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Rédacteurs en chef :
Mme Gaëlle JOUBERT Mr Roland DENOLLY
Equipe de journalistes
Amine El Malla - Cloé Grosjean - Constance Raffin
Samuel Niedermeyer - Yoën Gervat - Evan Collomb
Bérénice Rigoudy - Diego Zapatta - Erwann Joubert
Florian Caron - Jocelyn Rey
L’année scolaire va se terminer et avec elle son lot de regrets et d’espérance. Quitter la petite école pour les CM2 est à la fois un souhait
et une appréhension : envie de grandir et de connaître d’autres têtes…,
peur du changement du collège, de l’inconnu qui fragilise et oblige à pren-dre sur soi. Mais il y a ceux qui quittent l’école tout court, pour suivre
papa ou maman que le travail ou la famille emmène au-delà du portail de l’école. Quitter ce qui nous sécurise pour affronter l’inconnu...
C’est la vie ! La vie qui s’invite chez chacun de nous et chez nos plus grands élèves à qui, je l’espère, nous avons transmis une assurance,
une force intérieure au fil des années qui sauront, je le pense, les aider à franchir le cap de la nouveauté qui déstabilise toujours un peu…
Chacun est unique, riche de ses valeurs connues de tous ou enfouies au
fond de soi mais que l’on devine et qui se dévoilent au détour d’un conflit, d’un échange. Chacun porte en lui une force insoupçonnable qu’il peut sol-
liciter à chaque instant: ayons confiance en nos enfants, en leur potentiel d’adaptation, de créativité et de réflexion.
Leur dire notre confiance, l’amour infini que l’on a pour eux, c’est déjà les propulser vers l’avant, les rassurer, les mettre debout!
En plus d’un travail scolaire exigeant, l’équipe pédagogique de
l’Ecole Notre Dame s’emploie à transmettre et solidifier en chacun de ses élèves des valeurs fortes et porteuses de sens. Elles doivent être
ferment de croissance pour demain.
Ayons confiance…
Bonne lecture et bon été à tous
Pour l’équipe pédagogique Le Directeur, Roland Denolly
CComité de rédaction Editorial
Quoi de neuf dans nos classes ? CM1/CM2 : - Les CM prennent de la hauteur - Notre cycle foot CE2/CM1: - Du Caméléopard à la céramique CE1/CE2: - Au golf - Notre Dame CP/CE1: - Un après-midi avec les plus grands GS/CP : - Princesses et chevaliers Maternelles : - Des poussins à l’école
Nos dossiers Le four solaire
Le foot La planète Terre Le ski, ma passion Les ordinateurs Les dinosaures
Les poneys - Les chevaux Les volcans La pollution
Espace intériorité La 6ème Célé des enfants
Culture religieuse Toile de vie et Oasis
Nos rubriques habituelles Histoire d’une expression
Labyrinthe Le coin des p’tits loups
Jeu des erreurs Je mène l’enquête
Mots croisés Mots d’enfants A vos crayons
Un peu de sérieux
Une intervention pleine de rebondissements...
Nous avons eu la chance de faire quatre séances d’ESCALADE sur un mur déplié dans la cour de notre bâtiment. Lionel, notre moniteur d’escalade, installait les tapis et préparait les cordes, mousquetons et baudriers nécessaires pour nous per-mettre de passer une journée riche en émotions que nous atten-dions avec impatience. Nous étions par groupes de 8 ou 10 et mettions en pratique pen-dant 1h30 les conseils prodigués par Lionel. Après avoir découvert le matériel et le vocabulaire lié à cette discipline, Lionel nous pro-posait des exercices d’échauffement en bas du mur. Les consignes devenaient de plus en plus compliquées à chaque séance.
ERRATUM : Nous tenons à rectifier une erreur commise dans notre dernier article sur l’in-
tervention secourisme : le défibrillateur ne remplace pas le massage cardiaque ! Il est utilisé en complément du massage cardiaque qui doit se poursuivre jusqu’à l’arrivée des secours.
Lorsque nous grimpons, tous nos sens sont en éveil. Il ne s’agit pas seulement d’être musclé ou souple com-me un singe. Il faut aussi réfléchir au moment de choisir les bonnes prises, la bonne voie… Nous avons parfois du grimper avec les mains liées ou encore les yeux bandés.
Chacun a été tour à tour grimpeur ou assureur d’un camarade. L’entente et la bonne commu-
nication au sein de chaque binôme était importante. Malgré le vertige, chacun a pu dépasser ses limites grâce aux encouragements des camarades pour atteindre le haut du mur, à plus de 7 mètres ! Nous avons adoré découvrir ce sport.
Depuis le mois de mai, nous bénéficions de séances de foot avec Maxime et Jonathan. Les classe de CE1-CE2 et CE2– CM1 y participent aussi. Nous sommes par équipes de cinq ou six
joueurs et à chaque séance nous passons dans différents ateliers. Chaque atelier nous permet de développer une compétence utile pour bien jouer au foot : la conduite de balle, la rapidité, le placement sur le terrain, les tirs au but, les passes…
Nous avons appris à tenir les rôles d’attaquants
et de défenseurs. Lorsque nous travaillons le conduite du ballon , nous nous rendons compte qu’il n’est pas facile
de le diriger avec précision tout en essayant d’aller vite ! Sans maîtrise, la puissance d’une frappe ne paye pas.
Ce qui est bien c’est que, contrairement aux récrés, toute la classe joue au foot ensemble,
les filles comme les garçons ! Les plus expérimentés ont pris patience et pu conseiller les novices. Les débutants ont appris à avoir moins peur du ballon et à oser se démarquer pour prendre leur place au sein d’une équipe.
Pour finir ce cycle foot en beauté, les trois « grandes classes » de notre école participe-ront le vendredi 21 juin à un grand tournoi au stade de St Siméon avec huit autres écoles, soit environ 350 enfants. Nous espérons que nos parents viendront nombreux nous y encou-rager.
En classe, on a travaillé sur l'histoire du Caméléopard de César.
C’est un livre de lecture suivie que nous avons adoré en classe. Le premier jour de l’activité céramique, on a donc raconté à Chantal et Thierry, les animateurs, un résumé de cette histoire. Ensuite, ils ont donné à chacun un morceau de terre pour que l’on joue avec et qu'on l'apprivoise. On s'est amusé à créer des animaux, des hu-mains ou d'autres formes.
L'après-midi, c'était du travail sérieux. On a fabriqué les différents éléments
de nos tableaux, chacun d'entre eux
représentant une page de notre histoire. On a collé avec de la barbotine ces éléments sur notre tableau.
Puis nos animateurs ont récupéré nos tableaux pour les faire sécher et cuire. Le deuxième jour, on a émaillé nos tableaux avec du noir, du blanc, du rou-ge, du jaune, du orange, du vert et du bleu.
Nos premières œuvres
d’art...
Thierry dépose délicatement nos tableaux émaillés dans le four.
Thierry a installé son four à gaz dans la cour. La température arrivée à 960°, on a fait cuire nos tableaux.
Avec une grosse pince, le maître les a sortis. On les a déposés dans une caisse remplie de journaux et de sciure en feu. En fermant le couvercle, on prive le feu d’oxygène et les parties non émaillées de nos tableaux se noircissent.
Enfin, on trempe nos tableaux dans l’eau pour les faire refroidir avant de les brosser pour les nettoyer et lustrer les couleurs. La dernière étape de notre projet, c’est l’invitation que l’on va lancer à nos parents pour leur montrer nos œuvres d’art et leur raconter l’histoi-re du Caméléopard! On a beaucoup aimé cette activité car on a découvert comment maîtriser la terre et l’émail. On a été surpris de la beauté de nos tableaux.
Résumé écrit ensemble avec la classe
Et tapé à l’ordinateur par William
Nous avons pu nous initier aux joies du golf!!!
Lorsque le temps nous l’a permis nous nous sommes
rendus sur le practice !
En arrivant il faut ramasser les balles pour pouvoir
jouer dans de bonnes conditions.
Avant de former les équipes, nous écoutons attentive-
ment les consignes de sécurité données par Evan.
Puis nous nous regroupons
par équipes et nous tour-
nons sur différents ate-
liers pour travailler un ob-
jectif bien spécifique à
chaque fois.
Sur le parcours il faut
être précis et tirer fort pour atteindre le drapeau en
moins de coups que l’équipe adverse.
Sur l’atelier du ‘morpion’, il faut être rusé
pour faire une ligne avant les autres.
Sur le green, nous devons maîtriser un club qui s’appelle le putter. Il faut doser nos
coups pour atteindre le trou le plus rapidement possible mais la balle roule vite.
En arts visuels, nous avons observé le travail de plusieurs artistes qui représentent le corps humain par des sculptu-
res. Nous avons vu les « bonhommes fil de fer » de Giacometti et en histoire les bourgeois de Calais sculptés par Rodin.
Puis nous nous sommes arrêtés sur une artiste du mouvement des nouveaux réalistes qui sculpte des ’Nanas’, il
s’agit de Niki de Saint-Phalle. Cette artiste réalisait des dames aux formes plantureuses pleines de couleurs et en maillot de bain.
Nous avons décidé d’en fabriquer une. Aussi, nous l’avons appelée ‘Notre-Dame’! Comme Niki de Saint-Phalle, le squelette de notre
nana a été réalisé avec une armature de grillage que Thierry nous a confectionnée.
Nous avons collé sur cette armature du papier journal pour dessiner ses formes. Après avoir terminé le corps de notre Dame, nous avons
peint le journal en blanc. Cette étape a été difficile et pour que notre travail soit plus facile et plus joli, Thierry avait
enduit la silhouette. Sur cette nouvelle peau, nous avons pu tracer au
marqueur noir les motifs de son maillot de bain en observant ceux utilisés le plus sou-vent par Niki de Saint-Phalle.
Il nous restait la dernière étape : celle de la peinture.
Nous avons choisi des couleurs vives qui s’ harmonisaient. Nous avons voté pour la couleur de sa peau car nous n’étions pas
d’accord. Finalement le bleu l’a emporté.
Nous sommes très fiers du travail
que nous avons réalisé
et « Notre Dame », on l’adore !!!
Le jeudi 23 mai, avec les élèves du LEAP, nous avons fabriqué le cadeau de fête
des mères. Proposer une activité à des écoliers fait partie de leur programme. Ce jour-là, un professeur les accompagnait et les évaluait sur leur organisation, la ges-tion du temps…
Quand notre classe s’est installée dans la salle du théâtre, les lycéennes avaient déjà apporté le matériel suivant: -des pétales prédécoupées de toutes les couleurs
-un pot contenant de la mousse recouverte de feutrine -divers autocollants
-du fil de fer fin -du carton coloré -une pince à linge en bois
-du vernis -des chenilles -des motifs brillants
Notre après-midi s’est déroulé ainsi:
Nous nous sommes séparés en plusieurs ateliers. Les uns ont choisi parmi des papillons, des feuilles, des cœurs brillants pour former les pistils de leurs fleurs. Ils les ont en-suite fixés sur les pétales de mousse avec le fil de fer. Les chenilles ont servi pour les
tiges. Chacun a fabriqué au moins trois ou quatre fleurs. Pendant ce temps, les autres peignaient leur pot. Une fois le pot sec, ils l’ont décoré avec des autocollants.
Ensuite, chacun a planté ses fleurs dans son pot. Enfin, nous avons accroché, à l’aide d’u-ne pince à linge, un petit mot gentil préalablement écrit sur du carton et à l’attention de
notre maman.
A chacune des étapes, les élèves du LEAP nous ont bien aidés et nous les remercions de
nous avoir permis de faire un si joli cadeau.
Durant cette période, en classe, nous avons travaillé sur le Moyen-âge. Nous avons lu un album qui parlait d’un dragon, un des animaux imaginaires souvent associé à cette période : « Le dra-gon Céladon » Nous avons découvert les châteaux forts, les noms de ses différentes parties mais aussi la vie autour du château . En sport, nous sommes devenus des chevaliers en nous initiant à l’escrime. Ce n’était pas tout à fait de la vraie escrime car nous n’avions pas d’épée, ni de fleuret mais une bouteille que l’on tenait par le goulot. Du coup, nous n’avions pas besoin de masque, ni « d’armure »!! Nous avons appris à saluer « Ciel, Menton, Coté », à nous
mettre « en garde », c’est la position de l’escrimeur… Pour nous déplacer, nous avançons le pied de devant (« tic ») puis celui de derrière (« tac »). C’est le tic-tac!
Pour reculer, on fait d’abord tac puis tic. Pour toucher les autres, on doit avancer le pied de de-vant et tendre notre « épée », c’est la fente. Nous avons partagé cette activité avec Maîtresse Céline et ses élèves. C’était super car on pouvait faire plusieurs ateliers avec des jeux comme:
Le 1-2-3 soleil-escrime Le béret escrime Les plots « en garde » sur le principe des
chaises musicales…
Dans tous ces jeux, nous devions nous dépla-cer comme des escrimeurs.
Nous avons aussi fait des assauts (« des combats »). On se met face à face et on salue son ad-
versaire. On se met en garde et on attend les ordres de l’arbitre: « Prêts! Allez! ». On avance en « tic-tac »et on essaye de toucher son adversaire en faisant une fente. On a le droit de re-culer pour ne pas se faire toucher. Pour finir avec le Moyen-âge, Maîtresse Christelle nous a appris des danses médiévales que nous vous présenterons à la fête de l’école et nous irons aussi visiter le château de Bressieux .
L’avis d’Anna : Moi, ce que j’ai
préféré, c’est faire les « plots
en garde » parce qu’il ne fallait
pas être éliminé
L’avis de Ludivine : J’aime
faire le « tic-tac »
L’avis de Quentin :
J’ai aimé le 1-
2-3 soleil parce qu’on devait faire la
statue
L’avis de Virgil : C’était très bien parce que c’était drôle!
L’avis de Faustine
: J’ai bien
aimé les « plots en garde » parce
qu’on devait se mettre bien en
garde.
L’avis de Théo : J’ai aimé tous les jeux!
L’avis de Rina : J
’ai aimé quand
on essayait de toucher le voisin qui
était devant nous avec notre
« épée ». C’était super bien!
L’avis de Lilou : Le 1-2-3 soleil escrime m’a beaucoup plu. C’est ce que j’ai aimé le plus.
L’avis de Yanis: J
’ai aimé les combats car on devait
touché un copain ou une copine.
J’ai aussi aimé les « plots en garde » parce qu’on avait
plusieurs adversaires.
La fente c’était bien mais ça faisait mal aux jambes!
Partager ce moment avec les élèves de maîtresse Céline,
c’était très bien!
Avis rédigés en production d’écrits individuelle par les élèves volontaires, texte écrit en dictée à l’adulte par les autres...
13 Mai 2013, point de départ de notre animation « des poussins à l’école ».
Un agriculteur et éleveur de poules, qui travaille dans une ferme pédagogique, est ve-
nu à l’école. Accompagné d’un coq et d’une poule, il nous a présenté ces animaux :
La poule / le coq La poule et le coq ont une crête (sur la tête) et un barbillon (en dessous), qui
sont plus imposants chez le coq. Le coq a des « lancettes » (plumes qui retombent sur son derrière).
La poule glousse et caquette, tout comme le coq qui a aussi la particularité de chanter avant que le soleil se lève, « pour prévenir les poules qu’elles n’ont plus à avoir peur du renard ». Il chante pour protéger et pour « faire le beau ». Le coq est d’abord, « poussin », puis « poulet » puis « coq ».
La poule pondeuse L’âge de la poule détermine la taille de l’œuf qu’elle pond. La couleur de la co-
quille de l’œuf dépend de la race de la poule. La poule ne peut pondre qu’un œuf par jour. Il lui faut 26 h pour pondre un œuf, mais la poule ne pond jamais la nuit car el-
le a peur. Et elle ne pond jamais à la même heure (du coup, il y a un jour de la semaine où elle ne pond pas).
La poule ne pond pas l’hiver (de novembre à février/mars). Pour la Chandeleur,
on fête le 1er œuf de la poule (la ponte reprend). Et pour Pâques, l’apogée de la ponte.
L’œuf – La fécondation
Dans son ventre, la poule fabrique 10 œufs. Se forme d’abord le jaune, puis le blanc et enfin la coquille. Lorsque le coq coche la poule (il lui fait un câlin d’amour), les graines du coq vont féconder les œufs qui sont dans le ventre de la poule.
La poule fabrique alors son nid avec de la paille et ses plumes, qu’elle s’est pré-alablement arrachée !
Elle pond un œuf chaque jour, jusqu’au dixième. Puis elle se couche sur son nid et couve…
La poule couve
Couchée sur son nid, la poule couve. Elle réchauffe ses œufs et les tient à une température d’environ 37,7°.
Elle couve 21 jours et retourne chaque jour, chacun de ses œufs, à l’aide de ses pattes, jusqu’au 3ème jour avant l’éclosion. Là, elle arrête de les retourner afin que le poussin ait le temps de se positionner sur le dos, prêt à casser sa coquille.
Avec son ventre tout nu (dépourvu de plumes), la poule transpire sur ses œufs
dont la coquille est poreuse. Elle aide ainsi à grandir ses poussins. 3 jours avant l’é-
closion elle transpire beaucoup plus afin de ramollir la membrane de l’œuf (« la peau
blanche » qui est en-dessous de la coquille). Si elle est trop sèche, la membrane est
très dure à percer, à déchirer. D’ailleurs, un poussin qui ne parviendrait pas à la dé-
chirer, mourait d’étouffement avant même d’avoir pu percer sa coquille…
La couveuse
Pour remplacer la poule qui couve ses œufs, nous avons fait l’acquisition d’une cou-veuse ! C’est un appareil qui joue les 3 fonctions de la poule qui couve :
Une sorte d’ampoule, placée tout en haut, maintient les œufs à une température d’environ 37,7° (la couveuse chauffe).
Il y a des récipients d’eau, tout en bas de l’appareil, qui assurent la diffusion d’hu-midité (cela remplace la transpiration de la poule). De l’eau est rajoutée le 18è-
me jour pour assurer que la membrane de l’œuf soit bien humide, prête à être déchirée par le poussin.
Entre les deux, les œufs sont posés sur un treillis pendant 21 jours. Un petit mo-teur actionne le treillis pour que les œufs soient retournés du 1er au 18ème jour.
Chaque jour, nous devons nous assurer de la bonne température de la couveuse et de son taux d’humidité.
31 mai 2013 : 18ème jour de notre expérience !
Nous arrêtons le moteur qui actionne le treillis. Les oeufs ne sont plus retour-nés. Les poussins vont pouvoir prendre bonne position pour percer leur coquille…
Nous remplissons un bac d’eau supplémentaire.
Lundi 3 juin, mardi 4 juin 2013 : L’éclosion !
Lundi matin, en arrivant à l’école, surprise !... Nous avons découvert 3 poussins
dans la couveuse ! Un moment magique ! Ces vaillants poussins sont nés un peu plus tôt que les autres !...
Puis au cours de ces deux journées, nous avons eu la chance d’assister à plu-sieurs éclosions, avec des yeux ébahis ! Après quelques heures de repos et de sécha-ge, les poussins ont pu gagner la « poussinière » pour se nourrir et boire eux-mêmes.
Aujourd’hui
Nous avons 9 poussins en parfaite santé, qui s’activent et grandissent dans la
poussinière. Nous allons les garder une dizaine de jours avant que l’éleveur ne vienne les récupérer.
Nous avons vécu une expérience du « cycle de la vie »
magique et inoubliable !
Comme des poissons dans l’eau!
Pendant le week-end de Pentecôte, je suis allée à Font-Romeu dans les Pyrénées avec toute la famille. Mon oncle travaille au four solaire, il est chargé de recherches. Le Grand Four solaire d’Odeillo est un des plus grands du monde. Ce centre de recherche du CNRS (Centre National de Recherches Scientifiques), qui s’inscrit dans un réseau de laboratoires mondiaux, travaille notamment sur la production d’électricité par voie solaire et sur des procédés de fabrication ou de recyclages ayant un impact moindre sur l’environnement. Les rayons du soleil sont captés par les miroirs au sol, ils sont renvoyés dans la parabole. Puis les rayons repartent vers « la cabane » devant la parabole pour enfin être réunis en un seul rayon dans le trou de la pa-rabole. Ce rayon peut faire plus de 3000°C.
Le four solaire Les miroirs
Pour savoir bien jouer au foot il faut jouer collectif (en passe). Après,il faut savoir tirer et dribbler. Pour tirer il faut : être précis et concentrer.Après si on est en action devant la cage on peut tirer mais il faut être précis et ins-tantanée. Plusieurs techniques pour dribbler: il y a le petit pont, le grand pont, la roulette, le crochet, le passement de jambe et la virgule.
Il y a plusieurs types de frappe : l’extérieur du pied et l’intérieur du pied.Quand on fait des fautes graves l’arbitre siffle et il peut y avoir coup franc ou penalty. Si le ballon sort du terrain il peut y avoir touche, corner, six mètres ou hors-jeu.
Un coup franc
Un dribble
Une passe
Un pénalty
La planète a plus de 196 pays. La population de la terre est de 7 136 508 200 personnes. La terre se trouve dans la zone habitable du sys-
tème solaire. Elle est couramment appelée en français terre, planète, planète bleue ou encore monde. La terre s'est formée il y a 4,54 milliards d'années environ, et la vie est apparut moins d'un milliard d'années plus tard. La planète abrite des millions d'espèces dont les humains. La Terre est recouverte à 70 % d'eau.
La Terre se compose, en allant de l'extérieur vers l'intérieur, de : • 1 lithosphère
• 2 asthénosphère • 3 manteau supérieur • 4 manteau inférieur • 5 noyau externe
• 6 noyau interne
La terre et le soleil ont le même âge, soit 4,5 milliard d'années. De la surface vers le centre, il y a environ 6400 kilomètres. La partie soli-de mesure 66 kilomètres. Le point le plus chaud enregistré se situe en Libye avec une température record de 57.8°. Le point le plus froid a été mesuré en antarctique 89°.
Carte d'identité de la Terre
• Volume : 1000 milliards de km3
• Superficie : 510 000 000 km2
• Surface des continents : 149 000 000 km2
• Surface des océans : 361 000 000 km2
• Température moyenne en surface : 15°C
J’ai commencé à faire du ski à l’âge de 2 ans. Maintenant j’en fait en compé-tition. Je m’entraine aux Aillons-Margeriaz, au-dessus de Chambéry. Jusqu'à cette année, je faisais du Géant et, l’année prochaine, je ferais en plus du Slalom. Le Slalom est beaucoup plus technique parce que les piquets sont plus rapprochés. J’aime le Géant pour la vitesse et le Slalom qui demande de pouvoir changer ses appuis facilement et rapidement. Les entrainements sur skis commencent aux vacances de Toussaint avec un stage. Mais on se retrouve une semaine en été pour du multisports et, pen-dant l’automne, chaque samedi pour préparer la saison. Je me suis fait de nouveaux copains car tous ces stages soudent le groupe.
Dans mon club, il y a le meilleur minime français. Il s’appelle Lucas Perrier, il fait partie du pôle France et tout le monde l’admire car il va hyper vite. J’espère, qu’un jour, il fera partie de l’équipe de France. J’aime beaucoup la compétition.
On progresse en se confrontant à d’autres compétiteurs, à de nouvelles pistes. Cela nous permet aussi d’aller dans d’autres stations comme Les 2 Alpes, Les Saisies, Arê-ches Beaufort, Notre Dame De Bellecombe… mais j’adore ma petite station!
Erwann en compétition !!
Dans les ordinateurs, il y a plein de composants: Disque dur: c’est le «cerveau» de l’ordinateur. Processeur: c’est le «cœur » de l'ordinateur. Carte d’extension d’adresse physique: c’est pour ajouter des ports. VentiRad: c’est ce qui refroidit le processeur. Lecteur de disque: lit ou grave (pour certains) les CD ou les DVD.
Lecteur de disquette :lit les disquettes, les ancêtres des clés USB. Carte graphique : carte d’extension d’adresse physique sans port sup-plémentaire, met de la puissance pour le processeur. Barrette mémoire: mémoire vive qui fonctionne grâce au courant, qui s’efface quand on éteint l’ordinateur. Carte mère :circuit imprimé où l’on fixe tout ça. BREF,C’EST SUPER INTERESSANT !
Ventilateur du processeur
Barrette mémoire
Lecteur de disque Différents disques durs
Je découvre un ordinateur Le processeur
Les dinosaures sont nés en –220 millions d’années et ils ont disparu en—65 millions d’années. Ils pe-saient de 100 tonnes à 1 milligram-me! Ils sont de différentes formes. Ceux qui recherchent les fossiles de dinosaures sont appelés paléon-tologues.
UN ŒUF
Tous les dinosaures pondaient des œufs. Ils les maintenaient au chaud et en sécurité jusqu‘ à l’ éclosion.
UN TROUPEAU Certains dinosaures vivaient en groupe de plusieurs dizaines . S ‘ils ne vivaient pas ensemble ils ne pou-vaient pas se protéger .En étant plu-sieurs, ils trouvaient facilement de la nourriture et de l’eau. Les adultes proté-geaient le troupeau sur les bords et les jeunes restaient au centre.
Les poneys sont plus petits mais plus larges que les chevaux. Ils vont moins vite que les chevaux. Il faut leur mettre un tapis et une selle sur le dos avant de les monter. Il faut tenir les rênes pour faire des balades. Il ne faut pas courir devant les poneys sinon ils ont peur. Il faut mettre les pieds dans les étriers.
J’aime bien les chevaux parce que j’en faisais avant. Maintenant je n’en fais plus. On faisait des jeux et c’était bien. Il faut
mettre un tapis et une selle sur le dos du cheval pour faire les promenades. Il faut faire attention parce que si on croise un chien le cheval peut avoir peur. Et quand les chevaux ont peur ils peuvent faire n’importe quoi : se ca-brer , s’arrêter net, faire tomber le cavalier .
Les volcans entrent en éruption lorsque une plaque tectonique passe au-dessus ou au-dessous d’ une autre de ces plaques.
Les volcans gris Les volcans gris ne crachent pas trop de lave mais des gaz toxiques pour l’humain.
Les volcans rouges Les volcans rouges sont moins dangereux que les volcans gris car les volcans rouges crachent plus de lave environ 70 pour 100 (et 30 pour 100 de gaz toxiques.
Le risque en Amérique On dit qu’il y a un volcan en Amérique qui pourrait peut- être détruire les trois-quarts de l’Amérique.
La pollution peut être dangereuse.
Elle est provoquée par la fumée des usines, par le gaz carbonique que rejettent les voitures et par la fumée du feu (feux de jardin, poêle à bois, feu de forêt).
L’eau peut être polluée. Dans ce cas, beaucoup de poissons meurent. Les arbres jaunissent, ne donnent plus de fruits et les animaux attrapent des maladies. Ils sont délogés de leur lieu d’habitation car ils n’ont plus assez de nourriture.
La pollution abime aussi l’atmosphère qui enveloppe la terre et nous protège de l’intensité des rayons ultra violets du soleil.
Le climat est modifié (réchauffement) et la banquise fond dangereusement.
Déjà six ans que les enfants travaillent, pendant trois semai-
nes, sur un texte à inspiration biblique. Après l’avoir vu en spectacle avec l’acteur Vincent, ils expriment leur ressenti et le modèlent de différentes manières: sketchs, chants mimés, poèmes,
mime de l’histoire…
Deux histoires cette année: « Le petit berger » qui dé-couvre la Création et ses merveilles, pour nos plus jeunes élèves.
« Une histoire de voisinage » pour les plus grands, texte qui nous fait comprendre la
joie de se réconcilier et la difficulté d’ac-
cueillir la différence. Les enfants ont bien travaillé en classe. Un
groupe de mamans a confectionné, avec beaucoup de soins, des décors communs aux deux histoires.
Et toute cette réflexion et cette création ont été partagées à l’église, aménagée pour l’occasion à recevoir des enfants: les bancs en arc de cercle, un arc en ciel au dessus de l’autel, deux maisons en
carton et un arbre pour mimer les histoires. Une centaine d’en-fants et autant d’adultes ont écouté, chanté, prié et applaudi les élèves des sept classes exprimant leur ressenti.
Un vrai moment de partage et un temps fort pour les enfants et la Communauté de l’Ecole Notre Dame.
Pour les trois dernières « séances » de culture religieuse,
les élèves du cycle III ont d'abord découvert en janvier que les trois grandes religions monothéistes, Judaïsme, Christianisme et Islam, avait un fondateur commun : Abra-
ham, le « père des croyants ».
En mai, calendrier chrétien oblige, ils se sont plongés dans les récits de l'Ascension et de la Pentecôte. Et enfin
pour clore cette année riche d'échanges, la séance de Juin était consacrée à la répartition des principales religions dans le monde et en particulier en France.
Si j'ai un regret c'est celui de ne pas avoir eu le temps d'aborder les autres religions parta-
gées de par le monde : indhouïsme, boudhisme, animistes... Leurs valeurs et leur relation au spirituel et au sacré peuvent nous apporter de nombreuses clés de compréhension et enrichir notre réflexion.
Ce sera pour l'an prochain (peut-être!)
Combien Abraham a-il eu d'épouses et de concubines ? Que signifie le « h » rajouté à son nom Abram après sa « rencontre » avec Dieu ? Pourquoi l'Ascension tombe-t-elle toujours un jeudi ? Avec quelle autre fête était-elle célébrée avant cette date ? Comment s'appelle le prophète de l'Islam, a qui Allah (Dieu) a dicté le Livre Saint des musulmans ? Comment s'appelle ce livre ? Connaissez-vous la proportion de Juifs, de Chrétiens et de bouddhistes en France ?
Symboles de différentes religions mondia-
les : 1ère ligne : Christianisme, Judaïsme,
Hindouisme / 2ème ligne : Islam, Bouddhis-
me, Shintoïsme / 3ème ligne : Sikhisme, Ba-
haïsme, Jaïnisme
Un grand merci aux collègues de cycle III, d'or-ganiser leur emploi du temps pour me permettre d'intervenir auprès de leurs élèves. Un aussi grand merci aux parents dont les retours, les questions, les demandes de précisions me tou-chent car elles sont le signe de l'intérêt porté à cette activité et le gage d'une reconnaissance qui fait chaud au cœur ! Pour terminer un IMMENSE merci aux enfants qui m'ont surprise, touchée, bluffée... par leur attention, leurs questions toujours pertinentes, souvent profondes !
Bonnes vacances à tous !
A partir d’une histoire qui mettait en scène un petit cochon qui rentre à l’école pour la première fois, les enfants de cycle 1 ont pu discuter autour du thème de
la séparation. Ils ont su expliquer quelques situations qui les rendent tristes lorsqu’ils doi-
vent se séparer. Quelques témoignages: Lorsque je vais me faire soigner à l’hôpital, des fois je suis tout seul dans ma chambre et
papa et maman dans une autre. Alors je n’aime pas, je suis triste. J’emmène mes doudous et ça me rassure. Quand je vais au lit je dois me séparer de maman pour dormir tout seul mais j’ai mes jouets.
Quand j’arrive à l’école, des fois je n’aime pas laisser maman, mais mes copains me disent des mots gentils et ça va mieux. Quand on est séparé, après on est content de se retrouver. Par exemple, quand je vais chez
ma nounou ou que je reviens de chez mon papa.. Je suis content de retrouver ma maison. Mê-me si on ne les voit pas on sait bien que papa et maman sont toujours là pour nous.
Les élèves de cycles 2 et 3 ont abordé la question du changement à travers l’histoire de
deux enfants dont les parents se séparaient. Ces histoires ont permis d’aborder la notion de changement avec les élèves. Quels changements ont-ils connus et comment les ont-ils vécus? Le changement d’école ou de classe est un de ceux qui les gênent le plus. Pour les CM2 no-
tamment, ‘l’école est petite mais le collège c’est géant’. C’est un changement de lieu, de pro-fesseur mais surtout de copains. Quand on ne connaît pas, on a peur de changer nos habitu-des mais lorsque l’on arrive à dominer notre peur tout va bien. Parfois on hésite à s’inscrire
dans une activité comme le foot, le rugby ou la piscine parce que l’on ne connaît personne, on a peur d’être tout seul. Mais quand on surmonte notre crainte et que l’on ose y aller plu-sieurs fois, on apprend à connaître de nouvelles personnes et on se fait des amis. C’est bien
le changement, ça nous permet de tisser de nouveaux liens. Lorsque l’on se fait baptiser, on entre dans une nouvelle famille, celle des chrétiens. Quand on doit aller dormir chez quelqu’un on a peur parce que l’on n’a plus nos repères, ce
n’est pas notre maison dans laquelle on se sent en sécurité. Certains élèves connaissent cette angoisse du changement de maison lorsque leur parents
divorcent. Cette situation les inquiète et souvent ils se sentent coupables et ont peur que les parents s’occupent moins d’eux.
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Une vue du four...
Le pain pour midi...
Et c’est parti!
On pétrit
On façonne...
On garnit
On étale la pâte... Et l’on se restaure
après...250 pizzas!
Cueillir des
lauriers…
(Aujourd’hui …
remporter des victoires)
Les Anciens couronnaient leurs grands hommes
avec le laurier noble (appelé parfois le laurier-sauce) et les vainqueurs étaient récompensés par des couronnes de laurier, devenu le symbo-
le de la gloire et du triomphe.
Allô!
(Aujourd’hui… interjec-tion que nous prononçons à chaque fois que nous utilisons le téléphone)
Il s’agit sans doute du cri « Au loup! »
lancé par les Normands lorsqu'ils se fu-rent installés en Angleterre. En effet, les bergers du Leicestershire s’appe-
laient ou appelaient leurs troupeaux par des « halloo » (rien à voir avec les loups!) et c’est ce mot qui aurait fini par devenir
« Allô »...
Entre la poire
et le fromage ...
Le fromage n’est-il pas servi avant le dessert et ne de-
vrait-on pas dire alors entre le fromage et la poire? Et bien, non! Dans les temps anciens, les légumes n’é-taient que très rarement servis aux repas. Juste avant
le fromage, on croquait seulement une poire bien juteu-se pour se laver la bouche et réveiller les papilles. C’était alors un moment de détente (version sobre du trou normand), avant de déguster les fromages.
Chercher
des noises
(Aujourd’hui… cher-cher une querelle à quelqu’un)
Une noise, c’est une dispute dont l’origine remon-
te au latin nauséa, qui signifie nausée. C’est dire
que la querelle représentait des inconvénients! Il existe une jolie variante: « chercher noise pour noisette », chercher une dispute pour une noisette c'est-à-dire pour presque rien...
Source: Petit dictionnaire des expressions nées de l’Histoire– Gilles Henry
Pars de la flèche pour arriver au centre sans lever le crayon :
C’est quoi ...
Commentaires de p’tits loups de 3, 4 ou 5 ans sortant de leur tanière à
l ’Ecole Notre Dame...
La fée des cartes d’identité C’est la fée des bébés
C’est la fée des gros mots « y’en a un dans son nom! »
C’est quand on féconde, c'est-à-dire quand on met au congélateur
C’est la fée des bêtises C’est l ’elfe du Père Noël qui amène les cadeaux
La fée des rêves...
C’est la fête des fleurs
Retrouve les 7 différences entre les 2 dessins
« Pourquoi les enfants sont-ils pressés de
grandir ? »
Homme, 57 ans : « Parce qu’ils pourront faire eux-aussi toutes les choses in-terdites quand ils sont petits, et auxquelles ils rêvent. Quand je serai grand, j’aurai une moto ! . Quand je serai grand, je pourrai regarder les films inter-dits au moins de 12 ans ! »
Femme, 49 ans : « Parce qu’ils ont le désir de faire des choses réservées aux grands. Car ils pensent que c’est forcément mieux que les choses qu’ils ont le droit de faire étant petits. »
Femme, 36 ans : « Les enfants veulent nous imiter, c'est-à-dire se coucher tard, commander, et ne pas rendre de compte. Pour eux, être grand signifie plus de libertés en faisant abstraction des contraintes. »
Homme, 18 ans : « Car ils cherchent à devenir comme leurs modèles: les pa-rents. De plus, ils veulent supprimer les interdits qui les gênent tant et ils sa-vent que plus ils grandiront, moins ils en auront. Ils sont également motivés par la volonté de réussir les choses par eux-mêmes ce qui va de paire avec leur envie d’indépendance. » Homme, 46 ans : « Car ils veulent dépasser leurs limites, devenir autonomes, arriver à faire tout seul. »
Femme, 44 ans : « Pour être plus libres de leurs faits et gestes, faire ce qu’ils veulent, quand ils veulent, sans contrainte et surtout pour… faire com-
me les grands !!! »
Femme, 39 ans : « Pour avoir ce qu’ils désirent sans subir l’autorité de leurs parents. Pour pouvoir donner leur avis, pour se sentir plus grands, plus auto-nomes, et avoir une plus grande valeur. »
Homme, 76 ans : « Ils trouvent que le temps ne passe pas assez vite. Ils ne peuvent pas faire ce qu’ils veulent et sont soumis à des contraintes d’obéis-sance. »
Femme, 42ans : « Car ils veulent pouvoir faire ce qu’ils ont envie et ne veulent pas avoir à écouter et à respecter les règles données par les parents. » Femme, 44 ans : « Ils sont pressés de grandir pour ne plus avoir à faire de devoirs le soir., pour pouvoir travailler et gagner de l’argent, et pouvoir ainsi acheter tout ce dont ils ont envie. Les enfants ne voient que les côtés posi-tifs de l’âge adulte, sinon ils ne seraient pas si pressés ?... »
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Replace les prénoms, villes ou pays suivants dans la grille :
Diego Eva Florian Karim Okan
Nantes Barcelone Angleterre Espagne
Cueillis dans les classes Maternelles et même chez les plus grands…
Une croisade, c’est deux équipes
qui se croisent (Quentin P)
Julia dit qu’elle a
de la gomme à fric
(pate adhésive)
Monique propose à Bastien de faire le
cadeau de la fête des mères. Celui –ci
refuse et Monique lui dit que sans ca-
deau, sa maman aura du chagrin. Alors,
Bastien répond: je veux bien faire le
chagrin.
En récréation, on
nous fait des
« cloche– pieds »
Pour attacher
ses chaussures, il
faut tirer sur la ban-
quette (languette)
LLa vie est la vie
La vie est beauté, admire-la
La vie est félicité, profites-en.
La vie est un rêve, réalise-le.
La vie est un défi, relève-le.
La vie est un devoir, fais-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, soigne-la bien.
La vie est richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, pénètre-le.
La vie est une promesse, tiens-la.
La vie est tristesse, dépasse-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, lutte avec elle.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur , mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Mère Teresa
ZZone artisanale Porte de Chambaran
Rue René Augé - 38980 Viriville
06.20.27.60.79
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