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Réussir l’épreuve écrite de SVT Méthodologie et points clés du programme

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Réussir l’épreuve écrite de SVT

Méthodologie et points clés du programme

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L'épreuve écrite obligatoire de SVT L'épreuve écrite obligatoire de SVT au baccalauréatau baccalauréat

Présentation de l'épreuvePrésentation de l'épreuve Présentation de l'épreuvePrésentation de l'épreuve

Points clés et évaluation Points clés et évaluation Partie IPartie I

Points clés et évaluation Points clés et évaluation Partie IPartie I

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 2 AProgramme : partie 2 A

Géothermie et propriétés thermique de la TerreGéothermie et propriétés thermique de la Terre

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 2 AProgramme : partie 2 A

Géothermie et propriétés thermique de la TerreGéothermie et propriétés thermique de la Terre

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 1 AProgramme : partie 1 A

Génétique et évolutionGénétique et évolution

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 1 AProgramme : partie 1 A

Génétique et évolutionGénétique et évolution

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 2 BProgramme : partie 2 B

La plante domestiquéeLa plante domestiquée

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 2 BProgramme : partie 2 B

La plante domestiquéeLa plante domestiquée

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Points clés et évaluationPoints clés et évaluation Partie II exercice 1Partie II exercice 1

Points clés et évaluationPoints clés et évaluation Partie II exercice 1Partie II exercice 1

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 1 BProgramme : partie 1 B

le domaine continental et sa dynamiquele domaine continental et sa dynamique

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 1 BProgramme : partie 1 B

le domaine continental et sa dynamiquele domaine continental et sa dynamique

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 3 AProgramme : partie 3 A

le maintien de l'intégrité de l'organismele maintien de l'intégrité de l'organisme

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 3 AProgramme : partie 3 A

le maintien de l'intégrité de l'organismele maintien de l'intégrité de l'organisme

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 3 BProgramme : partie 3 B

Neurone et fibre musculaireNeurone et fibre musculaire

Les points Clés du Les points Clés du Programme : partie 3 BProgramme : partie 3 B

Neurone et fibre musculaireNeurone et fibre musculaire

Points clés et évaluationPoints clés et évaluation Partie II exercice 2Partie II exercice 2

Points clés et évaluationPoints clés et évaluation Partie II exercice 2Partie II exercice 2

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L'épreuve écrite obligatoire de SVT L'épreuve écrite obligatoire de SVT au baccalauréatau baccalauréat

Elle porte sur 3 types d'exercices : La partie I : sur 8 pointsLa partie I : sur 8 points

– elle évalue la maîtrise des connaissances maîtrise des connaissances 

– Soit sous forme de synthèse soit de synthèse + QCM , soit seulement de QCM

– S'il s'agit d'une synthèse ce peut être avec ou sans documents à exploiter

La partie II : Exercice 1 : sur 3 pointsLa partie II : Exercice 1 : sur 3 points

Elle évalue la capacité à raisonnerraisonner pour répondre à un problème scientifique en exploitant des documents.

La partie II : Exercice 2 : sur 5 pointsLa partie II : Exercice 2 : sur 5 points

– Elle évalue la capacité à pratiquer une démarche pratiquer une démarche scientifiquescientifique pour répondre à un problème en croisant ses connaissances et les arguments tirés de l’exploitation de documents.

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Les points clefs de la partie I:Les points clefs de la partie I:S'il s'agitS'il s'agit d'uned'une synthèsesynthèse:

Bien lire l'introduction du sujet et la question: identifiez les mots clefsmots clefs qui vont vous guider le choix des connaissances à développer qui peuvent être dans des chapitres ou des parties différentes de votre cours de SVT.

IntroduireIntroduire en 3 temps:

présenter le sujet Formuler le problème Présenter les différentes parties (3 ou 4 maxi)

Rédiger vos parties en laissant un espace entre chaque avec une une idée par partieidée par partie

S'il y a un ou des documents essayez de les exploiter de manière rigoureuse (donner des valeurs chiffrées...)

ConclureConclure en répondant à la question RETOURRETOUR SOMMAIRE SOMMAIRE

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Sur 8 points s'il n'y a qu'une synthèse

sur 5 points s'il y a aussi un QCM (alors sur 3 points)

L'évaluation de la partie IL'évaluation de la partie I Deux barèmes sont envisageables pour la synthèse:

Dans tous les cas on recherche:

Des connaissances

Qui soient bien mises en relation et bien articulées (des parties différentes avec chacune une idée qui complète logiquement la partie précédente)

– Une bonne qualité de redaction (introduction, conclusion, expression, orthographe, schémas propres, annotés et titrés)

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Les points clés de la partie II: Les points clés de la partie II: Exercice 1:Exercice 1:

Ce peut être une question dont il faut trouver la réponse en exploitant les documents

OuOu ce peut être un QCM (dans ce cas une seuleune seule des 4 réponses proposées est exacte)

On cherche à évaluer plusieurs On cherche à évaluer plusieurs capacités capacités :

la capacité de comparer des résultats des documents, d'extraire et organiser des informations

La capacité à argumenter et à relier des informations,

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Les points clefs Les points clefs dede la la partiepartie II: II: ExerciceExercice 2 2

Proche de l'exercice de la partie I, on évalue ici l'argumentationl'argumentation :

lisez bien l'introduction du sujet et la questionquestion:

IntroduisezIntroduisez en 3 temps (présentation sujet/ problème/ présentation plan)(présentation sujet/ problème/ présentation plan)

Rédigez vos parties en utilisant les Rédigez vos parties en utilisant les documentsdocuments comme comme argumentargument::

– à chaque fois à chaque fois citezcitez le document le document que vous utilisez que vous utilisez

– Tout n'est pas à décrire dans le document : seulement ce qui dans le document : seulement ce qui apporte une réponse au problèmeapporte une réponse au problème

– soyez précis: donnez des évolutions, des valeurs chiffrées s'il y : donnez des évolutions, des valeurs chiffrées s'il y en a (tableau graphique)en a (tableau graphique)

– Soignez la logique de l'argumentation(on observe que..., donc..., Soignez la logique de l'argumentation(on observe que..., donc..., car..., or on sait que...)car..., or on sait que...)

Rédigez vos parties en yRédigez vos parties en y incluant vos connaissances pour compléter les pour compléter les arguments apportés par les documents. arguments apportés par les documents.

Concluez en donnant une réponse claire à la problématique en donnant une réponse claire à la problématique RETOURRETOUR

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L'évaluation de la partie II L'évaluation de la partie II exercice 2exercice 2

L'évaluation se fait de de manière globalemanière globale selon ce barème:

Elle prend en compte:

La bonne bonne exploitation des exploitation des documentsdocuments pour trouver des éléments

Les connaissancesLes connaissances

La mise en relation mise en relation dans une une argumentationargumentation qui réponde à la question

Démarche cohérenteDémarche cohérente qui permet de qui permet de répondre à la problématiquerépondre à la problématique

DémarcheDémarche maladroite maladroite et et réponse partielle à la réponse partielle à la

problématiqueproblématique

Aucune démarche Aucune démarche ou démarche ou démarche incohérenteincohérente

Les éléments scientifiques issus des documents et des connaissances sont suffisants et bien mis en relation.

Le propos est étayé par un (des)schéma(s) bien choisi(s) scientifiquement rigoureux et bien construits.

Les éléments scientifiques issus des documents et des connaissances, sont bien choisis et bien mis en relation mais incomplets, et le propos est étayé par un (des) schéma(s) bien choisi(s) scientifiquement rigoureux et bien construits.ou Les éléments scientifiques issus des documents et des connaissances, sont bien choisis, bien mis en relation et complets mais accompagnés de schéma(s) de médiocre qualité

Des éléments scientifiques issus des documents et des connaissances bien choisis mais incomplets et insuffisamment mis en relation.

Le propos est étayé par un (des)schéma(s) bien choisi(s) scientifiquement rigoureux et bien construits.

Des éléments scientifiques issus des documents et des connaissances bien choisis mais incomplets et insuffisamment mis en relation.

Le propos est étayé par un (des)schéma(s) de qualité médiocre

Des éléments scientifiques pertinents issus des documents et/ou des connaissances sans mise en relation. Présence d’un ou de plusieurs schémas de qualité médiocre

5 points 5 points 4 points 4 points 3 points 3 points 2 points 2 points 1 point 1 point RETOURRETOUR SOMMAIRE SOMMAIRE

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Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 1Partie 1 A Génétique et évolution A Génétique et évolution

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Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétiqueLe brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique :

– La meïosemeïose permet à partir d'une cellule diploïde d'obtenir quatre cellules haploïdes : au cours de cette division les chromosomes subissent un brassage interchromosomiquebrassage interchromosomique lors de la 1ère division et un brassage brassage intrachromosomiqueintrachromosomique (crossing-overcrossing-over =échanges de fragments de chromosome)

– La fécondation aléatoire aboutie à une diversité importante de zygotes (seule une petite partie de ceux-ci est viable).

Diversification génétique et diversification des êtres vivantsDiversification génétique et diversification des êtres vivants– la diversité génétique du vivant  ne peut s'expliquer seulement par la meïose

et fécondation :• D'autres mécanismes existent : hybridation , polyploïdisation, transfert hybridation , polyploïdisation, transfert

des gènes virauxdes gènes viraux...• Les gènes du développement gènes du développement peuvent s'activer avec une plus ou moins

grande intensité ou avec une chronologie différente, conduisant à une forme très différente sans pour autant qu'il y ait une grande différence génétique au départ.

– Même sans modification génétiqueMême sans modification génétique, le vivant peut être modifié : symbiose/ symbiose/ Comportements nouveauxComportements nouveaux.

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Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 1Partie 1 A Génétique et évolution A Génétique et évolution

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De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité:De la diversification des êtres vivants à l'évolution de la biodiversité:

La sélection naturelle La sélection naturelle (l'environnement favorisel'environnement favorise certains individus qui se reproduisent mieux) et la dérive génétique dérive génétique (les individus se reproduisant plus sont déterminés de manière aléatoirealéatoire) transforment les populations au cours du temps : c'est l'évolutionc'est l'évolution.

Ces mécanismes peuvent donc entraîner l'apparition de nouvelles espècesnouvelles espèces. Même s'il est difficile de définirdifficile de définir cette notion, on considère qu'une espèce est une population une espèce est une population d'individus isolée génétiquementd'individus isolée génétiquement (ne peut se reproduire avec d'autres). Elle n'existe que pendant un laps de temps fini.

Un regard sur l'évolution de l'HommeUn regard sur l'évolution de l'Homme• L'Homme et le chimpanzé montrent une très forte proximité génétiquetrès forte proximité génétique (leur différence

s'explique en grande partie des chronologies différentes chronologies différentes d'expression des gènes …). Les ancêtres des primates actuels sont anciens (-60 Ma) et très différents de leurs descendants

• Les fossiles du genre « Homo » sont caractérisés par une face réduite, un dimorphisme face réduite, un dimorphisme sexuel peu marqué sur le squelette, un style de bipédie avec trou occipital avancé sexuel peu marqué sur le squelette, un style de bipédie avec trou occipital avancé et aptitude à la course à pied, une mandibule parabolique,et aptitude à la course à pied, une mandibule parabolique, etc...Ils partagent aussi (mais avec d'autres primates ) la fabrications d'outils variés et des pratiques culturelles.

• Il est difficile dans établir un arbre phylogénétique .

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Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 1Partie 1 A Génétique et évolution A Génétique et évolution

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Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l'évolution : l'exemple de la Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l'évolution : l'exemple de la vie fixée chez les plantes :vie fixée chez les plantes :

Les plantes sont adaptées à une vie fixée, à la fois en contact avec l'air et le sol :Elles disposent de grandes surfaces d'échanges avec l'air (feuilles : pour capter la

lumière pour échanger des gaz : CO2 et O2 ) et avec le sol (racines pour l'eau et les ions qu'elle contient).

Entre les deux il existe un système de transport (système conducteur des différentes sèves )

Elles possèdent des structures et des mécanismes de défense (contre les agressions du milieu, les prédateurs, les variations saisonnières)

La fleur est un élément clé de sa reproduction La fleur est un élément clé de sa reproduction :Son organisation et sa mise en place est contrôlée par des gènes du développementcontrôlée par des gènes du développementElle permet la rencontre des gamètes et se transformera, après fécondation en fruit en fruit contenant les grainescontenant les graines.Souvent cette rencontre est permise par des pollinisateurs pollinisateurs qui ont co-évoluéco-évolué avec la plante.

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Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 1Partie 1 B le domaine continental et sa dynamique B le domaine continental et sa dynamique

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La caractérisation du domaine continental : lithosphère continentale, reliefs et La caractérisation du domaine continental : lithosphère continentale, reliefs et épaisseur crustale épaisseur crustale

2 lithosphères :2 lithosphères :On distingue 2 lithosphères différentes (lithosphère= croûte+ manteau lithosphèrique) , l'une, continentale, dont la croûte est constituée de granite , elle est assez épaisse et plutôt âgée (jusqu'à 4 Ga) l'autre, océanique, dont la croûte est constituée de basalte (plus dense), elle est plus fine et plus « jeunes » : 200 Ma .La lithosphère étant en équilibre sur l'asthénosphère (=isostasie) cela explique deux altitudes différentes des reliefs (océanique=relief bas, continental=assez élevé).Les montagnes :Les montagnes :Le relief des montagnes est dû à un raccourcissement important de la lithosphère (convergence) qui entraîne un épaississement de la croûte par empilement. Donc une montagne possède à sa base une forte racine crustale.Les témoins de ces événements sont nombreux : indices tectoniques (plis,failles,nappes)Indices pétrographiques (métamorphisme=transformation des minéraux s'effectuant à l'état solide, traces de fusion partielle comme du volcanisme).

La convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnesLa convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnesDans les montagnes, des vestiges d'océans (ophiolites=ancienne lithosphère océanique), de

côtes (marges passives) sont le témoin de la fermeture d'un ancien océan qui a précédé la collision entre deux lithosphères continentales.

Des nappes (partie importante de croûtes arrachées) s'empilent alors que la lithosphère continentale est entraînée en subduction

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Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 1Partie 1 B le domaine continental et sa dynamique B le domaine continental et sa dynamique

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Les roches entraînées en profondeur subissent alors des transformations à l'état solide (= métamorphisme de haute pression et haute températuremétamorphisme de haute pression et haute température).Le moteur de la subduction est l'augmentation importante de la densité augmentation importante de la densité de la lithosphère qui en vieillissantvieillissant s'est épaissie et refroidie (éloignement de la dorsale) et plonge alors dans l'asthénosphère.

Le magmatisme en zone de subduction : une production de nouveaux matériaux Le magmatisme en zone de subduction : une production de nouveaux matériaux continentauxcontinentauxLors de la subduction, les roches en se métamorphisant libèrent de l'eaulibèrent de l'eau, ce qui permet la fusion partielle de la péridotite. Ce magma visqueux est à l'origine d'un volcanisme volcanisme explosifexplosif quand il arrive en surfaceen surface et de la formation de roches grenues roches grenues (granitoïdes) quand il cristallise en profondeu en profondeur. Donc, cela forme de nouvelles roches «continentales» nouvelles roches «continentales» .

La disparition des reliefsLa disparition des reliefs Certains phénomènes tectoniquesphénomènes tectoniques (effondrements avec failles normales) ainsi que l'altération des roches et l'érosion'altération des roches et l'érosion font petit à petit disparaître les reliefs. Les éléments libérés (solides ou dissous) sont alors transportéstransportés (souvent par l'eau) et sédimententsédimentent plus loin en formant des roches sédimentaires. On a donc un recyclage recyclage de la coûte continentale.Ceci explique l'observation à l'affleurement de roches formées en profondeuraffleurement de roches formées en profondeur dans des chaînes de montagne plus anciennes (l'isostasieisostasie permettent leur remontée).

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Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 2 A:Géothermie et propriétés thermiques de la Partie 2 A:Géothermie et propriétés thermiques de la

TerreTerre

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La Terre est une machine thermiquemachine thermique : elle produit de l'énergie principalement grâce à la désintégration radioactive des rochesdésintégration radioactive des roches . Donc plus on s'enfonce en profondeur plus la température augmente=gradient gradient géothermiquegéothermique.Cette chaleur est transférée vers la surface par convection convection (le plus efficace) et la conductionconduction. En surface on parle de flux géothermique flux géothermique(très important aux important aux dorsalesdorsales=magmatisme et production de lithosphère, il est très faible dans les zones de très faible dans les zones de subductionsubduction=vieille lithosphère froide ).L'Homme peut utiliser une infime partieinfime partie de cette énergie inégalement répartie.

Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 2-B La plante domestiquéePartie 2-B La plante domestiquée

L'Homme sélectionnesélectionne depuis longtemps des plantes qui sont devenues avec le temps très différentes de leurs ancêtres naturelsdifférentes de leurs ancêtres naturels. Au sein d'une même espèce il renforce souvent cette biodiversitébiodiversité en créant différentes variétésdifférentes variétés. Pour cela il peut utiliser des techniques de croisementtechniques de croisement (hybridation,...) ou agir directement sur le génome des plantes par génie génétiquegénie génétique.

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Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 3 A : Le maintien de l'intégrité de l'organisme : Partie 3 A : Le maintien de l'intégrité de l'organisme :

quelques aspects de la réaction immunitairequelques aspects de la réaction immunitaire

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L'immunité innéeL'immunité innée : :Génétiquement héritéehéritée ( dès la naissance), est très conservéetrès conservée au cours de l'évolution.Mécanisme essentiel essentiel de la réaction innée la réaction inflammatoireréaction inflammatoire est basée sur une réponse stéréotypéeréponse stéréotypée en cas d'infection ou de lésion (rougeur, chaleur, gonflement, douleur) . Elle est basée sur l'action de différentes cellules ( macrophages, monocytes, macrophages, monocytes, granulocytes, phagocytose, mastocytesgranulocytes, phagocytose, mastocytes) communiquant entre elles grâce à des médiateurs chimiques de l'inflammationmédiateurs chimiques de l'inflammation. Sur lesquels portent l'action des médicaments action des médicaments anti-inflammatoiresanti-inflammatoires.La réaction innée prépare et participe aussi à la suite de la réaction immunitaire prépare et participe aussi à la suite de la réaction immunitaire.

L'L'immunité adaptativeimmunité adaptative (propre aux seuls vertébrés) cible plus spécifiquement des molécules ou des parties de molécules.Les cellules de l'immunité adaptative ne peuvent devenir effectrice qu'après les phénomènes de sélectionsélection (= rencontre et reconnaissance de l'antigène présenté par une cellule cellule présentatrice d'antigèneprésentatrice d'antigène), d'amplificationd'amplification(=multiplication) différenciation clonaledifférenciation clonale (transformation des cellules en cellules effectrices). Parmi ces cellules il existe les plasmocytesplasmocytes (différenciation à partir des L.B L.B) qui produisent des immunoglobulines dont les extrémités des 2 bras courts permettent la fixation fixation d'antigèned'antigène par complémentarité de formecomplémentarité de forme. Les lymphocytes T cytotoxiqueslymphocytes T cytotoxiques détruisent les cellules infectées par contact. Elles communiquent entre elles par des médiateursmédiateurs (interleukine,...)

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Les points Les points clésclés dudu programmeprogramme::Partie 3 A : Le maintien de l'intégrité de l'organisme : Partie 3 A : Le maintien de l'intégrité de l'organisme :

quelques aspects de la réaction immunitairequelques aspects de la réaction immunitaire

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Des mécanismesDes mécanismes génétiques aléatoires et complexes génétiques aléatoires et complexes permettent depermettent de produire une très produire une très grande variété de cellules grande variété de cellules répondant chacune à une molécule différente répondant chacune à une molécule différente..Un mécanisme de Un mécanisme de répression des cellules autoréactivesrépression des cellules autoréactives est donc nécessaires pour est donc nécessaires pour éviter éviter les réactions auto-immunes .les réactions auto-immunes .

Le phénotype immunitaire au cours de la vieLe phénotype immunitaire au cours de la vieLorsqu'un antigène a entraîné une réaction, des cellules mémoirescellules mémoires de l'immunité adaptative (L.B, L.T.,..) à longue durée de vie longue durée de vie sont mises en place.Elles permettent une réaction plus rapideréaction plus rapide et plus importanteplus importante la seconde fois.Les vaccinsvaccins jouent sur ce principe :ils contiennent des antigènes non pathogènesantigènes non pathogènes et un adjuvantadjuvant (qui déclenche la réaction immunitaire innée indispensable à l'installation de la indispensable à l'installation de la réaction adaptativeréaction adaptative).Donc le phénotype immunitaire ne cesse d'évoluer ne cesse d'évoluer au long de la vie (de nouvelles cellules mémoires apparaissent soit pas rencontre fortuite avec un antigène, soit par vaccination / de nouveaux lymphocytes naïfs sont produits aléatoirement en continue)

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Les points clés du programme:Les points clés du programme:Partie 3-B Neurone et fibre musculaire : la Partie 3-B Neurone et fibre musculaire : la

communication nerveusecommunication nerveuse

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Le réflexe myotatiqueLe réflexe myotatique met en jeu différents éléments : un stimulus (tension d'un muscle) est capté par un récepteur (fuseaux neuromusculaires) qui envoie un message nerveux (codage électrique en fréquence) par une fibre nerveuse dont l’extrémité est située dans un centre centre nerveuxnerveux (moelle épinière) et fait synapsesynapse (avec les dendritesdendrites d'un motoneuronemotoneurone. Le signal est alors converti en message chimiqueconverti en message chimique (dans le bouton synaptique, les bouton synaptique, les neuromédiateursneuromédiateurs -dont la concentration varie concentration varie en fonction de l'intensité du message- sont libérés par exocytoseexocytose dans la fente synaptique fente synaptique et se fixent sur des récepteurs post- post-synaptiquessynaptiques ce qui peut engendrer de nouveaux potentiels d'actionsnouveaux potentiels d'actions dans le motoneurone) . Le nouveau message est transmis par l'axonel'axone jusqu’à la synapse neuro-musculairesynapse neuro-musculaire ou le neuromédiateur (l'acetylcholineacetylcholine) entraîne la contractioncontraction du muscle).

De la volonté au mouvement :De la volonté au mouvement : Des aires motrices aires motrices spécialisées du cortexcortex commandent les mouvements volontaires. Leurs messages moteurs transitent par des faisceaux de neurones dans la moelle épinière jusqu'aux motoneurones qui intègrentmotoneurones qui intègrent les différents messages pour engendrer un message adapté, unique message adapté, unique, pour le muscle.

Motricité et plasticité cérébrale :Motricité et plasticité cérébrale :après la perte de fonction accidentelle d'une petite partie du après la perte de fonction accidentelle d'une petite partie du cortex moteur, le cerveau possède des cortex moteur, le cerveau possède des capacités de récupérationcapacités de récupération . De plus chaque individu  . De plus chaque individu présente des cartes motrices différentes : différences qui s'acquièrent présente des cartes motrices différentes : différences qui s'acquièrent au cours du au cours du développement, de l'apprentissage des gestes et de l'entraînementdéveloppement, de l'apprentissage des gestes et de l'entraînement..

Cette plasticité ainsi que le nombre de neurones Cette plasticité ainsi que le nombre de neurones diminuentdiminuent avec l'âge. avec l'âge.