Upload
lydung
View
213
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
RAPPORT ANNUEL 2011
avant-propos/page 2
Avant-propos
Johan Janssens, Administrateur général
Un des mots les plus récurrents dans ce rapport annuel est incontestablement « Capelo ».
Ce n’est bien sûr pas un hasard.
Pas un seul de nos projets, depuis l’automatisation du calcul de la pension, n’a eu autant d’in-
fl uence sur notre organisation interne que Capelo. De nouveaux services ont été créés ;
les services existants ont été repensés. Le Centre de Communication veille à établir une
communication de qualité avec le citoyen et est le moteur du fl ux interne des documents
électroniques. Le service de gestion des données électroniques de carrière doit, sur la base d’une
analyse de risques, rechercher la qualité dans l’affl ux de données. La gestion de l’information sou-
tient dorénavant non seulement le client interne mais aussi les employeurs. Les bureaux d’attribu-
tion doivent intégrer de nouvelles méthodes de travail. Beaucoup de collaborateurs ont pris
de nouvelles fonctions, accomplissant des tâches qui n’avaient jamais existé auparavant
dans notre institution.
Pas un seul de nos projets, depuis la fondation de notre institution de pension juste après la Seconde
Guerre mondiale, n’a généré une telle vague de changements externes que Capelo.
Environ 1800 employeurs du secteur public, représentant 1,1 million de membres du personnel,
sont directement ou indirectement concernés par ce processus de changement.
Seule la grande importance au niveau social de ce projet a permis à ces employeurs d’accepter,
sans aucune compensation, la charge de travail que Capelo leur amène et la grande responsabilisation qui en découle. Le SdPSP a réussi à leur démontrer
la nécessité et les avantages de la suppression du dossier papier. Ceci est en effet une nécessité absolue pour pouvoir répondre aux attentes du citoyen
et des responsables politiques quant à la délivrance d’une information pointue en matière de pension.
Jamais un seul de nos projets n’aura autant mis sous les projecteurs l’importance de notre institution dans le réseau des organismes de sécurité sociale.
Et ce n’est que grâce à une étroite collaboration avec l’ONSS, l’ONSSAPL, la BCSS et Sigedis que le projet Capelo a pu se développer avec autant de succès.
Bienvenue dans le monde de Capelo.
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Avant-propos
Annexes
capelo/page 3
Capelo
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
2011 Année charnière
Capelo en un coup d’œil
Concrètement?
Avant-propos
Annexes
capelo/2011 année charnière/page 4
2011, L’ANNÉE DE LA CONCRÉTISATION !
Depuis le 17 novembre 2011, le SdPSP reçoit de l’asbl Sigedis, via un fl ux
électronique, les données de carrière et de rémunération des travailleurs
du secteur public grâce auxquelles le SdPSP constituera, tout au long de la
carrière des travailleurs, les dossiers électroniques de pension.
Un tournant capital dans notre évolution ! Le Pacte des Générations de
2005 a donné l’impulsion pour transformer en profondeur les processus
de traitement des données, les automatiser, mais c’est avant tout la philo-
sophie du service qui s’en trouve révolutionnée. Capelo – Carrière Publique
Electronique-Elektronische Loopbaan Overheid – est un authentique pro-
jet de modernisation administrative qui permettra au SdPSP d’augmenter
considérablement son offre de services. Dorénavant, le SdPSP pourra ac-
compagner véritablement les fonctionnaires tout au long de leur carrière
et les informer sur la manière dont leur parcours de carrière infl uence la
composition et le montant de leur pension.
2011 Année charnière
Le fl ux électronique qui permet au SdPSP de recevoir les données de car-
rière et de rémunération est le dernier maillon de toute une chaîne de
développements qui aboutira, en 2013, à l’informatisation complète des
dossiers de pension.
Premier maillon de la chaîne, l’adaptation de la DmfA(PPL) est effec-
tive depuis le premier trimestre 2011. Les employeurs du secteur public
transmettent dorénavant les données de carrière nécessaires au calcul de
la pension de leurs travailleurs via leur déclaration trimestrielle à l’ONSS
ou à l’ONSSAPL.
Deuxième maillon, l’application « Capelo – Compléments au dossier
de carrière » en ligne depuis avril 2011, permet aux employeurs concer-
nés de déclarer des données ponctuelles (diplôme et motif de fi n de la
relation statutaire).
Troisième maillon et non des moindres, la mise en production de « Capelo
– DHG » -limitée à un échantillon d’employeurs pilotes dans un premier
temps- puis ouverte à tous, le 3 octobre 2011. Cette application permet
aux employeurs de déclarer les données historiques de leurs travail-
leurs, c’est-à-dire les données antérieures au 1er janvier 2011.
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
2011 Année charnière
Capelo en un coup d’œil
Concrètement?
Avant-propos
Annexes
capelo/2011 année charnière/page 5
Une collaboration nominée
Ces réalisations, que le SdPSP détaille ci-dessous, sont le couronnement
de quatre années d’une fructueuse coopération qui a d’ailleurs valu au
projet Capelo une nomination aux awards Agoria E-gov dans la catégo-
rie « meilleure collaboration ». Plusieurs institutions ont en effet uni leurs
efforts pour simplifi er et moderniser l’octroi et le calcul des pensions du
personnel statutaire.
Capelo s’est concrétisé grâce à la participation active de la Banque Car-
refour de la Sécurité sociale (BCSS), de l’Offi ce national de Sécurité sociale
(ONSS), de l’Offi ce national de Sécurité sociale des Administrations pro-
vinciales et locales (ONSSAPL), et de Sigedis.
Pour les employeurs et les futurs pensionnés
Premiers bénéfi ciaires de ce vaste chantier : les agents du secteur public.
Le SdPSP pourra leur fournir une estimation de leur future pension à la
demande ou automatiquement à l’âge de 55 ans. A plus long terme, il est
également prévu de mettre à leur disposition une application pour con-
sulter leurs données de carrière afi n de déterminer par exemple l’impact
d’une pause carrière sur leurs futurs droits à pension.
Tout profi t à terme également pour les services des ressources humaines
des employeurs concernés, partenaires privilégiés de ce projet ! Finis les
dossiers de pension papier et la fastidieuse recherche d’informations à la
fi n de la carrière du travailleur. Le dossier de pension se construira désor-
mais au fur et à mesure de la carrière et les responsabilités seront suppor-
tées par les employeurs successifs et non plus seulement par le dernier
employeur…
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
2011 Année charnière
Capelo en un coup d’œil
Concrètement?
Avant-propos
Annexes
Pause Café avec Roland HisselChef de projet Capelo chez Sigedis
Les facteurs de succès de Capelo
J’identifi e sans hésiter comme principaux facteurs de succès le
soutien actif de nos partenaires et l’implication des employeurs
et des secrétariats sociaux. Cette participation découle à mon
sens essentiellement du fait que Capelo répond à deux besoins
réels : au besoin de simplifi cation des employeurs et au besoin
d’information du citoyen. En quelque sorte, les temps étaient
mûrs pour cette évolution. Et la volonté politique était, elle aussi,
au rendez-vous puisque nous avons obtenu pour Capelo un cadre
légal, la «Loi Capelo 1» qui est entrée en vigueur le 1er janvier
2011, alors que le gouvernement était en affaires courantes.
Nous avons également accordé un soin tout particulier à la
communication autour de ce projet: via le site internet www.
capelo.be, en rencontrant les secrétariats sociaux et en
parcourant la Belgique à l’occasion de deux séances itinérantes de
présentation en 2008 et en 2010. Je garde un excellent souvenir
de ces journées à la rencontre des professionnels des ressources
humaines. Elles nous ont permis d’apporter des réponses aux
questions des futurs déclarants tout en affi nant notre perception
et notre compréhension des spécifi cités de certaines institutions.
Les contacts initiés dans le cadre de ces présentations ont bien
souvent trouvé un prolongement dans des rapports réguliers
avec les services concernés dont nous avons accompagné la
préparation aux changements. La disponibilité et la convivialité
de l’équipe Capelo fi gurent sans conteste parmi les principaux
moteurs de la réussite du projet.
1 Cadre légal: Titre 13 de la loi du 29 décembre 2010 portant des dispositions diverses, parue au
Moniteur belge du 31 décembre 2010, 3ème édition.
Enfi n, certains choix quant à l’approche se sont révélés
déterminants. Je pense en particulier au découpage clair du
projet en deux volets sur la base de la date charnière du 1er janvier
2011 qui nous a permis d’échelonner l’entrée en production et
d’ajuster nos efforts en fonction des différentes échéances.
Notre approche s’est également toujours voulue pragmatique et
souple. Nous avons par exemple voulu éviter de bloquer d’emblée
les déclarations non conformes au nouveau modèle, sans porter
atteinte aux dates-clés du projet. Les institutions qui ne sont
pas encore prêtes à déclarer les nouvelles données « Capelo »
pourront donc le faire plus tard de manière rétroactive sans être
pénalisées.
C’est à mon sens la conjonction de ces différents éléments qui
nous a permis de mener à bien ce projet dans les temps, dans
une ambiance sereine et détendue en gardant à l’humain sa place
centrale!
‘ La volonté politique était,
elle aussi, au rendez-vous puisque
nous avons obtenu pour Capelo
un cadre légal, la «Loi Capelo»
qui est entrée en vigueur
le 1er janvier 2011.’
Pause Café avec Ghis VanderheydenService Gestion programme, projet et clients - Banque Carrefour de la Sécurité Sociale (BCSS)
L’ONP calcule depuis des années les pensions du régime des salariés sur la base
de la déclaration multifonctionnelle de l’employeur à l’ONSS.
Dans le secteur public, le fonctionnaire doit, à la fi n de sa carrière, introduire
un dossier de carrière sur papier. Le SdPSP calcule ensuite le montant de la
pension sur la base de ce dossier. Avec Capelo, cette méthode de travail change
radicalement. Le dossier de carrière sur papier est remplacé par un dossier de
carrière électronique. Ce dossier électronique est constitué pendant la carrière
du fonctionnaire à l’aide de la déclaration trimestrielle de l’employeur.
Cette informatisation permet une plus grande effi cacité au niveau du SdPSP et
accroît aussi le service envers le fonctionnaire en lui offrant, entre autres, un
aperçu de sa carrière.
Ce projet s’inscrit également dans le cadre de la simplifi cation administrative
vis-à-vis du citoyen. Le dossier de carrière du fonctionnaire, sur papier, à la fi n
de sa carrière ne sera en effet plus nécessaire.
Grâce à Capelo, la constitution du dossier de carrière électronique est assurée
aussi bien pour le travailleur du secteur privé que pour le fonctionnaire,
et ce sur la base de la déclaration multifonctionnelle de l’employeur.
La nouvelle approche est basée sur l’intégration et l’échange de données,
entre autres entre la BCSS, l’ONSS, l‘ONSSAPL et le SdPSP.
Le projet « Hermes » consiste en un échange de données entre les services
des pensions de l’ONP, de l’INASTI et du SdPSP.
Pour les travailleurs présentant une carrière mixte, l’ONP et l’INASTI demandent
les données de carrière au SdPSP. Si le SdPSP ne dispose d’aucun dossier de
pension, ces données ne peuvent pas être échangées. Grâce à Capelo, le SdPSP
disposera d’un dossier de carrière électronique (données actuelles et historiques).
Ce dossier de carrière pourra être transmis aux autres organismes de pension
par voie électronique. L’attribution de la pension aux travailleurs présentant une
carrière mixte se déroulera ainsi plus rapidement et plus effi cacement.
‘ Le dossier électronique
permet une plus grande
efficacité au niveau du
SdPSP et accroît le service
envers le fonctionnaire.’
Pause Café avec Koen SnydersAdministrateur général de l’ONSS
Lorsque l’ONSS est passé en 2003 à la déclaration ONSS trimestrielle électronique, on a veillé à ce que cette application soit
multifonctionnelle. Lorsqu’une institution veut utiliser cette déclaration, il lui est donc possible de couvrir ses propres besoins
en se basant sur un système d’identifi cation, de codes et de concepts existants. Le SdPSP ne devait par conséquent pas
commencer l’exercice en partant de rien, mais il pouvait se baser sur une déclaration existante.
Pour les employeurs ou leurs prestataires de services, cela présente comme grand avantage qu’ils ne doivent pas introduire
un nouveau type de déclaration présentant ses propres spécifi cités, et donc prévoir une programmation séparée,
mais que tout peut se faire via la déclaration ONSS trimestrielle existante (les travailleurs sont déjà connus dans le réseau,
on peut se baser sur un codage existant, etc.).
Etant donné la complexité de la législation sur les pensions du secteur public et la manière très détaillée dans laquelle les
prestations des travailleurs doivent être communiquées, l’intégration effi cace de ces données dans la déclaration ONSS
trimestrielle était un défi certes intéressant, mais aussi diffi cile. Cela n’était possible que via une collaboration excellente
et constructive entre les différentes institutions concernées. Il s’agissait surtout dans un premier temps de transmettre la
logique de la déclaration ONSS aux spécialistes de la législation sur les pensions du secteur public. Nous devions ensuite
chercher avec eux quelles étaient les meilleures solutions pour adapter la déclaration ONSS trimestrielle en vue de répondre
aux besoins des pensions sans trop intervenir au niveau des concepts de base de la déclaration ONSS. Pour la communication
et les informations aux employeurs et aux prestataires de services aussi, on a pu utiliser l’expérience que l’ONSS a acquise
durant la phase de lancement de la déclaration ONSS électronique et les canaux d’information existants (concertation
périodique avec les secrétariats sociaux, les instructions administratives, etc.).
Bref, en ce qui concerne l’ONSS, il s’agit d’un bel exemple de collaboration et de synergie dans le secteur public.
‘ Cela n’était possible que via une collaboration excellente et
constructive entre les différentes institutions concernées.’
Pause Café avec Johan Van der Bruggen et Lieven Plouvier
ONSSAPL Conseiller général - Chef de service Coordinateur instruction et documentation
Depuis le 1er janvier 2005, l’ONSSAPL perçoit, via la
déclaration multifonctionnelle des administrations locales
et provinciales (DmfAPPL), les cotisations de pension sur le
salaire des fonctionnaires locaux et provinciaux nommés à
titre défi nitif. Grâce à Capelo, depuis le 1er janvier 2010, les
données nécessaires au calcul des pensions du secteur public
sont également reprises dans la DmfAPPL. Cela adhère au
principe de la DmfAPPL, selon lequel les données relatives au
salaire et au temps de travail sont mentionnées au niveau du
travailleur et selon lequel c’est également à ce niveau que le
calcul des cotisations est réalisé. Grâce à cette simplifi cation
administrative, les différentes institutions publiques ne
doivent demander qu’une seule fois les données nécessaires à
l’employeur. Lors du départ à la pension, l’administration locale
ou provinciale ne doit plus préparer de dossier de carrière sur
papier pour le fonctionnaire nommé à titre défi nitif, car les
données nécessaires sont déjà disponibles au niveau du SdPSP.
Depuis plusieurs années, l’ONSSAPL entretient une bonne
collaboration avec le SdPSP dans le cadre du fi nancement des
pensions des fonctionnaires des administrations locales et
provinciales et avec la BCSS, l’ONSS et Smals en vue d’assurer
un échange effi cace des données électroniques de la DmfAPPL
dans le réseau de la sécurité sociale. Au niveau du projet Capelo,
la bonne collaboration entre ces partenaires et l’appui de
Sigedis ont créé une plus-value pour le fonctionnement interne.
Roland Hissel, chef de projet, a soutenu avec ses connaissances
techniques les sessions d’information que l’ONSSAPL a
organisées au cours de l’année 2011 pour les administrations
locales et provinciales et leurs secrétariats «full service» par
rapport à Capelo. Les fi ches techniques et les instructions pour
compléter les trois nouveaux blocs de la DmfAPPL ont été mises
à la disposition des employeurs en temps voulu. Dès le mois
d’avril 2011, les informations relatives au salaire et au temps
de travail qui étaient mentionnées dans les blocs Capelo de la
DmfAPPL ont pu correctement être transmises de l’ONSSAPL à
Sigedis et au SdPSP.
A court terme, l’ONSSAPL vise à améliorer la qualité des
données dans la DmfAPPL pour le calcul des pensions dans
le système du secteur public. A cette fi n, plusieurs contrôles
automatiques intégrés avec l’ONSS, Sigedis et le SdPSP dans la
déclaration de sécurité sociale, seront réalisés de manière plus
stricte. Une campagne d’information destinée aux employeurs
et à leurs secrétariats «full service» accompagnera le contrôle
plus strict de la qualité des données dans les blocs Capelo de la
DmfAPPL.
A long terme, l’implication de l’ONSSAPL et de l’ONSS relative
aux données dont le SdPSP a besoin pour calculer correctement
le montant des pensions du secteur public augmentera. Nous
prévoyons donc que pour le remplissage des blocs Capelo, les
organismes percepteurs de la sécurité sociale assureront de
plus en plus le contrôle de qualité de première ligne vis-à-vis
des employeurs du secteur public. Lors de son contrôle triennal
des administrations locales et provinciales, l’inspection de
l’ONSSAPL accorde une attention particulière à la qualité des
données dans les blocs Capelo de la DmfAPPL. La collaboration
avec Sigedis et le SdPSP sera donc à cet égard toujours
nécessaire mais, dans le réseau de la Sécurité Sociale, l’esprit de
collaboration va de soi.
‘ Au niveau
du projet Capelo,
la bonne collaboration
entre ces partenaires
et l’appui de Sigedis
ont créé une plus-value
pour le fonctionnement
interne.’
capelo/concrètement?/page 10
Secteur privé
Secteur publicfédéral,
...
DmfAenrichieenrichie
3 mois
DmfAPPLenrichieenrichie
3 mois
Secteur publiclocal
EMPLOYEURSDOSSIERELECTR.
ONSS BCSS
INAMI
ONEM
ONAFTS
...
FUSION
ONSSAPPL
La DmfA adaptée aux besoins de Capelo
Depuis le premier trimestre 2011, la DmfA(PPL) est adaptée en fonction
des besoins de Capelo. Elle contient désormais toutes les données de
temps de travail et de traitement des travailleurs du secteur public néces-
saires pour le calcul de leur future pension. Cela signifi e concrètement
que les employeurs concernés par Capelo déclarent maintenant des don-
nées supplémentaires dans la DmfA(PPL). Il s’agit notamment des catégo-
ries de personnel -qui permettent au SdPSP de déterminer les tantièmes
et des traitements qui servent de base au calcul de la pension. Et ce, tant
pour leur personnel statutaire que pour leurs travailleurs contractuels sus-
ceptibles d’être un jour nommés et donc d’avoir droit à une pension du
secteur public.
Comme le montre le schéma ci-dessous, chaque trimestre, l’ONSS et
l’ONSSAPL transfèrent les données de la DmfA(PPL) à la Banque Carre-
four de la Sécurité sociale qui les redistribue dans le réseau de la sécurité
sociale. La BCSS transmet à Sigedis les informations permettant de recon-
stituer la carrière de chaque travailleur du secteur public. Sigedis stocke
ces éléments au sein de sa banque de données et les envoie au SdPSP.
Des données ponctuelles peuvent dans certains cas compléter le dossier
de carrière. L’employeur les transmet au SdPSP directement via le site por-
tail de la sécurité sociale : il s’agit des données de diplôme et du motif de
fi n de la relation statutaire en cas de démission imposée par l’employeur.
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
2011 Année charnière
Capelo en un coup d’œil
Concrètement?
Avant-propos
Qu’est-ce que la DmfA et la DmfA(PPL) ?
La DmfA Déclaration multifonctionnelle/multifunctionele Aangifte existe
depuis 2003. Cette déclaration trimestrielle, à laquelle sont tenus tous
les employeurs de Belgique immatriculés à l’ONSS, a pour but de récolter
les données de salaire et de temps de travail des travailleurs.
Cette déclaration est appelée multifonctionnelle, car les informations
qu’elle contient sont utilisées par différentes institutions de sécurité so-
ciale afi n de calculer les indemnités en cas de maladie, chômage, accident
de travail, maladie professionnelle, mais également de déterminer les
droits aux allocations familiales, aux vacances annuelles et à la pension.
La DmfAPPL est une déclaration identique que font tous les employeurs
immatriculés à l’ONSSAPL. Elle est entrée en vigueur en 2005.
Annexes
capelo/concrètement?/page 11
Mais comment reconstituer toute la carrière du travailleur ?
Qu’en est-il des données d’avant l’adaptation de la DmfA(PPL) ?
Récolter les données historiques de carrière, un défi !C’est le second volet du projet: la récolte des données historiques de car-
rière, c’est-à-dire des données antérieures au 1er janvier 2011.
Concrètement, les employeurs transmettront à Sigedis, avant 2016, les
informations relatives à toutes les prestations que leurs travailleurs ont
accomplies dans le secteur public jusqu’au 31 décembre 2010 inclus. Ils
communiqueront donc également des éléments de carrière liés à des pre-
stations effectuées auprès d’employeurs antérieurs.
Un fameux défi , cette récolte des données historiques de carrière ! Sur le
terrain en effet, la situation est très variable d’un employeur à l’autre. Cer-
taines institutions possèdent toutes les données utiles sous format élec-
tronique tandis que d’autres conservent le tout dans des dossiers papier.
Ailleurs, une partie seulement des données est informatisée… Capelo
s’est donc adapté au terrain en développant trois modes de déclaration,
accessibles depuis le 3 octobre 2011. Les employeurs peuvent soit envoyer
des fi chiers de déclaration contenant les données informatisées (batch),
soit encoder directement les dossiers dans une application en ligne sur
le site portail de la sécurité sociale. Et pour ceux qui ne disposent que de
certaines données sous forme électronique, il est possible de déclarer une
partie en batch et de compléter les données manquantes en ligne.
Annexes
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
2011 Année charnière
Capelo en un coup d’œil
Concrètement?
Avant-propos
capelo/concrètement?/page 12
envoi versSigedis
envoi versSdPSP
envoi verstravailleur
corrigercompléter
valider
en cas de données manquantes ou erronnées
créationPDF
EMPLOYEUR/SECRETARIAT SOCIAL
EMPLOYEUR
CAPELODATABASE
APERCUCARRIERE
CONTROLETRAVAILLEUR
WEBSITEDHG
SdPSPenvoi vers
Sigedisenvoi verse
SdPSPenvoi verseravailleurtr
corrigercompléter
valider
en cas de données manquantes ou erronnées
réationcPDF
EMPLOYEUR/SECRETARIAT SOCIAL
EMPLOYEUR
CAPELODATABASE
APERCUCARRIERE
CONTROLETRAVAILLEUR
WEBSITEDHG
SdPSPSdPSP
Annexes
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
2011 Année charnière
Capelo en un coup d’œil
Concrètement?
Avant-propos Mais comment reconstituer toute la carrière du travailleur ?
Qu’en est-il des données d’avant l’adaptation de la DmfA(PPL) ?
Récolter les données historiques de carrière, un défi !
Comme l’illustre le schéma ci-dessous, les données historiques transmises
par les employeurs sont stockées à Sigedis qui opère différents contrôles
et relie les données historiques aux données obtenues via la DmfA(PPL) en
vérifi ant la cohérence et la continuité pour chaque individu. Enfi n, le SdPSP
reçoit les données de carrière intégrées des travailleurs dont l’historique
est complété, via le fl ux électronique Capelo qui transite par la BCSS, ga-
rante de la sécurité des informations à caractère privé.
Et sur la base de ces informations, le SdPSP sera en mesure en 2012
d’envoyer un aperçu de carrière à chaque travailleur dont nous recevons
les données. L’assuré social pourra ainsi vérifi er que toutes ces informati-
ons qui font partie de son dossier électronique de pension sont correctes
et complètes.
Pause Café avec Philippe CrefcoeurAnalyste pour Capelo - Sigedis
Capelo a permis au SdPSP via Sigedis de faire une entrée remarquée au sein du réseau de la Sécurité
Sociale belge. Capelo est en effet présent sur le portail de la Sécurité Sociale et utilise les mêmes canaux de
communication batch que la DmfA ou la Dimona via la Smals et la BCSS.
Dès la fi n de la récolte des données historiques en 2015, le SdPSP disposera, sur support électronique, de
l’ensemble des données nécessaires au calcul de la pension des travailleurs du secteur public dont il a la charge.
Le rôle de Sigedis est d’assurer la récolte des données brutes de carrière nécessaires au calcul de la pension des
agents du secteur public auprès d’environ 1.800 employeurs et de les transmettre au SdPSP après avoir contrôlé
leur qualité.
Maintenant que la récolte des données à partir du 1er janvier 2011 via la DmfA est parfaitement maîtrisée et
que les outils pour la récolte des données historiques antérieures au 1er janvier 2011 sont à la disposition des
employeurs, il reste à Sigedis à épauler les employeurs pendant les 3 prochaines années afi n de récolter les
historiques de près d’un million de personnes.
La collaboration entre Sigedis et le SdPSP s’est toujours déroulée dans de très bonnes conditions. Une fois les
objectifs et les lignes directrices défi nies par le SdPSP, Sigedis a bénéfi cié d’une très large autonomie afi n de
mener à bien le projet.
‘ La collaboration entre Sigedis et le SdPSP
s’est toujours déroulée dans de très bonnes conditions.
Une fois les objectifs et les lignes directrices
définies par le SdPSP, Sigedis a bénéficié d’une très large
autonomie afin de mener à bien le projet.’
capelo/capelo en un coup d’œil/page 14
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
2011 Année charnière
Capelo en un coup d’œil
Concrètement?
Avant-propos
CAPELO EN UN COUP D’ŒIL
Lancement du projet : novembre 2007
Maître d’ouvrage : SdPSP
Maître d’œuvre : Sigedis
Partenaires : BCSS, ONP, ONSS, ONSSAPL et Smals
Nombre d’employeurs concernés : 1.780 dont 180 ONSS et 1600 ONSSAPL
Nombre de travailleurs concernés : 950.000 dont 610.000 de l’ONSS et 340.000 de l’ONSSAPL
Dates pivot : • 1er janvier 2011: mise en production de la DMFA(PPL) adaptée
• 1er janvier 2013 : Disparition du dossier de pension papier
• 1er janvier 2016 : Fin de la récolte des données historiques
Cadre légal : Titre 13 de La Loi du 29 décembre 2010 portant des dispositions
diverses (I), parue au Moniteur belge du 31 décembre 2010, 3e édition.
Annexes
organisation/page 15
Organisationtion
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
Annexes
organisation/organigramme/page 16
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/organigramme/page 17
Le conseiller en sécurité de l’information a une mission d’avis, de stimulation, de documentation et de contrôle. Il conseille
l’Administrateur général de l’institution, à sa demande ou de sa propre initiative, sur tous les aspects relatifs à la sécurité
de l’information. Il promeut et veille au respect des règles de sécurité de l’information imposées par la législation ainsi que
l’adoption, par les membres du personnel, d’un comportement favorisant la sécurité. Il rassemble la documentation utile à ce sujet.
Le conseiller en prévention conseille et donne des avis à l’employeur, en toute autonomie, en concertation avec tous les
partenaires sociaux et de préférence de façon pro-active, sur la sécurité et l’hygiène au travail, la santé des travailleurs, la charge
psychosociale dont ils font l’objet, l’ergonomie et l’embellissement de leurs lieux de travail.
La personne de confi ance est un des acteurs dans la prévention de la violence, du harcèlement et des comportements
sexuels indésirables sur le lieu de travail. Sa présence et son intervention dans la recherche de solutions de manière informelle
vont permettre de limiter le nombre de plaintes motivées et de résoudre des situations qui, sans être constitutives de violence,
de harcèlement ou de comportements sexuels indésirables sur le lieu de travail, occasionnent une charge psychosociale chez la personne. La person-
ne de confi ance a un rôle très important de « première ligne ».
Le fonctionnaire de l’intégrité est chargé de sensibiliser les agents aux valeurs de respect, d’impartialité, de conscience
professionnelle et de loyauté ainsi qu’aux règles de la fonction publique fédérale afi n d’orienter leurs actions professionnelles.
Il intervient comme personne de contact lors d’initiatives concrètes et/ou de propositions stratégiques dans le domaine de la
politique et de la gestion fédérale préventive de l’intégrité.
Le Comité de Concertation de Base (CCB) est l’endroit où ont lieu, conformément au statut syndical du personnel des
administrations publiques, les négociations et concertations sur les mesures à caractère général que l’autorité souhaite
prendre pour le personnel. Il réunit les représentants de l’autorité et les représentants des organisations syndicales
représentatives. Les matières abordées et négociées sont, entre autres, la réglementation relative au statut pécuniaire,
le statut administratif, les dispositions générales relatives à la durée de travail, l’organisation du travail et le cadre du personnel.
L’Audit interne veille au respect des projets importants du SdPSP pour avoir l’assurance que les membres du personnel
exercent leurs fonctions et participent à la réalisation des missions du SdPSP en ayant la maîtrise de leurs activités, de leurs
opérations et des ressources qu’ils utilisent (conformité aux directives, effi cacité, effi cience).
L’Audit interne veille à rappeler que l’effi cacité du système de contrôle interne s’appuie sur la visibilité de la norme et sur la transparence de sa mise
en œuvre. Il remplit donc un rôle étroitement lié au système de contrôle interne.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/PMO/page 18
PAIEMENTSCDF
CLIENTCRM - GED
CONNAIS-SANCE
Contrôle interne
Team du projet «Maendeleo»
COMITÉDE PILOTAGE
Axes
str
atég
ique
s
CAPELOCarrière publique
électroniqueElektronische
loopbaan overheid
GESTION DU CHANGEMENT (coaching, formation et cours, outils de partage et de collaboration)
1. Processus métier: - processus global (as is - to be - qualité - risques- indicateurs) - sous-processus (as is - to be - qualité - risques- indicateurs)
2. Processus d’encadrement
COMMUNICATION PROJET (communication formelle et informelle)
GESTION DE PROJET (soutien méthodologique, suivi de projet)
R.H.
PMO
PMO – Project Management Offi ce
Le service PMO (Project Management Offi ce) est le bureau de gestion des
projets.
Le PMO offre un cadre dans lequel les différents projets peuvent se
dérouler de manière structurée.
Outre l’identifi cation et le développement de la méthodologie de gestion
des projets, le PMO assure également le suivi de tous les projets. Le ser-
vice a pour cela des réunions mensuelles avec l’administrateur général. Le
service offre également un soutien méthodologique aux chefs de projet
et est responsable du rapportage des réunions mensuelles du Comité de
pilotage. Le Comité de pilotage met les moyens fi nanciers à la disposition
des différents projets et prend des décisions pour toutes les questions
prioritaires qui ne dépendent pas de la compétence du chef de projet. Le
Comité de pilotage évalue aussi si le service ou le produit fourni répond
aux exigences imposées.
Le PMO a mené au cours de l’année 2011 diverses actions afi n d’augmenter
la visibilité non seulement du service mais aussi des concepts de la gestion
de projets. Ce service a ainsi fait périodiquement sur l’intranet des pu-
blications relatives à la méthodologie, aux outils et modèles disponibles,
ainsi qu’au suivi des projets.
En l’occurrence, dans le programme MAENDELEO, le PMO a suivi particu-
lièrement les projets de l’axe CAPELO : avec le développement de CAPELO
et du futur dossier de pension électronique, le cycle de vie du dossier de
pension commence beaucoup plus tôt .
Il y aura donc logiquement davantage d’activités de différents interve-
nants tout au long de ce cycle de vie (par ex. Sigedis, le service de gestion
des données électroniques de carrière à propos de la régularisation de
carrière, le Contact Center pour les demandes d’informations, les services
d’attribution pour une estimation, etc.).
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
Cycle de vie d’un dossierde pension papier
Début ducycle de vie :
la demandede pension
Début ducycle de vie :
1ère déclarationDmfA(PPL)
Intervenants
Sigedis, Service de gestiondes données électroniquesde carrière, Contact Center,
Services d’attribution,...
Cycle de vie d’un dossierde pension électronique
organisation/services de staff/PMO/page 19
PMO – Project Management Offi ce
Par conséquent, dans ce cadre, les projets suivants ont été réalisés ou
poursuivis au cours de l’année 2011 :
• élaboration par le SdPSP des business rules sur la base desquelles
l’exactitude des données de carrière qui parviennent à l’ASBL Sigedis
peut être testé ;
• organisation du transfert des données brutes CAPELO (données de
carrière, données ponctuelles et données historiques) de Sigedis vers
le SdPSP ;
• création d’une banque de données centrale des carrières pour le
secteur public ;
• description des activités, des fonctions et instruments du nouveau
service de gestion des données électroniques de carrière à mettre
en œuvre pour le contrôle de conformité des données reçues et
l’analyse et la détection des anomalies ;
• impact de la création du service de gestion des données
électroniques de carrière sur les services d’attribution : vérifi cation
des droits à la pension, décision de pension, et communication 2ème
ligne ;
• GED/CRM:Poursuite du développement des outils nécessaires à la
gestion électronique non seulement des documents (GED) mais aussi
des relations clients (CRM) ;
• gestion de la connaissance : poursuite du développement d’un
WIKI orienté contrôle par l’intégration des leçons apprises suite aux
questions soulevées par les employeurs du secteur public quant à
leurs obligations, dans le cadre de CAPELO, dans la fourniture des
données de carrière.
Le service PMO a apporté aussi une contribution concrète à la
poursuite de la mise en place du système de contrôle interne du
SdPSP.
Le plan d’action relatif au contrôle interne mis en œuvre en 2011
comporte 15 projets.
Il comprend deux volets:
1. L’amélioration de l’environnement de contrôle (3 projets)
2. La mise en place d’activités de contrôle (12 projets)
Le service PMO a en outre été désigné chef de projet pour le
projet suivant:
“L’amélioration de la sécurité de l’information et de la gestion de
la continuité de service”. Ce projet, d’une durée initiale de deux ans,
se poursuit en 2012.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/PMO/page 20
LE CONTRÔLE INTERNE
C’est l’ensemble des actions entrepri-ses par le Comité de direction, la hiérar-chie et l’ensemble du personnel en vue de fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des objectifs gé-néraux suivants :
1. l’effi cacité1 et l’effi cience2 des activités opérationnelles ; 2. la fi abilité des ressources (informations, documents probants, savoir-faire, con-
naissances, biens,…) et leur protection contre les pertes, les mauvais usages et les dommages ;
3. la conformité aux lois et règlementations en vigueur.
Dans cette signifi cation, il est préférable de parler de maîtrise de l’organisation, comme synonyme de contrôle interne.
AINSI, LE CONTRÔLE INTERNE • vise la maîtrise des risques (et non la vérifi cation) : est-ce que notre
organisation, le SdPSP, est sous contrôle ?• est un processus : C’est un moyen d’arriver à ses fi ns et non pas une fi n en soi ;• vise à procurer une assurance raisonnable (et non absolue) de la réalisation
des objectifs : nul ne peut prédire l’avenir avec une complète certitude. Tant à l’extérieur qu’à l’intérieur de l’organisation, il y a des risques sur lesquels nous n’avons pas d’infl uence et dont la survenance peut compromettre la réalisation des objectifs. En outre, le coût du contrôle interne ne doit pas dépasser le bénéfi ce qui en découle ;
• est l’affaire de tout le monde : il est mis en œuvre par l’ensemble des collaborateurs, à chaque niveau du SdPSP et dans toutes les fonctions ;
1 La réalisation des opérations2 L’optimisation des opérations
• est permanent : Le contrôle interne n’est pas un événement isolé mais un ensemble d’actions qui touchent à toutes les activités d’une organisation. Ces actions sont présentes de manière continue dans toutes les opérations d’une organisation ;
• est intégré et non superposé : Il ne s’agit pas d’ajouter des activités supplémentaires (ou un fardeau nécessaire), de nouvelles procédures de contrôle mais d’intégrer ces procédures de contrôle aux activités opérationnelles existantes. Les mesures de contrôle interne font partie intégrale de la façon quotidienne de travailler.
L’ENVIRONNEMENT DE CONTRÔLE Il s’agit du milieu dans lequel les personnes accomplissent leurs tâches et assument leurs responsabilités. Il englobe la culture et l’esprit de l’organisation. Il correspond, pour l’essentiel, aux valeurs diffusées dans l’entreprise.
• Au niveau de l’organisation, le style de management des dirigeants et les règles comportementales comme le cadre déontologique ou le règlement de travail, par exemple, jouent un rôle essentiel. Les règles relatives à la structure de l’organisation, la délégation de pouvoirs et de responsabilités, et les descriptions
de fonctions notamment font également partie de l’environnement de contrôle.• Au niveau individuel, ce sont l’intégrité, les valeurs éthiques, et les
compétences professionnelles des collaborateurs qui le façonnent dans une large mesure.
• L’environnement de contrôle est l’élément de base indispensable à la création et au maintien d’un système de contrôle interne effi cace.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/PMO/page 21
LA MISE EN PLACE D’ACTIVITÉS DE CONTRÔLE
• Le bon déroulement des opérations passe par la défi nition et l’application effective de normes et procédures. (Des normes pour défi nir ce qui doit être fait, et des procédures pour réaliser ces objectifs).
• Il s’agit de mesures nécessaires pour réduire les risques susceptibles d’affecter la réalisation des objectifs.
• Ces activités de contrôle peuvent être orientées vers la prévention et/ou la détection, être manuelles ou automatisées (les mesures correctives constituent un complément nécessaire des activités de contrôle interne en vue de la réalisation des objectifs).
Les contrôles préventifs peuvent consister notamment à réglementer
les compétences, restreindre les accès au système par des mots de
passe, etc. ;
Les contrôles de détection sont, par exemple, des contrôles de
conformité et de concordance.
• il convient cependant de veiller à ce que les activités de contrôle soient adéquates, sans- retarder par des processus ineffi caces le déroulement des opérations ;- limiter par des procédures complexes l’aptitude à résoudre les problèmes ;- empêcher la fourniture dans les délais des services demandés ;- générer des coûts qui excèdent l’utilité procurée.
Voir aussi annexe 1 (p. 78):
Aperçu des projets “contrôle interne”
au sein du SdPSP - Année 2011
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/contrôle externe/page 22
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
1. Mission
Contrôle exercé par la Cour des comptes
Les pensions octroyées par le SdPSP pour l’autorité fédérale, les Commu-
nautés et les Régions ne deviennent défi nitives qu’après l’approbation par
la Cour des comptes. Cette Cour exerce une fonction de contrôle.
La Cour des comptes est une institution qui :
• surveille toutes les dépenses de l’Etat ;
• par conséquent, approuve la légalité et le taux des pensions
octroyées dans le secteur public.
Depuis le 1er janvier 2007, les pensions de la SNCB Holding sont exclues
des pensions qui sont soumises au visa de la Cour des comptes (A.R. du
28 décembre 2006 (M.B. du 29 décembre 2006 – huitième édition)).
Mission en ce qui concerne les pensions
qui ne sont pas soumises à la Cour des comptes
Pour les pensions des pouvoirs locaux (durant l’année 2011, la structure
ci-dessous est toujours d’application :
Pool 1 : le régime commun de pension des pouvoirs locaux (complet)
Pool 2 : le régime des nouveaux affi liés auprès de l’ONSSAPL (en grande
partie)
Pool 4 : les conventions directes et indirectes avec des régimes de pension
locaux en gestion propre pour lesquelles le SdPSP est compétent et pour
lesquelles il n’y a pas de contrôle externe de la Cour des comptes. Le
SdPSP accomplit une mission de contrôle qui peut être comparée à celle
exercée par la Cour des comptes.
Cette mission porte sur les pensions de retraite et de survie qui sont gé-
rées par le SdPSP et sont à charge de l’ONSSAPL, ainsi qu’aux pensions
de retraite et de survie gérées par le SdPSP, en application d’une conven-
tion. Selon le cas, cette convention a trait aux membres du personnel
de l’administration communale ou du CPAS ou encore aux mandataires
(bourgmestre, échevins, ...).
La mission est étendue à une mission de contrôle externe concernant les
pensions de retraite et de survie qui ne sont pas gérées par le SdPSP, mais
par une institution de prévoyance (Ethias).Il s’agit des pensions accordées
aux anciens membres du personnel et ayants droit de certains pouvoirs
locaux relevant du régime des nouveaux affi liés à l’ONSSAPL (Pool 2).
Selon le choix de l’employeur, le SdPSP ou une institution de prévoyance
est chargée du calcul des pensions, tandis que l’ONSSAPL assure le fi -
nancement. Au cas où l’employeur choisit une institution de prévoyance,
cette dernière est alors chargée soit du calcul et du paiement des pen-
sions, soit uniquement de leur paiement.
Si l’employeur ne choisit pas le SdPSP, celui-ci exerce une fonction de
contrôle externe.
Contrôle des pensions qui ne sont pas soumises à la Cour des comptes
organisation/services de staff/contrôle externe/page 23
Le SdPSP exerce sa fonction de contrôle externe :
• sur les pensions provinciales des Provinces de Hainaut, de Liège et
de Namur ;
• sur les pensions des intercommunales, villes, communes et CPAS
mentionnés ci-dessous (classés par Région) :
• en Région fl amande : les villes et CPAS d’Alost, d’Anvers, de
Gand, de Renaix et de Turnhout ;
• en Région de Bruxelles-capitale : la commune d’Anderlecht, ainsi
que les communes et CPAS d’Etterbeek, d’Evere et de Forest ;
• en Région wallonne : la ville et le CPAS de Liège, ainsi que
l’Association liégeoise du Gaz, le Centre Funéraire de Liège, le
Centre Hospitalier régional de Huy, pour lesquels Ethias intervient
comme institution de prévoyance.
Cette mission externe est également étendue aux pensions gérées et
payées par la SNCB Holding à charge du Trésor public, à la suite de la
reprise (à partir du 1er janvier 2007) des obligations de pensions de la
S.N.C.B. Holding, précédemment autonome, par le Trésor Public (A.R. du
28 décembre 2005 (M.B. du 30 décembre – seconde édition ; erratum
M.B. du 20 février 2006 – seconde édition)).
Les tâches complémentaires suivantes découlent de cette mission
externe :
• tendre, dans le cadre du contrôle effectué, à un bon fl ux d’informations
entre le SdPSP d’une part et Ethias et la SNCB Holding, d’autre part ;
• signaler les problèmes dans l’application de la législation en matière de
pensions par Ethias et la SNCB Holding ;
• signaler les divergences d’interprétation et d’application en ce qui
concerne la législation en matière de pensions entre les deux rôles lin-
guistiques au sein du SdPSP, Ethias et la SNCB Holding ;
• proposer des solutions pour les problèmes signalés.
Le récent élargissement des compétences, en ce qui concerne les pen-
sions du secteur public octroyées par Ethias et la SNCB Holding, oblige
de plus en plus la cellule à travailler sous forme de coups de sonde. Si,
dans un avenir proche, encore davantage de conventions sont conclues,
si de nouvelles adhésions sont effectuées aux systèmes des Pools et/ou
si de nouvelles tâches de contrôle sont transférées, la cellule de contrôle
externe au sein du SdPSP devra être élargie.
Dans l’exercice des fonctions de contrôle précitées, les moyens de com-
munication modernes en matière de courrier électronique sont de plus en
plus utilisés entre services.
Contrôle des pensions qui ne sont pas soumises à la Cour des comptes
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/contrôle externe/page 24
2. Statistiques
En ce qui concerne l’exercice 2011 et à propos des dossiers de pension
traités par le SdPSP, il y a lieu de préciser que le contrôle s’effectue désor-
mais sur la base d’une sélection informatique.
APPROBATIONS OBSERVATIONS
NL FR NL FR
pensions de retraite 969 1.116 26 50
pensions de survie 422 255 8 49
En ce qui concerne la SNCB Holding :
APPROBATIONS OBSERVATIONS
NL FR NL FR
pensions de retraite 139 133 10 9
pensions de survie 15 51 2 0
En ce qui concerne les dossiers Ethias (transmis par Ethias) :
APPROBATIONS OBSERVATIONS
NL FR NL FR
pensions de retraite 29 2 10 3
pensions de survie 6 0 1 1
En ce qui concerne les pensions provinciales payées par Ethias
(Provinces de Hainaut, de Namur et de Liège) :
APPROBATIONS OBSERVATIONS
FR FR
pensions de retraite 13 7
pensions de survie 2 3
Contrôle des pensions qui ne sont pas soumises à la Cour des comptes
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/communication/page 25
OstendeBruges
Courtrai
Saint-Nicolas
Gand
MonsCharleroi
Bruxelles
Louvain
Wavre
Anvers
Turnhout
Hasselt
LiègeEupen
Arlon
Namur
Marche-en-Famenne
Malmedy
Libramont
Grammont
Tournai
Communication avec le citoyen
1. Pointpensions
Les 22 Pointpensions (2 à Bruxelles - F et N ; 10 en Flandre et 10 en Wallonie
– dont un germanophone) ont permis de recevoir en 2011 15.732 visiteurs
(90 germanophones, 6.828 néerlandophones et 8.814 francophones)
désireux d’obtenir une aide pour traiter leur dossier, compléter des docu-
ments, estimer le montant de leur future(s) pension(s), obtenir des in-
formations sur leur(s) pension(s), poser des questions pour préparer leur
retraite.
Au-delà des questions habituelles posées par nos visiteurs aux
Pointpensions, ce contact direct permet de sensibiliser nos futurs
pensionnés aux grands changements à venir,
aux projets en cours.
Répartitiongéographiquedes Pointpensions
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/communication/page 26
STATISTIQUES SELON LE TITRE ET LE RÔLE LINGUISTIQUE
BROCHURES NL FR DE TOTAL
Retraite 6.820 5.724 120 12.664
Survie 5.529 2.055 120 7.704
Cumul 4.890 1.858 120 6.868
Interruption de carrière 7.189 2.713 120 10.022
TOTAL 24.428 12.350 480 37.258
STATISTIQUES SELON LE DEMANDEUR
DEMANDEUR NOMBRE
Services opérationnels 1.016
Salons 2.435
Pointpensions 4.441
Particuliers 3.290
Sessions d’info/Workshops 13.935
Services publics 12.141
TOTAL 37.258
Communication avec le citoyen
2. Publications
Les diverses
publications telles que les quatre brochures (pensions de retraite, pen-
sions de survie, cumul, interruptions de carrière/absences), les fl yers sur
les Pointpensions sont bien évidemment tenues à jour afi n d’informer au
mieux notre public cible. Le tableau ci-après nous donne un aperçu de la
ventilation des brochures distribuées.
3. Salons
En 2011, le SdPSP a participé à cinq salons spécifi quement destinés à un
public de plus de 50 ans : à Bruxelles (Zénith), Marche-en-Famenne (Salon
des Mandataires), Genk (Actief50), Liège (Papi’On) et Couillet (Hainaut
Seniors).
La rencontre directe dans un environnement informel permet, outre les
questions et réponses habituelles, d’introduire auprès de nos futurs clients
la notion de dossier électronique de pension.
NOMBRE DE VISITEURS PAR SALON
Zenith (Bruxelles) 308
Papi’On (Liège) 142
Actief50 (Genk) 102
Salon des Mandataires (Marche-en-Famenne) 84
Hainaut Seniors (Couillet) 45
TOTAL 681
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/communication/page 27
Communication avec le citoyen
4. Site internet
Le site internet du SdPSP est en continuel développement afi n de rensei-
gner au plus vite, et au mieux, les (futurs) pensionnés, les administrations
et les employeurs. C’est de loin l’instrument le plus proactif et le plus
rapidement adaptable.
Outre les messages de communication générale habituelle, le site inter-
net est constamment adapté en tenant compte de l’évolution du projet
Capelo.
C’est aussi, par cette voie privilégiée que l’on peut faire connaître, aux dif-
férentes administrations (ou acteurs dans le domaine des pensions du sec-
teur public tels que les secrétariats sociaux) les dates et surtout le contenu
des sessions d’information Capelo dispensées en nos locaux.
Le nombre d’inscriptions et la vitesse à laquelle les diverses sessions ont
été remplies prouvent la pertinence et l’apport communicationnel de l’ou-
til internet.
Les statistiques des pensions : peuvent être consultées en ligne. Après
avoir choisi l’année de référence, on trouve différentes statistiques ainsi
qu’un Dashboard reprenant les dépenses annuelles brutes et le nombre
de pensions (réparties par province, région, âge de prise de cours, motif
de la mise à la retraite, etc.)
De nombreux liens renvoient vers d’autres sites tels ceux de l’ONP,
l’INASTI, le SCDF, le portail de Sécurité sociale et bien entendu le site de
Capelo.
En 2011, le SdPSP a collaboré à l’élaboration d’une nouvelle application
pratique : « Coming2Belgium » sur le Portail de Sécurité sociale. Ce nou-
vel outil concerne les personnes venant en Belgique pour y habiter, tra-
vailler ou étudier pour une longue période ou les belges qui reviennent au
pays après avoir résidé longtemps à l’étranger.
Pour plus d’informations, consultez : www.coming2belgium.be.
5. Emissions à la radio
Chaque année, diverses chaînes de radio organisent des émissions spé-
ciales «pensions ». Toujours dans le but de toucher le plus grand nombre
et de répondre à l’attente en matière d’informations sur les pensions, le
service communication participe activement aux journées radiophoniques.
En 2011, le SdPSP a participé à des journées « pensions » sur les ondes de
Radio2, Bel RTL et Vivacité.
Lors de l’émission radio Bel-RTL/ Opération SOS-Pensions du 8 novembre
2011, organisée en collaboration avec les trois institutions de pensions
(INASTI, ONP et SdPSP), les auditeurs ont pu poser leurs questions aux
spécialistes des trois régimes de pensions. 92 appels téléphoniques étaient
destinés au SdPSP.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services de staff/communication/page 28
Communication avec les professionnels
1. Sessions d’informations au sein du SdPSP(pensions de retraite/survie + Capelo)
Les sessions d’informations se sont focalisées sur deux thèmes importants
durant l’année 2011.
Entre le 1er janvier et le 30 juin, le contenu des sessions d’informations
était mixte, à savoir, une partie portant sur la législation en matière de
pensions de retraite et de survie et une deuxième partie portant sur le
dossier électronique (Capelo).
A partir du 1er septembre 2011, vu l’importance croissante du projet de
dossier électronique dans la gestion des futurs dossiers de pension, il a été
décidé de consacrer l’entièreté des sessions au projet Capelo.
Au total, le service communication a assuré :
38 sessions néerlandophones (pour 1.632 participants) et
37 sessions francophones (pour 1.466 participants).
2. Sessions d’informations extérieures (pensions de retraite/survie + Capelo)
Le même contenu (législation pension de retraite et de survie + Capelo) a
été donné pour les sessions d’informations externes.
Ces sessions ont lieu, notamment, à la communauté fl amande, au Vlaamse
Dienst voor Arbeidsbemiddeling (VDAB), à l’Offi ce national des pensions
(ONP), à l’Institut National pour les Travailleurs Indépendants (INASTI), à
l’Offi ce National de Sécurité Sociale (ONSS), dans les écoles d’administra-
tions provinciales néerlandophones, dans différents secrétariats sociaux
(Adehis, Schaubroeck), dans diverses écoles de la communauté française
(secrétaires de direction), dans les mutualités (assistants sociaux), et via
l’Université des Aînés.
En externe, 39 séances néerlandophones et 47 séances francophones ont
été assurées.
Josiane Leclere, Johann Poulain et Philippe Bergeret, les formateurs francophones
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisatie/organogram/pagina 29
2011 étant la première année importante pour la législation Capelo, la
plupart des sessions d’information du SdPSP furent donc consacrées au
dossier de pension électronique.
Vu que l’application Capelo était encore en plein développement, mon rôle
fut d’en suivre de très près l’évolution afi n que le contenu des sessions soit
toujours à jour. La matinée était orientée sur l’aspect théorique qui, outre
la mise en lumière de l’importance du dossier de pension électronique,
permettait de parcourir plusieurs articles de loi relatifs à Capelo. L’après-
midi était réservé à une formation pratique lors de laquelle les participants
pouvaient encoder eux-mêmes un dossier dans la base de données Capelo.
Des réactions personnelles des participants, il est ressorti une réelle attente
d’informations correctes mais aussi la bonne perception des personnes
présentes quant à l’effet win-win que ce projet aura dans l’avenir pour
l’ensemble des parties concernées. En outre, les formulaires d’évaluation
ont révélé que ces sessions d’information sont nécessaires et fortement
appréciées par notre public cible pour leur effet clarifi ant. Et c’est bien
l’objectif que nous poursuivons !
La demande était tellement forte que toutes les sessions données au SdPSP
furent complètes en un temps record. Raison pour laquelle l’organisation
des sessions d’information Capelo se poursuivra en 2012. En effet, à partir
du 1er janvier 2013, les données historiques numériques seront d’une
importance cruciale pour l’estimation et le calcul de la pension.
Mais 2012 aura bien plus à offrir ! Dès que la réforme fondamentale en
matière de pensions sera mise en oeuvre, le SdPSP proposera également
en 2012 des sessions d’information à ce sujet à ses groupes cibles de
professionnels. Et, l’information qualitative et correcte étant plus que
jamais une préoccupation majeure du SdPSP, j’ose dès à présent affi rmer :
« participer à une session d’information du SdPSP est un ‘must ‘ pour tous
ceux qui s’occupent professionnellement de dossiers de pension. »
‘ Il en ressort
une réelle attente
d’informations
correctes mais aussi
la bonne perception
des personnes
présentes quant à l’effet win-win du projet Capelo
pour l’ensemble des parties concernées.’
Pause Café avec Guy NechelputExpert fi nancier et administratif - service communication - SdPSP
organisation/services de staff/communication/page 30
Communication avec le personnel du SdPSP
1. Midis Maendeleo
Maendeleo est un terme swahili signifi ant progrès, développement,
construction de l’avenir. Ce programme Maendeleo a été élaboré au
SdPSP autour de 5 axes stratégiques (dont Capelo) apportant chacun un
changement.
Dans le but de continuer à informer le personnel du SdPSP au sujet des
différents changements en cours, le service communication organise tou-
jours des exposés informels, donnés au sein même de l’administration,
appelés les Midis Maendeleo. Ces exposés sont utiles pour transmettre
le schéma de l’évolution future de notre administration axée principale-
ment sur le projet Capelo qui va révolutionner fondamentalement notre
manière de fonctionner. En 2011, il y a eu 8 Midis Maendeleo :
2. Formations internes
Il est connu de tous que pour pouvoir faire passer un message, une infor-
mation, il faut en maîtriser toutes les facettes.
Partant de cette évidence au niveau de la formation interne, le service
communication a organisé et assumé des formations (générales) sur les
pensions et (spéciales) sur le projet Capelo pour les collaborateurs du
Contact Center. Ce Contact Center a démarré le 16mai 2011.
3. Eurekanet
C’est un outil important de la communication interne puisqu’il permet
au service de communication d’annoncer ses diverses activités (Pointpen-
sions, sessions d’infos, salons, émissions radio, Midi Maendeleo…) au
personnel du SdPSP
Il permet également de diffuser toutes les informations (lé-
gales et autres) sur les pensions et sur l’évolution des diffé-
rent projets du SdPSP, notamment sur Capelo.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services d’encadrement/HRM/page 31
Unités physiques (UP) et Equivalents temps plein (ETP)
Occupation au 01/01/2012 NL FR TOTAL
MANAGERS 1 0 (*) 1
NIVEAU A 40 44 84
NIVEAU B 78 65 143
NIVEAU C 104 85 189
NIVEAU D 35 37 72
MANAGERS + A + B + C+ D 258 231 489
(*) procédure de désignation en cours
Au 1er janvier 2012, le nombre d’ETP (correspondant aux 489 unités phy-
siques dont question dans le tableau) est de 420,85 ce qui représente
un pourcentage ETP payés s’élevant à 86,06 %. Ce pourcentage est à
peu près équivalent aux années antérieures (les pourcentages se situaient
entre 85 et 87 %). Seule l’année 2010 a constitué l’exception puisque le
pourcentage ETP fi xé au 1er janvier 2011 était de 90,86 %. Ce pourcen-
tage plus élevé est un phénomène temporaire causé par le nombre plus
élevé de recrutements concrétisés fi n 2009 et courant 2010. En effet,
le nombre de collaborateurs en stage infl uent sur le pourcentage d’ETP
puisqu’ils ne peuvent obtenir, pendant la durée du stage, ni congés spé-
ciaux, ni autres absences ou réductions des prestations.
Répartitionen équivalents temps plein (ETP)
Au 1er janvier 2012, 33,95 % du personnel travaillent à temps partiel et
66,05 % à temps plein. Si on convertit cela en ETP, cela correspond à un
degré d’activité de 86,06 %.
0
50
100
150
200
250
300
350
24 395 2
94
319
R E PA RT I T I O N E N E T P
0 04,97 %
1/2 08,07 %
2/3 01,04 %
3/4 00,41 %
4/5 19,46 %
1/1 66,05 %
33,95 %tempspartiel
66,05 %temps plein
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services d’encadrement/HRM/page 32
Etat de l’occupation par degrés de la hiérarchie (01/01/2012)
Degrés NL FR TOTAL
1er degré (Managers) 1 0 1
2ème degré (A4 + A3) 12 12 24
3ème degré (A2 + A1 + B) 106 97 203
4ème degré (C) 104 85 189
5ème degré (D) 35 37 72
TOTAL 258 231 489
Le premier degré linguistique est occupé par les mandataires. Au SdPSP,
il s’agit uniquement des fonctions d’administrateur général et d’adminis-
trateur général adjoint. L’administrateur général adjoint n’a actuellement
pas encore pris ses fonctions. A cet égard, l’équilibre linguistique au pre-
mier degré (1F + 1N) ne pourra être établi qu’après la désignation du
candidat francophone.
Le deuxième degré linguistique est composé des membres du personnel
de niveau A appartement à la classe A4 et à la classe A3. La parité linguis-
tique dans ce degré de la hiérarchie est respectée (50% FR + 50% NL)
Le troisième degré linguistique est composé des membres du personnel
de niveau A appartement à la classe A2 et à la classe A1 et des membres
du personnel appartenant au niveau B et le quatrième degré linguis-
tique est composé des membres du personnel appartenant au niveau C.
Pour ces degrés, les pourcentages fi xés par l’arrêté royal du 28 novembre
2008 ayant trait à l’établissement des cadres linguistiques du SdPSP sont
de 45,56% pour les francophones et de 54,44% pour les néerlando-
phones. Le déséquilibre linguistique actuel est la conséquence de départs
naturels qui n’ont pas pu être immédiatement compensés par des recru-
tements. Par ailleurs, la contraction de l’enveloppe budgétaire du person-
nel (diminutions annuelles linéaires) rend problématique une répartition
correcte du personnel dans chaque rôle linguistique. Une priorité absolue
est toutefois accordée aux recrutements de membres du personnel néer-
landophones appartenant aux troisième et quatrième degrés.
Le cinquième degré linguistique est composé des membres du person-
nel de niveau D. Il n’y a pour l’instant plus aucun recrutement dans ce
degré. Le surplus historique de francophones se réduit lentement par les
départs naturels progressifs.
Enveloppe du personnel 2011
Le rapport entre les crédits disponibles et les crédits utilisés au cours de
l’année 2011 s’élève à 99,30% (24.477.292,16 / 24.650.000). Ce pour-
centage correspond à une utilisation presque optimale des crédits de per-
sonnel alloués grâce au monitoring interne mis en place ainsi qu’au suivi
mensuel au sein du service HRM du SdPSP.
Utilisation des crédits du personnel 2011
personnel statutaire non statutaire
rémunérations 19.798.890,09 2.027.287,53
charges sociales dérivant de la législation
sociale – part patronale
1.723.570,89 422.077,97
intervention abonnements sociaux 430.545,00 74.920,68
Sous-total 21.953.005,98 2.524.286,18
TOTAL 24.477.292,16
Crédits du personnel 2011
personnel statutaire non statutaire
rémunérations 19.882.000,00 2.101.000,00
charges sociales dérivant de la législation
sociale – part patronale
1.715.000,00 425.000,00
intervention abonnements sociaux 450.000,00 77.000,00
Sous-total 22.047.000,00 2.603.000,00
TOTAL 24.650.000
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services d’encadrement/HRM/page 33
Répartition des effectifs au 31/01/2011
• Statutaire – Contractuel Le rapport contractuel / statutaire reste stable par rapport à l’année
2010. Le SdPSP continue à donner la priorité au recrutement de membres du personnel statutaire
mais veille à respecter le quota de 3% réservé à l’engagement de membres du personnel pou-
vant bénéfi cier d’un contrat de premier emploi.
• Français – Néerlandais Afi n de respecter le cadre linguistique, la priorité sera donnée en
2012 au recrutement de membres du personnel néerlandophones.
• Selon le niveau La perte de 17 membres du personnel par rapport à l’année 2010
(510 membres du personnel) doit être compensée par de nouveaux recrutements en 2012 en
respectant toutefois les marges budgétaires disponibles de l’enveloppe du personnel 2012.
• Femme – Homme Le pourcentage de membres du personnel féminin est en légère progres-
sion par rapport à l’année 2010 (ce pourcentage était alors de 64,12 % femmes et 35,88%
hommes).
• Catégories d’âge L’âge moyen au SdPSP est environ 48 ans. Plus de la moitié des membres
du personnel ont plus de 50 ans. Voir pyramide des âges.
Entrées et départs 2011
• Entrées 2011 En 2011, le SdPSP a accueilli 6 nouveaux statutaires et 1 contractuel.
• Départs 2011 31 statutaires et 1 contractuel ont quittés le SdPSP.
MUTATIONS PERSONNEL PAR NIVEAU
-4 +1DEPARTS AFFLUX
-15 -10 -5 0 5 10 15
-12 +0B
-10 +5C
-6 +1D
A
P Y R A M I D E D E S Â G E S
<25
25-2
9
30-3
4
35-3
9
40-4
4
45-4
9
50-5
4
55-5
9
60 e
n +
0
20
40
60
80
100
120
65,01 % femmes
hommes 34,99 %
314
169
0
50
100
150
200
82
143
185
72
1
N I V E A U
niveau A 16,98 %
niveau B 29,61 %
niveau C 38,30 %
niveau D 14,91 %
niveau MAN 00,21 %
47,41 % français
neérlandais 52,59 %
229
254
14,29 % contractuels
statutaires 85,71 %
69
414
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisatie/organogram/pagina 34
Pause Café avec Benoît WillemsResponsable des Cercles de développement - Gestion des Compétences - Taxonomie des fonctions - SdPSP
Formalisation des descriptions de fonction des services opérationnels
La mise en œuvre du projet CAPELO nécessite la création d’un nouveau service opérationnel : le service de gestion des
données électroniques de carrière. Les agents de ce nouveau service auront pour mission de contrôler les données de
carrière des futurs pensionnés transmises au SdPSP.
CAPELO engendre aussi une mutation des services opérationnels existants (services de consultation et d’attribution des
pensions, de gestion et de gestion de l’information).
Les membres du Comité de direction, les directeurs des services opérationnels et le responsable des descriptions de
fonction du service HRM se réunissent en groupe de travail afi n de préciser les rôles et les activités de chaque service à
partir du début 2012 ainsi que les descriptions de fonctions qui y sont associées.
Après consultation d’experts ou de chefs de bureaux des services intéressés, des canevas de descriptions de fonctions (D.F.)
sont produits :
• D.F. d’« analyste de données » spécifi que au service de gestion, nécessitant un appel à candidature externe au SdPSP en
collaboration avec SELOR et
• D.F. génériques « Expert pension » et « Gestionnaire de dossiers » destinées à tous les agents des services opérationnels,
exceptés ceux du Contact Center qui ont déjà une nouvelle description de fonction spécifi que.
‘ Le projet Capelo modifie
les missions des services existants.
Pour chaque service, à partir de 2012,
les nouveaux rôles et activités ainsi que
les descriptions de fonctions doivent être spécifiées.’
organisation/services d’encadrement/ICT/page 35
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
Les nouvelles applications
1. Diverses nouvelles applications informatisées ont été mises en production en 2011
1.1 Un outil de type CRM (Citizen Relationship Management) permet
depuis mai 2011 de centraliser sous forme de fi ches numériques les infor-
mations échangées entre le SdPSP d’une part et les membres du person-
nel actif et pensionnés d’autre part.
La fi che client contient un résumé de l’ensemble des informations
collectées :
• les données principales relatives à la carrière de l’intéressé,
rassemblées grâce à Capelo ;
• les informations liées aux estimations et à la pension, produites à
l’aide du moteur de calcul des pensions du SdPSP Pencalc ;
• un résumé de tous les contacts téléphoniques ;
• un aperçu des courriers électroniques échangés ;
• une version électronique des informations papier échangées.
La digitalisation des fl ux papier est rendue possible grâce à un système de
Gestion Electronique Documentaire (GED). Celui-ci s’appuie sur la mise
en place de dossiers destinés à récolter les documents. Les formulaires
envoyés à un pensionné sont accompagnés d’un code à barre afi n de
faciliter leur saisie ultérieure. L’ensemble des courriers métier entrant au
SdPSP sont scannés depuis mai 2011.
1.2 Le SdPSP a mis en place en mai 2011 un Contact Center chargé de
centraliser l’ensemble des questions de première ligne des utilisateurs. Ce
Contact Center gère ses appels téléphoniques grâce à un logiciel « Open
Scape Contact Center ». Ce logiciel permet aux membres du Contact
Center de gérer de façon optimale les fi les d’attente (francophones ou
néerlandophones) des appels téléphoniques.
1.3 En 2011, dans le cadre du projet Capelo, une série d’applications
développées par l’ASBL Sigedis pour le SdPSP ont été mises en produc-
tion. Cette ASBL Sigedis est chargée de recevoir les données de carrière et
de les transmettre au SdPSP.
En accord avec l’ONSS et l’ONSSAPL, les fl ux DMFA ont été adaptés
afi n de permettre l’envoi par les employeurs à Sigedis dès le premier tri-
mestre 2011 des données trimestrielles nécessaires au calcul ultérieur de
la pension.
Les fonctionnalités permettant la collecte des données historiques Capelo
chez Sigedis ont été réalisées fi n mai 2011 pour un nombre réduit d’utili-
sateurs. Ensuite, ces fonctionnalités ont été rendues accessibles, avec un
bon encadrement, par l’ensemble des utilisateurs visés le 3 octobre 2011.
Tenant compte des délais de synchronisation, les premiers envois de don-
nées Capelo de Sigedis au SdPSP ont été exécutés à partir du 17 no-
vembre 2011.
Les développements informatiques permettant la collecte des données
ponctuelles (diplômes ou déclaration de fi n de relation statutaire) ont
été mis en production cachée pour un nombre réduit d’utilisateurs le
7 avril 2011. Cette application a été ouverte à l’ensemble des utilisateurs le
28 avril 2011.
organisation/services d’encadrement/ICT/page 36
Les nouvelles applications
2. L’équipe interne de développement du SdPSP a préparé un nouvel environnement JAVA qui offrira les fonctionnalités suivantes :
• Visualisation des données brutes Capelo ;
• Regroupement des données brutes Capelo en des données de
carrière consolidées à des fi ns de pension ;
• Importation automatique de ces données consolidées dans
Pencalc, le moteur de calcul de pension du SdPSP ;
• Consultation des données du Registre National pour les actifs au
sein du secteur public dont les informations de carrière ont été
transmises au SdPSP via Capelo .
La mise en production de ces nouvelles fonctionnalités est planifi ée avant
la fi n du premier trimestre 2012.
Les serveurs du SdPSP
En échange d’une indemnisation annuelle, l’ONP assure la gestion des
serveurs et du réseau du SdPSP. Dans le cadre des nouveaux projets CRM,
GED et Capelo, une nouvelle infrastructure a été mise en place. Confor-
mément aux règles de l’Art, cette architecture distingue, par application,
les environnements de développement, de test et de production.
La production s’articule autour d’une architecture multicouches :
• serveur de présentation des données ;
• serveur d’indexation afi n d’accélérer et de faciliter les recherches ;
• serveur de base de données dans lequel les informations sont
conservées.
L’utilisation de serveurs virtuels basés sur les standards de l’ONP (VM
Ware) est privilégiée autant que possible.
Organisation de l’équipe IT
L’équipe IT est organisée en un ensemble de 7 cellules ayant chacune ses
missions spécifi ques.
Cellule analyse, cellule architecture technique et développement, cellule
testing, contrôle de qualité et help desk AP Software, cellule helpdesk
hardware et bureautique, cellule dédicacée BO/SAS, cellule dédicacée
internet/intranet et cellule PMO.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisatie/organogram/pagina 37
Pause Café avec Vincent MonfortIT Manager - SdPSP
L’année 2011 a été une période de grands défi s pour le SdPSP.
Dans le cadre de l’intégration des données Capelo au sein du SdPSP, une nouvelle architecture informatique a dû être
mise au point. Basée sur les standards JAVA, ces fonctionnalités permettent dès à présent d’intégrer les données brutes
Capelo et de les agréger en données de carrière constituées à des fi ns de pension. Les informations alimentent de façon
automatique Pencalc, le moteur de calcul de pensions du SdPSP.
Le défi est d’une part de remplir les objectifs propres à Capelo et d’autre part de mettre au point une architecture
suffi samment ouverte et robuste que pour pouvoir à terme reprendre le support informatique de l’ensemble des
fonctionnalités métier du SdPSP. Les fonctionnalités permettant la consultation sécurisée des données du Registre
National ont entretemps déjà été intégrées à cette nouvelle architecture.
Cette architecture est également conçue pour s’intégrer de façon aussi harmonieuse que possible avec le nouveau
système de gestion électronique documentaire (GED) et de gestion des relations avec nos clients (CRM). L’ensemble
constitué des données Capelo et des documents GED permet de constituer un dossier entièrement électronique.
Combiné avec le CRM, cet ensemble d’applications permet un partage des activités concernant un pensionné entre
différents intervenants et rendra ultérieurement possible le télétravail.
‘ Le défi est d’une part de remplir les objectifs
propres à Capelo et d’autre part de mettre au point
une architecture suffisamment ouverte et robuste
que pour pouvoir à terme reprendre le support informatique
de l’ensemble des fonctionnalités métier du SdPSP.’
organisation/services d’encadrement/service d’études juridiques/page 38
Fin 2010 les bases juridiques et légales du projet Capelo se sont concré-
tisées dans les articles 139 à 163 de la loi du 29 décembre 2010 portant
des dispositions diverses, repris au titre 13 : « Pensions : la tenue d’une
base de données de carrière électronique et d’un dossier électronique de
pension pour le personnel du secteur public (MB du 31.12.2010 - Ed. 3). »
Après la réalisation des dispositions légales précitées, le service d’études
juridiques du SdPSP est resté étroitement impliqué dans le projet Capelo.
Il fait d’ailleurs partie de la cellule Capelo, qui a débuté en 2011. La cellule
Capelo est un groupe de travail qui se réunit hebdomadairement et est
constitué de représentants de Sigedis, du service de gestion de l’informa-
tion et du service d’études juridiques. Suite aux avancées du projet, les
services opérationnels du SdPSP sont aussi représentés dans le groupe de
travail depuis la fi n 2011. Les responsables de l’ONSS et de l’ONSSAPL le
seront plus tard.
Dans la cellule Capelo, des solutions juridiques sont développées par rap-
port aux questions ou aux problèmes interdisciplinaires qui pourraient se
poser lors de la mise en place du projet.
A titre d’exemple : on peut citer la création d’une nouvelle institution du
secteur public. Dans cet exemple, le doute concerne le fait de savoir si
cette nouvelle institution doit être considérée comme un employeur du
secteur public tombant dans le champ d’application de Capelo – et de
savoir si les membres du personnel de cet employeur effectuent des ser-
vices donnant éventuellement droit à une pension du secteur public. Le
service d’études juridiques examine ces questions à la demande du service
de gestion de l’information. Le résultat de cette recherche est ensuite
débattu au sein de la cellule Capelo. Dans le cas d’une réponse posi-
tive, le service de gestion de l’information ajoute l’employeur en question
à la liste des employeurs qui tombent dans le champs d’application de
Capelo. Et c’est uniquement après cet ajout que la nouvelle institution
du secteur public peut effectuer des déclarations dans le cadre de Capelo
pour ses membres du personnel.
La cellule Capelo répond également aux questions posées par les em-
ployeurs du secteur public eux-mêmes. Lors de l’introduction de leur
déclaration électronique des données de pension dans Capelo – soit via
la DmfA, soit via l’application « données historiques » ou « données ponc-
tuelles », les employeurs peuvent faire appel à une aide de première ligne
s’ils sont confrontés à un problème pour lequel les instructions adminis-
tratives mises à leur disposition ne fournissent aucune solution, ou s’ils
ne sont pas certains que ce soit la solution correcte. Si cette aide de pre-
mière ligne ne peut pas offrir de solution au problème, la demande de
l’employeur sera réexpédiée au(x) service(s) compétent(s) au sein de la
cellule Capelo.
Les questions des employeurs ayant un aspect juridique couvrent un large
spectre de la législation des pensions du secteur public et peuvent aussi
bien concerner les services déclarés, le traitement, les suppléments de
traitement, le diplôme, le tantième… Le projet de réponse du service
d’études juridiques est débattu dans la cellule Capelo et, est adapté le cas
échéant aux remarques d’autres membres de la cellule.
L’engagement immédiat et permanent du service d’études juridiques lors
de la création du projet Capelo restera d’actualité pour l’avenir et ce pour
plusieurs raisons importantes :
• d’une part, les questions posées après 2011, dans le cadre du projet,
peuvent également exiger une réponse pour laquelle une décision de
principe du service d’études juridiques doit d’abord être prise,
• d’autre part, les modifi cations futures de la législation des pensions
peuvent avoir une infl uence sur le logiciel de Capelo et sur la manière
dont les données de pension doivent être déclarées.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services d’encadrement/service d’études juridiques/page 39
Dispositions légales et réglementaires 2011
I. Dispositions relatives au SdPSP
Arrêté ministériel du 21 novembre 2011 portant fi xation du plan de
personnel 2011 pour le Service des Pensions du Secteur public (M.B. du
25.11.2011).
II. Dispositions relatives aux pensions du secteur public
Circulaire ministérielle du 23 mai 2011 relative au nouveau régime de péré-
quation instauré par la loi du 27 avril 2007 relative aux pensions du secteur
public (M.B. du 08.06.2011) ;
Arrêté royal du 29 juillet 2011 prévoyant l’étalement de la péréquation par
tranches de 5 p.c. suite à la revalorisation des traitements par l’arrêté du
15 septembre 2006 portant l’intégration dans le niveau A des titulaires d’un
grade particulier du niveau 1 au Service public fédéral Finances et au Service
des Pensions du Secteur public (M.B. du 09.08.2011) ;
Loi du 28 décembre 2011 portant des dispositions diverses en matière de
justice (M.B. du 30.12.2011) ;
Loi du 28 décembre 2011 portant dispositions diverses (M.B du 30.12.2011)
qui comporte différents éléments de réforme des pensions sur :
1) l’âge de la pension anticipée et les conditions de durée de carrière
minimum ;
2) le tantième ;
3) l’interruption de carrière ;
4) le traitement servant de base au calcul de la pension qui passe de
5 à 10 ans.
III. Dispositions ayant une incidence pour le SdPSP
Arrêté ministériel du 25 février 2011 modifi ant l’AM du 19 mars 2009 portant nomination des membres du Comité technique pour les pensions du secteur public (M.B. du 03.03.2011) ;
Loi du 30 mai 2011 contenant le budget général des dépenses pour l’an-née budgétaire 2011 (M.B. du 16.06.2011) ;
Loi du 24 octobre 2011 assurant un fi nancement pérenne des pensions des membres du personnel nommé à titre défi nitif des administrations provinciales et locales et des zones de police locale et modifi ant la loi du 6 mai 2002 portant création du fonds des pensions de la police intégrée et portant des dispositions particulières en matière de sécurité sociale et contenant diverses dispositions modifi catives (M.B. du 03.11.2011) ;
Arrêté royal du 13 novembre 2011 pris pour les années 2012, 2013 et 2014 en exécution des articles 16, alinéa 1er, 2), et 22, § 3, de la loi du 24 octobre 2011 assurant un fi nancement pérenne des pensions des membres du personnel nommé à titre défi nitif des administrations pro-vinciales et locales et des zones de police locale et modifi ant la loi du 6 mai 2002 portant création du fonds des pensions de la police intégrée et portant des dispositions particulières en matière de sécurité sociale et contenant diverses dispositions modifi catives (M.B. du 18.11.2011).
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisatie/organogram/pagina 40
Pause Café avec Mark DeerenReprésentant du service d’études juridiques - SdPSP
En tant que représentant du service d’études juridiques au sein de la cellule Capelo, je prépare les réponses
aux questions des employeurs du secteur public qui, lors de la déclaration électronique des données de pension,
dans le cadre de Capelo soit via DmfA, soit via l’application « données historiques » ou « données ponctuelles »,
sont confrontés à un problème ayant un aspect juridique pour lequel l‘aide en ligne n’offre pas de solution.
Ces questions peuvent aussi bien concerner les services à déclarer, le traitement, les suppléments de traitement, le
diplôme, le tantième, ...Ils couvrent donc un large panel de la législation des pensions du secteur public.
Pour pouvoir fournir une réponse correcte, il est nécessaire de faire une recherche dans la législation , les notes,
la base de données juridiques... Parfois, il est aussi nécessaire de poser des questions complémentaires aux employeurs
ou à d’autres services.
Mon projet de réponse est ensuite débattu au sein de la cellule Capelo et, est adapté, le cas échéant, aux remarques
d’autres membres de la cellule. Les autres membres de la cellule sont les représentants de Sigedis, du service gestion
de l’information et des services opérationnels.
La concertation et la collaboration au sein de la cellule Capelo sont utiles eu égard au fait que les réponses juridiques
ont parfois des conséquences très pratiques, aussi bien pour l’employeur en ce qui concerne la manière dont il doit
effectuer la déclaration que pour les services concernés par la cellule en ce qui concerne leur méthode de travail.
Il est parfois nécessaire d’adapter les bases de données sous-jacentes et le software à l’occasion de remarques faites
dans la cellule Capelo.
La cellule Capelo se réunit, normalement, de manière hebdomadaire. Cette fréquence assez élevée est nécessaire
car les employeurs sont, pour leur déclaration-Capelo, liés par des délais légaux.
L’objectif permanent de la cellule Capelo est d’informer au mieux et dans les plus brefs délais les employeurs afi n
qu’ils puissent faire des déclarations-Capelo correctes pour leur membres du personnel. C’est en effet sur la base des
données obtenues via les déclarations-Capelo que le SdPSP peut, ultérieurement, accorder et calculer une pension du
secteur public.
‘ La concertation et la collaboration au sein de la cellule Capelo
sont utiles eu égard au fait que les réponses juridiques ont parfois des conséquences très pratiques,
aussi bien pour l’employeur que pour les services concernés.’
organisation/services d’encadrement/formations/page 41
Formations
La formation est un droit reconnu à chaque agent qui peut construire un
parcours individuel de formation qui tienne compte de ses propres com-
pétences professionnelles et des nécessités liées à l’exercice de ses tâches
et aux missions du SdPSP. Tout au long de leur parcours professionnel au
sein du SdPSP, les membres du personnel ont l’occasion d’enrichir leurs
compétences grâce à des formations.
1. Formations organisées au sein du SdPSP
1.1. Formations continues 1.1.1. Formations pour les membres du personnel
des services opérationnels
La GED (qui permettra une gestion électronique et intégrée des docu-
ments) et le CRM (qui mettra défi nitivement le client au centre de notre
travail) sont les premières étapes des processus de changements intro-
duits par le projet Capelo.
En 2011, la GED et le CRM entrent progressivement dans les processus
de travail du SdPSP et commencent progressivement à faire partie de ses
activités quotidiennes. C’est pourquoi, le centre de formations a consa-
cré beaucoup de temps à accompagner les membres du personnel des
services d’attribution et des services de gestion dans ces changements.
Cet accompagnement s’est fait en deux temps :
• tout d’abord, des formations afi n que les membres du personnel
aient la possibilité de bien appréhender cette nouvelle manière de
travailler;
• ensuite, durant les derniers mois de l’année 2011, un coaching
dans les bureaux concernés afi n de faire coller au mieux la théorie
à la réalité sur le terrain.
Chaque collaborateur a ainsi eu l’occasion de suivre trois formations. Afi n
de rester le plus proche possible des réalités professionnelles, le centre de
formations a choisi de travailler avec 4 groupes déterminés en fonction
des matières et des directions.
La formation de base : faire connaissance avec la GED et le CRM
La gestion électronique des documents entrants ainsi que les contacts
avec les clients furent au centre de cette formation.
• Objectifs :
• familiarisation au nouvel environnement,
• découverte des possibilités des applications GED et CRM.
• Nombre de formations organisées :
• FR : 13 demi-jours • NL : 14 demi-jours
• Nombre de participants :
• FR : 141 • NL : 171
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services d’encadrement/formations/page 42
Formations
La formation spécifi que
Cette formation voulait concrétiser la théorie par des exercices pratiques :
• Objectifs :
• déplacer un document dans la GED,
• générer un document sur base d’un modèle intégré dans la GED,
• utiliser le processus d’approbation d’un document,
• envoyer un document (envoi simple ou groupé) avec réponse
attendue ou non,
• traiter une activité en CRM à partir de l’arrivée d’un document
dans la GED.
• Nombre de formations organisées :
• FR : 13 demi-jours • NL : 14 demi-jours
• Nombre de participants :
• FR : 120 • NL: 142
La formation pratique
• Objectifs :
• récapitulatif et présentation succincte des écrans et entités,
• cas concret : procédure de A à Z sur base d’un scénario.
• Nombre de formations organisées :
• FR : 13 demi-jours • NL : 14 demi-jours
• Nombre de participants :
• FR : 102 • NL: 114
1.1.2. Formations pour les membres du personnel du Contact
Center (CC): cellule contacts avec les clients
Répondre aux questions posées par les (futurs) pensionnés nécessite une
excellente connaissance générale de la matière des pensions et des outils
utilisés au sein de l’organisation.
La plupart des collaborateurs du Contact Center venant de bureaux dif-
férents ont amené avec eux leur expertise dans les matières qu’ils avaient
l’habitude de traiter. Un transfert des connaissances a ainsi pu se mettre
en place au sein de cette nouvelle équipe.
Le centre de formations a également accompagné cette équipe en propo-
sant différentes formations :
• les pensions de retraite du secteur public
• les pensions de survie du secteur public
• la gestion des pensions du secteur public
Un coaching a été organisé permettant là aussi d’axer les formations par
rapport aux besoins réels.
D’autre part, des formations spécifi ques ont complété l’apprentissage des
collaborateurs du Contact Center. Outre un complément de formation
sur la GED et le CRM, ils ont été formés à l’utilisation de l’outil télépho-
nique et à l’utilisation des FAQ.
1.1.3. Formations pour les membres du personnel
du Contact Center : cellule GED
L’introduction de la GED et du CRM modifi e totalement la manière de
travailler des huissiers et des anciens services de réception et d’envoi du
courrier ainsi que d’archivage. Afi n de faire face à ces changements, des
formations spécifi ques sur les outils GED et CRM ont été données.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services d’encadrement/formations/page 43
Formations
1.2. Les formations pour les examens de carrière Concernent les formations préparatoires aux épreuves de qualifi cation
professionnelles et aux examens d’accession.
A22 brevet 2 : accidents de travail et pensions de réparation
• Formations spécifi ques :
• 3 jours de formation pour 14 candidats francophones ,
• 3 jours de formation pour 11 candidats néerlandophones.
1.3. Formation certifi ée : accompagnement dans le cadre de formations ‘e- learning’
• Accompagnement des candidats qui le souhaitaient .
2. Formations organisées à l’extérieur du SdPSP
2.1. Formation à l’accueil téléphonique Dans le cadre de la mise en place du Contact Center, une formation de
trois jours ciblée sur l’accueil téléphonique a été organisée en collabo-
ration avec l’IFA (Institut de formation de l’Administration fédérale) afi n
d’aider les membres de cette équipe en tant que contacts de première
ligne. Les thèmes suivants ont été abordés :
• accueillir quelqu’un au téléphone ;
• faire bonne impression ;
• poser les bonnes questions ;
• gérer les plaintes ;
• traiter adéquatement les appels diffi ciles ;
• appliquer les règles de bonne conduite ;
• traiter et transmettre correctement un message ;
• clore un appel téléphonique.
2.2. Epreuve générale d’accession du niveau C vers le niveau B
En 2011, le Selor (bureau de sélection de l’Administration) a organisé
les sélections de carrière pour passer du niveau C vers le niveau B. Cette
sélection de carrière comprend deux parties : une épreuve générale et une
épreuve particulière.
En synergie avec d’autres organismes d’intérêt public (OIP), une forma-
tion a été organisée en vue d’aider les membres du personnel concernés
à se préparer à l’épreuve générale.
Au SdPSP, 60 personnes (35NL et 25FR) ont pris part à cette formation
de deux jours.
2.3. Par l’IFA : • 108 participants aux formations organisées dans le cadre des
formations certifi ées ;
• 89 participants aux formations organisées dans le cadre des
formations standard.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisatie/organogram/pagina 44
Pause Café avec Lucie Taildeman & Linda Feuggelen
Responsables des formations - Centre de connaissance - SdPSP
En 2011 le SdPSP a développé, sur mesure, son “Client Relations
Managementsysteem” (CRM).
A l’aide de cet outil informatique, chaque contact client est répertorié
et chaque gestionnaire de dossier peut obtenir un aperçu simultané des
contacts précédents.
Parallèlement, l’impression de tout le courrier sortant s’est centralisée,
prévoyant l’attribution d’un code- barre, puis, ensuite, la sauvegarde
dans le système de gestion électronique des documents (GED).
Les courriers entrants sont également scannés et sauvegardés dans ce
même système.
L’introduction de cet outil informatique apporte un nouveau regard sur
le suivi des dossiers. Il est ainsi possible de consulter les données d’un
dossier suivi par un autre service ou, par exemple, de demander à un
collègue de compléter un dossier. Des formations, réparties sur un an,
ont été initiées pour mettre effi cacement le processus de changement
en route et pour rassurer le personnel.
La première session de formation s’est focalisée sur une explication
du processus de changement dans son ensemble. Seule, la deuxième
session de formation permettait des exercices d’enregistrement des
contacts clientèle. Nous avons réussi à ce que le groupe cible des
300 membres du personnel ait pu participer aux 2 sessions de
formation avant l’utilisation effective de l’application. Ensuite, pendant
3 mois, nous avons mis en place un coaching pour répondre aux
questions d’ordre pratique.
Il est préférable d’étaler sur une période plus longue l’implémentation
de nouvelles méthodes de travail liées au changement. Cela permet au
personnel de se familiariser avec ces nouveautés, étape par étape. Mais,
parallèlement, il faut pouvoir endiguer directement les imprécisions ou
les petits problèmes et donner rapidement ce feedback à l’équipe IT.
‘ Des formations, réparties sur un an,
ont été initiées pour mettre efficacement le processus de
changement en route et pour rassurer le personnel. ’
organisation/services d’encadrement/gestion des connaissances/page 45
Service de gestion des connaissances
1. Création des FAQpour le nouveau Contact center
La mission du Contact Center (CC) est de répondre en première ligne aux
questions posées tant par téléphone que par écrit ou par e-mails. En com-
plément des formations, les collaborateurs de ce CC doivent disposer de
l’information nécessaire de manière rapide et effi cace. La solution a été de
la centraliser sous forme de FAQ’s (questions fréquemment posées) dans
le CRM (gestion du suivi des contacts clients) même.
Pour ce faire, une liste structurée de FAQ’s a été structurée et établie en se
basant sur différentes sources :
• la liste des questions/réponses possibles établie par les services
opérationnels (qui se sont vus assigner un rôle de deuxième ligne) ;
• les FAQ’s du site internet du SdPSP ;
• les brochures et les dépliants du SdPSP ;
• les textes et les lettres d’accompagnement concernant le cumul et
le minimum garanti.
A partir de ces différentes sources, il a été possible de créer une base de
connaissances. Les FAQ’s sont parfaitement intégrées à l’outil CRM. Elle
doivent toutefois être complétées en fonction des besoins réels des colla-
borateurs du Contact Center et de l’évolution de la règlementation.
Les questions personnalisées de nos clients traduites en questions gé-
nériques sous la forme de FAQ’s permettront d’alimenter cette base de
connaissances et alimenteront également les FAQ’s reprises sur le site
internet du SdPSP.
2. Premiers pas du projet wiki orienté contrôle
Lors de sessions d’information organisées dans
le cadre des Midis Maendeleo, les membres du
personnel ont été invités à découvrir ce qu’est
la gestion des connaissances et le projet wiki.
Ils ont eu la possibilité de poser des questions
et d’exprimer leurs attentes. Ces sessions informelles et interactives étaient
ouvertes à tous.
Bien que les membres du personnel aient été invités à transférer leur
connaissances nécessaires au travail du futur service de gestion des don-
nées de carrière, le projet n’a véritablement pris forme qu’en se basant sur
la boîte e-mails Capelo.
Depuis le 1er janvier 2011, les employeurs qui souhaitent poser des ques-
tions relatives au projet Capelo ont la possibilité de le faire via une adresse
e-mail. De nombreuses questions nécessitent un examen particulier du
service d’études juridiques du SdPSP qui communique alors une réponse
offi cielle.
La cellule gestion des connaissances a proposé d’utiliser ces questions
et ces réponses afi n d’alimenter le wiki du SdPSP et de récupérer ainsi
des connaissances importantes qui seront nécessaires au travail du futur
service de gestion. Les questions et les réponses sont progressivement
intégrées dans le wiki via des portails thématiques qui permettent de se
repérer plus facilement grâce à des regroupements par thèmes. Ceux-ci
sont calqués sur la structure de la DmfA(PPL). De nombreux liens entre les
différentes pages et vers les dispositions légales permettent de retrouver
facilement de l’information utile. Une bibliothèque complète ce wiki et le
rend dynamique.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services opérationnels/services d’attribution/page 46
Pensions de retraite et de survie
Réalisations
L’année 2011 est une période charnière qui inaugure le début d’un pro-
cessus novateur pour les services d’attribution.
La mise en œuvre à partir de mai 2011 d’un programme de gestion du
suivi des contacts clients (CRM) et d’un programme de gestion électro-
nique de documents (GED) constitue un premier pas vers l’élaboration
d’un dossier électronique de pension avec le projet Capelo qui permettra
une automatisation maximale de l’établissement du droit à pension, du
calcul et du paiement.
Grâce à ces processus d’automatisation, le SdPSP pourra ainsi continuer
à accomplir pleinement cette mission malgré l’augmentation incessante
du nombre de dossiers de pension, voire même offrir des services sup-
plémentaires pour pouvoir réaliser sans grandes diffi cultés la réforme des
pensions prévue pour les années 2012 et suivantes.
D’autre part, l’instauration d’un Contact Center est une nouvelle étape
dans l’amélioration de la communication entre le SdPSP et ses clients et
permet aux services opérationnels de pouvoir se consacrer complétement
à leur mission.
Modifi cations importantes en 2011
Incidence de la cohabitation légale
Suite à un arrêt de la Cour constitutionnelle du 15 mars 2011, la durée de
la cohabitation légale vient s’ajouter à celle du mariage pour déterminer
si la condition d’un an de mariage prévue par l’article 2,§1er de la loi du
15 mai 1984 est remplie pour avoir droit à une pension de survie viagère.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisatie/organogram/pagina 47
Pause Café avec David DelaereChef de bureau des pensions de retraite civiles - SdPSP
En qualité de chef de bureau, je suis responsable de la
vérifi cation ultime des données sur la base desquelles
sont calculées les pensions du secteur public. Il en
résulte que je suis presque quotidiennement confronté
à des carrières spécifi ques, inhabituelles, très diffi ciles
à cataloguer. Une bonne connaissance de la législation
est évidemment indispensable afi n que les décisions
prises en matière de pensions puissent reposer sur une
base légale solide.
La législation sur les pensions a été profondément
remodelée par la loi du 28 décembre 2011, en
particulier à propos des conditions requises pour ouvrir
un droit à une pension du secteur public. L’année
2012 sera par conséquent une année de transition
et d’adaptation, durant laquelle plusieurs arrêtés
d’exécution devront être publiés. Ils sont nécessaires
pour fi xer les modalités pratiques de ladite loi qui, dans
les faits, peut-être considérée comme la traduction
juridique de l’accord gouvernemental.
Dans un avenir relativement proche (2013), le SdPSP
connaîtra l’un des plus grands – sinon le plus grand
– changement depuis sa création, en l’occurrence la
numérisation complète du processus des pensions.
Alors que les dossiers étaient encore délivrés à nos
services au format papier jusque l’an dernier, toutes
les données sur les carrières, indispensables pour le
calcul des pensions du secteur public, seront en 2013
intégralement fournies sous format numérique, via
Capelo. De la sorte, la marge potentielle d’erreurs
résultant de la saisie manuelle des données sera réduite
à portion congrue. Cela devrait également nous
permettre de mieux assister nos clients dans le choix de
certaines carrières et d’approfondir encore davantage
nos réponses aux questions relatives à chaque cas.
En pratique, une première étape vers les dossiers
de pension électroniques a déjà été franchie par la
mise en production du système GED/CRM en 2011.
Cela peut être considéré comme une sorte de fi che
client numérique, reprenant tous les contacts, la
correspondance et les documents (numérisés) relatifs à
un client (existant ou potentiel).
Cette méthode de travail sera encore renforcée
courant 2012 par le biais du système CRM (gestion du
suivi des contacts clients) utilisé pour la vérifi cation,
l’approbation et l’expédition de documents établis
par le SdPSP. Ces documents seront dès lors
automatiquement hébergés dans la fi che virtuelle de
chaque client. On aura également recours à la plus
récente génération de codes-barres, disposés sur les
documents et formulaires à envoyer. Ces codes-barres
contiennent des données spécifi ques permettant aux
formulaires complétés et renvoyés, après numérisation,
au SdPSP, d’aboutir directement auprès du gestionnaire
qui en assume le suivi.
‘ 2012 sera
une année de
transition et
d’adaptation.’
organisation/services opérationnels/services d’attribution/page 48
Pensions de réparation
Contrairement aux trois régimes de retraite légaux, à savoir ceux des em-
ployés, des travailleurs indépendants et des fonctionnaires, la pension de
réparation n’est pas un revenu provenant du travail mais l’indemnisation
d’un dommage physique comparable à une rente d’accident de travail.
L’attribution d’une pension de réparation n’est pas liée à des conditions
d’âge ou d’années de service.
Initialement, les pensions de réparation avaient été instaurées exclusive-
ment pour le dédommagement de militaires et assimilés ayant subi un
dommage physique pendant et par le fait de l’accomplissement de leur
devoir patriotique en période de guerre, de 1940-1945. Ultérieurement,
le terme période de guerre a été étendu aux membres du corps expédi-
tionnaire de Corée.
A présent, les pensions de réparation sont une matière qui, par analogie
à la loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles dans le
secteur public, indemnise les membres des diverses forces armées pour
toute lésion corporelle subie pendant et par le fait du service (militaire) en
temps de paix.
L’acceptation ou le rejet d’une demande de pension d’invalidité relève de
la compétence exclusive des Commissions des Pensions de Réparation,
juridictions administratives dont le fonctionnement et la composition sont
réglés par l’arrêté du Régent du 15 juin 1949 et par l’arrêté royal du
4 juillet 2001.
Les éléments pris en compte pour l’établissement et le calcul des pensions
de réparation, basés sur les Lois coordonnées sur les pensions de répara-
tion, ainsi que la manière dont les Commissions de pensions de réparation
prennent leurs décisions diffèrent fondamentalement des procédures liées
aux pensions de retraite à charge du Trésor public.
Ces différences devant être maintenues, il est logique que les pensions de
réparation ne soient pas concernées par le projet Capelo. La suppression
du dossier papier dans le régime des pensions de réparation demande une
autre approche.
Décisions prises en 2011
Commission des pensions de réparation (CPR) 821
Commission d’appel des pensions de réparation (CAPR) 98
Commission d’appel des pensions de réparation pour les
prisonniers politiques (CAPRPP)
1
Décisions ministérielles 509
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services opérationnels/services d’attribution/page 49
Accidents de travail
En ce qui concerne les accidents de travail, les accidents sur le chemin
du travail et les maladies professionnelles, le SdPSP a une mission
d’exécution.
Le SdPSP garantit le paiement des rentes et allocations en cas d’incapacité
de travail permanente ou en cas d’accident de travail mortel.
Avant de transmettre les instructions de paiement au Service central des
dépenses fi xes (SCDF), les autorités responsables examinent les décisions
prises sur la base des documents fi gurant au dossier.
Lorsqu’une erreur dans le calcul de la rente est constatée, le SdPSP pro-
pose à l’employeur concerné de la corriger.
Le SdPSP assure également la gestion et le suivi des rentes.
Ceci peut par exemple se concrétiser par le suivi d’une rente temporaire
aux enfants d’une victime d’un accident de travail ou d’une maladie pro-
fessionnelle, jusqu’à 18 ans ou aussi longtemps qu’ils bénéfi cient d’alloca-
tions familiales. Régulièrement et sur la base de déclarations, les données
nécessaires sont récoltées auprès du service des allocations familiales.
Le SdPSP exerce également un droit de subrogation envers la partie civile-
ment responsable de l’accident s’il s’agit de rentes octroyées aux membres
du personnel des communautés et régions.
En 2011 le SdPSP a reçu :
• 647 nouveaux dossiers francophones et
• 576 nouveaux dossiers néerlandophones.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services opérationnels/contact center/page 50
L’idée de créer au SdPSP un Contact Center (CC) existe déjà depuis long-
temps. Il était souhaitable de mettre en place avec les pensionnés et les
futurs pensionnés une communication uniforme, rapide et effi cace. Pour
permettre le démarrage d’un Contact Center, il était nécessaire que chaque
collaborateur puisse accéder à toutes les informations relatives à un dossier
de pension. C’est pourquoi a été instauré le système de CRM (Customer
Relation Management). Dans le CRM sont enregistrés chacun des contacts
avec le pensionné et les organismes liés à son dossier. Pour permettre au
Contact Center d’accéder à toutes les informations liées au dossier, un sys-
tème de gestion électronique des documents (GED) a également été ins-
tauré. Ce système permet la digitalisation de tout document entrant et sa
consultation par tous les collaborateurs du SdPSP.
Démarrage de la G.E.D. (Gestion électronique des documents)
Le projet Capelo vise notamment à mettre au point l’accès à un dossier
entièrement électronique pour la fi xation des droits et le calcul de la pen-
sion. En 2011, le SdPSP a entrepris les premières étapes vers la digitalisa-
tion des documents « papier » entrants et sortants.
Le SdPSP a travaillé sur trois principes de base en vue de la réalisation de
cette évolution :
a. Le développement d’un système informatique adapté pour
structurer le processus de digitalisation des « documents-papiers ».
Pour ce faire, le processus de scanning existant, utilisé pour
l’archivage des dossiers clôturés, a été adapté aux possibilités futures
pour la digitalisation du courrier entrant et la lecture des nouveaux
codes-barre .
b. L’achat du matériel nécessaire pour transformer les documents-
papiers en documents électroniques consultables sur PC. Deux
scanners ont été acquis afi n d’assurer la continuité du scannage
de la correspondance entrante. Deux machines multifonctionnelles
ont également été achetées pour effectuer l’impression centralisée
du courrier sortant pourvu de codes-barre adaptés.
c. La constitution d’une équipe spécialisée qui puisse se
consacrer parfaitement à la mise en œuvre d’un processus de
scanning. D’abord et prioritairement, les équipes existantes ont été
renforcées. Elles ont reçu une formation adaptée à leurs nouvelles
tâches. La formation de ces collaborateurs polyvalents et motivés,
était nécessaire pour la réussite de toute l’opération. Après quoi,
l’ancienne structure obsolète a été refondue en une organisation du
service plus moderne qui cadre avec l’image actuelle du SdPSP.
Le Contact Center … plus qu’un Call Center
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services opérationnels/contact center/page 51
Le Contact Center (CC) du SdPSP a démarré ses activités le 16 mai 2011,
après une adaptation de la centrale téléphonique afi n de pouvoir aiguil-
ler les appels selon le choix linguistique de l’appelant. Le Contact Center
est bien davantage qu’un centre d’appel. Il se positionne comme un point
d’accueil pour toutes les demandes des pensionnés et futurs pensionnés du
secteur public ainsi que pour les institutions qui défendent les intérêts indi-
viduels de ces pensionnés. Les questions sont adressées tant par téléphone
que via e-mails, fax ou courriers. Le CC répond directement (questions
générales) ou assure le transfert vers les services ad hoc au sein du SdPSP
lorsque les questions concernent des matières plus spécifi ques.
Dans la mesure de ses moyens humains et techniques, la mission du
Contact Center est d’assurer un transfert ou une réponse appropriée, dans
un délai diligent, à chaque demande de pensionné.
Les premiers mois d’activité du Contact Center ont été caractérisés par
une période intense de rodage, de formation et de mise en place des pro-
cédures les plus adaptées pour assurer les contacts et transferts d’infor-
mation avec les différents services du SdPSP. En effet, de part sa fonc-
tion, le Contact Center est en contact permanent avec les autres services
d’attribution (dits aussi “opérationnels”) dont il fait partie, ainsi qu’avec
les services de gestion et, dans une moindre mesure, d’encadrement. Sans
la collaboration et le soutien de ces services, le CC ne peut fonctionner de
façon optimale.
A partir de novembre 2011, les appels téléphoniques reçus par le Contact
Center ont augmenté pour atteindre jusqu’à 600 appels par jour (en lien
avec l’actualité en matière de réforme des pensions fi n décembre 2011,
celle-ci ayant un impact important sur la fi xation et le calcul des pensions
et sur la durée de carrière).
L’équipe des 24 agents (12 francophones et 12 néerlandophones) membres
de ce service ont bénéfi cié d’une grande diversité de formations mais
doivent pouvoir se tenir informés en permanence des actualités en matière
de pension. Dès qu’une actualité ou un changement réglementaire voient
le jour, la réaction naturelle des pensionnés est de s’adresser aux services
de première ligne du SdPSP.
Les défi s du Contact Center pour l’année à venir sont nombreux. Parmi
ceux-ci :
1. Améliorer encore les procédures de collaboration avec les services
spécialisés de seconde ligne. En effet, meilleure est l’information
donnée par le CC aux pensionnés, moindre est la pression sur les
services opérationnels qui peuvent dès lors se concentrer sur leurs
tâches essentielles : l’établissement et le calcul des pensions .
2. Faire face à une augmentation progressive des appels
téléphoniques et des questions des pensionnés (surtout liées à
la réforme des pensions), tout en assumant une série de tâches
complémentaires lui étant attribuées.
3. Maintenir la qualité et la disponibilité (accessibilité) du service .
4. Maintenir la motivation des collaborateurs du CC pour qu’ils
continuent à effectuer leurs tâches avec une grande conscience
professionnelle en privilégiant le service au client .
5. Maîtriser davantage les outils de gestion électronique des données
et de digitalisation des informations (CRM et GED) progressivement
mis en place au sein du SdPSP.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services opérationnels/gestion de l’information/page 52
Le projet Capelo issu du pacte des générations, vise à remplacer le dos-
sier de pension papier par un dossier électronique. Il mobilise l’énergie de
nombreux services et collaborateurs.
A ce titre, le service gestion de l’information joue un rôle spécifi que afi n
d’aider les employeurs à compléter les déclarations trimestrielles DmfA
depuis le 1er janvier 2011. Il met « online » les tableaux d’aide sur le site
du SdPSP via le lien DmfA-Atlas pour l’introduction des données de traite-
ment pour les déclarations trimestrielles DmfA.
Dans ces tableaux d’aide, on trouve des codes de traitement avec les
échelles barémiques développées et tous les suppléments de traitement
qui comptent pour le calcul de la pension, à savoir les suppléments de
traitement énumérés à l’article 8, § 2 de la loi du 21 juillet 1844 sur les
pensions civiles et ecclésiastiques, ainsi qu’en vertu d’autres législations ou
conventions particulières.
Le service gestion de l’information a donc adapté sa considérable banque
de données interne déjà utilisée pour l’attribution des pensions pour une
utilisation externe via le site DmfA-Atlas.
En outre, le projet Capelo a conduit le service gestion de l’information à
étendre cette base de données :
• afi n qu’elle coïncide avec le champ d’application du projet, reprenant
les employeurs du secteur public dont le régime de pension ne relève
pas du SdPSP ;
• à toutes les échelles barémiques applicables au personnel en activité,
tels que les contractuels du secteur public qui exercent une fonction
dans laquelle il est possible d’être nommé et qui tombe dans le
champ d’application.
Ceci implique aussi la reprise des échelles barémiques de début (soit pour
l’année 2010 : 11.981 échelles barémiques liées à un employeur).
Ainsi au cours de l’année 2011, 30.969 échelles barémiques liées à un
employeur et 3.620 suppléménts de traitement ont été examinés, invali-
dés ou validés comme conformes au modèle standard d’information. Au
total, 34.589 données pécuniaires complexes supplémentaires traitées.
Cette tâche implique d’obtenir les statuts pécuniaires et administratifs de
chaque autorité, de les analyser et les comparer avec les données trans-
mises électroniquement récemment par les employeurs auprès du service
gestion de l’information. L’environnement institutionnel en évolution et
les réformes exigent d’autant plus d’attention que les sources d’erreurs
ou omissions emportent un risque d’illégalité qui doit être régularisé au
plus vite.
Avant-propos
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
organisation/services opérationnels/gestion de l’information/page 53
Enfi n, si la collecte des données constitue un défi , interpréter ces données,
harmoniser et uniformiser les concepts réglementaires et le stockage des
données en vue d’une introduction unique, source authentique, utilisable
par les divers acteurs constituent un défi plus important encore.
Quantitativement, l’examen des données et leur validation ont progressé
de plus de 258 % (288 % avec les suppléments) pour l’année 2011. Défi
majeur suite au renouvellement du personnel du service, qui implique
d’investir dans la formation.
De plus, le service gestion de l’information intervient comme helpdesk de
2ème ligne pour les « compléments au dossier de carrière » et de 3ème ligne
pour les « données historiques » au côté d’Eranova et Sigedis, à des fi ns
très techniques, telles que :
a) Transmettre les données d’accès au site DmfA-Atlas (login et mot de
passe) aux organismes qui les ont perdues ;
b) Aider les employeurs, qui, lors de l’encodage des données historiques,
ne retrouvent pas le N° d’entreprise d’organismes restructurés, absor-
bés ou supprimés ;
c) Elaborer des manuels explicatifs, dans les 3 langues , pour le site DmfA-
Atlas ;
d) Aider les employeurs à trouver une solution à leurs problèmes d’enco-
dage de barèmes ou suppléments de traitement, de services accomplis
en tant que travailleur statutaire ou contractuel, ou pour déterminer la
catégorie de travailleur ;
e) Répartir chaque type de problème soumis vers le bon interlocuteur et
proposer une solution pragmatique, le cas échéant en se référant à
d’autres situations résolues.
Ceci nécessite une collaboration étroite, proactive et effi cace avec les or-
ganismes partenaires du service gestion de l’information. L’expertise mise
en œuvre par le service de gestion de l’information et Sigedis conduit de
nombreux organismes à solliciter des formations mises en places par le
SdPSP.
Avant-propos
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Annexes
Organigramme
Services d’encadrement
Services opérationnels
Services de StaffPMO
CONTRÔLE EXTERNE
COMMUNICATION
HRM
ICT
SERVICE D’ÉTUDES JURIDIQUES
FORMATIONS
GESTION DES CONNAISSANCES
SERVICES D’ATTRIBUTION
CONTACT CENTER
GESTION DE L’INFORMATION
Organisation du SdPSP
organisatie/organogram/pagina 54
Pause Café avec Alex De TrochChef de bureau - Gestion de l’information - SdPSP
Avant le 1er janvier 2011, le service de
gestion de l’information était principalement
responsable de la gestion de tous les
barèmes et suppléments de traitement
des employeurs dont les pensions étaient
calculées et gérées par le SdPSP. Le service de
gestion de l’information dispose donc d’une
quantité phénoménale d’archives reprenant
les statuts pécuniaires et administratifs
de l’ensemble de ces employeurs. Depuis
toujours, tenir tous ces fi chiers à jour pour
pouvoir garantir le calcul correct, la gestion
et la péréquation des pensions de retraite et
de survie est et reste un défi .
Par le projet Capelo, le service de gestion
de l’information a été confronté à des
employeurs dont les archives ne contenaient
pratiquement rien sur les statuts pécuniaires
et administratifs. Cela concernait surtout des
employeurs qui n’avaient pas confi é le calcul
et la gestion de leurs pensions au SdPSP.
Aucun code DmfA nécessaire pour réaliser
la déclaration DmfA trimestrielle n’était à
l’époque disponible pour cette catégorie.
Via la DmfA-Atlas, tous les barèmes
et suppléments de traitement sont
consultables par les employeurs. Les données
manquantes peuvent être introduites
complémentairement si nécessaire. Le service
de gestion de l’information a, à cet égard,
fourni un manuel détaillé, disponible en
ligne, à télécharger par chaque employeur.
Après la saisie et l’envoi par les employeurs
de données de traitement manquantes,
celles-ci sont traitées par le service de
gestion de l’information : les données
validées (= saisie valable coïncidant avec les
dispositions du statut pécuniaire) se voient
attribuer des codes DmfA, sans quoi elles
sont refusées avec mention de la raison.
Pour le moment, le service de gestion de
l’information a examiné de cette manière
et a intégré dans ses fi chiers plus de
20.200 barèmes et plus de 690 suppléments
de traitement.
Le service de gestion de l’information joue
donc très certainement un rôle de premier
plan au sein du projet Capelo.
‘ Le service
de gestion de
l’information
a fourni un
manuel détaillé,
disponible
en ligne,
à télécharger
par chaque
employeur.’
le SdPSP en chiffres/page 55
Le SdPSP en chichiffres
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
Annexes
le SdPSP en chiffres/budgets/page 56
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
Le SdPSP a deux budgets distincts :
• Le budget de fonctionnement comprend les moyens fi nanciers pour
le fonctionnement quotidien du service.
• Le budget de mission comprend les moyens fi nanciers pour payer les
pensions et avantages tenant lieu qui sont gérées par le SdPSP.
Budget de fonctionnement
RECETTES• Une dotation de € 38.992.000 inscrite au Budget général des dépenses
de l’autorité fédérale de 2011 pour la gestion du service.
• Toutes les autres recettes ayant trait à la gestion du service soit, un mon-
tant de € 377.704,57 en 2011.
AUTRES RECETTES
Allocation SNCB 218.446,82
Gestions conventions de pensions 63.628,82
Publications 89.010,00
Contentieux 2.982,20
Divers 3.636,73
TOTAL 377.704,57
DEPENSESLes dépenses suivantes ont été effectuées en 2011:
• Frais de personnel
• Frais de fonctionnement
• Frais d’investissement
FRAIS DE PERSONNEL
Rémunérations personnel statutaire 19.798.890,09
Rémunérations personnel non statutaire 2.027.287,53
Cotisations patronales personnel statutaire 1.723.570,89
Cotisations patronales personnel non statutaire 422.077,97
Intervention abonnements sociaux personnel statutaire 430.545,00
Intervention abonnements sociaux personnel non statutaire 74.920,68
Organes de contrôle 8.954,00
Audit interne 3.670,63
Expertise médicale 5.837,12
Déplacements et représentation 68.274,51
Service social 72.938,60
Formations professionnelles 12.515,25
Prime syndicale 24.066,35
Accidents du travail 43.181,18
Allocations membres de commissions 12.375,67
TOTAL 24.729.105,47
FRAIS DE FONCTIONNEMENT
Loyers et charges locatives 4.139.426,17
Entretien et réparation 147.496,94
Frais généraux 3.107.804,82
Taxes 108.347,40
Sécurité 16.198,79
Relations publiques 75.312,81
Frais de prestations 5.974.347,56
TOTAL 13.568.934,49
FRAIS D’INVESTISSEMENT
Mobilier 26.263,01
Machines 18.183,34
Matériel informatique - hardware 159.748,46
Matériel informatique - software 161.998,49
TOTAL 366.193,30
Annexes
le SdPSP en chiffres/budgets/page 57
Budget de mission
1. Pensions et avantages en tenant lieu à charge du Trésor public
Ces dépenses sont fi nancées par :
1.1. les recettes destinées au fi nancement des pensions de survie
1.2. les recettes destinées au fi nancement des pensions de retraite
1.3. les recettes fonctionnelles du SdPSP
1.4. la dotation pour l’exercice des missions légales en matière
de pensions du secteur public.
Les montants suivants ont été payés (voir tableau ci-contre).
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
PENSIONS ET AVANTAGES EN TENANT LIEU À CHARGE DU TRÉSOR PUBLIC
Pensions de retraiteCiviles 1.194.840.867,11Ministres des cultes 35.782.165,18Militaires 989.811.565,25Spéciales 26.873,50Pensions provisoires aux SPF 331.064,32Ex- Service Radio Maritime (pensions et primes de départ) 3.375.692,05La Poste 541.534.202,94Régie des Transports Maritimes 10.880.442,66Belgacom 302.898.230,40Belgocontrol 22.957.285,19Brussels Airport Company 9.229.849,50Gemeentelijk Havenbedrijf Antwerpen 17.728.290,96Anciens cadres d’Afrique (retraite et survie) 57.101.542,91Enseignement offi ciel subventionné 1.043.771.322,40Enseignement libre subventionné 2.525.173.601,90Enseignement communautaire 1.452.853.617,04Transferts loi 5/8/1968 7.553.956,16Transferts loi 21/5/1991 729.017,90Garantie pension Offi ce Belge du Commerce extérieur 378.389,65Intérêts Charte assuré social 14.469,24Avantages complémentaires managers 272.127,01Allocations familialesGrands-Invalides militaires temps de paix 146.044,53Anciens cadres d’Afrique 38.011,59Grands-Invalides militaires 1940 - 1945 439.133,88Total pensions de retraite et allocations 8.217.867.763,27Pensions de surviePensions de survie 1.120.460.555,53Allocations frais funérailles 12.428.516,04Remboursements cotisations 39.228,92Total pensions de survie 1.132.928.300,49
TOTAL 9.350.796.063,76
le SdPSP en chiffres/budgets/page 58
Budget de mission
1. Pensions et avantages en tenant lieu à charge du Trésor public
1.1. Recettes destinées au fi nancement des pensions de survie
Il s’agit des recettes de l’ancien Fonds des pensions de survie. Depuis le
1er janvier 2006 ces recettes sont perçues par le SdPSP qui ne peut les
utiliser que pour le paiement des pensions de survie à charge du Trésor
public et le solde pour le fi nancement des pensions de retraite à charge
du Trésor public.
Il s’agit des recettes suivantes :
• la cotisation personnelle des agents statutaires
• la retenue frais funéraires
• la retenue éméritat
• la retenue validation interruption de carrière
• la cotisation de responsabilisation
• la cotisation patronale de bpost
• la ristourne du Fonds pour les pensions de la police intégrée
• les cotisations patronales de Belgacom, BAC et Belgocontrol
• les paiements de compensation de Belgacom, BAC et
Belgocontrol
• les intérêts de retard
• les transferts de la loi du 5 août 1968
• les quotes-parts de pensions dans le cadre de la loi
du 14 avril 1965
la retenue validation interruption de carrière
Par l’arrêté royal n°442 du 14 août 1986, des périodes d’interruption de carrière
seront prises en considération pour la pension du secteur public moyennant le
versement d’une cotisation personnelle de 7,5 % sur le montant mensuel brut
du traitement à l’institution qui gère le régime des pensions de survie. Le SdPSP
perçoit ces cotisations si ces périodes d’interruption de carrière sont prises en
considération pour une pension à charge du Trésor public.
la retenue éméritat
Par la loi du 24 décembre 1976 une retenue de 7,5% est opérée sur les pensions
relevant d’un régime de pension prévoyant l’éméritat. Le produit de cette rete-
nue est versé au SdPSP et est destiné au fi nancement des pensions à charge du
Trésor public.
la retenue frais funéraires
Par la loi du 30 avril 1958, une indemnité de funérailles est attribuée aux ayants
droit d’un titulaire d’une pension de retraite à charge du Trésor public. A ce pro-
pos, une retenue de 0,5% est opérée sur le montant mensuel brut des pensions
de retraite à charge du Trésor public.
Le produit de cette cotisation est versé au SdPSP et est destiné au fi nancement
des indemnités de funérailles. Le solde de ce produit est destiné au fi nancement
des pensions à charge du Trésor public.
la cotisation personnelle
Par la loi du 15 mai 1984, une cotisation obligatoire de 7,5% est opérée sur les
traitements des agents de l’Etat nommés à titre défi nitif.
Le produit de cette cotisation est versé au SdPSP et est destiné au fi nancement
des pensions de survie. Le solde de ce produit est destiné au fi nancement des
pensions de retraite à charge du Trésor public.
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 59
les paiements de compensations de Belgacom, BAC et Belgocontrol
La loi précitée du 11 décembre 2003 (voir les recettes précédentes) prévoit éga-
lement que Belgacom doit, dans certains cas, faire un paiement de compensa-
tion au SdPSP. L’arrêté royal précité du 22 décembre 2004 (voir les recettes pré-
cédentes) prévoit également que BAC doit, dans certains cas, faire un paiement
de compensation au SdPSP. La loi précitée du 21 mars 1991 (voir les recettes
précédentes) prévoit également que Belgocontrol doit, dans certains cas, faire
un paiement de compensation au SdPSP.
les cotisations patronales de Belgacom, BAC et Belgocontrol
Par la loi du 11 décembre 2003, les pensions du personnel statutaire de Belga-
com sont, depuis le 1er janvier 2004, à charge du Trésor public. Depuis cette date
Belgacom doit verser une cotisation patronale égale à 10 % des montants bruts
des traitements de son personnel statutaire. Cette cotisation doit être payée
au SdPSP. Par l’arrêté royal du 22 décembre 2004, les pensions du personnel
statutaire de BAC sont, depuis le 1er janvier 2004, à charge du Trésor public.
Depuis cette date BAC doit verser une cotisation patronale égale à 12,48 % des
montants bruts des traitements de son personnel statutaire. Cette cotisation
doit être versée au SdPSP.
Par la loi du 21 mars 1991, les pensions du personnel statutaire de Belgocontrol
sont, depuis le 1er janvier 2005, à charge du Trésor public. Depuis cette date
Belgocontrol doit verser une cotisation patronale égale à 35 % des montants
bruts des traitements de son personnel statutaire. Cette cotisation doit être
versée au SdPSP.
la ristourne du Fonds des pensions de la Police Intégrée
La loi du 6 mai 2002 prévoit l’établissement du Fonds des pensions de la Police
Intégrée qui est, depuis le 1er avril 2001, responsable du fi nancement de ces
pensions et avantages en tenant lieu. Le solde disponible des recettes de ce
fonds est remboursé aux institutions qui supportent la charge des pensions en
cours au 1er avril 2001. Pour les pensions en cours à cette date qui sont à charge
du Trésor public, la ristourne est remboursée au SdPSP.
la cotisation patronale de bpost
Par la loi du 6 juillet 1971, les pensions du personnel statutaire de bpost sont à
charge du Trésor public depuis le 1er février 1998. Depuis cette date bpost doit
verser une cotisation patronale égale à 8,86 % des traitements mensuels bruts
de son personnel statutaire. Cette cotisation est versée au SdPSP et est destinée
au fi nancement des pensions à charge du Trésor public.
les cotisations de responsabilisation
Par la loi spéciale du 27 avril 1994, une cotisation de responsabilisation est im-
posée aux pouvoirs publics dont les pensions de leur personnel statutaire sont
prises en charge par le Trésor public. Ces pouvoirs versent cette cotisation au
SdPSP qui l’utilisera pour le fi nancement des pensions à charge du Trésor public.
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 60
les quotes-parts de pensions dans le cadre de la loi du 14 avril 1965
Si des services comme agent statutaire sont prestés consécutivement auprès de
plusieurs institutions publiques, la loi du 14 avril 1965 prévoit une pension unique
octroyée par l’institution publique où l’agent a terminé sa carrière. La partie de la
pension correspondant aux services prestés auprès des autres institutions publiques
est remboursée annuellement par celles-ci à l’institution qui paie la pension unique.
En cas de pension unique à charge du Trésor public ou pour un régime de pension
qu’il gère (ex. le régime de pension des pensions de retraite parastatales, Pool I, Pool
II, …), ce remboursement est effectué en faveur du SdPSP.
les transferts loi du 5 août 1968
Par la loi du 5 août 1968, des services prestés comme agent non statutaire qui sont
suivi d’une nomination à titre défi nitif sont pris en compte pour la pension du secteur
public à condition que les cotisations sociales versées pour ces services soient trans-
férées à l’institution qui gère les pensions de survie. Le SdPSP percevra ces transferts
si ces services sont pris en compte pour une pension à charge du Trésor public ou
pour un régime de pension qu’il gère (ex. régime de pension des pensions de retraite
parastatales, Pool I, Pool II, …).
les intérêts de retard
Si les cotisations personnelles (voir première recette) ne sont pas payées dans les
délais prévus, des intérêts de retard doivent être payés au SdPSP qui utilisera ces
recettes pour le fi nancement des pensions à charge du Trésor public.
Les recettes destinées au fi nancement
des pensions de survie à charge du Trésor
public ont, depuis 2002, évolué comme
suit :
Détail des résultats :
RECETTES
Cotisation personnelle de 7,5% 1.126.434.920,65
Retenue Frais funéraires 42.151.971,21
Retenue éméritat 542.75
Retenue validation interruption de carrière 3.162.561,87
Cotisations de responsabilisation 16.134.321,00
Cotisation patronale bpost 50.114.625,83
Ristourne Fonds des pensions de la Police Intégrée 30.027.469,53
Cotisations patronales de Belgacom, BAC et Belgocontrol 51.316.178,00
Paiements de compensation de Belgacom, BAC et Belgocontrol 0,00
Intérêts de retard 0,00
Transferts loi du 5 août 1968 58.586.861,39
Quotes-parts de pension - loi du 14 avril 1965 39.178.400,97
Remboursements 17.217.405,58
TOTAL 1.434.325.258,78
RECETTES (*)
2002 1.052.131.107,48
2003 1.156.779.481,66
2004 1.275.604.272,42
2005 1.373.044.426,00
2006 1.393.612.271,35
2007 1.383.863.572,76
2008 1.451.674.880,66
2009 1.450.529.327,53
2010 1.469.007.764,12
2011 1.434.325.258,78
(*) recettes y compris le solde de
l’année précédente
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 61
Budget de mission
1. Pensions et avantages entenant lieu à charge du Trésor public
1.2. Recettes destinées au fi nancement des pensions de retraite
Il s’agit des recettes de l’ancien Fonds pour l’équilibre des régimes de
pensions. Depuis le 1er janvier 2006, ces recettes sont perçues par le SdPSP
qui ne peut les utiliser que pour le paiement des pensions à charge du
Trésor public.
Il s’agit des recettes suivantes :
• La cotisation de solidarité
• La cotisation de 1,5 % des managers
• La cotisation d’égalisationCes recettes ont évolué
depuis 2002 de la manière
suivante :
Voici les résultats détaillés :
la cotisation d’égalisation
La loi du 17 septembre 2005 instaure une cotisation d’égalisation depuis le 1er
janvier 2005. Il s’agit d’une retenue de 13,07 % sur le pécule de vacances des
fonctionnaires.
Le SdPSP perçoit le produit de cette retenue qui est destiné au fi nancement des
pensions à charge du Trésor public.
la cotisation de 1,5% des managers
La loi du 4 mars 2004 a accordé des avantages complémentaires en matière
de pensions aux titulaires d’une fonction de management ou d’encadrement
dans un service public. Les personnes concernées sont obligées de verser une
cotisation personnelle de 1,5%. Le produit de cette retenue est versé au SdPSP
qui doit l’utiliser pour le paiemenr des avantages précités.
le produit de la cotisation de solidarité
Par la loi du 30 mars 1994 une retenue est opérée sur le montant mensuel brut
de chaque pension légale et chaque avantage complémentaire. Cette retenue
s’élève de 0,5 à 2 % en fonction du montant de pension et de la situation fami-
liale du pensionné.
Chaque institution de pension, à l’exception de l’Offi ce National des Pensions,
doit verser cette cotisation au SdPSP qui doit utiliser le produit de cette retenue
au fi nancement des pensions à charge du Trésor public.
RECETTES
Retenue de solidarité 155.837.612,98
Retenue managers 1,5 % 362.962,61
Retenue pécules de vacances 13,07 % 65.827.643,96
TOTAL 222.028.219,55
RECETTES
2002 114.359.170,82
2003 142.257.620,79
2004 139.426.751,57
2005 192.257.975,59
2006 259.390.906,40
2007 218.155.200,86
2008 224.873.141,58
2009 204.282.382,76
2010 201.557.780,82
2011 222.028.219,55
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 62
Budget de mission
1. Pensions et avantages en tenant lieu à charge du Trésor public
1.3. Recettes fonctionnelles du SdPSP
Il s’agit des remboursements des montants de pensions par des tiers, di-
rectement effectués au SdPSP, pour un montant de € 1.266.407,54.
1.4. La dotation pour l’exercice des missions légales
en matière de pensions du secteur public
Une dotation d’un montant de € 7.707.643.000 est inscrite dans le bud-
get général des dépenses de l’autorité fédérale en 2011 pour l’exercice
des missions légales du SdPSP en matière de pensions du secteur public.
Cette dotation n’est utilisée que pour un montant de € 7.693.176.177,90.
(voir annexe 2b).
2. Les pensions de réparation et rentes de guerre
Les montants suivants ont effectivement été payés :
Une dotation d’un montant de € 138.796.000 est inscrite dans le budget
général des dépenses de l’autorité fédérale en 2011 pour l’exercice des
missions légales du SdPSP en matière de pensions de réparation et rentes
de guerres.
Les montants remboursés (paiements indus) au SdPSP en matière de
pensions de réparation et des rentes de guerre s’élèvent à € 1.485.737,61.
3. Les indemnités d’accidents du travail
Les montants suivants ont effectivement été payés :
DÉPENSES TOTALES 38.002.855,74
Une dotation d’un montant de € 37.756.000 est inscrite dans le budget
général des dépenses de l’autorité fédérale en 2011 pour l’exercice des
missions légales du SdPSP en matière d’accidents du travail.
Les montants récupérés par le SdPSP en matière de rentes d’accidents du
travail s’élèvent à € 481.039,17.DÉPENSES
Pensions de réparation temps de paix 53.448.009,30
• Pensions d’invalidité temps de paix
• Ordres Nationaux 700.152,20
Pensions et rentes de guerre 1914 – 1918 437.398,01
Pensions et rentes de guerre 1940 – 1945 82.634.954,97
Incorporés de force dans l’armée allemande 236.550,47
Victimes juives et tziganes du Nazisme 157.872,14
Victimes Coopération Technique 3.909,38
TOTAL 137.618.846,47
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 63
DÉPENSES
Pensions – quotes-parts – cotisations loi 5-8-68 345.359.951,21
TOTAL 345.359.951,21
RECETTES
Solde fi n 2010 18.430.236,33
Cotisations patronales (*) 306.059.591,57
Récupérations 569.134,91
Quotes-parts de pensions 32.033.913,36
Cotisations loi 5/8/1968 2.113.410,53
TOTAL 359.206.286,70
Nouveau solde fi n 2011 13.846.335,49
(*) Ce montant contient à la fois les cotisations patronales pures des organismes affi liés et les cotisations payées par des organismes non affi liés qui ont repris du personnel des organismes affi liés.
Budget de mission
4. Pensions de la SNCB
A partir du 1er janvier 2007, les pensions de la SNCB sont à charge du Trésor
public.Ci-dessous les chiffres en 2011 :
La différence entre les dépenses et les recettes est fi nancée par la dotation
qui est inscrite à ce sujet dans le budget général des dépenses de l’auto-
rité fédérale de 2011.
5. Les pensions de retraite parastatales
Par la loi du 28 avril 1958, les agents des organismes d’intérêt public
nommés à titre défi nitif peuvent obtenir la même pension de retraite que
les agents de l’autorité fédérale nommés à titre défi nitif.
Ces pensions sont gérées par le SdPSP et payées par le Service Central des
Dépenses Fixes.
Ces pensions sont fi nancées par les organismes affi liés (voir annexe 3) par le
biais d’une cotisation patronale qui s’élève à 31,50% en 2011 de la masse
salariale de leur personnel statutaire. Ce pourcentage est égal à la propor-
tion que le montant des dépenses de pensions
représente par rapport au montant de la masse
salariale de l’ensemble des organismes affi liés.
Le produit de cette cotisation patronale doit
être versé au SdPSP qui ne peut utiliser ces
montants que pour payer les pensions et avan-
tages en tenant lieu aux anciens membres du
personnel des organismes d’intérêt public affi -
liés.
Voici les résultats détaillés pour les pensions
de retraite parastatales :
DÉPENSES
Pensions de retraite 665.706.460,33
Pensions de survie 236.112.076,75
Quotes-parts 443.615,98
Transferts de cotisation 9.614,03
TOTAL 902.261.767,09
RECETTES
Cotisations patronales 118.167.146,23
Cotisations personnelles 96.214.627,61
Cotisation de modération salariale 6.700.584,00
Contribution d’égalisation 7.564.336,87
Quotes-parts 11.261,99
Transferts de cotisations 554.541,01
Validation interruption de carrière 937.699,66
Cotisation de solidarité 6.532.225,98
Récupérations 2.918.534,66
TOTAL 239.600.958,01
POURCENTAGE
2002 24,00 %
2003 24,50 %
2004 24,50 %
2005 25,00 %
2006 25,00 %
2007 25,00 %
2008 27,00 %
2009 29,50 %
2010 30,00 %
2011 31,50 %
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 64
Budget de mission
6. Pensions de la police intégrée
Les pensions des anciens membres de la police intégrée sont depuis le
1er avril 2001 à charge du Fonds des pensions de la Police Intégrée. Ces
pensions sont gérées par le SdPSP et payées par le SCDF.
Ce Fonds est alimenté par :
• une cotisation patronale de 20 % de la masse salariale du personnel
statutaire de la police à charge de la police fédérale et des zones de
police ;
• une cotisation personnelle de 7,5% sur les traitements du personnel
de police statutaire ;
• d’autres recettes comme les quotes-parts de pension, les cotisations
loi 5/8/1968.
Ces recettes sont perçues par le SdPSP qui ne peut les utiliser que pour le
paiement des pensions et avantages en tenant lieu.
Voici les résultats détaillés :
RECETTES
Solde fi n 2010 16.920.385,75
Cotisations personnelles 111.996.593,74
Cotisations patronales 298.657.583,29
Autres 3.075.946,10
TOTAL 430.650.508,88
7. Les pensions du régime commun de pension des pouvoirs locaux
Ce régime de pension (Pool I) est un régime de répartition basé sur la
solidarité des administrations affi liées.
L’ONSSAPL est garant du fi nancement du Pool I et dispose des moyens
suivants:
• une cotisation patronale s’élevant en 2011 à 24,50 % de la masse
salariale du personnel statutaire ;
• une cotisation personnelle de 7,5 % sur les traitements du
personnel statutaire ;
• d’autres recettes directement versées au SdPSP telles que les quotes-
parts de pension, les transferts loi 5/8/1968....
Le SdPSP est chargé du calcul et le SCDF du paiement de ces pensions.
L’ONSSAPL prévoit les fonds nécessaires pour payer les pensions et avan-
tages en tenant lieu.
DÉPENSES
Pensions 345.811.114,89
Indemnités frais funéraires 243.045,32
Pécules de vacances 481.833,89
Ristournes 80.639.424,83
Quotes-parts 358.741,83
Transferts loi 5/8/1968 2.459.396,58
Allocation membres commission 228,68
Frais de gestion ONSSAPL 423.634,03
TOTAL 430.417.420,05
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 65
Budget de mission
7. Les pensions du régime commun de pension des pouvoirs locaux
Dans certains cas, les pouvoirs locaux ont conclu une convention avec le
SdPSP et le SCDF. Cette convention stipule que les pensions qui restent
à charge du pouvoir local, seront gérées par le SdPSP et liquidées par le
SCDF. Cette convention pourra, le cas échéant, également stipuler que
certains suppléments qui sont à charge du pouvoir local, seront gérés par
le SdPSP et payés par le SCDF.
Ces dépenses seront imputées sur le Pool I, mais le pouvoir local s’engage
à rembourser ces dépenses au Pool I.
Des telles conventions ont été conclues avec :
• la Ville de Leuven
• la Ville de Lokeren
• le CPAS de Lokeren
• la Ville de Geraardsbergen
• la Ville de Verviers
• la commune de Bornem
Détail des dépenses en 2011 :
8. Les pensions du régime des nouveaux affi liés à l’ONSSAPL
Par la loi du 6 août 1993, les administrations locales ont la possibilité de
s’affi lier à un nouveau régime solidarisé, appelé Pool II. Ce régime est,
comme le régime commun, un régime de répartition basé sur la solidarité
des administrations affi liées. L’avantage de ce régime est que lors d’une af-
fi liation d’un pouvoir local au Pool II, non seulement les nouvelles pensions,
mais également une partie des pensions en cours sont prises en charge.
FLUX FINANCIERS AU SdPSP POUR
POOL I
DÉPENSES RECETTES INTERVENTION ONSSAPL/
POUVOIR LOCAL
2002 446.309.721 16.286.442 430.023.279
2003 459.556.917 18.838.265 440.718.652
2004 474.141.625 16.709.000 457.432.625
2005 495.687.430 21.185.277 474.502.153
2006 525.657.903 19.801.233 505.856.670
2007 549.090.106 18.466.925 530.623.181
2008 571.950.655 24.243.192 547.707.463
2009 623.262.928,74 27.109.026,85 595.580.804,65
2010 647.860.388,84 25.831.396,61 624.850.000
2011 691.652.220,77 27.158.443,91 670.992.728,30
DÉPENSES
Pensions de retraite 574.659.234,72
Pensions de survie 105.615.449,21
Pécules de vacances -pécules de vacances complémentaires 4.111.453,16
Allocations frais funéraires 868.261,56
Transferts loi 5/8/1968 686.788,22
Quotes-parts 5.629.504,31
Remboursements 81.529,59
TOTAL 691.652.220,77
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 66
Budget de mission
8. Les pensions du régime des nouveaux affi liés à l’ONSSAPL
Lors d’une affi liation, la gestion des dossiers de pensions peut être confi ée
au SdPSP ou à une institution de prévoyance.
L’annexe 4 contient la liste des pouvoirs locaux affi liés au Pool II et dont le
SdPSP gère les dossiers avec mention de la date d’affi liation.
L’ONSSAPL est garant du fi nancement du Pool II et dispose des moyens
suivants :
• une cotisation patronale s’élevant à 32,50 % en 2011 de la masse
salariale du personnel statutaire ;
• une cotisation personnelle de 7,5 % sur les traitements du
personnel statutaire ;
• d’autres recettes directement versées au SdPSP telles que les quotes-
parts de pension, les transferts loi 5/8/1968....
Le SdPSP effectue le calcul de ces pensions et le SCDF, le paiement.
L’ONSSAPL prévoit les fonds nécessaires pour payer les pensions et avan-
tages en tenant lieu.
En 2011, aucun pouvoir local ne s’est affi lié au Pool II.
Comme mentionné ci-contre, lors d’une affi liation au Pool II, une partie
de la charge des pensions en cours du pouvoir local est reprise. Dans
certains cas, les pouvoirs locaux ont conclu une convention avec le SdPSP
et le SCDF. Cette convention stipule que les pensions qui n’étaient pas
reprises, seront gérées par le SdPSP et liquidées par le SCDF. Ces dépenses
seront imputées au Pool II, mais le pouvoir local s’engage à rembourser
ces dépenses au Pool II.
Des telles conventions ont été conclues avec:
• le CPAS de Bruxelles
• le CPAS de Verviers
• la commune et le CPAS de Jette
• la commune d’Uccle
• la commune de Molenbeek-Saint-Jean
• la commune et le CPAS d’Ixelles
• la commune, le CPAS et l’institution Interseniors de Seraing
De plus, des conventions ont été conclues avec quelques pouvoirs locaux
concernant la gestion des dispositions dans leur règlement de pension qui
sont plus favorables que le régime général de pensions qui est d’applica-
tion aux membres du personnel des pouvoirs locaux affi liés au Pool II. Le
SdPSP reçoit pour cette gestion une allocation unique pour le démarrage
de la gestion d’un tel nouvel avantage.
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 67
Budget de mission
8. Les pensions du régime des nouveaux affi liés à l’ONSSAPL
De telles conventions ont été conclues avec :
• la Ville et le CPAS d’Ostende et le Autonoom Ziekenhuis Henri
Serruys
• l’Intercommunale d’incendie de Liège et environs
• la Province d’Anvers
• le « Gemeentelijk Havenbedrijf Antwerpen »
• le CPAS de Jette
• la commune d’Uccle
• la commune et le CPAS d’Ixelles
• la commune de Molenbeek-Saint-Jean
• la commune, le CPAS et Valida de Berchem-Sainte-Agathe
• la commune, le CPAS et la Masse d’habillement de Seraing
• la Ville de Bruxelles
• la Province du Brabant-Wallon, pour son personnel administratif.
Ces dépenses sont imputées sur le Pool II, mais remboursées par le pou-
voir local.
Détail des dépenses en 2011 :
DÉPENSES
Pensions de retraite 235.859.808,36
Pensions de survie 31.386.711,47
Pécules de vacances et complémentaires 1.170.140,86
Quotes-parts 2.452.101,69
Transferts loi 5/8/1968 21.322,70
Régularisations 182,47
Allocations frais funérailles 347.045,32
TOTAL 271.237.312,87
FLUX FINANCIERS AU SdPSP POUR
POOL II
DÉPENSES RECETTES INTERVENTION ONSSAPL/
POUVOIR LOCAL
2002 86.727.125 496.260 86.230.864
2003 103.688.384 789.392 102.898.991
2004 108.676.086 2.757.349 105.918.736
2005 112.627.028 1.338.862 111.288.166
2006 135.788.600 4.553.360 131.235.239
2007 150.364.581 2.457.115 147.907.466
2008 192.215.147,57 3.167.172,18 189.047.975,39
2009 204.027.806,55 3.995.557,03 206.690.686,52
2010 240.723.501,89 8.894.627,77 237.638.463,74
2011 271.237.312,87 7.511.570,99 269.263.357,79
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 68
Budget de mission
9. Les pensions par conventions directes
Le SdPSP a conclu avec certains pouvoirs publics une convention pour
reprendre la gestion administrative et technique de leurs dossiers de pen-
sions de retraite et de survie moyennant une indemnité. Le paiement de
ces pensions est fait par le SCDF.
Les pouvoirs locaux prévoient les fonds nécessaires pour le paiement de
ces pensions.
Actuellement des conventions directes sont conclues avec :
• UZ-Gent (depuis le 1er octobre 1995)
• la Province du Brabant-Wallon
(depuis le 1er janvier 1997, mais affi liée au Pool II depuis 1/1/2009)
• la commune de Jette
(depuis le 1er juin 2007) pour les mandataires communaux.
• la commune et le CPAS de Tirlemont
(depuis le 1er janvier 2009) pour les mandataires politiques
• le CPAS de Jette (depuis le 1er janvier 2009)
pour les mandataires politiques.
• le CPAS de Namur (depuis le 1er janvier 2010)
• la commune d’Uccle (depuis le 1er janvier 2010)
pour les mandataires politiques
• la commune de Geraardsbergen (depuis le 1er janvier 2011)
pour les mandataires politiques
• la commune de Molenbeek-Saint-Jean (depuis le 1er janvier 2011)
pour les mandataires politiques
• la commune et le CPAS d’Ixelles (depuis le 1er janvier 2011)
pour les mandataires politiques.
L’indemnité s’élève à :
• un montant unique de € 247,58 par nouveau dossier géré par le
SdPSP.
• un montant annuel de € 28,65 par pension payée par le SCDF.
En 2011, les montants de pensions et avantages en tenant lieu ont été
payés pour ces pouvoirs publics, après que ces pouvoirs aient mis à dispo-
sition du SdPSP les montants nécessaires :
UZ GENT AC JETTE AC IXELLES
Pensions de retraite 5.369.274,11 94.242,62 97.352,67
Pensions de survie 153.616,03 6.563,95 54.318,74
Pécules de vacances 83.218,74 0,00 0,00
TOTAL 5.606.108,88 100.806,57 151.671,41
AC TIENEN CPAS TIENEN CPAS NAMUR
Pensions de retraite 208.951,17 10.940,54 3.595.856,00
Pensions de survie 29.984,63 4.047,37 296.255,69
Pécules de vacances 0,00 0,00 28.165,85
TOTAL 238.936,10 14.987,91 3.920.277,54
AC UCCLE AC GERAARDS-BERGEN
AC MOLENBEEK
Pensions de retraite 220.273,38 65.093,85 178.917,33
Pensions de survie 51.630,74 16.922,44 21.421,55
Pécules de vacances 0,00 0,00 0,00
TOTAL 226.099,25 82.016,29 200.338,88
Aucun paiement à charge du CPAS de Jette et du CPAS d’Ixelles n’a encore été
effectué.
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/budgets/page 69
Budget de mission
10. Les pensions par conventions avec des institutions de prévoyance
Le SdPSP a conclu avec certaines institutions de prévoyance une conven-
tion pour reprendre, moyennant une indemnité, la gestion administrative
des pensions de retraite des anciens membres du personnel des person-
nes morales de droit public ayant conclu une convention de gestion de
leur régime de pension avec l’institution de prévoyance, et des pensions
de survie des ayants droit de ce personnel. Le paiement de ces pensions
est fait par le SCDF. Les institutions de prévoyance versent au SdPSP les
fonds nécessaires pour le paiement de ces pensions.
L’indemnité s’élève à :
• un montant unique de € 247,58 par nouveau dossier géré par le
SdPSP ;
• un montant annuel de € 28,65 par pension payée par le SCDF.
Le SdPSP a conclu une convention avec les institutions suivantes :
• AG INSURANCE (ex-Fortis AG)
• VIVIUM (ex-ING – Insurances)
• DEXIA – Assurances
• AXA – Assurances
En 2011, les montants de pensions et avantages en tenant lieu ont été
payés pour les personnes morales de droit public suivantes, après que
l’institution de prévoyance ait mis les fonds à la disposition du SdPSP.
(*) = Intercommunale de traitement des déchets de Gand et environs.
VIVIUM (EX ING – INSURANCES)
Depuis fi n 2010 VIVIUM n’a plus d’institutions de droit public dans le cadre de la convention avec le SdPSP.
DEXIA – ASSURANCES
DEXIA a, pendant l’année 2011, confi é au SdPSP la gestion et le paiement des pensions des anciens mandataires des institutions de droit public suivantes:
-la commune de Doische -la commune et le CPAS de Oud-Heverlee
-la commune et le CPAS de Damme -la commune et le CPAS de Floreffe
-la commune et le CPAS de Lierde -la commune de Juprelle
-la commune et le CPAS de Antoing -le CPAS de Assesse
-la commune et le CPAS de Galmaarden -la commune de Zemst
-la commune et le CPAS de Chapelle
AXA – ASSURANCES SCHAERBEEK
Pensions de retraite 16.717.907,24
Pensions de survie 3.604.571,91
Pécules de vacances 99.828,23
TOTAL 20.422.307,38
AG-INSURANCE TIENEN IVAGO (*) BERCHEM MOLENBEEK
Pensions de retraite 41.841,43 620.479,77 364.147,96 1.692.387,28
Pensions de survie 935,09 47.369,52 78.505,68 224.151,45
Pécules de vacances 0,00 4.176,22 1.335,65 8.038,09
TOTAL 42.776,52 672.025,51 443.989,29 1.924.576,82
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/statistiques/page 70
Nombre et accroissement des pensions
Nombre total de pensions de retraite et de survie
Les graphiques montrent l’évolution du nombre de pensions pour la pé-
riode 2004-2011.
Le nombre de pensions de retraite a augmenté de 289.079 à 365.121 et
le nombre de pensions de survie a augmenté de 86.100 à 90.945.
Au 1er juillet de l’année 2011, le nombre total de pensions gérées par
le SdPSP s’élève à 456.066, dont 365.121 pensions de retraite et
90.945 pensions de survie.
PENSIONS DE RETRAITE ET DE SURVIE
nombre (milliers)
anné
e (a
u 1/
07)
200 250 300 350 400 450 500
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
P E N S I O N S D E S U R V I E
nombre (milliers)
anné
e (a
u 1/
07)
80 82 84 86 88 90 92
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
P E N S I O N S D E R E T R A I T E
nombre (milliers)
anné
e (a
u 1/
07)
200 220 240 260 280 300 320 340 360 380
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
Annexes
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
le SdPSP en chiffres/statistiques/page 71
Nombre et accroissement des pensions
Accroissement des pensions de retraite et de survie
Les graphiques montrent l’accroissement des pensions de retraite et des
pensions de survie. Il s’agit de nouvelles pensions enregistrées pour la
période 2000-2011.
Le nombre de nouvelles pensions de retraite a augmenté de 14.603 à
21.539 et le nombre de nouvelles pensions de survie a augmenté de
5.074 à 5.434.
Durant l’année 2011, le SdPSP a accordé 26.973 nouvelles pensions, dont
21.539 pensions de retraite et 5.434 pensions de survie.
L’année 2011 a enregistré une augmentation par rapport à 2010.
L’évolution et l’accroissement du nombre de pensions sont la conséquence
d’une politique de recrutement de diverses autorités à une époque déter-
minée et pas uniquement la conséquence de facteurs démographiques
(pyramide des âges, espérance de vie, taux de mortalité).
Des pics exceptionnels peuvent être dus au fait que des institutions sont
gérées pour la première fois par le SdPSP. Par exemple, la reprise des pen-
sions de Belgacom ou du « Havenbedrijf Antwerpen ».
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
NOUVELLES PENSIONS DE RETRAITE ET DE SURVIE
nom
bre
(mill
iers
)
année (au 1/07)
0
5
10
15
20
25
30
20042003200220012000 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
NOUVELLES PENSIONS DE SURVIE
nom
bre
(mill
iers
)
année (au 1/07)
0
1
2
3
4
5
6
7
20042003200220012000 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
N O U V E L L E S P E N S I O N S D E R E T R A I T E
nom
bre
(mill
iers
)
année (au 1/07)
0
5
10
15
20
25
20042003200220012000 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Annexes
le SdPSP en chiffres/statistiques/page 72
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
Dépenses totales de pensions
Evolution des dépenses annuelles de pensions
Les graphiques donnent une idée de l’évolution des dépenses annuelles
de pensions de retraite et de pensions de survie.
Ces graphiques montrent que, pour la période 2004 - 2011, les dépenses
en matière de pensions de retraite du secteur public ont augmenté de
€ 6.210.712.905 à € 9.659.511.463 et celles en matière de pensions de
survie ont augmenté de € 1.119.325.213 à € 1.361.481.673.
Pour l’année 2011, les dépenses en matière de pensions gérées par le
Service des Pensions du Secteur Public s’élèvent à € 11.020.993.136,
dont € 9.659.511.463 pour les pensions de retraite et € 1.361.481.673
pour les pensions de survie.
La hausse des dépenses annuelles en matière de pension est essentiel-
lement à attribuer à la croissance du nombre de pensions. Les autres fac-
teurs importants sont d’une part, l’indexation (adaptation à l’évolution
de la hausse des prix à la consommation) et d’autre part, la péréquation
(adaptation à l’évolution de la hausse de la rémunération en dehors de
l’indexation).
DEPENSES ANNUELLES DEPENSIONS DE RETRAITE ET DE SURVIE
année
Dép
ense
s (e
n m
illio
ns d
’eur
os)
2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 20115000
6000
7000
8000
9000
10000
11000
12000
DEPENSES ANNUELLES DE PENSIONS DE SURVIE
année
Dép
ense
s (e
n m
illio
ns d
’eur
os)
2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011950
1.0001.0501.1001.1501.2001.2501.3001.3501.4001.450
DEPENSES ANNUELLES DE PENSIONS DE RETRAITE
année
Dép
ense
s (e
n m
illio
ns d
’eur
os)
2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 20115.0005.5006.0006.5007.0007.5008.0008.5009.0009.500
10.000
Annexes
le SdPSP en chiffres/statistiques/page 73
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
Répartition et montant moyen de pensions selon la tranche de revenus
Les tableaux ci-après donnent un aperçu du nombre et du montant mensuel moyen de pensions de retraite et de pensions de survie selon le sexe et
la tranche de revenus.
TRANCHE EN EUROS
HOMMES FEMMES TOTAL
Nombre Montant moyen Nombre Montant moyen Nombre Montant moyen
<500 2.030 231 12.742 281 14.772 274
0500-1000 1.331 717 21.258 762 22.589 759
1000-1500 926 1.217 26.181 1.243 27.107 1.242
1500-2000 442 1.759 13.525 1.728 13.967 1.729
2000-2500 113 2.226 6.222 2.238 6.335 2.237
2500-3000 14 2.737 3.294 2.724 3.308 2.724
3000-3500 12 3.274 1.533 3.245 1.545 3.245
3500-4000 5 3.654 787 3.752 792 3.751
4000-4500 2 4.302 526 4.237 528 4.237
4500-5000 . . 2 4.751 2 4.751
TOTAL 4.875 756 86.070 1.264 90.945 1.236
TRANCHE EN EUROS
HOMMES FEMMES TOTAL
Nombre Montant moyen Nombre Montant moyen Nombre Montant moyen
<500 11.384 251 7.825 331 19.209 283
0500-1000 11.992 756 17.780 751 29.772 753
1000-1500 24.645 1.283 20.070 1.252 44.715 1.269
1500-2000 41.964 1.769 20.244 1.756 62.208 1.765
2000-2500 38.895 2.256 27.251 2.268 66.146 2.261
2500-3000 39.120 2.746 40.237 2.769 79.357 2.758
3000-3500 17.826 3.244 10.405 3.217 28.231 3.234
3500-4000 12.784 3.714 4.983 3.697 17.767 3.709
4000-4500 6.210 4.237 900 4.234 7.110 4.236
4500-5000 3.340 4.724 286 4.703 3.626 4.722
≥ 5000 6.429 5.660 551 5.730 6.980 5.666
TOTAL 214.589 2.315 150.532 2.060 365.121 2.210
Annexes
le SdPSP en chiffres/statistiques/page 74
Organisation du SdPSP
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Budgets
Statistiques
Avant-propos
Capelo
Répartition en pourcentage des pensions de retraite selon le motif de la mise à la retraite
Le tableau ci-dessous donne un aperçu de la répartition en pourcentage des pensions de retraite selon le motif de la mise à la retraite pour la période
2003 - 2011.
Motifs de la mise à la retraite :
• pension par limite d’âge : le fonctionnaire a atteint l’âge
limite au-delà duquel il ne peut plus statutairement rester en
service ;
• pension anticipée : le fonctionnaire qui a atteint l’âge de
60 ans et a presté 5 années de services dont 1 jour après le
31 décembre 1976 peut demander sa pension anticipativement ;
• pension différée : le fonctionnaire qui renonce à sa carrière
dans le secteur public pour exercer une autre activité et puis
prend sa pension à l’âge requis ;
• pension pour inaptitude physique : le fonctionnaire qui
est reconnu inapte temporairement ou défi nitivement par le
service médical ;
• mesure d’offi ce : fonctionnaire qui à partir de 60 ans a eu plus de 365 jours d’absence pour maladie.
Répartition en pourcentage des pensions de retraite par âge et par année de prise de cours
Le tableau ci-contre refl ète la répartition en
pourcentage des pensions de retraite par âge et par
année de prise de cours pour la période 2003 - 2011.
CATÉGORIED’ÂGE
ANNÉE DE PRISE DE COURS DE LA PENSION DE RETRAITE
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
<60 26,12% 25,91% 23,85% 22,59% 19,98% 20,42% 20,21% 18,6% 21,86%
60 57,79% 58,36% 60,20% 62,69% 62,95% 60,87% 59,65% 58,50% 53,43%
61 3,69% 4,17% 4,42% 3,66% 4,38% 4,64% 5,04% 5,58% 5,45%
62 2,18% 2,02% 2,18% 2,23% 2,25% 2,59% 2,80% 3,72% 3,53%
63 1,58% 1,46% 1,74% 1,69% 1,84% 1,81% 2,22% 2,41% 2,62%
64 1,34% 1,12% 1,01% 1,03% 1,55% 1,86% 1,44% 2,03% 2,07%
65 6,25% 5,74% 5,42% 4,89% 5,58% 7,01% 7,44% 8,07% 9,72%
>65 1,05% 1,22% 1,18% 1,22% 1,47% 0,80% 1,20% 1,08% 1,33%
ANNÉE MOTIFS DE LA MISE À LA RETRAITE
Limite d’âgeAnticipée sur
demandeDifférée
Inaptitude physique
Mesure d’offi ce
Autres
2003 10,89% 62,58% 4,23% 18,96% 0,30% 3,05%
2004 9,37% 65,98% 4,14% 18,27% 0,22% 2,03%
2005 8,41% 65,48% 4,34% 17,02% 0,24% 4,50%
2006 7,91% 70,52% 4,57% 15,68% 0,19% 1,13%
2007 8,18% 70,00% 5,04% 14,61% 0,34% 1,83%
2008 9,08% 67,34% 4,89% 14,26% 0,23% 4,21%
2009 9,34% 69,43% 4,78% 13,82% 0,21% 2,42%
2010 9,48% 70,59% 5,08% 12,37% 0,13% 2,35%
2011 10,36% 66,07% 5,61% 15,32% 0,10% 2,54%
Annexes
médiateur des pensions/page 75
Médiateur des penpensions
Organisation du SdPSP
Médiateurdes pensions
Avant-propos
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Annexes
Ombudsman et juge, au service de la justice sociale
De nombreux exemples permettant de mieux percevoir les spécifi cités
de la fonction d’ombudsman par rapport à celle de juge (rôles et champs
de compétences respectifs) sont exposés dans le rapport annuel 2011
(www.mediateurpensions.be).
Tendances dans le sujet des plaintes
Le service de médiation pour les Pensions est de plus en plus confronté
à des plaintes qui ne sont pas spécifi ques à un seul régime de pensions,
mais qui touchent au contraire plusieurs institutions et/ou régimes de
pensions. De plus en plus de pensionnés ont une carrière mixte.
Depuis 2009, cette tendance se confi rme et les commentaires portant sur
des problématiques transversales dans le secteur des pensions se multi-
plient.
Ainsi, dans le rapport annuel 2011 publié en mars dernier, quatre thèmes
transversaux sont abordés, et illustrés grâce aux plaintes qui ont porté sur
ces thèmes :
• le cumul de la pension avec des revenus professionnels ;
• les intérêts ;
• la simplifi cation administrative et la coordination entre les services
de pensions ;
• la prescription.
Statistiques
Le service de médiation pour les Pensions réceptionne chaque année des
plaintes concernant le fonctionnement et les décisions du SdPSP.
En 2011, 149 plaintes ont été introduites. Seule la moitié de ces plaintes
était fondée.
SdPSP Plaintes Fondées
2009 134 57 %
2010 130 45 %
2011 149 50 %
médiateur des pensions/page 76
Organisation du SdPSP
Médiateurdes pensions
Avant-propos
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Annexes
annexes/page 77
Annexe 1: Aperçu des projets “contrôle interne” au sein du SdPSP - Année 2011
Annexes
I. PLAN D’ACTION POUR L’AMÉLIORATION DE L’ENVIRONNEMENT DE CONTRÔLE
N° Référence Dénomination Que poursuit le projet ? Qu’est-ce que le projet a fourni comme résultat ?
1 P 4261 (Nl) Normes et valeurs du SdPSP
Les normes et valeurs ont pour rôle d’encadrer et de soutenir les membres du personnel. Au sein du SdPSP, les normes et les valeurs se retrouvent implicitement dans le professionnalisme mis en oeuvre dans toutes les activités. Elles sont transmises oralement ou par les usages. Elles forment les exigences que les membres du personnel se posent à eux-mêmes pour la poursuite des objectifs du SdPSP (P4262). Ce projet entend expliciter et décrire les normes et valeurs du SdPSP.
Un document avec la description des normes et valeurs qui ont cours au sein du SdPSP et sa publication.
2 P 4262 (Nl) Objectifs du SdPSP Il s’agit de défi nir les objectifs du SdPSP en tant qu’organisation, et ceux de chaque service en particulier.
Une liste avec l’inventaire et la délimitation de tous les objectifs qui sont d’application pour le SdPSP en tant qu’organisation et pour chaque service en particulier. Cette liste des objectifs servira de base pour le développement de la structure organisationnelle (P4263).
3 P 4263 (Nl) Structure organisationnelle du SdPSP
Ce projet vise à dresser un inventaire et à délimiter les compétences attribuées et les responsabilités dévolues à tous les services opérationnels.
La description de la nouvelle structure organisationnelle au sein des services opérationnels, en tenant compte de l’introduction de CAPELO, GED et CRM.
II. PLAN D’ACTION POUR LA MISE EN PLACE D’ACTIVITÉS DE CONTRÔLE
N° Référence Dénomination Que poursuit le projet ? Qu’est-ce que le projet a fourni comme résultat ?
4 P 1371(Nl) Description du processus du forum des gestionnaires de crédit
Permettre aux gestionnaires de crédit d’appliquer les procédures correctes lors de l’utilisation des crédits du budget de fonctionnement du SdPSP qui leur ont été attribués.
Une représentation graphique (en BPMN*) du fl ux du processus de toutes les actions qui doivent être entreprises par les gestionnaires de crédit lors de l’utilisation des crédit du budget de fonctionnement dont ils sont responsables.
5 P 1372 (Nl) Maîtrise du processus de transmission des instructions de paiement des traitements
Dans ce projet, il s’agit :
1. d’améliorer la performance, la fi abilité et la conformité avec les dispositions réglementaires des instructions de paiements qui sont fournies par le service HRM au SCDF-Traitements ;
2. de renforcer le contrôle et le suivi des données remises après exécution par le SCDF-Traitements.
1. Une représentation graphique (en BPMN*) de toutes les actions et fl ux de travail nécessaires lors de la transmission, par le service HRM, des instructions de paiement des traitements et des avantages complémentaires ;
2. un document avec l’inventaire de tous les risques connus en matière d’instructions de paiement des traitements.
6 P 1373 (Fr) Péréquation: Passage de l’ancien système vers le système actuel
Dans le cadre de ce projet, les objectifs généraux poursuivis sont la préparation :
1. de l’adaptation et de l’amélioration des modalités de contrôle afi n d’optimiser le suivi des péréquations ;
2. de l’exécution correcte et dans les délais de la péréquation – individuelle ou en masse ;
3. de l’adaptation de l’outil informatique afi n qu’il permette de résorber l’arriéré de péréquation relatif à l’ancien et l’actuel système de péréquation
Etude préalable à la description des processus d’exécution de la péréquation et des processus de contrôle de cette exécution :
1. Un inventaire des points faibles du système de programmation actuel liés tant à l’exécution de la péréquation qu’aux contrôles mis en place + propositions d’améliorations de l’outil informatique ;
2. des propositions d’adaptations des règles de contrôle.
* Business Process Modeling Notation est une notation graphique standardisée pour modéliser des processus.
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Avant-propos
annexes/page 78
Annexe 1: Aperçu des projets “contrôle interne” au sein du SdPSP - Année 2011
Annexes
PLAN D’ACTION POUR LA MISE EN PLACE D’ACTIVITÉS DE CONTRÔLE
N° Référence Dénomination Que poursuit le projet ? Qu’est-ce que le projet a fourni comme résultat ?
7 P 1374 (Fr) Description des activités, des fonctions et instruments du nouveau service de gestion des données électroniques de carrière
Il s’agit de préparer la mise en oeuvre du nouveau service de gestion des données électroniques de carrière.
1. Description des activités du service de gestion des données électroniques de carrière ;
2. Description des fonctions et profi ls de compétences nécessaires à l’exercice des attributions relevant de la mission du service de gestion des données électroniques de carrière ;
3. Listing des instruments de travail ; 4. Publication de ces documents sur EUREKAnet, l’intranet du SdPSP.
8 P 1375 (Nl) Impact de la création du nouveau service de gestion des données électroniques de carrière sur les services d’attribution
Ce projet entend faire le point sur l’impact de la création du service de gestion des données électroniques de carrière sur le fonctionnement des services d’attribution. Les pensions de réparation et les rentes accidents du travail ne sont pas visées par ce projet.
1. Liste des activités restantes pour les services d’attribution dans la situation TO BE ; 2. Liste des descriptions de fonctions modifi ées et profi ls de compétences (éventuel) ; 3. Communication des nouvelles descriptions de fonctions et des nouveaux profi ls de
compétence.
9 P4112 (Fr) Outils de collaboration interne IT
Ce projet est consacré à création d’une plateforme centralisée d’outils destinés à faciliter l’échange d’informations ainsi que le travail de programmation, de testing et de gestion des bugs avant mise en production.! La gestion des bugs en production reste, elle, assurée via le Service-Desk Sharepoint.
1. Outil de gestion des anomalies logicielles (gestion des bugs avant mise en production) ;
2. Outils pour les développements en langage JAVA :a. Logiciel de gestion des versions décentralisées,b. Outil collaboratif de révision de code programmé,c. Outil de test d’intégration ;
3. Un WIKI dédicacé IT.10 P 4264 (Nl) Analyse de l’effi cience
des activités en matière de droit à paiement
Il s’agit :1. d’analyser l’effi cience des activités existantes en matière de droit
à paiement ;2. de redéfi nir ce droit à paiement en prenant en compte la
répartition des compétences entre Gestion et Attribution, telle qu’elle a été défi nie dans la structure organisationnelle (P4263).
Cela concerne tous les éléments qui ont rapport avec le droit à paiement. Par contre, ne sont pas visés les éléments du droit à pension.
Un inventaire des faiblesses, des interférences, des risques et des opportunités d’amélioration en matière de droit à paiement entre les services d’attribution et les services de gestion.
11 P 4265 (Fr) Préparation des instruments de contrôle du respect des délais de la Charte de l’assuré social
On poursuit l’objectif de préparer l’introduction des instruments de contrôle du respect des délais de la Charte de l’assuré social.Dans le cadre de ce projet, seront identifi ées les lignes de conduite à mettre en oeuvre pour le respect des délais dans les bureaux opérationnels (attribution, gestion, Contact Center). La question du contrôle du respect des autres dispositions de la charte de l’assuré social sera examinée ultérieurement.
1. Check-list relatives aux obligations du SdPSP ;2. Tableaux de bord pour l’exécution des différentes opérations d’instruction
(indicateurs de performance).
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Avant-propos
annexes/page 79
Annexe 1: Aperçu des projets “contrôle interne” au sein du SdPSP - Année 2011
Annexes
PLAN D’ACTION POUR LA MISE EN PLACE D’ACTIVITÉS DE CONTRÔLE
N° Référence Dénomination Que poursuit le projet ? Qu’est-ce que le projet a fourni comme résultat ?
12 P 4266 (Nl) Mise en oeuvre de la Charte de l’utilisateur du SdPSP
La mise en conformité de la prestation de service avec la Charte de l’utilisateur du SdPSP (P 125). Cela concerne tous les collaborateurs de tous les services opérationnels.
1. Un plan de communication pour faire connaître la charte de l’utilisateur (P125) et sa relation avec la Charte de l’assuré social, à tous les membres du personnel et à toutes les parties prenantes (pensionnés et futurs pensionnés, etc.) ;
2. “Checklist” pour les membres du personnel qui permet de travailler sur base de la charte et à l’intérieur des délais prévus ;
3. Liste d’indicateurs de performance ;
4. Mise en place d’un tableau de bord pour le management.13 P 4272 (Nl) Amélioration du
rapportage de l’avancée des projets
Tout d’abord, le but est d’augmenter la fi abilité des informations fournies au management relatives aux projets.
Ensuite, le projet veut également améliorer le niveau de maturité (= les compétences du SdPSP en matière de gestion de projet) du service PMO par une meilleure maîtrise du suivi des projets.
Une feuille de calcul dynamique qui
1. refl ète la progression mensuelle des projets, calculée à la fois en chiffres absolus et en pourcents
2. contient, par projet terminé, un indicateur exprimant la durée relative du projet.
14 P 4282 (Nl) Etude préalable à un système de facturation individualisée des dépenses et des recettes
Ce projet vise à :
1. respecter les obligations du projet de loi relatif au fi nancement des pensions des pouvoirs locaux ;
2. harmoniser les mesures concernées dans les autres systèmes de fi nancement des pensions qui sont gérés par le SdPSP.
Une étude préalable à un nouveau système de comptabilité du grand livre et un nouveau système de facture par numéro national (NNR) et numéro d’entreprise (BCE - Banque Carrefour des Entreprises).
15 P 429 (Nl) Amélioration de la sécurité de l’information et de la gestion de la continuité de service
Le SdPSP doit veiller à mettre en oeuvre les normes minimales de sécurité obligatoires concernant la sécurité physique et la sécurité logique de l’information, édictées par la Banque Carrefour de la Sécurité Sociale.
Proposition - d’un plan de sécurité - d’un plan de continuité (pour les différents scénario’s de crise) - de mesures et procédures de sécurité pour
• les accès aux réseaux internes et externes • le développement et l’utilisation des applications informatiques.
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Avant-propos
annexes/page 80
Annexe 2a: Montants de pensions et avantages en tenant lieu payés en 2011
Annexes
1 Pensions civiles et avantages en tenant lieu 9.350.796.063,76
2 Pensions de guerre 137.618.846,47
3 Allocations accidents de travail 38.002.855,74
4 Pensions de retraites parastatales 345.359.951,21
5 Pensions de la police intégrée 430.417.420,05
6 Pensions Régime commun de pensions des pouvoirs locaux 691.652.220,77
7 Pensions Régime des nouveaux affi liés à l’ONSSAPL 271.237.312,87
8 Conventions directes 10.590.065,52
9 Conventions avec institutions de prévoyance 38.523.750,65
10 Pensions SNCB 902.261.767,09
TOTAL EN EUROS 12.216.460.254,13
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Avant-propos
annexes/page 81
Annexe 2b: Aperçu du fi nancement des montants de pensions et avantages en tenant lieu à charge du Trésor public payés en 2011
Annexes
DÉPENSESFINANCEMENT
DOTATIONRECETTES PENSIONS
DE SURVIERECETTES PENSIONS
DE RETRAITEPensions de retraiteCivils 1.194.840.867,11 671.687.816,28 301.396.958,29 221.756.092,54
Ministres des cultes 35.782.165,18 35.782.165,18 – –
Militaires 989.811.565,25 989.811.565,25 – –
Spéciales 26.873,50 26.873,50 – –
Pensions provisoires aux SPF 331.064,32 331.064,32 – –
Ex- RDM (pensions et primes de départ) 3.375.692,05 3.375.692,05 – –
bpost 541.534.202,94 541.534.202,94 – –
RTM 10.880.442,66 10.880.442,66 – –
Belgacom 302.898.230,40 302.898.230,40 – –
Belgocontrol 22.957.285,19 22.957.285,19 – –
BAC 9.229.849,50 9.229.849,50 – –
Gemeentelijk Havenbedrijf Antwerpen 17.728.290,96 17.728.290,96 – –
Anciens cadres d’Afrique (retraite et survie) 57.101.542,91 57.101.542,91 – –
Enseignement offi ciel subventionné 1.043.771.322,40 1.043.771.322,40 – –
Enseignement offi ciel libre 2.525.173.601,90 2.525.173.601,90 – –
Enseignement communautaire 1.452.853.617,04 1.452.853.617,04 – –
Transferts loi 5/8/1968 7.553.956,16 7.553.956,16 – –
Transferts loi 21/5/1991 729.017,90 729.017,90 – –
Garantie de pension OBCE 378.389,65 378.389,65 – –
Intérêts Charte assuré social 14.469,24 14.469,24 – –
Avantages complémentaires managers + remboursement cotisations 272.127,01 – – 272.127,01
Allocations familialesGrands-Invalides militaires temps de paix 146.044,53 146.044,53 – –
Anciens cadres d’Afrique 38.011,59 38.011,59 – –
Grands-invalides militaires 1940-1945 439.133,88 439.133,88 – –
TOTAL PENSIONS DE RETRAITE ET ALLOCATIONS FAMILIALES 8.217.867.763,27 7.694.442.585,44 301.396.958,29 222.028.219,55
Pensions de survie 1.120.460.555,53 – 1.120.460.555,53 –
Indemnités de funérailles 12.428.516,04 – 12.428.516,04 –
Remboursements cotisations 39.228,92 – 39.228,92 –
TOTAL PENSIONS DE SURVIE 1.132.928.300,49 – 1.132.928.300,49 –
TOTAL PENSIONS A CHARGE DU TRESOR PUBLIC 9.350.796.063,76 7.694.442.585,44 (*) 1.434.325.258,78 222.028.219,55
(*) = Un montant de € 1.266.407,54 des recettes fonctionnelles pouvant être attribué au fi nancement des pensions, un montant de € 7.693.176.177,90 provenant de la dotation a dû être utilisé.
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Avant-propos
annexes/page 82
Annexe 3 : Liste des organismes d’intérêts publics affi liés au Régime de la loi du 28 avril 1958
Annexes
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Avant-propos Conseil central de l’économieConseil national du TravailConseil Supérieure des Indépendants et des Petits et Moyennes
EntreprisesOrchestre National de BelgiqueBureau Fédéral du PlanPort Authority ZeebruggeCaisse Auxiliaire d’Assurance Maladie-InvaliditéCaisse de Secours et de Prévoyance en faveur des marins naviguantOffi ce National de Sécurité Sociale des Administrations Provinciales
et LocalesFonds des Accidents du TravailFonds des Maladies professionnellesInstitut National d’Assurance maladies-invaliditéOffi ce National d’Allocations familiales pour travailleurs salariésOffi ce National de PensionsOffi ce National de la Sécurité SocialeOffi ce National des Vacances AnnuellesCaisse Auxiliaire de paiement des allocations de chômage (CAPAC)Dienststelle der Deutschsprachigen Gemeinschaft für Personen mit
einer BehinderungVlaams Agentschap voor Personen met een HandicapOffi ce National de l’EmploiVlaamse Dienst voor Arbeidsbemiddeling en BeroepsopleidingOffi ce Wallon de la formation professionnelle et de l’Emploi (FOREM)Offi ce Régional Bruxellois de l’emploi (ORBEM)Régie des BâtimentsPort Autonome de LiègeOffi ce de Sécurité Social d’Outre-MerInstitut national des assurances sociales pour travailleurs indépen-
dantsSociaal Economische Raad van VlaanderenConseil Economique et Social de la Région WallonneBureau d’Intervention et de Restitution BelgeCommission Bancaire, Financière et des AssurancesProvinciale Ontwikkelingsmaatschappij AntwerpenProvinciale Ontwikkelingsmaatschappij LimburgProvinciale Ontwikkelingsmaatschappij Oost-VlaanderenProvinciale Ontwikkelingsmaatschappij Vlaams-BrabantProvinciale Ontwikkelingsmaatschappij West-VlaanderenSDRB Bruxelles-CapitaleInstitut Géographique National
Offi ce central d’action sociale et culturelle au profi t des membres de la communauté militaire
Offi ce de la naissance et de l’EnfanceKind en GezinVlaamse Maatschappij voor Sociaal WonenSociété Régionale Wallonne du Logement (SRWL)Institut National des Invalides de Guerre, Anciens Combattants et
Victimes de GuerreVlaamse LandmaatschappijOpenbare Vlaamse AfvalstoffenmaatschappijSociété du logement de la Région bruxelloiseInstitut d’Expertise VétérinaireCommissariat Général aux Relations Internationales de la Commu-
nauté française de Belgique Toerisme VlaanderenCentre d’Informatique pour la Région BruxelloiseInstitut Bruxellois pour la gestion de l’environnementRaad van het GemeenschapsonderwijsPaleis voor Schone KunstenAgentschap voor Infrastructuur in het OnderwijsBLOSOOffi ce de Contrôle des MutualitésVlaamse MilieumaatschappijOpenbaar Psychiatrisch Zorgcentrum GeelBanque-Carrefour de la Sécurité SocialeInstituut voor de Aanmoediging van Innovatie door Wetenschap en
Technologie in VlaanderenOpenbaar Psychiatrisch Ziekenhuis RekemInstitut fur aus- und weiterbildung im mittelstand und kleine und
mitteleren unternehnemenInstitut Belge des services postaux et des TélécommunicationsStrategische Adviesraad Vlaamse OnderwijsraadPort de BruxellesWaterwegen en zeekanaalCentre Régional d’Aide aux CommunesAgence wallonne pour la Promotion d’une agriculture de qualité
(APAC-W)Centre Hospitalier Psychiatrique “Les Marroniers”Centre Hospitalier Psychiatrique du Chaine aux HaiesAgence Wallonne pour l’Intégration des Personnes HandicapéesInstitut Bruxellois Francophone pour la Formation ProfessionnelleAgence Wallonne à l’Exportation et aux Investissements Etrangers
Institut Scientifi que de Service PubliqueArbeitsamt der Deutschsprachigen GemeinschaftVlaams Agentschap voor Internationaal OndernemenRadio-Télévision Belge de la Communauté françaiseInstitut du Patrimoine WallonAgence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaireInstitut pour l’égalité des femmes et des hommesInstitut wallon de l’évaluation, de la prospective et de la statistique
IWEPSInstitut wallon de formation en alternance et des indépendants et
petites et moyennes entreprises (IFAPME)Centre fédéral d’Expertise des Soins de SantéCentre wallon de Recherches agronomiquesAgence wallonne des TélécommunicationsEntreprise publique des Technologies nouvelles de l’Information et
de la Communication de la Communauté françaiseVlaamse Regulator voor de MediaVlaamse Reguleringsinstantie van de Electriciteits- en GasmarktSociété Wallonne du Crédit SocialInstitut d’Encouragement de la Recherche Scientifi que et de
l’Innovation de BruxellesConseil économique et social de la Région Bruxelles-CapitaleSociété bruxelloise de Gestion de l’EauVlaamse Adviesraad voor Bestuurszaken Strategische Adviesraad Internationaal VlaanderenAgentschap voor Geografi sche Informatie VlaanderenVlaams Agentschap voor Ondernemers-vorming – SyntraWallonie-Bruxelles InternationalCommissariat Général au TourismeE-health platformVlaamse WoonraadStrategische adviesraad Cultuur, Jeugd, Sport en media (SARC)Strategische adviesraad voor Landbouw en Visserij (SALV)Strategische adviesraad Ruimtelijke ordening en Onroerend Erfgoed
(SARO)
annexes/page 83
Annexe 4 : Liste des administrations locales affi liées au Régime des nouveaux affi liés à l’ONSSAPL (Pool II) avec gestion de dossier par le SdPSP
Annexes
POUVOIR LOCAL DATE AFFILIATION
VILLE LOKEREN (depuis le 1/1/2003 vers Pool I) 1/1/1994
CPAS LOKEREN (depuis le 1/1/2003 vers Pool I) 1/1/1994
VILLE PERUWELZ (depuis le 1/1/2003 vers Pool I) 1/1/1994
CPAS TOURNAI 1/1/1995
VILLE BRUXELLES 1/1/1997
CPAS BRUXELLES 1/1/1997
HOPITAUX IRIS 1/1/1997-centre hospitalier Baron Lambert -centre hospitalier universitaire Brugmann-centre hospitalier universitaire St. Pierre-hôpital universitaire des enfants Reine Fabiola-Institut Jules Bordet
CPAS VERVIERS 1/1/1997
CPAS PERUWELZ 1/1/1997
CENTRE HOSPITALIER NEW PAUL BRIEN 1/1/1997
VILLE VERVIERS 1/1/1998
CENTRE HOSPITALIER PELTZER LA TOURELLE 1/1/1999
HOPITAL AURORA (fusion Ronse-Oudenaarde) (depuis le 1/1/2005 vers Pool I)
1/1/1999
HOPITAL JAN PALFIJN 1/1/2000
ASSOCIATION HOSPITALIERE IRIS-SUD 1/1/2001
OPENBARE VERENIGING RONSE - OVERO 1/1/2003
VILLE OSTENDE 1/1/2003
CPAS OSTENDE 1/1/2003
HOPITAL HENRI SERRUYS 1/1/2003
POUVOIR LOCAL DATE AFFILIATION
INTERCOMMUNALE SALUBRITE PUBLIQUE HENNUYERE 1/1/2004
INTERCOMMUNALE SOCIALE BRABANT WALLON 1/1/2005LES CUISINES BRUXELLOISES 1/1/2005
AUTONOOM HAVENBEDRIJF ANTWERPEN 1/1/2005
INTERCOMMUNALE D’INCENDIE DE LIEGE ET ENVIRONS (IILE) 1/1/2006
INTERCOMMUNALE MAATSCHAPPIJ VOOR OPENBARE GEZONDHEID
IN HET GEWEST KORTRIJK – IMOG
1/1/2006
AC JETTE 1/1/2007
PROVINCE D’ANVERS 1/1/2008
MAISON QUARTIER BRUXELLES 1/1/2008
CPAS JETTE 1/1/2009
AC SERAING 1/1/2009
CPAS SERAING 1/1/2009
INTERSENIORS SERAING 1/1/2009
PROVINCE DU BRABANT-WALLON 1/1/2009
AC UCCLE 1/1/2010
AC MOLENBEEK-SAINT-JEAN 1/1/2010
AC IXELLES 1/1/2010
CPAS IXELLES 1/1/2010
AC BERCHEM-SAINTE-AGATHE 1/1/2010
CPAS BERCHEM-SAINTE-AGATHE 1/1/2010
VALIDA BERCHEM-SAINTE-AGATHE 1/1/2010
CPAS SCHAERBEEK 1/1/2010
Organisation du SdPSP
Capelo
Le SdPSP en chiffres
Médiateurdes pensions
Avant-propos
page 84
CO
LOPH
ON
E Editeur reponsable: Johan Janssens
Coördination: Dominique Blampain
Rédaction fi nale: Dominique Blampain, Marleen Houtmeyers et Lucia Castagna
Groupe rédactionnel:
Philippe Bergeret, Abdeltif Bouidida, Laurent Bynens, Lydia Callaerts, Marie-Pierre Colmant,
Daniel Coppesmette, Philippe Crefcoeur, Mark Deeren, David Delaere, Jean-Pierre Derclaye, Luc De Rouck,
Alex De Troch,Cédric Dupire, Bruno Grosjean, Johan Heemeryck, Roland Hissel, Johan Janssens, Pieter Kerkhofs,
Sandrine Lesuisse, Jean-Luc Libon, Vincent Monfort, Guy Nechelput, Cécile Rampelberg, Pierre Renard,
Marc Smet, Koen Snijders,Gaëlle Thibout, Clément Van den Abbeele, Ghis Vanderheyden,
Johan Van der Brugggen, Marc Van de Velde, Rita Wellis, Benoît Willems.
Conception graphique: Anne De Wolf
Ce rapport a été réalisé par le service de communication du SdPSP.
Il ne peut être reproduit et/ou publié de quelque manière que ce soit, sans accord écrit préalable du SdPSP.
Het jaarverslag bestaat ook in het Nederlands.