydes

Milieu industriel et traitement des déchets

IND3OD3

NOx, PS, COV Salindres : modélisation

AUDE Pollution à l'ozone

OZ1, OZ2.1 O3 Mesure en Montagne Noire

OZ1, OZ2.1 O3 Mesure en Haute Vallée de l'Aude

PYRÉNÉES ORIENTALES Transports TR5 NO2, benzène

Tronçon de rocade au Sud-Ouest de Perpignan : état initial, simulations

LOZÈRE - - -

ANDORRE (hors PSQA) - - -

55AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

terminées - 2013 - 2014

Bilan des actions

Page 56: Ra 2013 ok hd

ANDORRE

AUDE

PYRÉNÉES-ORIENTALES

HÉRAULT

LOZÈRE

GARD

État d’avancement :

en cours

en attente

Zones Thèmes du PSQA 2 Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2

RÉGION

Tous

Tous polluantsRéorganisation du dispositif de surveillance régional en application du PSQA 2010-2014

TR1 MUP1

Benzène, HAP, PCB, dioxines, mercure, COV

PRSE 2, action 1 : identification des zones de sur-émissions de substances toxiques

MUP5IND6

Tous polluants Inventaire régional des émissions : mise à jour pour l’année 2010MUP5, TR5, IND6,TCC1, OZ2

Milieu industriel et traitement des déchets

Poussières sédimentables

Mise en place de réseaux autour de nouvelles carrières IND3

Faisabilité évolution mesures PSED IND3

Milieu rural

Pesticides Etat des lieux dans différents milieux MUP3, MR1

Benzo(a)pyrèneMesures dans des communes avec une forte proportion de chauffage au bois et/ou chaufferie au bois

MR2

Espaces clos recevant du public

Formaldéhyde, COV…

Intégration du volet qualité de l'air intérieur dans le Programme de Recherche sur l'Energie dans le BATiment (PREBAT)

ECRP2

Odeurs Odeurs Réponse aux fiches déposées sur www.air-lr.org OD1, OD2

Pollution à l'ozone O3

Campagnes ponctuelles de mesures dans la région OZ5

Modélisation inter-régionale (amélioration de la plate forme AIRES) OZ2,1, OZ2,2

56 AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

2013 en cours et des projets 2014 - 2015

Bilan des actions

Page 57: Ra 2013 ok hd

Zones Thèmes du PSQA 2 Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2

HÉRAULT

Transports

Tous polluants PPA de Montpellier : contribution à sa révisionTR9, MUP5, IND 6

NO2, PM10, PM2,5, benzène

LIEN : complément d'étude TR2, TR5

NO2, PM10, PM2,5Mèze : étude dans une petite ville traversée par axe routier important

TR1, TR6

Milieu urbain et périurbain

NO2 Béziers : cartographie en ville et sur le littoral, évolution depuis 1999 MUP4

NO2Montpellier : campagne de mesure pour préparer mise en place Urban’air + évolutions annuelles

MUP2, MUP5,TR5

NO2, PM10 Montpellier : mise en ligne plate-forme modélisation Urbanair TR2, MUP2

HAP Béziers : Evaluation préliminaire dans la Zone Urbaine Régionale MUP1

Milieu industriel et traitement des déchets

COV, H2S SCORI Frontignan : état des lieux, impact sur quartier La Peyrade IND4, OD2, OD3

Pollution à l'ozone O3, PM10, PM2,5 Ozone : mesures dans le Nord de l'Hérault OZ1, OZ2

ZonesThèmes du PSQA 2

Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2

AUDE Milieu industrielParticules, ammoniac, Nox

AREVA Malvési : campagne de mesure complémentaire à la surveillance pérenne

IND3

ZonesThèmes du PSQA 2

Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2

PYRÉNÉES-ORIENTALES

TransportsNO2, benzène, particules

Projet de Bus-Tram Est-Ouest de Perpignan TR5

ZonesThèmes du PSQA 2

Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2

ANDORRE(hors PSQA)

- Tous polluantsAccompagnement du gouvernement andorran dans sa mise en œuvre de la surveillance de la qualité de l'air

-

ZonesThèmes du PSQA

Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2

LOZÈRE - - - -

Zones Thèmes du PSQA 2 Polluants DescriptionCode enjeux PSQA 2

GARD

Milieu urbain et périurbain

NO2, O3, PM2,5Alès : étude pilote capteurs et modélisation (avec Ecole des Mines & Cairpol)

TR2, TR3, MUP2, MUP4

Transports

NO2, benzène TCSP Nîmois : extension au Nord, état initial et modélisation TR5

Tous polluants PPA Nîmes : contribution à son élaborationTR9, MUP5, IND6

57AIR LR / RAPPORT D’ACTIVITÉ 2013

Page 58: Ra 2013 ok hd

AIR Languedoc-RoussillonLes Échelles de la Ville, Antigone3, place Paul Bec 34000 MontpellierTél. : 04 67 15 96 60 Fax : 04 67 15 96 69Email : [email protected]

www.air-lr.org

AIR

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2014

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r pa

pier

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