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Revue de Presse SUP MED 2015 Septembre 2015

Revue de Presse SUP MED 2015 Septembre 2015

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Page 1: Revue de Presse SUP MED 2015 Septembre 2015

Revue de PresseSUP MED 2015

Septembre 2015

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Retombées presse - juillet / Août 2015:

Presse écrite:

• 20 minutes : édition du 1/07/2015 papier + site internet• Mensuel de Fos sur Mer de juillet/aout papier + site internet• La Provence: édition La Ciotat du 15/07/2015• La Provence édition Martigues du 14/07/2015• Le Parisien / Aujourd’hui en France édition du 16/07/2015 + article sur le site du Parisien +

Tweet• Var Matin du 22/07/2015• Var matin + Nice Matin édition web du 23/07/2015• Nice Matin parution du 03/08/2015 et du 04/08/2015• Voile et tourisme Aout 2015• La Provence: édition de Martigues-Istres du 10/08 - 11/08 - 13/08

Web:

• Sup Journal: article web du 2/07/2015 + photo article web du 13/07/2015• Sup Passion.com: article web du 2/07/2015• nautisme.meteoconsult.fr : Brèves Nautisme: Ecoute ta planète sur l’île des Embiez du

14/07/2015• 1ère Outre Mer du 17/07/2015• Maritima.info article du 18/07/2015 + reportage vidéo• TotalSUP article du 22/07/2015 en anglais• Supracer.com article du 22/07/2015 en anglais• Theriderpost.com article du 20/07/2015• La Lettre économique et Politique de PACA : presseagence.fr du 14/07/2015• Actualités de la Région PACA du 6/07/2015• Nice Matin - vidéo sur le départ de Nicolas le 03/08/2015

Radio:

• France Bleu Provence: journal du 13/07/2015 reportage d’1’56• Chronique Virgin Radio du 16/07/2015 - 2’29• Brève sur KissFM le 04/08• France Bleu AZUR du 04/08/0215 les deux interviews de Nicolas Jarossay diffusées dans les

journaux de France Bleu Azur ce matin, + une interview en longueur diffusée à 6h45 et 7h45.

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Télé:

• France 3 reportage du 12/13 région PACA du 13/07/2015 de 2’• Maritima.info reportage de 5’38 + dans le journal du 17/07/2015 reportage de 1’20• Itélé dans la revue de presse matinale du 16/07/2015• BFM TV Bourdin direct du 24/07/2015• France 3 édition Côte d’Azur le 03/08/2015 + page dédiée sur internet + tweet + diffusion

en nationale dans tout le sport du 04/08/2015

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PRESSE ECRITE

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20 Minutes du 1 juillet 2015Parution papier + site internet

http://www.20minutes.fr/marseille/1642635-20150630-veut-traverser-atlantique-stand-up-paddle

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Magazine de Fos-sur-Mer le 2 juillet/2015Parution papier + site internet

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La Provence Martigues - Pays martégal - 14 juillet 2015Parution papier + site internet

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La Provence - édition de la Ciotat du 15/07/2015

Le nouveau port, Port propre, et pour longtemps

Lundi 13/07/2015 à 05H45 La Ciotat

Les défenseurs de l’environnement se sont réunis pour promouvoir le labelVendredi, un village animé par les associations membres de Réseau Mer s’est installé sur le nou-veau port de La Ciotat. C’était une première. Cette animation parcourra ensuite la région Paca tout au long de l’été. Les défenseurs de la mer se déplacent ainsi de Port propre en Port propre avec une devise “éducation, sensibilisation et information”.

Le nouveau port de La Ciotat bénéficie de cette appellation depuis 2011. Un label qu’il faut regagner tous les 3 ans. En 2014, le nouveau port a rempilé pour une nouvelle période. “Ce renouvellement maintient la motivation du personnel, des plaisanciers et des habitants a lutter contre la pollution maritime. Le progrés est encouragé”, commente Véronique Tourrel, déléguée générale de l’Union des ports de plaisance de Paca. Il faut remplir pas moins de 17 critères pour bénéficier de la certification européenne de “Port propre”. Un Port propre forme son personnel et sensibilise les plaisanciers à la cause environnementale ; il possède le matériel pour récupérer les eaux noires, les huiles de moteur ; la basse consommation d’énergie est aussi prise en compte. Le nouveau port de La Ciotat, avec ses 650 bâteaux, a aussi sa propre déchetterie portuaire. “Le seul problème, confie Marc Camus, coordonateur des 3 ports de plaisance de La Ciotat (Capucins, Saint-Jean et le nouveau), ce sont les déchets de surface. Aujourd’hui les bateaux sont équipés. Il y a très rarement des problèmes d’huile et de déchets émanant des plaisanci-ers.”L’adhésion à la charte ainsi que la certification Port propre découlent d’une démarche vo-lontaire c’est-à-dire que les ports de plaisance choisissent d’entrer dans le dispositif et de mener pour cela les actions nécessaires.

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La Provence - édition de la Ciotat du 15/07/2015

La commission européenne refuse rarement le certificat aux nouveaux demandeurs. En Paca, sur les 135 ports ayant postulé, 22 ont été mis de côté dans l’attente d’aquisition de matériel ou autre formalité à remplir. Les ports de plaisance de la Côte bleue, Sausset-les-Pins et Carry-le-Rouet sont en bonne position pour gagner le graal.

Donner l’exemple

Les jeux pour enfants, les cadeaux à gagner, les animations aident le village Réseau Mer a sensi-biliser les habitants. Sur certains stand, il y a aussi des photos illustrant les conséquences sur les fonds marins et les rivages. “Notre Méditerranée va mourir si l’on ne réagit pas vite. Les Ports propres donnent l’exemple” se console Josette Natovec, bénévole à l’association initiatives et éducation de la jeunesse à l’environnement. “Tous les ports devraient entrer dans le dispositif. Ça doit être obligatoire. Même les petits ports cachés entre deux calanques” ajoute-t-elle.

La traversée de l’Atlantique en paddle

Pour redonner du baume au coeur et créer la surprise, le village Port propre pouvait compter sur sa mascotte, Nicolas Jarossay. Ce sportif originaire de la Côte Bleue s’est lancé un pari un peu fou : être le premier homme à traverser l’Atlantique en stand up paddle. Le départ est prévu pour janvier prochain. L’arrivée se fera en Martinique. Au total plus de 5 000 km debout sur sa planche 6,5 mètres de long... Pour survivre, il devra boire 8 litres d’eau par jour. Il partira donc avec un filtre à eau de mer, de la nourriture lyophilisé, une radio mais aussi deux téléphones satellites “histoire que l’on puisse me prévenir si une tempête me fonce dessus” s’amuse-t-il.

La traversée devrait avoisiner les 75 jours. Pour s’entraîner et tester le matériel en condition réelle, Nicolas s’engage dans un périple méditerranéen jusqu’à la fin du mois de juillet : En tout, 6 étapes rythmeront son parcours. Chaque escale se fait dans un “Port propre” de la région. La dernière phase est l’aller-retour métropole-Corse. Bon vent Nicolas !

Frédérique Gros

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Le Parisien - Aujourd’hui en France édition du 16/072015Parution papier + site web + tweet

Il va traverser l’Atlantique en paddlePompier et sauveteur, Nicolas Jarossay tentera cet exploit — une première — l’hiver prochain. En attendant, il sillonne les plages pour s’entraîner. Aujourd’hui, il fait escale à Bormes-les-Mimosas (Var).

Hélène Terzian | 16 Juil. 2015, 07h00 | MAJ : 16 Juil. 2015, 05h28

Pour la plupart des vacanciers qui s’essaient au stand up paddle, le challenge consiste surtout à rester en équilibre dessus. Nicolas Jarossay, lui, veut traverser l’Atlantique sur cette planche, à la force de sa pagaie. Vous le croiserez peut-être sur les plages cet été. En guise de mise en jambes, Nicolas sillonne actuellement le littoral de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et fait étape aujourd’hui à Bormes-les-Mimosas (Var).

Au programme : un périple sur six ports « propres » de la Méditerranée, piloté par l’association Ecoute ta planète et financé par la région. « Une belle initiative pour promouvoir l’écologie, tout en étant médiatisé », confie Nicolas, qui en profite pour tester le prototype de son paddle (voir l’infog-raphie). La tournée des plages s’achèvera par un plus gros morceau : la traversée entre Marseille et la Corse à la fin du mois.

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Le Parisien - Aujourd’hui en France édition du 16/072015Parution papier + site web + tweet

« Amoureux de la mer depuis toujours », ce pompier et sauveteur en mer de 38 ans pratiquait déjà le wind-surf avant de découvrir le paddle, en 2009. Rapidement, il en devient un expert : descente du Rhône en 2010, record du monde (battu depuis) de vingt-quatre heures non-stop de paddle en 2011... Il accumule les défis. « A force, un jour on se réveille et on se dit que la traversée de l’Atlantique, c’est possible ! » confie-t-il.

Un pari dingue ? Osé, certes, mais « qui tient la route », affirme Nicolas. « En discutant, on se dit forcément : Il est fou, celui-là !, mais comme tout est calé, c’est rassurant... » Pour son périple qui devrait durer soix-ante-quinze jours, Nicolas s’est entouré de pros. Sarah Hebert, d’abord, quadruple championne de France et championne d’Europe de windsurf, qui avait tenté puis abandonné la traversée de l’Atlantique en planche à voile en 2012. Et surtout Patrick Favre, qui avait remporté en duo le record national de la traversée de l’At-lantique sud à la rame. « Je comptais lui demander d’être mon routeur pour ma traversée. Et puis au fil de la discussion, c’est lui qui me l’a instinctivement proposé », se réjouit Nicolas. Tous les matins, par téléphone satellite, Patrick Favre sera les yeux de Nicolas pour lui indiquer les courants à éviter. Le suivi santé est as-suré par un médecin spécialisé dans la préparation et la survie en mer. Sans compter son épouse, général-iste et spécialiste en rééducation fonctionnelle. Quant à son entraînement physique, Nicolas alterne entre nage avec palmes, VTT, course à pied, musculation, stretching... soit deux à trois heures de sport par jour.

Nicolas Jarossay doit partir du Cap-Vert en janvier pour gagner la Martinique. Une campagne est lancée pour l’aider à financer la traversée. 10 % de son budget seront reversés à l’association Rêves pour les enfants malades, dont il est parrain. Papa d’un garçon de 10 ans et d’une fille de 7 ans, il sait qu’eux aussi vont en-durer une épreuve. « Pour rassurer mes enfants, je leur montre tous mes éléments de sécurité. Et puis je les fais souvent monter sur mon paddle, ce qui m’entraîne en plus à ramer avec du poids ! »

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Var Matin édition du 22/07/2015

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Antibes-JuanEurosud publicité : ....

Rédaction : , place Guynemer - Tél : .... - [email protected]

Duhaut de sonmètre quatre-vingt-dix, Nicolas Jarossayen impose. Pompier profes-

sionnel et sportif accompli, cegrand gaillard était au port Vau-ban pour présenter son défi : unetraverséede l’Atlantique, cet hiver,en stand up paddle. Trois ans depréparation pour un périple deplus de 4000 kilomètres, premierdu genre, au départ duCap-Vert etjusqu’en Martinique. En ramant,debout sur une planche et à laseule force des bras.

Vous vous apprêtez à traverserun océan, seul sur votre paddle.Comment se prépare-t-on pourune telle épreuve physique?Le août [aujourd’hui] je parsd’Antibes pour faire un aller-retour entre le continent et laCorse, à Calvi. Le timing risqued’être un peu court, l’objectifétant de passer quatre nuits etcinq jours sur la planche. Pourtester tout le matériel, passer mespremières nuits à bord. Parce quemême si le physique et le mentalsont là, sans la technique, c’estune traversée impossible. LaCorse représente kilomètresaller-retour, et dans desconditions difficiles. LaMéditerranée est souvent pluscapricieuse et compliquée quel’Atlantique.

Vous êtes le premier à tentercette traversée…C’est même le premier stand uppaddle habitable ! J’aimel’aventure et je suis un passionnéde la mer. Je me suis toujours ditque je ferais une traversée unjour. Un demes rêves était defaire un tour dumonde en voilierou d’être le nouveau D’Aboville[N.D.L.R., Gérard D’Aboville atraversé l’Atlantique à la rame en].

Ça n’est pas votre premier défien stand up paddle…Non, en j’avais relié Lyon àCarro dans une démarcheécologique. Pourmontrer quebeaucoup de déchets arrivent enrivière. J’ai aussi battu le recorddumonde de kilomètresparcourus en vingt-quatre heuressur un paddle, avec . Mais il aété battu depuis.

Votre périple sera égalementl’occasion de réaliser des relevés

scientifiques. De quelle nature?Je vais aider l’associationSeptentrion, qui est uneplateforme scientifique, àobserver la méduse Physalie. Iln’existe aucune donnée fiable surcet animal quiprolifèreénormémentdans l’océanAtlantique. Ellefait la taille d’unballon defootball et a desfilaments qui peuvent atteindrecinquantemètres.

La défense de l’environnementvous tient à cœur…En plus du paddle, je pratique laplanche à voile. Donc je suis toutle temps en liaison avecl’environnement. C’est demal enpis. Je le vois au fil des ans. Ladernière fois que çam’amarqué,c’était enmai quand il y a eu lesgrosses pluies en régionlyonnaise. Le Rhône était trèshaut et j’avais l’impression deramer aumilieu d’unedéchetterie.

Vous allez parcourir plus de km, pendant deux à troismois, seul aumilieu d’unocéan…Avez-vous des craintes?La peur est là. Heureusement, j’aiconscience du danger, je ne suis

pas une têtebrûlée. Maismes prochesmeconnaissent etsavent que jevais toujours aubout deschoses. Et puis

j’ai un routeur à terre – PatrickFavre, recordman de la traverséeà la rame assise –, qui chaque jourvame faire un point météo etsurveiller les bateaux alentours.

Comment on fait pour dormirsur un paddle?Je serai dans la coque, qui fait centimètres de long. La gestiondu sommeil ne sera pas facile.Mais quand on est fatigué ondort. Par contre c’est sûr que lestemps de sommeil seront courts :entre une minutes et heures.

Il y a des chances pour que vous

affrontiez une tempête...S’il y a un gros coup de vent, jeserai équipé d’une ancre flottanteà l’arrière, qui vame permettre defaire face aux vagues. Pareil si jerencontre des vents contraires.

Et les requins?Les requins, les baleines… Ce sontles aléas. Je sais qu’il y en a, jevais chez eux. Il y a simplementdes règles et des heures àrespecter. Après c’est comme surl’autoroute. Si unmec arrive àcontresens, on ne peut rien faire.

Qu’allez-vousmanger?J’ai prévu kg de nourriturelyophilisée, ce qui représentetrois à quatre repas par jour.Essentiellement à base de pâteset de patates. Ce sont desaliments pratiques. Une vingtainede kilos de fruits secs aussi, parceque je vais avoir besoin de sucre.

Et pour boire?J’emmène avecmoi deuxdésanilisateurs manuels. Enthéorie il faut une heure pourcinq litres d’après le fabriquant.

Mais avec la fatigue, je mise surdeux heures de pompage parjour, pour environ huit litresd’eau. Ça existe en versionélectronique, mais c’est pluslourd, plus volumineux, pluscoûteux et moins fiable.

Combien de pagaies?Six à sept, de longueursdifférentes. Pour ne pas sollicitertoujours les mêmesmuscles etsuivant si la planche glisse plus oumoins bien. C’est comme en vélo,on change de vitesse suivant ledénivelé.

Le financement?Le budget est bouclé aux deuxtiers et la région PACA est monpartenaire principal. On a aussimis en vente des tee-shirts et lesgens peuvent acheter deskilomètres à cinq euros. Il y auraun tirage au sort, pour gagner lapagaie de l’arrivée.

PROPOS RECUEILLISPAR JÉRÉMY TOMATIS

[email protected] les renseignements sont sur supmed.fr, enattendant bientôt le site web suptransatlantique.fr.

Au port Vauban,il évoque sa prochaine traversée de l’Atlantique, seul en « stand up paddle ».L’athlète s’apprête à relever un défi complètement fou, à bord d’une étonnante embarcation

Pour promouvoir sa traversée de l’Atlantique cet hiver et l’opération Ports Propres, Nicolas Jarossay... rame.(Photo Patrick Clementé)w

Nicolas Jarossay : “Toujoursaller au bout des choses”

Heureusement,j’ai consciencedu danger ”‘‘

Nice Matin édition du 03/082015

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Voile et tourisme N°10 - Août 2015

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Antibes-Juan-les-Pins

Le Gapra a célébré ses 40 ansd’existence en 2014. Et depuisla création au niveau national

de la Nuit des étoiles, il y a 25 ans,l’association est fidèle au poste.Vendredi, à partir de 21h30, lesenvoûtés de la voûte céleste ac-cueilleront le public, sur l’espla-nade du Bastion Saint-Giaume, auport Vauban, et mettront gracieu-sement à disposition leurs puis-sants télescopes. Ils partagerontleur savoir. Sans étaler leur science.

Cette manifestation populairevous ressemble?L’objectif est de faire découvrir auplus grand nombre l’astronomieen la rendant abordable, bien sûr.Cela passe par le plaisird’observer, grâce à un matériel depointe, les étoiles. Et à enapprendre plus sur elles, grâce àun planétarium.

Qu’est-ce qu’on va voir, vendredisoir?On devrait pouvoir observer endébut de nuit Jupiter et Vénus.Mais surtout, plus tard dans lanuit, Saturne et ses anneaux quisont très bien placés dans laconstellation du Scorpion. Onpourra aussi voir des nébuleuses,des amas globulaires (N.D.L.R. :chacun peut contenir unecentaine de milliers d’étoiles!) Etpeut-être des étoiles filantes.Même si elles sont plusfréquentes à la mi août.

Tout va dépendre de la météo?Sauf si une tempête se déchaîne,nous serons présents pouraccueillir le public. Uneconférence est prévue sur les

comètes. Il y a aura aussi uneexposition de nos meilleuresprises de vue. Celles que nousavons déjà présentées pour notree anniversaire.

Vous avez des fidèles?C’est devenu une sortieincontournable pour certains quisont devenus, d’ailleurs,adhérents du Gapra. Nouscomptons aujourd’hui environ

membres. Et nous espéronstoujours faire de nouveauxadeptes lors de ces soirées.

Vous retournerez au plateau dela Garoupe?Cela fait maintenant cinq ans quenous sommes sur le bastion Saint-Giaume. On peut venir facilementet se garer sans problème. Puis, lachapelle est toujours en travaux.Mais, c’est vrai que la Garoupe

offre un point d’observationprivilégié. Pourquoi pas, un jour?

Vous avez raté une fois la Nuitdes étoiles?Le août . Pour la bonnecause! L’association était montéedans le Nord pour observerl’éclipse totale du soleil.

RECUEILLI PAR [email protected]

www.gapra.fr

25e Nuit des étoiles ce vendredi et... 24e participation du Groupement astronomiquepopulaire de la région d’Antibes. Le président lève le voile sur le programme

Vendredi, dès h, les télescopes du Gapra seront pointés sur la voûte céleste. Objectif lune etbien d’autres merveilles… (Photo Archives Patrick Clementé)

Laurent Brunetto : « On vapouvoir admirer Saturne »

« Le moteur est là [il montreses bras], avec l’envie deramer. » Parti, hier, depuis leport Vauban, Nicolas Jaros-say s’apprête à rejoindre laCorse en stand up paddle.Ou presque. « Il y a 175 kilo-mètres, je n’aurai pas letemps de faire l’aller-retouren si peu de temps. Mais cequi est important, c’est de tes-ter les conditions de vie àbord. » Quatre nuits et cinqjours, « pour peaufiner lesdernières petites choses quirestent à régler, avant legrand départ pour l’Atlanti-que, cet hiver. » (Lire notreédition d’hier).14 heures. Ils sont plusieursdizaines à s’être amassésautour de la capitainerie.Pour voir le pompier vogueren direction de l’Île de

Beauté. Sept adeptes de ladiscipline, du club antiboisSKOAL, le suivent sur lespremiersmètres : « C’est unerépétition à petite échelle desa traversée de l’Atlantique.Il a pris toutes les précau-tions », raconte PhilippeWis-cart-Goetz, le président.Une demi-heure plus tard,Nicolas sort du port sousles applaudissements. Suivipar le voilier de l’associa-tion scientifique Septentrionenvironnement, qui veille aubondéroulé des opérations.Au loin, plus rien à part del’eau salée à perte de vue. Etl’horizon, cette légèrecourbe de la Terre commeseul point de repère. Et laCorse juste derrière...

JÉRÉMY [email protected]

Nicolas Jarossaypagaie vers la Corse

(Photo Sébastien Botella)

ANTIBES

Véhicule propulsé parun autre sur les galetsQuand un véhicule enpousse un autre…L’histoirepeut prêter à sourire, pour-tant le pilote du deux-rouess’en rappellera longtempsà coup sûr. Avant-hier, après20 heures, sur la route dulittoral en direction deNice,le motard de 29 ans doublepar la droite la Renault Clioroulant devant lui. Sauf qu’ilperd le contrôle et per-cute… une Opel Astra sta-tionnée sur le bord de mer.Cette dernière se retrouveainsi propulsée sur la plagede galets. La réaction enchaîne entraînera des dou-leurs à l’épaule au motard.Ce dernier a refusé d’êtrepris en charge par les sa-peurs-pompiers.

Six éthylotestspositifs sur quinzeVingt-cinq automobilistesont été contrôlés dans lanuit de vendredi à samedi,à Juan-les-Pins. Postées àl’angle de l’avenue Courbetet du boulevard Charles-Guillaumont, les équipes dela police nationale et muni-cipale ont fait souffler dansle ballon quinze conduc-teurs. Au total, six se sontrévélés positifs. Ces der-niers ont donc dû laisserleur véhicule sur place et…rentrer à pied. Ou dumoins,raccompagnés.

Sortie de route, lapassagère est choquéeLe virage? Cette Peugeot206 ne l’a pas pris sur leboulevardGustave-Chancel.Peu après minuit, dans lanuit de dimanche à lundi,le véhicule sort de la route.Le choc est violent mais leconducteur s’en sort in-demne. Tout comme sa pas-sagère qui, dans un état dechoc est transportée à l’hô-pital de La Fontonne. Sou-mis au test d’alcoolémie,l’automobiliste s’est révélénégatif.

GOLFE-JUAN

À ans, il se faitheurter sur la voieUne frayeur vécue à plu-sieurs. Sur le bitume del’avenue des Frères-Rous-tan à Golfe-Juan avant-hier.Un touriste de 7 ans tra-verse en courant la voie. Ilest 17h43 et la circulationbat son plein. Sous les yeuxde sa mère, l’enfant se faitpercuter légèrement par unvéhicule. Par chance, il s’ensort avec des blessures su-perficielles, notamment ungros hématome sur le vi-sage. Il a été transporté parles sapeurs-pompiers auCHU Lenval de Nice.

M. [email protected]

FAITS DIVERS

Mardi 4 août 2015nice-matin

Nice Matin édition du 04/08/2015

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La Provence édition Martigues Istres du 10-11 et 13 / 08 2015

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La Provence édition Martigues Istres du 10-11 et 13 / 08 2015

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WEB

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Actualités dans SupJournal.com du 02/07/2015 et du 13/07/2015

http://www.supjournal.com/article,news,sup-med,3384

http://www.supjournal.com/photo-du-jour,90

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Suppassion.com du 02/07/2015

Nicolas Jarossay va traverser l’Atlantique en stand up paddleArticle publié le 2 juillet 2015 par Stéphane Hocquinghem rubrique News et 11680 visites

Départ en janvier 2016 pour Nicolas Jarossay qui se lance le défi de traverser l’Atlantique en sup, soit plus de 5 000 km debout sur sa planche 6,5 mètres de long.

Nicolas Jarossay aime l’aventure et il l’a déjà montré avec record du monde de 24 heures de rame non-stop en stand up paddle. Cette fois ci le trajet se fera entre le Cap Vert et la Martinique pendant envi-rons 60 jours. Pour Nicolas Jarossay âgé de 38 ans, ce n’est pas une course puisqu’il se donne huit heures de rame maximum par jour. Le plus compliqué à gérer et la répétition du geste, alors il prendra plu-sieurs pagaies de plusieurs tailles, pas mal comme idée !

Concernant la survie, il partira avec soixante-dix kilos de nourriture lyophilisée qu’il complétera peut être avec du poisson. Pour chauffer la nourriture il aura une bouilloire reliée à des panneaux solaires et pour boire, il partira avec une pompe à eau potable, un déssalinisateur manuel Survivor 35. Un cerf-volant permettra d’installe un réflecteur de radar pour être vu des autres bateaux, il faut juste lui espérer du vent. Bref, comme vous pouvez le voir, Nicolas Jarossay a tout prévu, on en reparlera prochainement lors de ses préparatifs.

Tags : atlantique, Cap Vert, défi, Martinique, Nicolas Jarossay, paddle board, plance, stand up paddle, standup boarding, standuppaddle, sup

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Stand Up Paddle en Méditerranée, affirmer le rôle et l’engagement des « Ports Propres » !

Publié le lundi 6 juillet 2015© DRDu haut de son 1,90 m, pour 90 kg de muscles, Nicolas Jarossay, 38 ans, est un homme déterminé, poussé par une volonté hors du commun. Son prochain challenge ? Traverser l’Atlantique en Stand Up Paddle ! 5000 km à la rame et 2,5 millions de coups de pagaie !Cet exploit, sur les traces de Christophe Colomb, préparé depuis deux ans, il souhaite l’accomplir durant l’hiver 2015/2016, sur une planche conçue pour l’aventure.

D’une surface de 6,5 m2, avec un caisson étanche pour stocker matériel et nourriture, elle lui permettra de s’abriter durant les 75 jours nécessaires pour rallier les côtes africaines à la Martinique.En guise de préparation, en plus des 20 à 25 heures de sports consacrés par semaine, et pour tester cette planche prototype en conditions réelles, Nicolas va sillonner le littoral de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur en juillet, pour un périple baptisé « SupMed », jalonné de six étapes, constituées par des ports ayant obtenu la certification européenne « Ports Propres » : Fos sur Mer (9 juillet), La Ciotat (10 juillet), Six Fours les Plages (15 juillet), Bormes les Mimosas (16 juillet), Cavalaire (17 juillet) et Antibes (24 juillet).

L’objectif avoué de SupMed est de mettre en lumière les actions mises en œuvre dans le cadre de la signature de la charte des ports de plaisance et de pêche, en décembre 2014. Au fil de ces escales, en collaboration avec les membres du Réseau Mer, des animations et des actions de sensibilisation à la gestion durable de la mer seront proposées, grâce au Car Podium de la Région et 12 acteurs associatifs : des éco-gestes pour les plaisan-ciers, des infos sur l’eau des plages, un jeu interactif, avec de nombreux lots et goodies à gagner, une présenta-tion sur la pratique des sports nautiques, une exposition sur les beautés de Méditerranée et un mur d’images présentant le projet de Nicolas.

La traversée de Nice à Calvi, en un aller-retour de 4/5 jours en mer, accompagnée de « Septentrion Environ-nement », sera sans nul doute le point d’orgue de ce parcours méditerranéen, piloté par l’association d’édu-cation au développement durable « Ecoute ta Planète ». Et pour financer sa transatlantique, dont la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur est le partenaire principal, Nicolas lance une opération de Crowd Founding lors de cette tournée en Méditerranée, à partir de 5 € le km, 10 % des fonds récoltés étant reversés à l’association « Rêves ». Viscéralement attiré par la mer, fasciné par les traversées en solitaire des années 1980, Nicolas Jarossay est sans conteste un citoyen engagé, doublé d’un sportif porteur de valeurs fortes !Les “Ports Propres” en Provence-Alpes-Côte d’Azur

Site internet du Conseil Régional PACA: 14/07/2015

Page 22: Revue de Presse SUP MED 2015 Septembre 2015

Nautisme Meteo Consult: 14/07/2105

16/09/2015 14:32Brèves Nautisme : "Écoute ta planète," débarque sur l'île des Embiez

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"Écoute ta planète," débarque sur l'île des Embiez

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Mardi 14 juillet 2015 à 14h00

Mots clés : Écoute Ta Planète , Île Des Embiez

Source : nautisme.com

Le mercredi 15 juillet, dans le cadre de « Ports Propres » – première démarche de Gestion Environnementale Portuaire à destination des ports deplaisance – l’île des Embiez reçoit l’association « Ecoute ta planète ». L'objectif étant de présenter le pré-défi transatlantique de Nicolas Jarrosay,qui souhaite devenir le premier homme à traverser l’Atlantique en ramant debout, et de sensibiliser les jeunes et les adultes à l'environnement.

Un projet de sensibilisation à l’environnementNicolas Jarossay, sapeur-pompier professionnel à Nîmes, spécialiste au sein du GRIMP (Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux),est sauveteur en eaux vives, nageur-sauveteur sur le canot de sauvetage SNSM de Carro (Martigues).

En 2010, il réalise un raid en Stand Up Paddle (SUP) entre Lyon et Carro, soit 320 km sur le Rhône pendant quatre jours. L'année suivante, il établit lerecord du monde de distance en SUP en 24h non-stop, soit 151 km. Et pour 2015, il projette de traverser l’Atlantique en Stand Up Paddle.

«Ecoute ta planète» est signataire depuis décembre 2014, de la charte pour le développement durable des ports de plaisance et de pêche en Provence-Alpes-Côte-d’Azur. En s’associant à ce défi, l’association organise un projet de campagne de sensibilisation et de communication sur la vie à bord et sur ladémarche «Ports Propres» autour des exploits de Nicolas Jarossay.

Il s’agit de l’accompagner dans ses escales sur des ports du littoral PACA, de réaliser des actions et des animations dans les ports et à proximité. Pourterminer son circuit, Nicolas Jarossay traversera la Méditerranée vers la Corse et reviendra sur Martigues. Ce projet a pour objectif de réunir une partie desacteurs de la charte, à savoir, les associations d’éducation au développement durable, l’Union desPorts de Plaisance de PACA, la Région et le mouvementsportif

Animations

De nombreuses animations sur le thème de la vie à bord des embarcations sont prévues entre 16h et 20h sur le port de l’Île des Embiez, comme uneexposition du prototype de paddle qui sera utilisé lors de la traversée de l’Atlantique par Nicolas Jarossay. Des jeux et des quiz seront organisés par leRéseau Mer, en lien avec, comme thématique, l’exploit sportif de Nicolas Jarossay et la démarche « Ports Propres ». Une sensibilisation àl’environnement par des éco-gestes et des initiation au stand up paddle seront également proposées.

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Outre-Mer 1ère - article du 16/07/2015

Il veut traverser l’Atlantique entre le Cap-Vert et la Martinique en stand-up paddlela1ere.frPublié le 16/07/2015 | 11:53, mis à jour le 16/07/2015 | 11:55Nicolas Jarossay veut tenter dans quelques mois un pari fou : traverser l’Atlantique en paddle, ces planches de surf sur lesquels on se tient debout pour pagayer. Il espère mettre 60 jours pour rallier la Martinique.

Nicolas Jarossay, pompier professionnel de 38 ans, s’entraine déjà pour son pari fou. Il profite en ce mo-ment des vacances estivales dans l’hexagone pour présenter son projet sur les plages de la Méditerranée et tenter d’obtenir une partie des 110.000 euros nécessaires à son projet.

Une planche un peu amélioréeSon projet : traverser l’Atlantique en stand-up paddle. Sa planche est certes un peu améliorée : elle pèse 70 kilos et possède un espace de repos et de stockage de nourritures à l’avant. Nicolas Jarossay prévoit de partir seul, sans assistance, en janvier 2016 du Cap-Vert pour mettre le cap sur la Martinique. Il espère effectuer la traversée en une soixantaine de jours.

“C’est dans la tête que ça se passe”Comme il l’a expliqué à nos confrères de France 3 Provence, Nicolas Jarossay considère que c’est avant tout dans la tête que cela se passe. “Le geste de pagayer est hyper répétitif. Dans ce genre de traversée, la tête est super importante. Si le corps commence à flancher, la tête ne va pas suivre.”Pour se préparer, Nicolas Jarossay alterne natation, VTT, footing, musculation et stretching.

Traversée de l’Atlantique : des précédentsEn 1980, Gérard d’Aboville avait réussi la première traversée de l’Atlantique à la rame en 71 jours (entre les Etats-Unis et Brest). En 1995, Guy delage traversait à la nage et à la dérive en 54 jours (entre le Cap-Vert et la Barbade). En 2000, Raphaela Le Gouvello traverse l’Atlantique en planche à voile en 58 jours (entre le Sénégal et la Martinique).

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La lettre Economique et Politique de PACA du 15/07/2015

SIX FOURS LES PLAGES / Après midi écolo le 15 juillet au port Saint-Pierre des Embiez

Le mercredi 15 juillet, dans le cadre de « Ports Propres » – première démarche de Gestion Environne-mentale Portuaire à destination des ports de plaisance – l’île des Embiez reçoit l’association « Ecoute ta planète » afin de présenter le pré-défi transatlantique de Nicolas Jarrosay, devenir le premier homme à traverser l’Atlantique en ramant debout, et sensibiliser les jeunes et les adultes à leur environnement.

À cette occasion, des animations seront prévues durant tout l’après-midi, entre 16h et 20h !

Un projet de sensibilisation à l’environnement !

Nicolas Jarossay est sapeur-pompier professionnel à Nîmes, spécialiste au sein du GRIMP (Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux), sauveteur en eaux vives, nageur-sauveteur sur le canot de sauvetage SNSM de Carro (Martigues).En 2010, il a réalisé un raid en Stand Up Paddle (SUP) entre Lyon et Carro (320 km) sur le Rhône pen-dant quatre jours.En 2011, il a établi le record du monde de distance en SUP en 24h non-stop (151 km)En 2015, il a le projet de traverser l’Atlantique en Stand Up Paddle

Depuis décembre 2014, «Ecoute ta planète» est signataire de la charte pour le développement durable des ports de plaisance et de pêche en Provence-Alpes-Côte-d’Azur. En s’associant à ce défi, l’associationorganise un projet de campagne de sensibilisation et de communication sur la vie à bord et sur la démarche «Ports Propres» autour des exploits de Nicolas Jarossay.

Il s’agit de l’accompagner dans ses escales sur des ports du littoral PACA, de réaliser des actions et des animations qui auront lieu sur les ports et à proximité. Pour finir son circuit, il traversera la Méditer-ranée vers la Corse et reviendra sur Martigues. Ce projet a pour objectif de réunir une partie des ac-teurs de la charte, à savoir les associations d’éducation au développement durable, l’Union des Ports de Plaisance de PACA, laRégion et le mouvement sportif.

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La lettre Economique et Politique de PACA du 15/07/2015

Des campagnes d’animations sur le thème de la vie à bord des embarcations

Prévues entre 16h et 20h sur le port de l’Île des Embiez, plusieurs animations interactives auront lieu telles que :

Une exposition du prototype de paddle et ses caractéristiques techniques particulières, qui sera utilisé lors de la traversée de l’At lantique par Nicolas Jarossay.

Des séquences de jeu sous forme de quiz, organisés par le Réseau Me r, en lien avec deux théma-tiques : l’exploit sportif de Nicolas Jarossay et la démarche « Ports Propres ».

Une tombola avec un lot par port à gagner au profit de l’association Rêves dont Nicolas Jarros-say est parrain. Cette association nationale à but non lucratif reconnue œuvr e de bienfaisance a pour mission d’exaucerles rêves d’enfants entre 3 et 18 ans atteints de pathologies graves dont le pronostic vi tal est en-gagé

Sensibilisations à l’environnement par des éco-gestes, animées par des associations compétentes en éducation au développement durable.

Initiation au stand up paddle avec les bases nautiques

Une conférence à l’institut

Un stand photo booth.

Une dégustation de produits de la mer offerte par la Région

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Maritima.info du 20/07/2015Article web + 2 reportages

Nicolas Jarossay prépare depuis plusieurs années un défi jusque-là jamais réalisé : parcourir les 5000 km qui séparent le Cap Vert de la Martinique en ramant debout sur un stand-up paddle... Une traversée en solitaire et sans assistanceEn janvier prochain, ce pompier de 38 ans, habitant de Carro, se lancera depuis le Cap Vert pour rejoin-dre en stand-up paddle la Martinique, porté par les alizées, sur le célèbre tracé de la Route du Rhum. Une traversée qu’il estime entre 60 et 75 jours, sans assistance et en autonomie totale et un projet qu’il prépare depuis trois ans avec des professionnels de la rame, de la voile.

Pour présenter son défi, Nicolas Jarossay a entamé une tournée des ports de la région, démarrée à Fos et qui s’achèvera le 24 juillet à Antibes, avant de se lancer dans la traversée de la Corse pendant une semaine, pour tester sa planche prototype, le premier stand-up paddle habitable au monde. Un moyen de tester son embarcation en haute mer, avant la grande traversée de l’atlantique.

Son paddle devant rester assez léger pour pouvoir avancer, il prendra avec le lui le minimum de matéri-el : six ou sept pagaies différentes,deux téléphones satellite, du matériel de sécurité, dont une balise de détresse en cas de souci, un désalinisateur... En plus des six à huit heures de rame effectives par jour, en fonction des conditions météo, il devra réserver une heure et demi au pompage des 8 litres d’eau dont il aura besoin quotidiennement pour s’hydrater et réhydrater sa nourriture lyophilisée

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Maritima.info du 20/07/2015Article web + 2 reportages

Un corps préparé, un mental d’acier

“Je ne me suis jamais posé la question de pourquoi j’avais envie de relever un tel défi, confie-t-il, mais j’ai toujours eu la volonté de faire une traversée comme celle-là et je pense que le stand-up paddle s’y prête bien.” Nicolas Jarossay a déjà l’expérience de l’endurance, debout sur une planche. Il avait participé lors du Téléthon organisé à Martigues à un défi de 24 heures de rame, non-stop. Il avait encore rejoint Lyon, depuis Carro, pendant trois jours avec des arrêts à terre la nuit.

Pour préparer son corps à telle épreuve physique, Nicolas rame (il participe à des compétitions de haut niveau en paddle), il court, fait du vélo, de la musculation... “C’est la tête qui fait que le corps va suivre”, nuance le sportif. Devant ses yeux, collé sur sa planche, l’autocollant de l’association Rêves, qui réalise les rêves d’enfants malades et pour laquelle il œuvre depuis plusieurs année, lui donnera le courage d’aller au bout de son propre rêve.

S’il ne redoute pas la solitude, Nicolas espère réunir toutes les conditions pour pouvoir prendre le départ depuis le Cap Vert en janvier prochain. Pour boucler le financement de sa traversée de l’At-lantique, il lance une opération de Crowd Founding. Avec 5 euros, chaque personne pourra financ-er un kilomètre sur les 5000 qui l’attendent. 10% des sommes récoltées seront reversées à l’associa-tion Rêves. Les coups de main logistiques (billets d’avion, container pour transporter le paddle...), sont les bienvenus!

Contact et infos : www.sup-med.fr

Regardez en vidéo, l’interview intégrale de Nicolas Jarossay, “l’homme qui rame debout” (Images et interview Caroline Lips, Maritima Médias).

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Theriderpost.com : 22/07/2015

Nicolas Jarossay : cet homme va traverser l’Atlantique en SUP !

Ce pompier sera le premier homme à traverser l’Atlantique en paddle.

Voici le Projet Alantique et comme son nom l’indique, il s’agit de traverser l’Océan At-lantique à la rame ! En Stand up Paddle pour être précis.Nicolas Jarossay est un pompier professionnel âgé de 38 ans mais surtout il aime les défis. Et là il vient de trouver un beau challenge à sa hauteur qui consiste simplement à être le premier homme à traverser l’Atlantique en SUP. Pour effectuer les 5 000 km qui séparent l’Afrique de l’Amérique, une planche de paddle a été spécialement conçue, d’une surface de 6.5 m de longueur sur 1m de large. Cette board spéciale sera l’habitation de Nicolas pendant les 75 jours de la traversée.Nicolas est en pleine préparation actuellement et il s’entraine en ce moment sur la Médi-terranée avant d’attaquer la grande traversée de cet hiver. Tout est réfléchi et pensé. Du matériel de navigation et de sécurité embarqué (GPS – balises, combinaison de surv-ie…), à l’eau, la nourriture, les vêtements. A bord, Nicolas se nourrira exclusivement d’aliments lyophilisés. Il a fait le choix d’embarquer des «des salinisateurs» manuels pour produire son eau douce potable.Le routeur, Patrick Favre sera en lien quotidien avec Nicolas. Il sera son guide, ses yeux, lui indiquant la météo et le cap à suivre. Si vous voulez en savoir plus sur ce beau défi, toutes les infos sont là : www.sup-med.fr

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Total SUP.com du 22/07/2015

NICOLAS JAROSSAY: “I WANT TO BE THE 1ST MAN TO CROSS THE ATLANTIC ON A SUP”TotalSUPTotalSUP22 JULY 2015CATEGORIES: SUP TRIPS

He is 38. He is french. And he wants to be the first man who crosses the Atlantic on a Stand Up Pad-dle board. What has been a secret project for the past three years, is about to turn into reality. Nico-las Jarossay, the french firefighter from Carro, in the south of France, has got the board, the mental and almost all the budget. In January 2016, he will set off to be the 1st man to cross the Atlantic on a SUP.

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NICOLAS JAROSSAY: “I WANT TO BE THE 1ST MAN TO CROSS THE ATLANTIC ON A SUP”TotalSUPTotalSUP22 JULY 2015CATEGORIES: SUP TRIPS

He is 38. He is french. And he wants to be the first man who crosses the Atlantic on a Stand Up Paddle board. What has been a secret project for the past three years, is about to turn into reality. Nicolas Jaros-say, the french firefighter from Carro, in the south of France, has got the board, the mental and almost all the budget. In January 2016, he will set off to be the 1st man to cross the Atlantic on a SUP.

Bonjour Nicolas, first of all, could you tell the TotalSUP readers who you are?

My name is Nicolas Jarrossay. I am 38 years old and I have been a professional firefighter for 17 years.I have been practicing Stand Up Paddle since 2009, windsurf for 15 years and I have always taken part in other endurance sports (marathon, mountain biking, snorkeling ...). In 2010, I descended the Rhone river with two friends between the city of Lyon and my hometown Carro on the mediterranean coast in three and a half days. In 2011, I beat the 24 hour SUP world record (151 kms), a record which was re-cently broken not too long ago. I also crossed Lake Geneva in Switzerland this winter in under 13 hours.

When did you decide that you would be the 1st man to attempt crossing the Atlantic ocean on a paddle-board?

It has been 3 years since the idea germinated in me. Initially I wanted to do it with a guide boat and on a regular sup. The plan was to mark the GPS point at the end of a day of paddling and start again from that exact same point on the next morning. Then over time I realized that the story wasn’t meant to be told that way. I need to write this story on my own. First of all, being followed by a guide boat implies two months of a horribly slow cruise and a lot of waiting for the people on board the boat. And second-ly, one night I had a terrible nightmare: I am out there in the ocean paddling with my food on board the SUP for the day and a heated argument breaks out with the people on the boat who take off and leave me in the middle of the Atlantic. From that night, it became clear to me that I should do the whole crossing without assistance and in total autonomy !

Why do you want to be the first man to cross the atlantic on a SUP?

I have always said that one day I would make a sea crossing, that I would take off for a while and do something special...In the past 6 years that I have been practising SUP, I have always loved unique challenges. The Atlantic crossing is definitely a unique one as it will be a World’s first attempt. I’m already proud to train on my prototype which is the first “liveable” SUP in the world!! Actually, when you get into such a challenge, it is hard to say why. It is in you that’s all. So I would answer “why not!”

Where do you plan to leave from and when?

I will set off in January 2016 and will be crossing the Atlantic between Cape Verde and the french island of Martinique. Finishing on french ground is something that I hold close to my heart.

Total SUP.com du 22/07/2015

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How long is the crossing going to take?

The plan is to achieve the crossing between 60 to 75 days.

Can you introduce the SUP board which has been specially designed for this SUP crossing?

My current prototype measures 6.3 meters x 0.82 meters / 20’8 x 32’. It sounds big but it’s actually small when you think that I have to sleep in it. So it’s big enough to accommodate me and to store freeze-dried food for the whole crossing. The equipment on board is limited to a minimum. Because of the space and weight, I can’t take an electric desalinator on board, but a manual one, which means I will have to pump between 1 hour and a half and 2 hours a day to have my daily 8 liters of fresh water.

How much does an adventure like this one cost? How are you financing it?

We are currently on a total budget of €45,000 / $50,000 ... I have gathered half of the sum so far via various partners and sponsors.

In order to gather the rest of the money, I am counting on the support of the public and hopefully new sponsors.

> One of my partners, Adrenagliss, has just started selling the official T-Shirt of the SUP Atlantic cross-ing and all profits are donated to me:You can buy the SUP Atlantic T-Shirt here: www.adrenagliss.com/boutique_en_ligne/index.php?id_product=229&controller=product&id_lang=2

> In addition, I am “selling” each kilometer of the crossing at €5 per kilometer. I think that’s a great way to get people involved in the project. Also, each sponsored kilometer will be entered in a draw which we will organize upon arrival and the winner will receive the signed paddle of this world’s premiere!

I would like to add that 10% of the sale of kilometers but also of the total budget will go to the french association “Rêves” that I have supported for many years. Rêves helps ill children’s dreams come true.

Moreover, as part of my journey, I will make scientific surveys on the physalia, hoping to help research-ers understand the reasons behind the proliferation of this devastating jellyfish.

Currently paying for kilometers online does not work. If you want to support me financially please send a cheque to:

Sup TransatlanticCrosses Ragues13500 CarroFrance

Total SUP.com du 22/07/2015

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Sup Racer .com du 22/07/2015

Now here’s a story. There’s this guy in France that wants to paddle across the Atlantic ocean. Totally unsupported. All 4,000 kilometres of it. That’s 2,485 miles, or in layman’s terms: A bloody long way.

TotalSUP has the full story but the basics are:

38-year-old French paddler and firefighter Nicolas Jarossay plans to be the first person to cross the Atlantic Ocean on a stand up paddle board. And he’s going to do it without any assistance, paddling and sleeping on a specially designed “liveable” SUP board.

Nicolas, who already has a reputation in France for being a crazy marathon paddler, aims to make the crossing from Cape Verde, off the North-West coast of Africa, over to the French island of Martinique in the Caribbean. The voyage is expected to take 60-75 days and will begin January 2016.

Everything about this adventure sounds amazingly ridiculously incredibly brilliant, including the board. Nicolas has a custom-built stand up paddle board that measures 20.8 feet in length (6.3 metres) and comes with a special pod on the front that doubles as his sleeping quarters.

Kinda looks like what’d happen if the Starboard Ace married a ballistic missile.

Stand Up Paddle across the Atlantic Ocean

Anyway you can head over to TotalSUP for the full story, more photos and an interview with Nicolas (you can also help the guy raise the fifty grand he needs for the mission).

Good luck Nicolas. This whole thing sounds totally crazy, but most great adventures do…

Though the Frenchman isn’t the only one eyeing a transatlantic SUP crossing. Chris Bertish, the wild man from South Africa, has been planning a similar adventure for a long time. Chris was hoping to be the first man to paddle across the Atlantic, however his voyage won’t begin until November 2016 (and won’t finish until April 2017), which gives Nicolas plenty of time to etch his name in the history books.

The world’s other great SUP Crossing mad man, Bart de Zwart, once told me he’d also toyed with the idea of an Atlantic crossing. The Dutchman-turned-Maui-native eventually decided to pass, believing it was too time consuming and dangerous to pursue.

We’ll find out if Bart was correct in six months, when Nicolas sets off on his incredible adventure.

Nicolas Jarrosay SUPAtlantic stand up paddle SUP crossing

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Var matin + Nice Matin journal en ligne du 23/07/2015

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NiceMatin .fr le 03/08/2015

reportage Nicolas Jaorssay

http://www.nicematin.com/antibes/video-il-tente-la-traversee-antibes-calvi-en-paddle.2303381.html

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PRESSE AUDIOVISUELLE

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France Bleu Provence: journal du 13/07/2015 reportage d’1’56

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Chronique Virgin Radio du 16/07/2015 - 2’29

Brève sur KissFM le 04/08

France Bleu AZUR du 04/08/0215

• deux interviews de Nicolas Jarossay diffusées dans les journaux de France Bleu Azur du matin,

• une interview en longueur diffusée à 6h45 et 7h45.

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France 3 Provence- Alpes le 12-13 du 13/07/2015 reportage de 2’

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Maritima.info reportage de 5’38 Et journal du 17/07/2015 reportage de 1’20

Page 40: Revue de Presse SUP MED 2015 Septembre 2015

France 3 édition Côte d’Azur le 03/08/2015

http://france3-regions.francetvinfo.fr/cote-d-azur/alpes-maritimes/cap-sur-la-corse-en-stand-paddle-781457.html

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diffusion en nationale dans tout le sport du 04/08/2015