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2007-2011, travaux d'agence
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Rémi GUIBERT infographiste
mises en pages, créations,
infographies…
mises en pages
infographies
créations
www.loire.fr
Tu viens d’entrer en 6e : c’est une étape importantede ta scolarité. Pendant 4 ans, tu vas approfondirtes connaissances, découvrir de nouvelles matières,acquérir de nouvelles méthodes de travail… Pour t’accompagner au quotidien, le Conseilgénéral de la Loire t’offre ce dictionnaire : il te sera utile au collège, mais aussi à la maison, dès maintenant et pendant de nombreuses années.
Bienvenue au collège !Bienvenue au collège !
Bernard BonnePrésident du Conseil général de la Loire
La Marne et ses voies romaines
Suite à la conquête de la Gaule par les Romains, la Marne s’est retrouvée au cœur d’un réseau très dense
de voies de communication : les voies romaines. Aujourd’hui, on peut observer les vestiges de ces routes
d’un autre temps un peu partout dans le Département.
Avant la conquête de la Gaule, il
existait déjà un réseau de routes qui
permettait de relier les villages entre
eux. Les Romains, à leur arrivée, ont consi-
dérablement étoffé ce réseau, en créant des
axes de multiples tailles, à l’image, fi na-
lement, de nos réseaux routiers actuels.
Dans notre Département, on découvre
en moyenne un axe de circulation, toutes
périodes historiques confondues, tous les
16 hectares de sondages archéologiques,
soit un peu plus de 40 nouvelles routes tous
les ans ! L’importance de ces découvertes
laisse présager le nombre impressionnant
de voies créées à l’époque.
Un modèle parfois suiviCertaines routes actuelles reprennent plus
ou moins le tracé de voies romaines, mais
il s’agit de cas exceptionnels. Par exemple,
sur la route menant de Châlons à Bar-
le-Duc, il existe 30 kilomètres de route
rectiligne appelée la Grande Romanie. On
dit que le goudron a été coulé sur le tracé
de l’ancienne voie romaine Reims-Nasium.
De même, Châlons-en-Champagne se
situait sur la Via Agrippa qui reliait Rome
à Boulogne-sur-Mer. La rue de la Marne
suivrait justement le tracé de cette voie.
Mais plus généralement, les anciennes
voies romaines ont été ensevelies avec le
temps, réservant aujourd’hui des décou-
vertes surprenantes.
Découvertes perpétuellesAinsi, à Bezannes, les sondages archéolo-
giques réalisés à l’occasion de la création
de la gare TGV ont permis la découverte
de plusieurs routes totalement inconnues
auparavant ! Quatre ont ainsi été révélées :
elles structuraient le paysage de la campa-
gne autour de l’importante ville romaine
de Reims (Durocortorum), en organisant
l’implantation des habitats et en assurant
la circulation et l’approvisionnement
de la ville. D’autres fouilles récentes
ont révélé la présence de la voie Reims-
Trèves à Witry-lès-Reims : elle comporte
une chaussée centrale surélevée, bordée
de chaque côté par un important chemin
creux. Cette découverte a bouleversé
la connaissance des voies romaines
car elle a permis aux archéologues de
supposer que la chaussée centrale était
réservée au passage des convois impor-
tants (par exemple des légions), tandis
que les chariots et piétons empruntaient
les chemins creux latéraux.
Notez que la Porte de Mars, à Reims, est un
autre témoin de ces voies romaines : elle
est l’un des quatre arcs monumentaux qui
encadraient la ville dans le prolongement
des deux grands axes perpendiculaires
principaux : le cardo et le decumanus.
La richesse du patrimoine historique laissé
par les Romains nous promet encore de
belles découvertes !
talusPlateforme de la chaussée centrale
chemin creux
chemin creuxfossé
fossé
talus
emprise 47 m
Hypothèse de restitution du système routier gallo-romain
de la voie Reims-Trèves
Voies romaines révélées lors
des travaux de la gare TGV à Bezannes
R. J
emin
, Inr
ap
R. J
emin
Hier et Aujourd’hui
Pas moins de 29 routes partaient de Rome
en étoile, vers tous les points de l’Empire.
C’est pourquoi, par la suite, on a pu dire
que « tous les chemins mènent à Rome ».
LE SAVIEZ-VOUS ?
22 LAMARNE > LEMAG / IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE
LA MARNE ET LES MARNAIS EN COUVERTURE
Protéger notre planète est l’affaire de
tous. État, collectivités, citoyens, cha-
cun peut agir à son niveau. Depuis de
nombreuses années, le Conseil géné-
ral de la Marne intervient, par exem-
ple, pour protéger les ressources en
eau ou le patrimoine forestier. Mais ce
n’est pas tout. En 2007, l’Assemblée
départementale a élaboré un véritable
plan d’action. Désor mais, la protec-
tion de l’environnement est prise en
compte à travers l’ensemble des réa-
lisations du Conseil général, comme
dans les projets Marne 2020.
quotidiennos actions auDÉVELOPPEMENT DURABLE
Les routes départementales
constituent un élément privilégié
pour le développement durable (Photo Ch. Manquillet)
11 IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE / LAMARNE > LEMAG
DANS L’ACTUALITÉ
4e FLEUR POUR MOURMELONMourmelon-le-Grand vient d’accéder au rang prestigieux des villes 4 fl eurs. Elles sont 205 sur les 36 600 communes françaises. Après des années de mobilisation pour offrir un cadre de vie agréable, la municipalité et l’ensemble de la population de Mourmelon-le-Grand peuvent se féliciter de cette quatrième fl eur. La Marne confi rme sa place de premier département fl euri, avec 10 communes 4 fl eurs, 148 villes et villages labellisés et 445 communes participantes au concours.
RALLYE MONTE-CARLO HISTORIQUE 2009L’événement rallye rémois de l’hiver approche : le départ du rallye de Monte-Carlo historique aura lieu le vendredi 30 janvier à 19 h devant l’Hôtel de Ville. Comme tous les ans, Reims fait partie des villes de départ européennes historiques, pour des voitures de 1955 à 1980 ayant déjà participé au rallye à l’époque. Les concurrents, dont plusieurs Rémois, rejoindront Monaco via un parcours de concentration, avant de s’engager dans les spéciales mythiques durant trois jours.
SANTÉ
Maison de la nutrition cœur obésité diabète
En savoir plus : Maison de la nutrition cœur obésité diabète. Tél. 03 26 48 00 00, 7 place Toulouse Lautrec à Reims, www.maison-nutrition.fr
T el est l’objectif attendu de la convention signée par René-Paul Savary, président du Conseil général de la Marne, et Jean-Pierre Bouquet, maire de Vitry-le-François, formalisant le partenariat entre les services sociaux des deux collectivités. Celui-ci repose sur une répartition des publics suivis par chaque service et la mise en commun des moyens nécessaires à l’action sociale sur le territoire vitryat.Concrètement, la circonscription de la solidarité départe-mentale de Vitry-le-François assurera le suivi et l’accompa-gnement des familles avec des enfants mineurs ou placés auprès des services de l’aide sociale à l’enfance, tandis que le Centre communal d’action sociale accompagnera les personnes seules ou les familles sans enfant mineur.Actuellement à l’étude, un pôle social réunissant l’ensemble des services (CSD, CCAS, CAF…) pourrait voir le jour à Vitry-le-François, et contribuerait ainsi à améliorer la qualité du service rendu à la population en matière d’action sociale.
VITRY-LE-FRANÇOIS
« Répondre effi cacement aux besoins des usagers »
L e département de la Marne est concerné par une forte augmentation de la pré-valence du diabète, parallèle à celle de l’obésité : 4,5 % des Champardennais sont atteints de diabète, ce qui représente une fréquence plus élevée que la moyenne natio-nale*. Cette fl ambée nécessite une meilleure prise en charge des diabétiques et incite à la prévention du grand public pour endiguer ce phénomène. C’est dans cet esprit que s’est ouverte la Maison de la nutrition cœur obésité diabète. Cette association se propose d’infor-mer la population et d’éduquer gratuitement les diabétiques sur la nutrition et les pathologies liées.
Basée à Reims, la Maison de la nutrition est présente sur tout le département de la Marne. Elle organise des réunions d’information de proximité et gratuites à Châlons-en-Champagne, Sainte-Ménehould, Suippes, Bazancourt, Bour-gogne… Par ailleurs, d’autres programmes spécifi ques et services sont proposés, comme par
exemple des ateliers cuisine à destination des seniors, des permanences diététique gratui-tes. Pour en prendre connaissance ou bien demander l’organisation de réunions près de chez vous, vous pouvez contacter l’équipe de la Maison de la nutrition.* Source : Bulletin épidémiologique hebdomadaire, 12 novembre 2008 / n° 43
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6 LAMARNE > LEMAG / IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE
2009MAI + JUIN
no21
LAMARNE>LEMAG www.marne.fr
I L Y A T O U J O U R S D U C O N S E I L G É N É R A L D A N S V O T R E V I E
UN DROIT POUR TOUS !LE SPORTUn soutien toujours plus important 11
Les collèges à l’heure du numérique
N°102 • octobre 2009
LE MENSUELDU CONSEIL GÉNÉRAL DU TERRITOIRE DE BELFORT
SDISUN SECOURS AUX HABITANTS TRÈS EFFICACE
pages 8-9
REPORTAGE PHOTOLA FUTURE GARE TGVpages 12-13
ENSEMBLE JUSTINIANAOPÉRA SUR VOIX FERRÉESpage 21
le magazine du conseil général du territoire de belfort
28
mémoire
Le général Benoît Haxo
:::: Trois ingénieurs militaires ont posé leur marque dans l’espace géographi-que du département en créant et amé-liorant la ceinture fortifiée. Le premier, le maréchal Vauban, inscrit Belfort dans un ensemble de fortifications nouvelles pour se garder du retour des impériaux en Alsace. Le maréchal vient en per-sonne à trois reprises inspecter Belfort et sa région en 1675, 1677 et 1679. Le second, le général Benoît Haxo, à la suite des deux sièges de l’époque napoléo-nienne, est chargé de moderniser et de perfectionner la fortification. Il reprend à son compte le projet non abouti de camp retranché dans le Vallon et for-tifie les sommets de la Justice (1826) et de la Miotte (1831). Le troisième, le général Séré de Rivières, fait édifier des forts modernes qui barrent la Trouée de Belfort entre 1874 et 1879.
Des officiers influentsMais la présence militaire est aussi et surtout marquée par des hommes. Les officiers, qui n’ont pas le droit de faire officiellement de la politique, influent cependant sur la vie civique. Au tout début de la Révolution, les officiers royalistes du régiment Royal Liégeois tentent d’entrer en force dans la mairie de Belfort au soir du 21 octobre 1790. Ils en sont empêchés par le général Kléber. En janvier 1822, c’est au tour d’un petit groupe d’officiers libéraux et de citoyens belfortains que se noue un complot visant à renverser le gouverne-ment ultra-royaliste de Louis XVIII. Au moment de l’affaire Dreyfus, un offi-cier n’hésite pas à provoquer en duel le fils d’un commerçant israélite à la brasserie Georges en 1897, pour défen-dre l’honneur de l’armée.
Le commerce profiteLes hommes de troupe ne passent pas tout leur temps à la caserne, ils sortent aussi en ville pour se distraire. C’est une véritable manne pour les cafetiers et aubergistes de Belfort, Giromagny, Chèvremont, Offemont et Danjoutin. Cela cause parfois des désagréments que les autorités municipales tentent de maîtriser. Les cinq à six mille jeunes militaires de 20 à 23 ans constituent la clientèle privilégiée des prostituées de la ville. Les autorités municipales et militaires contrôlent et structurent étroitement ce métier, afin d’éviter à la fois une débauche trop visible et la pro-pagation des maladies vénériennes. À
Belfort en 1896, quatre maisons closes sont recensées. Elles emploient trente-cinq « filles soumises ». En 1933, il n’y a plus qu’une maison, rue du fort Hatry, qui emploie neuf filles mais vingt sont recensées comme travailleuses indépendantes.
Une aide précieuseLes soldats apportent également leur aide à la population civile en cas de catas-trophe. Ils font partie des piquets d’in-cendie et interviennent aux côtés des pompiers de la ville (par exemple lors des incendies de l’école Sainte-Marie en 1886 et du palais de justice en 1906).L’armée est aussi une force d’ordre. Elle peut être mise à la disposition des pré-fets pour assurer la sécurité de la ville en cas de grèves ou de manifestations ou bien encore pour faire respecter la loi. C’est le cas lorsque les paroissiens de Lepuix s’opposent à l’inventaire de leur église en 1906. :: JCT
défense
La présence militaire dans le Territoire de BelfortTerritoire de garnisons, les troupes militaires ont joué un rôle important dans la vie
sociale, économique et politique du département. à savoir
:: L’exposition « Dix siècles de présence militaire dans le département » se déroule du 10 mai au 11 juin 2010 dans le hall de l’Hôtel du département, place de la révolution française à belfort.:: retrouvez l’actualité des archives départementales du Territoire de belfort sur www.cg90.fr
Le 42e régiment d’infanterie à l’entraînement.
Soldats combattant un incendie.
vivre le territoire n°108
Hommages
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès d’une grande figure de la danse, Odile Duboc, fondatrice et directrice du Centre chorégraphique national de Franche-Comté à Belfort.Elle a été l’auteure de nombreuses créations qui ont été jouées dans le monde entier. Je
pense notamment aux Trois boléros, à Projet de la matière, Comédie ou
À la suite, J’ai mis du sable exprès, vite fait, comme ça dans mes chaussu-
res et bien d’autres encore… Ces pièces montrent à quel point elle était
exigeante pour offrir au public des spectacles de grande qualité.
Femme d’exception, elle a porté dignement les couleurs de Belfort, de
son Territoire et de toute la Franche-Comté.Au regard de son immense talent, Odile a su rester simple et accessible.
Nous garderons d’elle le souvenir d’une femme d’exception, discrète
et humaine.
Yves AckermannPrésident du Conseil général du Territoire de Belfort
Adieu Odile
Hommage à Alain Simon
Je tiens à saluer la mémoire d’Alain Simon qui nous a quittés brutalement samedi 3 avril. Son parcours est exemplaire à plusieurs titres.Professionnellement d’abord. Né de parents
aux conditions modestes, Alain a su travailler
d’arrache-pied pour financer des études exigeantes qui lui ont permis
de devenir cadre.En tant qu’élu ensuite. En 2001, il devient Maire et s’acquitte de cette
tâche grâce à un travail soutenu et un talent à fédérer les énergies, tout
en découvrant la gestion de collectivités locales.J’ai mesuré à de nombreuses reprises son attachement à son village
et son énergie pour défendre au mieux les intérêts de ses habitants.
Il avait à cœur de développer sa commune tout en s’assurant de lui
garder une authenticité.Évette-Salbert perd un enfant du village. À sa famille et ses proches, je
tiens à adresser mes sincères condoléances.Yves AckermannPrésident du Conseil général du Territoire de Belfort
concours
29
Pour un Territoire durable
Vivre le Territoire n°106 : les réponses au concours « L’emploi en actions » :
1-a, 2-c, 3-c, 4-a, 5-c. Les gagnants sont :1er prix : Jean-noël Ludwig2e prix : Martine David3e prix : Annie Bataillardles gagnants des 20 lots conseil général : charles Janin, Jean-Marc bourquard, alain bercot,
andrée Kraemer, dominique belot, Hélène Metzler, alia Fekir, Fiona Mangata, béatrice Mouth,
bernadette schroll, amandine blanc, richard schlottke, Hervé restani, renée Hauteroche,
Manuela Martins, bruno Giordani, bénédicte Gueret, christelle silvant, isabelle soranzo,
Marie-line stritt.les lauréats qui ne peuvent se rendre à la remise des prix pourront retirer leur lot à l’Hôtel du
département dans un délai d’un mois suivant la date de publication des résultats du concours.
1er prix : un lot composé d’un blouson coupe-vent, un parapluie et un sac à dos.2e prix : un lot composé d’un parapluie et d’un sac à dos.
3e prix : un sac à dos.Et 20 lots Conseil général du Territoire de Belfort.1 Quel est l’un des huit objectifs du millénaire pour le développement fixé par les Nations Unies ?a) la lutte contre l’urbanisationb) le développement d’un envi ron nement humain durablec) la création d’une police internationale de l’environnement
2 Que signifie l’acronyme HQE ?a) Haute qualité environnementaleb) Haute qualité économiquec) Haute qualité énergétique
3 Combien de stations de contrôle de la qualité de l’eau des rivières ont été mises en place par le Conseil général ?a) 12b) 45c) 60
4 Dans le cadre du programme Natura 2000, le Conseil général gère la zone « Étangs et vallées du Territoire de Belfort ». Elle concerne environ…a) 250 hectaresb) 5 000 hectaresc) 8 000 hectares
5 Depuis sa création en 1994, combien de visiteurs la Maison départementale de l’environnement a-t-elle accueilli ?a) 45 000 visiteurs b) 200 000 visiteursc) 475 000 visiteurs
envoyer vos réponses avant le 30 mai 2010 sur www.cg90.fr, rubrique
concours VlT ou sur papier libre, en mentionnant vos nom, prénom, adresse,
commune, code postal et téléphone à Vivre le Territoire, direction de la
communication, Hôtel du département, place de la révolution française,
90020 belfort cedex
vivre le territoire n°108vivre le territoire n°108
Les Rencontres du Territoire se sont déroulées le 8 décembre 2009 à l’Atria-Belfort. Près de 500 personnes
ont répondu à l’appel du Conseil général afi n de débattre des actions du Département et de s’informer
des menaces que font peser, sur le Territoire de Belfort, les réformes fi scale et territoriale engagées
actuellement par le Gouvernement.
19 h 57 – Usager :
« Je dois souligner
que les personnels
TOS [techniciens,
ouvriers et de ser-
vice, NDLR] de l’État
craignaient la décentralisation.
Mais aujourd’hui, ce n’est plus
le cas car dans le Territoire, nous
avons la chance d’être encore à
gauche. »
20 h 11 – Monsieur
Patrick Mira :
« Je pense qu’il faut
réfl échir ensemble à
ce que nous voulons
faire de notre dépar-
tement voire de notre région ! Les
rivalités gauche/droite sont dépas-
sées. Je souhaitais dire également
qu’avant, on ne recevait pas bien
la télévision dans le Territoire.
19 h 40 – Damien
Meslot, Député et
Conseiller général :
« Vous utilisez les
arguments de la peur
Monsieur le Prési dent.
Vous dites que la suppres sion de la
taxe professionnelle (TP) va sup-
primer les ressources des collecti-
vités territoriales. Or, cette réforme
a été rédigée par Marc Laffi neur
(UMP) et Jean-Pierre Balligand (PS).
La TP va être remplacée par une
nouvelle taxe. Dès que le Sénat
aura voté cette réforme, l’ensem-
ble des Maires, des Conseillers
généraux et régionaux recevront
des simulations qui montreront
que les ressources ne seront pas
menacées […] »
19 h 53 – Union
départementale CGT :
« Je souhaitais faire
part des inquiétu-
des de la CGT quant
aux fondements
et à l’existence même du service
public. Nous nous inscrivons dans
une démarche combative face au
Gouvernement. Avec ces réfor-
mes, il s’agit d’un hold-up contre
la démocratie. Ces réformes sont
du même type que celles qui s’at-
taquent à l’hôpital ou encore à
La Poste. Elles remettent en cause
l’intérêt général. »
:::: Cette année, les Rencontres
du Territoire ont pris une cou-
leur particulière. Après avoir
effectué une présentation simple
et concrète du budget 2010 du
Conseil général, Yves Ackermann
a expliqué et mis en perspective
les incidences et les menaces que
fait peser le Gouvernement sur
l’avenir du Département, ouvrant
ainsi les Rencontres sur un débat
qui a fi nalement pris une tournure
politique. Extraits :
19 h – Yves
Ackermann,
Président du
Conseil général :
« Avec la réforme fi s-
cale, c’est toute notre
dynamique budgétaire qui va être
remise en cause. L’État s’engage à
compenser le manque à gagner
à l’euro près, mais nous pouvons
en douter car depuis 2002, il ne l’a
pas fait. L’État doit à ce jour plus
de 80 millions d’euros aux habi-
tants du Territoire. […] Avec cette
réforme, il faudrait augmenter
les impôts. Mais je me refuse à
demander de telles sommes aux
habitants du Territoire. Ça ne sert
à rien ! Aujourd’hui, il faut expli-
quer à la population et alerter
les parlementaires pour lutter
contre ces réformes irré fl échies et
irraisonnables. »
RÉFORMES FISCALE ET TERRITORIALE
Le Territoire en débats
16 LE MAGAZINE DU CONSEIL GÉNÉRAL DU TERRITOIRE DE BELFORT
DOSSIER
VIVRE LE TERRITOIRE N°105
« La natation est un sport populaire qui risque de ne plus l’être. »« On apprend aux jeunes et
aux moins jeunes à nager,
on soigne les phobies de l’eau…
La natation est aujourd’hui un
sport populaire, accessible au
plus grand nombre. Par contre,
depuis quelques temps on
s’aperçoit que de plus en plus
de familles peinent à régler
la cotisation annuelle. Si ces
réformes viennent diminuer
ou empêcher les subventions
que l’on reçoit des collectivités,
la natation sera alors très vite
réservée à ceux qui ont les
moyens fi nanciers nécessaires.
On va perdre notre rôle social.
Ça fera beaucoup de mal.
C’est inquiétant. »
« Ces réformes ne vont
pas dans le bon sens .»« Notre association est mandatée
par le Conseil général pour
intervenir auprès des familles
dans le cadre de la protection
de l’enfance. Ces réformes visent
à faire des économies. C’est bien
mais je crains qu’à terme, les
Conseils généraux ne puissent
plus mener des missions telles
que la médiation familiale par
exemple. On s’aperçoit, depuis
quelques années, qu’il y a
moins de service public, moins
de personnels et de moyens
et au fi nal, moins de temps
pour accompagner ceux qui
rencontrent à un moment donné
de leur vie des diffi cultés. On voit
d’un côté, les gens s’appauvrir
et de l’autre, les services publics
diminuer. C’est très inquiétant.
Ces réformes ne vont pas dans
le bon sens. »
« Je suis inquiet pour l’avenir. »« Environ quatre-vingts
élèves fréquentent notre
école intercommunautaire.
C’est un établissement public
qui trouve son fi nancement
dans les subventions des
Communautés de communes
du Tilleul, de la Vallée de
la Bourbeuse, et du Conseil
général.
Ces trois partenaires sont
directement touchés par
la réforme de la taxe
professionnelle. Je suis donc
très inquiet pour l’avenir car,
si ces aides disparaissent,
l’école ne pourra survivre
qu’en augmentant la
participation des parents.
Malheureusement, ce sont
les familles qui subiront les
conséquences de ces réformes. »
« J’attends le vote du budget départemental. »« Si les réformes gouvernementa-
les interdisent au Département de
subventionner la vie culturelle, les
conséquences seront dramatiques
pour l’ensemble du tissu associatif.
Pour notre part, chaque fois que
nous restaurons un instrument
ancien, c’est tout une dynamique
qui s’amorce. Nous faisons
travailler des facteurs d’orgues,
des maîtres-artisans. Souvent, les
Communes s’engagent à leur tour
dans la restauration de leur église.
Ensuite, les concerts créent l’événe-
ment, avec un public toujours plus
nombreux. Je ne peux pas croire
que tout cela s’arrête. J’attends
le vote du budget départemental
en mars prochain pour savoir si
nous pourrons fêter cette année
les dix ans de la Fédération avec
le sourire, ou pas. »
Éric Mouhat, président de l’ASMB natation
Béatrice Haegel, directrice de l’asso ciation
Aide familiale et populaire
Jacques Reuillard, président de l’École
intercommunautaire
d’enseignement musical
Anne-Marie Scherrer, présidente de la Fédération
des orgues du Territoire
de Belfort, Orgalie
Réformes fi scale et territoriale du Gouvernement :
Qu’en pensez-vous ?
LE MAGAZINE DU CONSEIL GÉNÉRAL DU TERRITOIRE DE BELFORT19
Le dossierLe Territoire en débats
VIVRE LE TERRITOIRE N°105
magazines des collectivités
2009JUILLET + AOÛT
no22 www.marne.fr
I L Y A T O U J O U R S D U C O N S E I L G É N É R A L D A N S V O T R E V I E
LAISSEZ-VOUS CONTER
LA MARNE
LAMARNE>LEMAG
Les balades à parcourir et à écouter 11
TGV Rhin-RhôneDe nouvelles voies
pour l’économiedu Territoire
SPORTDES ÉDUCATEURS VRAIMENT « PROS »pages 6-7
ENVIRONNEMENTNATURA 2000 : UN TERRITOIRE PRÉSERVÉpages 8-9
REPORTAGEL’ORIGINALITÉ, CLEF DU SUCCÈS DE GÉNÉRIQ
pages 12-13
N°97 • avril 2009
LE MENSUELDU CONSEIL GÉNÉRAL DU TERRITOIRE DE BELFORT
N°99 • juin 2009
LE MENSUELDU CONSEIL GÉNÉRAL DU TERRITOIRE DE BELFORT
TÉLÉALARMEPOUR RESTER CHEZ SOI EN TOUTE SÉCURITÉpages 6-7
ROUTESAMÉNAGEMENT DES BOULEVARDS KENNEDY ET ANATOLE FRANCE À BELFORT pages 8-9
REPORTAGE PHOTOCAP SUR LE MALSAUCYPOUR LES SCOLAIRESpages 12-13
Tourisme,un naturel qui séduit
N°101 • septembre 2009
LE MENSUELDU CONSEIL GÉNÉRAL DU TERRITOIRE DE BELFORT
VÉHICULE DU FUTURLES MOTEURS DE DEMAIN CONÇUS DANS LE TERRITOIRE DE BELFORTPage 6
REPORTAGE PHOTOLA DESSERTE DU PAYS-SOUS-VOSGIENPage 12
UTBMDES CURSUS À DÉCOUVRIRPage 22
C’est la rentrée ! le Conseil général est à vos côtés
REPORTAGE
Les bénévoles à pied d’œuvre:::: Toute l’année, les bénévoles des structures d’aides alimentaires et d’hébergement d’ur-gence du Territoire de Belfort œuvrent pour aider les personnes en diffi cultés. Ils préparent des colis alimentaires, des repas ou assurent la récupération et la réfection de vêtements.
Armée du Salut, Croix-Rouge, Restos du Cœur, Société de Saint-Vincent de Paul, Secours Catholique ou Populaire… Pour mieux se repérer parmi tous les soutiens proposés, le Conseil général édite une plaquette d’informations pratiques. Elle indique les lieux d’accueil, les modalités d’inscription ou encore les jours de distribution.
Tour d’horizon en images des actions mises en œuvre. ::
AIDES ALIMENTAIRES ET HÉBERGEMENT D’URGENCE
La Croix-Rouge française propose des distributions de colis alimentaires à Belfort, Giromagny et Delle.
res
Le restaurant social de l’Armée du Salut est ouvert tous les midis du lundi au vendredi.
Les bénévoles du Secours Populaire réceptionnent une palette de briques de lait. Les produits sont proposés aux bénéfi ciaires sous forme de colis alimentaires.
le Conseil général ne pourra plus soutenir les associations d’aide aux personnes en diffi cultés si les réformes fi sca-les et territoriales prévues par le gouvernement sont votées en l’état dès 2010. Contre la recentralisation du pouvoir, pour la défense du Territoire de Belfort et de la proximité, mobilisons-nous.Plus d’infos sur www.cg90.fr
Dédiés aux tout-petits, les Restos bébé proposent couches,
lait ou encore petits pots aux parents en diffi cultés.
25 à 30 personnes par jour prennent leur repas au restaurant social de l’Armée du Salut.
Huguette, Paulette, Maria et Éliane, bénévoles à la Croix-Rouge, trient et plient les vêtements avant de les proposer au public en diffi culté. L’aide vestimentaire a lieu chaque jeudi à Belfort (15 avenue Sarrail) et à Delle (22 rue Scherer).
À l’accueil de jour de l’Armée du Salut, 7 rue Colbert, une infi rmière est présente les lundis, mardis, jeudis et vendredis après-midi.
La fondation Armée du Salut propose aux personnes sans abri, un accueil de nuit et un hébergement temporaire. Ci-dessus, une personne hébergée dans un logement collectif, rue Legrand à Belfort.
:: Plus d’infos sur www.cg90.fr
:: En appelant le 115 à toute heure du jour ou de la nuit, vous pouvez contacter un service d’urgence pour l’hébergement.
À SAVOIR
Vivre le Territoire Mensuel du Conseil général du Territoire de Belfort
N°100 • juillet-août 2009
LE MENSUELDU CONSEIL GÉNÉRAL DU TERRITOIRE DE BELFORT
ROUTESDES AMÉNAGEMENTS POUR PLUS DE SÉCURITÉpages 8-9
REPORTAGE PHOTOLES COLLÉGIENS DU TERRITOIRE DÉCOUVRENT LA ZAC TGV pages 12-13
SPORTLES MEILLEURS TRIATHLÈTES DE FRANCE RÉUNIS AU MALSAUCYpage 21
Les Eurockéennes : 3, 4 et 5 juillet
Le Territoire au rythme du festival
MARNE 2020Un territoire de projets Cahier détachable7
www.marne.frSEPTEMBRE + OCTOBRE
LAMARNE>LEMAG
26 et 27 septembre 2009
Voir p. 23
Gagnez des places
pour le 3e week-end
de l’excellence automobileCircuit de Gueux
en Champagne
2009
www.marne.fr
I L Y A T O U J O U R S D U C O N S E I L G É N É R A L D A N S V O T R E V I E
no23
La Marne > Le Mag Bimensuel du Conseil Général
812
L’AIDE AUX COMMUNES
Sur le budget total, l’aide aux communes
représente 22,5 millions d’euros ventilés
sur différents secteurs d’intervention.
2011
12
L’Assemblée départementale a adopté en janvier son budget. Il s’élève à plus de 486 millions d’euros pour l’année 2011. Voici en détail et en image les domaines d’intervention du Conseil général.
Budget primitif en mouvements réels hors crédit à long terme renouvelable (16,5 millions d’euros) et hors frais généraux (43,5 millions d’euros).
Le budget 2011 du Département
Solidarité
48,5 €
Éducation
15 €
Routes
11,5 ۃconomie
4,5 €
Cadre de vie et développement durable
3 € Secours et sécurité3 €
Culture, sport et loisirs
2 €
Fonctionnement de la collectivité
10,5 €
Emprunts
Dotations de l’État
Autresrecettes
Crédit à long terme renouvelable
Fiscalité directe et indirecte
8,5 €3,5 €9,5 €
40,5 €
38 €
Solidarité
48,5 €
Éducation
15 €
Routes
11,5 ۃconomie
4,5 €
Cadre de vie et développement durable
3 € Secours et sécurité3 €
Culture, sport et loisirs
2 €
Fonctionnement de la collectivité
10,5 €
Emprunts
Dotations de l’État
Autresrecettes
Crédit à long terme renouvelable
Fiscalité directe et indirecte
8,5 €3,5 €9,5 €
40,5 €
38 €
LA CULTURE, LE SPORT ET LES LOISIRSLes activités artistiques, culturelles et le patrimoine : 5,5 millions €Le sport : 3 millions €Les bibliothèques et les médiathèques : 1,5 million €La jeunesse et les loisirs : 1,5 million €
11,5millions €
L’ÉDUCATIONLes collèges (construction de bâtiment, enseignement) : 47 millions €Les transports scolaires : 20 millions €Les activités périscolaires : 4 millions €Les aides pour la construction d’écoles élémentaires : 2 millions €
73millions €
LES ROUTESLes routes et la voirie : 56 millions €Le transport public de voyageurs : 0,5 million €
56,5millions €
LES SECOURS ET LA SÉCURITÉLes services d’incendies et de secours : 11,5 millions €Les interventions de protection : 3 millions €La gendarmerie : 0,5 million €
15millions €
L’ÉCONOMIELe développement écono-mique et l’enseignement supérieur : 8 millions €L’aéroport Paris-Vatry et le TGV Est Européen : 6,5 millions €Le tourisme : 6 millions €L’agriculture : 0,5 million €L’industrie, l’artisanat et le commerce : 0,5 million €
21,5millions €
LA SOLIDARITÉL’insertion : 56 millions €Les personnes handicapées : 54 millions €L’enfance et la famille : 53 millions €Les personnes âgées : 53 millions €Les services sociaux : 19 millions €
235millions €
LE CADRE DE VIE ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLELe logement et le développement urbain : 5,5 millions €L’aménagement des grandes villes : 2 millions €L’aménagement et le développement rural : 1 million €L’environnement (traitement des déchets) et la politique de l’eau : 4 millions €Les actions en faveur du milieu naturel : 1 million €
13,5millions €
Où va l’argent ?
D’où vient l’argent ?
4 LAMARNE > LEMAG / IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE
DANS L’ACTUALITÉ C’est voté !
5 IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE / LAMARNE > LEMAG
DANS L’ACTUALITÉC’est voté !
Marne32.indd 4-5 10/02/11 17:50:56
EN COUVERTURE
Protéger notre planète est l’affaire de
tous. État, collectivités, citoyens, cha-
cun peut agir à son niveau. Depuis de
nombreuses années, le Conseil géné-
ral de la Marne intervient, par exem-
ple, pour protéger les ressources en
eau ou le patrimoine forestier. Mais ce
n’est pas tout. En 2007, l’Assemblée
départementale a élaboré un véritable
plan d’action. Désor mais, la protec-
tion de l’environnement est prise en
compte à travers l’ensemble des réa-
lisations du Conseil général, comme
dans les projets Marne 2020.
quotidiennos actions auDÉVELOPPEMENT DURABLE
Les routes départementales
constituent un élément privilégié
pour le développement durable (Photo Ch. Manquillet)
11 IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE / LAMARNE > LEMAG
Loire Magazine ■ n°80 - Mars/Avril 2010
Sommaire
2
En supplément de ce magazine
8 - 9 En coulisses
Handicap : une maison à votre écoute
10 - 12 Actualités• Marlhes :
le climat en débat
• L’énergie vue du Siel
• 250 professionnels du bois au rendez-vous
13 - 14 À la découverte des cantons
• Roanne-Nord mobilisé pourses habitants
• Saint-Haon-le-Châtel valorise
son territoire
22 - 23 Reportage
Halte à la cybercriminalité
24 - 25 Économie
Loupidou : des « amours » de bijoux
26 Sport
Handisport : la Loire monte au fi let
27 À vos papilles
Un homme, un produit, une recette
28 - 29 Expressions des élus
30 - 31 PortraitLe bonheur de Jérôme Grange
Directeur de la publication : Bernard Bonne, Président du Conseil général de la
Loire • Rédactrice en chef : Carine Bar • Crédits photos : Conseil général de la
Loire, Élodie Pilon, Fabrice Roure, Siel, BEES, Comité départemental handisport
de la Loire, Pompiers Humanitaires Français, Pantherimage, Chantal Cecchetti
• Rédaction : direction de la Communication, Sphère Publique • Conception,
réalisation : [email protected] • Impression :
Imaye Graphic • Diffusion : La Poste • Tirage : 332 000 ex. • Dépôt légal :
1e trimestre 2010 • Conseil général de la Loire : Hôtel du Département, 2, rue
Charles de Gaulle 42022 Saint-Étienne Cedex 1
Site internet : www.loire.fr
Tél : 04 77 48 42 42
4 - 7 En bref et en images
Le Conseil général de la Loire… DossierLes routes enbonnes mains
15 -21
Le Conseil général
investit pour
entretenir,
améliorer
et moderniser
le réseau routier.
Un défi permanent
mais aussi
un formidable
enjeu de
développement…
Le papier utilisé pour ce magazine est issu de
forêts certifi ées PEFC et gérées durablement.
N° 80 MARS-AVRIL 2010 www.loire.fr
SUPPLÉMENT DE LOIRE MAGAZINE
SortirVotre agenda des sorties
HaïtiLes Pompiers Humanitaires
Loire Magazine ■ n°80 - Mars/Avril 2010
18 décembre 2009Paul Salen, Premier Vice-Président du
Conseil général chargé de l’Éducation,
et Bernard Fournier, Sénateur
et Vice-Président du Conseil général,
inaugurent l’école primaire de Saint-
Georges-Haute-Ville.
17 décembre 2009Nora Berra, Secrétaire d’État chargée
des Aînés, visite la résidence mutualiste
Les Myosotis à L’Horme. Elle était
accompagnée par le Président Bonne,
la Vice-Présidente et Maire de L’Horme,
Solange Berlier, et François Rochebloine,
Député et Vice-Président du Conseil
général.
17 décembre 2009Georges Ziegler, Vice-Président du Conseil
général et Martine de Boisdeffre,
Directrice des Archives de France,
inaugurent l’exposition consacrée
aux archives de Manufrance.
5
En images
JEUNESSE
En route pour Barcelone
DÉVELOPPEMENT DURABLE
165 000 euros économisés grâce
à la réduction du parc automobile
Le Conseil général s’est engagé dans
une politique de gestion dynamique
de son parc automobile. Objectif :
réduire les dépenses et contribuer à la
baisse de la pollution.
Dès 2009, le Conseil général a diminué
de 8 % sa fl otte de véhicules légers. Il a
également mis en place un parc commun
interservices de 20 véhicules. « Nous
avons ainsi pu réaliser une économie de
quelque 120 000 euros, souligne Paul
Salen, Premier Vice-Président du Conseil
général, ainsi qu’une réduction des dépenses
en carburant et en entretien d’environ
25 000 euros. »Toutes les acquisitions se font désormais
sur des modèles ne disposant pas de cli-
matisation et émettant moins de 120 g de
CO2/km. Une mesure qui a permis en
2009 de réduire la consommation
moyenne des véhicules légers, soit une
économie de 20 000 euros.
Une politique poursuivie en 2010 et
étendue aux nouveaux véhicules gérés
par le Conseil général, dans le cadre
du transfert du parc routier de la
Direction départementale de l’équipe-
ment et de l’agriculture représentant
250 véhicules.
Cet été, Barcelone accueille les
championnats d’Europe d’athlé-
tisme. Le Comité d’athlétisme et
l’UNSS(1) de la Loire, en partenariat avec
le Conseil général, proposent aux jeunes
Ligériens, âgés de 13 à 16 ans, de partici-
per à l’opération « En route pour Barce-
lone ». À la clé : un séjour aux prochains
championnats d’Europe d’athlétisme,
du 29 juillet au 1er août 2010.
Ce sont 40 jeunes athlètes en herbe qui
auront la chance d’embarquer ! Pour
participer aux épreuves de sélection, de
mars à mai, il faut impérativement être
licencié UNSS et FFA(2) et, bien sûr,
être domicilié et scolarisé dans la Loire.
La compétition est ouverte aux minimes
et cadets, nés entre 1993 et 1996.
(1) Union nationale du sport scolaire
(2) Fédération française d’athlétisme
Retrouvez toutes les informations et le règlement de la compétition sur www.loire.fr
Loire Magazine ■ n°80 - Mars/Avril 2010
Sommaire
2
En supplément de ce magazine
8 - 9 En coulissesHandicap : une maison à votre écoute
10 - 12 Actualités• Marlhes :
le climat en débat
• L’énergie vue du Siel
• 250 professionnels du bois au rendez-vous
13 - 14 À la découverte des cantons
• Roanne-Nord mobilisé pourses habitants
• Saint-Haon-le-Châtel valorise son territoire
22 - 23 ReportageHalte à la cybercriminalité
24 - 25 ÉconomieLoupidou : des « amours » de bijoux
26 Sport Handisport : la Loire monte au fi let
27 À vos papillesUn homme, un produit, une recette
28 - 29 Expressions des élus
30 - 31 PortraitLe bonheur de Jérôme Grange
Directeur de la publication : Bernard Bonne, Président du Conseil général de la Loire • Rédactrice en chef : Carine Bar • Crédits photos : Conseil général de la Loire, Élodie Pilon, Fabrice Roure, Siel, BEES, Comité départemental handisport de la Loire, Pompiers Humanitaires Français, Pantherimage, Chantal Cecchetti • Rédaction : direction de la Communication, Sphère Publique • Conception, réalisation : [email protected] • Impression : Imaye Graphic • Diffusion : La Poste • Tirage : 332 000 ex. • Dépôt légal : 1e trimestre 2010 • Conseil général de la Loire : Hôtel du Département, 2, rue Charles de Gaulle 42022 Saint-Étienne Cedex 1Site internet : www.loire.frTél : 04 77 48 42 42
4 - 7 En bref et en imagesLe Conseil général de la Loire… Dossier
Les routes enbonnes mains
15 -21
Le Conseil général
investit pour
entretenir,
améliorer
et moderniser
le réseau routier.
Un défi permanent
mais aussi
un formidable
enjeu de
développement…
Le papier utilisé pour ce magazine est issu de forêts certifi ées PEFC et gérées durablement.
N° 80 MARS-AVRIL 2010 www.loire.fr
SUPPLÉMENT DE LOIRE MAGAZINE
SortirVotre agenda des sorties
HaïtiLes Pompiers Humanitaires
Loire Magazine ■ n°80 - Mars/Avril 2010
18 décembre 2009Paul Salen, Premier Vice-Président du Conseil général chargé de l’Éducation, et Bernard Fournier, Sénateur et Vice-Président du Conseil général, inaugurent l’école primaire de Saint-Georges-Haute-Ville.
17 décembre 2009Nora Berra, Secrétaire d’État chargée des Aînés, visite la résidence mutualiste Les Myosotis à L’Horme. Elle était accompagnée par le Président Bonne, la Vice-Présidente et Maire de L’Horme, Solange Berlier, et François Rochebloine, Député et Vice-Président du Conseil général.
17 décembre 2009Georges Ziegler, Vice-Président du Conseil général et Martine de Boisdeffre, Directrice des Archives de France, inaugurent l’exposition consacrée aux archives de Manufrance.
5
En images
JEUNESSE
En route pour Barcelone
DÉVELOPPEMENT DURABLE
165 000 euros économisés grâce à la réduction du parc automobile
Le Conseil général s’est engagé dans une politique de gestion dynamique de son parc automobile. Objectif :
réduire les dépenses et contribuer à la baisse de la pollution.Dès 2009, le Conseil général a diminué de 8 % sa fl otte de véhicules légers. Il a également mis en place un parc commun interservices de 20 véhicules. « Nous
avons ainsi pu réaliser une économie de quelque 120 000 euros, souligne Paul Salen, Premier Vice-Président du Conseil général, ainsi qu’une réduction des dépenses en carburant et en entretien d’environ 25 000 euros. »Toutes les acquisitions se font désormais sur des modèles ne disposant pas de cli-matisation et émettant moins de 120 g de CO
2/km. Une mesure qui a permis en
2009 de réduire la consommation moyenne des véhicules légers, soit une économie de 20 000 euros.Une politique poursuivie en 2010 et étendue aux nouveaux véhicules gérés par le Conseil général, dans le cadre du transfert du parc routier de la Direction départementale de l’équipe-ment et de l’agriculture représentant 250 véhicules.
Cet été, Barcelone accueille les championnats d’Europe d’athlé-tisme. Le Comité d’athlétisme et
l’UNSS(1) de la Loire, en partenariat avec le Conseil général, proposent aux jeunes Ligériens, âgés de 13 à 16 ans, de partici-per à l’opération « En route pour Barce-lone ». À la clé : un séjour aux prochains championnats d’Europe d’athlétisme, du 29 juillet au 1er août 2010.Ce sont 40 jeunes athlètes en herbe qui auront la chance d’embarquer ! Pour participer aux épreuves de sélection, de mars à mai, il faut impérativement être licencié UNSS et FFA(2) et, bien sûr, être domicilié et scolarisé dans la Loire. La compétition est ouverte aux minimes et cadets, nés entre 1993 et 1996.
(1) Union nationale du sport scolaire(2) Fédération française d’athlétisme
Retrouvez toutes les informations et le règlement de la compétition sur www.loire.fr
DANS L’ACTUALITÉ
4e FLEUR POUR MOURMELONMourmelon-le-Grand vient d’accéder au rang prestigieux des villes 4 fl eurs. Elles sont 205 sur les 36 600 communes françaises. Après des années de mobilisation pour offrir un cadre de vie agréable, la municipalité et l’ensemble de la population de Mourmelon-le-Grand peuvent se féliciter de cette quatrième fl eur. La Marne confi rme sa place de premier département fl euri, avec 10 communes 4 fl eurs, 148 villes et villages labellisés et 445 communes participantes au concours.
RALLYE MONTE-CARLO HISTORIQUE 2009L’événement rallye rémois de l’hiver approche : le départ du rallye de Monte-Carlo historique aura lieu le vendredi 30 janvier à 19 h devant l’Hôtel de Ville. Comme tous les ans, Reims fait partie des villes de départ européennes historiques, pour des voitures de 1955 à 1980 ayant déjà participé au rallye à l’époque. Les concurrents, dont plusieurs Rémois, rejoindront Monaco via un parcours de concentration, avant de s’engager dans les spéciales mythiques durant trois jours.
SANTÉ
Maison de la nutrition cœur obésité diabète
En savoir plus : Maison de la nutrition cœur obésité diabète. Tél. 03 26 48 00 00, 7 place Toulouse Lautrec à Reims, www.maison-nutrition.fr
T el est l’objectif attendu de la convention signée par René-Paul Savary, président du Conseil général de la Marne, et Jean-Pierre Bouquet, maire de Vitry-le-François, formalisant le partenariat entre les services sociaux des deux collectivités. Celui-ci repose sur une répartition des publics suivis par chaque service et la mise en commun des moyens nécessaires à l’action sociale sur le territoire vitryat.Concrètement, la circonscription de la solidarité départe-mentale de Vitry-le-François assurera le suivi et l’accompa-gnement des familles avec des enfants mineurs ou placés auprès des services de l’aide sociale à l’enfance, tandis que le Centre communal d’action sociale accompagnera les personnes seules ou les familles sans enfant mineur.Actuellement à l’étude, un pôle social réunissant l’ensemble des services (CSD, CCAS, CAF…) pourrait voir le jour à Vitry-le-François, et contribuerait ainsi à améliorer la qualité du service rendu à la population en matière d’action sociale.
VITRY-LE-FRANÇOIS
« Répondre effi cacement aux besoins des usagers »
L e département de la Marne est concerné par une forte augmentation de la pré-valence du diabète, parallèle à celle de l’obésité : 4,5 % des Champardennais sont atteints de diabète, ce qui représente une fréquence plus élevée que la moyenne natio-nale*. Cette fl ambée nécessite une meilleure prise en charge des diabétiques et incite à la prévention du grand public pour endiguer ce phénomène. C’est dans cet esprit que s’est ouverte la Maison de la nutrition cœur obésité diabète. Cette association se propose d’infor-mer la population et d’éduquer gratuitement les diabétiques sur la nutrition et les pathologies liées.
Basée à Reims, la Maison de la nutrition est présente sur tout le département de la Marne. Elle organise des réunions d’information de proximité et gratuites à Châlons-en-Champagne, Sainte-Ménehould, Suippes, Bazancourt, Bour-gogne… Par ailleurs, d’autres programmes spécifi ques et services sont proposés, comme par
exemple des ateliers cuisine à destination des seniors, des permanences diététique gratui-tes. Pour en prendre connaissance ou bien demander l’organisation de réunions près de chez vous, vous pouvez contacter l’équipe de la Maison de la nutrition.* Source : Bulletin épidémiologique hebdomadaire, 12 novembre 2008 / n° 43
P.B
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6 LAMARNE > LEMAG / IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE
DANS L’ACTUALITÉC’est voté !
De nouveaux lieux d’accueil pour la petite enfance
Le Conseil général accompagne la création de lieux d’accueil pour
la petite enfance. Une subvention de 1 615 € est accordée à la commune de Crugny pour les travaux d’extension de la crèche, qui pourra désormais accueillir 25 enfants au lieu de 20 actuellement. Une aide de 174 533 € est accordée à la commune de Verzy pour la construction d’une crèche dont la capacité d’accueil sera de 35 enfants. Enfi n 56 399 € sont accordés à la com-munauté de communes de la Vallée de la Craie pour la création d’une micro-crèche dans les locaux de l’ancienne Poste de Saint-Germain-la-Ville.
pour la réfection de la piste d’athlétisme du stade des frères Lauvaux de Châlons-en-Champagne. L’utilisation de ce stade devrait être gratuite pour les collégiens. /// Jeunesse • Pour la construction de centres de loisirs sans hébergement, la communauté de communes des Sources de la Vesle et la commune de Fagnières bénéfi cieront d’une aide départementale de 163 522 € et 123 048 €. /// Scolarité • 688 920 € ont été accordés à la communauté de communes Champagne et Vesle pour la construction d’un groupe scolaire à Faverolles et Coëmy. /// Humanitaire • Le Conseil général de la Marne encourage les actions humanitaires. L’association ATD Quart Monde bénéfi cie d’une subvention de 79 000 €. 7 500 € ont été attribués à la Croix-Rouge française pour venir en aide aux sinistrés d’Haïti.
Vocation d’artisansDepuis 1996, l’association L’atelier et la Main enseigne aux jeunes de 10 à 14 ans les métiers manuels comme la menuiserie, la plomberie, la maçonnerie, ou encore la pâtisserie. Les maîtres d’ateliers, artisans retraités et bénévoles, transmettent chaque année leur savoir-faire à une cinquantaine d’élèves, tout en éveillant des vocations chez certains d’entre eux. L’association muizonnaise souhaite élargir son champ d’action, pour permettre à une centaine de jeunes de suivre cette initiation. Le Département encourage les initiatives originales et apporte son soutien aux projets qui dynamisent le tissu économique local. 8 500 € sont prévus pour équiper deux nouveaux ateliers (plomberie et boulangerie).Ancien cirque municipal, le cirque de Châlons-en-Cham-pagne est l’un des derniers cirques en dur qui subsistent encore en France. Rénové en 1986, il abrite depuis cette date le Centre national des arts du cirque, unique établissement public d’enseignement des arts du cirque en Europe. Le Cnac souhaite actuellement poursuivre et développer ses activités d’enseignement et de promotion des disci-plines circassiennes. Des travaux de restauration et de restructuration sont donc prévus à cet effet. La première phase, achevée en 2010, porte sur la rénovation du site historique (cirque) et de ses bâtiments adjacents, sous maîtrise d’ouvrage de la ville de Châlons-en-Champagne, propriétaire de l’ensemble. Dans un deuxième temps est prévue une extension des constructions existantes sur l’ancien site des silos. La maîtrise d’ouvrage sera assurée par l’Établissement public de maîtrise d’ouvrage des tra-vaux culturels (Emoc). Les travaux programmés visent à améliorer la sécurité et la fonctionnalité du lieu ainsi que des économies d’énergies. Le département de la Marne est attaché à la présence sur son territoire de cette école de haut niveau et de ses étudiants. Une subvention de 779 200 € est donc accordée à la communauté d’agglo-mération de Châlons-en-Champagne.
Restauration du cirque historique de Châlons
Ch.
Man
quill
et
Ch.
Man
quill
et
Les tout-petits de la crèche d’Avize
Ch. Man
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5 IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE / LAMARNE > LEMAG
Loire Magazine n n°85 - Janvier - Février 2011
Environnement
26Loire Magazine : Vous venez de recevoir le label “ Jardin remar-quable ”. en quoi consiste-t-il ?Dominique Croix : « Il est décerné pour cinq ans, par le Ministère de la Culture et de la Communication, aux jardins qui présen-tent un intérêt culturel, esthétique, historique ou botanique. »
LM : Très peu de jardins obtiennent ce label, comment expliquez-vous ce succès ?DC : « Dans mon dossier, j’ai mis en avant la qualité des végétaux de la pépinière, la richesse des collections, la beauté du lieu et l’intégration dans le site. La pépi-nière Croix est aussi la plus ancienne de la région Rhône-Alpes. Elle possède des végétaux uniques tels que le cèdre du Liban, semé en 1827, et trois roseraies
dont l’une regroupe plus de 400 variétés de roses anciennes ! Des dizaines d’années de travail ont été nécessaires pour obtenir ce résultat… »
LM : quels avantages allez-vous en tirer ?DC : « Ce label va permettre de me faire connaître et reconnaître un peu plus, notamment aux niveaux national et inter-national. Dans tous les cas, label ou pas, notre public aime venir se promener, prendre des idées dans la roseraie, un lieu propice à la rêverie. »
LM : et vous, comment vivez-vous cette réussite ?DC : « C’est tout d’abord une grande joie. Mais mon élan ne s’arrête pas là. Je ne veux pas me reposer sur mes lauriers ! J’ai toujours
ce besoin d’avancer, d’améliorer le site et de l’enrichir de collections nouvelles. »
LM : on vous sent déterminée et plus que motivée. comment définissez-vous votre personnalité ?DC : « Je suis une battante et aussi une passionnée ! Je ne respire qu’à travers ma pépinière. J’ai la chance d’être soutenue par mon mari, qui partage ma passion et a contribué à l’obtention du label. »
LM : avec ce nouveau label, comment envisagez-vous l’avenir ?DC : « Je vais continuer à m’améliorer, à affiner mon travail, à aller toujours de l’avant. Je pense que cette distinction n’est qu’une étape parmi tant d’autres… » n
Propos recueillis par Véronique Bailly
La pépinière Croix, un « jardin remarquable »La Loire compte seulement deux endroits labellisés « Jardins remarquables » par le Ministère de la Culture et de la Communication, dont la pépinière Croix à Bourg-Argental. Le résultat de nombreuses années de travail, mais aussi d’une passion dévorante transmise d’un père, Paul Croix, à sa fille, Dominique. Interview.
Dominique Croix et son mari, Jacques Ranchon, au cœur de la roseraie familiale.
Loire Magazine n n°85 - Janvier - Février 2011
À vos papilles
À vos papilles
L a Coupe du monde de foot-ball 2010, un événement à oublier pour les Français ? Pas pour Franck Deville. Ses macarons ont été servis lors de réceptions en Afrique du Sud… avec un effet immédiat sur son carnet de commandes.
Ce Ligérien de 37 ans a repris en 2003 le restaurant Le Clos Fleuri, à Saint-Priest-en-Jarez, avec son épouse, Anne. « Les macarons sont venus naturelle-ment ensuite », précise-t-il. Son atelier de production au sein du restaurant s’est vite révélé insuffisant, il a donc investi dans un nouveau local en 2010. Après la France, la Suisse et les États-Unis, il part à la conquête du marché chinois. Cette fois-ci sans le ballon rond ! n
Franck DevilleDes macarons plein les yeux
8 UN HOMME
L a gamme sucrée/salée, voilà la spécificité des macarons Franck Deville. « Nous réalisons des fourrages salés en travaillant une matière première de qualité », explique le chef-cuisinier. Le résultat ? Une production de 21 000 macarons par jour et des mélanges originaux avec le « foie-gras chocolat », des assortiments surprenants tel que le « beurre d’épinard-saumon », voire des associations plus osées comme le « petit pois- fromage-menthe ». Les amateurs de sucré ne sont pas en reste : les macarons se déclinent aussi en violette, chocolat-poire ou encore pomme-cannelle. À déguster avec une coupe de champagne ou nature. « Ils sont craquants sur le dessus et moelleux à l’intérieur. » n
8 UN PRODUIT
Velours de topinambours, effeuillé de cabillaud et poitrine fumée
8 CUISINEz COMME UN GRAND CHEF !
Le velours de topinambours :1. Faire suer doucement à feu modéré les oignons et les blancs de poireaux avec le beurre. Ajouter les topinambours épluchés, lavés et coupés en petits dés.Cuire à couvert pendant 15 min. 2. Ajouter la crème fraîche. Assaisonner.3. Passer le tout au mixeur. Réserver au bain-marie.
L’effeuillé de cabillaud et la poitrine fumée :Dans une poêle antiadhésive, faire revenir doucement la poitrine coupée en bâtonnets. Y ajouter les quatre pavés de cabillaud et cuire 6 min à l’unilatérale (d’un seul côté).
L’assiette :Dresser l’assiette en ajoutant au velours de topinambours un pavé de cabillaud avec la poitrine fumée.
par
Xavier ThélyRestaurant L’Agapée de Xavierà Saint-Étienne
Une rubrique d’Émilie Couturier
Une subtile alliance entre cuisine et pâtisserie
en SaVoir pluSBoutique le clos Fleuri 76, avenue albert raymond 42 270 Saint-priest-en-Jarez.Tél. : 04 77 74 63 24.
Pour 4 personnesTemps de préparation : 40 minTemps de cuisson : 15 min + 5 min + 6 min
Ingrédients600 g de topinambours, ou à défaut de potimarrons1 oignon blanc2 blancs de poireaux4 pavés de cabillaud de 80 g150 g de poitrine fumée70 g de beurre30 cl de crème fraîche liquidesel, poivre et muscade
27
2010JANVIER + FÉVRIER
no25
www.marne.fr
LAMARNE>LEMAG
TOUT POURSE DÉPLACER DANS LA MARNE 11
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2009NOVEMBRE + DÉCEMBRE
no24 www.marne.fr
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Développement durable
NOS ACTIONS AU QUOTIDIEN 11
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MARNE 2020Un territoire de projets Cahier détachable7
www.marne.frSEPTEMBRE + OCTOBRE
LAMARNE>LEMAG
26 et 27 septembre 2009
Voir p. 23
Gagnez des places
pour le 3e week-end
de l’excellence automobileCircuit de Gueux
en Champagne
2009
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Sur le budget total, l’aide aux communes
représente 22,5 millions d’euros ventilés
sur différents secteurs d’intervention.
2011
12
L’Assemblée départementale a adopté en janvier son budget. Il s’élève à plus de 486 millions d’euros pour l’année 2011. Voici en détail et en image les domaines d’intervention du Conseil général.
Budget primitif en mouvements réels hors crédit à long terme renouvelable (16,5 millions d’euros) et hors frais généraux (43,5 millions d’euros).
Le budget 2011 du Département
Solidarité
48,5 €
Éducation
15 €
Routes
11,5 ۃconomie
4,5 €
Cadre de vie et développement durable
3 € Secours et sécurité3 €
Culture, sport et loisirs
2 €
Fonctionnement de la collectivité
10,5 €
Emprunts
Dotations de l’État
Autresrecettes
Crédit à long terme renouvelable
Fiscalité directe et indirecte
8,5 €3,5 €9,5 €
40,5 €
38 €
Solidarité
48,5 €
Éducation
15 €
Routes
11,5 ۃconomie
4,5 €
Cadre de vie et développement durable
3 € Secours et sécurité3 €
Culture, sport et loisirs
2 €
Fonctionnement de la collectivité
10,5 €
Emprunts
Dotations de l’État
Autresrecettes
Crédit à long terme renouvelable
Fiscalité directe et indirecte
8,5 €3,5 €9,5 €
40,5 €
38 €
LA CULTURE, LE SPORT ET LES LOISIRSLes activités artistiques, culturelles et le patrimoine : 5,5 millions €Le sport : 3 millions €Les bibliothèques et les médiathèques : 1,5 million €La jeunesse et les loisirs : 1,5 million €
11,5millions €
L’ÉDUCATIONLes collèges (construction de bâtiment, enseignement) : 47 millions €Les transports scolaires : 20 millions €Les activités périscolaires : 4 millions €Les aides pour la construction d’écoles élémentaires : 2 millions €
73millions €
LES ROUTESLes routes et la voirie : 56 millions €Le transport public de voyageurs : 0,5 million €
56,5millions €
LES SECOURS ET LA SÉCURITÉLes services d’incendies et de secours : 11,5 millions €Les interventions de protection : 3 millions €La gendarmerie : 0,5 million €
15millions €
L’ÉCONOMIELe développement écono-mique et l’enseignement supérieur : 8 millions €L’aéroport Paris-Vatry et le TGV Est Européen : 6,5 millions €Le tourisme : 6 millions €L’agriculture : 0,5 million €L’industrie, l’artisanat et le commerce : 0,5 million €
21,5millions €
LA SOLIDARITÉL’insertion : 56 millions €Les personnes handicapées : 54 millions €L’enfance et la famille : 53 millions €Les personnes âgées : 53 millions €Les services sociaux : 19 millions €
235millions €
LE CADRE DE VIE ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLELe logement et le développement urbain : 5,5 millions €L’aménagement des grandes villes : 2 millions €L’aménagement et le développement rural : 1 million €L’environnement (traitement des déchets) et la politique de l’eau : 4 millions €Les actions en faveur du milieu naturel : 1 million €
13,5millions €
Où va l’argent ?
D’où vient l’argent ?
4 LAMARNE > LEMAG / IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE
DANS L’ACTUALITÉ C’est voté !
5 IL Y A TOUJOURS DU CONSEIL GÉNÉRAL DANS VOTRE VIE / LAMARNE > LEMAG
DANS L’ACTUALITÉC’est voté !
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812
L’AIDE AUX COMMUNES
Sur le budget total, l’aide aux communes
représente 22,5 millions d’euros ventilés
sur différents secteurs d’intervention.
2011
12
L’Assemblée départementale a adopté en janvier son budget. Il s’élève à plus de 486 millions d’euros pour l’année 2011. Voici en détail et en image les domaines d’intervention du Conseil général.
Budget primitif en mouvements réels hors crédit à long terme renouvelable (16,5 millions d’euros) et hors frais généraux (43,5 millions d’euros).
Le budget 2011 du Département
Solidarité
48,5 €
Éducation
15 €
Routes
11,5 ۃconomie
4,5 €
Cadre de vie et développement durable
3 € Secours et sécurité3 €
Culture, sport et loisirs
2 €
Fonctionnement de la collectivité
10,5 €
Emprunts
Dotations de l’État
Autresrecettes
Crédit à long terme renouvelable
Fiscalité directe et indirecte
8,5 €3,5 €9,5 €
40,5 €
38 €
Solidarité
48,5 €
Éducation
15 €
Routes
11,5 ۃconomie
4,5 €
Cadre de vie et développement durable
3 € Secours et sécurité3 €
Culture, sport et loisirs
2 €
Fonctionnement de la collectivité
10,5 €
Emprunts
Dotations de l’État
Autresrecettes
Crédit à long terme renouvelable
Fiscalité directe et indirecte
8,5 €3,5 €9,5 €
40,5 €
38 €
LA CULTURE, LE SPORT ET LES LOISIRSLes activités artistiques, culturelles et le patrimoine : 5,5 millions €Le sport : 3 millions €Les bibliothèques et les médiathèques : 1,5 million €La jeunesse et les loisirs : 1,5 million €
11,5millions €
L’ÉDUCATIONLes collèges (construction de bâtiment, enseignement) : 47 millions €Les transports scolaires : 20 millions €Les activités périscolaires : 4 millions €Les aides pour la construction d’écoles élémentaires : 2 millions €
73millions €
LES ROUTESLes routes et la voirie : 56 millions €Le transport public de voyageurs : 0,5 million €
56,5millions €
LES SECOURS ET LA SÉCURITÉLes services d’incendies et de secours : 11,5 millions €Les interventions de protection : 3 millions €La gendarmerie : 0,5 million €
15millions €
L’ÉCONOMIELe développement écono-mique et l’enseignement supérieur : 8 millions €L’aéroport Paris-Vatry et le TGV Est Européen : 6,5 millions €Le tourisme : 6 millions €L’agriculture : 0,5 million €L’industrie, l’artisanat et le commerce : 0,5 million €
21,5millions €
LA SOLIDARITÉL’insertion : 56 millions €Les personnes handicapées : 54 millions €L’enfance et la famille : 53 millions €Les personnes âgées : 53 millions €Les services sociaux : 19 millions €
235millions €
LE CADRE DE VIE ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLELe logement et le développement urbain : 5,5 millions €L’aménagement des grandes villes : 2 millions €L’aménagement et le développement rural : 1 million €L’environnement (traitement des déchets) et la politique de l’eau : 4 millions €Les actions en faveur du milieu naturel : 1 million €
13,5millions €
Où va l’argent ?
D’où vient l’argent ?
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N° 79 JANVIER-FÉVRIER 2010
www.loire.fr
magazineLoire
REPORTAGEZoo refuge à St-Martin-la-Plaine
PORTRAITPatrick Merle, un Ligérien à Koh-Lanta
BUDGETLa Loire solidaire
I Assistante maternelle,
un vrai métier IDOSSIER
SENIORS
n° 84 novembre-décembre 2010
www.loire.fr
magazineLoire
I Le Conseil général
récompensé pour
son action I
Julien Barras fondateur de Copains d’avant
PORTRAIT
n° 83 septembre - octobre 2010
www.loire.fr
magazineLoirePORTRAITJulie la voix d’Europe 1
24h AvEc…Le conseil général à la Foire de Saint-Étienne
INSERTIONLe pacte de la solidarité
DOSSIER
I Réussir et s’épanouir
au collège I
rSa, la vie au minimum
Jean Dell, un comédien stéphanois
Portrait
rEPortaGE
DoSSiEr i Le développement
durable… pour tous ! in° 81 Mai - juin 2010
www.loire.fr
magazineLoire
N° 80 MARS-AVRIL 2010
www.loire.fr
DOSSIER
ÉCONOMIELoupidou : des « amours »
de bijoux
PORTRAITJérôme Grange
fait son ciné
REPORTAGEHalte à la cybercriminalité
I Les routesen bonnes mains I
magazineLoire
La chorale Coup de Chœur
chante pour Haïti
à l’Horme
Découvrez la Maison
des Forgerons
à Saint-Martin-la-Plaine
n° 81 mai-juin 2010
www.loire.fr
Supplément de loire magazine
L’agenda des sorties de votre département
Le 13 Mai, au ZénitH
ruizolivia
n° 83 septembre - OctObre 2010
www.loire.fr
supplémentLoire
Bleuela Semaine
Du 18 au 24 octobre 2010
Concerts de Noël
à Pommiers
L’Échappée lyrique
à Saint-Germain-Laval
ZAZ
n° 84 novembre - décembre 2010
www.loire.fr
Supplément de loire magazine
L’agenda des sorties de votre département
©R
aph
aël F
rydm
an
au festivaL Les OreiLLes eN POiNte
N° 79 JANVIER/FÉVRIER 2010
www.loire.fr
supplémentLoire
C’EST L’HIVER,TOUS À CHALMAZEL !
Le plan et les infos pratiques de votre station
Nouveau !Rubrique Sortie en famille
au musée hospitalier de Charlieu
Le Piccolo chez vous
à partir du 5 mars
N° 80 MARS-AVRIL 2010
www.loire.fr
SUPPLÉMENT DE LOIRE MAGAZINE
© D
R
L’agenda des sorties de votre département
LE 27 AVRIL, AU ZÉNITH DE SAINT-ÉTIENNE
OBISPOPASCAL
édition financière, multilingue
9Aquitaine
Entreprise françaiseEntreprise étrangèrePréfecture de Région
Dassault
Turbomeca
Dassault
Maisadour
Delpeyrat
Total
Ceva
Sanofi AventisArkema
Gascogne Paper
Condat
Smurfit
Labeyrie
Lindt & Sprungli
Bristol Myers Squibb
ThalesSnecma propulsion solide (Safran)
Sanofi Aventis
Astrium EADS group
Lu
StrykerFirst Aquitaine Industrie
BordeauxSunnco
Turbomeca
Dassault
Turbomeca (siège)
*source ARD
PrinciPAles entrePrises étrAngères et frAnçAises des secteurs d’excellence
de lA région
Aéronautique, aérospatial Dassault – FranceTurbomeca – FranceThales – FranceA EADS group – Pays–BasSnecma propulsion solide (Safran) – France
Agro–alimentaireMaisadour (coopérative) (siège) – France
Labeyrie (Alfesca) (siège) – IslandeLindt & Sprungli – SuisseDelpeyrat – FranceLu (Kraft) – États–Unis
Matériaux (bois, papier, emballage)Gascogne Paper (siège) – FranceSmurfit – IrlandeCondat – France
Chimie, énergie, santéTotal – FranceBristol Myers Squibb – États–UnisSanofi Aventis – France
Ceva (siège) – FranceStryker – États–UnisFirst Aquitaine Industrie – Allemagne
Arkema – FranceSunnco – Franc
Nombre de nouveaux projets d’investis sementsétrangers
2000-20081722009
21
3 premières nationalités présentes étAts-unis AllemAgne & Autriche esPAgne & PortugAl
400entreprises étrangères*
GIRoNDe
DoRDoGNe
LoT-eT-GARoNNe
LANDeS
PyRéNéeS-ATLANTIqUeS
65
Shanghaï
New YorkSan Francisco
DusseldorfLondres
Bruxelles
Istanbul New Delhi
Hong KongAbou Dhabi
Chicago
Toronto Amsterdam
Stockholm
MadridMilan
Paris
Taipei
Singapour
TokyoSéoulTel Aviv
Mexico
São Paulo Johannesburg
Sydney
Moscou
Le Réseau AFII
Proche et moyen orientifA émirAts ArABes unis
ABU DHABIPierre Mourlevat, DirecteurHamdan Street
Al Masaood Tower, Suite 1103PO Box 4036 Abu DhabiTél: +971 (0) 2 633 50 [email protected]
ifA isrAëlTEL-AVIVDidier Wisselmann, Directeur7 Havakuk HaNavi
63505 Tel AvivTél : +972 (0) 3 546 65 [email protected]
Amérique du sud
ifA BrésilBRASILIAHervé Le Roy, DirecteurS.E.S. Avenida das NaçõesLote 04 - Quadra 801
70404-900 Brasilia DFTél : +55 61 312 92 [email protected]çois Removille Directeur de projetAv. Paulista, 1842Torre Norte, 14º Andar01310-923, São Paulo – SPTél : (55 11) 33 71 54 00
Amérique du nordPhilippe Yvergniaux,Directeur IFANA
ifA étAts-unisNEW YORKPhilippe Parfait, Directeur810 Seventh Avenue, Suite 3800
New York, NY 10019Tél : +1 (212) 757 93 [email protected]
CHICAGOJean-Pierre Novak, DirecteurFrench Embassy
205 North Michigan AvenueSuite 3750Chicago, IL 60601Tél : +1 312 628 [email protected]
SAN FRANCISCOCaroline Laporte, Directeur88 Kearny Street
Suite 700San Francisco, CA 94108Tél : +1 415 781 0986
ifA cAnAdATORONTOValérie Buchalet, Directeur de projet20 Queen Street WestSuite 2004
Toronto, ON M5H 3R3Tél : +1 416 977 12 [email protected]
ifA corresPondAntsAfrique du sudChristophe Bezou
Inanda Greens Business ParkAugusta House54 Wierda Road WestWierda Valley
Sandton 2196 JohannesburgTél : +27 11 303 71 [email protected]
AustrAlieÉric Noitakis6 Perth AvenueYarralumla Act 2600CanberraTél : +61 (0)2 6216 [email protected]
mexiqueMaurice CrociLa Fontaine 32Col. Polanco11560Mexico - D.F.Tél : (00 52) (55) 91 71 98 [email protected]
LaSofresamisenplace,enjuin2009,un baromètre d’opinion auprès dedirigeants d’entreprises étrangèresayantfait lechoixdes’implanterenFrance.L’objectifétaitd’identifierlesperceptionssurl’attractivitéfrançaiseet demieux comprendre les proces-
sus de décision enmatière de choixd’investissement.Cetteenquêteaétéréaliséepartéléphoneauprèsde300dirigeants d’entreprises étrangèresimplantéesenFrance.
La Sofres a complété son premier
sondageenmettantenplaceenno-vembre2009,unbaromètred’opinionauprès de 350 dirigeants d’entrepri-sesétrangèresdanslespayssuivant:États-Unis, Espagne, Brésil, Chine,Inde,Moyen-Orient.
SONDAGE TNS SOFRES : ATTRACTIVITÉ ÉCONOMIqUE DE LA FRANCE
LeS perCepTIonS deS InveSTISSeurS éTrAngerSplus de la moitié des dirigeants d’entreprises étrangères interrogées (Sondage réalisé par la TnS-Sofres à la demande de l’AFII en juin et novembre 2009) considèrent la France comme une destination attractive en europe. de nombreuses enquêtes portant sur la compétitivité du site France plébiscitent la qualité du cadre de vie, et celle des infrastructures et la qualification de l’encadrement. Les investisseurs étrangers affichent également une forte confiance dans la capacité de la France à faire face à la crise économique.
Selon le « Baromètre Ernst & Young de l’Attractivité de l’Europe 2009 », 40 % des décideurs étrangers interrogés considèrent que l’Europe occidentale est la région la plus attractive dans le monde (contre 33 % en 2008)
Dans un sondage Sofres-AFII de juin 2009 les investisseurs étrangers soulignent le caractère attractif du site France par rapport aux autres pays européens (53 % d’entre eux)
Les régions les plus attractives dans le monde pour les implantations étrangères en 2009
Sour
ce :
Enqu
ête
d’op
inio
n So
fres
-AFI
I (20
09).
Attractivité de la France pour les investissements étrangersPar rapport aux autres pays européens, la France est une destination attractive pour les investissements étrangers
Sans opinion 3% Pas du tout 8%
Plutôt pas 36% Plutôt 42%
Tout à fait 11%
0 5 10 15 20 25 30 35 40
6%
6%
9%
11%
12%
16%20%
25%33%
39%
40%
Moyen-Orient
Japon
Amérique latine - autres
Asie - autres
Brésil
Russie
Inde
Amérique du Nord
Chine
Europe centrale et orientale
Europe occidentale
Sour
ce :
Bar
omèt
re E
rnst
& Y
oung
de
l’Att
ract
ivité
de
l’Eur
ope
2009
.
tableau de bord de l’attractivité de la France50
un brevet est un titre de propriété indus-triellequiconfèreàsontitulaireundroitexclusifd’exploitationsurl’inventionbreve-tée,durantuneduréelimitée(généralement20ans)etsurunterritoiredéterminé.
Unedemandedebrevetest«internatio-nale»lorsqu’elleestdéposéeenvertudu
Traitédecoopérationenmatièredebrevets(PatentCommunityTreaty–PCT–signépar133pays,dontlaFrance).Unefamilledebrevets triadiquesestunensembledebrevetsvisantàprotégerunemêmeinvention,etdéposésauprèsdes troisprincipauxofficesdebrevets:l’officeeuro-
péen(OEB),l’officeaméricain(USPTO)etl’officejaponais(JPO).Ceconceptprésentel’avantaged’améliorerlacomparabilitéin-ternationale(l’avantageaupaysd’accueiletl’influencedelasituationgéographiquesontéliminés)etdeciblerlesbrevetsayantunevaleurélevée.
DEMANDES DE bREVETS ET ETENDUE DE LA PROTECTION
Cetindicateurdespécialisationtechnologiqued’unpaysidansundomainetechnologiquejestdéfiniparleratiosuivant:
SiATRi j>1,alorslepaysiestrelativementspécialisédansledomainetechnologiquej(sapartdemarchédansledomainej est
supérieureàsapartdemarchéglobale).
ATR=i j
Part de marché du pays i dans les demandes de brevets du domaine j Part de marché du pays i dans les demandes de brevets tous domaine technologiques confondus
L’INDICATEUR D’AVANTAGE TECHNOLOGIqUE RÉVÉLÉ (ATR)
Avantages technologiques révélés de la France dans les demandes de brevets européens et américains (2006)
Domaine technologique Demandes de brevetsEuropéens Américains
Machines-mécanique-transports 1,43 1,29
Consommation des ménages -BTP 1,18 0,82
Pharmacie-biotechnologies 1,07 2,04
Procédés industriels 1,01 1,18
Électronique-électricité 0,90 0,80
Chimie-matériaux 0,84 1,48
Instrumentation 0,79 0,79
Indicateurs calculés à partir des parts de marchés mondiales
Sour
ce :
OST
(ind
icat
eurs
de
scie
nce
et te
chno
logi
e, 2
008)
Dans les domaines considérés comme les plus porteurs (nanotechnologies, biotechnologies et les technologies de l’information et des communications), la France
affiche souvent une position en retrait, mais le potentiel de développement dans les nanotechnologies paraît élevé
tableau de bord de l’attractivité de la France30
Avantage technologique révélé dans les nanotechnologies (moyenne 2003-2007)Demande de brevets selon la voie PCT ; année de priorité ; pays de résidence du (des) inventeur(s)
Sour
ce :
OC
DE,
Bas
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don
nées
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les
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A
FII-
CA
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mon
dial
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IrlandePays-Bas
États-UnisJapon
FranceBelgique
Royaume-UniPologne
AllemagneEspagne
FinlandeItalie
0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4
Sour
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dial
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Avantage technologique révélé dans les biotechnologies (moyenne 2003-2007)Demande de brevets selon la voie PCT ; année de priorité ; pays de résidence du (des) inventeur(s)
IrlandePays-Bas
États-Unis
JaponFrance
Belgique
Royaume-UniPologne
Allemagne
Espagne
Finlande
Italie
0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8
Avantage technologique révélé dans les TIC (moyenne 2003-2007)Demande de brevets selon la voie PCT ; année de priorité ; pays de résidence du (des) inventeur(s)
Sour
ce : O
CD
E, B
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Irlande
Pays-Bas
États-Unis
Japon
France
Belgique
Royaume-Uni
Pologne
AllemagneEspagne
Finlande
Italie
0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8
Indicateur
Rang de
la FrancePremiers parmi les 12 pays étudiés
Traitement fiscal de la R & D (Taux de subvention fiscale pour 1$ de R & D, 2008)1
France, Espagne
Part de marché dans l’industrie européenne de fonds d’investissement (En %, décembre 2009) 1France, Allemagne
Moindre inégalité de la distribution des revenus (Coefficient de Gini, milieu des années 2000) 2Finlande, France
Trains ligne à grande vitesse (Réseau actif en km, 2009)
2Japon, France
Prix de l’électricité (En euro par KWH, 1er semestre 2009)
2Finlande, France
Croissance du PIB (En %, période 2008-2009)
2Pologne, France
Marques commerciales déposées (Nombre pour 100 000 habitants, 2008)
2Finlande, France
Facililté de création d’une nouvelle entreprise (Durée en jours de la procédure)3
Belgique, États-Unis
Pourcentage des 25-34 ans ayant atteint un niveau d’éducation supérieure (2007)3
Japon, Irlande
Personnel de R & D (Effectifs pour 1 000 actifs, 2008)
3Finlande, Japon
Taux de pénétration de l’internet haut débit (Nombre d’abonnés pour 100 habitants, juin 2009) 4Pays-Bas, Finlande
Brevets triadiques (Part des brevets dans le total mondial, 2007)
4États-Unis, Japon
Productivité par personne employée (En dollars, à la parité des pouvoirs d’achat de 2009)4
États-Unis, Irlande
Disponibilité des services publics en ligne (Proportion dans 20 services publics de base, 2009)4
Royaume-Uni, Finlande
Dépenses intérieures de R & D (En Md$, à la parité des pouvoirs d’achat de 2008)5
États-Unis, Japon
Avantage comparatif dans les nanotechnologies (Indice, moyenne 2003-2007)
5Irlande, Pays-Bas
Ressources humaines en science et technologie (Part dans l’emploi total, 2008)6
Pays-Bas, Allemagne
Investissement en capital risque (En % du PIB, 2008)
8Finlande, Royaume-Uni
Cotisations sociales (En % des recettes fiscales totales, 2008)
9Irlande, Royaume-Uni
Taux nominal de l’impôt sur les sociétés (En %, 2007)
10Irlande, Pologne
Indicateurs triés des plus aux moins favorables
ATTrACTIvITé de LA FrAnCe : LeS réSuLTATS oBServéS
Les pays étudiés sont avec la France :
européens :
• Allemagne
• Belgique
• Espagne
• Finlande
• Irlande
• Italie
• Pays-Bas
• Pologne
• Royaume-Uni
non-européens :
• États-Unis
• Japon
Indicateur
Rang de
la France
Premiers parmi les
12 pays étudiés
Flux d'investissements directs étrangers reçus (En Md$, 2009)
2États-Unis, France
Stocks d'investissements directs étrangers reçus (En % du PIB, 2008)
6Belgique, Pays-Bas
Projets d'implantation d'entreprises d'origine étrangère (Nombre, 2009)
3États-Unis, Royaume-Uni
Poids des filiales étrangères dans la valeur ajoutée (En %, 2007)
4Irlande, Royaume-Uni
Proportion d'étudiants étrangers inscrits dans des programmes de recherche de haut niveau (En %, 2007) 2Royaume-Uni, France
Part de la France dans l'accueil des étudiants en mobilité internationale (En %, 2007)
4États-Unis, Royaume-Uni
IntroductIon9
77 Bd Saint-Jacques
75 680 Paris Cedex 14
Tel: +33 1 44 87 17 17
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8 rue de Penthièvre
75800 Paris cedex 08
Tél. +33 1 40 65 12 34
www.datar.gouv.fr
Ministère de l'espace rural
et de l'aménagement du territoire
An
nu
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01
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gen
ces
rég
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Ale
s d
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ével
op
pem
ent
AFII – Agence Française pour les Investissements Internationaux
Annuaire des agences régionales de développement
Tableau de bord de l’attractivité de la France
Boîte à outils du prospecteur
Is France becoming
increasingly aware of green
issues in your opinion?
France is one of the most active countries
working towards sustainable development
and the Grenelle Environment Round
Table Talks have been the most striking
example of this. Green issues will become
one of the fundamental development
factors in our economy, and infrastructures
represent an important part of this.
The Abertis group is in fact very active
in these matters and is always looking
for ways to limit as far as possible the
impact of the infrastructures we manage
on the environment; for example, our
group has been a pioneer in installing
automatic tollbooths which eliminate
vehicle queuing and allow for more fl uid
traffi c and lower CO2 emissions.
What outlook and projects do
Abertis have in France?
Modernizing transport infrastructures is
a key issue which will determine France’s
future economic success. Considerable
investment will be necessary to achieve
this.
Abertis would like to expand into not only
fi elds that it already knows well but also
others in which it doesn’t currently oper-
ate in France. Indeed, there are certain
synergies between these different activi-
ties and we are convinced that our robust
and very positive presence in France in
the last few years will help us to seek out
opportunities in these areas.
“France is
a country with
longstanding
experience in concessions
and offers
genuine
political and legal stability.
”
PASCAL LATIMIER,
Director,
Abertis France
Moreover, the “pôles de compétitivité”
(innovation clusters) policy is very
interesting in France. This structure helps
young companies to grow and develop,
and is a great source of potential
investment opportunities.
Regarding more intangible criteria, Paris
is a very international city and as such
many people here are able to conduct
business in either English or French.
Did you benefi t from any public
assistance?
Yes, the Economic Development Agency
for the Paris Region has helped us in
terms of fi nancial assistance and net-
working. The Invest in France Agency in
the USA told us about the “Skills and
Expertise permit”. This is a residence and
work permit is renewable every three
years and applying for it is fairly straight-
forward. It’s a fabulous idea to make it
easier for investors to come over to
France.
What are your expectations
in France?Wild success! More seriously, we expect
slow but steady growth and we are very
optimistic about it. There are real op-
portunities in France and our experience
so far indicates that new French compa-
nies are very innovative and creative. We
hope to play a key role in assisting these
young companies as they grow and be-
come successful.
“France has
changed incredibly
over the last few
years,
becoming
much more
welcoming
to business.
”
SHELLEY BAYS,
Co-President,
Keiretsu Forum Paris
ContentsShelley Bays
Keiretsu Forum Paris 1/11
Pascal Latimier Abertis France 2/11
Tadashi Yanai Fast Retailing Co. Ltd. 3/11
Christophe Martinoli Wipro France 4/11
Donal O’Riain
Ecocem 5/11
Aldo Mucciardi ATR France 6/11
Oliver Nass
ESG France 7/11
Alessandro Palermo Unilin 8/11
Yvette Le Lorier PSR Group France 9/11
John G. Rice
GE 10/11
Herbert Ortner
ÖkoFEN 11/11
A collection of interviews
with international business leadersThey chose France
A collection of interviews with international business leadersThey chose France
They chose France
Invest in France Agency
(IFA) promotes and
facilitates international
investment in France.
The IFA network operates
worldwide. IFA works in
partnership with regional
development agencies
to offer international
investors business
opportunities and
customized services
all over France.
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please visit
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Invest in France Agency
77 boulevard Saint-Jacques
75 680 Paris Cedex 14 France
www.investinfrance.org
Tel: +33 1 44 87 17 17
Fax: +33 1 40 74 73 27
www.investinfrance.org
here which we can use, combined with the tax credit this could be interesting for our future development.
What about the recent Grenelle laws on the environment?What’s important about these laws is that they are a real public statement about the commitment of the French government to develop cleaner and greener industries. France is in a leadership position here in supporting a more innovative approach to dealing with waste. Our use of by-products from steel manufacturing is a good example of recycling waste and making it into durable, more sustainable cement than traditional cement. Indeed, traditional cement is the world’s second largest source of CO2 emissions whereas our green cement is virtually CO2-emission free, lasts much longer and has a whiter, smoother appearance.
What role did the Invest in France Agency play?Invest in France Agency were very enthusiastic and helpful in many ways. They assisted us in fi nding funding and facilitated our access to government authorities at a regional and national level. Also at a technical level, they are helping us with recruitment as we plan to employ between 25 to 30 people: plant workers, engineers, researchers, administration and sales and marketing for our new plant.
“France is in a
leadership position
here in supporting a
more innovative approach to dealing with
waste.
”
DONAL O’RIAIN, Managing Director,
Ecocem
They chose France
Ecocem
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Why did you choose France?We chose to set up our 3rd European plant in Fos-sur-Mer because of the large construction market that exists in Southern France particularly with 40% of the construction market coming from the public sector and also because of the proximity to the steel industry. Indeed we have signed a joint venture with ArcelorMittal in order to use their by-products to produce our green cement.
What other reasons made you want to come to France?Despite the current economic climate, we found a French bank that was willing to invest in green technology. Also France seems very open to innovation as demonstrated by the R&D tax credit which we are looking into. France could become a laboratory for us as we develop R&D here on other by-products from steel. There is real expertise and competence
Established in 2000 by Donal O’Riain, Ecocem is an
Irish company manufacturing and selling
environmentally friendly “green” cement using a
by-product from the steel industry. They recently
formed a joint venture with Arcelor Mittal in order to
build a plant in Fos-sur-Mer which will be
operational in September 2009.
Ecocem: Green cement from the Emerald Isle!
Ecocem’s Irish and Dutch facilities produce 350,000 tonnes of GGBS cement
Ecocem’s French facility, opening 2009, will produce over 700,000 tonnes of GGBS cement
ECOCEM IN FIGURES
Valérie Accary
TOYOTANicolas Fayol
Recueil de témoignages 40 portraits de chefs d’entreprises
enseignement
2
L’Yonneq 444 000 ha de Surface Agricole Utile
q 2 997 exploitations professionnellesq 4 361 équivalents temps plein familiaux
q 234 100 ha de surface boiséeSource : Agreste Memento 2008
Un départementagricole
q 79 400 sportifs licenciésq plus de 500 rencontres sportives chaque week-endq 346 courts de tennisq 380 terrains de grand jeu (football, rugby…)
q 10 piscines couvertesq 10 piscines de plein air
q 60 gymnases
Un départementsportif
r
812
DES CHIFFRES SIGNIFICATIFS• 7 427 km2
• 333 221 habitants• 44,87 habitants/km2• Population active : 145 796 habitants• 3 arrondissements (Auxerre, Avallon et Sens) • 9 unités territoriales, 42 cantons et 454 communes
• 6 grandes villes : - Auxerre (40 292 habitants)- Sens (27 952 hab.)- Joigny (10 737 hab.)- Avallon (8 658 hab.) - Migennes (8163 hab.) - Tonnerre (6 275 hab.) (Source : recensement 1999)
• 248 km de voie navigable• 4 858 km de voirie départementale et 6 Agences Territoriales Routières• 113 km de voirie nationale• 185 km d’autoroute• 7 375 km
de route communale
Un
dynamiqueq 33 collèges publics et 4 collèges privésq 11 lycées publics et lycées privésq 1 I.U.T (Institut Universitaire Technologique)
à Auxerreq 1 I.E.S (Institut d’Enseignement Supérieur)
à Sensq 3 GRETA (Groupement d’établissement pour la formation en continue) à Auxerre, Sens et Avallon
q 1 CIFA (Centre interprofessionnel formation d’apprentis) q 1 CFAI (Centre de formation des apprentis de l’industrie)
touristiqueUn département
C’EST…
3
q 87 édifi ces religieux et églises q 35 musées q 48 centres d’art, lieux d’expositions et galeries
q 17 châteaux ouverts au public q 13 autres sites touristiques (grottes, caves, sites archéologiques…)
q 5 ports de plaisance q 143 hôtels classés et non classés tourisme q 43 campings classés et non classés, 4 campings à la ferme
et 2 aires naturelles de camping q 592 restaurants et fermes auberges q 27 Offi ces du Tourisme et Syndicats d’Initiative q 1 Union Départementale des Offi ces de Tourisme
et Syndicats d’Initiative (UDOTSI) q 1 Agence de développement touristique intégrant un Service Loisirs Accueil
Source : Agence de Développement Touristique de l’Yonne - juin 2009
enseignement
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L’Yonneq 444 000 ha de Surface Agricole Utile
q 2 997 exploitations professionnellesq 4 361 équivalents temps plein familiaux
q 234 100 ha de surface boiséeSource : Agreste Memento 2008
Un départementagricole
q 79 400 sportifs licenciésq plus de 500 rencontres sportives chaque week-endq 346 courts de tennisq 380 terrains de grand jeu (football, rugby…)
q 10 piscines couvertesq 10 piscines de plein air
q 60 gymnases
Un départementsportif
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DES CHIFFRES SIGNIFICATIFS• 7 427 km2
• 333 221 habitants• 44,87 habitants/km2• Population active : 145 796 habitants• 3 arrondissements (Auxerre, Avallon et Sens) • 9 unités territoriales, 42 cantons et 454 communes
• 6 grandes villes : - Auxerre (40 292 habitants)- Sens (27 952 hab.)- Joigny (10 737 hab.)- Avallon (8 658 hab.) - Migennes (8163 hab.) - Tonnerre (6 275 hab.) (Source : recensement 1999)
• 248 km de voie navigable• 4 858 km de voirie départementale et 6 Agences Territoriales Routières• 113 km de voirie nationale• 185 km d’autoroute• 7 375 km
de route communale
Un
dynamiqueq 33 collèges publics et 4 collèges privésq 11 lycées publics et lycées privésq 1 I.U.T (Institut Universitaire Technologique)
à Auxerreq 1 I.E.S (Institut d’Enseignement Supérieur)
à Sensq 3 GRETA (Groupement d’établissement pour la formation en continue) à Auxerre, Sens et Avallon
q 1 CIFA (Centre interprofessionnel formation d’apprentis) q 1 CFAI (Centre de formation des apprentis de l’industrie)
touristiqueUn département
C’EST…
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q 87 édifi ces religieux et églises q 35 musées q 48 centres d’art, lieux d’expositions et galeries
q 17 châteaux ouverts au public q 13 autres sites touristiques (grottes, caves, sites archéologiques…)
q 5 ports de plaisance q 143 hôtels classés et non classés tourisme q 43 campings classés et non classés, 4 campings à la ferme
et 2 aires naturelles de camping q 592 restaurants et fermes auberges q 27 Offi ces du Tourisme et Syndicats d’Initiative q 1 Union Départementale des Offi ces de Tourisme
et Syndicats d’Initiative (UDOTSI) q 1 Agence de développement touristique intégrant un Service Loisirs Accueil
Source : Agence de Développement Touristique de l’Yonne - juin 2009
Conseil général de la Loire Dictionnaire offert aux collégiens – Encart 8 pages
Conseil général de l’YonneEncarts édition jeunesse
Conseil général de l’Yonne Municipalité de Villefranche
Villefranche aujourd’hui
En ce début de XXIe siècle, Villefranche, seule sous-préfecture du Rhône, a toutes les caractéristiques d’une petite capitale, celle du Beaujolais-Val de Saône. Elle offre à ses 34 893 habitants de nombreux organismes administratifs et privés qui leur facilitent grandement la vie quotidienne : une Chambre de commerce, une C.P.A.M., une Caisse d’Allocations Familiales, un Centre hospitalier général, un Tribunal de Grande Instance, un parc des expositions, un commissariat, des zones industrielles, etc. Un centre économique et administratif dynamique et toujours en développement.Administrativement, elle abrite le siège de la Communauté d’agglomération (CAVIL) qui regroupe les communes d’Arnas, Gleizé, Limas et Villefranche en une agglomération de 55 000 habitants.
La ville a perdu ses remparts après la Révolution. Place aux temps modernes. La ville fut à la pointe de la révolution industrielle
avec les industries métallurgique et textile.
Ici, les équipements sportifs, culturels et sociaux répondent, en nombre et en qualité, aux besoins des quelque deux cents associations qui animent la ville. Citons le complexe sportif Armand-Chouffet (stades, palais des sports, gymnase et Dojo), le centre aquatique Le Nautile, le théâtre de Villefranche, le musée de peinture Paul Dini, la médiathèque Pierre-Mendès-France, etc.N’oublions pas le centre-ville et ses maisons Renaissance dont la rénovation progressive permet d’offrir un patrimoine historique dont les visites guidées de l’Offi ce de tourisme ouvrent grandes les portes.
La Chambre de Commerce et d’Industries
La Médiathèque
Le centre des impôts
Le Centre Hospitalier
Le stade Chouffet
55 000 habitants.
Le Nautile Le CAVIL
Le Théâtre
Et peut-être, aurez-vous également la chance de découvrir le Musée de peinture Paul-Dini ou le Théâtre de Villefranche à l’occasion d’une opération menée par votre collège avec l’un de ces établissements culturels.
Enfin, êtes-vous déjà allé à la Maison du patrimoine (739, rue Nationale) ?Ce service municipal gère le musée des Conscrits, une structure unique en France pour mieux comprendre la grande fête caladoise. Un moyen, pour les garçons, de préparer – pourquoi pas ?– la fête de ses 20 ans. L’entrée y est gratuite. Alors…
Culture : Les ados adhèrent !
Depuis de nombreuses années, les établissements culturels misent beaucoup sur la programmation jeune public. Le Théâtre de Villefranche, les Concerts de l’auditorium et le théâtre Pêle-Mêle ont fait le choix de la qualité. Finies, les choses ringardes à l’eau de rose… L’heure est à la sensibilité, à l’originalité et à la modernité.
Ayez la curiosité de feuilleter les programmes annuels, vous n’aurez que de bonnes surprises !
• THÉÂTRE DE VILLEFRANCHEPlace des Arts – Tél. 04 74 65 15 40www.theatredevillefranche.asso.fr
• CONCERTS DE L’AUDITORIUM96, rue de la sous-préfecture – Tél. 04 74 60 31 95www.concertsauditorium.com
• THÉÂTRE PÊLE-MÊLE171, rue JM Savigny – Tél. 04 74 07 16 19www.theatrepelemele.fr
Notez-le :Festival de la BD à l’Atelier - 15e édition en décembre 2008
Patinoire : elle reprendra ses quartiers d’hiver sur la place des Arts dès décembre.
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Conseil général de la Loire
Le Conseil général de la Loireau service des jeunes
Tous les jours, le Conseil général de la Loire agit pour toi, favorise ta réussite dans les étude et améliore ta vie quotidienne.
Voici quelques exemples concrets.
Rendre le savoir
accessible à tous
Offrir les meilleures chances de réussitePour te permettre, comme à l’ensemble des 37 000 collégiens de la Loire, d’apprendre dans un cadre
agréable, le Conseil général entretient, rénove les collèges et en construit de nouveaux. Chaque
année, d’importants travaux sont mis en œuvre. Ils peuvent concerner les salles de classe, les
façades, les fenêtres des bâtiments, les locaux administratifs, les sanitaires ou encore les
restaurants scolaires. Entre 1986 et 2008, 15 collèges ont été reconstruits ou entièrement
rénovés, soit près d’un collège public du département sur quatre.
Le collège doit être ouvert à tous, y compris à ceux qui souffrent d’un handicap. Le principe est
simple : c’est aux établissements de s’adapter aux élèves et non l’inverse. Tous les travaux engagés
prennent désormais en compte cet objectif : des ascenseurs ont déjà été mis en place dans
plusieurs établissements et les sanitaires rendus accessibles aux élèves en fauteuil roulant. En 2007, le Conseil général a aussi aidé 427
jeunes handicapés du département à venir jusqu’au collège depuis leur domicile.
Dans les prochaines années, les services de transports collectifs leur seront accessibles.
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Le Conseil général de la Loireau service des jeunes
Préserver la nature et notre environnement
Créer des « cyberbureaux collèges » !
Offrir les meilleures chances de réussite
Maîtriser l’informatique et l’usage d’internet, aujourd’hui, c’est incontournable ! Le Conseil général équipe les collèges. Dans chaque établissement, tu peux trouver une salle informatique avec 14 ordinateurs et d’autres postes au centre de documentation et d’information et
dans les salles de technologie. Plus de 2 000 ordinateurs ont déjà été installés et l’équipement se poursuit. Tous
les collèges sont reliés à internet. Le Conseil général expérimente aussi un
outil innovant, le « cyber bureau collèges » : il te permet, chez toi ou au collège, d’avoir accès à un espace de travail et d’échanges.
Tu peux t’y connecter à partir d’un ordinateur relié à internet et consulter ton emploi du temps, ton cahier de textes mis en ligne
par les enseignants.
Réchauffement du climat, pollution, espèces animales menacées… Pour t’aider à comprendre
les enjeux et te montrer que, toi aussi, tu peux agir sur l’avenir de notre planète, le Conseil général de la Loire organise des animations dans les collèges.
Des spécialistes viennent montrer les gestes utiles pour devenir un éco-citoyen. Depuis 1994, le Conseil général a par ailleurs lancé une opération de collecte
des déchets toxiques dans les collèges, baptisée Antitox. Stockés dans des conteneurs spéciaux, ces déchets sont envoyés dans un centre de traitement spécialisé. Plus de 3 tonnes de déchets sont ainsi
récupérées chaque année !
www.loire.fr
Tu viens d’entrer en 6e : c’est une étape importante
de ta scolarité. Pendant 4 ans, tu vas approfondir
tes connaissances, découvrir de nouvelles matières,
acquérir de nouvelles méthodes de travail…
Pour t’accompagner au quotidien, le Conseil
général de la Loire t’offre ce dictionnaire :
il te sera utile au collège, mais aussi à la
maison, dès maintenant et pendant
de nombreuses années.
Bienvenue
au collège !Bienvenue
au collège !
Bernard Bonne
Président du Conseil général
de la Loire
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4 €Pour un déPartement actif et innovant • encourager l’innovation et la recherche Favoriser le développement • économique, agricole et touristique accompagner les territoires• Soutenir la filière végétale pour en • faire une vitrine du maine-et-Loire
Mensuel du Conseil général de Maine-et-Loire | n°7 Février 2011
04 | BUDGET 2011 L’aCtu du ConseiL généraL
BUDGET 2011 | 05 L’aCtu du ConseiL généraL
Pour 100 € dépensés… 48 €Pour deS solidarités PLuS activeS Favoriser l’autonomie • des personnes âgées accompagner les personnes • handicapéesconforter l’accueil des enfants• Soutenir les familles• Faciliter l’accès ou le retour • à l’emploi et l’insertion
la question de la maîtrise de la dépense publique est au cœur de ce budget 2011. L’é v olut ion d e s r e s s ou r c e s d e s départements est très incertaine face à des charges en forte croissance. Plusieurs priorités ont guidé les élus dans l’élabora-tion de ce budget. d’abord, la maîtrise des
dépenses en fonctionnement. L’objectif est de limiter la hausse à 2 %. ces dépen-ses ont progressé plus vite que les res-sources en raison des transferts des com-pétences et des interventions dans le domaine social (allocation départemen-tale d’autonomie des personnes âgées,
prestation de compensation du handicap, rSa…). autre axe de ce budget : le main-tien d’un volume important d’investisse-ment (102 millions d’euros). Les crédits inscrits en 2011 correspondent à la réali-sation d’engagements pris par la collecti-vité et par des interventions qui ne peu-
8 €Pour l’épanouissement de chacunaccompagner les collégiens• offrir un accès toujours plus • diversifié à la culture et aux loisirsFavoriser la pratique sportive• Soutenir les sportifs de haut • niveau
2 €Pour aider chacun à se logerPromouvoir l’habitat durable• renouveler l’habitat locatif• Lutter contre l’habitat indigne• Favoriser l’accès social à la • propriété accompagner le parcours • résidentiel des ménagescontribuer à la cohésion sociale•
11 €Pour mieux se déplacer en anjou Privilégier une approche • globale des transports organiser les transports • en commun interurbainstransporter les scolaires• développer le déplacement à vélo• entretenir et développer le réseau • routier
un budget rigoureux et responsablevent être retardées. Les élus ont égale-ment décidé de moins recourir à l’emprunt (pour limiter la dette) et d’améliorer les ressources du département, notamment par une augmentation de la fiscalité (+ 7,5 % sur le taux de la taxe sur le foncier bâti).
Sur ce budget de 666 millions d’euros, 48 % des dépenses sont consacrées à l’action sociale. Parce que l’insertion, le soutien aux familles, aux personnes handicapées, aux personnes âgées et la protection de l’enfance sont autant d’actions que le conseil général considère comme prioritaires.
5 €Pour un territoire reSPectueux deS PerSonneS et de Leur cadre de vie Préserver les espaces naturels • sensibles améliorer le traitement des déchets• développer les énergies • renouvelables assurer la qualité de l’eau • et protéger la ressource
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22 €Pour La miSe en œuvre du Projet déPartementaL. autour des six priorités d’anjou 2014, 3 000 agents territoriaux travaillent au service des habitants de maine-et-Loire. agents des routes dans les quatre agences techniques départementales et l’unité des voies d’angers, personnels techniques des collèges, travailleurs sociaux dans les 13 maisons départementales des solidarités agissent au quotidien sur l’ensemble du territoire.
Infographies
Mensuel du Conseil général de Maine-et-Loire | N°0 DÉCEMBRE 2009
06 | NOS PROJETS L’ACTU DU CONSEIL GÉNÉRAL
AMÉNAGEMENT
Mieux répartir les aides aux territoires
SANTÉ
En cas d’accident cardiaque, le temps est très précieux avant l’arrivée des secours. L’utilisation d’un défi brillateur et le massage cardiaque dans les cinq premières minutes peuvent augmenter les chances de survie de 30 %. Face à ce constat, le Conseil général va fi nancer, en lien avec le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS), l’installation d’un défi brillateur dans chacune des 363 communes du département. Le coût de cette opération est estimé à environ 760�000 euros, soit un euro par habitant du département pour sauver des vies !
Un défi brillateur dans chaque commune
TRANSPORTS
SPORTS
ROUTES
BIBLIOTHÈQUE
HANDICAP
Éducation, routes, équipements sportifs ou culturels, petite enfance… Plus de 150 millions d’euros sont consacrés cha-que année par le Conseil général aux actions menées dans les territoires. Pour faciliter les démarches des élus et mieux répondre aux besoins des territoires, l’as-semblée départementale a débattu d’une refonte de ces aides pour mieux prendre en compte la montée en puissance des intercommunalités. Le Maine-et-Loire compte 27 communautés de communes et 3 communautés d’agglomération (Angers, Cholet et Saumur), auxquelles le Conseil général veut proposer des contrats pour 3 ans. Des aides continueront en parallèle à être versées pour l’animation des pays ainsi qu’aux communes de moins de 500 habitants.
Construire un gymnase ou une bibliothèque, créer une crèche, faciliter l’accès aux handicapés… le Conseil général intervient aux côtés des intercommunalités pour plus de solidarité entre les territoires.
Un défi brillateur sera accessible à tous devant chaque mairie.
plus www.sdis49.fr 02 41 33 21 00
en savoir
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4 €Pour un déPartement actif et innovant • encourager l’innovation et la recherche Favoriser le développement • économique, agricole et touristique accompagner les territoires• Soutenir la filière végétale pour en • faire une vitrine du maine-et-Loire
Mensuel du Conseil général de Maine-et-Loire | n°7 Février 2011
04 | BUDGET 2011 L’aCtu du ConseiL généraL
BUDGET 2011 | 05 L’aCtu du ConseiL généraL
Pour 100 € dépensés… 48 €Pour deS solidarités PLuS activeS Favoriser l’autonomie • des personnes âgées accompagner les personnes • handicapéesconforter l’accueil des enfants• Soutenir les familles• Faciliter l’accès ou le retour • à l’emploi et l’insertion
la question de la maîtrise de la dépense publique est au cœur de ce budget 2011. L’é v olut ion d e s r e s s ou r c e s d e s départements est très incertaine face à des charges en forte croissance. Plusieurs priorités ont guidé les élus dans l’élabora-tion de ce budget. d’abord, la maîtrise des
dépenses en fonctionnement. L’objectif est de limiter la hausse à 2 %. ces dépen-ses ont progressé plus vite que les res-sources en raison des transferts des com-pétences et des interventions dans le domaine social (allocation départemen-tale d’autonomie des personnes âgées,
prestation de compensation du handicap, rSa…). autre axe de ce budget : le main-tien d’un volume important d’investisse-ment (102 millions d’euros). Les crédits inscrits en 2011 correspondent à la réali-sation d’engagements pris par la collecti-vité et par des interventions qui ne peu-
8 €Pour l’épanouissement de chacunaccompagner les collégiens• offrir un accès toujours plus • diversifié à la culture et aux loisirsFavoriser la pratique sportive• Soutenir les sportifs de haut • niveau
2 €Pour aider chacun à se logerPromouvoir l’habitat durable• renouveler l’habitat locatif• Lutter contre l’habitat indigne• Favoriser l’accès social à la • propriété accompagner le parcours • résidentiel des ménagescontribuer à la cohésion sociale•
11 €Pour mieux se déplacer en anjou Privilégier une approche • globale des transports organiser les transports • en commun interurbainstransporter les scolaires• développer le déplacement à vélo• entretenir et développer le réseau • routier
un budget rigoureux et responsablevent être retardées. Les élus ont égale-ment décidé de moins recourir à l’emprunt (pour limiter la dette) et d’améliorer les ressources du département, notamment par une augmentation de la fiscalité (+ 7,5 % sur le taux de la taxe sur le foncier bâti).
Sur ce budget de 666 millions d’euros, 48 % des dépenses sont consacrées à l’action sociale. Parce que l’insertion, le soutien aux familles, aux personnes handicapées, aux personnes âgées et la protection de l’enfance sont autant d’actions que le conseil général considère comme prioritaires.
5 €Pour un territoire reSPectueux deS PerSonneS et de Leur cadre de vie Préserver les espaces naturels • sensibles améliorer le traitement des déchets• développer les énergies • renouvelables assurer la qualité de l’eau • et protéger la ressource
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22 €Pour La miSe en œuvre du Projet déPartementaL. autour des six priorités d’anjou 2014, 3 000 agents territoriaux travaillent au service des habitants de maine-et-Loire. agents des routes dans les quatre agences techniques départementales et l’unité des voies d’angers, personnels techniques des collèges, travailleurs sociaux dans les 13 maisons départementales des solidarités agissent au quotidien sur l’ensemble du territoire.
Conseil général du Maine&Loire
MISES EN LIGNE
biographiste.fr Mise en ligne d’un portfolio
interactif
amapdelabutte.org Mise en ligne du site d’une asssociation parisienne
pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne