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Rencontre autour de l’Agriculture écologiquement performante (AEP) LES LAURÉATS 2016 ÉCHANGENT SUR LEUR PROJET Initiée en 2012 par la Région Bretagne, l’agriculture écologiquement performante vise la triple performance écologique, économique et sociale des exploitations. Au terme d’un troisième appel à projets lancés fin 2015, ce sont, au total, 35 démarches collectives qu’elle soutient en ce sens. Pour accompagner les 6 nouveaux lauréats dans la mise en œuvre de leur programme d’actions, Olivier Allain, Vice-président de la Région en charge de agriculture et de l’agroalimentaire, les a invités à une journée d’échanges entre eux et avec les membres du comité AEP, le 13 décembre au Theil-de-Bretagne. Les projets lauréats sont portés par des groupes d’agriculteurs, d’un même secteur géographique, sans pour autant tous travailler sur les mêmes productions, types d’élevages ou activités. L’idée est, qu’ensemble, durant 3 ans, avec l’appui d’une structure d’animation et des partenaires locaux, ils mettent en œuvre un ensemble d’actions, expérimentent de nouveaux fonctionnements et testent des démarches innovantes pour, selon les ambitions de chacun, limiter les intrants, adopter des approches systémiques, rechercher des moyens pour aller vers plus d’autonomie économique et de sécurisation des revenus... Bref, qu’ils adoptent une démarche d’amélioration continue vers une agriculture à la fois durable et compétitive. Le groupe perçoit une aide financière de la Région destinée à compenser la prise de risque, les dépenses éventuelles... À terme, grâce aux retours de ces expériences, sur ce qui fonctionne, sur ce qui au contraire n’est pas concluant, les perspectives de poursuite d’actions..., l’objectif est de transmettre les savoirs acquis, de donner l’envie et de servir de guide à de nouveaux exploitants pour qu’ils s’engagent dans une démarche d’agriculture plus durable et adoptent des approches systémiques. Encore à la genèse de leur démarche, les 6 groupes lauréats du dernier appel à projets 1 étaient invités, ce 13 décembre, à une journée d’échanges entre eux et avec les membres du comité de pilotage AEP. Chacun était invité à présenter son projet (ambitions, organisation, ce qui est envisagé, ce qui est déjà en place, ce qui fonctionne bien, les difficultés rencontrées, les outils déployés....), puis à se prêter à un jeu de questions- réponses qui, le plus souvent, se révèle être un bon outil pour avancer et construire sa démarche. Présidé par Olivier Allain, le comité AEP est composé de représentants de la CRAB, de la DRAAF, de scientifiques et d’agriculteurs. Ils ont ainsi pu apporter un œil expert sur les actions, prodiguer des conseils ou mettre en alerte sur certains points, par retour d’expériences sur les 29 autres démarches AEP déjà soutenues. Après la matinée dédiée à ces échanges, c’est avec une visite technique, à la ferme de la Pommerais, que se sont poursuivies les discussions. L’exploitant, Sébastien Hivert, fait partie d’un groupe lauréat en 2014, accompagné par le GEDA 35, avec le projet “ Comment améliorer notre approche préventive pour mieux maîtriser le système en agriculture biologique ?”. Il travaille sur la santé animale en lien avec l'alimentation produite sur la ferme et l'autonomie des exploitations. 1 La Région a lancé 3 appels à projets, en décembre 2013, en décembre 2014 puis en octobre 2015. Contacts SERVICE PRESSE - Tél. : 02 99 27 13 54 | [email protected] Odile Bruley (06 76 87 49 57) | Rose-Marie Louis (06 88 92 04 53) | Sylvain Le Duigou (06 42 32 13 57) www.bretagne.bzh/espace-presse | @regionbretagne Le Theil de Bretagne Mardi 13 décembre 2016

Rencontre autour de l’Agriculture écologiquement ... · Pour accompagner les 6 nouveaux lauréats dans la mise en œuvre de leur programme d’actions, Olivier Allain, Vice-président

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Rencontre autour de l’Agriculture écologiquement performante (AEP)

LES LAURÉATS 2016 ÉCHANGENT SUR LEUR PROJET

Initiée en 2012 par la Région Bretagne, l’agriculture écologiquement performante vise la tripleperformance écologique, économique et sociale des exploitations. Au terme d’un troisième appelà projets lancés fin 2015, ce sont, au total, 35 démarches collectives qu’elle soutient en ce sens.Pour accompagner les 6 nouveaux lauréats dans la mise en œuvre de leur programme d’actions,Olivier Allain, Vice-président de la Région en charge de agriculture et de l’agroalimentaire, les ainvités à une journée d’échanges entre eux et avec les membres du comité AEP, le 13 décembre auTheil-de-Bretagne.

Les projets lauréats sont portés par des groupes d’agriculteurs, d’un même secteur géographique, sanspour autant tous travailler sur les mêmes productions, types d’élevages ou activités. L’idée est, qu’ensemble,durant 3 ans, avec l’appui d’une structure d’animation et des partenaires locaux, ils mettent en œuvre unensemble d’actions, expérimentent de nouveaux fonctionnements et testent des démarchesinnovantes pour, selon les ambitions de chacun, limiter les intrants, adopter des approches systémiques,rechercher des moyens pour aller vers plus d’autonomie économique et de sécurisation des revenus... Bref,qu’ils adoptent une démarche d’amélioration continue vers une agriculture à la fois durable etcompétitive.

Le groupe perçoit une aide financière de la Région destinée à compenser la prise de risque, les dépenseséventuelles... À terme, grâce aux retours de ces expériences, sur ce qui fonctionne, sur ce qui au contrairen’est pas concluant, les perspectives de poursuite d’actions..., l’objectif est de transmettre les savoirsacquis, de donner l’envie et de servir de guide à de nouveaux exploitants pour qu’ils s’engagent dans unedémarche d’agriculture plus durable et adoptent des approches systémiques.

Encore à la genèse de leur démarche, les 6 groupes lauréats du dernier appel à projets1 étaient invités, ce13 décembre, à une journée d’échanges entre eux et avec les membres du comité de pilotage AEP. Chacunétait invité à présenter son projet (ambitions, organisation, ce qui est envisagé, ce qui est déjà en place, ce quifonctionne bien, les difficultés rencontrées, les outils déployés....), puis à se prêter à un jeu de questions-réponses qui, le plus souvent, se révèle être un bon outil pour avancer et construire sa démarche.

Présidé par Olivier Allain, le comité AEP est composé de représentants de la CRAB, de la DRAAF, descientifiques et d’agriculteurs. Ils ont ainsi pu apporter un œil expert sur les actions, prodiguer desconseils ou mettre en alerte sur certains points, par retour d’expériences sur les 29 autres démarchesAEP déjà soutenues.

Après la matinée dédiée à ces échanges, c’est avec une visite technique, à la ferme de la Pommerais, que sesont poursuivies les discussions. L’exploitant, Sébastien Hivert, fait partie d’un groupe lauréat en 2014,accompagné par le GEDA 35, avec le projet “Comment améliorer notre approche préventive pour mieuxmaîtriser le système en agriculture biologique ?”. Il travaille sur la santé animale en lien avec l'alimentationproduite sur la ferme et l'autonomie des exploitations.

1 La Région a lancé 3 appels à projets, en décembre 2013, en décembre 2014 puis en octobre 2015.

Contacts SERVICE PRESSE - Tél. : 02 99 27 13 54 | [email protected] Bruley (06 76 87 49 57) | Rose-Marie Louis (06 88 92 04 53) | Sylvain Le Duigou (06 42 32 13 57)www.bretagne.bzh/espace-presse | @regionbretagne

Le Theil de BretagneMardi 13 décembre 2016

Premiers retours sur les projets menésLes écarts de conceptions et de pratiques entre agriculteurs d’un même groupe constituent parfois unréel défi à relever. Toutefois, dans chaque groupe, la diversité des acteurs impliqués permet de créer denouveaux liens entre exploitants ou de renforcer les liens existants grâce à l’adhésion à un projetd’ensemble et à la poursuite d’objectifs communs. Cette démarche favorise une coopération plusimportante autour du matériel et apporte également une autonomie accrue vis-à-vis des techniciens.

La démarche de groupe, encadrée par une structure d’animation, constitue un terrain plus favorable à laprise de risque.

Zoom sur le projet du groupe porté par le GEDA BIO SUD

“Comment améliorer notre approche préventive pour mieux maîtriser le système enagriculture biologique ?”

Le groupe est constitué de responsables de 8 fermes dont 5 éleveurs de ruminants installés enbio entre 2011 et 2012, accompagné du GEDA BIO SUD et animé par la Chambre d’agriculture 35.Il a souhaité travailler autour de la problématique suivante : alors qu’en agriculture biologique, lesmoyens curatifs sont limités, les agriculteurs doivent développer sur leur exploitation une approchepréventive (santé animale, résistance aux aléas climatiques...) pour assurer la performanceéconomique de leur structure.

L’objectif du projet est donc d’acquérir un savoir-faire et des références, notamment sur l’évaluationdes capacités fourragères de leurs terres qui se situent en zone séchante. Ils ont, pour ce faire,établi des partenariats avec des vétérinaires développant des méthodes préventives etalternatives aux antibiotiques, avec des équipes de recherche appliquée des chambresd’agriculture (pôles herbivores et agronomiques), avec l’INRA et l’Institut de l’élevage (Idele). Ils ontégalement noué des liens avec le lycée du Rheu sur le volet partage des expérimentations en cours ouprévues dans l’établissement (pâturage hivernal, production de protéagineux...).

Lancé depuis 2 ans et demi, le projet entre dans le dernier semestre de sa mise en œuvre etbénéficiera au total d’une aide régionale près de 52 000 € pour un budget prévisionnel total de65 000 €. Le groupe a défini 4 thématiques autour desquelles il a développé plusieurs actions :

- approche globale de la santé des troupeaux : réalisation de diagnostics individuels etanalyse des coûts santé, formation sur une approche globale de la santé..., de nouvelles analysescoûts seront effectuées ainsi qu’un bilan qualitatif des approches globales mises en œuvre.

- techniques alternatives aux antibiotiques : visite d’une ferme sur l’aromathérapie,journées d’échanges et d’information sur les pratiques de médecine alternative, tests de protocole...Ces derniers mois devraient être mis à profit pour le déploiement de démarches individuelles.

- système fourrager et aléas climatiques : les données relatives aux exploitations ont étérecensées (assolement, stocks, système pâturage des vaches laitières), et un bilan fourrager-stockétabli, mise en route du rami fourrager2, suivi de la pousse d’herbe, essai de nouveaux fourragesriches en protéines.

- analyse technico-économique : journée de formation sur l’efficacité globale dessystèmes, analyse des coûts d’élevages des génisses.

Côté Diffusion : des articles ont été diffusés dans la presse sur les démarches lancées, une soiréedébat a été organisée en octobre 2015 dans le pays de Redon, un film sur la conversion en bio a étéréalisé...

2 Le Rami Fourrager® est un jeu de simulation, développé par l’INRA et l’institut de l’élevage, pour aider les éleveurs et leurs conseillers à co-concevoir et évaluer des systèmes d’élevage de ruminants adaptés à différentes forces de changement (changement et la variabilité climatique, …) ou à de nouveaux objectifs d’élevage (quête d’autonomie…).

Les 6 projets lauréats du dernier appels à projets 2016

Structureporteuse

Intitulé du projet Thématique Dépt Responsable dusuivi du projet

TéléphoneMail

Montant du projet /subvention régionale

GAB 22

Développer et formaliser une approche globalepluridisciplinaires et innovante de la gestionsanitaire du troupeau afin de renforcer lesperformances techniques, économiques, socialeset environnementales des systèmes bovin laitbiologiques du territoire

Santé animale 22 Guillaume MICHEL02 96 74 75 [email protected]

112 000 € / 89 500 €

Syndicat d’élevagede Belle-Ile-en-Mer

Diminuer la dépendance à l'insularité endéveloppant l'autonomie et la valeur ajoutée desexploitations belliloises

Socio-économique 56

Guillaume FEVRIER(CPIE)Manuela VOISIN(CA 56)

G Février : 02 97 31 28 [email protected] Voisin : [email protected]

66 100 € / 52 900 €

Association BASE

Intégrer les Plantes compagnes et les couvertspermanents dans la rotation pour optimiser lessystèmes de production en techniques deconservation des sols

TCS 35 Florence Riaud 02 99 42 08 [email protected]

118 800 € / 95 000 €

Association desAgriculteursMéthaniseurs deFrance, AAMF,Section régionale deBretagne

Vers des systèmes autonomes et économes pouraméliorer les performances économiques etenvironnementales des exploitations desméthaniseurs bretons

Énergie/cultures

29 Carine PESSIOT06 70 75 48 [email protected]

135 800 € / 104 600 €

Geda 35 pour legroupe Geda Solvivant

Pour des sols vivants : cheminer collectivementvers l'agriculture de conservation des sols pourplus de performances de nos exploitations auservice des territoires

TCS 35 CharlotteAYMONDGEDA

02 23 48 26 [email protected]

134 800 € / 107 800 €

CEDAPAResponsable

Plus d’autonomie en santé animale Santé animale 22 Anne-GaudMILLORIT

02 96 74 75 [email protected]

136 100 € / 97 000 €

Développer et formaliser une approche globale pluridisciplinaire etDévelopper et formaliser une approche globale pluridisciplinaire et innovante de la gestion sanitaire du troupeauinnovante de la gestion sanitaire du troupeau

afin de renforcer les performances techniques, économiques, sociales etafin de renforcer les performances techniques, économiques, sociales et environnementales des systèmes bovin lait biologiques du territoireenvironnementales des systèmes bovin lait biologiques du territoire

Projet porté par un groupe d’éleveurs bovin lait biologique ou conversion des Côtes d’Armor adhérents du GAB d’ArmorAnimé par le Groupement des Agriculteurs Biologiques des Côtes d’Armor

Territoire concerné : Département des Côtes d’ArmorDate de démarrage et durée du projet : Octobre 2016, pour 3 ansBudget prévisionnel : 111 907 €Soutien régional « Appel à projet Agriculture Écologiquement Performante »: 89 526 €

1. PROBLEMATIQUE1. PROBLEMATIQUE

Optimiser la conduite d’un troupeau laitier biologique est un travail complexe du fait :. . de l’interdépendance de différents paramètres entrant en compte (alimentation-système fourrager, santé du troupeau, perturbations environnementales). . de l’existence de voies d’améliorations multiples. . de l’absence d’une approche croisée« Comment développer et formaliser une approche globale pluridisciplinaire et innovante de la gestion sanitaire du troupeau afin de renforcer les performances techniques, économiques, sociales et environnementales des systèmes bovin lait biologiques du territoire ? » constitue donc la question à laquelle le projet tentera de répondre.

2. OBJECTIFS DU PROJET2. OBJECTIFS DU PROJET

.. Optimiser la conduite technique des troupeaux laitiers biologiques afin d’être plus efficient .. Objectiver les pratiques utilisées et en expérimenter de nouvelles pour renforcer la résilience des élevages .. Partager ses expérimentations, réussites et échecs avec le groupe.. Mettre au point un diagnostic d’élevage suivant une approche globale de la santé du troupeau .. Lever un frein à la conversion.. Essaimer les savoir-faire des fermes biologiques auprès des autres éleveurs

3. MOYENS ET METHODES3. MOYENS ET METHODES

.. Formation des éleveurs du groupe sur les thématiques étudiées afin de construire un socle de connaissances communes.. Réalisation de diagnostics d’élevages suivant les 3 axes identifiés.. Suivi des pratiques et expérimentations mises en place chez chaque agriculteur (individuels et collectifs).. Organisation de réunions collectives annuelles de suivis du projet, d’échanges sur les pratiques, réussites et échecs

4. 4. RÉSULTATS ATTENDUSRÉSULTATS ATTENDUS

. . Capitalisation des pratiques d’élevages suivant une approche globale-pluridisciplinaire. . Formalisation d’un diagnostic global de la gestion alimentaire, sanitaire et environnementale du troupeau

5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET

10 producteurs laitiers des Côtes d’Armor (4 en conversion, 2 récemment installés)

6. PARTENARIATS6. PARTENARIATS

.. 4 experts partenaires techniques : Marine LEMASSON, conseillère indépendante spécialisée dans le suivi en élevage laitier biologique ; Laurence JOUET et Catherine ROFFET, vétérinaires spécialisées dans l’accompagnement des élevages laitiers biologiques selon une approche globale de la santé du troupeau ; Luc LEROY conseiller agricole (bâtiment d'élevage) et géobiologue. . FRAB Bretagne : Commission Régionale Élevage. . Projet AEP du CEDAPA : échanges entre animateurs et référents des deux projets, rencontre entre les deux groupes, mise à disposition d'outils et enquêtes. . Les laiteries collectant du lait biologique sur le territoire pourront être associées au moment de l’essaimage. . Conseil Départemental des Côtes d’Armor

7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE PROJETPROJET

. . Développer une approche pluridisciplinaire de la gestion sanitaire du troupeau en système bovin lait biologique alliant temps de travail collectifs et individuels

. . Mettre en place une méthodologie co-construite par des éleveurs et des experts favorisant à terme l’autonomie des élevages laitiers

. . Former des éleveurs référents, souhaitant essaimer leurs pratiques auprès d’éleveurs biologiques, en conversion ou en projet de conversion

Diminuer la dépendance à l'insularité en développant l'autonomieDiminuer la dépendance à l'insularité en développant l'autonomie et la valeur ajoutée des exploitations laitières belliloiseset la valeur ajoutée des exploitations laitières belliloises

Projet porté par le Syndicat d’élevage de Belle-Ile-en-MerAnimé par le CPIE de Belle-Ile-en-Mer et la Chambre d’Agriculture du Morbihan

Territoire concerné : Belle-Ile-en-Mer (56)Date de démarrage et durée du projet : 1er avril 2016, pour 3 ansBudget prévisionnel : 66 130 €Soutien régional « Appel à projet Agriculture Écologiquement Performante » : 52 904 €

1. 1. PROBLEMATIQUEPROBLEMATIQUE

.. Belle-Ile-en-Mer : 38 exploitations à dominante élevage, en majorité en filières longues avec exportation du lait brut sur le continent, et importation de la majeure partie du lait et des produits laitiers.

Comment diminuer la dépendance à l’insularité ? Comment développer autonomie et valeur ajoutée de

la filière laitière insulaire ?

2. OBJECTIFS DU PROJET2. OBJECTIFS DU PROJET

.. ÉÉconomique : diminution des coûts liés à l’insularité, raccourcissement des filières, productions à forte valeur ajoutée.. Social : démarche collective, renforçant le lien entre producteurs et les autres habitants du territoire.. Environnemental : limitation de l’empreinte carbone, développement de l’autonomie du système d’exploitation, relocalisation

3. MOYENS ET METHODES3. MOYENS ET METHODES

.. Viser l'autonomie fourragère et protéique

.. Développer la transformation laitière locale

.. Relocaliser la vente

.. Engager des démarches collectives pour l’autonomie décisionnelle dans la gestion future de la filière

4. 4. RÉSULTATS ATTENDUSRÉSULTATS ATTENDUS

.. Augmenter la rentabilité des exploitations laitières en travaillant sur une baisse des coûts de revient, et un accroissement de la valeur ajoutée des produits.. Développer des systèmes d’élevage extensifs adaptés au terroir et aux conditions insulaires.. Diminuer l’impact carbone des systèmes d’élevage.. Augmenter l’autonomie des élevages bellilois et réduire les importations d'intrants.. Développer la dynamique collective entre éleveurs laitiers bellilois dans le but d’assurer une auto-gestion et un auto-développement de leurs filières à l’avenir

5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET

Les 35 exploitations laitières de Belle-Ile

6. PARTENARIATS6. PARTENARIATS

.. Associations agricoles du territoire : Au Coin des producteurs, Viande bovine des Embruns, Agneau du Large.. CPIE de Belle-Ile-en-Mer.. Chambre d’Agriculture du Morbihan.. Communauté de Communes de Belle-Ile.. Agrocampus Ouest

7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE PROJETPROJET

Intégrer les plantes compagnes et les couverts permanents dansIntégrer les plantes compagnes et les couverts permanents dans la rotation pour optimiser les systèmes de production enla rotation pour optimiser les systèmes de production en

techniques de conservation des solstechniques de conservation des sols Projet porté et animé par l'association BASE

Territoire concerné : Sud Ille et Vilaine / MorbihanDate de démarrage et durée du projet : Juin 2016-Mai 2019Budget prévisionnel : 118 850 €Soutien régional « Appel à projet Agriculture Écologiquement Performante »: 95 080 €

1. PROBLEMATIQUE1. PROBLEMATIQUE

Intégrer les plantes compagnes et les couverts permanents dans la rotation pour optimiser les

systèmes de production en technique de conservation des sols.

2. OBJECTIFS DU PROJET2. OBJECTIFS DU PROJET

.. Sécuriser les techniques culturales avec plantes compagnes et couverts permanents en techniques culturales simplifiées dans un schéma élevage ou uniquement cultures de vente.. Mesurer précisément l'impact de ces pratiques.. Amplifier la diffusion des résultats des essais afin de développer l'agriculture de conservation

3. MOYENS ET METHODES3. MOYENS ET METHODES

. . Visite de stations expérimentales (Suisse...)

.. Des essais seront effectués chez les membres du collectif de manière à trouver les meilleures successions de cultures adaptées au meilleur système d'exploitation . . Analyse des matières organiques dans différentes parcelles des agriculteurs du projet. . Compilation, avec l'aide d'un stagiaire, des résultats auprès de plusieurs réseaux et de nos partenaires. . Diffusion des pratiques « gagnantes » auprès du collectif d'agriculteurs et des réseaux partenaires

4. 4. RÉSULTATS ATTENDUSRÉSULTATS ATTENDUS

.. Les expérimentations et leurs résultats chez les agriculteurs du projet devront être applicables ailleurs.. Suivant les différents systèmes de production, des priorités de mise en œuvre seront identifiées.. Les témoignages des agriculteurs sur leurs pratiques seront également primordiaux pour l'essaimage de ces nouveaux procédés.. Une documentation synthétique accessible aux différents réseaux partenaires doit clôturer ce travail

5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET

. . 7 agriculteurs membres de l'association BASE

6. PARTENARIATS6. PARTENARIATS

.. Coopératives, machinisme agricole, laboratoires...

7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE PROJETPROJET

.. Rassembler agriculteurs motivés, scientifiques spécialistes, responsables de station de recherche autour des techniques culturales simplifiées.. Rendre accessible à tous l'agriculture de conservation et capitaliser sur les avancées.. Agriculteurs pratiquants au cœur du projet et véritablement impliqués

Vers des systèmes autonomes et économes pour améliorer lesVers des systèmes autonomes et économes pour améliorer les performances économiques et environnementales desperformances économiques et environnementales des

exploitations des méthaniseurs bretonsexploitations des méthaniseurs bretons

Projet porté par l’Association des Agriculteurs Méthaniseurs de France (AAMF)Animé par la Chambre Régionale d’Agriculture de Bretagne

Territoire concerné : BretagneDate de démarrage et durée du projet : septembre 2016 – septembre 2019Budget prévisionnel : 135 839 €Soutien régional « Appel à projet Agriculture Écologiquement Performante »: 104 592 €

11. PROBLEMATIQUE. PROBLEMATIQUE

Le groupe cherche à sécuriser le modèle technico-éco­nomique de la méthanisation agricole bretonne sur deux thématiques précises :

. . Améliorer la sécurisation de l’approvisionnement par une meilleure maîtrise des Cultures Intermédiaires à Vocation Énergétique (CIVE)

. . Réduire la consommation d’engrais minéraux sur le territoire en optimisant la valorisation des digestats et en favorisant les échanges de biomasse

2. OBJECTIFS DU PROJET2. OBJECTIFS DU PROJET

. . Identifier et tester des pratiques innovantes en lien avec les deux thématiques

. . Produire des références qui permettent de rendre plus transparente la valorisation des digestats et des CIVE

. . Partager les retours d’expériences avec d’autres agriculteurs et d’autres acteurs du territoire

3. MOYENS ET METHODES3. MOYENS ET METHODES

. . Échanger et diffuser les meilleures pratiques au sein du groupe

. . Tester et expérimenter de nouveaux matériels et itinéraires techniques

. . Valoriser et crédibiliser l’innovation et le savoir-faire des agriculteurs

4. 4. RÉSULTATS ATTENDUSRÉSULTATS ATTENDUS

. . Améliorer les performances économiques et écologiques des sites de méthanisation agricole en Bretagne

. . Créer des échanges entre les porteurs de projets et les sites en activité

. . ÊtreÊtre force de proposition pour la recherche appliquée sur notre territoire breton

5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET

Le collectif comprend 36 exploitations sur la quaran­taine d’unités existantes en Bretagne. Il est représenta­tif de la diversité des systèmes de production, ainsi que des conditions pédo-climatiques de Bretagne. Il forme aussi un Groupe d’Intérêt Économique et Environ­nemental (GIEE).

6. PARTENARIATS6. PARTENARIATS

. . Les Chambres d’agriculture de Bretagne : exper­tise technique méthanisation et valorisation du digestat

. . L’association AILE : expertise technique méthanisa­tion et CIVE

. . La FRGEDA Bretagne et le réseau TRAME : mé­thodes d’animation, mise en réseau d’initiatives collec­tives

. . La FRCUMA : logistique transport, épandage diges­tat, logistique récolte résidus cultures.

7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE PROJETPROJET

1er groupe régional de méthaniseurs permettant :

. . D’être un lieu d’échange et une force de proposition et de test pour la région

. . La construction de références produites en situations réelles, sur les exploitations

. . La valorisation des expériences terrain contribuant aux enjeux du territoire breton.

""Plus d’autonomie en santé animalePlus d’autonomie en santé animale""

Projet porté et animé par le CEDAPA

Territoire concerné : Côtes d’ArmorDate de démarrage et durée du projet : Juin 2016 pour une durée de 3 ansBudget prévisionnel : 136 136 €Soutien régional « Appel à projet Agriculture Écologiquement Performante »: 96 986 €

1. PROBLEMATIQUE1. PROBLEMATIQUEDes éleveurs bovins lait ayant suivi les formations en aromathérapie à un niveau avancé ont souhaité aller plus loin dans la recherche de solutions alternatives en matière de santé animale.

Ils souhaitent échanger entre éleveurs, capitaliser les bonnes pratiques, expérimenter des méthodes alternatives et disposer d’outils directement utilisables par les éleveurs.

2. OBJECTIFS DU PROJET2. OBJECTIFS DU PROJET

.. Améliorer l’autonomie des éleveurs dans la gestion de la santé de leur troupeau

.. Mise en œuvre d’une approche globale de la santé animale

.. Développement de méthodes simples et de pratiques alternatives aux antibiotiques.

La finalité du projet est de répondre aux questions :« Quand on a un problème, après une formation à

laquelle on pensait avoir compris et pouvoir maîtriser, on ne sait plus comment faire chez soi pour soigner

notre vache. »« On a tous un capital d’expériences mais il faut réussir à mettre en relation tout ce qu’on fait les uns les autres,

tout ce qu’on connaît pour pouvoir se compléter. »

3. MOYENS ET METHODES3. MOYENS ET METHODES

.. Renforcer l’échange de pratiques entre éleveurs sur la santé animale : enquête exploratoire, élaboration d’un outil web, rencontre avec d’autres groupes de travail, innover en animation

.. Créer un logiciel d’autodiagnostic sanitaire proposant des solutions alternatives aux antibiotiques pour au moins 3 pathologies fréquentes (diarrhées, mammites, métrites) : enquêtes d’élevage approfondies auprès d’une trentaine d’éleveurs ayant de bons résultats en matière de santé animale

.. Expérimenter des protocoles de traitements alternatifs aux antibiotiques en curatif pour le traitement des leucocytes et du parasitisme : approche par le troupeau ou approche à la vache

4. 4. RÉSULTATS ATTENDUSRÉSULTATS ATTENDUS

.. Diminution des frais vétérinaires

.. Diminution du nombre de traitements antibiotiques et anti-parasitaires

.. Baisse du nombre de réforme et des pertes induites

.. Augmentation du nombre d’éleveurs en système herbager et agriculture biologique au sein du groupe

.. Création d’un logiciel d’autodiagnostic sanitaire et d'une base de données

.. Rédaction de fiches techniques et de témoignages d’éleveurs

5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET5. LE COLLECTIF PORTEUR DU PROJET

9 éleveurs bovin lait formés à l’aromathérapie :

.. Eric Le Parc (représentant du collectif), Christine Le Rolland et Jean-Michel Perrot en évolution de système fourrager

.. Elisabeth Beuzit, Nathalie Glemarec et Fabienne Thomas en système herbager

.. Xavier Bresset, Jean-Pierre Guernion et Jean Martin en conversion ou en agriculture biologique.

6. PARTENARIATS6. PARTENARIATS

.. Claire Ruault, GERDAL

.. Groupement des Agriculteurs Biologiques du 22

.. Michel Derval, naturopathe

.. Réseau Agriculture Durable

7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE7. L’INNOVATION et le PROGRES DANS CE

PROJETPROJET

.. L’échange de pratiques comme moteur d’autonomie

en matière de santé animale

.. La création d’un outil d’éleveur pour poser un

diagnostic et aller vers des traitements alternatifs

.. Une expérimentation de traitements curatifs aux

problèmes parasitaires et leucocytaires

.. Une approche systémique en matière de santé animale

Les lauréats 2015

Territoire Intitulé du projet Structure porteuse Contact

Région Bretagne 30

22 – Côtes d'Armor

10

40

29 – Finistère

Département du Finistère 23

Nb d'agriculteurs

impliqués

Montants projet /

subvention

“Optimiser la conduite des races locales” Le projet porte sur le perfectionnement technico-économique de la conduite des races locales en vue d'une

professionnalisation et cherchera à apporter une réponse à la question : Quels itinéraires techniques permettraient d'optimiser la production de nos races locales ?

GIE Élevages de Bretagne

Clémence MORINIÈ[email protected]

Tél : 02 23 48 29 17135 000 € / 108 000 €

Département des Côtes d'Armor

“Optimisation de la fertilisation des fermes en maraîchage diversifié”L'objectif est que chaque agriculteur engagé dans la démarche puisse connaître plus finement ses sols, leur

fourniture en azote... afin d'optimiser leurs pratiques agronomiques, l'efficacité économique et environnementale de son exploitation.

GAB 22 (groupement des agriculteurs

biologiques)

Charles SOUILLOT [email protected]

Tél : 02 96 74 75 65

77 000 € /61 600 €

Les Pays du Trégor-Goëlo et de Guingamp et, en partie,

ceux du Centre Ouest Bretagne (Nord) et de Saint-

Brieuc (Ouest)

“Vers une labellisation du bois reconnaissant et valorisant la gestion durable du bocage” L'enjeu est ici de renforcer une filière agricole de production de bois via la mise en place d'un système de certification des produits issus de la gestion du bois de bocage, l'intégration dans le prix du bois de bocage

durable les services environnementaux et sociaux induits, créer des référentiels sur la production, la gestion et les usages...

SCIC Bocagénèse Lucie COLLIN

[email protected]él : 02 96 38 35 24 – 06 47 30 67 21

170 000 €/108 000 €

“Explorons la diversité des réponses biologiques afin de renforcer le lien sol-plante-animal en système herbager et/ou biologique”

Par leurs pratiques, les agriculteurs souhaitent influer sur la fertilité des sols et, simultanément, améliorer la qualité et la quantité des fourrages pour atteindre une quasi autonomie alimentaire. Ils cherchent le

troupeau qui correspond à leurs objectifs et ont opté pour le croisement de races laitières.

Fédération des Comités de développement des

agriculteurs du Finistère

Isabelle [email protected]

Tél : 02 98 88 97 3s

144 000 €/ 108 000 €

Zone légumière Nord Bretagne

“Sélection et multiplication de populations de légumes adaptées à l'agriculture biologique dans la zone maraîchère bretonne”

Ce projet est destiné à lutter contre la menace de disparition des espèces patrimoniales locales (choux, oignons rosés, échalotes, coco...) et des savoir-faire associés via, notamment, un travail de sélection sur les populations locales adaptées à l'agriculture biologique, la transmission des savoir-faire, l’amélioration de

l'autonomie semencière des fermes, le développement d'une gamme commerciale...

9 et plus

APFLBB (Association des producteurs de fruits et légumes biologiques de Bretagne) Biobreizh

Marc [email protected]

Tél : 02 98 63 19 03 / 06 15 14 79 88

141 000 € / 108 000 €

Morlaix et alentours

“Diminuer l'usage des antibiotiques par une approche globale de la prévention, pour un groupe d'éleveuses de bovins laitiers”

Il s'agit d'améliorer le bien-être et la santé des animaux tout en gardant une efficacité technique, économique et humaine par une progression dans les pratiques de prévention santé, le développement de

méthodes alternatives aux traitements, la mise en place d'un indicateur global de santé...

9 et plusBretagne Conseil

élevage Ouest

Vincent [email protected]

Tél : 06 77 05 43 6566 000 € /

52 500 €

35 – Ille-et-Vilaine

Pays de Vitré 11 et plus

Sud-Est de Rennes

Sud-Est de l'Ille-et-Vilaine 11 et plus

10 à 13

56 – Morbihan

16

“Jeux-cadres, expériences européennes, échanges : les bénéfices de l'apprentissage mutuel au service de la multiperformance. Comment répondre à la demande laitière tout en maintenant un système pâturant

économe ?”Pour faire face à l'augmentation de la demande mondiale de lait, ces agriculteurs souhaitent renforcer la

triple performance des systèmes pâturants par l'augmentation de la productivité des prairies, l'amélioration de la valorisation de l'herbe par les troupeaux, l'adaptation du système de production (choix de la race,

croisement de race, période de vêlage, rotation des cultures uniquement pâturables)

Groupe lait spécialisé herbe

Françoise GUILLOISfrancoise.guillois@ille-et-v ilaine.cham bragri.fr

Tél : 02 22 93 63 41

122 000 € / 98 000 €

“Sors tes couverts : la couverture des sols et les associations végétales, des processus naturels à amplifier pour en faire des facteurs clés de la performance de nos systèmes de polyculture-élevage”

Le groupe Val de Seiche souhaite maximiser la couverture végétale et expérimenter de nouvelles techniques pour réduire la consommation en intrants, augmenter l'autonomie fourragère et protéique des

exploitations, accroître la vie biologique du sol et améliorer son fonctionnement, développer un système de rotation, dans sa globalité (approche économique, technique et environnementale)...

13 (groupe Val de Seiche)

Centre d'études techniques agricoles

CETA 35

Jean-François [email protected]

Tél : 02 99 13 19 90

149 000 € / 90 000 €

“Augmenter l'immunité des vaches laitières : revenir au bon sens paysan pour un troupeau en bonne santé”

Le projet traduit la volonté du groupe, composé d'éleveurs en systèmes de production diversifiés, de préserver l'immunité des animaux, de produire des fourrages de qualité à moindre coût, de gagner en

autonomie et en performance dans leur élevage.

GEDA 35 (groupe d'étude et de

développement agricole)

Charlotte [email protected]él : 02 23 48 26 94

145 000 € / 92 000 €

Bassin versant du Combs“AEP RHC : réduction des herbicides sur le territoire du Combs” notamment via une évaluation des leviers de cette diminution et l'adjonction d'actions préventives, une maîtrise des outils de désherbage mécanique...

Agrobio 35

Johan GAË[email protected]

Tél : 02 99 77 09 46

79 000 € / 64 000 €

Martigné-Ferchaud et communes alentour au sein

du bassin versant du Semnon

“Une 2e révolution fourragère pour la CUMA : développer une démarche collective facilitant l'intégration de légumineuses dans les systèmes d'élevage”

Il s'agit ici de trouver collectivement des solutions pour améliorer les performances économiques, environnementales et sociales d'une dizaine d'exploitations en travaillant sur leur autonomie protéique et

azotée par l’augmentation des surfaces en légumineuses fourragères et protéagineux dans les assolements, la réduction et le remplacement des concentrés azotés dans les rations par des aliments riches en protéines

produits localement et une gestion optimisée des pâturages ?

17 agriculteurs directement

engagés et une centaine d'autres

impliqués

Fédération des CUMA de Bretagne

Vincent LAIZÉ[email protected]

Tél : 02 96 79 22 77

98 000 € / 78 000 €

Territoire du Roi Morvan Communauté

“Anticiper et construire un système agricole cohérent, intégrant des changements des pratiques dans le cadre d'un projet collectif de création d'unités de méthanisation agricoles” : évaluation du potentiel de

production de biomasse de différentes Cultures intermédiaires à vocation énergétique (CIVE) ainsi que de la valorisation de la biomasse des prairies humides des méthaniseurs, travail sur la substitution de l'azote

chimique par une utilisation du digestat dans les conditions optimales.

Groupe méthanisation agricole d'IDéA

Christophe [email protected]

Tél : 02 97 23 03 55

54 000 € / 44 000 €

Les lauréats 2014

Territoire Intitulé du projet Contact

22 – Côtes d'Armor

29 – Finistère

4 agriculteurs Atelier paysan

8 exploitations CIVAM 29

28 agriculteurs INNOV 29

Nb d'agriculteursimpliqués

Structure porteuse

Montants projet /

subvention

Pays de Lamballe, Loudéac et Mené (et

autres si extension du réseau)

Intégrer le bocage aux systèmes d'exploitation : un pas vers l'agro-écologie

Objectif de 200 participants sur 3 ans

Association Terres et bocages

Thierry GUEHENNEUC [email protected] 96 7 3 41 09

128 200 € / 13 000 €

Commune de TrémargatPour une gestion collective et durable de la ressource en bois sur

la commune de Trémargat par les agriculteurs : entre entretien des paysages et modèle économique

14 agriculteurs de la commune en activité (soit 9 sièges d’exploitation)

et des agriculteurs retraités.

Pays Centre Ouest Bretagne

Anne-Laure ANDREU et Camille LEPERLIER [email protected] 96 29 26 53

135 000 € / 108 000 €

Landerneau et territoires à proximité

Amélioration de la fertilité des sols et de l'organisation de la production par la mise en place d'outils co-construits par des producteurs destinés à des techniques innovantes : planches

permanentes et implantation sous couvert végétal.

Vincent BRATZLAWSKYv .bratzlawsky @adabio-autoconstruction.org06 51 45 1 3 7 7

102 900 € / 82 300 €

Territoire de l'abattoir du Faou

Innover pour une filière porcine de race locale, durable et v iable économiquement

Valentin HILLAIRET civ am [email protected] 98 81 43 94

7 3 400 € / 58 7 00 €

Pays Glazik - FinistèreApprendre à piloter l'activ ité biologique du sol et les cultures de

manière économe Méthode interactive entre agriculteurs tuteurs et expérimentateurs

11 agriculteurs

Comité de développement

des agriculteur du pays de Quimper

Marie-Paule LEVARLET mpaule.lev [email protected] 02 98 52 49 87

96 600 € / 7 7 200 €

Communes de Scaër et Tourc'h (29)

Réduire de 20 % les consommations de fuel en exploitation agricole

34 adhérents à la CUMA répartis sur deux communes

CUMA Scaër OuestJean-Yv es CARRE jy v [email protected] 02 98 52 49 61

92 800 € / 61 000 €

Finistère avec mesure de l'agro-écologie sur le canton de Ploudiry

SEDIBIODIVSemis direct sous couvert permanent : intérêt pour la biodiversité

dans let sur le sol

Jean-Philippe TURLIN [email protected] 98 52 48 1 2

136 000 € / 108 000 €

Territoire Intitulé du projet Contact

Ille-et-Vilaine Adage

10

10/15 CETA35

10/15

6 puis 15 agriculteurs impliqués GEDA BIO SUD

56 – Morbihan

9 agriculteurs CUMA du Sillon

9 agriculteurs GAB 56

Nb d'agriculteursimpliqués

Structure porteuse

Montants projet /

subvention

35 – Ille et Vilaine

« Les huiles essentielles pour réduire les antibiotiques : une approche globale »

Une quinzaine d'agriculteurs regroupés depuis 2009autour d'une

ex périmentation enlaboratoire sur les huiles

essentielles.

Mathilde BOUTIN [email protected] 99 7 7 09 56

143 000 €/ 104 400 €

Bassin versant du Semnom

Sol et Agronomie Semnom – Optimiser les pratiques agronomiques par une meilleure connaissance de son sol à

l'échelle du bassin versant du SemnomAgrobio 35

Gaëtan JOHAN [email protected] 99 7 7 09 46

7 0 100 € / 53 100 €

Triangle Piré-Janzé-Boistrudan (35)

« Les antibiotiques, c'est pas automatique » : des éleveurs de porc du pays de Vitré expérimentent la démédication dans leur

élevage.

Nadine HERBELIN [email protected] 99 1 3 1 9 90

94 500 € / 7 0 300 €

Bassin versant du Haut Couesnon

Aller plus loin dans l'agro-écologie pour gagner en autonomie protéique en système laitier

Commission professionnelle

agricole du bassin versant du Haut

Couesnon

Anne BRIENDanne.briend@ille-et-v ilaine.cham bagri.fr06 3 3 07 83 1 4

98 400 € / 7 8 7 00 €

Zone séchante du sud de l'Ille-et-Vilaine

Comment améliorer notre approche préventive pour mieux maîtriser le système en Agriculture Biologique ?

Soazig PERCHE soazig.perche@ille-et-v ilaine.chambagri.fr02 23 48 27 38

6 500 € / 51 900 €

Canton de Saint Aubin d'Aubigné

Le lait au féminin : la santé du troupeau par les médecines alternatives sur le canton de Saint Aubin d'Aubigné

8 agricultrices ayant participé à une formation départementale

Médecines alternatives.

GEDA cantonal de Saint Aubin d'Aubigné

Pauline [email protected] 23 48 26 94

119 600 € / 90 7 00 €

Pays de Josselin-Ploërmel-Guer

Sécuriser des systèmes herbagers économes en intrants face aux aléas climatiques

Collectif de 12 agriculteurs constitué en

2005

CIVAM agriculture durable 56

Marion MENEZciv am ad56@civ am-bretagne.org07 85 26 03 02

87 7 00 € / 7 0 200 €

Commune de GuerAtteindre l'autonomie de fumure des exploitations par la mutualisation. Objectif : 0 achats d'engrais de synthèse

Didier [email protected] 1 5 41 84 52

7 7 400 € / 61 900 €

Grand Bassin Versant de l'Oust

AEP BV Oust – Optimiser les Pratiques Agronomiques sur le territoire du Grand Bassin Versant de l'Oust

Céline [email protected] 97 66 3 2 62

64 200 € / 45 300 €

SOMMAIRE

Communiqué de presse..................................................................................................................... p.1

Liste des 6 projets lauréats 2016..................................................................................................... p.3

GAB 22 : Développer et formaliser une approche globale pluridisciplinaires ................. p.4et innovante de la gestion sanitaire du troupeau afin de renforcer les performances techniques, économiques, sociales et environnementales des systèmes bovin lait biologiques du territoire

Syndicat d’élevage de Belle-Ile-en-Mer : Diminuer la dépendance à ............................. p.5l'insularité en développant l'autonomie et la valeur ajoutée des exploitations belliloises

Association BASE : Intégrer les Plantes compagnes et les couverts ............................... p.6permanents dans la rotation pour optimiser les systèmes de production en techniques de conservation des sols

Association des Agriculteurs Méthaniseurs de France (Section régionale) ................ p.7Vers des systèmes autonomes et économes pour améliorer les performances économiques et environnementales des exploitations des méthaniseurs bretons

Geda 35 pour le groupe Geda Sol vivant : Pour des sols vivants : cheminer................ p.8collectivement vers l'agriculture de conservation des sols pour plus de performances de nos exploitations au service des territoires

CEDAPA Responsable : Plus d’autonomie en santé animale............................................ p.9

Liste des projets lauréats 2015.......................................................................................................p.10

Liste des projets lauréats 2014.......................................................................................................p.12