Resolutions SR7 Rhône-Apes Grenoble 2013

LIVRET DE RESOLUTION

7è Session régionaleParlement Européen des Jeunes - France

Du 20 au 22 avril 2013Grenoble

MOTION POUR UNE RESOLUTION PAR LA COMMISSION :

ENVI I - COMMISSION DE L’ENVIRONNEMENT, DE LA SANTE

PUBLIQUE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE

Comment la politique climatique de l'UE peut-elle concilier l'efficacité de la lutte contre le réchauffement climatique et les préoccupations économiques des entreprises et des citoyens ? Soumise par: BOLZE Cécile, GATEAU Clément, GOUPIL Nadia, GUIGUET Robin, LEBRUN Laura,

PESENTI Cyril, SALIN Mathilde, ZULOAGUA Manuel, BOUHEND Abdellah (Président de commission, FR)

Le Parlement Européen des Jeunes,

A. Regrettant vivement que l’un des problèmes majeur de santé soit la pollution de l’air par les particules fines qui cause 16000 morts par an en France et 2 millions dans le monde,

B. Observant que l’augmentation de la concentration de gaz à effet de serre provoque l’augmentation de la température globale mondiale,

C. Ayant considéré que l’investissement dans les énergies renouvelables coûte cher aux gouvernements à court terme,

D. Regrettant vivement l’attention portée à la crise économique au détriment de la crise écologique retardant la mise en place d’une action rapide et commune,

E. Alarmé par la menace du réchauffement climatique envers la sécurité du citoyen impactant sur l’amplification et la multiplication des catastrophes naturelles,

F. Remarquant avec plaisir les initiatives privées comme le système d’«auto lib» à Paris,

G. Pensant que l’UE doit maintenir sa compétitivité au sein de la mondialisation,

H. Tout à fait conscient de l’incapacité des scientifiques, représentants politiques, économistes et citoyens à agir de manière concertée,

I. Observant qu’une étude suppose la disparition d’un quart des espèces d’ici 2050 si le rythme actuel du réchauffement climatique perdure,

J. Considérant l’inefficacité actuelle des marchés de quotas à émission;

1. Incite à limiter la part des transports individuels tout en insistant sur la mise en place d’un accès payant aux centres villes par le biais de parkings relais bus;

2. Appelle à développer les transports en communs gratuits et moins polluants à l’aide de spots publicitaires afin de promouvoir l’accès au covoiturage et à l’auto partage;

3. Soutient la création de labels de proximité promus par des offres attirantes et temporaires dans les supermarchés afin d’inciter le consommateur à acheter des produits locaux;

4. Propose l’instauration d’un grand forum dans le but de: a. rassembler des représentants politiques, des ONG, des scientifiques et des économistes; b. faire une mise au point régulière pour mettre en place des solutions rapides; c. communiquer clairement aux citoyens les résultats de ce forum par le biais des médias;

5. Informer davantage les citoyens sur les réalités du réchauffement climatique et de ses impacts

par le biais de recherches scientifiques indépendantes;

6. Appelle à la forte réduction du nombre de certificats sur le marché de quotas à émissions afin de rehausser leur prix.


AFET – COMMISSION DES AFFAIRES ETRANGERES Malgré les difficultés internes entre ses membres, l’Union européenne ne cesse de proclamer que la politique d’élargissement est au cœur du projet européen. En tenant compte des considérations internes de l’Union comme des attentes des pays candidats et des pays voisins de l’UE, quels doivent êtres les futurs axes prioritaires de cette politique ? Soumise par: BUIS Elise, DE LAMBERTERIE Angèle, DESMARET Clément, FLOR Olga, GOUTALAND

Camille, LOUVET Manon, PAUL Amélie, MARONE-HITZ Brivael, KHALJANI Peyman (Président de commission, DE)


A. Remarquant avec plaisir les efforts qu’ont fourni les candidats potentiels à l’adhésion dans l’UE,

B. Sachant que la Turquie souhaite adhérer à l’Union Européenne,

C. Tout à fait conscient des différences culturelles entre les pays européens issus de la culture chrétienne et la Turquie majoritairement musulmane, bien que le pays se soit depuis les années 1920, occidentalisé, modernisé et laïcisé,

D. Regrettant vivement la division des pays membres au sujet de la candidature de ládhésion de la Turquie à lÚE, bien qu’elle date de 1987,

E. Réalisant que les critères du traité de Maastricht ne sont plus respectés ni valables en temps de crise économique1:

F. Observant qu’en 2004, l’UE est affaiblie par un élargissement de grande ampleur, ayant

intégré 10 pays dont le niveau de richesse était inférieur à la moyenne européenne,

G. Se souvenant que l’élargissement mentionné précédemment a entrainé: a. une redistribution financière plus importante, b. une redistribution financière plus difficile à mettre en œuvre,

H. Ayant sure que que les prises de décision au sein de l’UE sont rendues de plus en plus difficiles

par: a. les disparités de puissances et de pouvoir au sein de l’Union, b. le nombre toujours plus élevé de pays membres,

I. En considérant que l’UE ne fait que s’élargir et que les limites de l’Europe politiques ne sont pas

délimitées dans un continent géographique divisé entre l’UE et l’Asie,

1 Durant l’année 2011, la dette publique de l’UE était de 87,4 % du PIB alors que le traité de Maastricht préconise un plafond de 60 % de dette publique de PIB; de plus, en 2010, l’UE avait un déficit public atteignant 6,6 % du PIB tandis que le traité de Maastricht prône 3 % de déficit public maximum.

J. Alarmé qu’avec l´élargissement de lÚE, un contrôle efficace de la corruption au sein des

espaces maritimes, les entreprises et les compagnies qui ont une activité méconnue des autorités publiques et administratives devient difficile,

1. Recommande la mise en place d’une politique de ralentissement des adhésions à l’UE, basée par un maximum de trois pays par élargissement chaque 5 ans;

2. Insiste sur le fait que les accords de Copenhague doivent être rigoureusement respectés pour que le pays candidat puisse rentrer dans l’UE;

3. Considère que les pays pouvant actuellement candidater au titre de membre de l’UE doivent avoir au moins une partie de leur territoire comprise dans les montagnes de l’Oural à l’est, l’axe du détroit de Gibraltar au sud, l’océan glacial arctique au nord, l’océan atlantique à l’Ouest, comprenant l’Islande.

4. Suggère qu’une commission d’experts se charge de vérifier le respect des Droits de l’Homme dans les pays candidats;

5. Déclare que les pays candidats devront garantir une stabilité économique et sociale au même niveau que la moyenne de l’UE, dans le but d’équilibrer la dette de l’UE;

6. Insiste sur le fait que le taux d’analphabétisme du pays candidat ne doit pas dépasser la moyenne de l’UE, pour assurer un niveau d’éducation équilibrée;

7. Affirme la nécessité d’une progressivité de l’intégration des pays en voie d’adhésion à l’UE avec une période d’essai de deux ans avant d’être considérés comme membre à part entière de l’UE;

8. Attire l’attention sur la nécessaire amélioration du niveau de la corruption des pays candidats et potentiels;

9. Considère l’espace maritime comme essentiel au développement de l’UE et exigeant la création d’une communauté diplomatique couvrant le secteur.

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1. Les pays membres doivent publier et transmettre à la Commission Européenne leurs données sur leur taux annuel de croissance.

Motion pour une résolution par la commission :

AFCO - Commission des affaires Constitutionnelles Entre la volonté de certains Etats d'aller plus loin dans l’intégration européenne et l'aspiration d’autres Etats à limiter leur participation à certains domaines politiques, quelles orientations stratégiques l'UE doit-elle prendre?

Soumise par : CARAMELLE Charlotte, CLERC Antoine, DELPEUCH Léa, DEVAUD Mickaël, LUTZ

Emilie, SALIARIS Emma, MAGNANI Sacha (Président de commission, FR), PARRULLI Lorenzo (Président de session, IT)


A. Réalisant que le système politique européen, établi en 1957 lors du Traité de Rome pour les six Etats fondateurs, et modifié radicalement à Lisbonne en 2007, n’est plus adapté à l’Europe des 27,

B. Etant profondément alarmé par le débat idéologique entre Etats-membres souverainistes et fédéralistes sur le futur de l’Union Européenne (UE),

C. Regrettant vivement la remise en question de la monnaie unique du fait de la propagation constante de la crise actuelle à tous les Etats-membres,

D. Ayant examiné que certains problèmes dans le choix de politique monétaire de l’Union Européenne sont dus à la diversité des devises au sein de l’UE ainsi qu’à l’utilisation de la monnaie unique par seulement 17 Etats-membres sur 27,

E. Remarquant avec plaisir la présence d’une grande diversité culturelle au sein de l’UE;

1. Considère préférable de suspendre momentanément l’intégration de nouveaux Etats au sein de l’UE en attendant que les Etats-membres ne remplissent les critères de Maastricht et que l’UE ne retrouve une meilleure conjoncture;

2. Fait appel à la tenue de référendums citoyens sur les projets les plus conséquents de l’UE à l’issue desquels chaque pays représenterait une voix et ce dans un esprit d’égalité entre pays membres;

3. Demande un référendum au sein de l’euro-zone quant à la conservation de la monnaie unique;

4. Exprime son appréciation face à la mise en place par la Commission Européenne du « semestre européen »1 en permettant une transparence fiscale et budgétaire des Etats-membres;

5. Appelle au rétablissement de l’emprunt à taux 0% dans l’euro-zone comme solution à l’endettement public;

6. Suggère la mise en place d’un protectionnisme au niveau de l’UE;

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7. Incite à un renforcement des échanges universitaires et à un accès facilité à la culture afin de continuer de promouvoir le multiculturalisme européen.


ENVI II – COMMISSION DE L’ENVIRONNEMENT, DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE

A une époque où l'opinion publique prend toute son importance, est-ce aux politiques ou aux citoyens de lancer les initiatives afin de protéger et d'assurer l'avenir de l'environnement ? Quelles sont les mesures et les solutions envisageables ?

Soumise par : CADARIO Pauline, GRET Camille, GLUD Margareth, HACQUES Romain, MORIN Etienne, NICOLAS Carmen, NONO Christelle, DUVAL Charles (Président de commission) (FR), BIZIEN Clément (Vice-Président) (FR)


A. Declarant que des efforts restent à envisager pour permettre une prise de conscience chez les citoyens de l'Union Européenne (UE),

B. Remarquant avec plaisir que des gestes écologiques simples comme le tri sont acquis,

C. Profondément troublé par la tendance des citoyens à délaisser les gestes quotidiens responsables, dans l'attente des actions menées par les institutions,

D. Se souvenant que les états laissent l'écologie au second plan,

E. Observant un manque d’homogénéité des politiques étatiques au sein de l'UE concernant les mesures environnementales ,

F. Prenant en conside ́ration les problèmes de communication et de transparence entre les

politiques et les citoyens au niveau des projets environnementaux,

G. Déplorant la mauvaise diffusion de l'information des Etats européens via internet,

H. Remarquant avec regret que les consommations éco-responsable génèrent des dépenses supplémentaires, ce qui rend leur accès difficile aux citoyens,

I. Insistant sur le manque d'influence des associations écologistes 1sur les politiques de par leur

trop grand nombre.

1. Soutient les actions citoyennes par mise en place de projets écologiques, infrastructures ou marchés locaux ;

2. Appelant à des réglementations plus strictes pour amorcer un changement des habitudes

1 association qui, dans son rayon d'action vise à la protection de l'environnement

individuelles ;

3. Encourage les gouvernements européens à continuer les actions quotidiennes et la formation d'une conscience écologique ;

4. Fait appel à une coopération plus rapproché entre les associations écologiques et les

ministères de l'environnement ;

5. Appelant à améliorer l'attractivité des plate-formes internet à l'aide de contenus plus interactif et plus accessible ;

6. Incite les pays européens à publier leurs plans d'actions environnementaux vulgarisés afin de

permettre une plus grande transparence et une plus grande clarté ;

7. Appelle l'UE à subventionner la production agricole biologique dans le but d'encourager une baisse des prix ;

8. Demande des subventions dans le secteur de l'innovation technologique et industrielle ;

9. Favorise la sensibilisation environnementale pour les plus jeunes au moyens d'actions

pédagogiques ;

10. Incite à la communication entre les associations écologistes* pour permettre des unions plus efficients sur l'opinion publique ;

11. Déclare d'un commun accord la création de lieux d'échanges, comme des forums annuels sur l'environnement, rassemblant :

a. des politiciens, b. des citoyens c. des entreprises.


ENVI IV - COMMISSION DE L’ENVIRONNEMENT, DE LA SANTE

PUBLIQUE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE

La santé est un secteur important dont les citoyens ne peuvent se passer. Or, il est de plus en plus visible que la fabrication des médicaments dont certains qui peuvent être lourds en agents chimiques peuvent aisément se retrouver dans les milieux naturels et parfois même directement chez l'habitant. L'Union Européenne doit-elle prendre des mesures pour contrôler les exploitations pharmaceutiques ainsi que la toxicité et la biodégradabilité des médicaments avant de les autoriser à être commercialisés ? Soumise par : BEUCHET Nahomy, CARNEVALE Renaud, CARRIERE Amandine, DANG NHU Raphaël,

HAMOUNI Cléo, MOLEINS Candice, POLLIER Tiphaine, VIVET Frédérique, FELY Samuel (Président de commission) (FR), PELMONT Marilou (Vice-Présidente) (FR)


A. Tout a fait concient que l’Union Européenne (UE) est l’un des premiers consommateur de médicaments dans le monde,

B. Regrettant vivement que les rares normes controlant les effets des déchets médicamenteux sur l’environement manque d’efficacité par :

i. leur manque de cohérence avec les problèmes à surmonter

ii. leur manque d’uniformité à travers l’UE,

C. Profondément concernés par le déversement de medicaments gaspillés potentiellement dangeureux dans la nature par :

i. les effet des ses dechets sur le métabolisme des êtres vivants

ii. la toxicité des résidus médicamenteux provoquand un déséquilibre de l’eco-système,

D. Observant à l’échelle européenne une disparité au niveau des contrôles sanitaires,

E. Reconnaissant que l’absence d’encouragements de l’UE envers les fabriquants faisant preuve de responsabilité en produisant des médicaments respectueux de l’environnement,

F. Insistant sur la necessité d’une meilleure gestion des déchets lors de leur traitement en stations d’épuration,

G. Croyants qu’une sensibilisation plus étendue de la population aux effets des dechets médicamenteux permettrait une meilleure gestion,

H. Sachant que dans un souci de rendement, une pression pese sur l’industrie alimentaire se traduisant par un usage intensif d’antibiotique dans l’élevage et la pisciculture;

1. Soutient la création de l’organisation européenne de gestion des déchets médicamenteux (OEGDM) chargée de mener:

a. la recherche sur l’aspect biodégradable des médicaments et sur la limitation de leur toxicité

b. la recherche sur les impacts de ces déchets sur l‘environnement ;

2. Appelle les Etats Membres à durcir et à uniformiser leurs exigences de qualité pour les eaux de rejet dans le but de limiter les pollutions médicamenteuses qui se traduira par :

a. des contrôles sanitaires fréquents, que ce soit au niveau des usines chimiques ou des stations d’épuration

b. d’une élévation des peines encourues en cas d’infraction;

3. Exprime son appréciation au développement des technique d’épuration à l’échelle européenne en se basant sur le modèle helvétique afin de réduire les résidus médicamenteux par les méthodes de:

a. l’ozonation

b. pieges à charbon actifs

c. filtration membranaire;

4. Recommande à l’ensemble des pays de l’union européenne la mise en place d’une campagne de sensibilisation pour rappeler l'importance de ramener les médicament non-utilisés en pharmacie et de prévenir la consommation abusive de médicaments par :

a. des spots publicitaires dans les médias,

b. des débats à l'école,

c. des informations dans les pharmacies;

5. Demande aux pays de l’Union Européenne un usage modéré des antibiotique dans l’élevage par:

a. une limitation des additifs alimentaires

b. l’augmentation de la fréquence des contrôles.


EMPL – COMMISSION DE L’EMPLOI ET DES AFFAIRES SOCIALES Alors que la mobilité des travailleurs reste l’un des piliers du projet européen, de nombreux freins, notamment administratifs, entravent son effectivité. Quelles propositions l'UE peut-elle faire pour favoriser la mobilité de ses travailleurs sur l’ensemble de son territoire ? Soumise par : CHAGUE Arthur, DA FONSECA Margot, DORIS Jocelyn, DUMASY Arnaud, GENDRE

Mélanie, LE Thi, MAGNIN Sybile, SERVET Hélia, GOUJAT-GOUTTEQUILLET Thomas (Président de commission, FR)


A. Sachant que l’intégration des pays de l’Est au sein de l’Union Européenne ne s’est pas toujours accompagnée d’une mise à niveau socio-économique de ceux-ci par rapport aux pays de l’Ouest,

B. Observant que face aux disparités entre les pays européens, l’Union Européenne a fait de la mobilité des travailleurs l’un des piliers fondamentaux de sa construction et ce dès le Traité de Rome,

C. Réalisant que seuls 2% des actifs européens travaillent effectivement dans un Etat-Membre autre que leur pays d’origine, alors que 60% des citoyens européens estiment qu’il s’agit d’un bénéfice pour l’intégration européenne1,

D. Tout à fait conscient de la difficulté pour un travailleur de s’intégrer professionnellement et socialement dans un autre pays que le sien, et ce en raison:

i) des barrières culturelles et linguistiques,

ii) des différences socio-économiques entre les Etats-membres,

A. Remarquant avec plaisir l’existence de dispositifs visant à favoriser la mobilité intra-européenne, tels que:

i) l’espace Schengen,

ii) le programme d’échanges universitaires Erasmus,

iii) le programme de formation et de soutien à l’emploi Léonard de Vinci,

iv) le portail EURES2,

B. Regrettant vivement le manque d’information et d’efficacité concernant ces dispositifs,

1 «Mobilité géographique de la main-d’œuvre», sondage Eurobaromètre Spécial 337, Commission européenne, Juin 2010. 2 Portail européen de mobilité du travail, «EURES a pour vocation d’offrir des informations, des conseils et des services de recrutement/placement aux travailleurs et aux employeurs, ainsi qu’à tout citoyen désireux de tirer profit du principe de la libre circulation des personnes» (ec.europa.eu/eures).

C. Pensant que le manque d’unité européenne est un frein aux échanges professionnels au sein de l’Union;

1. Incite les Etats-membres à développer des centres d’intégration intra-européens pour les nouveaux ou futurs travailleurs expatriés;

2. Insiste sur l’importance de l’accessibilité aux écoles européennes et internationales ainsi que le renforcement de l’apprentissage des langues, afin de garder un ancrage culturel et linguistique pour les familles expatriées;

3. Attire l’attention sur l’importance d’une garantie au logement dans le futur pays du travailleur, relayée par l’agence nationale de l’emploi dont celui-ci est le ressortissant;

4. A résolu de la nécessité d’un usage généralisé de la carte européenne d’aptitudes professionnelles contenant un curriculum vitae européen normalisé et garantissant une gestion sécurisée des données personnelles);

5. Demande la présence de personnes chargées du portail EURES au sein des agences nationales de l’emploi existantes;

6. Fait appel au développement accru des projets Erasmus et Léonard de Vinci et à l’accès d’informations sur ces dispositifs dès le lycée;

7. Appelle à la médiatisation des dits dispositifs au travers d’une campagne publicitaire par voie d’affichage et électronique;

8. Condamne les délocalisations extra-européennes portant atteinte au niveau d’emploi et à la situation économique des Etats-membres;

9. Affirme la nécessité d’établir des partenariats entre les entreprises de façon plus participative dont la mise en oeuvre impliquerait les employés;

10. Considère l’utilité d’un partenariat entre les entreprises européennes depuis la fabrication jusqu’à la commercialisation afin d’améliorer la répartition territoriale des unités de production;

11. Soutient le développement de projets de coopération européenne dans différents domaines tels que la recherche scientifique et la culture;

12. Déclare d’un commun accord la création et le maintien d’évènements collaboratifs européens afin de combattre les préjugés moraux ou idéologiques persistant au sein de l’Union européenne et affectant la mobilité du travail.

Ils soutiennent le Parlement Européen des Jeunes-France toute l’année :

Ils nous ont soutenus pour cet évènement :

Ainsi que :Le Lycée Jean Prévost de Villard-de-Lans

Le club UNESCO du lycée ChampollionLe foyer socio-éducatif du lycée Jean Prévost de Villard-de-Lans

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