C'est la défaite de la liste Gaza-

C'est le triomphe de la liste Capron.La cause et entendue.

M. Jouftiûtt.qfiH îut nommé à un pos-le supérieur dans la voincqui a cornuet exéoulé les plans de la MunicipalitéGazagnaire, a déclaré puttopiementque les ègoûts de la Bocca ont Wcanstruits spécialement pour M.Jeaacard ci ce qui est plus grave,sur son terrain. Al. Jeancard a donctrouvé plus commode de faire cons-truire ses égoûts avec l'argent descontribuables.

H en a été de même pour les ter-rains de Jf. ARLUC QVl A ÉTÉ FAVO-RISE.

VoHè, électeurs, avoué par un hom-me qui a ni el entendu, comment nosadversaires trafiquent de leur mandai.

En véri4é, la liste Gazagnaire es', unconsorlîiHH d'inlérfls privés.

« LE PARTI GAZAGNAIRE CIIKH-CIIE A S'ENRICHIR AU DETRIMENTDE LA CAISSE PUBLIQUE. »

N'ouhliez pas cet aveu, électeurs etcortlnliuables.

Et maintenant. Electeurs, n'oublies]MS que la Itite Gazagnaire c'estDufréne >

Rappel de FaitsLa Municipalité Guzagnauxî a proté-

gé un employé infidèle qui commit desFOIS dans le local du Comité des fo-ies.

• * •La Municipalité Gazagnaire a nomméA des emplois municipaux des REPRISDE JUSTICE.

* * *La Municipalité Guzagmùw a nom-

mé Agents de police deux hommes quin'auraient jamais d« être inscritsrlajis les rcuigs de nos braves gardiensde la paix.

L'un qui aéfé condamné à (roismois de prison pour banqueroute;

L'autre qui a été l'objet d'unmandai d'amener pour com-plicité de vol, qui a été, d'ailleurs,condamné par un tribunal et dontla photographie a été insérée au« Bulletin de Police Judiciaire »,oiçane périodique où sont jwbfîées lesphoLograplues de tous les criminelsrecherches par fc justice

La Municipalité Cazagnaire a faitperdre un DEMI-MILLION a la Villedans l'affaire des Pompes Funèbre».

• * «La Municipalité Gaza{iiiaire fait fuir

les étrangers.• • •

La Mtniîojpaliué Gazagnaire s'en-toure de faillis, d'escrocs et de mai-tres-chanteure.

Et maintenant, Electeurs, n'oubliespas que la liste Gazagnaire c'estDufréne !

AVIS AUX ÉLECTEURSNoue prévenons les électeurs

qu'aux termes du In loi, k enrteélectorale n'est pus indispensablepour être admis à voter, Elle esttout simplement un moyen de faireconstater son identité. En consé-quence tout électeur doit savoirqu'il a le droit de voter, mêmesans produire la carte électorale,aoufl la seule condition que son. iden-tité ne laisse aucun doute. (Conseild'Etal 27 Avril 18fl3).

L'électeur non muni de sa carte-électorale, après s'être assuré qu'ilcet porté BUT la liste, pourra êtreadmis au vote, s'il est accompagnéde deux témoins, électeurs eux-mêmes attestant son identité.

Toutefois, il est prudent quechaque électeur aille retirer sa carteà la Mairie, où elles sont, dès àprésent, à la libre disposition desintéressés.

Le bureau qui les délivre àl'Hôtel de Ville, aéra égalementouvert !o dimanche 5 Mai, toute lajournée, c'est-à-dire depuis l'ouver-ture jusqu'à la fermeture du scrutin.

Un avis ultérieur, qui paraîtradans les journaux, fera connaîtrele local de la Mairie, où ce bureausera situé.

Fraudeurset Faussaires

L'affiche signée par Lieutaud etGudraid et ridigée par M, GffleUe-\rimondyest im fnux.

Voici que nos adversaires oui re-coure a l'escroquerie électorale.

l,es sieure Ltcutaud et Guirard quiont parlé sans mandat sont désa-voués i«ir le parti socialiste.

Les électeurs lugeroid.D'autre part, une liste circule.dan*

laquelle il y a trois noms socialistes,cinq noms disciplinaires et dix-neufcandidats delà liste Capron.

Celte manceuvre, tentée en déses-poir de cause par les municipauxoonsffituc une fraude,

Nous la dénonçons au public.La candidature unique du comte de

Mwi esl cacore une manœuvre inven-tée par les Gazagnairistee pour «édi-ter le coup de Fiéron, el égarer uncertain nombre de voix.

Nous proteslons contre ces louches«uriguœ. Elles sont la preuve quenos adversaires sont battus.

Elles demom'mit que nous avonsdrt la vériié.

L'essentiel est que les électeurs nese. laissent pas Iromper.

Electeur, regardez liien vos biri-

B( maintenant. Electeurs, n'oubliezuns que la liste Gazagnaire, c estOiifrêne !

Lettre ouverteà M. Gillette- Arimondy

Chef du Parti-GazagnairisteVous aviez promis, en 1910, de 11c

pas combattre la liste Fiéron, et lematin, même du scrutin, vous lui avezenvoyé un croc-en-jambes sournois.

Vous êtes un menteur.Vous aviez déclare, par affiebes,

lorsqu'on découvrit le chantage de Lé-rins, que vous n'étiez pas le Gillettedont il était question dans les docu-ments publics.

Vous êtes un menteur.Vous aviez promis que vous trou-

veriez des preuves de malversationdans l'ancienne gestion municipale, Pivous n'avez rien trouvé.

Vous ôles un menteur.\ous aviez promis de faire de l'Hô-

tei de Ville une maison de verre et vousavez laissé étouffer la plupart des dis-cussions importantes dons des séan-ces pléniercs ou dans des séances pu-bliques dont le public était chassé.

Vous êtes un menteur.Vous aviez promis d'apporter à la

Mairie In plus grande probité et vousvous êtes associé a tous les trafics rté-emivprls ces jours-ci.

Vous ftes un meilleur.V(iur. aviez promis une guerre mltu.-

••able aux monopoles et vous n'avezrien dit pour empêcher l'engagementde ht ville dans l'affaire des PompesPiMii'hres, prcuuliciable à tous nos ln-tfrî-K

Vous éles un menteur.Vous aviez promis des économies et

vous avez augmenté les dépenses dela commune dans tle notables propor-tions.

Vous êtes un menteur.Vous aviez promis de vous conduire

en républicain, c'esl-à-dire en repré-sentant du peuple, et vous avez étf-a la merci d'un seul, d'une sorte deiHotatour mu s'appelle Dufi-ène.

Vous êtes un menteur.Vous osez traiter les Cannois de

vendus, de mercenaires.Vous éles un menteur.Et vous venez dire aujourd'hui :

mes candidats sont les meilleurs.Allez donc, Monsieur, vous êtes un

menteur.Un groupe important

d'électeurs indépendants

lit maintenant, électeurs, n'oubliespas que la liste Gazagnaire, c'estDufréne i

A NOS AMISLes adversaires se sentant irrémé-

diablement perdus, essaient mainte-nant de prêcher le bdtonnage.

Nos amis se garderont bien de don-ner dans ce panneau. Us déjouerontcette manœuvre.

Nous les supplions d'observer la dis-cipline rigoureuse et de voter pour laliste entière.

Il ne s'agit pas de faire intervenir lespetites questions personnelles.

Jtoiïs devons faire triompher notredrapeau et notre triomphe doit êtrecomplet et définitif- .

Donc, pas de sélections, pas de ba-

Vota» tous unis pour la liste démo-cratique.

Le succès est à ce pra.El maintenant, électeurs, n'oubliez

pas que la liste Gazagnaire, c estDufrène '

Aux TramwaysNotre excellent et sympathique ami

Gandolnhe, a été p r s A partiep a r ! e U r m r r i « W t o r a f , o r g a n e d ctous les mensonges et repaire de tousles lâches calomniateurs.

Nous faisons observer que M. Gan-dolplie a été élu au Conseil des Pru-d'hommes au premier tour par 40 voix.

Au second tour. M. Gandolphe n é-tîiit plus candidat et le camarade ou-vrier qui l'élait à sa place a ele élupar 32 voix.

Allons, taisez-vous donc, menteursGazagnairisles.

Aux Républicains

Le Cercle itêpulAicaiturcim en assemblée générale le imiteami , au siège social-.

Apres avoir pris connaissance duprogramme el des noms des candidatsdes d«ix listes en présence.

Considérant que Ni liste Républicai-ne donne, au double point de vue ré-publicain et économique, les plus sé-seneuses garanliies ;

One le Cercle Républicain est large-inenl représenté;

S'engîige à voter en bloc pouf la liste Républicaine Démocratique etadresse un pressant •appel à tous lesrépublicains cannois pour la fairetriompher et, par la même occasion,poiw barrer la route aux candidats dol'equivoffue politique et de la. discordesociale.

Et se sépare aux cris de .Vive la Itepublique !

Et maintenant. Electeurs, n'oubliezpas que la liste Gazagnaire c'estDuftêne !

Une LeçonLa caution n'est pas bourgeoise,

mais elle est précieuse.Un unifie, Charles Dumas, rappelle

à la pudeur toute la radicaîlle duConseil Municipal agonisant.

Cet unifié, indifférent à nos que-relles locales, qui sait toutefois beau-coup de choses et qui juge bien cer-tains hommes de Cannes, établit unedifférence essentiel! > entre M. Ca-pron et ses adversaires.

Malgré les étiquettes, malgré la dif-férence des situations sociales, c'estM. Capron qui est le véritAble, le bonrépublicain.

Les autres, surtout ceux qui n'o-sent plus affronter le verdict du suf-frage universel, ne sont que des ja-cobins de pacotille, des profiteurs dela démocratie, des dupeure du peuple.

Incapables des sentiments géné-reux, préoccupés de leurs intérêtspersonnels, n'obéissant qu'à leurspetites rancunes cta leurs haines mé-prisables, ils ont voulu être les maî-tres de Cannes.

Hélas ! Cannes a subi leurs af-fronta et leurs souillures ; Cannes asouffert et souffre encore de leur ad-ministration néfaste.

Mais ce n'est la qu'un accident ;dimanche Cannes sera libérée decette bande d'égoïstes et de politi-ciens malfaisants.

Dimanche, Cannes aéra guérie.La crise, heureusement, n'aura

été longue ; on peut affirmer d'ail-leurs, que, ''atulcment, elle

ipnsL'ail-

„ . _ „ . , _,,, devaitêtre de brève durée.

Il n'est pas d'idéal commun quiait réuni Ip.s membres de la Munici-palité Gazagnaire ; chacun d'euxmarchait pour son propre compte ;ils n'étaient unis que par les mau-vais sentiments.

Les plus bruyants d'entre eux, lesplus cyniques se moquent du dra-peau républicain comme ils se mo-quent de lu prospérité de la ville._ Ils ont. combattu, avec une per-

sistante mauvaise foi — c'est la seulotuieiite dont ils soient capable» —toutes les personnalités qui, au point

de vue municipal, ont coopéré à laprospérité de Cannes et de la regiou.

Relisez leur profession de loi !C'est pure extravagance, c'est unepoussée d'orgueil formidable et niais.

Ce sont eux qui ont tout accom-nli • ils sont les tout puissants ; il neserait pas nécessaire de les pousserbeaucoup pour les amener à déclarerque ce sont eux qui font lever le so-lk

Mais les électeurs de Cannes sontsuffisamment avertis pour savoircombien leurs prétentions sont exa-gérées et maladroites.

Ils ne peuvent pas ignorer 1 œu-vre considérable menée à bien, entout honneur et en toute probité, parM Capron ; toutes les reformes en-treprises ; toutes les réalisations ob-tenues.

Ils n'ignorent pas davantage lesmauvaises actions, de toute nature,dont la municipalité Gazagnaire sup-porte la responsabilité et qui la con-duisent au trépas.

Plus de mains douteuses et depoings menaçants.

Nous voulons des mains propreset des mains ouvertes !

Et maintenant. Electeurs, n'oublie:pas que la ''"te Gazagnaire c'estDttfrêne !

A la Population CannoiseJeudi soir, 2 mai, deux membres du

Parti sociaJiste de la section de Val-lftims, Guirard et Lieu-taud, embau-ches par le député GUtotte-Arimondyet par la bande IHifrône-Gazagnaîre-Arluc ont <*> le cynisme, à la. réuniondu garage Mcrîe, de porter contre moides accusations mensongères et "as re-mettiro au Coinrier du Littoral uai or-dre du jour de la Fédération socialiste(S F 1. 0) des Alpes Maritimes Qf-7CONSTITUE Vti EAUX,

Hier, vendredi, a 2 heures de l'a-près-midi, j 'a i prévenu par télégram-me mon excellent ami et camanade,Cltarles Dumas de leur condhiite et desiisinuations qu'ils avaient faites con-tre lui, Voici, uwsdeiiso, le télégram-me :

Cannes le 3 MaiClinrles Dumas, député,

La Palisse.Le Courrier du Littoral, organe de

la 'liste des radicaux, a propos de vo-tre article « Le cas ThcAlier « écrëvaithier soir, à cirai heures, les lignes sui-vantes sur votre compte :

» U Maire de Vichy, dans le Moni-teur de VAllier, administre de magnifi-ques voîées de bois vert sur le uos dece fameux député, Charles Dumas, IInoms fl.ppr©nd mie c'est un ancien, sé-minariste devenu révolutionnaireanarcluste depuis la séparation, qu'ila défendu Uabeuf ci Philippo; tniol'intérêt de oe Monsieur poiw les mal-heureux est très relatif et (|ii'il n'amême su prendre une pièi-c de cenisous pour offrir aux veuves et orphe-lins des victimes de l'accident de tra-vail de Ousset; il .le dépeint comme unvéritable charlatan, dont l'élection,due A inie surprise lie so •itiiau.veHôr.i.pas,

Le soir, à luiit heures, les auteursde cet article •donnaient une réunion'publique avec le concours de deuxcamarades socialistes de Valliawris,Guiiard et Lieutaud, mu n'avaiônt re-çu aucun mandat de la Fédération, do•lti Section de Cannes. Ces deux mal-heureux socialistes radicalisants, t-mi-tres à leur Parti, faisaient l'apologiedu radicaiismer et de GiHette-Arimon-dy, députe, enri a volé contre toutesles Sois ouvrières el contre La réinté-gration des 'cheminoK Us ont aussidéclare que l'article « I,e cas Thel-Ker n était l'œuvre d'un gKCtropemsque je vous ai tendu.

Peiwfenti ce temps, je donnais unconip'e-raidu [te mon mandat munici-pal sur une place publique devant1500 personnes el je concluais, aprèsavoir commenté votre article, en invi-tait tous les travailleur à voter pourles sept camarades socialistes.

Répondez de suite par télégramme,et. dites bien qu'il n'y u pas çueikiponsde ma part, que j e vous avais prévenu0" ma démission momentanée et de1 ordre du jour volé par-la section detannes. Votre télégramme sera l'ob-jet d'urne affiche qui tuera, au pointde vue électoral, les grenoudlles radi-cales.

N'iiésitez pas de vous étendre am-plement e» de donner votre apprécia-tion au sujrt de la façon dont ils voustraitait.

Guirard et Lieutaud ont engagé lesfoçleurs de Cannes d voter pour les 7socialistes et 20 radicaux pour com-pléter la liste qui es* de 27 membres.

La section de Cannes désavoue œsoir, par voie d'affiches les doux ca-marades Gaurard et Lieutoud.

Réponse immédiate, amitiés.GUSTAVE TitELUE

12, rue Itostan,

RÉPONSE

Citoyen Charles DUMASDÉPUTÉ DE L'ALLIER

La PnllNNe Allier370 - 19» 6 • 20 b.

Inutile de répondre a uméprisables et grotesquesdiffamations me concer-nant.

Les auteurs de l'infamietentée contre vous sont au-dessous de mon mépris.

Mes électeurs ont jugéles ordures du Maire deVichy en me donnant unegrosse majorité à Vichymême : l'individu serabalayé dimanche par leshonnêtes gens de tous lespartis.

Je maintiens les termesflétrissants de mon article" le cas Thellier " pour lesignominies lancées contrevous et dont le Parti radi-cal s'est rendu solidaire.

Les électeurs du reste ju-geront et accentueront ladéroute du radicalisme enFrance.

Vous ne m'avez jamaistendu de guet-apens, jsdonne le démenti le plusformel ; je connais très bienvotre situation vis-à-vis dela section de Cannes duParti.

Je vous assure de masympathie et de monestime. J'espère que lesélecteurs balaierontcette tourbe de diffa-mateurs en votant enmasse pour les amissocialistes. Les honnê-tes gens sont asseznombreux à Cannespour condamner cesprocédés déshonorants.

Amitiés.

Charles DUMAS,Député de l'Ailler.

Nous lisons sur les murs, la protes-tation suivante :

PARTI SOCIALISTE (S- F. l. 0.)SECTION DE CANNES

Elections Municipales du 5 mai 1912

Protestation desCandidats Socialistes

Aux Travailleurs,Pour répondre aux affiches signée

par des camarades du Parti, étran-gers a la localité, nous PROTESTOSde toutes nos forces de l'emploi q"1

est fait de notre signature.Nous informons les électeurs cannois

et en particulier les amis de 1910, queles conseils donnés par les camaradesrie Vallauns, viennent de leur propremitiative et qu'ils N'ONT JAMAISETE MANDATES, NI PAR LA FEDE-