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Revue de presse de l'année 2010
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> Collège
> École
> Lycée des M
étiers
des Arts Appliqués et de la Communication Graphique
> Lycées
Professionnel, Général et Technologique
> Département
Enseignement Supérieur
> Classe
s PréparatoiresICAM
> Centre de Formation
Apprentissage et Formation Continue
, -
w w w . l a - j o l i v e r i e . c o m
Revue de presse2010
Ouest France – 29 Juin 2010Ouest France – 29 Juin 2010Ouest France – 29 Juin 2010Ouest France – 29 Juin 2010
Presse Océan – 29 Juin 2010Presse Océan – 29 Juin 2010Presse Océan – 29 Juin 2010Presse Océan – 29 Juin 2010
Un toit pour des lycéens sportifs de haut niveau
C'est le premier établissement français à le faire. Le lycée Le Mans Sud accueille en internat des sportifsen voie de profes sionnalisation. Ils y prépareront le bac au mieux. Premières arrivées ce w eek-end.
Reportage
« C'est unique en France ! », assure Patrick Delpech, vice-président du conseil régional et adjoint au maire du Mans. Douze mois de travaux et plusieurs années de concertation entre les élus locaux et les clubs sportifs auront été nécessaires pour que ce nouveau bâtiment sorte de terre.
Le nouvel internat du lycée Le Mans Sud héberge à partir de ce week-end des lycéens un peu particuliers. En grande partie des jeunes des centres de formation du Mans football-club (25 pour cette première rentrée) et du Mans Sarthe basket (16). Mais aussi des pôles espoirs pilotage, squash, karaté, foot féminin...
À l'arrivée, plus de 96 lits répartis sur 2 300 m² et trois étages, dont le dernier est réservé aux filles. Tout a été conçu pour garantir le meilleur confort possible aux sportifs professionnels de demain. De la salle de renforcement musculaire à la salle de kiné en passant par des bureaux pour l'encadrement sportif de chaque club.
Basketteurs :des portes à 2,15 m !
Cerise sur le gâteau, un étage a été spécialement aménagé pour les basketteurs. Les portes font toutes 2,15 m de hauteur pour qu'ils puissent les franchir sans se baisser.
Depuis plusieurs années à Le Mans Sud, les lycéens en formation dans un club disposaient déjà d'horaires de cours aménagés pour satisfaire leur double emploi du temps, scolaire et sportif. Désormais, ils disposent également d'un toit commun.
« L'idée était de permettre à des sportifs de disciplines différentes de vivre sur un même site, que puissent par exemple se croiser des basketteurs et des karatékas », poursuit Patrick Delpech
Mais le bâtiment construit, encore fallait-il que son fonctionnement corresponde à la vie des sportifs. « Beaucoup d'entre eux viennent de très loin pour venir jouer au Mans et ne peuvent pas rentrer chez eux le week-end et l es jours féries », constate le vice-président du conseil régional. Or, la plupart des internats sont fermés lorsqu'il n'y a pas cours au lycée.
« On a dû créer une association pour permettre à l'internat de fonctionner les week-ends et les vacances, confie l'élu, également président de cette nouvelle association. Du coup nous arriverons à ouvrir l'internat 49 sema ines sur 52. »
Montant des travaux : 5,2 millions d'euros, financés à hauteur de 55 % par la Région, le reste revenant au conseil général de la Sarthe et à la ville du Mans. Quant au financement de l'association, la Région espère que « les clubs finiront par équilibrer eux-mêmes le budget ».
À leur demande, un dortoir a d'ailleurs été aménagé pour accueillir des stages sportifs et des journées de détections. Objectif : remplir les caisses.
Pierrick BONNO.
Plus d'informations dans le journal Ouest-France
samedi 28 août 2010
Photos 1 2
Jean-Michel Robin (à gauche), directeur de l'association qui va gérer l'internat, prépare l'arrivée des sportifs avec Didier Moreau, du club d'arts martiaux manceau Samouraï 2000. Franck Dubray
Page 1 of 1ouest-france.fr - Un toit pour des lycéens sportifs de haut niveau
02/09/2010http://www.ouest-france.fr/region/paysdelaloire_detail_-Un-toit-pour-des-lyceens-spo...
NANTESjeudi 02 septembre 2010 Éducation. La nouvelle école d'imprimerie ouvrira s es portes lundi
Une école ancrée sur l'île
Mickaël Pageau, le responsable de la filière impress ion et façonnage, s'assure
du bon fonctionnement des pupitres de contrôle.
Dans quelques jours, les apprentis de l'école des m étiers de l'imprimerie investiront des locaux neufs.
Les machines sont encore bâchées pour les protéger de la poussière des derniers travaux. Mais le 6 septembre prochain, ces « Ferrari » -certaines machines coûtent un million d'euros - seront d'attaque pour accueillir les 200 apprentis du centre. Avec le déménagement, les ateliers ont été remis aux normes, centralisés et s'étalent sur un espace plus important : les travaux de sérigraphie, d'impression et de façonnage se réaliseront tous au rez-de-chaussée. Des innovations diverses Pour cette rentrée, l'école s'est dotée de plusieurs nouveautés. La première, un laboratoire d'imprimabilité qui permet de tester les réactions chimiques entre certains papiers et certaines encres. À l'instar d'un simulateur de vol, une salle de simulateur de presse proposera aussi aux élèves de se familiariser avec l'usage et le fonctionnement des machines, par exemple en gérant de fausses pannes via un ordinateur. Un atelier d'arts plastiques est prévu au 4e étage, afin d'héberger notamment la nouvelle formation « Création et design graphique ». Un avenir ambitieux « Enthousiaste et heureux », c'est l'état d'esprit de Chantal Abouden. « Boulevard des Poilus, notre développement était compromis. À partir d'aujourd'hui, nous allons être au coeur des choses qui bougent », assure la directrice, que la perspective a motivée, il y a quatre ans, à accepter le poste qu'on lui proposait. Chantal Abouden ne cache pas ses ambitions quant à l'avenir de son établissement, qui forme déjà des jeunes de 21 départements, du CAP au BTS. Parmi ses objectifs, la création de nouvelles filières qui entraînera une hausse progressive des effectifs. Mais pour le moment, la directrice est plus terre à terre. « Je vais déjà essayer de prendre mes marques ! » sourit-elle. Les 11 000 m2 de locaux rassembleront la totalité des métiers de la chaîne graphique, en abritant dans sa partie ouest les 300 élèves en arts appliqués de la Joliverie. Julie Urbach École des métiers de l'imprimerie, 54 boulevard de la Prairie-au-Duc à Nantes. Tél. 02 40 50 24 22
Page 1 of 1PresseOcean.fr - Une école ancrée sur l'île
02/09/2010http://www.presseocean.fr/actu/actu_detail.php?abo=267950&serv=14&idDoc=1495...
( Ouest-France )
( Presse-Océan )
Nantes et sa région
ACTUALITÉ Sports
Basket-ball : Le NRB mise sur la Joliverie pour sa formation
De gauche à droite : Jean-Louis Privé (directeur-adjoint de la Joliverie), Claude Castric (président du conseil d'administration deLa Joliverie), Patrick Bizet (directeur général de La Joliverie), Thierry Frère, Catherine Helary (pôle emploi) et Laurent Buffard.
En partenariat avec La Joliverie, Nantes Rezé crée un centre de formation qui accueillera une quinzaine depensionnaires dès septembre. Dans son ambition de devenir une place forte, le NRB franchit un nouveau cap.
C'est sans doute le début d'une belle aventure, c'est, en tout cas, un projet séduisant que celui initié par le Nantes Rezé Basket
de Thierry Frère et Laurent Buffard. Le futur challenger nantais de l'Eurocup ne se satisfait pas d'offrir au sport nantais sa 1re
campagne européenne depuis l'automne 2001 et la 1re de l'histoire du sport féminin nantais. « Nous voulons franchir une
étape supplémentaire, en mettant en place une politique de formation très ambitieuse », assène le président du NRB.C'est la base de la culture sportive nantaise, c'est dans l'ADN du sport nantais. Et c'est logique quand on prétenddisposer de deux meilleurs formateurs français en la matière, Laurent Buffard et Jacky Moreau. »Comme à son habitude, Thierry Frère place la barre très haut. L'homme est ambitieux pour son club et il compte bien emporter
l'adhésion de partenaires à un club de soutien du centre de formation pour lequel le NRB prévoit de consacrer 200 000 € dès l'an
prochain.
Le NRB a fait le choix d'un partenariat avec le groupe scolaire La Joliverie, 1er établissement pluridisciplinaire de l'Ouest qui
scolarise 3 200 élèves, collégiens, lycéens, étudiants, apprentis ou stagiaires de la maternelle à Bac +5, sur un site de plus de 12
ha aux portes de Nantes. « C'est le fruit de relations nouées depuis près de 20 ans », confessent, de concert, Patrick Bizet,le directeur général de la Joliverie, et Thierry Frère. « On travaille depuis six à huit mois à ce projet, justifie le président duNRB. La Joliverie a tous les atouts recehrchés : un site unique, un hébergement de qualité, des salles de sports àdemeure, une équipe pédagogique compétente. »
Une quinzaine de pensionnaires intégreront le centre de formation du NRB - La Joliverie en septembre prochain. Scolarisées en
classe de Seconde, elles formeront les équipes cadettes France et de Nationale 2 féminine. Morgane Cardin aura la charge des
cadettes. Pierre-Laurent Baliello, un Nantais de souche passé par le CSP Limoges, s'occupera de la N2F. Jacky Moreau sera le
directeur de ce centre de formation qui aspire à la labellisation fédérale dans les meilleurs délais.
Mais l'originalité de la démarche nanto-rezéenne ne tient pas seulement à ce partenariat avec La Joliverie. « Nous en signonségalement un avec le pôle emploi pour l'accompagnement et la sécurisation des parcours de nos joueuses un peuplus âgées, confirme Thierry Frère. Le pôle emploi mettra à leur disposition un référent personnel qui les aidera dansleur insertion via les contrats d'alternance ou leur reconversion. »
Ouest-France
Golf : Gougeon, du diable Vauvert
« Je ne suis pas programmé »
mardi 29 juin 2010
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