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514.759.0494 // [email protected] Théâtre PÀP Du 22 février au 19 mars à Espace Go Rapport de presse TÉLÉVISION MÉDIA DIFFUSION DÉTAILS Radio-Canada Les lionnes Jeudi 17 février Entrevue avec Claude Six dans la cité Dimanche 27 février Critique de Nathalie Petrowski et Geneviève Guérard Télé-Québec VOIR Mercredi 2 mars Critique de Christian Saint-Pierre TV5 Club social Mardi 22 février Entrevue de Julie Laferrière avec Claude RDI RDI Matin Semaine du 21 février Mention de la pièce

Revue de presse - The Dragonfly of Chicoutimi

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L'ensemble des articles publiés à l'occasion de la (re)création du Dragonfly of Chicoutimi. Une création du Théâtre PÀP.

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Théâtre PÀP

Du 22 février au 19 mars à Espace Go

Rapport de presse

TÉLÉVISION MÉDIA DIFFUSION DÉTAILS

Radio-Canada Les lionnes Jeudi 17 février Entrevue avec Claude Six dans la cité Dimanche 27 février Critique de Nathalie Petrowski et Geneviève Guérard Télé-Québec VOIR Mercredi 2 mars Critique de Christian Saint-Pierre TV5 Club social Mardi 22 février Entrevue de Julie Laferrière avec Claude RDI RDI Matin Semaine du 21 février Mention de la pièce

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RADIO MÉDIA DIFFUSION DÉTAILS

Radio-Canada Christiane Charette Mardi 22 février Entrevue avec Larry et Claude C’est bien meilleur le matin Jeudi 24 février Critique d’Annie-Soleil Proteau Je l’ai vu à la radio Samedi 26 février Critique de Georges Nicholson CBC Homerun Mercredi 23 février Entrevue de Jeannette Kelly avec Larry Cinq à six Samedi 26 février Mention de Pierre Landry 98,5 FM Puisqu’il faut se lever Semaine du 21 février Mention de Sylvain Ménard Dutrisac l’après-midi Vendredi 25 février Mention d’Émilie Perreault CJAD 800 Saturday in Montréal Samedi 19 février Entrevue d’Anne Lagacé Dowson avec Larry CIBL Gang Bang Jeudi 24 février Critique de Jordan Dupuis Les oranges pressées Jeudi 24 février Critique de Marie-Anne Paquette Le 4 @ 6 Vendredi 25 février Critique de Marie-Paule Grimaldi Les Voix offs Lundi 28 février Critique de Cyndi Trudel CISM La Swompe Jeudi 24 février Critique d’Alix Dufresne

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Radio Ville-Marie Entracte Samedi 26 février Entrevue de Marie-Anne Poggi avec Patrice Dubois Temps libre Vendredi 25 février Critique d’Hélène Denis

CKUT Upstage Jeudi 24 février Entrevue de Estelle Rosen avec Larry Le lendemain de la veille Jeudi 24 février Mention de Marie-Andrée Parent Radio Centre-Ville Relâche Lundi 21 février Entrevue de Nathalie de Han avec Claude Magazine du mercredi Mercredi 23 février Entrevue avec Patrice à 12 h 35

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INTERNET MÉDIA DÉTAILS

Bazzo.tv Information sur la pièce + lien vers le site Internet Roverarts.com Critique de Marianne Ackerman Ruefrontenac.com Critique de Claudia Larochelle Focusmag.ca Critique de Juliana Léveillée-Trudel Voir.ca Mention avec photo dans les premières de la semaine The Charlebois post charpo.blogspot.com Critique de Gaëtan Charlebois Les Langues Sales Critique de Sof la Tof Lebabillart.com Mention avec photo Patwhite.com Information en ligne Montheatre.qc.ca Information en ligne + critique de Sara Fauteux

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Scène 1425 Critique de Marie-Pier Perron Lequatrieme.com Information en ligne La diagonale la-diagonale.blogspot.com Vidéo psychédélique! Sage Gamin sagegamin.blogspot.com Critique de Samuel Larochelle Regardssurlaville.com Critique de Gabrielle Lamontagne Litlive.ca Mention Paratheatre.com Mention avec photo BonjourMontreal.com Information en ligne Quoifaireaujourdhu.com Information en ligne Lejournal2000.com Information en ligne avec visuel Info-culture.biz Information en ligne avec visuel

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Flyer toujours plus hautSpectacles - ThéâtreÉcrit par Claudia Larochelle Mercredi, 23 février 2011 16:52Mise à jour le Mercredi, 23 février 2011 17:12

Parce qu’on se fait accueillir en anglais dans les commerces montréalais – même (surtout) sur le Plateau –, parce que notrepolitique provinciale se cherche, tourne en rond, et parce que nos repères identitaires se brouillent dans le grand magma dela mondialisation, The Dragonfly of Chicoutimi de Larry Tremblay percute toujours. Déployant ses ailes sur les planches del’Espace Go, elle demeure efficace et nécessaire, pourrait même être présentée à l’année longue qu’elle ne rejoindrait pasassez de gens encore.Écrite en 1993 et créée en 1995 lors du Festival de théâtre des Amériques, The Dragonflyof Chicoutimi vient de l’angoisse d’un grand auteur qui avait peur de perdre son français.Larry Tremblay l’a écrite dans cette langue maternelle qu’il chérit tant, avec des motsanglais. C’est ainsi qu’est né le personnage de Gaston Talbot ; 100 % Québécois, deChicoutimi en plus !Après un traumatisme, cet homme ne peut plus parler autre chose que l’anglais. Unanglais dans une syntaxe française, rien de purement anglo, une tentative de… C’estavec ces mots de l’autre qu’il se raconte à tâtons, comme s’il cherchait son identité. À luiseul, il incarne le français. Il se confie, nous ment, revient sur sa parole, change la versionde son récit dans lequel il parle notamment de sa relation avec Pierre Gagnon, un amid’enfance.

Écrite en 1993 et créée en 1995 lors du Festival de théâtre des Amériques, TheDragonfly of Chicoutimi est présentée jusqu’au 19 mars à l’Espace Go.

À la création et pendant longtemps, c’est nul autre que le regretté Jean-Louis Millette qui a incarné ce fameux Talbot, sondernier rôle… Pour la 4e édition du Festival TransAmériques en mai dernier, Claude Poissant, grand manitou du Théâtre PÀP,a remonté The Dragonfly of Chicoutimi avec cinq acteurs plutôt qu’un seul. Cinq voix comme autant de sensibilité afin que lesmultiples facettes de la personnalité de Talbot se présentent à un public d’abord étonné, saisi, puis de plus en plus réceptifdevant cette pièce aussi nationale qu’universelle. Toutes les contrées du monde, tous les êtres qui les peuplent ne sont-ilspas tiraillés entre ce qu’ils sont et ce qu’ils pensent devoir être ?Définitivement, la chimie opère entre les spectateurs et les acteurs, qui revisitent à nouveau cet étrange héros, au cœur del’hiver québécois cette fois, peut-être plus inspirés que jamais par les particularités de leur province toute de blanc vêtue…Francos et anglos, côte-à-côteIls se partagent donc la scène, répartis chacun dans un cubicule aux allures de stalle d’écurie. Ils ne se voient pas et

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pourtant, ils ne forment qu’une seule et même personne. Leurs voix se chevauchent et s’entremêlent à la perfection, lerythme demeure maintenu jusqu’à la fin, sans s’effriter, en gardant l’attention des francophones et des anglophones qui separtagent trop rarement les mêmes théâtres.Chacun d’entre eux (Patrice Dubois, Dany Boudreault, Daniel Parent, Étienne Pilon, Mani Soleymanlou) maîtrise sa partitionguidé par le chef d’orchestre Claude Poissant qui connaît très bien l’univers de Larry Tremblay, qui reprend cet univers sansqu’il paraisse complexe, bien qu’il soit texturé, fait de plusieurs couches superposées. Sous un magnifique jeu d’éclairaged’Erwann Bernard, on croirait les voir s’envoler, dévoilant peu à peu la chair et l’os d’une problématique linguistique etidentitaire qui perdure.Alors que des générations de fervents combattants s’éteignent, que les plus jeunes s’amènent trop timidement dans l’arènepolitique, ce texte publié aux Herbes Rouges que l’écrivain Yann Martel a même envoyé au Premier ministre Stephen Harperavec 99 autres, semaine après semaine depuis 2007 pour parfaire sa culture littéraire, arrive comme un rappel. Toc, toc,toc… : « I want to feel the right thing at the right moment for the right reason. »* The Dragonfly of Chicoutimi de Larry Tremblay, dans une mise en scène de Claude Poissant, est présentée jusqu’au 19mars à l’Espace Go.

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http://www.montheatre.qc.ca/dossiers/fta/fta2010/fta2010.html#domaine 01-06-2010 The Dragonfly of Chicoutimi - Montréal 30, 31 mai, 1er et 2 juin à 20 h En français à travers des mots anglais Espace Go Critique de Daphné Bathalon Absent des scènes québécoises depuis que le comédien Jean-Louis Millette avait incarné de mémorable manière le personnage de Gaston Talbot, The dragonfly of Chicoutimi adopte, pour cette mouture 2010, la forme d’une pièce chorale. Le metteur en scène Claude Poissant a pris le parti de diviser ce long monologue en un texte pour cinq comédiens. Chacun interprète une facette de cet homme qui, après une période d’aphasie survenue à la suite d’un cauchemar, se réveille en ne parlant plus qu’anglais. Il s’exprime par petites touches successives, revenant sur ses pas, rajustant quelques éléments de son récit. Ainsi, cinq voix s’entrechoquent et s’entremêlent pendant les 75 minutes que dure la représentation. Bien vite, on réalise qu’elles parlent un anglais étrange, peu naturel et calqué sur la syntaxe française. On ne sait jamais ce qui est vrai de ce qui est faux dans le récit de Gaston Talbot, il passe en effet son temps à affirmer une chose, puis à se rétracter quelques minutes plus tard. Ainsi, si d’emblée il nous affirme : « I travel a lot », il admet ensuite qu’il n’a jamais quitté Chicoutimi et qu’il a dit cela pour rendre son histoire plus intéressante. Cette contradiction au sein même du personnage est ici soulignée par le profond clivage entre les différentes versions de Gaston ainsi que par leur séparation physique. La vérité n’a finalement aucune importance, car c’est d’abord avec lui-même que Gaston cherche à reprendre contact. Séparés par des cloisons, les Gaston sont confinés dans leur univers étriqué : un cadre décoré à leur image et qui, dans le noir, semble suspendu au milieu de nulle part. Tout en étant statique, du fait de la scénographie « en boîtes » signée Olivier Landreville, la mise en scène de Poissant nous donne pourtant une impression de mouvement par des jeux d’éclairage vifs et colorés provenant de différentes sources. Et, bien qu’il n’y ait d’abord aucun contact physique entre les comédiens, il y a clairement interaction entre les versions de Gaston tout au long de la représentation grâce au découpage précis du texte et à son enchaînement très efficace. Le rythme est excellent ; la partition pratiquement sans accroc. Une grande part de la réussite de cette nouvelle proposition revient aux acteurs. Outre le grand travail de groupe nécessaire à ce genre de production, une telle chorale exige

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précision et maîtrise du texte, ce dont toute la distribution fait preuve. Encore plus important, même si le personnage est subdivisé en cinq caractères, aucun ne verse dans le cliché, l’interprétation est juste, bien dosée, le jeu de l’un venant souligner celui de l’autre dans une parfaite synchronie. Qu’on ait vu Millette dans ce rôle extraordinaire ou qu’on soit de ceux qui n’ont pas eu cette chance, la proposition audacieuse de Poissant se révèle une expérience pertinente, différente, mais tout aussi forte que celle de 1995. The dragonfly of Chicoutimi porte indubitablement la marque du Théâtre PàP et c’est tant mieux!

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http://patwhite.com/node/10682

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Avril 2011 - vol. 10, n°2 - Le journal du département des littératures de langue française

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The Dragonfly of Chicoutimi Texte de Larry Tremblay

Mise en scène de Claude Poissant

La pièce de Larry Tremblay The Dragonfly of Chicoutimi a été jouée une première fois au milieu des années 1990 par Jean-Louis Millette. Ne ten-tons point d’établir de comparaisons entre cette première version, connue et acclamée, et la mise en scène que nous offre Claude Poissant quinze années plus tard. C’est celle-ci qui, aujourd’hui, nous intéresse, c’est sur elle que nous nous pen-cherons donc. Mentionnons malgré tout, pour clore ce point de rencontre entre deux pièces qui de toute façon n’appartiennent pas à la même époque et n’embrassent pas les mêmes enjeux po-litiques et sociaux, cette différence notable : Gaston Talbot, initialement seul sur scène, se dé-compose, sous la direction de Poissant, en cinq personnages qui incarnent chacun certains traits, certains tempéraments du protagoniste. De-meure, malgré cette fragmentation identitaire, un seul monologue, où s’ouvre l’âme d’un être trou-blé, ramené à son passé, se confiant inlassable-ment comme s’il s’agissait d’une fatalité.

Sur scène, cinq cubicules. Gaston Talbot se confesse, le visage tourné vers le spectateur, se re-mémore quelques épisodes marquants de son en-fance, dont il cache d'abord certains secrets pour y revenir ensuite en les dévoilant peu à peu, dou-tant de sa propre prise de parole. Plongé dans l’in-certitude, il évoque continuellement les mêmes souvenirs, les reformule, les annule pour mieux recommencer. À cause d’un accident, il ne par-vient à s’exprimer qu’en anglais, langue qu’il maî-trise maladroitement, lui appliquant les règles et les usages de la syntaxe française. Parfois se mêlent comme les échos d’une même pensée im-précise les voix des différentes fractions qui com-posent ce personnage. Aux souvenirs répond la

parole, qui tente de les dire, de les affirmer.

Tâche ardue, dont le reflet est pénétré d’un ter-rible néant de perpétuel désarroi.

Davantage qu’une simple métaphore du statut précaire de la langue française, The Dragonfly of Chicoutimi est une pièce où la scène déploie des fragments d’un individu vulnérable, fragilisé – qui tente de parvenir à une unité à la fois identitaire et langagière –, et pose la question d’une parole exigeante. Parole difficile à saisir, qui toujours s’envole, s’effrite. La pièce s’attaque à une tâche impossible : reconstruire cette parole pour par-venir, enfin, à exprimer ce que la mémoire fa-brique d’inexprimable. À la difficulté qu’apporte le comment dire se substitue la difficulté née d’une confrontation, parfois de la jonction, entre réalité et rêve. Gaston Talbot, entre évocations réelles et imaginaires, se heurte à ce problème qui l’oblige à interroger constamment non seulement sa propre parole, mais l’espace qu’elle tente de dé-crire, de situer.

La mise en scène de Claude Poissant réussit ce que toute mise en scène de théâtre, mais aussi de cinéma, devrait tenter d’accomplir : transcender le texte original, l’élever au-delà de sa matérialité. Cette transcendance permet d’atteindre les pro-fondeurs abstraites où séjourne la beauté qu’il ne pourrait guère atteindre sans les images qu’elle parvient à produire à partir de lui. C’est faire de cette mise en scène une véritable création, ca-pable de saisir le sens caché ou trop enfoui d’un texte pour le révéler à la lumière. La version de Poissant du Dragonfly of Chicoutimi de Larry Trem-blay parvient brillamment à joindre le texte à l’image, le langage à la problématisation de ce lan-gage, le dire au comment dire. Sur scène com-battent deux forces : la subjectivité de Gaston Talbot – mots, perceptions –, déstabilisée, affai-blie par une réalité objective – souvenirs, évène-ments – qui, avec une féroce autorité, étouffe et réduit au silence – ou à une parole impuissante – les tentatives absurdes de restituer ces squelettes en décomposition. ●14

Jean-François Hamel

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Lundi 14 juin 2010

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http://4mtl.com/blog/2010/05/invasion-scenique/ Samedi 22 mai

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Lundi 31 mai 2010

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