1

SOMMAIRE

Sommaire 1Préface 2Le 1% artistique 3Extraits sur le 1% 4Le lycée Les Marcs d’Or 5Un artiste, Alain Metayer 6Une œuvre, ronde bosse en cuivre 7Une œuvre, fontaine en cuivre rouge 8Un artiste, Claude Lepape 9L’œuvre, carrelage mural 10Un artiste, Lucio Del Pezzo 11L’œuvre, pyramide 12Fiches inventaire 13,14,15Sources 16

AVERTISSEMENT

Cette plaquette n’est en aucun cas un état des lieux définitif des œuvres issues du 1% artistique au lycée Les Marcs d’Or. Elle n’a pour seule prétention et objectif de faire le point autour d’une recherche documen-taire rapide et difficile au vu de la dispersion des sour-ces et de leur non actualisation au fil des années. Les fiches d’inventaires retrouvées signalent d’ailleurs le manque de traçabilité de certaines œuvres.

lycée Les Marcs d’Or - DIJON

2

PRÉFACE

Romain MATHIEUProviseur, lycée Les Marcs d’Or

DIJON

“Les lieux sont aussi des liens. Et il sont notre mémoire”. Cette citation de Philippe Besson résume bien la philo-sophie de notre établissement.

Lycée des métiers du bâtiment, des travaux publics, excellence des métiers d’art sur l’art de la pierre : Les Marcs d’Or est un lycée au cœur de son époque.Entre tradition et modernité, cet établissement public s’est donné comme mission de mettre en valeur l’un des patrimoines de la Bourgogne : la pierre.D’inspiration le Corbusier, les bâtiments vous invitent à découvrir ou redécouvrir un style unique où les élèves, les étudiants, les apprentis et les personnels évoluent pour apprendre un métier de bâtisseur.Visitez un lycée vivant, ancré dans des métiers de tra-dition résolument ouverts vers l’avenir et les nouvelles technologies.Découvrez son ouverture artistique et culturelle, autour des œuvres d’Alain MÉTAYER et Claude LEPAPE dans le cadre du 1% artistique mais aussi avec les productions des élèves réalisées avec Juliette LAVAL, artiste en rési-dence en 2014-2015.

Bonne visite à tous.

3

Le 1%ARTISTIQUE

Le 1% artistique dans les constructions publiques : expression de la volonté publique de soutenir la création et de sensibiliser nos conci-toyens à l’art de notre temps, « l’obligation de décoration des cons-tructions publiques », communément appelée « 1% artistique » est une procédure spécifique de commande d’œuvres à des artistes qui s’impose à l’État, à ses établissements publics et aux collectivités territoriales.Depuis 1951, ce dispositif a donné lieu à plus de 12 300 projets se déployant sur l’ensemble du territoire et sollicitant plus de 4 000 ar-tistes. Par la typologie des équipements concernés (bâtiments sco-laires, commissariats, palais de justice...), le « 1% artistique » atteint un public très large et qui n’est pas nécessairement familier des lieux d’exposition.

La procédure est encadrée par le décret n°2002-677 du 29 avril 2002 modifié et accompagné d’une circulaire du ministre de la Culture et de la Communication.

Le lycée en 1960

Dans le cadre du 1% artistique, l’implantation de quatre œuvres avait été programmée au lycée Les Marcs d’Or de Dijon entre 1960 et 1975 environ.

4

EXTRAITSsur le

1%

L’art contemporain est aujourd’hui partout présent en Bourgogne. Non pas dans telles galeries d’avant-garde qui se seraient nouvelle-ment créées, ni chez quelques collectionneurs tout d’un coup révé-lés, pas plus que dans certains musées enfin sensibles à cette forme d’expression (...), mais au contraire, grâce à l’effort de l’Etat, dans des endroits publics fréquentés quotidiennement et par la fraction la plus intéressante de la population : les établissements scolaires, présents partout sur le territoire de l’Académie de Dijon (...)

Depuis 1970, on a pu déjà mesurer une partie de l’effort accompli grâce au dépliant Art contemporain qui concerne les réalisations mises en place à Dijon dans le cadre du 1% et édité par la ville de Dijon en 1976 : 17 oeuvres particulièrement significatives avaient été choisies, de celle d’un artiste d’avant-garde comme Christian Boltanski à celle de Louis Leygue (...) de l’oeuvre d’un artiste connu dans le monde entier comme Berto Lardera (...)

L’idée d’affecter un crédit spécial lors de la construction d’un bâ-timent public à la réalisation d’une oeuvre d’art est en application dans la plupart des pays occidentaux. En France, elle date de 1936. Le ministre de l’Education nationale du Front populaire, Jean Zay et un député Mario Roustan présentèrent cette année-là un projet de loi dont le but était de faire travailler les artistes à une époque parti-culièrement difficile pour eux. Ce principe était déjà en vigueur aux Etats-Unis en raison de la crise économique avec la Work Projects Administration (WPA) (...) En France, le projet n’eut pas de suite. Il devait être repris après la Libération par Yvon Delbos, ministre de l’Education nationale, dans un arrêté du 15 novembre 1949. (...)

Extraits recueillis dans L’art contemporain en Bourgogne dans les établissements d’enseignement, Académie de Dijon, CRDP, par Serge Lemoine, Maître-assistant à la Faculté des Sciences Humaines de Dijon, Conseiller artistique, Délégué à la Création

artistique pour la Région de Bourgogne. 1979

La base de la réglementation du 1% figure dans l’arrêté du 18 mai 1951 et la circulaire d’application du 14 juin 1951.

L’art contemporain en Bourgogne dans les établissements d’ensei-gnement, Académie de Dijon, CRDP, 1979

5

Le LYCÉELES MARCS D’OR

Le Collège d’Enseignement Technique des Marcs d’Or.Longtemps isolé au milieu des champs dans le Château de la Ber-chère et dans des baraques incommodes élevées tout à l’entour, le centre d’apprentissage de la maçonnerie a été transféré à Dijon ; il est devenu un collège technique de tous les métiers du bâtiment (...)Ce renouvellement, cette extension, cet enrichissement sont impor-tants et féconds par eux-mêmes et par leurs conséquences immé-diates ; ils le sont plus encore par leur signification symbolique, car ils manifestent aux yeux que l’apprentissage d’une profession du bâtiment est égal en dignité à tous les enseignements, qu’il obtient de la part de l’Education Nationale une égale sollicitude et que ses élèves bénéficient de tous les avantages accordés aux jeunes gens qui suivent d’autres études. (...)

M. Bouchard, Recteur de l’Université de Dijon, 1962

LE PARTI ARCHITECTURALLe programme de l’opération prévoyait qu’il devait pouvoir ac-cueillir environ 400 élèves dont 200 internes.Il comportait essentiellement :- un groupe de salles d’enseignement général ;- un groupe d’ateliers et de salles d’enseignement technique ;- un groupe d’internat avec ses annexes et service des repas ;- des locaux administratifs et des logements ;- un groupe d’éducation physique.(...)

Didier Lefèvre, architecte DPLG, 1962

On a pris grand soin, en organisant la composition d’ensemble, d’épargner et de mettre en valeur un agréable bouquet de co-nifères, seuls arbres existants à l’origine sur le terrain. Cette zone a été protégée efficacement pendant les travaux. Le bassin, situé au centre des cours de récréations, sera orné d’une fontaine mo-numentale en cuivre rouge due au sculpteur A. Métayer, premier Grand Prix de Rome. La statue en ronde bosse qui ornera l’extérieur du hall d’entrée a également été confiée à ce dernier. Le mur de fond de ce hall sera revêtu d’une composition murale du peintre Claude Lepape». (...)

Didier Lefèvre, architecte DPLG, 1962

1. Dans le cadre du 1% artistique, le lycée s’est vu attribuer entre 1960 et 1979 quatre œuvres de trois artistes différents : deux oeuvres d’Alain Metayer (ronde-bosse et fontaine), une œuvre de Claude Lepape (mosaïque) et une œuvre de Lucio Del Pezzo (sculpture).

La cour du restaurant scolaire,1960

6

Un ARTISTE,Alain METAYER

1926 - 2010

Artiste français, sculpteur et graveur. Il étudie à l’École natio-nale supérieure des beaux-arts de Paris où il est admis en 1949. Il est Lauréat en 1953 du Prix de Rome. Il séjournera à la Villa Médicis de 1954 à 1957. Il a enseigné pendant plusieurs années à l’École Nationale des Arts Appliqués et des Métiers d’Art. Ancien élève de Gimond1, puis de Janniot2 à l’Ecole des Beaux Arts, il se passionne pour la création d’oeuvres intégrées à des cadres architecturaux. Le monument de Rosenau, ses oeuvres dans les lycées et collèges à Troyes, Tournon, Dijon, Montdidier, Saint-ouentin témoignent de son sens du monumental. De formation classique Alain Metayer est un artiste plutôt figuratif, mais qui a évolué vers une modernité non fi-gurative au cours de sa carrière sans jamais renoncer toutefois à la représentation des êtres.

Autoportrait

L’Aube chasse la nuit, Grand Prix de Rome, bas- relief en plâtre, 1953

«Je ne suis ni tout à fait l’un ni tout à fait l’autre. Quand une com-mande n’est adressée et me définit le sujet, comment ne serais-je pas figuratif ? A mes heures de liberté, au contraire... Mais peut-être à ces moments même, ne puis-je entièrement renoncer à la repré-sentation des êtres.»

«La beauté d’une ligne ou d’un volume ne dépend en aucune manière de ce qu’elle représente ou de ce qu’elle ne représente pas.»

Alain METAYER

1. Marcel Gimond sculpteur (1894-1961) fait ses études à Lyon. Élève d’Aristide Maillol, il rencontre éga-lement Raoul Dufy et Auguste Re-noir. De 1946 à 1960, il dirige un atelier à l’École des beaux-arts de Paris.

2. Alfred Janniot sculpteur (1889-1969) fait ses études à l’École des beaux-arts de Paris. Grand Prix de Rome en 1919. Il participe (bas-re-lief) à l’Exposition des Arts Décora-tifs de 1925 à Paris. Il fut l’ami de Jacques-Émile Ruhlmann.

7

Une ŒUVRE

APOLLONRONDE BOSSEen CUIVRE

La sculpture dans l’atelier d’Alain METAYER et en place devant le hall d’honneur du lycée

L’œuvre en 2016 Détail

D’aspect monumental, cette ronde-bosse réalisée en cuivre martelé soudé s’impose à l’entrée principale du lycée. La création d’Alain Metayer semble s’inscrire, à travers une commande définie, dans sa démarche et sa formation classique du corps et de la re-présentation humaine. Le thème du nu reprend une tradition plus qu’antique dans une position qui peut évoquer ici de manière ac-centuée le chiasme du Diadumène de Polyclète ou l’ouverture du torse de L’âge d’airain d’Auguste Rodin. Alain Métayer emprunte à l’histoire de l’art la continuité issue d’influences successives en pro-posant une anatomie revisitée évoquant davantage une recher-che formelle et rythmique harmonieuse plutôt qu’une identification quelconque à la réalité.

Alain METAYER, Figure, sculpture en ronde-bosse, cuivre martelé sou-dé, 1959/1964 (?)

8

Une ŒUVRE

FONTAINE enCUIVRE ROUGE

Alain METAYER, Fontaine en cuivre rouge, bronze, 1959/1964 (?)

La fontaine n’est plus en place aujourd’hui. La date de son enlè-vement et son devenir nous sont inconnus.

La seconde création monumentale réalisée par Alain Metayer est une fontaine en cuivre rouge. Élément central d’un large bassin cir-culaire, elle trônait presque au centre de la grande cour dans un écrin de verdure protégé durant la construction du lycée.Elle se compose d’un réseau de lignes obliques ou axes tubulaires, jaillissant de l’eau sur lesquelles viennent se positionner en cascade des «feuilles» de cuivre incurvées où l’eau pouvait circuler.Cette composition évoque dans sa structure le végétal et un cer-tain exotisme. Elle emprunte certainement à l’esthétique d’Alain Metayer dans ses productions non figuratives (forme, équilibre et rythme), mais présente surtout un caractère décoratif.

Le bassin et la fontaine avec vue sur Dijon, vers 1960

La fontaine avec vue sur les salles de cours, vers 1960

9

Un ARTISTEClaude LEPAPE

1913 - 1994

Artiste français, peintre. Fils de Georges Lepape1. Il étudie à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Admirateur de Jean-Auguste-Dominique Ingres, il côtoie et retient les conseils de Paul Albert Laurens2. En 1932, il rejoint l’Art Students League of New York3. Entre 1945 et 1950, il s’intéresse à la gravure . Il travaillera alors pour la publicité puis pour le théâtre en réalisant décors et costumes. Ses productions picturales se réfèrent autant à l’hyper-réalisme qu’au symbolisme en passant par des univers surréalistes.

« Claude Lepape a inventé une nou-velle sorte de nature morte : la nature morte psychologique, la nature mor-te vivante, l’objet devenant esprit. Il a introduit en peinture la verve, la ma-lice et l’espièglerie. Tout en prêtant à ses objets la grâce de Boilly4, il y ajou-te l’attrait des rébus. Il a la distinction d’un petit maître et l’inattendu d’une boutade d’Aurélien Scholl5. Certains de ses portraits ont la saveur d’un épi-gramme et le réalisme poétique d’un plan de Marcel Carné ».

Marcel ACHARD

1. Dessinateur, affichiste et illus-trateur français des années 1930 (1887-1971)2. Peintre français, fils de Jean-Paul Laurens. Ami d’André Gide, il sé-journe en Afrique du nord. À son retour en France en 1912, il colla-bore à la décoration du Capitole de Toulouse (1870-1934)3. École des beaux-arts fondée en 18754. Peintre et miniaturiste français témoin de la vie parisienne post-révolutionnaire (1761-1845)5. Journaliste, auteur dramatique, chroniqueur et romancier français (1833-1902)

En calèche, huile sur panneau, 33x42 cm

Oiseau et sphinge, huile sur pan-neau, 64x52 cm

10

Une ŒUVRECARRELAGEMURAL

Le carrelage mural en place sur le mur de fond du hall d’honneur du lycée

Cette fresque carrelée qui fut une commande précise pour le ly-cée lors de sa construction propose une représentation d’outils spé-cifiques attribués aux formations dispensées par l’établissement au début des années 1960. Sur un fond sombre, les dessins occupent l’intégralité de la surface de la fresque en se superposant ou en se juxtaposant dans un jeu de lignes colorées bleues, rouges, jaunes et blanches. Aucun effet de perspective global ou de trompe l’oeil n’est évoqué, mais un exercice graphique à la figuration naïve et décorative anime l’ensemble du mur.

Détails

Claude LEPAPE, carrelage mural, céramique, h : 300 ; l : 560, 1963Signé et daté en bas à gauche sur l’oeuvre : Claude Lepape 1963 ; céramique H. Plisson

11

Un ARTISTE,Lucio Del PEZZO

1933

Artiste, peintre et sculpteur italien.Il étudie à l’Académie de Na-ples. En 1958, il est l’un des fonda-teur du Gruppo 581. Il collabore avec la revue Documento Sud2. Durant les années 1958-1960 il assemble des objets variés ainsi que des fragments d’estampes et d’ images populaires. À partir de 1962 il réalise son répertoire

de quadri (tableaux) ou sculptures, constitué de panneaux géomé-triques monochromes associés à des objets géométriques simples. Ces oeuvres sont souvent ludiques. L’utilisation d’objets détournés renvoie au Pop Art, mais des réminiscences de Chirico3, Carrà4 et Mo-randi5 sont perceptibles. Ses œuvres sont conservées dans les princi-paux musées d’art moderne du monde : G. A. M (Rome), M. N. A. M (Paris), Stedelijk Muse, (Amster-dam), M. O. M. A. (New York), G u g g e n h e i m Museum (New York).

Pop art géométrie, 1990, bois peint

40 articles, 1974, acrylique couleur et collage sur bois, 224 x 350

Exposition Lucio Del Pezzo, Fondation Marconi, 2014, Milan

1. Groupe fondé à Naples et auteur d’un manifeste d’avant-garde en 1958 dans la mouvance du mouvement de la peinture nu-cléaire où futurisme, dadaïsme et surréalisme sont sous-jacents2. Revue d’art consacrée en parti-culier à Dada, au surréalisme, aux avant-gardes, à la littérature et aux autres supports de création du XXe siècle3. Peintre, sculpteur et écrivain ita-lien représentant du mouvement surréaliste (1888-1978)4. Peintre italien, cofondateur du futurisme (1881-1966)5. Peintre italien (1890-1964)

12

L’ŒUVREPYRAMIDE

ll s’agit en fait de la moitié d’une pyramide de plan carré : la face antérieure de cette sculpture est un plan dressé à la verticale et cor-respond à une coupe médiane, de telle sorte que le cheminement du labyrinthe apparait dessiné en creux. Cette sculpture avec sa forme élémentaire séduit par sa matière : noir satiné de l’élévation, gris mat de la base et or du tracé labyrinthique. L’implantation sur une butte ajoute à ce raffinement coloré en faisant se détacher l’oeuvre sur le ciel sans arrière-plan construit. Cette pyramide qui frappe par la beauté de sa forme pure est destinée à évoquer quel-que monde mystérieux, rempli de signes ésotériques et qui restent incompréhensibles, dont les constructions pharaoniques restent le symbole. Lucio Del Pezzo, dont l’œuvre est connue dans le monde entier, est le représentant actuel de cet art né au début du XXème siècle à la suite du symbolisme, la «Peinture rnétaphysique», qui eut

une influence déterminante sur le surréalisme et de nombreux artistes contemporains : ainsi Del Pezzo continue-t-il aujourd’hui avec bonheur Ie travail de Giorgio de Chirico et de Carlo Carrà.

Dans L’art contemporain en Bourgogne dans les éta-blissements d’enseignement, Académie de Dijon, CRDP, par Serge Lemoine, Maître-assistant à la Facul-té des Sciences Humaines de Dijon, Conseiller artisti-que, Délégué à la Création artistique pour la Région

de Bourgogne. 1979

Pyramide, 1973, gravure, 66x50,5 cm

Cette œuvre fut commandée dans le cadre du 1% artistique lors de l’extension de l’internat et des ateliers sur le site de Marcs d’Or 2. La pièce fut déplacée une pre-mière fois vers Marcs d’Or 1. Subis-sant les dégradations du temps, l’œuvre s’est avérée dangereuse pour les élèves et les services de l’architecture de la ville de Dijon décidèrent de déposer la sculp-ture en 1984.

Lucio Del PEZZO, Pyramide, sculp-ture en acier inoxydable peint avec rehauts de feuille d’or, h : 2,58 m ; l : 2,38 m ; prof. : 1‚70 m (sans le socle), 1975

La pyramide de Del PEZZO en place à Marcs d’Or 2

13

FICHE INVENTAIRE

Inventaire général du patrimoine - Région Bourgogne, fiche Alain MÉTAYER

inventaire général du patrimoine culturel - région Bourgogne

14

FICHE INVENTAIRE

Inventaire général du patrimoine - Région Bourgogne, fiche Claude LEPAPE

15

FICHEINVENTAIRE

Inventaire général du patrimoine - Région Bourgogne, fiche Lucio Del PEZZO

16

SOURCES

- http://www.alain-metayer.fr/acc.htm - http://autographe.com/autographes/claude-lepape/- http://www.culturecommunication.gouv.fr/Politiques-ministeriel-les/Le-1-artistique- http://www.culture.gouv.fr/culture/inventai/patrimoine/- https://fr.wikipedia.org/- https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cAp5qd/ryepae- http://www.arte92.it/sito/portfoliotype/biografia-lucio-del-pezzo/- http://data.bnf.fr/12400785/claude_lepape/

- L’art contemporain en Bourgogne dans les établissements d’ensei-gnement, Académie de Dijon, CRDP, Serge Lemoine, 1979

Les quatre œuvres réalisées entre 1960 et 1975 pour le lycée les Marcs d’Or.

lycée Les Marcs d’Or24, rue du Fort de la Motte Giron, 21000 DIJON

tél. : 03 80 41 00 60 ; fax : 03 80 43 68 88courriel : 0211986v@ac-dijon.fr.

site : http://lyc21-marcsdor.ac-dijon.fr/

Plaquette présentant un état des lieux concernant le 1% artistique au lycée Les Marcs d’OrRomain MATHIEU, Proviseur

Karine CASCAN, Proviseur adjointJean-Michel ROCH, Directeur délégué aux formations professionnelles et technologiques

Recherches documentaires, rédaction, maquette : Didier BONTEMPS. Septembre 2016

Le lycée peu après son ouverture en 1960 dans son environnement