Revue de presse du Mars Pressespiegel vom März Rassegna

Revue de presse du 2 Mars 2017

Pressespiegel vom 2. März 2017

Rassegna stampa 2 Marzo 2017

Date: 02.03.2017

20 minutes Genève1204 Genève022/ 839 86 86www.20min.ch/ro

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 71'935Parution: 5x/semaine

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Réf. Argus: 64461831Coupure Page: 1/1

Retour d'un ancienBASKETBALL Kelvin Parker termi-

nera la saison avec les Lions deGenève, annonce tdg.ch. Le me-neur américain de 34 ans a déjàporté le maillot des Lions (photo,à dr.), remportant un titre dechampion de Suisse et une Coupede la Ligue en 2012-2013.

at-tetMiron

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Date: 02.03.2017

Hauptausgabe

L'Express/Feuille d'avis de Neuchâtel2001 Neuchâtel032/ 723 53 01www.lexpress.ch






BASKETBALL

Genève engage un nouveau meneurPour pallier les blessures de l'Américain Chaz Williams et del'international suisse Steeve Louissaint, les Lions de Genève ont engagéle meneur américain Kelvin Parker (1982, 184cm), qui évoluait en cedébut de saison au sein du club bulgare de Rilski Sportits Sannokov.Parker avait déjà porté les couleurs genevoises en 2012-2013, aprèsune première expérience en LNA à Monthey (2011-2012). RÉD

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Date: 02.03.2017

Tribune de Genève SA1211 Genève 11022/ 322 40 00www.tdg.ch






Basketball

Avec Parker, les Lionsont enrôlé un cerveauL'Américain revientau Pommier poury gagner d'autrestitres. Gare au réveildes Genevois!

Arnaud Cerutti

On n'ira pas jusqu'à prétendrequ'ils n'avaient pas toute leur têtecette saison, mais les Lions de Ge-nève ont assurément recruté uncerveau en s'attachant mercrediles services de Kelvin Parker. Qua-tre ans après avoir remporté laCoupe de la Ligue et le titre natio-nal sous le maillot blanc (les deuxpremiers trophées de l'histoire duclub), le rusé meneur a en effetdonné son accord pour venir finirla saison au «bercail», et plus siaffinités. Comprenez par là que luicomme ses dirigeants aspirent àaller chercher de nouveaux tro-phées main dans la main Dont laCoupe de Suisse, le 8 avril au Bout-du-Monde (fmale contre le BBCMonthey).

Musique d'avenir, évidem-ment, mais qui sonne doux auxoreilles du gaucher ayant mis fin àsa parenthèse bulgare. Lui qui avécu de belles aventures depuis

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Kelvin Parker, en 2013 sous le maillot des Lions. GEORGES CABRERA

son départ de Genève - en Italie, auQatar, en Slovaquie et en Belgique,notamment - n'avait jamais perdules Lions de vue. Et la réciproqueest vraie. Preuve en est que, plu-sieurs fois, la rumeur de son retouravait circulé. Aujourd'hui, tout estconcret. Et l'image de «KP» quiparle au ballon après avoir inscritun panier décisif nous revient entête. C'était en 2013 certes, mais endépit de ses désormais presque35 ans, l'Américain a toujours del'énergie à revendre et une science

du jeu à étaler. «Son expérience etson leadership sont incompara-bles, relève le président Imad Fat-tal. On attend beaucoup de lui, cardepuis son départ nous n'avionsplus eu de joueur de son calibre.»Oui, il y avait franchement pire,comme pioche, pour combler lesabsences de Steeve Louissaint etChaz Williams!

«C'est clair, sourit le grand ma-nitou. Mais la force des Lions estjustement de savoir se réinventer,de toujours trouver des solutions.

Kelvin fait partie des joueurs ayantchangé à jamais notre histoire. Sonaura et sa capacité à galvaniser lestroupes ne peuvent que nous êtrebénéfiques pour la suite de l'exer-cice.»

Voilà donc le coach Jean -MarcJaumin mieux outillé à l'amorced'un printemps décisif pour unclub qui refuse de vivre unedeuxième saison de rang sans élar-gir sa carte de visite. Le «come-back» de Parker pourrait sonner leréveil des Lions qui n'ont jamaisretrouvé de locomotive depuis lablessure d'Antonio Ballard, au dé-but du mois de décembre.

Depuis lors, Noël est passé, lesrois ont été tirés mais on ne con-naît toujours pas le nom des vain-queurs de la Coupe de Suisse et duchampionnat. Autant dire que lesGenevois - qui se déplacent samedià Lugano - sont encore dans lestemps pour rêver. Qui plus est ensachant que l'infortuné Ballard de-vrait revenir au jeu avant les play-off. A son talent s'ajoute donc lecerveau (Parker). Pour que tienneenfin le château de cartes?

Retrouvez notredossier sur

w.lions.tdg.ch

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Tribune de Genève SA1211 Genève 11022/ 322 40 00www.tdg.ch






Un ancien crack des Lionsest de retour au Pommier

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Date: 01.03.2017

Eaux-Vives

Nouvelles des Eaux-Vives1219 Le Lignon022/ 308 68 78www.nouvelles-ge.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 22'645Parution: mensuelle





La passion de l'AnièresBasket Club.

Propos recueillis par Magali Bossi

Club sportifQui a dit que le basket était l'apanagedes États-Unis? Pas les joueurs del'Anières Basket Club (ABC), en toutcas! Cette équipe amateur a plus d'unballon en mains: compétitions, courspour les enfants et les jeunes... l'im-portant est de participer!

Étudiant à l'Université de Genève,

Fabien Imhof est un passionné: del'écrivain John Steinbeck, de journa-lisme... et de basket. Joueur et vice-pré-

sident de l'ABC, il entraîne les plusjeunes et prend le temps de nous pré-senter son club.

Depuis quand existe l'ABC?Il a été fondé en 2010 par un grouped'Aniérois. Il y a peu de clubs sur la rive

gauche, à part Collonge et Chêne, quisont de grosses structures. [idée étaitde jouer à un niveau amateur, sansprise de tête. Depuis 2011, le club évo-lue au Groupement Autonome de

Basket. C'est une ligue parallèle à l'As-sociation Cantonale Genevoise de

Basket-ball Amateur, dans laquelle il y a

moins de contraintes... mais toujoursl'envie de jouer avec des gens de tousâges et avec un certain niveau!

Actuellement, l'équipe compte onzejoueurs. Nous évoluons dans la Série C(soit la 3e division sur quatre) et occu-pons la 2e place du classement.

[objectif est de monter en Série B pourl'année prochaine.

Le club se double d'une école debasket...

Exactement! Elle en est à sa 2e année et

remporte un grand succès: il y a 15joueurs dans le ter groupe, de 9 à 11ans, et 14 dans le 2e groupe, de 12 à 14

ans. Ils ne jouent pas encore de matchs;

c'est en projet pour les prochainesannées, mais ça demande un grosinvestissement. Pour l'instant, l'objectifest de leur apprendre les bases du bas-

ket, les valeurs du sport, tout en veillantà ce qu'ils prennent du plaisir... dansune atmosphère ludique!

Que dire des joueurs? Et du public?Les joueurs viennent de divers hori-zons: au départ, c'étaient des gensd'Anières et alentours. Aujourd'hui, ilsviennent d'un peu partout à Genève.[ambiance est excellente: il y a un vraiesprit d'équipe, une grande cohésion etbeaucoup de plaisir... pour jouer ouboire un verre après les matchs! Ducoup, nous faisons notre meilleure sai-son depuis que le club existe! Quant aupublic, il est relativement nombreuxlors des matchs à domicile: les élèvesde l'école viennent y assister avec leursparents. Et ma maman et ma soeursont des habituées!

Un souvenir marquant?On a de très bons souvenirs, comme ce

match joué à cinq lors de notre pre-mière saison: menés 15-0 après

quelques minutes, on a fini par l'empor-

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Eaux-Vives

Nouvelles des Eaux-Vives1219 Le Lignon022/ 308 68 78www.nouvelles-ge.ch

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ter! Ou des moments drôles, commecelui où un joueur de l'équipe adverseest parti seul au panier... avant de serendre compte que ce n'était pas le bon!

Anières Basket ClubLes 1" et 15 mars:matchs à domicile à 20 hsalle communale d'Anières,rue centrale 66, 1247 AnièresLe 7 mars à Avanchets-Jura,rue Grand-Bay 13, 1220 Les [email protected]

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Date: 02.03.2017

Amtsblatt Kt. Glarus8750 Glarus055/ 647 60 12www.fridolin.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 32'048Parution: hebdomadaire





Basketballturnier der Oberstufen Glarnerland:

Näfels und Kanti gewannenDas Basketballturnier der Glarner Oberstufenschulen des Glarner Schul-Cups wurdevon den Nüfelserinnen und den Kantonsschülern gewonnen.

J

Austragungsort waren die Dreifach-hallen des Schulhauses Buchholz. Pro-Basket vom Schweizerischen Basket-ballverband, unterstützt vom Basket-ballclub Glarus und dem GlarnerVerband für Sport in der Schule, orga-nisierte das Turnier. Das spielerischeNiveau, von Ausnahmen abgesehen,war nicht besonders hoch. Das Spielist im Glarnerland nicht so verankert.Beim an sich körperlosen Teamspielwaren zu oft Körperkontakte fest-zustellen und diese mussten deshalb ab-gepfiffen werden. Am SchweizerischenSchulsporttag, 2017 Anfang Juni in

Freiburg, wäre bereits ein Rang in dervorderen Tabellenhälfte eine Sensation.Die Siegerinnen aus Näfels hattenvorher bereits den Wettkampf in derLeichtathletik und im Unihockey ge-wonnen. Sie siegten vor den Teams ausGlarus Süd und Niederurnen. Bei denKnaben war Kanti 1 vor den Schülernvom hauseigenen Buchholz und demzweiten Kantiteam erfolgreich. ImZwischenklassement des Schul-Cupsführt Näfels vor der Oberstufe Buch-holz. Es folgen nun noch die Turniereim Volley- und im Fussball.

Ruedi Etter

Das Siegerteam aus Näfels. (Fo

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Date: 02.03.2017

Staatssekretariat für Wirtschaft (SECO)3001 Bern031/ 324 09 92www.shab.ch






FONDATION FRIBOURG OLYMPIC pour une ACADEMIE DU

BASKET, Fribourg, CHE-112.696.733 (FOSC du 15.04.2015, p.

0/2098191). Personne radi6e: Cardis Louis Philippe, membre du

conseil de fondation, signature collective deux.

Registre journalier no 2062 du 27.02.2017 / CHE-112.696.733 / 03379595

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Date: 01.03.2017

Wyland Zeitung8400 Winterthur052/ 260 57 77

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 7'254Parution: hebdomadaire





Mission Basketball-Cupfinal

Erlebten das spannende Basketball-Cup-Halbfinalspiel in der Winterthur Rennweghalle:Stadtrat Josef Lisibach, Gemeinderätin Gabriela Gisler mit Samuel Frey (v.l.)

Das Frauenteam des Basketball-clubs Winterthur schrieb Winter-thurer Sportgeschichte! Mit demHalbfinal-Sieg über Pully qualifi-zierte sich erstmals ein Basketball-Team aus der Eulachstadt für denCupfinal vom 8. April in Genf. Seitüber einem Jahrzehnt ist damit auchwieder ein Team aus der Deutsch-schweiz im Cupfinal. Club-Ge-schäftsführer Samuel Frey hattewohl eine Erfolgs-Vorahnung undverschickte grosszügig Einladungenzur «Mission Basketball-Cupfinal».Das führte zu einer stimmungsvol-len Publikumskulisse mit Leuten, dievielleicht noch nie ein Basketball-spiel live gesehen haben. Neben denStadträten Josef Lisibach und Bar-bara Günthard-Maier waren meh-rere Gemeinderäte, SportamtchefDave Mischler, Mobiliar-General-agent Erwin Kurmann und weiterePromis in der Rennweghalle.

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Date: 02.03.2017

Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch






BASKET

Lo statunitense Parkertorna nelle file dei LionsIII Kelvin Parker concluderà la sta-gione nelle file dei Lions di Ginevra.

trentaquattrenne playmaker sta-tunitense proviene dal campionatobulgaro e per lui si tratta di un ritor-no ai Lions. Con loro aveva già gio-cato nel campionato 2012-2013,vinto dai ginevrini che si erano pureaggiudicati la Coppa della Lega.

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Giornale del Popolo6903 Lugano091/ 922 38 00www.gdp.ch






BASKET Il punto in particolare sulla stagione dei due svizzeri

Effetto Durant sulla NBAdi Sefolosha e Capela

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A

vodese Thabo Sefolosha, degli Atlanta Hawks, e il ginevrino Clint Capela, 22, degli Houston Rockets.

di STEFANO OLIVARI

La stagione regolaresi concluderà a metà aprile,poi spazio ai playoff.Per allora il femonenodei Warriors potrebberecuperare. Ma diamoun'occhiata alla situazioneattuale, partendo proprio

dai nostri volti noti.L'infortunio di Kevin Durant ha

avuto l'effetto di un sasso lanciatonello stagno di una NBA che si stavatrascinando stancamente verso laterza finale consecutiva fra ClevelandCavaliers e Golden State Warriors. Ilcolpo dell'estate 2016 si è fatto male alginocchio sinistro durante la partitapersa da Golden State a Washingtone ottimisticamente rientrerà per l'i-nizio dei playoff, a metà aprile. Unagrossa incognita in una stagione mol-to strana, che non ha mostrato nuo-

(Keystone)

ve stelle assolute e che proprio perquesto ha in molte realtà mostrato lapallacanestro degli allenatori, più chequella dei giocatori. La situazione hafavorito Thabo Sefolosha e Clint Ca-pela, ma in generale molti giocatorieuropei di fascia medio-alta, per for-mazione e cultura portati a giocarepiù per la squadra che per le statisti-che che in America sono sacre.

Libero a giugnoDopo l'infortunio all'inguine e

nove partite di assenza Sefolosha è

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tornato in campo una settimana facontro Miami e lunedì sera contro iCeltics ha anche riguadagnato il suoposto nel quintetto base degli Hawks.L'allenatore, Mike Budenholzer, nonlo ha mai considerato alla streguadi uno specialista difensivo in unasquadra di super-attaccanti, comeera ai tempi dei Thunder, ma un gio-catore completo che in un quintettoda playoff (attualmente gli Hawkshanno il quinto record a Est, 33 vin-te e 26 perse), insieme ad Howard,Millsap, Schroeder e Bazemore, cipuò stare. Un rientro che serve agliHawks ma soprattutto a lui, che a giu-gno dopo undici stagioni consecutivenella lega seguita da tutto il mondosarà free agent. In sostanza il contrat-to attuale (4 milioni lordi, per dirla infranchi) scadrà e Sefolosha a 33 anniavrà le mani libere, con le due opzioniclassiche per un giocatore nella suasituazione: monetizzare in una delletante squadre in fase di "rebuilding"(ricostruzione) che cercano veteranida affiancare a giovani promettenti,oppure guadagnare una cifra simile aquella percepita agli Hawks e andarein una squadra che lo faccia lottareper il titolo, almeno quanto i Thun-der 2011/12. Probabile la secondascelta. Nella fase finale del mercatosi erano interessati a lui i WashingtonWizards, ma un conto è andare dovela tua franchigia ti spedisce (nellaNBA sono pochissimi i giocatori chepossono opporsi, per contratto, a untrasferimento sgradito e Sefoloshanon è certamente fra questi), un altroè decidere il proprio futuro a mentefredda. Tecnicamente starebbe benein una squadra offensiva, come i War-riors e i... Rockets, ma sono discorsiprematuri. Certo è che Sefolosha gua-dagna cifre che lo rendono interes-sante anche per le migliori squadre diEurolega.

Rimbalzi difensiviIl sistema di Mike D'Antoni sem-

bra fatto apposta per esaltare anchei comprimari, al di là delle statistichestratosferiche di James Harden, e fraquesti comprimari c'è senz'altro unCapela che è stato bravissimo a riem-pire il vuoto lasciato dalla partenza diDwight Howard e a fare bene la partedi quel lungo dinamico che a D'An-

toni allenatore è sempre piaciuto,detestando lui il gioco in post basso ein generale una circolazione di pallascontata e lenta. Difficile che i Rocketsvadano oltre il secondo turno dei pla-yoff, per farlo dovrebbero superare inuna serie al meglio delle sette partite

una corazzata fra Warriors e San An-tonio Spurs e questo è francamenteimpensabile anche se il recente inne-sto di Lou Williams, dai Lakers, lasciapensare che si punti anche al pre-sente. Possibile che nell'immediatofuturo possano fare un ulteriore saltodi qualità, pur praticando un basketestremo che nell'intensità selvaggiadei playoff è meno produttivo che instagione regolare (i Rockets sono terzia Ovest). Houston è in ogni caso unodi quei posti dove conviene esserci.E il quasi ventitreenne ginevrino c'è,mostrando la cosa che ai dirigentiNBA piace di più, cioè i margini dimiglioramento. Nel suo primo annoNBA nessuna partenza in quintet-to, tanti infortuni e solo 12 presen-ze totali. Nel secondo, alle spalle diHoward, ha giocato 77 volte e dimo-strato di reggere fisicamente il palco-scenico. In questo, pur fra alti e bassisempre dovuti a infortuni (quello alperone gli ha fatto perdere 15 partite),ha giocato 42 volte, con 12 punti dimedia e qualche perplessità per il suorendimento a rimbalzo: ne prendemeno di Harden, cioè un esterno, masoprattutto deve migliorare in quellidifensivi, dove servono posizione edurezza più che atletismo. Capelatira con ottime percentuali e in ge-nerale potrebbe inserirsi in qualsiasiattacco della lega, visto ciò che nel2017 viene chiesto a un centro, ma èin difesa che deve cambiare passo aldi là delle stoppate che fanno scenama non sempre sostanza. In questastagione guadagna circa un milionee 300mila franchi, nella prossimaprenderà quasi il doppio e nel 2018/19viaggerà sui tre milioni e mezzo. Pergli standard NBA pochissimo, quindiè di sicuro un pezzo pregiato sia per ilfuturo dei Rockets sia come merce discambio in quelle mega- operazioniche a volte servono una squadra datitolo e altre conducono verso il disa-stro.

Alla corte di LeBronSu altre cifre si muovono LeBron

James e i Cavs, che hanno il più altomonte ingaggi della NBA con qua-si 128 milioni di franchi totali e nonhanno lasciato niente di intentatoper il loro secondo titolo consecutivo(sarebbe il quarto nella carriera di Ja-mes). A inizio 2017 hanno ingaggiatoun super tiratore come Kyle Korver,lunedì un grande playmaker, un po'in disarmo, come Deron Williams,che nonostante lo status da stella ac-cetterà di fare la riserva di Irving purdi arrivare al titolo. E non è ancorafinita, perché si possono ancora met-tere sotto contratto giocatori liberi otagliati, come Andrew Bogut: un col-po che sarebbe clamoroso, visto chele Finals 2015 e 2016 l'australiano leha giocate nei Warriors. Certo è chela NBA può mettere tutte le regole chevuole, dal salary cap alla luxury fax,ma niente può contro campioni liberida contratto che intorno ai trent'annidecidono di associarsi per vincere untitolo.

Warriors dopo DurantDire che Steph Curry è in crisi è as-

surdo, perché era logico che l'arrivodi Kevin Durant avrebbe cambiatole sue cifre, ma certo è che lo 0/11da tre punti di lunedì a Philadelphia(con un 2 su 11 la sera dopo) ha fattoimpressione. Anche dopo l'infortu-nio di Durant i Warriors dovrebberocontinuare la loro marcia, consape-voli che fra loro e le Finals ci sonosoltanto gli Spurs di Kawhi Leonardcon i resti di Parker e Ginobili, ma èchiaro che senza Durant tornano lasquadra dell'anno scorso, priva ol-tretutto di Bogut e Harrison Ford,che contro i Cavs al completo parti-rebbe da sfavorita. Fino alla partitadi Washington i Warriors in versioneDurant hanno mostrato una grandepallacanestro ma fatto pensare chea volte il talento offensivo può essere

troppo, anche quando i campioni sisforzano di non essere egoisti. Rom-pere certe gerarchie a volte rompetutto, soprattutto meccanismi deli-cati come quello della Golden Statedi Steve Kerr, il cui gioco nelle seratesenza entusiasmo e coinvolgimentoè controproducente (lo dimostrano

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tanti cattivi imitatori). Via Durantfino a metà aprile e forse oltre, tor-nerà la squadra di Curry. Il problemaè che Curry non è quello dell'annoscorso.

All Star GameIn una stagione in cui l'unico atto

non scontato sarà quello finale le si-tuazioni di transizione sono troppe.Il mercato chiuso settimana scorsasembrava potersi chiudere con il bot-to di Paul George ai Lakers, messi inmano a livello dirigenziale a MagicJohnson al termine di una complessavicenda familiare che ha spaccato laproprietà (adesso il pallino è in manoa Jeanie Buss), ma alla fine quasi tuttihanno tenuto in mano le carte mi-gliori tranne i Magic (Ibaka a Toron-to) e i Kings (Cousins a New Orleans,a formare una grande coppia conAnthony Davis). In molti comincia-no a sostenere che questa NBA delbenessere diffuso sia noiosa ed ineffetti di 10 squadre sulle 30 attualisi potrebbe fare tranquillamente ameno. A questo si è aggiunto, a NewOrleans, il più brutto All Star Gamedi sempre, con i fenomeni che nonhanno giocato sul serio nemmeno ilquarto quarto. Ma il problema nonè certo l'All Star Game: la NBA rima-ne la lega con i giocatori più forti delpianeta, ma deve trovare una stradaperché certe partite di stagione rego-lare sembrino una cosa seria, per nonparlare del fatto che molte qualificateai playoff saranno quasi delle vittimedesignate. Poi è chiaro che a giugnoimpazziremo tutti per la sfida all'OKCorral fra LeBron e Steph.

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