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Fräi, well ech wëll! An du? www.fraiwellechwell.lu 6 témoignages : Patrick, Lisa, Steven, Lauridania, Maysan & Flavio

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6 témoignages : Patrick, Lisa, Steven, Lauridania, Maysan & Flavio www.fraiwellechwell.lu Contact Service National de la Jeunesse Mme Kim Schortgen Tél. : 247 86479 [email protected] www.fraiwellechwell.lu Nous remercions tous les jeunes d’avoir accepté de témoigner de leurs expériences.

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Fräi,

well

ech

wëll!

An

du?

www.fraiwellechwell.lu

6 témoignages :

Patrick, Lisa, Steven,

Lauridania, Maysan

& Flavio

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Contact

Service National de la JeunesseMme Kim SchortgenTél. : 247 [email protected] www.fraiwellechwell.lu

Impressum

Editeur : SNJConception graphique : a-partPhotos : Patrick GalbatsRédaction : Laurent Moyse

Nous remercions tous les jeunes d’avoir accepté de témoigner de leurs expériences.

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Joindre l’utile à l’agréable

A l’heure où l’individualisme triomphe, où les nouvelles technologies nous invitent à mener une vie parallèle dans un monde toujours plus virtuel, le bénévolat reste une activité de première importance. Le fait de consacrer une partie de son temps libre à s’engager en faveur d’autrui constitue une expérience irremplaçable et permet de renforcer le tissu social, tellement malmené de nos jours. Au Grand-Duché, des milliers de gens s’adonnent de manière bénévole à une activité en s’engageant dans une ou plusieurs associations.

Selon Luc Pauly, responsable de l’Agence du bénévolat, il existe quelque 3.300 associations enregistrées au Luxembourg, dont beaucoup ouvrent volontiers leurs portes à ceux et à celles qui veulent aider de manière désintéressée.

Flavio, Lauridania, Lisa, Maysan, Patrick et Steven ne sont que quelques exemples de ces jeunes gens qui s’engagent dans le bénévolat. Outre le sentiment du devoir accompli, ils ont compris que sur le plan humain, cette manière de s’investir repré-sente une vraie source d’enrichissement.

Laurent Moyse

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« On ne

l’apprend

pas à

l’école »

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Originaire de Dudelange, Patrick Azevedo s’engage dès l’âge de neuf ans chez les scouts en intégrant la Fédération nationale des éclaireurs et éclaireuses du Luxembourg (FNEL). Un engagement qu’il poursuit avec conséquence, puisqu’il devient chef scout à l’âge de seize ans et qu’il a récemment achevé sa formation au sein de ce mouvement. Patrick n’hésite pas à consacrer beaucoup de temps à cette activité bénévole, retrouvant tous les samedis un groupe d’enfants de sept à onze ans et contribuant à l’organisation de camps scouts durant l’année. « Cela exige beaucoup de responsabilité et prend du temps », reconnaît-il. « Mais je ressens beau-coup de plaisir à travailler avec des enfants. C’est quelque chose d’impor-tant. » Patrick représente aussi la FNEL au sein de la Confédération générale de la jeunesse (CGJL), qui constitue l’organe représentatif des associations de jeunesse au Luxembourg. « Nous essayons d’y défendre nos idéaux », relate-t-il avec conviction.

L’activité bénévole de Patrick ne s’ar-rête pas là. Il y a quelques années, il a décidé de se porter candidat au sein du comité des élèves dans son lycée. « Je suis intéressé par les activités !"#$%$&'()*+,*-')%$.(/%/$#*)"0*12"$34*56*réforme scolaire a bien entendu ren-forcé son intérêt à se mettre au service des élèves. Depuis trois ans, Patrick est d’ailleurs membre de la Conférence nationale des élèves luxembourgeois (CNEL), plateforme d’échange et

organe consultatif représentant l’en-semble des élèves de l’enseignement secondaire auprès du ministère de l’Education nationale. Il représente même le CNEL au Conseil supérieur de l’éducation et au Conseil supérieur de la jeunesse.

Gagner en expérience

« Je trouve intéressant de pouvoir s’asseoir autour d’une table et de discuter d’un sujet », explique-t-il. Il a ainsi appris à écrire des rapports ou des dossiers et à argumenter dans les échanges de courrier électronique. Ce genre de travail, « on ne l’apprend pas à l’école », donne-t-il à considérer.

Selon lui, le bénévolat est important dans notre société : « Il est vrai que le travail bénévole ne permet pas de se procurer de quoi manger ou de s’ache-ter une voiture, mais on laisse une 7($##('8(*%861(*9*#6*.0*:(*)6*;$(*!#'%<%*que de se contenter de produire des déchets. » Souhaitant garder une occupation dans le secteur pédago-gique ou éducatif, Patrick n’exclut pas de s’inscrire un jour dans un parti politique ou un syndicat. En attendant, il poursuit son engagement bénévole, conscient que de cette façon, il acquiert une précieuse expérience.

Patrick Azevedo

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« Le don

de soi »

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Agée de dix-huit ans, Lisa Helminger accomplit sa dernière année de l’école secondaire au lycée Robert-Schumann. Cette jeune femme dynamique a l’habitude du bénévolat, s’étant enga-gée depuis le plus jeune âge dans le mouvement scout. « Cela fait onze ans que je suis chez les scouts », dit-elle, « et je suis cheftaine depuis quatre ans. » Le monde des Lëtzebuerger Guiden a Scouten, elle le connaît bien, en effet : elle s’y rendait déjà toute petite pour accompagner son père, qui était chef de groupe à Junglinster. Son frère ayant suivi les traces de son père, il semblait naturel que Lisa choisisse aussi cette voie.

Faire du bénévolat veut dire consacrer un peu (ou beaucoup) de son temps libre pour s’occuper d’autrui. Une fois par semaine, Lisa se rend à une réunion pour discuter de questions d’organisation avec d’autres chefs scouts et consacre deux autres heures à l’animation pro- !8(7(0%*:$%(4*=0*.0*:>600?(*)1"#6$8(, le camp d’été exige aussi beaucoup de travail de préparation, mais Lisa s’en occupe avec enthousiasme. « J’estime que le bénévolat apporte quelque chose. Il procure le sentiment qu’on s’investit pour d’autres gens, et que ceux-ci donnent quelque chose en retour. Cet engagement nous renforce et nous fait gagner en assurance. » Être chef de groupe implique en effet une grande responsabilité : « On ap-prend aussi à parler devant un groupe. Dès lors, je n’ai jamais craint de tenir à l’école un exposé devant la classe. »

S’organiser et coordonner

Outre l’enrichissement personnel, son engagement au sein du mouvement scout lui procure des contacts au-delà des frontières. Cette année, un camp international s’est déroulé en Suède, où « des jeunes gens du monde entier se sont rencontrés et partagent des valeurs ». Quand on devient scout, on le reste pour toujours, estime-t-elle. Et ce goût de l’engagement devrait déterminer son avenir : elle pense faire des études pour devenir assistante sociale, une profession où l’on doit aussi se mettre au service des autres. Elle rêve en outre de partir un an au Sénégal pour faire du volontariat dans #(*16:8(*:>'0*!8"-(%*&'(*.0601(0%*#()*LGS. L’incertitude qui accompagne un tel déplacement est largement compen-sée par le fait d’appartenir à la famille scoute, de se sentir « comme à la maison ».

Une autre valeur importante qu’apporte le bénévolat est l’obligation de s’organi-ser, d’assurer la coordination des activités, surtout lorsqu’on s’occupe d’enfants. De plus, selon Lisa, le béné- volat doit rester un engagement désin-téressé. Du moment qu’il est rétribué sous forme d’argent, ce n’est plus pareil : « Il y a d’autres moyens de le mettre en valeur, par exemple sur un @A*"'*(0*8(1(;60%*'0*:$!#<7(4*+

Lisa Helminger

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« J’ai

tellement

appris »

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En 2006, un copain approche Steven Lemonache et lui demande s’il ne veut pas l’accompagner pour effectuer une formation d’animateur de colonie de vacances. Steven, qui fait ses études au lycée, sait que son copain a déjà participé à des colonies organisées par la Croix-Rouge mais lui-même ne s’y était jamais aventuré. A l’âge de quinze ans, il se décide donc à l’accompagner. Il ne le regrettera pas. « C’était assez relax », se souvient-il. L’année d’après, il participe à une première colonie en se rendant avec un groupe d’enfants à Fiesch, dans la Suisse valaisanne. « J’étais impressionné de voir qu’on pouvait rendre les enfants heureux sans jouer à la Playstation », reconnaît-il.

Cette expérience réussie l’a motivé à terminer sa formation, qui se déroule en deux cycles : le premier pour devenir aide-animateur, le second pour être formé comme animateur à part entière. Steven a ensuite animé à plusieurs reprises une colonie de vacances, que ce soit à La Panne, en Belgique, ou à nouveau à Fiesch. « J’y ai rencon-tré des visages connus mais aussi des enfants que je voyais pour la première fois », raconte-t-il. Plus tard, il croisera certains d’entre eux dans la rue ou au lycée qu’il fréquente actuellement : si la plupart ont grandi, le fait d’avoir partagé de bons moments ensemble rendent ces retrouvailles sympathiques.

Le sens des respon-

sabilités

Passer deux semaines avec des en- fants qu’on ne connaît guère ne pose pas de problème, explique-t-il. Au contraire, lors du retour, les regrets de devoir se séparer sont parfois très grands. « Au début, je voulais simple-ment accompagner mon copain », rappelle Steven. « Après la première colonie, j’ai tellement appris que j’ai eu envie de continuer. » Depuis, il en a tiré quelques enseignements utiles : « Il faut avoir le courage d’aller vers les autres. De plus, on apprend à prendre ses responsabilités et à faire la distinction entre les moments d’amusement et les moments sérieux. »

Un autre atout est l’expérience de groupe, le fait d’apprendre à composer avec une équipe. « Quand le groupe est bon, le temps passé en colonie semble toujours trop court », note Steven. Il est persuadé qu’une telle expérience béné- vole lui sera utile plus tard, notamment sur son lieu de travail. Apprendre à avoir le sens des responsabilités en tant que jeune tout en pouvant s’amu-ser est une bonne chose, estime-t-il. « Cette expérience a changé ma vie, de façon positive. Et pendant ce temps, on n’est pas amené à faire d’autres bêtises », ajoute-t-il avec le sourire.

Steven Lemonache

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« Il faut y

aller avec

le cœur »

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Originaire du Cap-Vert, Lauridania Pires a accompagné sa famille dès son plus jeune âge au Luxembourg où elle a accompli une grande partie de sa scolarité, avant de poursuivre ses études en Belgique. Le fait qu’elle se soit lancée dans le bénévolat relève un peu du hasard. Surtout qu’elle avait déjà connu une première expérience chez les scouts, mais au bout d’un an, elle a compris que cette expérience 0(*#'$*!#6$)6$%4*B*C>?%6$)*!#'%<%*:(*06%'8(*introvertie », reconnaît-elle.

En 2009, le secrétaire du Comité Spencer lui propose de rejoindre cette association, qui s’occupe de projets en étroite association avec les Capver-diens vivant au Grand-Duché. Il lui suggère de participer à leurs activités pendant quelques mois, histoire de voir ce qui s’y passe. « Je ne m’attendais pas à entrer » au Comité Spencer, explique Lauridania, qui y prend vite goût. Il est vrai qu’elle a envie de « faire quelque chose de concret » et que l’association lui en offre l’occasion. Sa motivation est d’autant plus grande que le Comité Spencer a un lien avec son pays natal et qu’il est très actif dans le domaine social. A force de s’impliquer, elle se fait remarquer par la présidente, qui lui propose d’entrer au conseil d’administration. « Je me suis dit : pourquoi pas ? », raconte-t-elle. De simple membre sympathisant, (##(*()%*D$(0%<%*!8"!'#)?(*6'*!")%(*:(*trésorière. Un poste à responsabilité qui lui plaît beaucoup, de même que la convivialité au sein du groupe: « Je me

suis davantage ouverte aux autres, cela m’a permis de sortir un peu de ma coquille. »

Se donner un but

E"'8*(##(,*F%8(*D?0?;"#(*)$G0$.(*B*)>(0-gager vraiment et être responsable ». Elle mesure l’utilité du bénévolat en comparant l’activité d’une association à une « mini-entreprise », sans qu’il H6$##(*(0G6G(8*)()*.0601()*!(8)"0-nelles. De plus, on y apprend à avoir le sens de l’organisation.

« Pour faire du bénévolat, il faut y aller 6;(1*#(*1I'8*+,*6H.87(*56'8$:60$64*=##(*souligne la nécessité de s’extraire du contexte personnel : « Il faut se donner un but en se disant qu’on ne le fait pas seulement pour soi mais aussi pour les autres. » Ce qui n’est pas toujours évident, à une époque où les jeunes gens ne s’engagent plus autant qu’avant, préférant se divertir. Or, « être dans une association, c’est aussi s’amuser mais d’une autre façon. » Cet engagement « avec le cœur » est un préalable à toute réussite bénévole. « Il ne faut !6)*H"81(8*76$)*!#'%<%*(0*6;"$8*(0;$(*+,*conclut-elle.

Lauridania Pires

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« Une

expérience

pour la vie »

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Comme beaucoup d’autres jeunes de son âge, Maysan Qasem, dix-sept ans, ne sait pas encore avec certitude ce qu’elle fera plus tard. Il est vrai qu’il lui reste encore deux ans avant de terminer ses études secondaires, qu’elle accom-plit à l’Athénée de Luxembourg. Peut-être est-ce son intérêt pour la médecine qui l’a poussée à faire du bénévolat au sein de la Protection civile : « J’ai toujours voulu aider les gens. Et en matière de premiers secours, c’est une bonne expérience, une expérience pour la vie. »

Le déclic initial est venu à la suite d’un cours sur les premiers secours que les élèves de sa classe ont suivi à l’école. Résidant à Steinfort, Maysan se décide avec deux copines à se porter volon-taire auprès de la Protection civile locale. « J’y connaissais des gens », explique-t-elle, de sorte que la dé-marche ne lui paraît guère insurmon-table. Elle y effectue quelques cours :(*H"876%$"0*(%*"D%$(0%*D$(0%<%*#(*H('*vert pour monter dans l’ambulance en tant que troisième secouriste. C’est ainsi qu’elle donne un coup de main pour le transport des malades ou prodiguer les premiers secours. « Ça m’a bien plu », observe-t-elle, « mais comme j’avais aussi d’autres priorités telles que l’école et la musique, j’ai décidé d’arrêter au bout d’un an. »

A présent, elle s’est jointe à une action que mène la Caritas en faveur d’un projet de construction d’une école au Burkina Faso. Cette formule lui convient mieux car elle peut mieux

gérer son temps en s’engageant de manière épisodique, sans devoir être constamment présente ou négliger ses autres activités. Ayant participé à une conférence de presse avec quatre autres élèves pour sensibiliser le public, elle compte aussi donner un coup de main pour la vente de t-shirts dont le D?0?.1(*)(86*;(8)?*9*1(*!8"-(%*(0*Afrique.

Comme le bénévolat lui plaît, elle n’exclut pas de s’engager aussi dans d’autres organisations. Car pour elle, F%8(*D?0?;"#(*)$G0$.(*611"7!#$8*&'(#/ que chose d’utile, un sentiment qui lui procure une grande satisfaction. Quant à savoir s’il serait bon de rémunérer un travail effectué jusqu’à présent de manière bénévole, Maysan y répond !#'%<%*!68*#6*0?G6%$;(*J*B*@(#6*0(*7"%$;(*pas davantage ceux qui font preuve d’engagement depuis vingt ans. » Elle estime que ceux qui veulent aider ne le font pas pour de l’argent : « On est heureux d’avoir accompli quelque chose, de pouvoir aider quelqu’un qui en a besoin. »

Maysan Qasem

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« Ça

en vaut

la peine »

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« Il y a des gens qui disent que le béné- volat est une perte de temps. Je ne suis pas d’accord. Ça vaut la peine d’investir un peu de son temps. Chaque petite pierre permet de construire la maison. »

Flavio Santos Pachi, vingt ans, sait de quoi il parle. Né au Luxembourg de parents capverdiens, il a effectué sa scolarité au Grand-Duché jusqu’en septième, avant de poursuivre ses études en Belgique. Sa sœur étant membre du Comité Spencer – une association qui s’investit notamment dans la réalisation de projets favorisant l’intégration des jeunes gens d’origine capverdienne dans la société luxem-bourgeoise –, Flavio a déjà une petite idée de ce qui l’attend lorsqu’il se rend pour la première fois à une réunion, à titre de curiosité. Il se prend vite au jeu et participe à plusieurs activités, jusqu’à devenir membre à part entière de cette association il y a environ deux ans. « Je me suis engagé dans quel- ques projets et depuis, je n’arrive plus à m’arrêter », constate-t-il avec un brin de satisfaction. Son engagement lui prend quelques heures en semaine et parfois aussi une partie week-end, mais il le fait avec d’autant plus de plaisir que « je ne sais pas ce que je ferais de mon temps sinon ».

Montée en grade

Depuis le mois de mars 2011, il est même devenu vice-président de cette association. « Cela me permet d’avoir une vue d’ensemble et de connaître

toutes les facettes du comité », ob-serve-t-il. « Au début, je voulais juste aider. Le déclic est venu ensuite. » Et les échos qu’il reçoit en retour sont valorisants : telle personne qui remercie l’association pour son aide précieuse, telle autre personne qui manifeste sa joie de voir des jeunes gens qui s’en-gagent pour une bonne cause.

Flavio fait aussi partie d’une petite équipe qui gère un site sur Internet : ce site informe sur ce qui se passe au Luxembourg et au Cap-Vert. « Les deux activités bénévoles se chevauchent », explique-t-il. Il contribue notamment à illustrer le site en prenant lui-même des photos. Ayant pour objectif de devenir professeur de sport, Flavio a compris que le bénévolat lui apportait beaucoup : « On apprend à analyser les situations et le comportement des gens. C’est une bonne expérience en vue d’intégrer le monde du travail, surtout si l’on se dirige vers le secteur social. »

Flavio Santos Pachi

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Cette brochure est éditée dans le cadre d’une campagne qui a comme objectif de donner une image moderne et attractive du bénévolat, de valoriser les jeunes qui s’engagent sur des périodes plus ou moins longues et de promouvoir les organisations de jeunesse bénévoles. Cette campagne comprend l’élaboration :>'0(*)?8$(*:>6H.12()*mettant en scène des jeunes bénévoles, la création d’un site internet pour jeunes et l’organisation d’une conférence sur le bénévolat des jeunes.

La campagne a été initiée par le Service National de la Jeunesse dans le cadre de « 2011, Année européenne du bénévolat ».