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Retraite de profession de foi
avec le module « VIVRE UN CHEMIN DE FOI »
Cet itinéraire propose à des adolescents de vivre une expérience chrétienne : entrer dans le symbole du Credo de l'Église. Un chemin en 3 étapes :
1. Découverte de la vie de Pierre
2. Lien entre l'itinéraire de Pierre et celui du Christ
3. Actualisation et intériorisation du Credo
Durée : 31 mars, de 14h00 à 18h00 – Via Stratico 11 – RÉUNION DES PARENTS À 17h30.
Participants : 30 enfants.
Animateurs :
o Un animateur général capable de gérer un grand groupe : Olivier o Trois ou quatre animateurs responsables d'un groupe de dix ou douze enfants environ
Matériel : 1. Salle aménagée (salon rez-‐de-‐chaussée ou salle Schüster) 2. Ipad et rétroprojecteur 3. Panneau et feutres
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ACCUEIL (14h00 – 14h20) • Inscription des noms des participants sur adhésif et distribution des carnets de route.
• Répétition du chant : « Je crois en Dieu » : cf PDF et fichier MP3.
• Présentation de l'esprit dans lequel on souhaite que se déroule cette journée, des règles de vie.
RÉCIT DE LA VIE DE PIERRE (14h20-‐15h15)
• En grand groupe :
o Présentation de la lecture du vitrail avec la projection de la diapo du vitrail complet.
§ Il est formé de deux registres :
• Au registre inférieur, trois grande lancettes superposent neuf images (trois par lancette). Les trois images du soubassement présentent les commanditaires du vitrail et leurs armoiries.
• Les six autres images présentent l’arrestation de Pierre et sa délivrance.
• Pour les lire, commencer par celle du bas de gauche à droite, puis continuer par celle du dessus de droite à gauche.
§ Au registre supérieur :
• Deux lancettes surmontées d’une troisième présentent la la suite du récit de la libération de Pierre.
• Autour, quatre demi-‐lancettes sont occupées par des anges qui portent les instruments de la Passion.
o Olivier raconte l’histoire de Pierre en montrant simplement le vitrail, mais sans le commenter (Actes 12, 1-‐25).
o Si besoin, chaque enfant a la copie (fichier PDF). 01 A cette époque, le roi Hérode Agrippa se mit à maltraiter certains membres de l'Église. 02 Il supprima Jacques, frère de Jean, en le faisant décapiter. 03 Voyant que cette mesure était bien vue des Juifs, il décida une nouvelle arrestation, celle de Pierre. On était dans la semaine de la Pâque. 04 Il le fit saisir, emprisonner, et placer sous la garde de quatre escouades de quatre soldats ; il avait l'intention de le faire comparaître en présence du peuple après la fête. 05 Tandis que Pierre était ainsi détenu, l'Église priait pour lui devant Dieu avec insistance. 06 Hérode allait le faire comparaître ; la nuit précédente, Pierre dormait entre deux soldats, il était attaché avec deux chaînes et, devant sa porte, des sentinelles montaient la garde. 07 Tout à coup surgit l'ange du Seigneur, et une lumière brilla dans la cellule. L'ange secoua Pierre, le réveilla et lui dit : « Lève-toi vite. » Les chaînes tombèrent de ses mains. 08 Alors l'ange lui dit : « Mets ta ceinture et tes sandales. » Pierre obéit, et l'ange ajouta : « Mets ton manteau et suis-moi. »
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09 Il sortit derrière lui, mais, ce qui lui arrivait grâce à l'ange, il ne se rendait pas compte que c'était vrai, il s'imaginait que c'était une vision. 10 Passant devant un premier poste de garde, puis devant un second, ils arrivèrent à la porte en fer donnant sur la ville. Elle s'ouvrit toute seule devant eux. Une fois dehors, ils marchèrent dans une rue, puis, brusquement, l'ange le quitta. 11 Alors Pierre revint à lui, et il dit : « Maintenant je me rends compte que c'est vrai : le Seigneur a envoyé son ange, et il m'a arraché aux mains d'Hérode et au sort que me souhaitait le peuple juif. » 12 S'étant repéré, il arriva à la maison de Marie, la mère de Jean surnommé Marc, où se trouvaient réunies un certain nombre de personnes qui priaient. 13 Il frappa à la porte d'entrée, et une jeune servante nommée Rhodè s'avança pour répondre. 14 Ayant bien reconnu la voix de Pierre, elle en fut si joyeuse qu'au lieu d'ouvrir la porte, elle rentra en courant et annonça que Pierre était là devant la porte. 15 « Tu es folle ! » lui dit-on. Mais elle insistait : « C'est bien vrai ! » Et eux disaient : « C'est son ange. » 16 Cependant Pierre continuait à frapper ; alors ils ouvrirent, ils le virent, et ils n'en revenaient pas. 17 Il leur fit un signe de la main pour les faire taire, et il leur raconta comment le Seigneur l'avait fait sortir de prison ; puis il leur dit : « Annoncez-le à Jacques et aux frères. » Il sortit, et s'en alla vers un autre lieu. 18 Au lever du jour, il y eut une belle agitation chez les soldats : qu'était donc devenu Pierre ? 19 Hérode le fit rechercher sans réussir à le trouver. Ayant fait comparaître les gardes, il donna l'ordre de les emmener. Il quitta alors la Judée et descendit séjourner à Césarée. 20 Hérode était dans une grande colère contre les gens de Tyr et de Sidon. Ceux-ci vinrent tous ensemble le trouver. Ayant gagné à leur cause Blastus, l'officier de la chambre du roi, ils sollicitaient une solution pacifique, car leur pays s'approvisionnait dans celui du roi. 21 A la date fixée, Hérode, ayant revêtu ses habits royaux et siégeant sur son estrade, prononçait devant eux un grand discours. 22 Le peuple l'acclamait à grands cris : « C'est la voix d'un dieu, et non d'un homme ! » 23 Subitement, l'ange du Seigneur le frappa, parce qu'il n'avait pas rendu gloire à Dieu. Rongé par les vers, il expira. 24 La parole de Dieu était féconde et se multipliait. 25 Barnabé et Saul, ayant accompli leur service en faveur de Jérusalem, s'en retournèrent à Antioche, en prenant avec eux Jean surnommé Marc.
o Voir aussi : « L’emprisonnement de Pierre » en PDF.
• En petits groupes :
o La diapo reste projetée.
o Vérifier si les enfants ont bien mémorisé l'histoire de Pierre.
o Chaque animateur fait raconter l’histoire entendue. On peut s’aider du vitrail projeté et sur feuille.
o On peut aussi comparer l’image et le texte : qu’est-‐ce que l’auteur du vitrail a ajoutré ou omis ?
• En grand groupe :
o Lecture d'image à partir du vitrail de Saint Pierre.
o Introduction : qui est Pierre ? (IMAGE 19)
§ L’évangile de Luc au chapitre 5 le présente sous le nom de Simon, comme précheur sur le bord du lac de Génésareth. Appelé par Jésus, il devient apôtre. Jésus le renomme Pierre et le choisit pour bâtir son Église. Après une authentique profession de foi où Pierre reconnaît Jésus comme Fils de Dieu, il le reniera au moent de sa mort mais proclamera sa résurrection sans crainte, après l’événement de la Pentecôte.
o Image par image…
§ IMAGE 20 : En bas, à gauche, le roi Hérode, en tenue romaine de parade et bonnet juif, tient de la main droite le sceptre qui symbolise son pouvoir ; le pouce tourné vers le bas signifie la condamnation à mort. Derrière lui, de
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juifs perplexes entourent un soldat qui pointe son index vers la scène supérieure.
§ IMAGE 21 : en bas, au centre, six gardes romains entraînent Pierre. L'un d'entre eux lève un bâton dans un geste de menace. Pierre, loin de se débattre, semblerait même mener le groupe. Situé en plein centre de l'image, Pierre est vêtu d'une tunique jaune et d'un manteau rouge ; il porte un nimbe (auréole).
§ IMAGE 22 : en bas, à droite, Pierre repose, assis au centre de l'image, les yeux fermés. Il n'a ni liens, ni chaînes. Il est entouré de trois gardes dont deux sont armés de lances. Les deux gardes du premier plan, debout et très attentifs, scrutent l'horizon ; ils ne voient manifestement pas l'ange qui s'est glissé derrière Pierre le touchant à l'épaule.
§ IMAGE 23 : en haut à droite, au-‐dessus de la scène précédente et la complétant, une coupole à arcatures caractéristique de la Renaissance coiffe la prison de Pierre. Un même feu éclaire de ses flammes d'un vibrant rouge orangé l'ensemble de l'édifice ; il contribue à faire l'unité de cette lancette.
§ IMAGE 24 : en haut, au centre, Pierre court hors de sa prison, entraîné par un ange, tandis que les gardes, assis, dorment profondément, la tête entre les genoux. Seules trois lances dressées rappellent leur mission. Derrière Pierre se dressent le haut clocher rectangulaire d'une église.
§ IMAGE 25 : en haut, à gauche, Pierre et debout dans une ruelle médiévale, tenant son manteau fermé. Il semble hésiter ou attendre devant un arbre mort. Dans la rue, derrière lui, se dresse une église au clocher ruiné et une auberge qui arbore une enseigne « Au quartier de lune ». À gauche une colonne corinthienne rouge semble sortir de la scène inférieure, juste derrière le trône d'Hérode.
§ IMAGE 26 : Pierre frappe à la porte d'une maison dans laquelle des personnes sont en train de prier, l'une d'entre elles tenant un livre ouvert sur les genoux. Une femme se lève pour ouvrir la porte.
§ IMAGE 27 : Hérode, qui a troqué son bonnet juif pour une couronne, écarte largement les bras. Il a laissé tomber à terre son sceptre qui s'est brisé et tourne vers nous des mains vides. Il exprime ainsi la peur et le désarroi qui le tenaillent. En effet un ange se tient au-‐dessus de lui, porteur d'un glaive, et prêt à le frapper. Derrière son trône se profile Pierre, de dos, et un autre personnage.
§ IMAGE 28 : devant une porte, Pierre, le livre à la main, enseigne. Il parle, les doigts de la main droite ouvert vers des sympathisants en prière. Il guérit l'homme qui, au premier plan, est en train de se relever.
§ IMAGE 29 : les quatre demi-‐lancettes du pourtour présente quatre anges dont trois portent des instruments de la Passion : la lance, la colonne de la flagellation et la croix.
o Rapprochements et lecture typologique :
§ Des anachronismes, des superpositions voulues de scènes, des rapprochements de couleurs, des renvois d'une scène à l'autre par un index pointé, un même élément repris dans deux scènes différentes font comprendre que le maître verrier propose, au-‐delà du récit, une méditation sur la figure de Pierre, colonne de l'Église.
§ Tout d'abord, si elles se lisent transversalement dans un premier temps, les lancettes peuvent se lire verticalement.
§ La grande lancette centrale fait se superposer l'arrestation de Pierre et sa délivrance, l'action de l'homme et celle de Dieu, la mise à mort et la résurrection. Elle relit la « passion de Pierre » à la lumière de celle du Christ : Pierre est arrêté comme le Christ par des gardes armés de bâtons et il est
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libéré de la mort à la barbe des soldats endormis ! Ce que confirme la présentation glorieuse des instruments de la passion de Jésus (colonne, lance, croix). La diversité des architectures évoque peut-‐être aussi l'histoire complexe de l'église de Montfort-‐l'Amaury maintes fois remaniée.
§ La grande lancette de gauche superpose un Hérode sûr de lui et un Pierre qui réalise à peine qu'il vient d'être libéré, ce qui rend encore plus éclatant le retournement de situation qui va suivre. Un soldat (centurion ?) annonce déjà ce changement en pointant son index vers les scènes supérieures. L'opposition est forte sur le vitrail comme dans le récit des Actes des Apôtres, entre un Hérode tout-‐puissant qui « entreprend de mettre à mal quelques-‐uns des membres de l'Église » (Actes 12,1) et un Pierre condamné à mort qui se retrouve dans la rue, en train de reprendre ses esprits et d'essayer de se repérer (Actes 12,10-‐11). Tout bascule, Pierre en prend conscience : il est libéré, il est vivant, tandis qu' Hérode qui se voulait tout puissant va mourir (Actes 12,21-‐23) du glaive (selon cette image) dont il a tué Jacques, ce que montre la petite lancette du haut à droite.
§ La grande lancette de droite opère le tournant de l'histoire et montre Pierre endormi, comme gisant dans la crypte de l'église Saint-‐Pierre de Rome, sous la coupole dont les travaux s'achèvent à peine selon les dessins de Michel-‐Ange. Un feu de Pentecôte éclaire tout l'intérieur de la rotonde. D'un bout à l'autre du vitrail, Pierre est vêtu d'une tunique et d'un manteau aux couleurs de ce grand feu.
§ L'image de Pierre enseignant et guérissant couronne le vitrail. Elle se situe devant une porte évoquant les premiers « Actes » de Pierre après la Pentecôte :
• la guérison de l'infirme à La « Belle Porte » (Actes 3,1-‐10), • la prédication au Portique de Salomon (Actes 3,11-‐26).
§ Ce vitrail donne une interprétation très fidèle du chapitre 12 des Actes des Apôtres. Il évoque plus largement les « Actes » de Pierre, actes fondés en Jésus Christ et pour son Église. Pierre est certainement l'une des plus belles colonnes (Galates 2, 9) pour les paroissiens de l'église Saint-‐Pierre à Montfort-‐l’Amaury comme pour ceux qui contemplent aujourd'hui ces vitraux.
• En petits groupes :
o Établir les rapports texte-‐image (Actes 12,1-‐25). On utilise les cartes de jeu (PDF).
o Temps de questionnement à partir de l'image et du récit (petit débat). On s’aide du « carnet de route ».
§ Ce qui m’étonne
§ Ce qui me surprend
§ Ce qui me touche
§ Ce que je découvre
§ Ce que j’aimerais retenir
o Puis temps d’intériorisation en remplissant personnellement la page « Expérimenter : atelier débat » du Carnet de route.
§ Seigneur, merci pour…
§ Seigneur, nous te rendons grâce pour…
§ Seigneur, je ne comprends pas…
§ Seigneur, pardonne-‐nous pour…
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VITRAIL DE LA GRANDE CRUCIFIXION (15h15 -‐ 15h30)
• Présentation et lecture de l'image en lien avec le texte biblique.
o IMAGE 33 : La croix du Christ et celles des deux larrons occupent trois lancettes ; elles sont toutes trois très hautes, dominant nettement tous les personnages qui les entourent.
o IMAGE 34 : Au centre sur une croix plus grande que les autres, le Christ nous regarde de face. Il se tient debout, mains et pieds fixés par trois clous, la tête penchée dans une attitude d'abandon et de confiance.
o IMAGE 35 : À ses pieds, la Vierge et Marie-‐Madeleine ainsi que des passants et deux cavaliers (IMAGE 36) ; la tradition de l'époque voit en eux le porteur d'éponge et le porteur de lance qui témoignent de leur foi au moment de la mort de Jésus.
o IMAGE 37 : Sur les deux autres croix, les larrons attachés par des cordes sont comme désarticulés, torturés de l'intérieur. A notre gauche le « bon larron » nous tourne le dos mais regarde le Christ, comme tous les personnages qui entourent sa croix.
o IMAGE 38 : A notre droite, le « mauvais larron » penche la tête en avant, comme pour fuir le regard du Christ.
o IMAGE 39 : À ses pieds, des personnages richement habillés discutent, semblant se désintéresser totalement du sort des crucifiés.
o IMAGE 40 : Ces trois lancettes des crucifiés sont couronnées par un médaillon représentant l'apparition de Jésus ressuscité à Marie-‐Madeleine. Il tient une bêche, pour faire comprendre que Marie-‐Madeleine le prend pour le « Jardinier ».
o IMAGE 41 : Des anges volent tout autour présentant les instruments de la passion (colonne de la flagellation, couronne d'épines, voile de Véronique, suaire, marteau, tenailles, fouet, lance...) comme autant de trophées glorieux.
• Lecture de la méditation (fichier PDF)
PAUSE GOÛTER (15h30 – 16h00)
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INTÉRIORISATION DU CREDO (16h00 – 16h20)
• En grand groupe à l'église
o Le Credo est lu par les animateurs, puis est remis aux participants (FICHIER PDF).
• Retour à la salle, en grand groupe
o Inviter à trouver les rapports entre les phrases du Credo et l'image de la crucifixion.
o Échange en grand groupe.
JEU EN ÉQUIPE (16h20 – 17h00)
Un jeu Il se déroule à partir de « Actes 12 » met en parallèle les vies de Pierre et de Jésus. Qu'est-‐ce qui est semblable dans la vie de chacun ?
Déroulement :
Le but du jeu est de se délester de ses cartes. Poser les cartes blanches du récit de Pierre sur la table ou les coller sur la première colonne de gauche, dans le sens vertical. Les autres cartes (vertes et jaunes) sont mélangées et forment « la pioche ». Chaque participant ou équipe reçoit trois cartes rouges « Délivrance ». Chacun à son tour :
o Tire au hasard une carte dans « la pioche ». o Place cette carte à côte d'une carte du récit de Pierre qui semble lui correspondre, dans la
deuxième colonne si c'est une carte verte « Autres récits », dans la troisième colonne si c'est une carte jaune « Profession de foi ».
o Possibilité d'accepter des réponses différentes de celles du tableau si elles sont justifiées. o Pour une carte jaune « Profession de foi » : trouver d'abord son emplacement, puis répondre
à la question inscrite sur la carte. Garder une trace écrite pour la rédaction de la profession de foi qui sera composée ultérieurement.
o En cas de difficulté pour placer la carte tirée ou pour répondre à la question, possibilité d'utiliser une des cartes rouges « Délivrance » reçues en début de jeu. Cette carte ne peut plus être remise en jeu.
Matériel :
o Piste de jeu : trois colonnes de la taille des cartes sur un carton. o Cartes de couleurs différentes :
o Cartes « Récit des Actes » blanches -‐ à coller sur carton. o Cartes « Autres textes bibliques » vertes. o Cartes « Profession de foi » jaunes. o Cartes « Délivrance » rouges.
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FIN DU JEU : VERS LA PROFESSION DE FOI (17h00 – 17h30)
o Donner à chaque équipe les trois éléments de l'arbre correspondant aux trois états de la vie du croyant : racines, tronc, feuilles. (Fichier PDF)
o Reprendre les cartes « moi » et réfléchir en équipe pour voir ce que l'on va écrire et/ou dessiner sur les trois éléments (racines, tronc, feuilles). Il s'agit cette fois de nos vies.
o A partir du credo de l'Eglise et de ce qui est écrit sur les cartes jaunes, sur les feuilles de l'arbre, chacun écrit sa profession de foi individuelle dans son carnet de route (Fichier PDF).
o A partir des professions de foi individuelles, débattre et rédiger une profession de foi d'équipe.
o Ce seront ces professions de foi qui seront utilisées durant la cérémonie.