Revue de presse - Septembre 2011

Septembre 2011

Revue de presse

France Allemagne Italie Espagne Pologne Ukraine Web Marketing

Marché français

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Encore trop de paille en carafe Le manque de logistique freine l’acheminement de la paille des zones céréalières vers les régions d’élevage. Les pluies de l’été ont été une véritable bouffée d’oxygène pour les éleveurs. Elles ont relancé la pousse de l’herbe mais cela ne compensera pas le manque de fourrages pour cet hiver. Pour beaucoup d’exploitants, la sécheresse ne se terminera qu’au printemps 2012. Grâce aux nombreuses opérations paille, les éleveurs ont réussi à trouver des volumes. Mais il reste un problème de taille : comment transporter cette paille avant l’hiver dans les zones d’élevage ? Xavier Beulin a annoncé dernièrement que seul ¼ du million de tonnes contractualisées entre les départements offreurs et demandeurs avait été acheminé. L’unostra, une union de syndicats de transporteurs routiers, estime qu’il manque dix mille camions. Quant au train, ils n’acheminera pas plus de 5% des volumes. Il est réservé aux longues distances. Mais là aussi les cadences ne sont pas à la hauteur des besoins. La Chambre d'agriculture des Bouches-du-Rhône réclame des mesures structurelles pour rendre la filière à nouveau compétitive.

Biocarburant, les algues prennent la troisième vague Avec le projet Green Stars annoncé le 27 Septembre, la France doit se doter d’un démonstrateur industriel à 120 millions d’euros très attendu par la filière. Mais la course aux algocarburants n’est pas gagnée d’avance. Rendements à l’hectare hors du commun, utilisation des émissions de gaz à effet de serre des usines, valorisation des eaux usées, non compétition avec les surfaces agricoles… Sur le papier, les « algocarburants ont tout pour plaire. Ils se revendiquent même de la troisième génération, celle qui doit enterrer la deuxième (qui valorise les plantes terrestres entières) avant même qu’elle n’ait vu le jour et remiser au rayon des accessoires la première génération de biocarburant à base de produits alimentaires.

Coût du travail, la taxe sodas devrait profiter aux employeurs agricoles Le député des Bouches-du-Rhône Bernard Reynès (ump) continue à défendre son projet de taxer les sodas pour abaisser le coût du travail permanent en agriculture. Cette proposition consiste à dénoncer une niche fiscale car ces produits ne sont pas issus de la production agricole et ne devraient pas bénéficier d’une TVA à 5,5%. La recette attendue s’élève à 310 millions d’euros.

Blé tendre la Pallice

-4 €/t214 €/t

Blé tendre Rouen

-3 €/t209 €/t

Colza Rouen

-1 €/t436 €/t

Colza Moselle

-1 €/t447 €/t

Mais Creil

-1 €/t204 €/t

Mais Bordeaux

1 €/t215 €/t

Orges fourragères Rouen

-5 €/t202 €/t

Orge hiver Rouen

-2 €/t225 €/t

Orge printemps Moselle

-2 €/t270 €/t

Tournesol St Nazaire

-3 €/t385 €/t

Blé dur Départ Sud-Ouest

+5 €/t330 €/t

Pois fourrager Creil

=0 €/t228 €/t

Pois alimentaire Creil

=0 €/t228 €/t

Observatoire des marchés

Marché français

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Actualité Web Marketing

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Mois d'août en demi-teinte pour les investissements publicitaires

Après un mois de juillet en demi-teinte, la tendance se confirme en août: les investissements publicitaires ont progressé de 3,1% en valeur le mois dernier, selon Kantar Média. C'est la télévision nationale qui chute le plus, avec une baisse de 12,2% comparé à août 2010. La TNT gagne 27,1%, les chaînes nationales thématiques, 5%. La presse progresse de 2,1%, la radio, de 4,2% tandis qu'Internet perd 0,6%. Enfin, la publicité extérieure a progressé de 14,3% quand les investissements publicitaires au cinéma ont bondi de 28,2%.

Facebook embarque des médias et des partenaires musicaux

Mark Zuckerberg, CEO de Facebook, a annoncé des évolutions de taille lors de la conférence annuelle des développeurs du réseau social, jeudi 22 septembre, au nombre desquelles l'ouverture d'une plate-forme d'applications partenaires, directement intégrées à Facebook, incluant les médias (musique, vidéo, presse) et le divertissement. Facebook a annoncé plusieurs partenariats: avec Spotify, Rdio, le français Deezer ou Rhapsody pour la musique; Hulu, Netflix et les français Dailymotion, TF1 ou l'INA pour la vidéo; The Guardian, le Huffington Post, Yahoo News ou encore Les Echos, L'Equipe ou Le Monde pour la presse; Air BNB ou Ticket Master pour la billetterie.

IBM sort une nouvelle version de sa solution de web analytics IBM sort une nouvelle version de sa solution de web analytics afin que les entreprises puissent optimiser leurs campagnes marketing en ligne sur l’ensemble des canaux digitaux et mobiles : sites Web, réseaux sociaux et téléphones portables. Cette solution permet en effet de réaliser un tracking web approfondi, de mesurer l’appétence des visiteurs pour les produits et services en ligne, de définir les campagnes marketing et d’élaborer des offres personnalisées en temps réel. Exemple : l’entreprise peut analyser le trafic sur Facebook ou Twitter pour, ensuite, proposer à ses clients des promotions sur mesure directement sur leurs terminaux mobiles. Cette nouvelle version s’intègre dans la démarche Smarter Commerce d’IBM dont l’objectif consiste à aider les entreprises à commercialiser plus efficacement leurs produits et à améliorer leur fidélisation.

http://www.e-marketing.fr/Definitions-Glossaire-Marketing/Marketing-5766.htm


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Les médias pros, pros du " streching de marque "

L'association Presse Pro a demandé à Seprem Etudes et Conseil de réaliser une étude quantitative en ligne permettant de dresser un panorama de " La diversification des marques de presse professionnelle ". Ses résultats vont surprendre : c'est en effet la presse pro qui est le média le plus en avance sur la diversification des ses marques. L'investigation conduite par Seprem Etudes et Conseil porte sur 270 titres représentant 80 % du C.A. de la presse professionnelle . Il en ressort que les éditeurs de médias spécialisés n’ont pas attendu que les quotidiens et magazines s’intéressent au « streching de marque » pour se diversifier et disposent sur ce point d'une belle longueur d'avance. - Tous sont présents sur Internet, souvent avec plusieurs sites. - 69 % éditent déjà des produits non périodiques imprimés et en ligne. - 47 % organisent des événements, dont des trophées professionnels. - 37 % pratiquent la VAD et commercialisent des bases de données. - 27 % sont déjà présents sur le marché des conférences et formations. - 25 % organisent des salons et congrès. - 20 % coproduisent des études et proposent du publishing et de la production audiovisuelle. - Enfin, 16 % tirent des revenus des licences de leurs marques et des droits sur leurs contenus. Ces diversifications représentent 15 à 20 % du C.A. des entreprises qui les mettent en œuvre, soit beaucoup plus que ce que l’on observe aujourd’hui dans les autres formes de presse ainsi que dans l’audiovisuel. Et il est intéressant de noter qu’elles sont le fait d’éditeurs de toutes tailles, dont beaucoup de TPE, qui les mettent le plus souvent en œuvre avec des moyens internes. Comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, les éditeurs de médias pros ont développé des stratégies de marque sans en avoir toujours conscience. Ils l’ont fait « naturellement » et avec un indéniable succès pour des raisons qui tiennent à leurs trois spécificités : -Une très bonne connaissance des lecteurs et annonceurs auxquels ils s’adressent. - Une capacité à produire des contenus experts à forte valeur ajoutée, qui a pour conséquence une très forte crédibilité de leurs diversifications. - Un vrai rôle d’acteur et d’animateur (et pas seulement de « tuyau ») au sein des communautés auxquels ils s’adressent. Les médias grand public de proximité et les magazines qui traitent de centres d’intérêt pointus disposent vraisemblablement des mêmes potentiels. Small is beautiful !


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Yahoo mise sur les alliances

Le filiale française du géant américain compte sur l'innovation technologique et de nouvelles offres publicitaires pour attirer les annonceurs. Malgré les remous de ces dernières semaines, entre l'éviction de Carol Bartz, sa directrice générale, et les rumeurs de rapprochement avec AOL, Yahoo continue de plancher. Voilà le message que sa filiale française voulait faire passer, le 15 septembre, lors de la présentation de sa «grille de rentrée», autrement dit ses nouveaux contenus. Avec pour ambition d'attirer les internautes, mais aussi les annonceurs dans un contexte tendu. D'après le cabinet Emarketer, sur le marché américain, Facebook devrait atteindre 17,7% de part de marché, devant Yahoo (13,1%) et Google (9,3%). Au menu: une couverture spéciale de la Coupe du monde de rugby, l'élection présidentielle via un partenariat avec l'institut LH2, l'arrivée de Pascal Riché, de Rue 89, et d'Élisabeth Lévy, de Causeur.fr, pour des débats sur le portail. Yahoo assure aussi qu'il demeure au cœur de l'innovation technologique. «Nous lançons de nouveaux produits qui vont révolutionner la manière dont on consomme les contenus», estime Blake Irving, responsable produits monde. Avec, par exemple, Livestand, une application pour mobiles et tablettes, qui proposera d'ici à quelques semaines en France le contenu de Yahoo et de partenaires sous HTML 5 (qui permet notamment d'afficher des contenus sous format Flash, y compris sur les Ipad). Yahoo s'apprête aussi à lancer une application de reconnaissance automatique de son (dans une publicité, un single, etc.), et proposera des contenus liés à celui-ci sur le mobile. Vente de l'inventaire publicitaire S'y ajoute une incursion dans l'univers musical. Yahoo a annoncé son partenariat avec Vevo, un site de clips musicaux, détenu par Universal, Sony Music et Abu Dhabi Media, qu'il lance ainsi en France. «Nous en assurerons la régie exclusive. Les marques vont pouvoir communiquer sur ce site musical», annonce Brigitte Cantaloube, directrice générale de Yahoo France. Les annonceurs ne sont sans doute pas au bout de leurs surprises. Jeudi 15 septembre, les rumeurs allaient bon train sur une prochaine offre publicitaire commune à Yahoo, AOL et Microsoft. «All things digital», le blog hébergé par The Wall Street Journal, affirmait que tous trois travailleraient à un nouveau système de vente d'espace publicitaire, attendu fin 2011 ou début 2012. Les uns et les autres pourraient vendre leur inventaire publicitaire (encarts illustrés ou bannières non vendus par les trois sites eux-mêmes). Silence radio chez Yahoo pour cette «rumeur», mais la brèche est bel et bien ouverte.


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Les dépenses en communication des annonceurs


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Les dépenses en communication des annonceurs

Marché allemand

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Vente en matériels de récolte

Selon des chiffres fournis par la VDMA Landtechnik (association de machinerie allemande), 18 400 faucheuses, andaineurs et faneurs se sont vendus en Allemagne de juillet 2010 à juin 2011, ce qui correspond à une croissance de 17% par rapport à l’année précédente. Les presses à balles rondes ne sont pas non plus en reste avec une croissance des ventes de 14% sur la période citée précédemment. La vente de porte-plateaux est de 800 unités pour la même période, succès qui est attribué au prix du lait actuel favorable aux agriculteurs laitiers, qui peuvent désormais investir à nouveau dans de nouveaux matériels.

Sucre

La récolte de betterave s’effectue plus tôt que d’habitude cette saison grâce à la chaleur et à la sécheresse de début d’année. Il est estimé que 72 tonnes de betterave par hectare seront récoltés, soit 10 tonnes de plus par hectare. 400 000 hectares produisent de la betterave en en Allemagne. Cette haute productivité permettra entre autres de réagir à de mauvaises récoltes ultérieurement.

Travail du sol - Grégoire Besson rachète Rabe Le mercredi 31 août 2011 a été officialisée l'acquisition de Rabe par Grégoire Besson. Le constructeur allemand rencontrait, depuis des années, de grandes difficultés financières. Cet acquisition va permettre à Besson d'accroître son potentiel de production en se rapprochant des Pays de l'Est. En outre, l'acquisition de Rabe lui permettra d'acquérir une carte dans les herses rotatives et les semoirs. Les herses rotatives Rabe seront vendues sous la marque Grégoire Besson avec, en dessous, une indication de filiation « Rabe Technology ».

Augmentation de l’immatriculation des tracteurs en Allemagne au mois d‘août

2.708 immatriculations de tracteurs en août 2011 contre seulement 2.037 en 2010 sur la même période. Soit une augmentation de 37.8%. C’est surtout les petits tracteurs en dessous de 50 CV qui ont connu la plus forte augmentation, 40% de plus par rapport à 2010.

Pöttinger annonce une augmentation record de son chiffre d’affaire

Le fabricant Autrichien Pöttinger annonce l’augmentation de son chiffre d’affaire la plus forte depuis 140 ans. La société aux 1.270 salariés réalise un CA de 236 million €, soit 30% supplémentaire en 1 an.

Marché italien

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Vendange très prometteuse cette année en Italie

Même avec les difficultés climatiques de cette année, on annonce une année positive pour le vin italien : les estimations parlent de 44 millions d’hl de vin. Si la production recule de 5% par rapport à 2010, le produit devrait être de très bonne qualité dans toutes les régions italiennes. A cette bonne performance s’accompagne d’un coté une augmentation des prix du vin en gros entre 5% et 20%, et de l’autre coté un boom des exportations : selon les données publiées par l’Association des Œnologues Italiens (Assoenologi), le premier trimestre 2011 a vu une augmentation de l’exportation en volume de 16,5% et de 15% de valeur, qui compensent la chute de consommation interne (destinée à descendre au delà des 43l pro-capita de 2010). Cette bonne nouvelle s’inscrit dans un contexte où la surface cultivé à vigne a perdu 286 000 hectares en 20 ans, même si l’Italie représente toujours 17% de la production mondiale et 30% de celle européenne.

Biogaz : boom des la production

Selon les données de la CRPA (Centre de Recherche en Production Animale), les installations de biogaz ont augmenté de 273 en Mars 2010 à 521 en mai dernier, soit une augmentation de 91% sur une période de quatorze mois. Cette augmentation se répercute sur la puissance installée : on est passé de 140 MW en Mars 2010, à 350 MW aujourd’hui (+150%). Pour ce qui concerne la distribution sur le territoire, la plupart des centrales se situe dans la vallée du Pô, caractérisée par la forte présence de ferme d’élevage, avec des pointes en Lombardie (120 centrales), la Vénétie (78), le Piémont (72) et l'Emilie-Romagne (63). Pour ce qui concerne les matières premières, on retrouve en particulier (58%) un mélange de fumier, ensilage de maïs et des déchets alimentaires. Si la croissance a été foudroyante, et les objectifs européennes (initialement prévus sur 10 ans) pourront même être atteints en moins de 3 ans, le secteur reste fortement dépendent des aides d’état, qui seront toutefois revus dans les prochaines mois.

Marché espagnol

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AGRAGEX veut renforcer les exportations pendent le 2012

Dans son plan d’activité de 2012, il y aura une douzaine de salons et missions commerciales a travers le monde. Objectif, développer le marché international et des exportations de machines agricoles, en particulier dans les destinations émergentes. L’association de fabricants espagnols a travaillé en collaboration avec l’Institute de commerce extérieur (ICEX) pour élaborer les activités. AGRAGEX va être présent aux salons agricoles du Maroc en Avril et du Angola en Juillet. En plus, les associés participeront dans onze grandes salons agricoles : SMAGUA FIMA (Saragosse), Agram (EAU), VIV Mexique, Yugagro (Russie), MICS (Italie), Eurotier (Allemagne), Hortifair (Pays-Bas), Agroexpo (Algérie), Growtech (Turquie) et Sifel (Maroc). En parallèle, durant 2012 sont prévues des missions commerciales en Amérique latine, le Chili, le Brésil, Panama et République dominicaine. En Afrique, les destinations seront au Kenya, en Éthiopie et au Ghana, tandis qu'en Europe, à des échanges d'affaires avec la Russie, la Roumanie et la Bulgarie. L'ordre du jour des délégations complète avec des missions directes à l'Iran, l'Irak, l'Arabie Saoudite, le Vietnam, Thaïlande, Indonésie, Philippines, Turquie et Israël. Objectif: Stimuler les exportations dans le monde AGRAGEX intensifier les activités de marketing à l'étranger en 2012 avec l'objectif principal de l'expansion du marché international et des exportations de machines agricoles, en particulier dans de pays émergents. Ainsi, l'association veut contribuer au développement de l'industrie du machinisme agricole espagnole dans le monde entier.

Marché polonais

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Le salon AGRO SHOW 2011

Au mois de septembre a eu lieu le plus grand salon de l’agriculture en Pologne. C’est un salon international, cette année la 13eme édition du 23 au 26 septembre à Bednary près de Poznan. Le salon se situe sur l’ancien aéroport militaire. La surface du salon représente 85 hectares. L’édition 2011 a regroupé plus 690 exposants : dont 80 société étrangers de l’Europe de l’est et de l’ouest : en autre de la Suède, de l’Angleterre, de l’Espagne, de l’Allemagne, de l’Ukraine, de Pays Baltes et de Chine. L’organisateur a enregistré plus 100 000 visiteurs : 125 000 exactement. Il y a eu également des démonstrations de 40 nouvelles machines : parmi eux : les chariots télescopiques, des pulvérisateurs. L’année prochaine la 14edition aura lieu au même endroit fin mois de septembre 2012.

Lancement de nouveaux tracteurs Farmtrac lors d’AGRO SHOW 2011

Farmtrac le constructeur polonais présent sur le marché depuis 12 ans maintenant a profité du salon international de l’agriculture AGRO SHOW en Pologne pour lancer les nouveaux modèles de ses tracteurs. Les nouveaux tracteurs 7100 DT i 7110 DT se caractérisent par l’intégration de la boite de vitesse du constructeur allemand ZF et par une plus importante puissance du moteur : 98 et 110 CV. Les anciens modèles avaient le moteur de puissance nettement inferieure entre 33 et 88CV. Farmtrac reçoivent de façon fréquente les prix et se développe également en Europe de l’ouest, notamment en France. En 2010 le constructeur polonais a exposé au Sommet d’élevage.

Aides EU :

Au mois de septembre 2011 l’agence chargé de modernisation du marché polonais (exploitations et parc machines) a versé presque : 67,7 mln PLN - 16,8 mln EUR. Les aides suivantes seront versées en mars 2012. Les régions qui ont reçu le plus d’aides étaient : les régions du centre et nord de la Pologne (en pl. mazowieckie : 4,9 mln PLN, et wielkopolskie 3,8 mln PLN et kujawsko-pomorskie 3,0 mln PLN).

Marché Ukrainien

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En 2012“Société publique des céréales de l’Ukraine ” (SPCU) a l'intention d’agrandir son parc de machines

Société “Société publique des céréales de l’Ukraine ” (SPCU) envisage d’acheter 2000 moissonneuses batteuses et 1500 bennes agricoles pour la campagne de récolte 2012, en augmentant son parc jusqu’à 2500 moissonneuses batteuses. Pour l’année 2014, selon la stratégie de développement de la société doit avoir 7200 moissonneuses batteuses et 5000 bennes agricoles. Selon M. Alexandre Bavitsky, Responsable du pôle Machinisme chez SPCU, la société compte d’acheter les machines principalement en leasing. Actuellement SPCU est en train de négocier les contacts avec les principaux constructeurs des machines agricoles. Pour réaliser ce projet, le gouvernement ukrainien prévoit investir 890 millions d’euro.

Le marché des machines agricoles continue s’accroitre Les exploitations agricoles et les agriculteurs ukrainiens continuent achètent activement les machines agricoles. Après le pic des achats en 2008 (CA pour l’année 2008 : 1,4 milliards de dollars) le marché n'a pas démontré de tels chiffres en 2009-2010. Depuis le début de l'année 2011, la situation a changé. Déjà les trois premiers mois de l'année 2011 ont apporté une augmentation de 64% dans les ventes de moissonneuses-batteuses (neuves) : ‐ Claas (400 machines), ‐ John Deer (330 machines), ‐ New-Holland (180 machines), ‐ Case (150 machines), ‐ Gomselmash (126 machines) – constructeurs biélorusse, ‐ Massey Ferguson (110 machines), ‐ Rostselmash (108 machines) – constructeur russe, Constructeurs ukrainiens ont vendu environ 100 machines. Dans le segment des tracteurs agricoles, MTZ (Bélarus) reste le leader avec son part de marché 86 %.

Augmentation des exportations ukrainiennes Selon l’annonce faite par « Ukrainian Agribusiness Club » (Association des grands acteurs du secteur agroalimentaire en Ukraine), le volume des échanges dans le secteur du machinisme agricole a plus que doublé depuis le début de l’année 2011 par rapport à la même période en 2010. Ainsi, les exportations ukrainiennes du secteur ont augmenté de 14%, alors que concernant les importations, la hausse est de plus de 180%. Cette augmentation est liée, selon les experts, à la hausse rapide du prix des produits agricoles et agroalimentaires, contribuant à améliorer la situation financière des producteurs agricoles qui peuvent dès lors investir plus facilement dans le matériel agricole.

Documents

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