revue de presse RSM

Qu’on donne mon nom à tous les avions

Pop/Kultura -Vendredi, 17.09.2010 Texte: Tanja Lesni!ar - Pu!ko

Il est incompréhensible que le drame d’Eugène Ionesco, Le roi se meurt, n’ait pas élu domicile sur la scène

slovène, à l’exception de deux représentations données jusqu’à présent, l’une dans les années 60 et l’autre il y un

peu moins de 10 ans, alors que l’auteur est prisé des metteurs en scène et son texte excellent.

Quoi qu’il en soit, nous venons de l’obtenir à présent dans sa réalisation originale, littéralement et au sens

figuré : en français, langue dans laquelle il a été écrit, joué par une troupe de comédiens français avec comme

unique représentant de l’espèce slovène Vojko Zidar et dans une mise en scène de Silviu Purcarete, originaire de

Roumanie, où Ionesco était né.

Sur la scène poussiéreuse, le Garde (Vojko Zidar) nous attendait, dès notre entrée dans la salle. Il est debout dans

sa raideur, bien qu’à travers les fissures de ce royaume qui tombe en ruine, filtre de la poussière et lui tombe

dessus, il est en quelque sorte le dernier rempart d’un ordre ancien, le héraut de la cour qui annonce l’arrivée des

deux épouses royales, la première, Marguerite, sévère, décidée (Karelle Prugnaud), et « la première dans le

cœur » Marie, pleurnicheuse et tendre (Marie Cayrol), le médecin du roi (Laurent Schuh) et la femme de ménage

Juliette (Daphne Millefoa). Tous sont vêtus d’une blouse blanche anonyme de médecin, présentent des visages

terreux de pathologistes, qui le dissèquent déjà encore vivant. Tous, sur cette scène misérable, rétablissent « la

salle du trône », sous le joug de ce qui doit arriver. Est c’est ainsi que nous l’apprenons immédiatement : le

roi agonise et il ne lui reste plus qu’une bonne heure et demie à vivre, en fait, le temps de la

représentation.

Sur ce, le roi (Jacques Bourgaux) se lève dans le public, en tant que spectateur donc, apprêté comme un

« monsieur » prospère, et, enjambant la scène, il devient acteur, à ce moment rien ne laisse présager encore qu’il

mourra sous peu. Il semblerait davantage, à le voir écouter avec contentement Mozart dans son lit, qu’il s’agit

d’une conspiration ourdie par sa première femme et le médecin, que la seconde femme, larmoyante, n’empêche

pas. Or, si nous sommes bien tous bigames, comme le dit Ionesco à propos des deux épouses, car nous sommes

tous mariés avec la vie et avec la mort, le temps est apparemment venu pour cette dernière seulement. Et c’est

avec l’aide particulièrement démonstrative du Médecin, dans un style comique absurde, donné par l’explication

des symptômes, les thérapies contre la douleur, la diète, le retrait humiliant de tous les vêtement et le corps aussi,

qui gît comme un souvenir mort sur la table en arrière-plan, qu’elle lui fait entendre raison en le sommant de ne

pas résister à l’inévitable.

Le roi dans un premier temps lutte encore, plus ou moins maladroitement, « …comme un comédien qui ne connaît

pas son rôle le soir de la première », et dénie la proximité de la mort, attire l’attention sur son importance à lui et

sur son absurdité à elle (« Pourquoi suis-je né, si ce n’était pas pour toujours ? »), Il va même jusqu’à se réfugier

dans l’enfance, dans les bras de son nounours et de sa femme, qui lui sert de maman (comment en serait-il

autrement ?), il tente de recommencer sa vie; puis, il s’incline progressivement, il s’inquiète subitement de sa

gloire post mortem, de ce que l’on retiendra de lui, et accepte au fur et à mesure le reproche qu’on lui fait de ne

pas s’être préparé depuis suffisamment longtemps, il finit par obéir au « protocole » de la cérémonie, selon lequel

il est censé mourir. Et à la fin, il meurt.

Cette « plaisanterie tragique », comme l’appelait Ionesco, sur la question de la dénégation de la mort et de sa

confrontation, sur la façon de l’approcher et de partir, a été conduite par Purcarete dans un rythme résolu, qui se

fige de temps en temps, lorsque tous écoutent une sorte de bourdonnement d’insectes (au-dessus du cadavre?). Les

répliques, par endroits en vers, s’enchaînent à bâton rompu (la lecture de la traduction au-dessus de la scène a très

certainement présenté une certaine gêne pour suivre le cours de l’action), les comédiens ont tous, tour à tour,

incarné avec leur jeu totalement maîtrisé, tantôt la voix accusatrice de la raison tantôt celle de la souffrance, de

l’arrogance des médecins, du dévouement, de la faiblesse. C’est entre l’arrogance des rois déchus et

l’autoritarisme de ceux qui ont décidé de les mettre au placard, entre l’allégeance venue du cœur et la servilité

indolente, entre la peur de la maladie, la mort, l’apaisement final et le pas résigné à travers la dernière porte, que

Ionesco et Purcarete nous conduisent sans cesse sur le mode du rire pour que nous supportions plus aisément la

réalité de la mort.

DELO, vendredi 17

septembre 2010 - Ex ponto 2010

Quand le jeu fait mal !

Le thème du Festival Ex Ponto est le tabou, cette année. Bien qu’il ne s’agisse que d’une signalisation thématique censée aider le

spectateur du festival à s’orienter dans son programme, et qu’il ne faille pas le prendre au pied de la lettre, la représentation qui

inaugure le festival, Le roi se meurt, mise en scène par le célèbre metteur en scène roumain, ou européen, Silviu Purcarete, brise en

vérité le tabou de l’agonie, de la mort. Ceci dit, la façon dont elle brise ce tabou est assurément spécifique, car son processus est

imparablement dicté par la diction dramatique de l’absurde ionescien, que Purcarete suit avec attention et souveraineté.

Ionesco met en scène une double agonie : En premier lieu, l’agonie du roi Bérenger, d’un être humain donc, qui, lorsqu’il l’apprend (en fait, le voilà

obligé d’agoniser et de mourir), résiste par tous les moyens – rationnel, irrationnel, logique, absurde - à sa mort ; puis celle du monde, voire de l’univers,

qui meurt avec lui (et en lui). Cette agonie, et la mort, qui lui succède inévitablement, est pendant tout le temps de sa durée déjà - et la mise en scène de

Purcarete l’exprime très clairement – marquée par une sorte d’absurdité fondamentale : En effet, le roi qui agonise, quitte un monde qui n’existe déjà

plus nulle part, il s’agrippe à des ruines et des débris, cherche désespérément de l’aide auprès de gens qui sont en réalité caractérisés par l’absence de sens,

d’objectifs, de raison. Nous faisons face à un monde « de fortune », qui a peut-être été jadis, mais qui à présent s’effondre doucement pour cesser d’être

(l’équipement de scène vient du magasin du théâtre, autrement dit un dépôt d’objets anciens), et le roi en tant qu’(anti)héros central de ce demi-monde

se représente la mort comme une sorte de dernier (anti)protocole. Ce dernier n’a rien de pimpant ou d’édifiant, bien au contraire : il est terne et

dégradant, un protocole qui porte sur une forme de lie existentielle, auquel seule l’écriture dramatique, lucide et aphoristique, de Ionesco donne un dernier

semblant de dignité, une écriture réelle jusqu’au bout dans ces déclarations absurdes en apparence.

La mise en scène de Purcarete, suffisamment crue pour mettre en exergue les répliques significatives de Ionesco, et en même temps suffisamment ferme

pour qu’un corps dramatique autonome puisse s’établir à leurs côtés, est irrépressiblement menée par Jacques Bourgaux, le roi Bérenger I, que l’on va

jusqu’à traîner (de façon démonstrative) hors de scène. Son « drame » de l’agonie est passionné, mais toutefois extérieur à la psychologie, il produit

l’émotion avec une sorte de mollesse pleine d’élan, en tapant sauvagement mais sans se faire mal contre le mur que décident de lui dresser de façon

arbitraire les autres comédiens (Marie Cayrol, Daphné Millefoa, Karelle Prugnaud, Laurent Schuh et Vojko Zidar). Tout est jeu, semble-t-il, mais qui

oserait affirmer, que le jeu ne fait pas mal ! Si pas même Bourgaux ni Purcarete n’ont besoin de signes extérieurs, il est néanmoins (bien que nous ne

voulions l’accepter) assez aisé de comprendre quel monde est en train de mourir devant nos yeux, et aussi combien sa mort est en réalité (in)finie :

aucun sursaut, aucune résistance, aucune révolution ne peuvent y changer quoi que ce soit.

7

SLOVENIJA

18.09.2010

Stran

Datum: Stran, Termin:

Naklada: Površina, Trajanje: 98.84

Žanr: Poročilo

Avtor: KM Rubrika, Oddaja: Kultura

Naslov:

Press CLIPPING d.o.o., tel.: +386 2 25 040 10, e-mail: [email protected], www.pressclipping.orgObjave so namenjene interni uporabi v skladu z odločbami ZASP in se brez soglasja imetnika pravic ne smejo prosto razmnoževati in

distribuirati!34

Z gledališčem čez tabuje

Primorske novice

http://e-clip.pressclip.si/ECLIP/showarticle.php?ART=1697584

NINA BRUS: Letošnji 17. mednarodni gledališki festival Ex ponto, je priložnost za razkošen pregled sodobnih odrskih uprizoritev iz Evrope in novosti slovenskih gledališč. Festival se je začel sinoči s svetovno premiero Ionescove predstave Kralj umira, ki je plod soprodukcije pol ducata ustanov, festivalov in nacionalnih gledališč od Francije do Makedonije. Med njimi Ljubljanske drame, kjer je delo postavil slaven romunski režiser Silviu Purcarete. Poroča Dušan Rogelj.

DUŠAN ROGELJ: Vez med biti in ne biti zaposluje človeka od trenutka samozavedanja. Če je rojstvo stvar vzhičenosti in veselja, pa je smrt ločitev telesa in tistega x po čemer smo, živim nedoumljiva in nedojemljiva skrivnost. Kralj v Ionescovi igri je velikaš, a je hkrati samo človek. V svojem umiranju enak sleherniku. Zadnjo uro mu nič človeškega ni prihranjeno. Nejevera, da je čez zdaj, dvom, če ne gre za zaroto, strah pred izgubo imetja, moči, pred ločitvijo od bližnjih. Poskusi iskanja rešilne bilke, groza pred odhodom v neznano. Blizu smrti se človeku zdi, da z njim umira svet. Kar režiser Purcarete, tudi avtor scenografije, poudari z razpadajočo palačo, prispodobo sesipanja sveta, ter z ubožno opremo kraljevega dvora. Slovo kralja od svojega lastnega razpadajočega trupla, vnemo kričečemu vzdušju gnusa, je eden od najmočnejših prizorov predstave. V tej režiji ni posebnih inovacij, ne prostora za ekshibicionizem. Noben odrski element ne preglasi drugega, vse deluje v smeri dopolnjevanja celote. Podobno je v zasedbi, izenačeni in uglašeni. S preigravanjem spektra mučnih občutij Jacques Bourgaux dokazuje, zakaj igra praktično v vseh odmevnih Purcaretejevih predstavah tega desetletja. Slovenska člana zasedbe Vojko Zidar in Daphne Millefoa izstopata v momentih predstave, ki blažijo njen bridki absurd. Temeljno intenco Ionesca, igra naj gledalca osvobodi tesnobe pred smrtjo, ga pomiri, pa je uprizoritev spregledala ali zavestno obšla. Vprašanje koliko je to mogoče v kolektivnem obredu in če ta lahko zamenja osebni obračun, ostaja v premislek in izziv prihodnjim interpretom.

15:30:00

SLOVENIJA

16.09.2010

Stran


Naklada: Površina, Trajanje: 2,58

Žanr: Poročilo

Avtor: Dušan Rogelj Rubrika, Oddaja: Dogodki in odmevi

Naslov:


distribuirati!8

17. mednarodni gledališki festival Ex ponto

Radio Slovenija 1

00:00:00

SLOVENIJA

18.09.2010

Stran



Žanr: Poročilo

Avtor: Polona Balantič Rubrika, Oddaja: /

Naslov:


distribuirati!44

Kralj umira. Fino bi bilo, če bi to počel v temi

www.rtvslo.si



distribuirati!Stran 45


55

SLOVENIJA

20.09.2010

Stran



Žanr: Foto vest

Avtor: SUZANA GOLUBOV Rubrika, Oddaja: Na zabavi

Naslov:


distribuirati!6

Svetovna premiera na Ex pontu

Nova


74

37200SLOVENIJA

21.09.2010

Stran



Žanr: Poročilo

Avtor: VITO TOFAJ Rubrika, Oddaja: Visoke pete

Naslov:


distribuirati!9

Kralj umira svetovno!

Jana


36

163000SLOVENIJA

16.09.2010

Stran



Žanr: Intervju

Avtor: Andrej Jaklič Rubrika, Oddaja: Šund

Naslov:


distribuirati!13

ZAVEDAM se tveganja

Polet





JOLANDA FELE: V Ljubljani se bo drevi ob 20-ih s svetovno premiero Ionescovega dela Kralj umira v drami SNG Ljubljana začel 17. Ex ponto, mednarodni festival uprizoritvenih umetnosti v organizaciji kulturnega društva B51 bo do 22. septembra v Ljubljani med drugim premierno predstavil še sedem uprizoritev.

DAMIR DOMITROVIĆ KOS (direktor festivala): Ex ponto je imel v vsej tej svoji zgodovini, 17 let torej, program, ki je vedno temeljil na bi rekel družbeni politični vsebini oziroma ozadju ne in je poskusil skozi kulturo v bistvu preseči te neke okvire v katerih so pač prisotni nasploh v življenju in pri vsakem posamezniku in po globalnih temah politike, vere in družine prihaja v eno novo tematsko obdobje, ki se v bistvu bolj približuje posamezniku. Zdaj mislim, da je glavni razlog preprosto ena recesija duha, ki je trenutno prisotna v našem in nasploh širšem evropskem prostoru in mislim, da je zelo pomembno, da v bistvu tema odpre tudi možnost vprašanja pri samem posamezniku oziroma kje naj si postavi svoje meje, kaj je za njega tabu. Začenjamo ravno s tabujem ker je tabu v bistvu tudi eno takšno vprašanje na katerem se lahko zamisli vsak od nas, kaj je sploh za nas tabu, kaj je zame tabu, kaj je za vas tabu in preprosto odpiramo festival z najširšim možnim vprašanjem tabuje, to je vprašanje življenja in pa vprašanje smrti, to je zares mogoče še edini tabu, ki je ostal.

JOLANDA FELE: Festival odpirate s svetovno premiero z mednarodno koprodukcijo Ionescovim delom Kralj umira.

DAMIR DOMITROVIĆ KOS(direktor festivala): Kralj umira v bistvu bo svetovna premiera v režiji Silviuja Purcareteja, evropsko priznanega režiserja, ki je že enkrat odprl festival Ex ponto dve leti nazaj s predstavo Pantagruelova svakinja in seveda postopa v teh svojih mednarodnih navezavah, povezavah, imamo tudi njegovo premiero v drami in v bistvu ravno tema smrti je tisto s čem se Purcarete ukvarja ampak na en svoj specifičen način. Otvoritvena predstava je bi v bistvu specifična za sam Ex ponto oziroma za dejavnost Ex ponta in v otvoritveno predstavo in v zaključni predstavi sodeluje praktično deset držav in 12 koproducentov, to je tisto kar Ex ponto počne vsa ta leta, v bistvu povezuje narode, kulture in umetnike skozi ene zanimive teme in zanimive predstave.

14:00:00

SLOVENIJA

15.09.2010

Stran



Žanr: Dialogizirano poročilo

Avtor: / Rubrika, Oddaja: Kulturne drobtinice

Naslov:


distribuirati!7

Kmalu se bo začel 17. Ex ponto

Radio Slovenija 2

Začel se je 17. festival uprizoritvenih umetnosti Ex Ponto. Letos raziskuje polje tabujev v gledališču in širši družbi. Tabu je nekoč bil nekaj svetega ali pa nekaj zelo umazanega in o tem se ni govorilo.

Izjave:Damir Domitrovič Kos, Daphne Millefoa

V kolikor želite magnetogram v celoti, nam sporočite.

17:30:00

SLOVENIJA

15.09.2010

Stran




Avtor: / Rubrika, Oddaja: Primorski dnevnik

Naslov:


distribuirati!9

Začel se je 17. festival uprizoritvenih umetnosti Ex Ponto

Radio Koper

META ČESNIK: Začel se je 17. festival uprizoritvenih umetnosti Ex ponto. Letos raziskuje polje tabujev v gledališču in širši družbi.

DAMIR DOMITROVIČ KOS: Tabu je nekoč bil nekaj svetega ali pa nekaj zelo umazanega in o tem se ni govorilo. Letos seveda spregovori tako rekoč o vsem, na sploh kultura in umetnost in tukaj pomaga pri tem preseganju tabuja. Naše predstave se bodo letos dotaklnile in vprašanje cerkve, vprašanje incesta, vprašanje smrti. Ampak seveda v tem enem festivalskem vzdušju, tako da niti slučajno ni vse tako temno črno naravnano, so pa takšna vprašanja recimo kot današnja otvoritvena predstava, mogoče edini tabu, ki sploh še obstaja.

DAPHNE MILLEFOA: Govori pa pač o smrti, kralj umira in naj bi bil kot vsakdanji dogodek ja in ne, je po eni strani kot nek dogodek, cel proces okoli smrti, istočasno je pa ta proces zelo vsakdanji.

META ČESNIK: Do konca Ex ponta v sredo 22. septembra se bo v Ljubljani in Kranju zvrstilo še 11 predstav in debata o sodobni hrvaški dramatiki.

22:00:00

SLOVENIJA

15.09.2010

Stran




Avtor: / Rubrika, Oddaja: Odmevi

Naslov:


distribuirati!10

Začel se je 17. festival uprizoritvenih umetnosti Ex ponto

TV Slovenija 1

39

54900SLOVENIJA

15.09.2010

Stran



Žanr: Napovednik dogodkov

Avtor: / Rubrika, Oddaja: Scena

Naslov:


distribuirati!11

Priporočamo

Dnevnik


39

54900SLOVENIJA

15.09.2010

Stran





Naslov:


distribuirati!12

/

Dnevnik


39

54900SLOVENIJA

15.09.2010

Stran





Naslov:


distribuirati!14

Oder

Dnevnik


Ljubljana, 15. septembra (STA) - Pregled dogodkov v Sloveniji in mednarodne dejavnosti Slovenije v sredo, 15. septembra.

SLOVENJ GRADEC - Predsednik vlade Borut Pahor je ob obisku Preventa in nove Boxmarkove proizvodnje v Slovenj Gradcu dejal, da država ob stečaju dveh Preventovih družb ni ostala ravnodušna, ampak je prepoznala probleme in se vključila v iskanje rešitev. Tako lahko danes z optimizmom gleda v prihodnost podjetja Boxmark in zaposlenih.

LJUBLJANA - Vlada v nasprotju s prvotnimi napovedmi predloga proračuna za prihodnji dve leti v četrtek še ne bo poslala v DZ. Kot so pojasnili na finančnem ministrstvu, bo predlog obravnavala v kratkem, vsekakor pa še ta mesec. To ji sicer narekuje tudi poslovnik DZ, kjer proračun z vsemi spremljajočimi dokumenti pričakujejo do 1. oktobra.

LJUBLJANA - BMW Group Slovenija je zaradi preveč odprtih vprašanj zaenkrat ustavil svoje aktivnosti glede projekta, s katerim bi vladi za omejeno časovno obdobje zagotovil več vozil, vlada pa bi s tega naslova privarčevani denar vložila v obnovljive vire energije, so sporočili iz družbe. Odločitev obžaluje tako premier Borut Pahor kot tudi služba vlade za podnebne spremembe.

LJUBLJANA - Ministrstvo za obrambo naj bi se po poročanju Dela in Večera s finsko Patrio dogovorilo za reprogramiranje pogodbe. Tako bi Slovenija kupila le 55 namesto 135 osemkolesnikov, kar je predvidevala pogodba, sklenjena leta 2006. Slovenija je doslej prevzela 24 vozil, do konca letošnjega leta pa naj bi še tri, so za STA pojasnili na ministrstvu.

LJUBLJANA - V Sloveniji je neto plača na zaposleno osebo v podjetjih in drugih organizacijah julija v povprečju znašala 960,14 evra in je bila za 0,6 odstotka nižja kot junija. V letni primerjavi se je povprečna neto plača povečala za 4,1 odstotka, je sporočil državni statistični urad.

LJUBLJANA/BRUSELJ - Visoka zunanja predstavnica EU Catherine Ashton je v Bruslju razkrila seznam 29 imenovanj na visoke položaje v evropski diplomatski službi. Med novoimenovanimi veleposlaniki EU v tretjih državah ni nobenega Slovenca, zato je zunanji minister Samuel Žbogar že izrazil razočaranje.

LJUBLJANA - Slovenski predsednik Danilo Türk je na obisku gostil novega madžarskega predsednika Pala Schmitta. Glede težav, ki pestijo slovensko manjšino v Porabju, je Schmitt zatrdil, da jih je mogoče rešiti in da bodo oblasti v Budimpešti delale v tej smeri. Veliko pozornosti sta predsednika namenila tudi madžarskemu predsedovanju EU prihodnje leto.

LJUBLJANA - Večina članov odbora DZ za zunanjo politiko je na seji s sklepom predlagala vladi, naj do konca 2010 ponovno preuči strategijo sodelovanja Slovenije v Afganistanu ter pripravi strategijo in časovnico odhoda slovenske vojske iz te države in o tem obvesti državni zbor. OZP je poleg tega s sedmimi glasovi za in dvema proti podprl mnenje zakonodajno-pravne službe DZ, da mora ustavno sodišče zahtevo skupine opozicijskih poslancev za oceno ustavnosti zakona o ratifikaciji arbitražnega sporazuma o meji s Hrvaško zavreči. OZP se je seznanil tudi z informacijo vlade o posodobitvi mreže diplomatskih predstavništev in konzulatov v tujini ter varčevalnih ukrepih.

00:00:00

SLOVENIJA

15.09.2010

Stran


Naklada: Površina, Trajanje: 1

Žanr: Poročilo

Avtor: STA Rubrika, Oddaja:

Naslov:


distribuirati!16

Pregled - Slovenija, 15. 9. (sreda)

STA Servis


distribuirati!

LJUBLJANA - Pripombe k predlogu zakona o državnem tožilstvu sta podala tudi služba vlade za zakonodajo in varuh človekovih pravic. Služba vlade pod vprašaj postavlja ureditev, da večino članov Državnotožilskega sveta imenuje politika, varuh pa ureditev, po kateri specializirani oddelek več ne bi preiskoval kaznivih dejanj policistov, storjenih zunaj službe.

MARIBOR - Dobitnica večernice 2009, nagrade časopisne hiše Večer za najboljše slovensko otroško in mladinsko izvirno leposlovno delo preteklega leta, je Bina Štampe Žmavc za knjigo Cesar in roža. Za 14. večernico so bili nominirani še Mate Dolenc, Grega Hribar, Svetlana Makarovič in Dim Zupan. Žirija za izbor večernice 2009, ki ji je predsedoval Vlado Žabot, je v svoji utemeljitvi navedla, da je knjiga Cesar in roža v svojih tematskih, motivnih in fabulativnih komponentah na videz zbirka pravljic, ki pa se kmalu izkaže za zanimivo demitizacijo same pravljičnosti.

LJUBLJANA - S svetovno premiero Eugena Ionesca Kralj umira romunskega režiserja Silviuja Purcareteja se je začel 17. festival Ex ponto. Festival, ki bo letos potekal na temo tabuja, bo med drugim ponudil sedem premier in dve veliki koprodukciji, poleg otvoritvene še sklepno predstavo makedonskega režiserja Martina Kočovskega Rdeče. Mednarodni festival uprizoritvenih umetnosti, ki bo do 22. septembra potekal na različnih prizoriščih v Ljubljani in Kranju, bo ponudil 16 dogodkov. Festivalske dni bodo zapolnile predstave izbranih evropskih avtorjev, program pa ponuja tudi šest premier slovenske produkcije.

Stran 17

Ljubljana, 15. septembra (STA) - S svetovno premiero Eugena Ionesca Kralj umira romunskega režiserja Silviuja Purcareteja se bo danes začel 17. festival Ex ponto. Festival, ki bo letos potekal na temo tabuja, bo med drugim ponudil sedem premier in dve veliki koprodukciji, poleg otvoritvene še sklepno predstavo makedonskega režiserja Martina Kočovskega Rdeče.

Predstava, ki si jo bo drevi ob 20. uri mogoče ogledati v ljubljanski Drami, bo uprizorjena v francoskem jeziku s slovenskimi nadnapisi. Predstava pod drobnogled postavlja neizogiben trenutek v življenjskem ciklu - smrt, in sicer kot razpad, razkroj človeškega bitja in prehod iz enega v drugo stanje. Je nekakšna duhovna priprava na smrt, se je o svojem besedilu izrazil Ionesco.

Mednarodni festival uprizoritvenih umetnosti, ki bo do 22. septembra potekal na različnih prizoriščih v Ljubljani in Kranju, bo ponudil 16 dogodkov. Festivalske dni bodo zapolnile predstave izbranih evropskih avtorjev, program pa ponuja tudi šest premier slovenske produkcije.

Rdeča nit letošnjega festivala je tabu oziroma vprašanje, ali danes o tabujih v gledališču oziroma družbi sploh še mogoče govoriti.

00:00:00

SLOVENIJA

15.09.2010

Stran


Naklada: Površina, Trajanje: 1

Žanr: Poročilo

Avtor: STA Rubrika, Oddaja:

Naslov:


distribuirati!18

V Ljubljani se začenja 17. Ex ponto

STA Servis

00:00:00

SLOVENIJA

15.09.2010

Stran



Žanr: Poročilo

Avtor: / Rubrika, Oddaja: /

Naslov:


distribuirati!20

Ex ponto v 17. letu ruši tabuje

www.rtvslo.si








00:00:00

SLOVENIJA

15.09.2010

Stran



Žanr: Poročilo

Avtor: STA Rubrika, Oddaja: /

Naslov:


distribuirati!23


www.ljnovice.com


1

SLOVENIJA

15.09.2010

Stran



Žanr: Poročilo

Avtor: STA Rubrika, Oddaja: /

Naslov:


distribuirati!24


www.dnevnik.si


17

SLOVENIJA

16.09.2010

Stran




Avtor: / Rubrika, Oddaja: deloskop

Naslov:


distribuirati!29

Scenske umetnosti

Delo


14

SLOVENIJA

16.09.2010

Stran



Žanr: Vest

Avtor: kr Rubrika, Oddaja: Kultura

Naslov:


distribuirati!31

V Ljubljani se je začel 17. Ex ponto

Večer


36

SLOVENIJA

16.09.2010

Stran




Avtor: / Rubrika, Oddaja: prireditveni vodnik

Naslov:


distribuirati!33

GLEDALIŠČE

Večer


Documents

revue de presse RSM