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Deuxième sélection de la rentrée littéraire.
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Notre deuxième sélection parmi 650 romans !
V oici une nouvelle sélection de romans parus essentiellement
en Septembre. Au programme, les livres chroniqués dans la
presse mais aussi nos propres découvertes. Et bien sûr les
incontournables Emmanuel Carrère et Éric Reinhardt.
Rendez-vous le samedi 5 novembre à 10h30 à la Médiathèque Arthur
Rimbaud pour découvrir notre dernière sélection… et revenir sur les
lauréats des Prix littéraires (Le Prix Goncourt sera décerné le 2 novem-
bre, le Prix Médicis le 4 novembre).
Bonne lecture !
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sommairesommairesommairesommaire . . . . . . . . . . .
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sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire
les incontournables p. 4
la presse en parle p. 6
fictions & Histoire p. 8
nos découvertes p. 12
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sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire
les incontournablesles incontournablesles incontournablesles incontournables . . . . . . . . . . .
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Le système Victoria Éric Reinhardt, Éditions Stock Tout les oppose. Lui, David Kolski, marié, deux en-
fants, directeur de travaux sur un chantier de construc-
tion de la tour Uranus à Nanterre, homme de gauche,
rêveur, sensible, idéaliste. Elle, Victoria de Winter,
femme de pouvoir, femme de droite, libérale, DRH
dans un grand groupe industriel international.
Ce qui les réunit : des pulsions sexuelles qui les amè-
nent à se retrouver dans des hôtels de luxe entre Paris
et Londres.
Après « l’enchantement » du premier regard et des
rencontres orchestrées par la femme maîtresse autori-
taire, arrive le temps des reproches et de la jalousie
chez cet homme impuissant à ériger cette tour dans le
temps imparti, pris dans un système financier qui le
dépasse alors que cette femme, malgré « les tensions
qu’elle subissait » conserve des privilèges liés au pou-
voir. Après les réjouissances arrive le temps des dé-
confitures. La Belle au Bois dormant ne se réveillera
jamais et le Prince charmeur n’aura plus que ses yeux
pour pleurer.
Eric Reinhardt nous parle d’un monde capitaliste mon-
dialisé, incarné par cette femme qui finit par envahir
l’espace et le temps d’un homme se mettant hors de la
réalité pour vivre ses fantasmes. Il se fera rattraper par
cette réalité qui va les dévaster tous les deux.
Servi par une prose volubile, ce roman pointe un systè-
me qui a ses limites. Monumental.
Lu par Barbara sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 6666 .
Limonov Emmanuel Carrère, Éditions P.O.L. Emmanuel Carrère nous peint une fresque biographi-
que et épique d’Edouard Limonov, ce jeune voyou
ukrainien, devenu entre autres poète, écrivain de l’un-
derground à Moscou, clochard, maître d’hôtel d’un
milliardaire à New-York, mercenaire dans les Balkans,
chef d’un parti de jeunes desperados nationalistes à
Moscou…
L’auteur entretient un rapport d’attirance-répulsion en-
vers Limonov et hésita longtemps à écrire à son sujet.
Mais au delà du personnage, c’est la vision de l’auteur
sur la Russie des soixante dernières années qui le
pousse à écrire cette biographie.
Cet être paradoxal et excessif vit et raconte sa vie
comme un héros de roman. Rien ne nous est épargné
de la personnalité violente, obscène, ultra nationaliste
de Limonov. Mais derrière cela, il y a aussi ses fragili-
tés et son humanité….
Lu par Marianne, Monique et Antoine
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. . 7777 .
sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire
la presse en parlela presse en parlela presse en parlela presse en parle . . . . . . . . . . .
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Les revenants Laura Kasischke, Éditions Bourgois Craig Clements-Rabbitts, coupable d’avoir provoqué
l’accident qui a coûté la vie à Nicole Werner, une jeu-
ne et belle étudiante promise à un avenir radieux, re-
vient sur le campus de l’Université Godwin Honors
Hall un an après le drame.
Le passé se mêle au présent et Nicole hante toujours
les lieux. Cette vision fantomatique de la défunte est-
elle une conséquence des traumatismes liés à cet acci-
dent, est-elle due à « une stimulation exacerbée de l’i-
magination » ou existe-t-il une vérité plus terrifiante ?
Ce roman se lit d’une traite. Laura Kasischke excelle à
nous tenir en haleine dans ce monde des apparences,
dans ce monde des morts et des vivants. Le lecteur se
faufile à travers les pages avec empressement et effroi.
Tous les personnages sont importants, pas de seconds
rôles, juste des personnages pris dans un système qui
les dépasse jusqu’à l’inéluctable.
Lu par Barbara
sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 8888 .
Des vies d’oiseaux Véronique Ovaldé, Éditions de l’Olivier Des personnages tels des oiseaux en cage ou des oi-
seaux migrateurs…
Une mère, Vida, dont la vie s’étiole dans sa magnifi-
que villa-cage dorée sur la colline Dollar. Sa fille, Pa-
loma a fui la maison avec le beau jardinier et joue de-
puis avec son amant les « coucous » dans les luxueu-
ses demeures des alentours. Un flic mélancolique et
solitaire encore hanté par son ex-femme, chargé de
mener l’enquête sur ces insaisissables squatteurs…
Véronique Ovaldé nous conte, avec une imagination
toujours plus fertile, deux belles histoires d’amour et
d’émancipation. Une histoire de retour aux sources, au
lieu de l’enfance qui est nécessaire pour se retrouver,
affronter ses peurs, et oser prendre un nouvel envol…
Un très beau récit, emprunt de gravité sous une plume
légère, d’une grande finesse psychologique dans ce
style cru et poétique propre à l’auteure.
Lu par Marianne
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sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 9999 .
fictions & Histoirefictions & Histoirefictions & Histoirefictions & Histoire . . . . . . . . . . .
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U n thème récurrent depuis plusieurs années
dans la fiction française : celui de la grande
Histoire. Certains auteurs, comme Sorj Cha-
landon et Dominique Sigaud, choisissent un personna-
ge historique pour en faire un personnage de fiction
(c’est le cas aussi d’Emmanuel Carrère avec son Limo-
nov). Quant au premier roman d’Alexis Jenni, il réécrit
cinquante ans d’Histoire militaire française au regard
des guerres coloniales…
Retour à Killybegs Sorj Chalandon, Grasset Trois ans après Mon traître, Sorj Chalandon revient
sur cette trahison qui l’a tant marquée.
Journaliste brillant, prix Albert Londres en 1988, Sorj
Chalandon fut aussi un homme impliqué dans le com-
bat de L’IRA. Dans ce combat, il y découvrit son Irlan-
de et ses héros, qui furent ses amis. Le plus grand de
tous, Denis Donaldson, Tyrone Meehan dans son ro-
man, en rendant publique sa collaboration avec les ser-
vices britanniques en 2005, trahit plus que l’IRA, il
trahit l’amitié de Sorj Chalandon. Mon traître fut le ro-
man qui lui permis de crier sa fidélité et son incompré-
hension.
Cette fois, l’auteur change de point de vue et nous
montre la vie, l’engagement et la faute de Tyrone Mee-
han. Au cœur du récit, poignant, où l’émotion affleure
constamment, se trouve une explication plausible à sa
trahison.
sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 10101010 .
Le sujet, l’implication de l’auteur, et la force de son
style, précis et ramassé, où chaque phrase fait mouche,
emportent le lecteur jusqu’à la dernière ligne. Un texte
qu’on ne peut lâcher !
Lu par Antoine
Les fantômes de Belfast Stuart Neville, Editions Rivages Gerry Fegan, ex-membre de l’IRA, est de retour dans
les rues de Belfast depuis sa sortie de prison. En proie
à des cauchemars et à des cris qui le hantent depuis cet
épisode sanglant qui a marqué l’Irlande, il se noie dans
l’alcool. Mais « les douze suiveurs » ne le laissent pas
en paix et pour survivre, il doit affronter les démons du
passé.
Ce roman d’une grande noirceur fait partie de la sélec-
tion France Culture/Télérama 2011 et est signé par un
auteur irlandais du nord dont c’est le premier roman.
L’histoire récente de l’Irlande nous est racontée. L’Ac-
cord de Paix de 1998 pour l’Irlande du Nord a mis fin
aux conflits mais les tensions persistent. Ce roman
violent traite de la culpabilité, de la mémoire, de l’ou-
bli : peut-on faire table rase du passé ?
Lu par Barbara
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sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 11111111 .
fictions & Histoirefictions & Histoirefictions & Histoirefictions & Histoire . . . . . . . . . . .
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L’art français de la guerre (premier roman) Alexis Jenni, Éditions Gallimard À travers la trajectoire de Victorien Salagnon, jeune
maquisard en 1943, puis apprenti soldat en Indochine,
et finalement para expérimenté en Algérie, Alexis Jen-
ni explore vingt ans de guerre française.
Du statut de héros d’une France de nouveau libre, ces
soldats, en continuant de se battre cette fois pour l’Em-
pire colonial français, deviennent à la fin des événe-
ments d’Algérie, des salauds honnis de tous. C’est cet-
te transformation que Jenni nous raconte, en suivant la
trajectoire de Salagnon, militaire souvent en retrait,
plus à sa peinture qu’aux fracas des armes.
Ce roman total est avant tout un roman sur la France,
sur notre société contemporaine structurée par ces an-
nées de guerre coloniale. Un texte qui nous parle d’i-
dentité, de transmission et qui demande à ce qu’on ré-
écrive le roman national.
Un récit ambitieux, foisonnant, au propos politique,
porté par une écriture riche et flamboyante. Les images
qui parsèment le texte, comme les personnages et la
construction du récit contribuent à envouter et à inter-
roger le lecteur. Un premier roman époustouflant !
Lu par Antoine
sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 12121212 .
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sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 13131313 .
Franz Stangl et moi Dominique Sigaud, Éditions Stock Franz Stangl et né en Autriche en 1908, la même année
que Herbert von Karajan, Oskar Schindler et Szymon
Wiesenthal. Il fut un bon policier autrichien, profes-
sionnel et efficace. Puis il rentra dans la Gestapo, et en
bon gestionnaire, il termina sa carrière comme com-
mandant de Sobibor, puis de Treblinka en 1942. Arrêté
au Brésil en 1967, il fut jugé en Allemagne en 1970.
C’est pendant une série d’entretiens avec une journa-
liste, alors qu’il est incarcéré, que Franz Stangl recon-
nut sa culpabilité. Il meurt en 1971.
Dominique Sigaud imagine la dernière nuit de Stangl,
après cet aveu exceptionnel et s’interroge sur la res-
ponsabilité, sur le mal, sur l’héritage de la Shoah. Cet
homme, un X de la machinerie nazie, qui fut un bon
père de famille, va au fil de ce court texte, devenir Un.
Singularité de l’homme, singularité de cette période,
que Sigaud renomme Werra, ancien mot francisque si-
gnifiant dévoration. Un texte fort, qui montre la néces-
sité, encore maintenant, de parler du génocide des juifs
et des tziganes d’Europe.
Lu par Antoine
nos découvertesnos découvertesnos découvertesnos découvertes . . . . . . . . . . .
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Solliciano Ingrid Thobois, Éditions Zulma Une belle œuvre à découvrir aux éditions Zulma, aux-
quelles nous consacrons un café littéraire le 10 décem-
bre…
Marco Conti est incarcéré dans la prison de Solliccia-
no, en Toscane, pour avoir tué sa petite amie un brin
volage. Seule vient le voir Norma-Jean, une femme
étonnante mariée avec son ancien psychanalyste. Mar-
co était l’élève de Norma-Jean, professeur de philoso-
phie sur la capitale. Il écrit en prison, seule activité qui
semble le remettre à flot.
Se nouent au parloir des sentiments ambigus, Norma-
Jean ne dévoile sa véritable facette que bribes après
bribes et au fil d’un puzzle psychologique qui n’en fi-
nit pas de nous étonner. Une troisième œuvre bien ci-
selée et d’une belle écriture. A lire avec délice…
Lu par Alexandra
sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 14141414 .
Le Turquetto Metin Arditi, Actes Sud Le célèbre tableau « L’homme au gant » conservé au
Louvre et attribué au Titien a-t-il bien été peint par le
maître ? Ne serait-il pas plutôt l’œuvre du
« Turquetto », élève prodige du peintre ?
Metin Arditti nous conte l’histoire d’un jeune homme
juif de Constantinople qui doit s’exiler à Venise et ca-
cher ses origines pour réaliser son rêve de devenir
peintre. Mais alors que tout semble lui réussir, une
idylle va naître entre le peintre et une jeune juive du
ghetto. Lorsque celle-ci est assassinée, l’univers de
l’artiste bascule et le mène à faire acte de résistance
par sa peinture…
Metin Arditti est fondateur de la fondation « Les ins-
truments de la Paix-Genève » qui favorise l’éducation
musicale des enfants de Palestine et d’Israël . Dès lors,
on ne s’étonnera pas que son récit dénonce l’intoléran-
ce religieuse et glorifie la création artistique avec un
style rythmé, coloré où tous les sens sont conviés dans
une gamme de sentiments qui va du plus doux au plus
cruel.
Lu par Marianne
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sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 15151515 .
nos découvertesnos découvertesnos découvertesnos découvertes . . . . . . . . . . .
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Room Emma Donoghue, Éditions Stock (La Cosmopo-lite) Un enfant de cinq ans parle. C’est son anniversaire. Il
n’a pas de bougies. Mais il a tous ses amis autour de
lui. Monsieur Tapis, Madame Lucarne, Petit Dressing,
Grand Labyrinthe…et surtout sa maman et Madame
Télé qui l’emmènent sur plusieurs planètes, celles des
contes et des dessins animés.
Le petit Jack noue une relation fusionnelle avec sa ma-
man. Ce soir, il attend le cadeau du dimanche soir, ce-
lui de Grand méchant Nick, qu’il n’entr’aperçoit qu’à
travers les fenêtres de Petit Dressing…
Inutile d’en dire plus au risque de dévoiler le secret de
l’intrigue…Un conte qui mêle horreur et magie et aus-
si une ode magnifique à l’amour maternel.
L’auteur, irlandaise immigrée au Canada, signe son
septième roman, finaliste du Booker Prize. Saluons le
formidable travail sur la langue, qui retranscrit les pen-
sées d’un petit enfant. Sublime !
Lu par Sylvie
Le lent sourire Caterina Bonvicini, Éditions Gallimard Caterina Bonvicini, remarquée en 2010 pour son ex-cellent Équilibre des requins, signe un nouveau roman très émouvant. Un groupe d’amis trentenaires est frappé par la mala-die de l’une d’elle, Lisa, à qui on diagnostique une tu-meur au cerveau. Clara la narratrice - et meilleure
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rentrée littéraire . . 16161616 .
amie de Lisa - nous raconte une histoire de deuil, mais aussi une formidable histoire d’amitié puisque Clara, Marco, Danièle, Sandra et Veronica, une petite bande très unie depuis le lycée va accompa-gner Lisa jusqu’aux derniers instants. Les moments douloureux, mais joyeux aussi parfois, et les réminis-cences nombreuses des heures insouciantes de la jeu-nesse concourent à insuffler à ce livre, par delà la mort, un élan vital et une émotion qui en font sa force.
Lu par Catherine
Persécution Alessandro Piperno, Éditions Liana Levi Leo Pontecorvo, illustre professeur de pédiatrie recon-nu et aimé des siens apprend un jour par la télévision qu’on l’accuse d’avoir tenté de séduire la petite amie de son fils, âgée de 12 ans. L’homme puissant rede-vient alors le petit garçon qu’il n’a, au fond, jamais cessé d’être, dominé par les femmes parfaites à tous égards qu’ont été sa mère et son épouse Rachel. Au lieu de faire front et de se défendre de ces accusations, Leo se retire et se mure dans le silence devenant le té-moin de sa propre descente aux enfers, une descente aux enfers qu’il analyse avec un regard clinique et im-pitoyable. Remarquable étude psychologique servie par son écriture mais aussi charge féroce et brillante contre une société où médias et biens pensants s’en-gouffrent dans les apparences parfois les plus trompeu-ses. Très bon roman de la rentrée littéraire sélectionné pour les Prix Medicis et Femina.
Lu par Catherine
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sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 17171717 .
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Famille modèle Eric Puchner, Editions Albin Michel Été 1985. Californie. La famille Ziller, Warren le père,
Camille la mère, leurs trois enfants – Dustin l’aîné,
Lyle la fille de 16 ans et Jonas 11 ans, sans oublier le
chien Mister Leonard- vivent confortablement dans
une belle maison de la résidence privée surveillée Her-
radura Estates. Mais la vie de cette famille unie en ap-
parence va basculer lorsque le père va avouer ce qu’il
a mis en jeu.
Un premier roman au titre ironique pour cet auteur
américain qui parle de la descente aux enfers de cette
famille américaine, attirée par l’eldorado californien,
par le « toujours plus ». Des personnages qui se dévoi-
lent dans leurs qualités et leurs défauts, souvent atta-
chants voire émouvants parfois. La rentrée littéraire
2011 se fait en famille pour le pire et le meilleur.
Lu par Barbara
sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 18181818 .
sélection 2011 les médiathèques d’Antony
rentrée littéraire . . 19191919 .
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Rendez-vous le Samedi 5 novembre à 10h30 à la médiathèque Arthur Rimbaud pour le 3e rendez-
vous "Café Rentrée littéraire"….
La femme du tigre de Téa Obrecht
Les vieux fous de Mathieu Belezi
Cheyenn de François Emmanuel
Sunset Park de Paul Auster
Rue Darwin de Boualem Sansal
et bien d'autres choses encore (….)
L'occasion de revenir sur les Prix littéraires 2011 et
de découvrir ….
vos notesvos notesvos notesvos notes . . . . . . . . . . .
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rentrée littéraire
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rentrée littéraire