Réseau économie sociale et environnement d’Ile-de … · Le Réseau économie sociale et environnement a été cr ... vocation d’être à l’échelle régionale un lieu de

Réseau économie sociale et environnement d’Ile-de-France

Outild’auto-évaluation

des projets

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Document réalisé par :

ARENE Ile-de-FranceAgence Régionale de l’Environnement et des Nouvelles Energies94, bis avenue de Suffren, 75015 PARISTél. : 01 53 85 61 75Fax : 01 40 65 90 41E-mail : [email protected]

Avec la participation de :

DIREN Ile-de-FranceDirection Régionale de l’Environnement18, avenue Carnot, 94234 Cachan CedexTél. : 01 41 24 18 18Fax : 01 41 24 18 55E-mail : [email protected]

Et des organismes membres du Réseau économie sociale et environnement d’Ile-de-France que nous remercions vivement avec le concours technique de BECA environnement.

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éditoLa création de l’outil d’auto-évaluation des projets répond au besoin des organismes du Réseau économiesociale et environnement de suivre efficacement l’impact de leurs activités à dominantes environnementaleet sociale, et ainsi de s’inscrire dans une démarche de développement durable.

L’évaluation constitue une aide essentielle à la décision et à l’optimisation dans la dynamique de projet.De plus, dans une logique de développement durable, elle est un moyen de rendre compte de situationscomplexes en intégrant l’ensemble des composantes du projet à cerner, qu’elles soient économiques,partenariales, sociales ou environnementales.

Au-delà de l’intérêt propre au fonctionnement interne des structures, la valorisation des résultats de l’évaluation peut contribuer au développement ou au renforcement de partenariats, et notamment despartenariats publics. En effet, devenue une obligation pour les services de l’Etat, l’évaluation a pourobjectif de rechercher plus de rationalité et de cohérence dans les programmes et actions menés, maisaussi de mieux appréhender leur efficience et leur utilité.

L’outil d’auto-évaluation des projets a pour ambition de donner les moyens aux organismes de s’inscriredans une démarche d’évaluation au service d’une meilleure gestion, mais aussi de leur permettre de révéler et rendre plus lisible le sens de leurs projets en les inscrivant dans la durée et la transversalité.

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outil d'auto-évaluation des projets - RESE 3

Alain PIALAT Christian BRETTDirecteur Régional de l’Environnement Président de l’Agence régionale de l’environnement d’Ile-de-France et des nouvelles énergies d’Ile-de-France

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sommaireEdito . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3

Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .6

L’évaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8Objectif de ce guide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .8Quand et comment évaluer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .10Quel outil pour évaluer ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .14

L’outi l d’auto-évaluation . . . . . . . . . . . . . . . 16Première étape : construction de votre outil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .16Deuxième étape : évaluer votre action . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .19Grille de référence : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .20

- Axe économique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .20- Axe social . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .22- Axe environnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .24

Annexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .26Annexe 1 : Liste des structures ayant participé à l’élaboration de l’outil . .27Annexe 2 : La charte de qualité du RESE et extrait de son règlement . . . .28Annexe 3 : Pour en savoir plus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .32Annexe 4 : Les organismes du RESE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .34

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1 IntroductionLe Réseau économie sociale et environnement a été crééà l’initiative de l’ARENE et de la DIREN en 1998, avecpour objectif de favoriser la création d’activités durablesdans le domaine de l’environnement. Ce réseau a pourvocation d’être à l’échelle régionale un lieu de ressour-ces et de développement de projets d’environnement créateurs d’emplois.

Le fonctionnement du réseau est fondé sur les échangesd’expériences, la mise en commun d’outils, de pra-tiques et la diffusion d’informations entre les porteursde projet, afin de favoriser la pérennisation de leursactivités et l’émergence de nouveaux projets.

Par ailleurs, le RESE joue un rôle de sensibilisationconcernant les questions d’emplois, d’insertion et decréation d’activités dans l’environnement, en faisantconnaître les expériences et actions innovantes réaliséespar ses structures membres, et en assurant la reconnais-sance du réseau auprès des partenaires extérieurs.

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C’est dans ce cadre qu’une charte de qualité a été élaborée (extrait de la charte présenté en annexe 2). Elleformalise les engagements des structures pour la miseen œuvre d’une démarche de développement durablequi réponde à des objectifs d’équité sociale, d’efficacitééconomique et d’amélioration de l’environnement, àtravers leurs projets et actions. Les trois principes fondateurs de la charte établis sur la base de ces objectifs sont les suivants :

Veiller à la qualité environnementaledes actions et de la structure

Suivre au mieux la trame idéale en matière de qualitéenvironnementale, notamment en veillant à ne pasavoir une activité ou un fonctionnement nuisible à l’environnement, en mettant en place une gestion environnementale en adéquation avec le projet…

Veiller à la qualité du suivi social Mettre en place un accompagnement adapté pour lespersonnes en insertion (dans le cadre d’une démarchepartenariale locale), évaluer la progression des personnes en formation ou en poste, monter ou proposer des formations visant la professionnalisa-tion des personnes…

Favoriser la pérennisation des activitéset des emplois créés Rechercher des solutions pour ancrer les activités :mobilisation de partenariats locaux techniques etfinanciers, professionnalisation des personnes et de la structure…

La démarche d'évaluation présentée dans ce guide doitfaciliter la mise en œuvre par les structures de ces principes, dans le cadre de leurs propres objectifs.


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2 L’évaluation

2.1 Objectif de ce guideCe guide s’adresse aux porteurs de projets et organismes quisouhaitent mettre en place une démarche d’évaluation, pourcomprendre et améliorer le fonctionnement de leur structureet l’efficacité de leurs actions, et pour formuler des objectifsde développement.

La démarche d'évaluation est une démarcheconstructive

Elle traduit la dynamique d'une structure et de ses actions(possibilité de réadapter le projet, base pour communiquersur un projet, …).

Elle permet de renforcer les partenariats (gain de confiance,argument pour démarcher de nouveaux partenaires, …).

Elle offre un moyen de capitaliser un savoir-faire (le partager, le valoriser, …).

L’évaluation doit porter à la fois sur la structure (et son projetglobal) et sur ses activités et projets, une structure n'existant quepar les activités et les projets qu'elle porte et réciproquement.

Il s'agit notamment de savoir au niveau de la structure :

• quel était son objectif de départ ? • comment répond-elle à cet objectif ?…

au niveau de ses projets et de ses activités : • quels sont les objectifs de départ de chacun des projets

et de chacune des activités ? • comment les moyens mis en œuvre permettent-ils

d’y répondre ?…

Plusieurs niveaux d’évaluation se complètent et s’alimententréciproquement. À chaque niveau, l’évaluation répond à unobjectif général : repérer les limites et les points à améliorer,valoriser les points positifs, et ainsi mettre en place l'amélio-ration continue de la structure et des activités qu'elle porte.



Dans l'exemple présenté dans le schéma ci-contre, plusieursniveaux d'évaluation peuvent être identifiés :

l’évaluation de la structure (son organisation, ses principes de fonctionnement…)

l'évaluation de chacun des services de la structure (y compris l’administration générale)

l'évaluation des activités en cours

l'évaluation des projets à lancer.

L'objectif de ce guide est de vous donner la possibilité d'éva-luer l'ensemble de ces éléments ou certains d'entre eux. Dansla suite du document, le terme "action" sera utilisé pourrésumer tous les cas de figures.

ActionCréation de la structureOrganisation d’un serviceGestion d’une activitéLancement d’un projet…

[exemple : cas d’une structure d’insertion


2.2 Quand et commentévaluer ? L'évaluation peut intervenir à toutes les étapes d'une action :

au début de l'action : évaluation préalable Ex : création de la structure.

Votre structure est en phase de conception. Cette évaluationvise à analyser la pertinence des objectifs par rapport auxenjeux identifiés, la cohérence des objectifs entre eux et lacohérence des moyens par rapport aux objectifs.

au cours de sa réalisation : évaluation intermédiaire Ex : fonctionnement d'une activité.

Une activité est en cours de réalisation. L'évaluation permetde confirmer la pertinence des objectifs et du choix demoyens mis en œuvre.

à la fin de l'action : évaluation finaleEx : bilan d'un projet ponctuel.

Le projet arrive à sa fin : il est entièrement réalisé.L'évaluation permet de porter un jugement sur l'efficacité etl'utilité de ce projet et la durabilité de ses effets.

Idéalement, il faudrait pouvoir mettre en place l'évaluationd'une action le plus en amont possible.

Peu de structures du RESE sont en phase de création, la majoritéd’entre elles existant depuis plusieurs années. Ces structuresmettent en œuvre de nouvelles actions, suivent des actions encours et/ou en achèvent d'autres. Par ailleurs, rares sont cellesqui ont mis en place une procédure complète d'évaluation.

Ce guide s’adresse donc prioritairement aux structuresqui, sans disposer d’un outil d’évaluation complet, suiventdéjà partiellement certains projets, et ont besoin d’uneméthode leur permettant de mettre en œuvre une procé-dure plus complète.

La démarche d’évaluation nécessite :

d’établir un état des lieux (“état zéro ou état initial”) etde fixer des objectifs à atteindre, à un moment t,

de réaliser un état des lieux à un moment t+1,

de mesurer l’écart entre cet état et l’état initial, au regarddes objectifs fixés.

Pour effectuer cette mesure, il faut disposer d’indicateurs,c’est-à-dire d’éléments dont la variation quantitative ouqualitative permette de mesurer cet écart. Par exemple, sil’objectif est d’augmenter le nombre de personnes bénéfi-ciaires de l’action, un indicateur simple est le nombre depersonnes accueillies. Mais souvent les objectifs sont pluscomplexes (par exemple améliorer la sensibilité du publicaux questions d’environnement) et de ce fait les indicateursplus difficiles à identifier et à mettre en œuvre.

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Qu’est-ce qu’un indicateur ?La notion d’indicateur est évoquée systématiquement dansles démarches d’évaluation. Ces démarches sont récentes etla définition des indicateurs fluctue encore un peu comme entémoignent les dernières publications du Ministère del’Ecologie et du Développement durable.

“Un indicateur est une donnée qui a été sélectionnée à partir d’un ensemble statistique plus important car elle possède unesignification et une représentativité particulière. Par exemple,les émissions nationales de CO2 constituent la contribution denotre pays à l’effet de serre. Les indicateurs condensent ainsi l’information et simplifient l’approche de phénomènes environne-mentaux souvent complexes, ce qui en fait des outils de commu-nication précieux. Les indicateurs d’effet (ou de pression) rendentcompte de l’effet ou de la pression exercée par un projet ou uneactivité humaine sur l’environnement.”

Patrick Michel, Thierry Monier, L’évaluation environnementale desplans et programmes de transport, Ministère de l’Aménagementdu Territoire et de l’Environnement 2001.

“Indicateur d’état : indicateur permettant de suivre et mesurerl’état de l’environnement et son évolution. Exemple : qualité del’air (mesurée en mg SO2/m3 d’air).

Indicateur de pression : indicateur permettant de suivre et mesu-rer les pressions humaines sur l’environnement. Exemple quantitéde polluants émis dans l’air (mesurée en tonne de SO2/an).

Indicateur de réponse : indicateur permettant de suivre et mesurerles programmes d’actions mis en place pour améliorer l’état del’environnement et/ou de réduire les pressions humaines sur l’environnement : exemple nombre d’autorisations d’installationsémettant du SO2”.

Corinne Larrue, Evaluation environnementale préalable des contrats de plans Etat-Région et documents uniques de programmation 2000-2006, Ministère de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement 1999.

“Indicateur : un indicateur d’environnement est l’unité surlaquelle porte la prévision d’impact (par exemple le nombred’espèces en danger)”,

Corinne Larrue, Michel Lerond, Suivi et évaluation environnemental des contrats de plans Etat Région, Ministère de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement 1998.

Ces différentes définitions établies dans le cadre de travauxsur l’environnement, peuvent également valoir pour lesvolets économiques et sociaux. Un indicateur doit permettrede vérifier qu’un objectif a été complètement, partielle-ment ou pas du tout atteint. Un projet pouvant avoir différents niveaux d’objectifs, il est nécessaire de disposer d’indicateurs de niveaux variables comme le montre le schéma suivant.



Des liens existent entre les différents niveaux d’objectifs etd’indicateurs.Les objectifs de rang 1 ne peuvent être réalisés que si lesobjectifs de rang 2 le sont et ainsi de suite. Les indicateurs derang 2 vont permettre d’expliquer les variations des indica-teurs de rang 1. Dans l’exemple 1 page suivante, “Conserverla biodiversité” est un objectif principal, global, de rang 1.Pour remplir cet objectif, il est notamment nécessaire demaintenir un niveau d’eau indispensable à la survie de certaines espèces, d’où l’objectif A, de rang 2 “maintien du

niveau de l’eau”. Si cet objectif n’est pas rempli, donc si l’in-dicateur correspondant (variations du niveau de l’eau) estnégatif (variations importantes), des espèces tendront àdisparaître. Donc l’indicateur de rang 1 (nombre d’espèces)présentera probablement une variation négative (diminu-tion du nombre d’espèces). L’objectif de rang 1 ne sera pasrempli, car l’objectif de rang 2 est mal rempli. Il conviendradonc de revoir les moyens de rang 2 donc les objectifs derang 3.

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[ Les différents niveaux d’objectifs d’un projet



Rang 1 Rang 2 Rang 3

[Exemple 1 : cas de la gestion écologique d’un marais

Objectifs

Indicateurs

Conserver la biodiversité du marais

Nombre d’espèces

(A) Maintenir le niveau d’eau

(B) Empêcher le boisement

(IA) Variations annuelles de niveau d’eau

(IB) Surface boisée

(a) Poser des vannes

(b) Mettre en place un système de surveillance

(c) Couper les saules

(d) Faucher régulièrement

(Ia) Nombre de vannes en place

(Ib) Nombre d’interventions

(Ic) Volume de bois coupé

(Id) Nombre de fauches par an

Rang 1 Rang 2 Rang 3

[Exemple 2 : cas du recrutement de publics pour une action de formation

Objectifs

Indicateurs

Remplir la formation avec des personnesmotivées dont le profil correspond aux critères d’entrée de la formation.

Nombre de candidats intégrant la formation.

(A) Mobiliser les partenaires locaux du réseaud‘accueil des demandeurs d’emploi pour lerepérage et l’information du public.

(B) Intégrer les partenaires sociaux dans lecomité de pilotage de l’action.

(IA) Nombre de candidats envoyés par les relais locaux un mois avant le début de la formation.

(IB) Nombre de partenaires mobilisés au seindu comité de pilotage.

(a) Diffusion d‘informations.

(b) Organisation de réunions du comité de pilotage.

(Ia) Nombre de documents diffusés ou de journéesportes ouvertes organisées.

(Ib) Nombre de réunions du comité de pilotage.


2.3 Quel outil pour évaluer ?Chaque structure étant particulière, notamment au sein duRESE, il n'existe pas de grille d'évaluation, c’est-à-dire de liste standard croisant des objectifs et des indicateurs,adaptée à toutes les structures. La méthode proposée consisteà aider chaque structure à construire elle-même sa propregrille d'évaluation en fonction de son contexte et de ses choix.

Nous vous proposons dans le chapitre suivant :

des éléments de méthode pour construire votre grille d’évaluation et réaliser l’évaluation de vos actions,

une grille de référence construite à partir de la vision globaledu développement durable. Elle est structurée en trois axes(économique, social et environnemental) entre lesquels denombreuses interactions existent. Vous pourrez vous inspirerdes informations qu’elle contient pour votre évaluation.

La démarche et la grille de référenceproposées ont été élaborées à partir :

d'entretiens réalisés en 2002 auprès d’une dizaine destructures du RESE (liste en Annexe 1) afin d'analyser une

variété d’actions, de domaines d’intervention (gestion desmilieux naturels, éducation à l'environnement, gestion desdéchets, ingénierie de projet, …) et de types de structures(ancienneté, taille, lien avec une structure plus importante,territoire d'action,…).

d'une analyse de la bibliographie existante :

• Contrechamp – Avril 2002 (document projet) – Guide Plus-value environnementale du programme NS/NE.

• MES, DGEFP, 2001 – Diagnostic employeurs dans le cadre du programme "Nouveaux Services Nouveaux Emplois".

• RESEAU DES AGENCES REGIONALES DE L'ENERGIE ET DE L'ENVIRONNEMENT, 2000 – Le développement durable : une autre politique pour les territoires ? Rhônealpénergie-Environnement, 66 pages.

• LARRUE, C., 1999 – Evaluation environnementale préalabledes contrats de plan Etat-Région et documents uniques deprogrammation 2000-2006, Ministère de l'Aménagementdu Territoire et de l'Environnement, 70 pages.

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• OREE, 1996 – Guide d'auto-diagnostic pour la mise en placed'une stratégie environnement à l'usage des PME-PMI,INEM France, 100 pages.

• BECA-Environnement – Des Contrats Verts au Réseau économie sociale et environnement – Suivi et évaluation,ARENE Ile-de-France, Conseil Régional Ile-de-France, DIREN Ile-de-France 1990-1999.

• Charte du Réseau économie sociale et environnement,ARENE Ile-de-France.

L'analyse des entretiens et de la bibliogra-phie a permis de mettre en avant plusieurséléments :

L’identification des problématiques et caractéristiquesgénérales des structures du réseau concernant :

• Leur structuration et leur mode d’organisation (dépendantde leur taille et de leurs activités),

• Leurs méthodes et pratiques d’évaluation : ces pratiques nesont pas encore systématiques et souvent incomplètes.

• Leurs besoins et difficultés : certaines ont des difficultés à recueillir les informations nécessaires au montage de projet, d’autres à travailler avec certains partenaires, ouencore à suivre l’impact de leurs activités en terme social,environnemental et économique…

Différents outils d'évaluation partielle existent, mais il manque un outil d'évaluation proposant une vision globale, celle du développement durable.

L’outil d’auto-évaluation présenté ici tient compte de cetteanalyse. Il est destiné aux structures du RESE et peut facilement s'adapter à d'autres structures. Il a été testéauprès de quelques structures du réseau pendant un mois(liste en Annexe 1). Il a été ensuite présenté aux membres duréseau lors de la rencontre-atelier du Réseau économiesociale et environnement du 28 novembre 2002.



3 L’outil d’auto-évaluation

Situation idéale : L'outil d'évaluation devrait être construitau moment de la définition d'une action, à partir d’un étatdes lieux. L’exercice consiste à définir une liste d’objectifs etde sous-objectifs pour cette action dans chacun des troisaxes du développement durable (économique, social et envi-ronnement), puis les moyens à mettre en œuvre pour lesatteindre et enfin les indicateurs permettant de les suivre. Lebilan régulier des résultats des indicateurs permet de vérifierla réalisation et la pertinence de ces objectifs, et s'il y a lieu,de les réajuster.

Cas plus fréquent : L'action a déjà démarré depuis quelquesannées. Quelques éléments de suivi ont été mis en place,c’est-à-dire une amorce de grille d’évaluation, parfois unegrille d’évaluation sur un axe seulement. Il s’agit d’identifierles objectifs et indicateurs existants et de les compléter pourarriver à une véritable grille d’évaluation de la structure et deses actions dans les trois axes du développement durable(économique, social et environnement).

3.1 Première étape : construction de votre outil Savoir d'où vous partez et se fixer desobjectifs dans chaque axe.

La première question à se poser est : quelle action va êtreévaluée ? quelle va être l’étendue de l’évaluation ?

La structure et ses objectifs globaux,Les activités d’un service,Une activité particulière,…

La question suivante sera : de quoi disposez-vous déjà ?quel est votre point de départ ?

de quels outils disposez-vous ? quels objectifs vous êtes-vous fixés ? quels moyens avez-vous mis en œuvre ? quels indicateurs de résultat avez-vous choisi ?

Ces questions sont à se poser pour chacun des trois axes dudéveloppement durable (axe économique, axe social et axeenvironnement).

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Plusieurs cas se présentent :

Cas n°1Vous avez fixé des objectifs de départ, mis en œuvre desmoyens et choisi des indicateurs pour votre action dans undes trois axes.Utilisez la grille de référence (présentée p. 20) pour vérifierque vous avez bien identifié des objectifs et des indicateursdans les différents domaines concernés par votre activité.

Vous pouvez effectuer ce même travail (définition d’objec-tifs, de moyens à mettre en œuvre et d’indicateurs) pour leou les autre(s) axes non traités.Il vous faut maintenant évaluer votre action, c’est la secondeétape. Reportez-vous au chapitre 3-2.

Cas n°2Vous n'avez pas fixé d'objectifs pour votre action dans undes axes. Il vous faut commencer par faire un état des lieux dans cetaxe : d'où partez-vous ? La grille de référence vous proposeune liste de questions qui vous permettra de préciser ce pointde départ (diagnostic de l'état actuel). A vous d'identifier lesdomaines les plus pertinents à analyser dans votre cas et deremplir ainsi le tableau n°1.

Attention ! La liste des questions proposées dans la grille de référence n’est pas exhaustive ; il est conseillé de ne passe limiter à celles-ci. Par ailleurs, dans le cadre de vos questionnements il est important de pointer à la fois les difficultés rencontrées mais également d’identifier lespotentialités à développer.

Cas n°3Vous avez identifié des objectifs pour votre action, mais vousn'avez pas mis en œuvre de moyens pour les atteindre nichoisi d'indicateurs pour les suivre.Identifiez les moyens que vous pourriez mettre en œuvre.Choisissez les indicateurs qui vous permettront de suivre cesobjectifs (à remplir dans le tableau 1).La grille de référence vous donnera des exemples de moyenset d’indicateurs et vous permettra de vérifier que vous avezbien identifié des objectifs et des indicateurs dans les différents domaines concernés par votre activité.



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Domaine Etat des lieux Objectifs à atteindre Moyens à mettre Indicateurs en œuvre à suivre

[Tableau n°1 : votre état des lieux avec quelques exemples

Axe économique

Axe environnemental

Axe social

Commentaires

Stabilité générale dela structure

Partenaires

Ressources naturelles

cf. la grille de référence

Problèmes de trésorerierécurrents liés au retard depaiement des partenaires

Dépendance vis à vis d’unpartenaire unique

Forte consommation électrique

Faire apparaître les points à valoriser et ceux à améliorer

Anticiper les difficultés de trésorerie

Impliquer davantage de partenaires

Baisser les coûts de fonctionnement de 1000 € par an

Se fixer des objectifs réalistes

Montant de la réserve

Pourcentage du budget imputable à chaque partenaire

Quantité d'électricité consommée par mois

Sélectionner quelques indicateurs faciles à suivre

Mettre en place uneréserve

Faire une prospectionsystématique des partenaires possibles

Choisir des équipementspeu consommateurs d'énergie


3.2 Deuxième étape : évaluer votre actionAprès un laps de temps à définir selon votre contexte (un an,un trimestre, 6 mois, 18 mois, …), vous allez pouvoir évaluervotre action en utilisant votre outil.

Renseignez le Tableau n°2 :

Quels objectifs vous êtes-vous fixés ?

Quels moyens avez-vous mis en œuvre ?

Quels indicateurs avez-vous choisis ?

Vous pouvez reporter dans le tableau n°2 les éléments notésprécédemment dans le tableau n°1.

Quels sont les résultats obtenus ?

Pour répondre à cette question, il est nécessaire de mesurerl’écart entre la situation au moment de l’évaluation et celleobservée lors de l’état des lieux.

Quelle appréciation donnez-vous ?

Exemples : L'objectif est-il atteint ? Partiellement atteint ? Pas atteint ?

Quelle décision prenez-vous ?Exemples : Vous définissez de nouveaux objectifs

Vous arrêtez l'actionVous poursuivez l'actionVous définissez de nouveaux moyens à mettre en œuvreVous définissez de nouveaux indicateurs de résultat, …


Domaines Objectifs à Moyens mis Indicateurs Résultat des Appréciation Décisionatteindre en œuvre suivis indicateurs

[Tableau n°2 : votre grille d’évaluationAxe économique


Axe social


Axe environnemental

Résultats positifs :

Résultats négatifs :






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Domaines Etat des lieux Objectifs à atteindre Moyens à mettre en œuvre Indicateur sdont est mesurée la progression

[Axe économique

Stabilité générale de la structure

Avez-vous des difficultés budgétaires ?de trésorerie ?

D'où proviennent vos recettes (ventes, subventions, …) ?

Quelle est votre part d'auto-financement ?(recettes propres : ventes, cotisations,…par rapport aux subventions)

Quel est votre résultat annuel (recettes sur dépenses, avec subventions et sans subvention) ?

De quelles réserves financières disposez-vous en cas de difficulté ?

De quels matériels et locaux disposez-vous ?quelle valeur représentent-ils ?

Dans quel état sont-ils ? quelle incidence a cet état sur votre fonctionnement ?

Diminuer les problèmes de trésorerie

Augmenter le budget de la structure

Atteindre une stabilité économique

Maintenir une stabilité économique

Faire face à des difficultéséventuelles (difficultés de trésorerie, notamment retardde paiement des clients et partenaires, nécessité de licenciements…)

Améliorer les conditions de travail

Mettre en place des outils de gestion (du fonctionnementinterne et de chaque action)annuels et assurer un suivi mensuel

Mettre en place une réservefinancière

Réaliser des investissements pouvant offrir une garantie en cas de difficultés

Réaliser les travaux et achatsnécessaires

Indicateurs généraux (pour l'ensemble de la structure) :évolution du budget prévisionnel,de la trésorerie, du temps passéet des dépenses pour chaqueposte du fonctionnement interne (1)

Coût de fonctionnement de la structure (dépenses – subventions)

Montant de la réserve financière

Taux de satisfaction des personnes(salariés, bénévoles, usagers,clients) qui utilisent les locaux, lematériel, sur la base d’un ques-tionnaire régulièrement distribué

3.3 Grille de référence

(1) Il s'agit d'outils de comptabilité analytique. Ils permettent de différencier ce que l'on peut affecter à chaque action de ce que l'on affecter au fonctionnement général de la structure.

Cette grille illustre chacun des trois axes du développementdurable par une présentation des questions qu'il convient dese poser dans différents domaines. Les colonnes suivantesprésentent des exemples d'objectifs, de moyens et d'indica-teurs correspondant à certaines de ces questions.

Certaines rubriques de cette grille de référence ne seront paspertinentes dans certains contextes, d’autres s’avèrerontmanquer : à chacun d'en juger.

Légende de la grille de référenceChaque axe propose les domaines d’évaluation les plus courants (liste non exhaustive).

Axe économique : stabilité générale de la structure, rentabilité de chaque action, partenaires économiques etfinanciers.Axe social : équipe, formation, partenaires, public cible de vos actions, insertion. Axe environnement : santé et sécurité, ressources naturelles, paysage, biodiversité, pollution et nuisances, écocitoyenneté.

La colonne "état des lieux" liste des exemples de questions auxquelles il faut répondre pour savoir d'oùvous partez (diagnostic de l'état actuel) et pouvoir vous fixer des objectifs.A chacun d'identifier les domaines les plus pertinents à analyser dans son cas. A titre d'exemples, plusieursquestions sont proposées dans le tableau. Les moyens et indicateurs peuvent répondre à plusieurs objectifs.

Les parties en italique permettent de mettre en évidence les interactions qui existent entre chacun des trois axes.



Domaines Etat des lieux Objectifs à atteindre Moyens à mettre en œuvre Indicateursdont est mesurée la progression

Contexteéconomique et financier

Dans quel contexte s’inscrivent vos activités(activités concurrentes, politiques de l’Etat et des collectivités locales en la matière…),avez-vous exploité ces éléments lors du lancement de vos actions ?

Quels sont les organismes qui mènent des activités similaires aux vôtres, au niveaucommunal, intercommunal, régional ?

Quels sont vos partenaires économiques ?

Quels sont leurs critères de financement ?

Quels suivis exigent-ils ?

Quelles relations entretenez-vous avec vos banques ?

Quelles sont vos possibilités de crédit ?

Mieux situer vos actions dansle contexte local

Mieux connaître la concurrenceet se situer par rapport à elle

Développer les partenariats

Développer des relations deconfiance avec vos banques

Participer à des regroupementsprofessionnels

Mettre en place une stratégie de démarchage

Actions réalisées dans le cadrede ces groupements

Nombre de partenaires

Montant des aides par partenaire

Facilités de trésorerie, créditsaccordés

Rentabilité de chaque action

Combien d'actions ou groupe d'actionsmène votre structure dans la même période ?

Quelle est la part des recettes-dépensespropres à chaque mission / contrat ?

Quelles sont les actions pour lesquelles ce rapport est positif ?

Comment évaluez-vous le prix de vente de vos prestations ?

Augmenter la rentabilité de chaque action

Compenser une action non rentable par une action à forterentabilité

Effectuer un suivi individualisé de chaque action

Indicateurs par action : évolutiondu budget, du temps par salariéou bénévole, de la part du budgetdes sous-traitants, des dépensesspécifiques (déplacements,achats, repas, …)

Taux d'auto-financement de lastructure et de chaque action


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Domaines Etat des lieux Objectifs à atteindre Moyens Indicateursdont est mesurée la progression

[Axe social

Gestion de l’équipe

Constitution de l’équipe

Partenaires(socio-économique)

Comment prenez-vous en compte la progression des salariés?

Comment prévoyez-vous de les faire progresser ?

Comment avez-vous organisé les 35h ?

A quelle convention collective vous ratta-chez-vous ? Quels sont vos écarts entrecelle-ci et la réalité de vos activités ?

Comment est constituée votre équipe(répartition % salariés - bénévoles/élus) ?

Dans quelle mesure prenez-vous encompte l'évolution des équipes (salariés - bénévoles/élus) ?

Quelles sont les compétences environnementales de vos salariés ?

Dans quelle mesure intégrez-vous des compétences environnementales dans vos actions ? dans votre structure ?

Quels liens avez-vous avec les professionnels de l'environnement ?

Quels sont vos partenaires sociaux ?

Comment les démarchez-vous ?

Quels rendus/retours exigent-ils ?

Comment les intégrez-vous à votre projet ?

Dans quelle mesure développez-vous des pratiques partenariales ?

Comment êtes-vous organisés pour répondre à de nouvelles sollicitations de partenaires ?

Permettre la progression des salariés

Appliquer la convention collective

Changer de convention collective

Gérer l'évolution des équipes

Intégrer des compétences environnementales dans votre structure, votre action

Développer les pratiques partenariales

Diversifier avec cohérence vos partenaires

Impliquer davantage les partenaires dans le suivi des actions menées conjointement

Evaluer les connaissances acquiseset le travail réalisé

Reconnaître et valoriser les compétences acquises

Faire évoluer les postes et carrières

Suivre l'évolution de la constitutionde l'équipe

Identifier les responsabilités de chacun

Partager les responsabilités

Embaucher un spécialiste de l'environnement

Participer à des formations dans le domaine de l'environnement

Créer des lieux d'échanges pour aborder les questions environnementales (réunions,documentation, …)

Développer un partenariat avec des structures du champ de l’environnement

Recenser les partenaires par échelle géographique (locale,départementale, régionale, nationale,…)

Caractériser les types de partenariat (financier, technique,structurel, méthodologique,montage de projet, …)

Assurer un suivi du projet auprès des partenaires

Organiser des réunions d’information ou de travail

Résultat d'un entretien individualisé

Niveau de salaire et contenu des missions

Taux d'absence

Rapport temps de travail bénévoles/salariés

Comparaison entre les missions des bénévoles et des salariés

Nombre de spécialistes (dans chacune des 4 catégoriesde l'environnement) intégrés à l'action

Caractéristiques des formationsen environnement suivies :nombre, thèmes, type (théorique, pratique)

Nombre de partenaires paréchelle géographique

Nombre de partenaires par typologie

Nombre de réunions organisées

Pourcentage d'aides apportéespar chaque partenaire dansvotre budget

Nombre de partenaires présents aux réunions

Management

Organisation interne

Salariés, bénévoles / élus

Socio-environnement




Public cible de vos actions

Insertion

A qui s’adressent vos actions ? quels sont vos "clients/bénéficiaires"(directs et indirects)?

Quel type de relation entretenez-vousavec eux ?

Quelles sont vos priorités ou celles induites par vos partenaires en matière de public cible ?

Quelles sont les nuisances qui peuventatteindre vos clients ? vos voisins ?

Quel est le coût de fonctionnement par usager, par activités, par période ?

Comment évolue-t-il ?

Dans quel cadre accueillez-vous des publics en insertion ?

• Chantier école ou chantier d’insertion

• Formation pré-qualifiante ou qualifiante

• Suivi social

• Accompagnement pour la recherched’emploi

Rencontrez-vous des difficultés de recrutement ?

Comment suivez-vous la progression du public ?

Comment prévoyez-vous de les faire progresser ?

Améliorer la qualité du service rendu

Répondre à vos priorités en terme de public cible

Répondre aux attentes et besoins de vos publics

Limiter les nuisances liées à vos activités

Adapter au mieux le coût au public et à ses moyens

Trouver des partenaires pérennes pour les prestations destinées à des publics peu solvables

Mieux coordonner l’ensemble des interventions : formationtechnique et théorique, suivisocial.

Développer des relations partenariales avec les acteurssociaux.

Améliorer l’insertion sociale des personnes bénéficiaires

Evaluer la progression des personnes en insertion

Améliorer l'efficacité de l'accompagnement

Identifier le niveau de satisfaction de vos "clients/bénéficiaires" ?

Identifier les besoins de vos"clients/bénéficiaires"

Recenser l’ampleur et les spécificitésde vos publics cibles

Identifier et mettre en œuvre des processus de réduction des nuisances

Rapprocher les coûts de fonctionne-ment des prix de ventes praticables

Intervention de professionnels extérieurs pour l’accompagnement social

Suivre les parcours

Evaluer les connaissances acquises(théoriques et pratiques)

Evaluer la motivation, l’hygiène,la santé, le relationnel, la prise d’initiatives, etc.

Valoriser les compétences acquises

Nombre de plaintes

Nombre de questionnaires distribués et remplisNombre de participants (par exemple pour une structure d’animation s’adressant aux scolaires) :nombre de classes contactées, nombre de réponses, nombre de visites, nombresd’implications dans un projet à long terme.

Selon le cas, réaliser des mesures de bruit, d’émanationsde fumée, etc.

Ecart entre le coût de fonction-nement par produit ou activité(c’est-à-dire son prix de revientréel) et le prix de vente

Nombre de rendez-vous individuel pour accompagne-ment social

Temps consacré à la recherche d’un emploi

Notes obtenues

Nombre de sorties positives(vers l’emploi, une formation,etc.)

Caractéristiques des formationsqualifiantes suivies

A partir d’une échelle simple (1 à 5 par exemple) pour chacun des critères retenus, nombre de personnes à chaque niveaude l’échelle

Socio-environnement

Socio-économique


24


[Axe environnement

Santé et sécurité

Ressources naturelles

Biodiversité

Dans quelle mesure votre projetrisque t-il d'engendrer des impactssur la santé des personnes (salariés, riverains, clients,…) ?

Quels sont vos partenaires dans ce domaine?

Quelles sont vos relations avec lesriverains de votre structure ou lespersonnes concernées par vosactions ?

Quelles ressources naturelles utilisez-vous ?

Dans quelle mesure votre actionrisque-t-elle d’avoir un impact sur celles-ci ?

Quels sont vos partenaires dans ce domaine?

Dans quelle mesure la biodiversitédu site a-t-elle une importance dans vos actions ?

Vos actions risquent-elle d’avoir unimpact sur elle ?

Quels sont vos partenaires dans cedomaine?

Baisser le niveau sonore à 30dB(A)maximum dans les bureaux

Eviter toute incidence sur le niveausonore extérieur

Améliorer la sécurité au travail

Réduire les nuisances olfactives

Economiser la ressource en eau :ne pas dépasser xx m3 d'eau potable consommée par an

Economiser l’énergie, favoriser les énergies renouvelables

Economiser les matériaux,favoriser l’utilisation de matériauxrenouvelables ou recyclables

Maintien et amélioration de la qualité du sol

Respecter les espèces protégées

Améliorer la biodiversité des sitesoù vous intervenez

Améliorer la qualité du boisement

Vérifier la qualité de l’eau

Identifier les équipements bruyants à changer ou à isoler d’un point de vue acoustique

Sensibiliser le personnel au rôle dechacun dans le niveau sonore créé

Réaliser et afficher un plan d'urgence

Identifier les équipements et matériaux dangereux à changer ou à isoler géographiquement

Sensibiliser le personnel aux risquesliés aux équipements et aux produits

Installer des équipements moinsconsommateurs (WC avec chasseéconomique, réducteurs de pressionindividuels, économiseurs d'eau, …)

Réaliser une sensibilisation du personnel (panneaux, réunions,plaquettes, démonstrations, …)

Connaître les espèces protégées

Mettre en œuvre des mesures pourprotéger ces espèces

Suivre l'évolution de ces espèces

Mesure du niveau sonore intérieur et extérieur

Nombre de plaintes

Enquête de voisinage

Nombre d'accidents survenus

Suivi de la consommation d’eau :volume d'eau potable consommée par mois

Suivi de la consommation partype d’énergie

Suivi de la consommationpar type de matériaux

Analyse physico-chimique du sol

Nombre et type d’espèces et d’habitats présents

Inventaire de la végétation :liste des espèces présentes(herbacées, arbustes, arbres)avec indication de rareté

Inventaire et état sanitaire dupeuplement arborescent

Inventaire de la faune vertébrée, voire invertébrée

Indices biologiques globauxselon la norme AFNOR

Suivi photographique

Nuisances sonores, olfactives, confort,

santé, nuisances olfactives, toxicité, risques sanitaires

Énergies renouvelables ou non, eau, matières

premières, sol

Faune, flore, habitats, rareté, protection




Paysage patrimoine bâti, espaces verts

Pollutions et nuisances

Ecocitoyenneté

Economie et environnement

Dans quelle mesure veillez-vous à l'intégration de votre action dans le paysage, en particulier vos locaux, le parking de vos véhicules… ?

Comment vos actions et votrestructure sont perçues par votreentourage ?

Quels sont vos partenaires dansce domaine?

Avez-vous développer en interneun système de gestion desdéchets ?

Dans quelle mesure favorisez-vous le développement de l’écocitoyenneté de vos clients ou publics cibles ?

Quels sont les économies, lescoûts évités grâce aux mesuresprises en matière d’environnement ?

Préserver, améliorer le paysage

Préserver le patrimoine local

S'assurer que l'aménagement liéau projet ou le bâtiment de lastructure s'insère dans le paysage

Limiter la production de déchets

Augmenter le tri

Valoriser les déchets

Limiter les eaux usées, recycler les eaux usées

Veiller à une bonne intégrationdans le site de la publicité et de la signalisation liées à la structureet à ses activités

Améliorer l’écocitoyenneté

Valoriser les efforts faits en matière d’économie d’énergie et d’eau potable

Choisir des matériaux locaux

Respecter les prescriptions du POS(Plan d'Occupation des Sols) ou du PLU (Plan Local d'Urbanisme)

Informer, sensibiliser et former les salariés aux pratiques de tri,de limitation des gaspillages (papier, etc.)

Réaliser des animations auprès despublics ciblés (scolaires, adhérents,grand public, etc.)

Réaliser des journées d’informationsou de sensibilisation sur des thèmesspécifiques

Réaliser des journées portes-ouvertes de votre structure

Participer à des colloques nationaux,régionaux, etc.

Estimer les coûts évités et publierrégulièrement les résultats en interne et/ou en externe

Nombre de plaintes des riverains

Enquête de voisinage

Etat des du patrimoine et avancée des restaurations

Suivi photographique du site

Volume de déchets par type de déchets

Suivi du devenir des déchets

Suivi photographique du site

Nombre de personnes touchées

Enquêtes d’évaluation (questionnaires distribués à la fin de chaque prestation)

Nuisances liées à la fréquentation

Respect de la réglementationofficielle ou propre au site

Montants économisés par exemple en eau, énergie au furet à mesure des efforts faitspour réduire les volumes

Publications

(Déchets, eaux usées, publicité et signalisation)

Des clients et bénéficiaires


AnnexesAnnexe 1 Liste des structures ayant participé à l’élaboration de l’outil

Annexe 2La charte de qualité du RESE et extrait de son règlement

Annexe 3Pour en savoir plus

Annexe 4Les organismes du RESE

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Structures rencontrées dans le cadre du diagnostic préalable :

ACR

APRAE

Base de loisirs de Buthiers

Fraternité Saint-Jean

Initiatives 77

Le Centre Ornithologique d’Ile-de-France (CORIF)

La Fondation des orphelins apprentis d’Auteuil

Le Pain de l’Espoir

Les Tri-Porteurs

L’Union régionale de la CLCV (Confédération de laconsommation du logement et du cadre de vie)

Vie Vert

Structures ayant testé l’outil :

ACR

IDEMU

Le Centre Ornithologique d’Ile-de-France (CORIF)

Le Pain de l’Espoir

Vie Vert


Liste des structures du RESE ayant participé à l’élaboration de l’outil

Annexe 1


Les membres fondateurs du Réseau économie sociale et envi-ronnement (RESE), issus des organismes bénéficiaires desContrats Verts Ile-de-France, sont conscients de l’enjeu quereprésente la démarche de développement durable, c’est-à-dire de concilier l’environnement avec le développementéconomique en intégrant la dimension sociale.

Afin de poursuivre, voire de renforcer cette démarche initiéedans le cadre de leurs projets, les membres du RESE ont cons-truit cette charte afin de formaliser pour ce réseau, les prin-cipes généraux d’organisation et d’animation, ainsi que lesrègles de fonctionnement et leurs modalités d’application.

Principes généraux de la charte qualité

Objectifs du réseauCréé en 1998, le Réseau économie sociale et environnement aété initié et est animé par l’ARENE (Agence régionale de l’en-vironnement et des nouvelles énergies), en collaborationavec la DIREN Ile-de-France. Il a pour but de contribuer audéveloppement d’activités durables dans le domaine del’environnement, permettant la création d’emplois.

Ainsi, le réseau est un lieu, à l’échelle régionale, de ressourceset de développement de projets d’environnement créateursd’activités et d’emplois, un lieu d’échange d’expériences etde mise en commun d’outils, de pratiques, de compétences,d’informations.

A cette fin, le RESE crée, met en œuvre et développe desactions et des outils spécifiques au bénéfice de ses membres.

Qualité des projetsLa présente Charte est bâtie sur trois principes fondateurs :

• La qualité environnementale des projets,• La qualité du suivi social, de l’encadrement et de la formation,• La perspective de pérennisation des activités et des emplois.

Ces principes sont mis en application dans le cadre des pro-jets et des actions des membres du RESE.

Activités recevables du réseauElles concernent, dans le domaine de l’environnement etde l’économie sociale, les activités suivantes :

Axe environnement• Gestion écologique de l’espace• Gestion des ressources (eau, énergie, déchets), dont collecte

sélective et valorisation des déchets• Jardinage et agriculture biologiques• Animation, formation, pédagogie de l’environnement• Ingénierie, aide au montage de projet dans le domaine de

l’environnement.

Axe économie sociale et emploi• Formation• Insertion• Lien social• Animation locale

28

La charte de qualité du RESE

Annexe 2


Le réseau pourra s’ouvrir à d’autres domaines de l’environ-nement en fonction de l’émergence de nouveaux projets.

Membres du RESELes membres actifs sont les signataires de la présente Charte.Ils s’engagent à en respecter les principes, bénéficient desactions et échanges mis en œuvre dans ce cadre et partici-pent à l’évaluation annuelle.

Des structures, non signataires, peuvent participer à certai-nes actions du réseau en tant que “membre associé”.

Les membres actifs ou associés ont au moins une partie deleur activité en Ile-de-France.

Articulation avec d’autres réseauxLe Réseau économie sociale et environnement Ile-de-Franceintervient sur un champ spécifique, à la croisée de l’écono-mie sociale et de l’environnement. Il œuvre pour la créationd’activités durables et d’emplois dans le domaine de l’environnement.

De ce fait, il est nécessaire d’établir des liens avec d’autresréseaux qui interviennent sur des champs connexes et complémentaires. Parmi ceux-ci, on peut citer l’UREI,l’Association Chantiers Ecoles antenne Ile-de-France, laFNARS, Ile-de-France Environnement, le GRAINE Ile-de-France,Territoires Environnement Emplois.

Extrait du règlement de la charte(1) de qualité1 Qualité des projets et des actions

1.1 Qualité environnementale des projetsLes membres du réseau s’engagent à suivre au mieux, enfonction de leur projet, la trame idéale en matière de qualitéenvironnementale.

Cette trame est à adapter en fonction du projet. Elle concerneplus spécialement les projets d’aménagement ou de gestiondes espaces, mais peut se décliner sur d’autres types de projets.

La mise en place d’une gestion environnementale sedéroule toujours en trois phases :

• Un diagnostic sur l'état actuel de l'environnement du siteconsidéré et du contexte dans lequel il se situe, ses atouts,ses faiblesses et son potentiel. Le diagnostic est un passageindispensable pour définir les objectifs et s’assurer de ne pasavoir d’impacts négatifs sur l’environnement.

• La définition des objectifs de gestion d'un site à court,moyen et long terme, tenant compte de l’ensemble descontraintes et orientations (utilisation du site, cadre régle-mentaire, priorité en terme de préservation de la faune, de laflore et des paysages, etc.).

outil d'auto-évaluation des projets - RESE 29(1) Charte consultable dans son intégralité sur le site Internet de l’ARENE (www.areneidf.com).


• L’établissement d’un plan d'actions et/ou d’un cahier descharges qui répondent à ces objectifs comprenant les tra-vaux éventuels de remise en état, les travaux d’entretien etles modalités de suivi de gestion.

Le périmètre d’étude doit être suffisamment large pour per-mettre une analyse cohérente des facteurs environnementauxet une prise en compte complète des diverses composantesde l’équipement envisagé, sans tenir compte des limitesadministratives (par exemple : considérer plutôt le bassinversant de la rivière que les limites du département).

A chaque étape du travail, la consultation des différentsacteurs (usagers du site, voisins, partenaires locaux) esttrès importante :

• parce qu’ils détiennent des données sur l’environnement, • pour éviter des conflits d’usage ultérieurs et surtout,• parce que “la meilleure façon de traiter les questions d’en-vironnement est d’impliquer tous les citoyens” (Rio 1992).

Il est fondamental de motiver les différents acteurs par rapportà la gestion de leur environnement et, pour cela, la démarchedu diagnostic écologique préalable doit également être uneaction pédagogique, une occasion d’apprendre à compren-dre et à gérer son environnement.

Les membres du réseau, s’engagent à travailler avec lesacteurs de terrain, à faciliter le dialogue entre ceux-ci et lesaider dans l’analyse des éléments de l’environnement.

1.2 La qualité du suivi socialPour les projets développant des actions d’insertion, les membres du réseau veilleront à la qualité du suivi despersonnes, le développement d’outils dans ce domaine, laqualité de la formation, la réflexion sur les métiers.

Les membres du réseau acceptent les termes de la CharteChantier Ecole, qu’ils en soient signataires ou non.

L’insertion sociale des individus passe par la mise en œuvrede pratiques intégrées à une dynamique locale. Afin d’opti-miser les chances de réussite de leurs actions, les membresdu réseau solliciteront l’appui de l’ensemble des dispositifset des acteurs locaux institutionnels ou/et associatifs. Il s’agitde mobiliser, autour de la recherche de la meilleure solution,des acteurs aux pratiques et cultures différentes, tels que lestravailleurs sociaux de la CAF, de l’unité territoriale d’actionssociale, le coordinateur emploi formation de la DDTEFP, lamission locale ou la PAIO, le PLIE, l’agence locale pour l’emploi,le ou les organismes de formation, les entreprises locales du domaine concerné, etc. De cette confrontation naîtral’efficacité.

L’objectif principal est de conduire des jeunes et des adul-tes en situation de chômage et de désinsertion sociale etprofessionnelle, vers une situation d’emploi. De fait, il estimportant que pour tout projet, une attention particulièresoit portée à :

• l’organisation du travail pour permettre une intégration dela personne au sein de l’équipe et sur le poste de travail ;

• la mise en place d’un encadrement adapté en vue d’assurerune progression de l’individu dans un contexte professionnel

30

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(présence de salariés formés au management, à la gestionsociale, au droit du travail, etc.) ;

• la professionnalisation des postes, envisagée au travers dela recherche d’une formation permettant une confirmationdu projet professionnel et facilitant une plus grande adapta-tion au poste de travail.

∑1.3 Qualité de la pérennisation de l’activité etdes postes

Pérennisation de l’activité

L’activité existera parce que l’on aura identifié un besoin quicorrespond à une utilité sociale et/ou environnementale.

Sa pérennisation dépendra du niveau, de la nature et de lasolvabilité de ce besoin. Ce dernier pourra être potentiel,émergent ou marchand.

L’activité proposée pourra satisfaire plutôt un intérêt généralavec un financement d’origine public, ou plutôt répondre àun intérêt particulier avec un financement d’origine privée.

Sa pérennisation devra s’inscrire dans les lois du systèmeéconomique productif actuel :

• sa rémunération sera la principale / la première forme dereconnaissance, de valorisation d’une activité,

• la mesure permettra d’estimer cette rémunération.

L’activité devra faire la preuve d’un retour sur investissementqui supposera une “capitalisation de l’environnement”, avecl’extrême complexité de qualifier une plus-value environne-mentale sur des échelles de temps relativement courtes en

comparaison de celles référencées dans les entreprises et lespolitiques.

L’activité développée aura fait l’objet d’une réflexion finan-cière sur les prix.

Pérennisation des postes

La pérennité du poste pourra se résumer à cette question : aubout de x années, quelle sera la part du budget du postedirectement assurée par la structure ?

Différents critères permettront d’évaluer cette pérennité.A titre d’exemple, nous pouvons citer :

• le niveau de compétence en environnement de la personnerecrutée,

• la nature du contrat, • le niveau de formation,• le coût du poste, • l’existence de conventions collectives en référence à une

nomenclature PCS,• l’ancienneté de la structure et sa taille,• son assise financière,• son réseau,• sa capacité de développement et de créativité.

Les membres du réseau s’engagent, dans le cadre d’unecréation d’emploi dans le domaine de l’environnement, àétudier ses différents paramètres, notamment ceux qui favoriseront la pérennité du poste.



Sites InternetUnion Européenne - Fonds structurels- Régions

• Site officiel de l’Union Européennehttp://europa.eu.int

• Site d’information sur l’Union Européennehttp://www.info-europe.fr

• Site sur les fonds européens de développement régional et lesfonds structurels européens de cohésionhttp://inforegio.cec.eu.int

• Office des publications officielleshttp://publications.eu.int/general/fr/index_fr.htm

• DATAR - Délégation à l’Aménagement du territoire et à l’action régionalehttp://www.datar.gouv.fr

Services publics • Service public actualités

http://service-public.fr• Service public de la diffusion du droit (JO de la République

française et JO des communautés européennes)http://www.legifrance.gouv.fr

• Journal officielwww.journal-officiel.gouv.fr

Evaluation• Site du Conseil national de l’évaluation

http://www.plan.gouv.fr/organismes/cne• Site de la Société Française d’Evaluation

http://sfe.asso.fr• Site de la Société Européenne d’Evaluation

http://europeanevaluation.org

Monde associatif• Site d’informations (juridique, social, comptable, fiscal) sur les

associationshttp://www.cicos.asso.fr

• Vie associativehttp://www.associationmodeemploi.fr

Emploi / formation• ANPE

http://www.anpe.fr• AFPA

http://www.afpa.fr• Territoires Environnement Emploi

http://www.reseau-tee.net http://www.tee-idf.net

• Formations et métiers en environnement http://ecoformations.fr.st

BibliographieEvaluation de l’action d’éducation à l’environnement sonore à Issy-les-Moulineaux - mars 2001 - ARENE IDF

Etude sur “l’Approfondissement de la dimension qualitative de l’éducation à l’environnement en Ile-de-France” - décembre 2000 - ARENE IDF

Culture et Promotion, Éclairages sur l’évaluation de l’utilité sociale des associations, Dossiers pour notre temps n°99 octobre-décembre 2001

Culture et Promotion, Comment évaluer son utilité sociale ?Bilan d’une expérimentation associative, Dossier pour notre temps n°98 juillet-septembre 2001

32

Pour en savoir plus

Annexe 3


Conseil scientifique de l’évaluation, Petit guide de l’évaluation des politiques publiques, La Documentation française, 1996.

Eckert D., Évaluation et prospective des territoires, Reclus,La Documentation française, 1996.

Conseil scientifique de l’évaluation, L’évaluation en développement, 1995.

Adresses utilesADEME – Délégation Régionale Ile-de-FranceAgence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie6-8, rue Jean Jaurès - 92807 PUTEAUX cedex http://ademe.fr/ile-de-france

Agence de l’eau Seine Normandie51, rue Salvador Allende - 92027 NANTERRE Cedexhttp://aesn.fr

ARENE Ile-de-France - Agence régionale de l’environnement et des nouvelles énergies94 bis, avenue de Suffren - 75015 PARIShttp://www.areneidf.com

CARIF – Centre d’Animation de Ressources et d’Informations sur les Formations en Ile-de-France63, avenue de Suffren - 75007 PARIS - http://www.carif.asso.fr

Conseil Régional d’Ile-de-France33, rue Barbet de Jouy - 75700 PARIS - http://iledefrance.fr

DIREN Ile-de-France - Direction Régionale de l’Environnement18, avenue Carnot - 94234 CACHAN Cedexhttp://www.environnement.gouv.fr/ile-de-france

DRASS -Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales58-62, rue de Mouzaïa - 75935 PARIS Cedex 19http://ile-de-France.sante.gouv.fr

DRDJS -Direction Régionale et Départementale de la Jeunesse et des Sports6-89, rue Eugène Oudiné - 75013 PARIShttp://www.jeunesse-sports.gouv.fr

DRTEFP - Direction Régionale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle66, rue de Mouzaïa - 75951 PARIS Cedex 19

Fédération Nationale des Conseils d’Architecture, d’Urbanisme et d’Environnement20, rue du Commandeur - 75014 Paris - http://www.fncaue.org

IFEN - Institut Français de l’Environnement61, bd Alexandre Martin - 45058 ORLEANS Cedex 1http://www.ifen.fr

Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable20, avenue de Ségur - 75302 PARIS 07 SPhttp://www.environnement.gouv.fr

Ministère des Affaires Sociales, du Travail et de la Solidarité• Administration travail

127, rue de Grenelle - 75007 PARIS - http://www.travail.gouv.fr

• Administration affaires sociales et solidarité8, avenue de Ségur - 75007 PARIS - http://www.social.gouv.fr

Préfecture de la région Ile-de-France29, rue Barbet de Jouy - 75007 PARIShttp://www.idf.pref.gouv.fr



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Les organismes du RESEAnnexe 4ACIF LA FERTÉ-SOUS-JOUARRE 77ACR Insertion CONFLANS SAINTE HONORINE 78Action Emploi ETAMPES 91AIPreFon VERNOU-LA-CELLE-SUR-SEINE 77Alliage Vert et Or BAGNEUX 92Amis des Domaines de Champs et Jossigny ENGHIEN 95APCIS STAINS 93APIJ SAINT-DENIS 93Association Brunoyenne de Prévention et d’Animation BRUNOY 91Association Naturalistes des Coteaux d’Avron - ANCA NEUILLY-PLAISANCE 93Association Relais Nature de Bièvres BIEVRES 91Association Sauvegarde Nature Seine-et-Marnaise GUERARD 77Association AIME : ICI ET LA-BAS CLICHY-LA-GARENNE 92Association Chantier Yvelines VERSAILLES 78Association ESIF PARIS 75Association Objectif Emploi ! SAINT-DENIS 93Association de Sauvegarde de notre Environnement Sonore PARIS 75Association Territoires SAINT-DENIS 93Autour de Vous AUBERVILLIERS 93AYE AYE Environnement PARIS 75BUPALO - Base de plein air et de loisirs de Buthiers BUTHIERS 77CAUE du Val d’Oise CERGY PONTOISE CEDEX 95CCAS de Versailles VERSAILLES CEDEX 78Centre des Bâteaux Lavoirs SAINT-DENIS 93CFPPA Bougainville BRIE-COMTE-ROBERT CEDEX 77CHEP LE TREMBLAY SUR MAULDRE 78CLCV Union Régionale PARIS 75COMURNAT PARIS 75Conseil Général de Seine et Marne DAMMARIE-LES-LYS 77Conseil Général de l’Essonne EVRY CEDEX 91Conseil Général des Hauts de Seine NANTERRE CEDEX 92Consommation Logement & Cadre de Vie - CLCV PARIS 75CORIF MONTREUIL 93CPIE Marne et Seine - Maison de l’environnement MORET-SUR-LOING 77Communauté de communes du Pays de l’Ourcq LIZY-SUR-OURCQ 77Communauté de communes Le Pays Créçois VILLIERS-SUR-MORIN 77Communauté de communes Les Portes de l’Essonne JUVISY-SUR-ORGE 91Didaction BOISSY-SAINT-LÉGER 94Ebullition L’ILE-ST-DENIS 93Espaces MEUDON 92Essonne Nature Environnement CHAMARANDE 91Fédération Nationale des clubs CPN ETAMPES 91Fondation Energies Pour Le Monde PARIS 75Fraternité Saint Jean SAINT-PRIX 95Graine Ile-de-France JUVISY-SUR-ORGE 91Halage L’ILE-SAINT-DENIS 93Humus et Vie VILLEJUIF 94IDEMU L’ILE-SAINT-DENIS 93Ile-de-France Environnement PARIS 75Initiatives 77 MELUN 77Initiatives Environnement L’ILE-SAINT-DENIS 93INSERPRO ELANCOURT 78Itinéraires Services SEVRES 92Jeunes dans la Cité FONTENAY-AUX-ROSES 92Jeunes pour la Nature ETAMPES 91Jeunes pour la Nature IDF PARIS 75L’Intercommunal VERNOU-LA-CELLE-SUR-SEINE 77La Croix du Bois Ville Verte VOISINS-LE-BRETONNEUX 78Le Pain de L’Espoir MELUN 77

Le RELAIS Val de Seine CHANTELOUP-LES-VIGNES 78Le Renard ROISSY-EN-BRIE 77Les Amis de Boissets BOISSETS 78Les Amis de l’Atelier CHATENAY-MALABRY 92APRAE - Les jardins biologiques du Pont Blanc SEVRAN 93Les Mains Vertes du District BRIIS-SOUS-FORGES 91Les Orphelins Apprentis d’Auteuil PARIS Cedex 16 75Les Orphelins Apprentis d’Auteuil – Maison St Vincent de Paul TOURNAN-EN-BRIE 77Les Orphelins Apprentis d’Auteuil – Maison St Antoine MARCOUSSIS 91LES TRI PORTEURS LES MUREAUX 78Commune d’Antony ANTONY 92Commune d’Avon AVON CEDEX 77Commune d’Elancourt ELANCOURT 78Commune d’Everly EVERLY 77Commune de Bonnelles BONNELLES 78Commune de Bougligny BOULIGNY 77Commune de Bussy-St-Georges BUSSY-ST-GEORGES 77Commune de Cesson CESSON 77Commune de Chelles CHELLES CEDEX 77Commune de Corbreuse CORBREUSE 91Commune de Couilly-Pont-aux-Dames COUILLY-PONT-AUX-DAMES 77Commune de Fontainebleau FONTAINEBLEAU CEDEX 77Commune de Jouars-Pontchartrain JOUARS-PONTCHARTRAIN 78Commune de Mantes-la-Ville MANTES-LA-VILLE 78Commune de Montereau-Fault-Yonne MONTEREAU-FAULT-YONNE CEDEX 77Commune de Nemours NEMOURS 77Commune de Pantin PANTIN 93Commune de Pontault-Combault PONTAULT-COMBAULT 77Commune de Rambouillet RAMBOUILLET 78Commune de Saint-Prix SAINT-PRIX 95Commune de Sceaux SCEAUX 92Commune de Souppes-sur-Loing SOUPPES-SUR-LOING 77Commune de St-Fargeau-Ponthierry ST- FARGEAU-PONTHIERRY 77Commune de St-Pierre-les-Nemours ST-PIERRE-LES-NEMOURS 77Commune de Thomery THOMERY 77Maison de l’environnement de Morsang-sur-Orge MORSANG-SUR-ORGE 91Mission d’Education Permanente de Torcy TORCY 77Natur’Essonne LONGPONT-SUR-ORGE 91Nature et Société St-MAUR-DES-FOSSES 94Planète Sciences IDF EVRY 91PLIE de Gennevilliers GENNEVILLIERS 92PNR du Vexin Français THEMERICOURT 95Provins Etape PROVINS 77REALITE COULOMMIERS 77SAN de Sénart LIEUSAINT CEDEX 77SAN du Val d’Europe MARNE-LA-VALLÉE Cedex 4 77SICTOM de La Région de Provins POIGNY 77SICTOM de Rambouillet RAMBOUILLET 78SIVATRU TRIEL-SUR-SEINE 78SIVOM des Etangs de Hollande ST-LEGER-EN-YVELINES 78SMETOM POIGNY 77Territoires Environnement Emplois PARIS 75Travail Entraide TOURNAN 77URCAVIE VILLIERS-LE-BACLE 91Val de Seine Vert SEVRES 92Vie Vert CORMEILLES-EN-VEXIN 95Vivacités IDF MONTREUIL 93Yvelines Environnement VERSAILLES 78

Organismes Ville Dpt Organismes Ville Dpt


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Réseau économie sociale et environnement d’Ile-de … · Le Réseau économie sociale et environnement a été cr ... vocation d’être à l’échelle régionale un lieu de